CA1065486A - Dispositif pour la determination de caracteristiques communes a des ensembles de donnees - Google Patents

Dispositif pour la determination de caracteristiques communes a des ensembles de donnees

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CA1065486A CA216,219A CA216219A CA1065486A CA 1065486 A CA1065486 A CA 1065486A CA 216219 A CA216219 A CA 216219A CA 1065486 A CA1065486 A CA 1065486A
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Abstract

La présente invention concerne un dispositif pour la détermination de la nature des relations entre d'une part les données propres à une unité ou un groupe d'unités distinctes, et d'autre part les données d'une autre unité ou d'un autre groupe d'unités distinctes appartenant à un même ensemble. Ce dispositif comprend un support transparent correspondant à chaque unité ou groupe d'unités, chaque support étant ordonné au moyen d'un système d'adresses auxquelles sont enregistrées les données propres à l'unité ou au groupe d'unités correspondant à ce support. Sur tout support correspondant à une unité ou un groupe d'unités distinctes sont enregistrés à toute adresse correspondant aux données propres aux autres unités ou groupe d'unités distinctes, un ou plusieurs signes distinctifs de chaque nature de relation entre les données propres de l'unité ou de groupes d'unités distinctes correspondant à chaque support et les données propres aux autres unités ou groupes d'unités de l'ensemble. De cette façon, on peut simultanément lire les symboles en superposant des cartes correspondants à la relation qui doit être déterminées.

Description

lO~S4t~t;
La présente invention concerne un dispositif pour la détermination de la nature des relations entre d'une part les données propres à une unité ou un groupe d'unités distinctes, et d'autre part les données d'une autre unité ou d'un autre groupe d'unités distinctes appartenant à un même ensemble, ce disposi-tif comprenant un support transparent correspondant à chaque unité ou groupe d'unités, chaque support éta~t ordonné au moyen d'un système d'adresses auxquelles sont enregistrées les données propres ~ l'unité ou au groupe d'unités correspondant à ce support caractérisé par le fait que sur tout support correspondant à
une unité ou un groupe d'unités distinctes sont enregistrés à
toute adresse correspondant aux données propres aux autres unités ou groupe dlunités distinctes, un ou plusieurs signes distinctifs de chaque nature de relation entre les données propres de l'unité ou de groupes d'unités distinctes correspondant à
chaque support et les données propres aux autres unités ou groupes d'unités de l'ensemble, de sorte qu'on peut simultanément lire les symboles en superposant des cartes correspondants ~ la relation qui doit etre déterminée.
Sur chaque support, des signes distinctifs à ces données propres sont enregistrés aux adresses correspondant à l'unité
ou groupe d'unités correspondant elles-mêmes audit support. Aux autres adresses les signes distinctifs correspondant à la nature ; des relations entre les données desdites unités ou lesdits groupes d'unités d'une part, et les données des autres unités ou groupe d'unités de l'ensemble d'autre part, ces signes distinc-tifs correspondant à ce que l1on appelera dans ce qui suit des cotes, fonctions de la nature des relations matérialisées par les signes distinctlfs sous forme codée.
La présente invention a trait également à des procédés d'utilisation de dispositifs du type décrit ci-dessus et à l'ap-pareillage pour sa mise en oeuvre.
De la sorte, la présente invention permet avec un sys-t~me d'adre~sses ~ deux dimensions pouvant etre mate'rialisé ou 10~54~6 non sur le support et avec un système de cotes et de codages a-déquats, d'enregistrer des données et des natures de relations dans un système au moins tridimensionnel.
Dans ce qui suit et par simplification on considérera des supports sensiblement plans (cartes, films, fiches, feuilles, bandes, etc...) sur lesquels un système d'adresses est repéré en coordonnées cartésiennes à deux dimensions.
L'homme de l'art pourra aisément, et sans sortir du ca-dre de l'invention, employer la présente invention avec d'autres systèmes de coordonnées (par exemple: polaire) ou de repérage ~par exemple: numérique) d'adresses des données enregistrées.
Par simplification également on se limitèra dans les premiers exemples à un système de cotes à une seule dimension comme en géométrie descriptive de Monge, mais il est facile pour l'homme de l'art d'étendre à plusieurs dimensions et d'imaginer un codage permettant de matérialiser plusieurs systèmes dimen-sionnels de cotes comme l'illustrent les exemples suivants:
Sur une fiche par exemple on peut porter une série de signe9 ayant des formes différentes en fonction d'une première série dimensionnelle de cotes et des couleurs différentes en fonction d'une deuxième série dimensionnelle de cotes.
Dans ce qui suit, on appelera "élément" le sous-ensemble constitué par l'unité ou le groupe d'unités correspondant à cha-que support' on appellera "caractéristiques propres à l'élément"
les données correspondant à l'élément lui-même et susceptibles d'être enregistrées sur le support: ce seront par exemple les constituants de l'élément tels que l'énumération des unités, dans l'hypothèse d'un groupe, on appellera "relations ou caractéris-tiques relationnelles" les données correspondant aux relations entre les caractéristiques ou données propres à l'élément corres-pondant à un support et les caractéristiques ou données propres aux autres éléments de l'ensemble (par exemple: interaction, com-patibilité, incompatibilité, interférence négative ou positive ~`

10~548~;
entre éléments ou unités constituant les différents éléments), Il est bien connu dans l'art antérieur d'enregistrer sur un support de tout type adéquat les références des éléments et leurs caractéristiques. La comparaison analytique entre sup-ports permet de savoir si les différentes caractéristiques peu-vent convenir lorsque l'on cherche à établir quelles relations peuvent exister entre les différents éléments, par exemple si l'on recherche ou si au contraire on veut éviter certaines inter-actions, compatibilités, incompatibilités, interférences positi-ves ou négatives ou tout autre type de relations pouvant existerentre les éléments et leurs unités constitutives.
Pour prendre un exemple simple, lorsque l'on réalise une installation à circulation de fluides, il est nécessaire que les caractéristiques des différents éléments assemblés soient compatibles entre elle~ et ne présentent pas d'incompatibilités.
On recherchera notamment les compatibilités dimensionnelles pour que les raccords s'effectuent sans difficulté, on cherchera par contre à éviter des incompatibilités entre matériaux constitu-tifs ou entre chacun d'entre eux et les fluides destinés à y cir-culer.
Ceci se traduit par des opérations souvent longues etdifficiles à effectuer manuellement et très coûteuses lorsque l'on veut recourir à un appareillage automatique. Par ailleurs sur les supports actuels on travaille le plus généralement à deux dimensions ce qui ne permet pas d'enregistrer des données à trois dimensions ou plus.
Par exemple, les systèmes les plus perfectionnés à car-tes perforées fonctionnent encore maintenant avec un système d'a-dresses à deux dimensions sur la carte et une perforation de type unique pour un même support ne permettant qu'un nombre relative-ment limité de combinaisons et une capacité d'enregistrement de donn~es insuffisante pour certains usages sur le même support.

10~54~

Les fabricants de calculatrices électroniques à très grande capacité ont dû s'orienter vers des supports à nombre d'a-dresses consédérable faisant appel généralement à des supports magnétiques qu'on ne peut mettre en oeuvre qu'avec l'aide de ma-chines particulièrement coûteuses. Or, dans de très nombreux domaines, il est indispensable d'accéder rapidement à des données d'un nombre d'adresses de l'ordre de mille à dix mille par exem-ple sur un même support ce qui dépasse largement la capacité des cartes perforées classiques, mais qui plus est lorsque l'on a be-soin de matérialiser des cotes même en nombre faible de dix àcent, ou même de deux à dix, on se heurte à des problèmes diffi-cilement solubles sans investissement en temps ou en argent in-compatibles avec les moyens ou les préoccupations de l'utilisa-teur.
Le seul moyen qui soit utilisé dans ce cas nécessite de la part de l'utilisateur une lecture comparée longue et diffi-cile des fiches et des commentaires donnant lieu à grand nombre d'erreurs.
Il existe sur le marché des systèmes de fiches à nom-bre important d'adresses par exemple à perforations permettantde sélectionner dans un ensemble de fiches toutes celles ayant un signe porté à la même adresse, par exemple celles portant un trou oblong en un point déterminé d'un ensemble de trous ronds régulièrement espacés selon un quadrillage.
Il existe également des moyens optiques permettant de classer des films photographiques formant des fiches munies d'un quadrillage de cases opaques ou translucides ce qui permet de trier toutes les fiches portant une case opaque ou une case trans-lucide en une adresse déterminée de la fiche, mais ici encore ces - 30 systèmes ne permettent pas d'aller au-delà de deux informations par adresses (0 ou 1, oui ou non, translucide ou opaque, etc...).

Si l'on veut augmenter la capacité des cartes, on est conduit à

~0~54~16 des opérations essentiellement manuelles nécessitant une atten-tion soutenue et un temps important.
En outre. dans ces systèmes antérieurs, les supports ne comportent que des systèmes de coordonnées à deux dimensions.
La présente invention permet, co~ne on l'a dit plus haut, de travailler avec des supports ordonnés à l'aide d'un sys-tème d'adresses à deux dimensions et un système de cotes à au moins une dimension. Il permet non seulement la recherche de caractéristiques communes propres à des données, mais également de toutes natures de caractéristiques relationnelles entre les données propres aux divers éléments d'un même ensemble. Comme il a été dit plus haut et pour simplifier, on se limitera dans les premiers exemples à trois dimensions avec des supports rec-tangulaires, à adresses en coordonnées cartésiennes, les cotes étant à une dimension et correspondant à la hauteur ou l'altitude de Monge si les supports constituent le plan de référence hori-zontal.
Or dans l'état actuel des choses la plupart des dispo-sitif 9 utilisés pour comparer des supports à deux di~ensions ne peuvent convenir pour comparer des supports conformes à l'inven-tion ce qui nécessite de distinguer des repères de même cote portés à la même adresse par rapport aux repères d'autres cotes portés à la même adresse.
Dans ce qui suit, on se référera à titre d'exemple non limitatif à un domaine d'application où la présente invention trouve une utilisation intéressante. Il s'agit du problème de la recherche des interférences positives ou négatives dans le do-maine médical. Si, par exemple, un médecin rédige une prescrip-tion pour un patient, il est nécessaire que les différents médi-caments, en particulier leurs constituants, soient compatiblesentre eux et avec le patient lui-même, avec son mode de vie, avec son régime alimentaire, avec les conditions climatiques ou pro-10~;54~f~

fessionnelles, etc...
A l'heure actuelle il n'existe aucun moyen pratiquepermettant au médecin une vérification systématique des inter-férences qui lui permettra d'effectuer sa vérification de façon précise, rapide et efficace et sans faire appel à un appareilla-ge complexe et coûteux.
La présente invention consiste donc essentiellement à
porter sur un support correspondant à chaque spécialité pharma-ceutique ou constituant de spécialité pharmaceutique notamment à
chaque substance active, ou correspondant à chaque famille de spécialités pharmaceutiques, les différentes interférences posi-tives ou négatives telles qu'énumérées ci-dessus.
Il s'agit donc de porter tout d'abord sur chaque sup-port, dans des conditions permettant d'être facilement retrouvées, la nature des interférences de l'ensemble des autres spécialités ou constituants de substances actives, des régimes alimentaires et autres conditions d'emploi telles qu'indiquées plus haut.
Pour ce faire, on pourra recourir par exemple à un système de re-pérage géographique d'adresse sur le support, par exemple un sys-tème classique de coordonnées cartésiennes, comme il a été ditplus haut. Il s'agit alors de faire correspondre à chaque adres-se l'un des autres éléments avec lequel on peut effectuer la com-paraison et de noter l'adresse correspondante par tout moyen d'en-registrement convenant à la nature même du support et du procédé
employé, un signe matérialisant la nature de l'interférence entre l'élément auquel correspond la carte et l'élément correspondant au point de repère considéré.
Il est possible de regrouper par exemple géographique-ment les points de repères correspondant à une famille d'éléments de fa~on, par exemple, que l'on retrouve la même interférence sur une zone aisément repérable et correspondant par exemple à l'en-semble des antibiotiques ou à une famille de produits alimentai-:10654~
res.
L'utilisateur possédant l'ensemble des supports corres-pondants à l'ensemble des éléments, il en extrait les supports correspondant aux éléments dont il veut comparer les caractéris-tiques et par tous moyens adéquats tels que ceux décrits ci-dessou3 i' détecte les signes d'interférence portés aux adresses correspondant aux divers éléments correspondant aux supports choi-siq et simultanément les interférences avec d'autres conditions d'utilisation qui peuvent être portées sans faire l'objet de sup-ports particuliers, par exemple si l'utilisateur veut adminis-trer à un patient des spécialités A, B, C et D, il sortira par exemple de sa collection les supports correspondant à A, B, C ou D eux-memes, à leurs constituants ou leurs substances actives ré-pertoriés en fonction de la famille à laquelle ils appartiennent.
En repérant les adresses correspondant à l'élément porté sur cha-cune des cartes (A, B, C, D, leurs constituants ou leurs substan-ces actives, etc...) on compare avec les signes d'interférences pouvant être portés sur le même point de repère des autres sup-ports, ce qui permet de déterminer les éventuelles interférences des médicaments entre eux, mais on peut également repérer dans d'autres zones du support des signes d'interférences avec la na-ture du patient (exemple: un diabétique, de tel sexe, de tel age, de tel poids), son régime alimentaire (exemple: absorption d'al-cool), ses conditions de vie (exemple: inapte à un travail de for-ce ou à la conduite d'une voiture), les conditions climatiques (exemple: vivant en pays tropical), d'autres conditions (exemple:
heure de prise de médicaments, etc...).
En ce qui concerne la nature des repères, il faut qu'à
chaque adresse on puisse porter des repères de natures différen-tes à qui l'on attribuera une cote, chaque cote correspondant parexemple à une nature d'interférence. La nature des repères pou-vant changer selon les supports, il est bien évident que l'on 10654~6 peut les distinguer 0n fonction même de leur nature, on peut en-visager de les distinguer par une géométrie ou par des caractéris-tiques physiques qui peuvent être elles-mêmes digitales ou analo-giques et on peut fort bien concevoir la définition d'une cote par la mesure d'une grandeur liée au repère (magnétique, optique, e-lectrique ou autre).
Pour mieux faire comprendre les caractéristiques tech-niques et les avantages de la présente invention on va en décrire des exemples de réalisation étant bien entendu que ceux-ci ne sont pas limitatifs quant à leur mode de mise en oeuvre et aux applications qu'on peut en faire en se reportant aux figures sui-vantes:
Les figures 1 à 4 et 9 à 12 représentent des signes co-dés suivant l'invention.
La figure 5 représente un premier mode de réalisation de deux supports suivant l'invention.
La figure 6 représente un exemple de symbole codé sui-vant l'invention.
Et les figures 7 et 8 représentent un second mode de réalisation de supports suivant l'invention correspondant à deux spécialités pharmaceutiques choisies sur un marché déterminé.
EXEMPLE 1 - Sur des cartes rectangulaires en matière transparente non extensible mais éventuellement souple, on déter-mine un quadrillage en coordonnées cartésiennes, dont chaque point d'intersection peut être considéré comme une adresse. On fait correspondre une carte et une adresse à chaque spécialité de sorte que l'on puisse sur une carte correspondant à une spécialité don-née porter aux autres adresses des signes correspondant à des in-terférences, soit avec d'autres spécialités aux adresses prévues à cet effet, soit avec des conditions d'emploi telles qu'énumérées plus haut en d'autres adresses prévues en conséquence.
On peut porter sur cette carte des signes opaques ou 1065~W
translucides ou colorés dont la forme correspondra à chacune des cotes que l'on peut matérialiser.
La figure 1 représente agrandie une série de tels si-gnes. Par exemple, le signe 1 est celui porté à l'adresse cor-respondant à la spécialité correspondant elle-même à la carte.
Le signe 2 correspondra par exemple à la cote 1, le signe 3 à la cote 2 et ainsi de suite.
L'expérience montre que l'on distingue très aisément une douzaine de signes tels que 2, 3 ou 4 composés d'une partie annulaire venant lorsqu'on la superpose à un signe tel que 1, se placer à la périphérie de 1, des ergots 6 faisant saillie par rap port aux anneaux. Si les 12 positions d'ergots sont espacées de 30, comme les chiffres d'un cadran d'horloge, on en distingue aisément la position, par exemple à la figure 2, on retrouve au-tour d'un signe tel que 1, un certain nombre d'annea~ superposés 5 et des ergots 2, 3, 7 et 8 correspondant à des cotes aisément identifiables si, par exemple, comme on l'a dit à propos de la figure 1 l'ergot 2 correspond à la cote 1 (position 12 sur une horloge), l'ergot 3 correspond à la cote 2, l'ergot 7 à la cote 4, l'ergot 8 à la cote 9.
Lorsque le praticien choisit dans sa collection de car tes celles correspondant par exemple à quatre spécialités qu'il désire prescrire, aux quatre adresses correspondant aux quatre spécialités apparaîtront des signes tels que 1 éventuellement entouré d'anneaux présentant un ou plusieurs ergots, qui plus est, si anneaux et ergots sont colorés ils sont encore plus fa-cilement identifiables, on conc,oit d'ailleurs qu'avec douze posi-tions d'ergots et 8 ou 9 couleurs différentes on pourrait même augmenter considérablement le nombre de cotes possibles pouvant être matérialisées en une même adresse.
Si on prévoit également des cartes correspondant aux différentes caractéristiques du sujet (homme, femme, de 20 à 30 ans, femme enceinte, femme sujette à certaines allergies, homme 10~;54~6 vivant dans les pays chauds, etc...), on peut connaître les in-terférences des spécialités prescrites aux adresses correspon-dant aux caractéristiques du sujet.
On peut pour faciliter la lecture prévoir un cadre dans lequel on peut insérer les différentes cartes de façon à
ma;ntenir le quadrillage correctement superposé et éclairer l'en-semble en lumière de Wood, les signes étant constitués avec des matières adéquates.

Dans le présent exemple on a imaginé un système en co-ordonnées cartésiennes, mail il est évident que l'on peut tra-vailler avec d'autres systèmes de coordonnées. On peut égale-ment envisager d'autres formes de signes avec ou sans coloration.
EXEMPLE 2 - On peut également travailler sur des car-tes opaques présentant des perforations telles que 12, 13 ou 14 présentant des ergots vers l'intérieur 6, le diamètre des diffé-rentes perforations étant sensiblement le même.
En superposant les cartes correspondant aux spécialités envisagées et en regardant par transparence, on verra aux adres-ses correspondant aux spécialités une perforation à l'intérieur de laquelle apparaissent des ergots tels que 17, 18, l9 et 20.
Corr~e à l'exemple 1 on peut envisager des adresses pour les con-ditions d'emploi ou les caractéristiques du sujet.
EXEMP_E 3 - La figure 5 représente schématiquement deux cartes rectangulaires A et B, de préférence en matériau transparent et semi-rigide, c'est-à-dire à la fois souple, mais présentant une bonne constance dimensionnelle de façon à permet-tre à la carte de retrouver ses dimensions exactes même si elle a pu être courbée ou voilée volontairement ou accidentellement.
La carte A correspond à un élément A, la carte B à un élément B. Elles sont toutes deux ordonnées suivant un quadril-lage couvrant toute la surface de chaque carte et schématiquement représenté par les pointillés. Les dimensions des cartes et des 10~5~6 quadrillages doivent permettre une superposition de A et de B et une correspondance aussi parfaite que possible des deux quadril-lages et des bords des cartes.
On peut éventuellement se contenter d'une bonne super-position des quadrillages si les cartes sont munies de moyens de reperaae tels que des signes ou des perforations adéquates. Ceci peut être utile si après un long usage les bords et les coins des cartes risquent d'atre usés. On peut également, comme il est classique de le faire dans le domaine des cartes perforées pour calculatrices électroniques, biseauter un coin pour s'assurer que les cartes sont toutes disposées correctement dans le fichier ou au moment de l'opération de comparaison et arrondir les autres coins pour éviter leur détérioration.
En supposant que les cartes du type A et B sont desti-nées à l'étude des interactions dans le domaine de la médecine et de la pharmacie, on va diviser géographiquement les cartes en un certain nombre de zones marquées C, P et R délimitées par les traits mixtes. Les pointillés du quadrillage et les traits mix-tes délimitant les zones peuvent être matérialisés ou non sur la carte.
Chacune des intersections des quadrillages constitue une adresse d'information et les zones C, P et R sont identiques d'une carte à l'autre de facon à contenir les mêmes adresses. On réserve la zone C aux constituants des éléments A et B c'est-à-dire à l'unité ou au groupe d'unités constituant l'élément.
Si l'élément A ou l'élément B sont par exemple des médi-caments, les diverses unités peuvent être le ou les constituants principes actifs ou excipients. Si, par contre, on préfère avoir des cartes où A et B ne sont pas les spécialités, mais unique-ment les constituants, les unités peuvent correspondre aux diver-ses fonctions du principe actif par exemple aux fonctions de la molécule.

10654~
On supposera dans ce qui suit que A et B sont des spé-cialités médicamenteuses et qu'à chaque adresse correspond un constituant de la spécialité:
a, a', a" pour la spécialité A; b, b' pour la spécialité B.
On porte sur la carte A, aux adresses choisies pour a, a'I a" des svm~oles ou des signes codés qui indiquent qu'à cha-cune de ces adresses de la carte A se trouve enregistrée une ca-ractéristique ou donnée propre à l'élément A. On a choisi ici d'enregistrer les constituants, mais on pourrait concevoir égale-ment d'enregistrer en outre, dans une zone particulière le dosa-ge ou la forme sous laquelle peut être administré le médicament.
Par simplification, la figure porte non pas le symbole codé, mais les références a, a', a" aux adresses choisies. De mame sur la carte B on a porté les symboles b, b' correspondant aux principes actifs de B.
Sur la carte A, en dehors des adresses de caractéris-tiques ou de données propres, toutes les autres adresses de la zone C peuvent correspondre à tous les autres principes actifs de l'ensemble des spécialités considérées ayant donné lieu à un ensemble de fiches telles que A et B. On a intérêt, bien enten-du, à garder un certain nombre d'adresses libres pour les nou-; velles spécialités à apparaître sur le marché. Il est également intéressant, pour des raisons de commodité et pour permettre d'é-ventuelles vérifications, de regrouper dans des sous-zones, à
l'intérieur de la zone C, des principes actifs d'une meme famille:
par exemple tous les antibiotiques, l'acide acetyl salicylique et ses dérivés etc... De la sorte, sur les autres adresses de la zone C de la carte A attribuées aux principes actifs autres que a, a', a" on peut porter des symboles parmi lesquels rb, rb,, qui correspondent aux caractéristiques relationnelles suscepti-bles d'exister entre les composants de l'élément A et ceux de l'élément B.

lOt;S41~;
De même sur la carte B apparaîtront des familles de si-gnes ou de symboles parmi lesquels ra,ra " ra" correspondant aux caractéristiques relationnelles susceptibles d'exister entre les composants de l'élément B d'une part et ceux de l'élément A et ses unités d'autre part.
Ces caractéristiques relationnelles peuvent correspon-dre à des interactions de toute nature et en particulier à des incompatibilités ou à des interférences.
Il est évident que si une caractéristique relationnelle entre A et B apparaît sur la carte A, on doit trouver la même au moins une fois sur la carte B. Par exemple, si le signe rb de la carte A correspond à une interférence chimique entre le principe actif a et le principe actif b, on retrouve sur la carte B le si-gne ou le symbole ra correspondant à rb.
rb se retrouvera en A à la même adresse que b en B, ra se retrouvera en B à la même adresse que a en A. Les signes ou symboles codés enregistrés aux différentes adresses peuvent etre tels que ceux décrits ci-des~us.' Avec chaque jeu de cartes doit donc être présenté un tableau d'une part des adresses et d'autre part des cotes: par exemple, la cote 0 correspond à un premier symbole ou à un premier signe codé que, par commodité, on appellera également O corres-pondant par exemple à l'absence de toute caractéristique propre ou relationnelle. Ce serait le cas dans le présent exemple s'il y avait une parfaite neutralité des constituants de l'élément A
avec l'élément b'.
Cela peut se traduire en rb de la carte A par un signe ou synbole 0 qui peut même se traduire par 1'absence de toute en-registrement de signe à l'adresse correspondante. La cote 1 cor-respondant à un signe ou à un symbole 1 peut correspondre elle-même à une caractéristique propre telle qu'en a, a' ou a" sur la carte A, soit en b, b' sur la carte B. De même les autres cotes 10~5~
2, 3, 4, etc... peuvent correspondre aux diverses caractéristi-ques relationnelles, il eqt évident que pour éviter des erreurs on peut porter en plus clair sur les cartes, par exemple à leur bord supérieur, le nom ou les diverses dénominations possibles de l'élément correspondant et des diverses unités le constituant, c'est-à-dire dans le cas du présent exemple le nom ou les noms de la spécialité et le nom ou les diverses dénominations chimiques ou commerciales des différents principes actifs.
La zone P peut être réservée à des adresses correspon-dant aux différentes caractéristiques du patient (age, sexe, tail-le, race, caractère héréditaires, maladie etc...). On peut même envisager de faire des cartes P sur lesquelles on porte les ca-racteristiques propres au patient quitte à porter dans les zones les interactions ou sensibilisations que l'on pourrait connaî-tre.
Sur les cartes A et B c'est-à-dire sur celles corres-pondant aux spécialités, on doit donc porter dans la zone P des caractéristiques relationnelles pour indiquer par exemple que tel médicament convient à des nourissons, mais pas à des personnes âgées et inversement, que tel autre est incompatible avec des dia-bétiques ou des femmes enceintes etc... Ceci se traduira par des signes relationnels rp, rpj ou rp".
En ce qui concerne la zone R, elle peut être réservée au régime alimentaire ou aux conditions de vie du patient. De même que pour la zone P, on peut indiquer en R si le patient vit dans telle ou telle condition climatique, en milieu urbain ou en milieu rural et effectue un travail intellectuel ou manuel. On indiquera de même sur les cartes telles que A ou B dans la zone R, les interactions possibles avec tel ou tel mode de vie, par exem-ple interférences entre une substance active et l'ingestion d'al-cool, cela donne lieu à des signes ou symboles relationnels rr, rrl .
Il est intéressant de noter que si lorsque l'on superpo-i5~

se ou que l'on compare les cartes correspondant aux spécialités prescrites par le médecin A, B et la ou les cartes P, R corres-pondant aux caractéristiques propres du patient et à son régime de vie, on retrouvera aux adresses correspondant aux caractéris-tiques propres des constituants des éléments choisis les carac-téristiques relationnelles entre ces éléments aux mêmes adresses sur chacune des autres cartes ainsi sélectionnées.
Il se peut d'ailleurs que l'on trouve à la même adresse des signes ou symboles codés correspondant à des cotes différen-tes ou même à des mêmes cotes ce qui peut renforcer ou atténuerl'appréciation des praticiens dans le choix ou le rejet d'une spécialité ou d'une substance active. Cela peut permettre égale-ment de remarquer si, dans plusieurs spécialités prescrites, on ne retrouve pas à plusieurs reprises le même principe actif ce qui se traduit par la superposition à la même adresse de plusieurs signes ou symboles de caractéristiques ou de données propres.
Si, comme on l'a dit au début de cet exemple, les car-tes sont transparentes, il est aisé de les superposer, de les faire coincider et de retrouver superposés aux signes de caracté-ristiques propres les signes de caractéristiques relationnelles.
EXEMPLE 4 - On peut envisager un système de cartes du même type que celles de l'exemple 3, mais dans lesquelles on fait correspondre l'ensemble de la carte-support à un principe actif ou à un groupe de principes actifs et les différentes adresses aux spécialités. Ceci peut permettre notamment de retrouver ai-sément toutes ~s spécialités ou groupes de spécialités comprenant un même principe actif ce qui peut permettre soit d'éviter un double emploi soit au contraire de rechercher des effets addition-nels voire synergétiques, soit encore de faire une recherche du type documentaire ou d'analyse de marché. Au moyen des symboles codés selon les cotes, on peut de plus, matérialiser des dosages, formes d'administration, associations avec d'autres familles de 10~S4~6 médicaments et autres caractéristiques relationnelles.
EXEMPLE 5 - En se replac~ant dans les conditions de 1'ex-emple 3, on rappellera que l'on peut éventuellement jouer sur les colorations des signes à enregistrer. Si, par exemple, la capa-cité de la carte permet de consacrer un élément de surface corres-pondant à chaque adresse de taille suffisante pour qu'on puisse faire ce qui suit, on peut utiliser des signes ou symboles tels que décrits ci-dessous. Si, par contre, la capacité et les di-mensions de la carte ne lais~ent qu'un espace à chaque adresse pour que l'oeil distingue difficiIement les détails, on peut ren-voyer à un élément agrandi situé soit sur un autre support, soit sur le même support dans une zone laissée libre par exemple dans la marge.
La figure 6 représente un symbole de ce type pouvant être utilisé soit à chaque adresse soit avec renvoi si on désire l'agrandir pour le rendre plus lisible. Le dessin de la figure 6 est lui-même agrandi pour des raisons de commodité. Le signe symbolique représenté a une forme générale carrée partagée en quatre par deux lignes orthogonales, cette disposition peut se généraliser à toute autre forme et à un nombre quelconque de divi-sions du moment que cela reste lisible ou discernable à l'oeil ou par tout moyen adéquat.
Ceci permet pour un même symbole réparti en n zones (ici 4) de prévoir des sous-symboles dans chacune des zones, c'est-à-dire de multiplier par 4, pu plus généralement par n, le nombre des dimensions de cotes. Si par exemple dans le cas des interac-tions en matière de produits médicamenteux on dispose des 4 zones, on peut prévoir par exemple la zone 21 pour les interactions phy-siques, la zone 22 pour les interactions pharmacologiques positi-ves, la zone 23 pour les interactions chimiques et la zone 24pour les interactions pharmacologiques négatives.

1~ --iO~;S4~

Dans la phrase précédente on a employé le mot interac-tions qui est le cas le plus fréquent, mais cela peut tout aussi bien s'appliquer à toute autre caractéristique relationnelle tin-compatibilité, interférence, etc.).
Chacune des zones 21 à 24 peut faire l'objet de colora-tion fonction des cotes choisies. On peut d'ailleurs non seule-ment faire varier la couleur choisie, c'est-à-dire le spectre de longueur d'onde, mais l'intensité ce qui correspond sur un sup-port lui-même transparent à la transparence du symbole coloré.
Cette transparence du symbole coloré peut être obtenue soit en réduisant l'intensité du colorant ou l'epaisseur de la couche, soit en recourant à des dessins réguliers plus ou moins fins ou plus ou moins espacés.
Chaque élément de dessin ~un trait par exemple) peut correspondre par une couleur à un constituant donné, ce qui peut permettre d'expliciter selon la zone dans laquelle il se trouve quelle nature d'interaction entraîne chaque constituant. Ces di-vers systèmes permettent lors de superpositions de plusieurs sup-ports d'augmenter l'intensité en réduisant la transparence de l'ensemble soit de faire apparaître une coloration intense par superposition de supports présentant une même coloration atténuée ce qui correspond en pratique par exemple à différentes spéciali-tés comprenant le même composant et plus spécialement le même principe actif, chacun à dosage calculé pour la formule de la spécialité, mais pouvant donner, si elles font l'objet de la même prescription, à un dosage total plus fort dont il faut tenir comp-te.
Si,par exemple, comme il est indiqué à la figure 2, les signes symboliques dans chacune des zones se traduisent par des rayures plus ou moins serrées, mais de directions différentes d'un carré à l'autre, elles améliorent tout d'abord la lisibilité

c'est-à-dire la distinction entre les différentes zones 21 à 24 10654~6 du même symbole, mais cela peut permettre également de renvoyer à des observations ou commentaires portés en marge du support dans la direction des différentes flèches correspondant aux di-verses natures d'interactions énumérées ci-dessus.
Le recours à un sygt~me de rayures permet de plus, lors de la superp~sition, de distinguer des rayures directionnelles de couleurs identiques à celles des symboles représentant les co~
posants principes actifs ou équivalents tout en permettant néan-moin~, si les rayures ~e superposent dans une certaine mesure, de jouer sur l'addition des couleurs tout en donnant une signifi-cation codée à la fois aux couleurs simples et aux couleurs com-posées par superposition.
EXEMPLE 6 - Dans cet exemple, on décrit une réalisation particulière destinée à s'appliquer à l'ensemble des spécialités pharmaceutiques constituant un marché défini, ici le marché fran-çais, choisi à titre illustratif.
Danq ce cas, on a relevé et classé l'ensemble des prin-cipes actifs et autres composants de l'ensemble des spécialités françaises.

Une collection de fiches semi-rigides, de préférence transparentes et rectangulaires, est constituée chacune corres-pondant à une spécialité au sens large du terme, une seule fiche peut éventuellement correspondre à plusieurs modèles de presen-tation, à plusieurs dosages ou même à plusieurs formes pharmaceu-tiques.
Chaque fiche porte les références du médicament considé-ré et le nom du fabricant. Par ailleurs, sont également indiqués les principes actifs ou, plus généralement, tout composant pou-vant entrainer interactions ou effets secondaires.
Une matrice de référence, ici en coordonnées cartisseurs, se présente sous la forme d'un rectangle de 100 mm de longueur sur 50 mm de largeur.

~06548~

On fait figurer sur cette matrice:
1. les principes actifs composant la spécialité et leurs classes pharmacologiques principales et éventuellement secondaires.
2, leurs interactions, et la signification de celles-ci, avec les autres principes actifs.
3. les éventuelles interférences de ces principes actifs avec certains aliments, boissons et produits absorbés par les voies respiratoires et d'autres facteurs d'environnement tels qu'enso-leillement, climat, altitude, etc.
4. les possibles modifications de ces formules sur des examens paracliniques standards (essentiellement biologiques) en distin-guant les effets nécessitant une surveillance de ceux qui pertur-bent les données.
5. les effets indésirables fréquents ou rares.
6, les contre-indications et les précautions d'emploi en rela-tion avec les caractéristiques du patient tels que: âge, sexe ou états pathologiques, ainsi que les voies ou les modes d'admi-nistration.
Des fiches individuelles par spécialité sont réalisées sur support transparent à partir d'une matrice identique. En superposant deux ou plusieurs fiches correspondant aux spéciali-tés prises au cours du même traitement, l'ensemble des informa-tions apparaît immédiatement en lecture globale et en particulier les interactions éventuelles et leurs significations les plus courantes.
Cette matrice est constituée par:
- 40 colonnes utilisables - 07 colonnes libres pour la mise à jour - 03 colonnes où est notée l'appartenance éventuelle à une ou des classes pharmacologiques "secondaires".
A chaque classe pharmacologique est affecté un nombre de lignes fonction du nombre de principes actifs de la classe, ~065486 soit X. Ce nombre est donc congru à X modulo 40.
Les principes actifs occupent les 75 premières lignes de la fiche mère. Les trois colonnes restées libres sont utili-sées pour indiquer si éventuellement un ou plusieurs principes actifs d'une spécialité ont une appartenance à telle ou telle classe pharmacologique secondaire.
Sur les fiches établies par spécialité, les principes actifs sont notés par un cercle (code descriptif) plusieurs cou-leurs étant utilisées si la spécialité comprend plusieurs princi-pes actifs, lorsqu'un principe actif appartient à une ou des classes secondaires, il est en outre positionné par un tiers de cercle de même couleur à la ou aux lignes correspondantes à cette ou ces classes et dans l'une des trois colonnes prévues à cet effet.
B - Interférences entre principes actifs (ligne 1 à 75) Chaque interférence est notée sur la fiche du principe actif par un code relationnel variable suivant le sens de cette interféren-ce.
Association à éviter -Potentialisation ; Diminution d'effet Interférence d'une autre nature I
C - Aliments, boissons et facteurs d'environnement (lignes 76-77-78) Nous avon~ retenu trois lignes de la matrice.
L'interaction d'un aliment ou d'un facteur d'environnement avec un principe actif est indiquée par un code relationnel identique à celui utilisé pour les interférences.
D - Examens paracliniques standards (lignes 79-80-81) Il s'agit essentiellement de tests paracliniques figurant à une nomenclature d'actes de biologie médicale auxquels on peut ajou-ter certains examens de pratiques courantes tels que:

~06S4~6 - Electrocardiogramme - Electroencéphalogramme - Fond d'oeil et champ visuel - Audiogramme Dans la création d'une fiche, chacun de ces items pourra être codé
de deux manières suivant que:
- l'effet du médicament apporte des perturbations con-tingentes, le code est alors P.
- ou qu'au contraire il s'agit d'un facteur important dans la surveillance paraclinique, le code est alors S.
E - Effets indésirables (lignes 82-83-84-85) Ces effets indésirables ont été regroupés et classés par organes et ensembles de syndromes pathologiques.
Chacun de ces items est codé de deux manières différentes:
- s'il est fréquent: F
- s'il est rare: R
F - Contre-indications et précautions d'emploi (ligne 8~ à 10~) Ce chapitre regroupe les caractéristiques du malade, les voies ou les modes d'administration pouvant constituer:
- soit une contre-indication, codée: e - soit une simple précaution d'emploi, codée: Z
A chaque point de la matrice de référence on peut donc - aisément faire correspondre un composant actif, éventuellement un autre composant, ou toute autre donnée relative par exemple aux patients ou à leurs conditions de vie, tout en réservant, un certain nombre d'adresses pour l'avenir (notamment pour les nou-veaux produits).
Sur chaque fiche, comme on l'a dit plus haut, on fait apparaître les noms ou autres dénominations des principes actifs et autres composants éventuels, après chacun d'eux, on indique autant que possible l'adresse correspondante sur la matrice. Par exemple, 10f~54~;

sur la figure 7 qui représente la fiche correspondant à la spécia-lité connue dans le commerce sous la dénomination "A~pirine vita-mine C de la marque ou dénomination Ml produite par le laboratoi-re Ll" on a indiqué les noms des deux principes actifs.
1'') l'acide acétylsalicylique repére sur la matrice par son adresse ordonnée: 8 et abcisse: 39.
2) l'acide ascorbique repéré sur la matrice par son adresse ordonnée: 32 et abcisse: 16.
De même à la figure 8 correspondant à la spécialité
connue dans le commerce sous la dénomination M2, produite par le laboratoire L2, le principe actif est repéré par son adresse sous une forme analogue: probenecide 35-23.
Il est recommandé sur la matrice commune, ou matrice mère, de grouper les composants actifs d'une même famille dans u-ne même zone, par exemple sur une même ligne. Ainsi, on réparti-ra les ordonnées en attribuant une ou plusieurs lignes par famil-le:
1 - Anesthésiques généraux 2- Anesthésiques locaux 3 - Hypnotiques 4 - Antiépileptiques, etc.
De même, ces familles seront elles-mêmes regroupées en familles plus larges, par exemple:
- 1 à 11 dépresseurs du système nerveux central - 12 à 14 stimulants du système nerveux central - 15 à 17 médicaments du système nerveux végétatif, etc Comme on 1'~ dit plus haut, pour faciliter le repérage, les symboles ou signes relationnels sont, dans chaque cas de la meme couleur que le cercle correspondant. Il est à remarquer que sur les figures jointes réalisées en noir sur fond blanc, on in-troduit une confusion entre les couleurs des divers signes ou ~06S4~6 symboles qui n'existe pas en réalité.
Pour faciliter la reconnaissance, on peut préférentiel-lement suivre un code de couleurs correspondant à l'ordre d'énu-m~ration des principes actifs sur la fiche de la spécialité.
A la figure 7, on a porté des signes suivants qui cor-respondent aux interactions avec les produits ou familles dont les adresses sont indiquées. On a omis par simplification tous les signes correspondant aux effets secondaires. Sur la matrice type ou matrice mère, on a réservé les abcisses 1 à 3 sur toute la hauteur des ordonnées pour ces derniers, mais il est bien é-vident que l'on peut aussi bien, sans sortir du cadre de la pré-sente invention, réserver à cet effet toute autre zone de la ma-trice.
Signes correspondant à l'acide acétylsalicylique et tous de même couleur:
- type A - interactions avec anorexigènes 12,4 à 12,22 IMAO 14,4 à 14,14 neuroleptiques 6,4 à 6,44 procai`ne 2,31 antiparkinsoniens 5,4 à 5,17 anticoagulants (oraux) 26,3 à 26,22 corticostéroi'des 34,4 à 34,22 phénylbutazone 8,34 salicyles 8,38 à 8,50 sauf 8,39 (acide acétylsalicyli-que) uricosuriques 35,22 à 35,24 - type B - interactions avec phénobarbital 3,21 - type C - interactions avec acide paraminobenzoique 38,41 ~0654~

antithyroidiens 31,11 à 31,21 PAS 39,13 - type D - interactions avec diphénylhydantoi'ne ou phénytoi`ne 22,8 sulfamides 4,13 à 4,18 29,6 à 29,15 36,4 à 36,44 pénicillines 37,4 à 37,20 thyroxine 31,9 signes correspondant à l'acide ascorbique et tous d'une seconde couleur.
- type B - interactions avec:
antipyrine ou phénazone 8,33 atropine 17,5 barbituriques 1,12 à 1,15 3,4 à 3,26 salicyles 8,38 à 8,50 (8,39 correspond à l'acide acétylsalicylique, au-tre substance active de ladite spécialité) sulfamides mêmes adresses que ci-dessus.
A la figure 8 sont portés les signes ou symboles sui-vants qui correspondent aux interactions avec la substance active de la spécialité considérée (probénécide) - type A - interactions avec érythromycine 38,22 - type B - interactions avec acide étacrynique 27,42 30 - type C - interactions avec allopurinol 35,25 - type D - interactions avec endométacine 35,20 PAS 39,13 10654~
pénicillines et sulfamides même adresses que ci-dessus.
Pour des raisons de simplification, on n'a pas fait figurer dans cet exemple les autres signes symboliques correspon-dant aux effets secondaires ou latéraux, aux conditions de l'en-vironnement, aux caractéristiques propres du patient, etc...
Toutefois, il peut être avantageux de faire apparaitre sous la forme d'arcs de cercles (tiers de cercles par exemple) de la même couleur que celle choisie pour le principe actif con-sidéré, l'appartenance à une classe pharmacologique autre quecelle retenue pour positionner le produit sur la matrice mère.
Par exemple, 1'aspirine symbolisée par un cercle plein dans la classe des antalgiques peut apparaître sous forme d'arcs dans les classes des anti-inflammatoires, des antipyrétiques ou des anti-agrégants plaquettaires.
Si par exemple on a réservé les abcisses 4 à 50 d'une ligne de la matrice mère à une famille de composants actifs, on pourra utiliser l'espace libre correspondant aux abcisses 1 et 3 pour faire figurer les arcs de cercles correspondant aux effets secondaires. De la sorte on pourra voir se placer côte à côte des axes correspondant aux divers composants d'une même spéciali-té ou de plusieurs spécialités si l'on superpose des fiches ce qui pourra prendre l'aspect d'une série de signes ~((( sans tenir compte du quadrillage de la matrice en ce qui concerne les abcis-ses. On peut donc ainsi faire apparaître les cumulations d'ef-fets pharmacologiques principaux et/ou secondaires, ce qui pourra permettre d'expliquer certaines-réactions du type dépassement de doses jusqu'à présent demeurées inexpliquées.
Ainsi donc en superposant deux ou plusieurs fiches transparentes telles que celles des figures 1 et 2, de facon à
faire coincider les axes de coordonnées et par conséquent les ma-trices si les fiches correspondent aux spécialités prescrites iO~S4~6 pour un traitement, les signes ou symboles codés qui se superpo-sent aux cercles correspondant aux adresses des principes actifs ou composants à prendre en considération, correspondent à des in-teractions dont la nature est définie ci-dessus et que l'on a dé-signée par cote.
Comme on l'a souligné, ceci permet de faire une remar-que d'ordre général, une double correspondance devant toujours exister: si le principe X a une interaction avec le principe Y
on doit la retrouver aussi bien à l'adresse de X sur la fiche cor-pondant à Y, qu'à l'adresse de Y sur la fiche X.
Cette correspondance peut ne pas être identique: parexemple, X peut diminuer l'activité de Y, sans que la sienne pro-pre soit elle-même diminuée.
Ainsi les supports conformes à l'invention permettent une auto-vérification permanente de leur exactitude car le fait qu'une information n'apparaisse pas en double lors de l'utilisa-tion des supports correspond à une erreur ou à un oubli de mise à jour.
Chaque fiche peut être accompagnée 90US toutes forme adéquate, par des précisions complémentaires utiles sur le méca-nisme des interactions signalées, leur signification, ainsi que les références bibliographiques.
En particulier, il est avantageux que chacune de ces fiches soit contenue dans un porte-fiches simple, du type chemise en bristol ouverte facilitant le classement et la consultation, où sont figurées en clair:
- au recto, des informations générales sur le produit reprenant les données légales dans un ordre identique pour toutes les fiches établies dans une suite et un regroupement l'un et l'autre logiques et d'intérêt pratique pour l'utilisateur.
- à l'intérieur, la transcription en clair des interfé-rences, des effets et autres données figurant en code sur les fi-~ of~4~G
ches transparentes.
Ainsi, lorsque les praticiens disposeront des fiches correspondantes, leur prescription pourra être facilement et ra-pidement réexaminée par eux-mêmes et les interactions ou les ef-fets indésirables évités par un effort d'attention unique assu-rant la révision de leur prescription de base et par conséquent non générateur de perte de temps dans la pratique quotidienne.
A partir de cette nouvelle base, les modifications ul-térieures de leur prescription interviendront au fur et à mesure des besoins et des nouvelles données remises sous la forme, soit de fiches additionnelles portant sur des produits nouveaux, soit de renouvellement de fiches, soit encore d'additions qu'ils au-ront transcrites eux-mêmes à l'occasion d'une lecture ou d'une information dans l'attente d'un "renouvellement-mise à jour".
EXEMPLE 7 - On peut procéder comme à l'exemple 1, mais constituer le support par procédé photographique par exemple en microfilms. Il est possible alors non seulement de porter des signes aux différentes adresses mais également d'inclure sur la carte des textes permettant à l'utilisateur de trouver des com-mentaires ou des indications en fonction du poids et de l'âge du patient.
Le procédé photographique permet de plus l'enregistre-ment sur un film ou un microfilm, le tableau représentant le sup-port en grand et sur lequel il est plus aisé de porter les signes aux adresses voulues. La superposition des clichés peut se faire aisément par voie optique par exemple par projection soit de cli-chés superposés derrière un même objectif de projection, soit par un objectif de projection pour chaque cliché, les différentes images projetées étant superposées sur un écran commun.
EXF,MPLE 8 - Sur un support constitué par une carte rec-tangulaire de préférence rigide ou semi-rigide et portant une cou-che dite magnétique, on détermine des adresses correspondant à un iO65486 quadrillage selon des coordonnées rectangulaires et l'on enregis-tre par tout procédé classique des signaux magnétiques aux adres-ses correspondant aux spécialités et aux caractéristiques voulues.
Il existe de nombreuses techniques d'enregistrement per-mettant une grande précision dans les adresses et une grande va-riété dans la forme ou l'intensité des signaux ce qui permet de déterminer à chaque adresse un nombre de cotes non négligeable.
Ainsi avec des cartes classiques, on dispose le plus souvent de 5.000 adresses auxquelles on peut affecter un carac-tère choisi parmi un ensemble d'au moins 25 symboles différentscodés suivant l'invention.
Chaque carte correspond par exemple à une spécialité
pharmaceutique et peut être avantageusement contenue dans un porte-fiches analogue à celui décrit dans l'exemple 6.
Selon une variante, on utilise une bande magnétique de type courant dont la capacité est analogue à celle de 25 à 200 cartes magnétiques décrites ci-dessus. Chaque bande peut alors concerner soit une classe thérapeutique de médicaments, soit être affectée à un en~emble de spécialités d'un laboratoire déterminé, soit à toute autre classification souhaitable.
Un des avantages des supports magnétiques réside dans le fait que ces supports peuvent être modifiés sans problème technique important, notamment lors de la mise en évidence de nouvelles interférences, ces modifications se faisant à partir de dispositifs analogues à ceux des machines à écrire à mémoire ac-tuellement disponibles.
La mise en oeuvre du procédé selon l'invention dans le cas de supports magnétiques peut se faire de la fa~on suivante, que le support soit une bande, une carte ou un disque.
La carte ou la portion de bande affectée à une première spécialité est introduire dans une unité de lecture comprenant une mémoire centrale et dans le cas d'une bande un clavier de com-iO~541~6 mande permettant de sélectionner les adresses de la spécialité
considérée. Les caractéristiques se trouvant aux adresses de cette spécialité passent alors dans la mémoire centrale.
On introduit de même les caractéristiques des adresses d'une seconde, troisième, etc... spécialité en les superposant de fac,on précise aux adresses de la première spécialité grace a un système de synchronisation.
I1 suffit ensuite de restituer l'ensemble des caracté-ristiques superposées correspondant par exemple aux interférences entre les spécialités considérées en ressortant ces caractéris-tiques de la mémoire centrale sur une unité de lecture, tel qu'un écran cathodique, éventuellement muni d'un dispositif permettant la reprographie des informations lues sur l'écran, une table tra-,cante ou encore une imprimante classique.
Ce type d'enregistrement permet des retransmissions à
distance, des reproductions aisées et des comparaisons d'un grand nombre de supports à l'aide d'un matériel facilement réalisable par l'homme de l'art à partir d'élément classiques.
On peut procéder également électriquement et non magné-tiquement et faire varier les signaux en fonction de la cote de fa~con digitale ou analogique.
Des dispositifs tels que ceux décrits dans les exemples précédents peuvent trouver nombre de variantes et d'applications.
En ce qui concerne ces dernières le domaine de la méde-cine et de la pharmacie offre de nombreuses possibilités. On peut, par exemple étudier d'autres problèmes que les interfe~ren-ces, on peut également par exemple, dans le domaine de l'homéopa-thie, étudier les prescriptions compte tenu de la constitution ou du type d'individu.
Toujours en ce qui concerne le domaine des applications, on peut étudier de fa,con précise le problème important en médeci-ne et en pharmacie de la superposition des doses et par ailleurs et séparément et en combinaison, le problème de l'alimentation :10~;5486 notamment pour les bébés.
Ainsi sur un plan général, lorsqu'on désire mettre en évidence les interactions existant entre un principe actif d'une spécialité et l'ensemble des principes actifs des autres spécia-lités appartenant à un marché défini, par exemple le marché fran-~ais, on constate qu'une même spécialité peut exister sous diffé-rentes formes pharmaceutiques (pommade, comprimés, gelules, am-poules, etc.) et différents dosages destinés à des voies d'admi-nistration diff~rentes.
Or, les interactions existant entre les principes actifs d'une spécialité et ceux des autres spécialités varient souvent considérablement avec les caractéristiques énumérées ci-dessus.
De plus, les interactions éventuelles entre les compo-sants actifs de plusieurs spécialités peuvent varier en fonction de la posologie prescrite et en particulier de la simultanéité ou non des prises, de leur fréquence et de la rapidité ou du retard de l'absorption ou de l'élimination des médicaments.
Il apparait par conséquent important de pouvoir tenir compte de ces données dans la mise en oeuvre du procédé et la ré-alisation du dispositif objet de l'invention tel qu'il a été dé-crit ci-dessus. Ainsi les signes symboliques peuvent être codés en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
Plus précisément, ce code peut etre fonction de la for-me pharmaceutique de la spécialité considérée, du dosage parti-culier de ses composants actifs, de sa voie d' administration, de sa posologie prescrite, en particulier de la simultanéité ou non des prises de cette spécialité avec celles des autres spécialités.
De plus, les si~es symboliques codés peuvent être le premier signe symbolique correspondant à l'adresse de chaque com-posant actif de la spécialité, ce premier signe symbolique étantun cercle centré sur le point d'intersection de la matrice corres-pondant à ladite adresse, ce cercle ayant une couleur propre au-~06S4~6 dit composant, ce premier signe symbolique pouvant posséder une portion de couleur différente de la couleur propre audit compo-sant, cette portion de cercle étant définie en fonction des ca-ractéristiques de la spécialité considérée.
Selon autre forme de réalisation, le codage du premier signe symbolique comporte un cercle centré sur le point d'inter-section de la matrice correspondant à ladite adresse, ce premier cercle ayant une couleur propre audit composant et un second cer-cle, pouvant être centré comme le premier cercle, mais de diamè-tre au plus égal au diamètre de ce premier cercle, dont au moinsune portion possède une couleur différente de la couleur propre audit composant, cette portion de cercle étant définie en fonc-tion des caractéristiques de la spécialité considérée.
D'autre part, les signes symboliques codés peuvent être ceux qui correspondent aux interactions, ces signes symboliques étant des segments de droite centrés sur lesdits points d'inter-section, dont la longueur correspond sensiblement au diamètre des-dits cercles et dont l'orientation correspond à un code prédéter-miné, ces segments pouvant posséder une portion d'une couleur différente de la couleur propre audit composant, ladite portion étant définie en fonction des caractéristiques de la spécialité

conslderee .
Une autre forme de réalisation du codage des signes symboliques relatifs aux interactions peut consister à utiliser d'une part les premiers segments de droite, centrés sur lesdits points d'intersection, dont la longueur correspond sensiblement au diamètre des cercles et dont l'orientation correspond à un co-de déterminé, ces premiers segments de droite étant de couleur propre audit composant et, d'autre part, des seconds segments, parallèles aux premiers et d'une longueur analogue, comportant au moins une portion de couleur différente de la couleur propre audit composant, cette portion de segment étant définie en fonc-~0~;54~6 tion des caractéristiques de la spécialité considérée.
En outre, les adresses des composants actifs peuvent être regroupées par zones correspondant aux familles de compo-sants actifs selon une matrice commune à l'ensemble des fiches, ces zones pouvant être regroupées elles-mêmes en plusieurs ré-gions. Chacune de ces régions peut comporter une zone d'adresse réservées aux effets secondaires, en particulier de façon à indi-quer que les composants peuvent appartenir en plus de leur adres-se propre à d'autres familles.

On peut porter aux adresses desdites zones réservées des signes symboliques des effets secondalres des composants cor-respondant à la fiche considérée.
Enfin, au moins une partie des fiches peut être telle que chaque fiche de cette partie est relative soit à une classe de spécialités ou de composants actifs, soit à un ensemble de spécialités ou de composants actifs susceptibles de traiter une ou un ensemble de maladies déterminées, soit à un type déterminé
de sujet.
EXEMPLE 9 - Les figures 9 et 10 représentent deux coda-. .
ges différents en fonction des caractéristiques d'une spécialitédes symboles figurant les composants actifs de cette spécialité
et portés sur la fiche correspondante à cette spécialité à leurs adresses respectives.
EXEMPLE 10 - Les figures 11 et 12 représentent deux co-dages différents en fonction des caractéristiques d'une spéciali-té des symboles figurant les interactions, c'est-à-dire les si-gnes relationnels définis dans le brevet principal et ses addi-tions.
Comme on l'a dit plus haut, les interactions éventuel-les entre les composants actifs des spécialités dépendront descaractéristiques de celles-ci, c'est-à-dire de leurs formes galé-niques, des dosages, des voies d'administration et des conditions S4~ ' de prescription.
A titre d'exemple d'interaction éventuelle en fonction de la forme galénique, on peut citer les glucocorticoi`des qui, s'ils sont utilisés en pommade dont l'excipient est pénétrant, sont susceptibles d'interagir avec des composants actifs d'une spécialité prise par voie générale, alors qu'avec un excipient non pénétrant, ces interactions n'apparaitront pas.
En ce qui concerne les interactions fonction de la po-sologie utili~ée, on peut prendre à titre d'exemple l'aspirine qui, à faibles doses, c'est-à-dire à raison de 0,5 à 1,5 grammes par jour, augmente l'hyperuricémie par blocage de l'élimination tubulaire de l'acide urique. Dans ce cas, il faut alors éviter d'associer l'administration de l'aspirine à faibles doses en me-me temps que celle des uricosuriques classiques.
Par contre, à fortes doses, c'est-à-dire au dessus de 3 grammes par jour, l'aspirine possède un effet uricosurique de sorte que ses interactions avec les spécialités comportant des uricosuriques ne sont plus à craindre.
Comme type d'exemple d'interaction fonction de la voie administration, on peut citer le cas des produits de la classe des pénicillines injectables tels que l'ampicilline, la méthicil-line, etc..., qui administrés dans la même seringue ou le même liquide de perfusion, inactivent les aminoglycosides tels que la kanamycine ou la gentamycine.
Par contre, lorsque ceux-ci sont administrés séparément ou par des voies différentes, par exemple l'un par voie intra-veineuse et l'autre par voie intramusculaire, l'inactivation ne se produit plus.
Comme type d'exemple d'interaction fonction de la pres-cription médicale et plus particulièrement de l'horaire des pri-ses défini par le prescripteur, on peut citer l'exemple du PAS
qui, s'il est absorbé conjointement avec l'isoniazide, inhibe ~(~ti5~
l'absorption digestive de celui-ci alors que cet effet disparaît lorsque les prises relatives à chaque principe actif sont espa-cées.
Par conséquent, les interactions éventuelles des princi-pes actifs d'une spécialité avec ceux des autres spécialités peu-vent être fonction de ce qu'on appelle dans la présente descrip-tion les caractéristiques des spécialités, ce terme englobant l'ensemble des facteurs du type décrit ci-dessus à titre d'exem-ple.
Selon ces perfectionnements, lés signes symboliques sont codés en fonction des caractéristiques de la spécialité à
laquelle ils se reportent.
Ainsi, par exemple, sur la fiche d'une spécialité com-portant de l'ampicilline sous la forme injectable, on peut coder le cercle porté à l'adresse réservée à l'ampicilline et dont la couleur est caractéristique de celle-ci, en colorant une portion de ce cercle d'une couleur différente, cette portion de cercle colorée différemment signifiant que sous la forme injectable, les interactions possibles avec certains composants actifs, en l'es-pèce les aminoglycosides sont fonction d'une administration simul-tanée dans la même seringue.
La signification de ce codage peut être précisée en tête de la fiche, à côté de l'énoncé de la spécialité telle qu'on l'a décrite ci-dessus.
De la même fa~con, les signes symboliques du code rela-tionnel peuvent être codés en réservant une portion des segments de couleur relatifs aux interactions, cette portion de segment étant d'une couleur différente fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
De la même fa,con, on peut utiliser deux cercles concen-triques ou deux traits superposés (figures 10 et 12) si l'on veu mettre en évidence d'une part, des interactions d'un principe lO~;S4~

actif avec les autres principes actifs et d'autre part, les vari-ations de ces interactions avec une ou plusieurs caractéristiques des spécialités qui les contiennent.
Bien entendu, le codage décrit ci-dessus n'est donné
qu'à titre d'exemple non limitatif, ce codage étant néanmoins par-ticulièrement satisfaisant en ce qu'il est simple et d'une lectu-re aisée et qu'il n'augmente pas le prix de revient de l'impres-slon .
EXEMPLE 11 - D'autre part on a décrit ci-dessus des fiches relatives à des spécialités pharmaceutiques conc,ues à par-tir d'une matrice mère dans laquelle chaque ligne comprend 50 abcisses.
On a par ailleurs indiqué que les adresses des compo-sants actifs pouvaient être regroupées par zones correspondant aux familles de composants actifs.
Enfin, on a mentionné la possibilité de réserver des zones aux effets secondaires, par exemple en réservant pour cha-que ligne corre~pondant à une famille de composants actifs, les abcisses 1 à 3 auxquelles on fait figurer deg arcs de cercle d'u-ne couleur identique aux composants actifs, ces arcs de cercle correspondant aux effets secondaires, c'est-à-dire indiquant l'ap- -partenance à d'autres familles, desdits composants actifs.
Selon une variante particulièrement avantageuse au re-gard du caractère didactique de l'invention, la matrice commune peut être constituée de trois régions dans lesquelles on regroupe les zones correspondant aux familles de composants actifs.
Ces trois régions ont de préférence des colonnes de hauteur égale, c'est-à-dire comportant le même nombre d'ordonnées.
La première région est de préférence constituée de li-gnes comprenant 25 abcisses, une abcisse étant réservée aux ef-fets secondaires, 20 abcisses aux signes symboliques relatifs aux composants actifs existants et à leur interactions et 4 ab-cisses étant réservées pour des composants nouveaux qui apparaî-tront ultérieurement.
La seconde région est composée de lignes de 15 abcisses, dont une abcisse pour les effets secondaires, 11 abcisses pour les composants actifs existants et 3 pour les composants nou-veaux, tandis que la troisième région possède des lignes de 10 abcisses dont une pour les effets secondaires, 7 pour les compo-sants actifs existants et 2 pour les composants nouveaux. Cette répartition permet un meilleur classement et une meilleure pré-sentation didactique de la matrice commune grâce à la multipli-cation des lignes.
De la même fac,on, on peut avoir intérêt à utiliser, non pas une matrice dont les éléments sont regroupés par lignes ou par colonnes, ce qui risque de laisser inutilisées par exemple les fins de lignes ou fins de colonnes, mais à répartir les clas-ses ou sous-classes de composants actifs à la suite les unes des autres, comme les phrases d'un même paragraphe, mais en étant sé-parées par un espace vide, analogue à une ponctuation, à l'inté-rieur duquel apparaissent des ~ignes distinctifs, par exemple ceux relatifs aux effets secondaires.
Enfin, on a envisagé plus particulièrement des fiches relatives à chaque spécialité et on a mentionné par ailleurs, que le dispositif, le procédé et l'appareillage possèdaient de nombreuses applications notamment dans le domaine médico-pharma-ceutique.
Afin de faciliter le travail des prescripteurs, notam-ment des médecins, il est avantageux que, dans l'ensemble des fi-ches objet de l'invention, une partie au moins de ces fiches soit telle que chacune des fiches de cette partie soit relative à une classe de spécialités susceptibles de traiter une ou un ensemble de maladies déterminées, ou encore soit relative à un type déter-miné de malade.

10~54~;

Par exemple, on peut réaliser une fiche relative aux diabétiques sur laquelle on fera figurer toutes les incompatibi-lités et interactions de l'ensemble des composants actifs avec ce type de malade.
Lors de la prescription d'une spécialité par le méde-cin à un diabétique, il suffira de superposer la fiche relative aux diabétiques avec celles relatives aux spécialités prescrites ou à un groupe de spécialités pour que le médecin soit averti des incompatibilités possibles.
De même, il est possible d'établir des fiches relati-ves au malade lui-même et à ses caractéristiques (âge, sexe, -~
syndromes constitutionnels ou acquis, etc...) qui, par superpo-sition avec les autres fiches relatives aux médicaments groupes de médicaments ou de maladies, permettent d'éliminer les théra-peutiques dangereuses et de guider le choix du prescripteur.
En ce qui concerne la matérialisation des cotes et des adresses il est bien évident qu'on peut toujours les chiffrer directement ou indirectement et ceci de facon digitale ou analo-gique surtout en ce qui concerne les cotes, pour ce qui est de l'analogie comme cela a été souligné plus haut. Cela peut pré-senter l'avantage de permettre la constitution de sorte de matri-ces à trois dimensions avec possibilité de renvoi à un corpus de données ou de caractéristiques ou plus généralement à une table ou dictionnaire de renvoi donnant toutes informations propres à
chacun des éléments de comparaison étudiés.
En ce qui concerne la réalisation des supports confor-mes à l'invention, il est un certain nombre de techniques qui per-mettent de simplifier leur fabrication, par exemple de nombreux médicaments interfèrent avec les antibiotiques, on peut donc considérer que toute la zone réservée sur chaque support avec les antibiotiques peut, si l'on se réfère à l'exemple 1, être unifor-mément colorée ce qui est plus facilement lisible et fait ressor-~O~S41~6 tir très nettement et de façon particulièrement aisée une inter-férence avec les produits matérialisés avec toute une famille d'adresses. A l'inverse les supports correspondant aux divers antibiotiques pourront porter de larges zones d'incompatibilité
correspondant à des familles de produits incompatibles avec les antibiotiques.
Comme il a été démontré ci-dessus, la présente inven-tion trouve, entre autres, son application dans le domaine médi-cal ou pharmaceutique où la recherche d'interactions ou d'incom-patibilités est fondamentale dans la rédaction par le médecin de la prescription et son exécution par le pharmacien, mais l'homme de l'art peut trouver de très nombreux autres emplois sans modi- -fications du contenu même de l'invention dans des domaines très différents, par exemple en agriculture pour le choix des engrais en fonction des terres et des cultures ou plus généralement dans tout domaine où l'on peut être amené à faire coopérer au moins deux él~ments et où des interactions sont à rechercher ou à evi-ter, ain~i que dans le domaine de l'alimentation humaine, animale ou v~gétale et en règle générale dans tous les domaines où des caractéristiques relationnelles entre les éléments sont suscepti-bles d'etre mises en évidence.

Claims (50)

Les réalisations de l'invention, au sujet desquelles un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué, sont définies comme il suit:
1. Dispositif pour la détermination de la nature des relations entre les données propres à une unité ou un groupe d'unités distinctes et les données d'une autre unité ou d'un autre groupe d'unités distinctes appartenant à un même ensemble, comprenant un support transparent correspondant à chaque unité
ou groupe d'unités, chaque support étant ordonné au moyen d'un système d'adresses caractérisé par le fait que sur le support correspondant à chaque unité ou groupe d'unités distinctes, sont enregistrés,en toute adresse, correspondant aux données propres aux autres unités ou groupes d'unités distinctes, un ou plusieurs signes distinctifs de chaque nature de relations entre les données propres de l'unité ou des groupes d'unités distinctes corres-pondant au support et les données propres aux autres unités ou autres groupes d'unités de l'ensemble, de sorte qu'on peut simultanément lire les symboles en superposant des cartes correspondants à la relation qui doit être déterminées.
2. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que aux adresses correspondant aux données propres à
l'unité ou au groupe d'unités correspondant audit support, sont portés des signes distinctifs de ces données propres. Ces signes distinctifs étant des cercles centrés sur le point d'intersection de la matrice correspondante à l'adresse.
3. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé
par le fait que tous les signes distinctifs correspondent à des cotes fonction de la nature des relations.
4. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que tous les signes distinctifs sont matérialisés sous forme codée.
5. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que le système d'adresses est à deux dimensions et que l'ensemble adresses/cotes est à au moins trois dimensions.
6. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que les signes distinctifs sont constituées par des symboles divisés en plusieurs zones correspondant chacune à une série dimensionnelle de cotes.
7. Dispositif selon l'une des revendications 4 à 6 carac-térisé par le fait que les symboles sont matérialisés par des signes colorés répondant à un code prédéterminé.
8. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par le fait que les supports correspondant aux données ou aux groupes de données dont on veut comparer les caractéristiques peuvent être superposés de façon à ce que l'on fasse coincider les adresses homologues de chaque carte et que l'on compare adresse par adresse et cote par cote les signes susceptibles de coincider.
9. Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que les données sont du domaine des prescriptions médicales.
10. Dispositif selon la revendication 1 appliqué à la détermination des interactions entre composants actifs de spécia-lités, comprenant une fiche propre à chaque spécialité, chaque fiche étant ordonnée au moyen d'un système d'adresses communes à l'ensemble des fiches caractérisé par le fait que chaque fiche comporte un répérage d'une matrice commune sur laquelle une adresse est attribuée à chaque composant actif devant être pris en considération, un premier signe symbolique indiquant, pour chaque constituant correspondant à la fiche l'adresse corres-pondante, une série de signes symboliques codés représentant, en tout ou partie des autres adresses de la matrice commune, les interactions éventuelles entre les composants correspondant à la fiche et ceux correspondant auxdites autres adresses.
11. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait que les fiches sont constituées par des cartes magnétiques.
12. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait que les fiches sont transparentes.
13. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait que les fiches sont rectangulaires.
14. Dispositif selon l'une des revendications 10 à 12 caractérisé par le fait que la matrice est rectangulaire et qu'elle se retrouve en position identique d'une fiche à l'autre de façon à pouvoir coïncider par superposition.
15. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait que les adresses des composants actifs sont regroupées par zones correspondant aux familles de composants actifs.
16. Dispositif selon la revendication 15 caractérisé par le fait que chaque ligne de matrice correspondant à une ordonnée donnée est attribuée à une famille de principes actifs.
17. Dispositif selon la revendication 13 caractérisé par le fait que lorsqu'une fiche correspond à une spécialité compre-nant plusieurs principes actifs les signes symboliques corres-pondant à chacun des composants et à ses interactions sont d'une couleur propre audit composant.
18. Dispositif selon la revendication 17 caractérisé par le fait que des couleurs sont distribuées aux composants portés sur une même fiche selon un code correspondant à l'ordre d'énu-mération des composants portés sur ladite fiche.
19. Dispositif selon la revendication 2 caractérisé par le fait que le diamètre dudit cercle est au plus égal à l'écar-tement entre deux points d'intersection consécutifs de la matrice commune.
20. Dispositif selon l'une des revendications 17 à 19 caractérisé par le fait que les autres signes symboliques corres-pondant aux interactions sont des segments de droite centrés sur lesdits points d'intersection, dont la longueur correspond sensiblement au diamètre desdits cercles et dont l'orientation correspond à un code prédéterminé.
21. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait qu'une zone au moins des adresses de la matrice est réservée aux effets secondaires.
22. Dispositif selon la revendication 21 caractérisé par le fait que des adresses desdites zones sont réservées pour indiquer que les composants peuvent appartenir en plus de leur adresse propre à d'autres familles.
23. Dispositif selon l'une des revendications 21 ou 22 caractérisé par le fait que lesdites zones réservées sont situées au voisinage immédiat des zones correspondant aux adresses des composants actifs de ladite famille.
24. Dispositif selon l'une des revendications 21 ou 22 caractérisé par le fait que dans lesdites zones réservées, chaque composant est représenté par un signe de la couleur choisie pour le composant considéré.
25. Dispositif selon la revendication 13 caractérisé par le fait que d'autres adresses sont réservées aux conditions d'environnement des sujets à traiter et aux interactions et effets secondaires correspondants.
26. Dispositif selon la revendication 25 caractérisé par le fait que certaines adresses sont réservées aux produits du type boissons, alimentation, tabac et analogues ou à leur compo-sants ainsi qu'aux interactions et effets secondaires correspon-dants.
27, Dispositif selon l'une des revendications 25 ou 26 caractérisé par le fait que certaines adresses sont réservées aux modifications induites sur les analyses biologiques et tests paracliniques.
28. Dispositif selon l'une des revendications 25 ou 26 caractérisé par le fait que d'autres adresses sont réservées aux caractéristiques propres des sujets.
29. Dispositif selon l'une des revendications 25 ou 2 caractérisé par le fait que d'autres adresses sont réservées aux effets latéraux.
30. Dispositif selon l'une des revendications 21 ou 25 caractérisé par le fait que des signes symboliques des effets secondaires des composants correspondant à la fiche considérée sont portés aux adresses desdites zones réservées.
31. Dispositif selon l'une des revendications 21 ou 25 caractérisé par le fait que les signes symboliques sont constitués de motifs géométriques simples.
32. Dispositif selon l'une des revendications 21 ou 25 caractérisé par le fait que les signes symboliques sont constitués par des motifs du type idéogrammes et lettres d'alphabet.
33. Dispositif selon la revendication 10 caractérisé par le fait que les signes symboliques sont codés en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
34. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait que le code des signes symboliques est fonction de la forme pharmaceutique de la spécialité considérée.
35. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait que le code des signes symboliques est fonction du dosage particulier des composants actifs de la spécialité considérée.
36. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 33 à 35 caractérisé par le fait que le code des signes symboliques est fonction de la voie d'administration de la spécialité consi-dérée.
37. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait que le code des signes symboliques est fonction de la posologie de la spécialité considérée.
38. Dispositif selon la revendication 37 caractérisé par le fait que la posologie comprend l'indication de la simultanéité
ou non des prises de la spécialité considérée avec celles des autres spécialités.
39. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 33 à 35 dans lequel les signes symboliques codés sont le premier signe symbolique correspondant à l'adresse de chaque composant actif de la spécialité, ce premier signe symbolique étant un cercle centré sur le point d'intersection de la matrice corres-pondant à ladite adresse, ce cercle ayant une couleur propre audit composant, caractérisé par le fait qu'une portion de ce cercle est d'une couleur différente de la couleur propre audit composant, cette portion de cercle étant définie en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
40. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 33 à 35 dans lequel les signes symboliques sont le premier signe symbolique correspondant à l'adresse de chaque composant actif de la spécialité, ce premier signe symbolique comportant un cercle centré sur le point d'intersection de la matrice corres-pondant à ladite adresse, ce premier cercle ayant une couleur propre audit composant, caractérisé par le fait qu'un second cercle centré comme le premier cercle mais de diamètre au plus égal au diamètre de ce premier cercle, comporte au moins une portion d'une couleur différente de la couleur propre audit com-posant, cette portion de cercle étant définie en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
41. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 33 à 35 dans lequel les signes symboliques codés sont ceux correspondant aux interactions, ces signes symboliques étant des segments de droite centrés sur lesdits points d'intersection, dont la longueur correspond sensiblement au diamètre desdits cercles et dont l'orientation correspond à un code prédéterminé, caractérisé par le fait qu'une portion de ce segment est d'une couleur différente de la couleur propre audit composant, cette portion de segment étant définie en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
42. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 33 à 35 dans lequel les signes symboliques codés sont ceux correspondant aux interactions, ces signes symboliques étant les premiers segments de droite, de couleur propre audit composant, centrés sur lesdits points d'intersection, dont la longueur correspond sensiblement au diamètre des cercles et dont l'orien-tation correspond à un code prédéterminé, caractérisé par le fait que des seconds segments parallèles aux premiers segments de droite et d'une longueur analogue comportent au moins une portion d'une couleur différente de la couleur propre audit composant, cette portion de segment étant définie en fonction des caractéristiques de la spécialité considérée.
43. Dispositif selon la revendication 33 dans lequel les adresses des composants actifs sont regroupés par zones cor-respondant aux familles de composants actifs caractérisé par le fait que la matrice commune à l'ensemble des fiches comporte plusieurs régions regroupant un ensemble de zones correspondant aux familles de composants actifs.
44. Dispositif selon la revendication 43 caractérisé par le fait que chaque région de la matrice comporte une zone d'adresses réservées aux effets secondaires.
45. Dispositif selon la revendication 44 caractérisé par le fait que les adresses de ladite zone réservées aux effets secondaires indiquent que les composants peuvent appartenir en plus de leur adresse propre à d'autres familles.
46. Dispositif selon la revendication 45 caractérisé
par le fait que des signes symboliques des effets secondaires des composants correspondant à la fiche considérée sont portés aux adresses desdites zones réservées.
47. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait qu'au moins une partie des fiches est telle que chaque fiche de cette partie est relative à une classe de spécialités ou de composants actifs.
48. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait qu'au moins une partie des fiches est telle que chaque fiche de cette partie est relative à un ensemble de spécialités ou de composants actifs susceptibles de traiter une maladie déterminée.
49. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait qu'au moins une partie des fiches est telle que chaque fiche de cette partie est relative à un ensemble de spécialités ou de composants actifs susceptibles de traiter un ensemble de maladies déterminées.
50. Dispositif selon la revendication 33 caractérisé par le fait qu'au moins une partie des fiches est telle que chaque fiche de cette partie est relative à un type déterminé de sujet.
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
CN113128873A (zh) * 2021-04-22 2021-07-16 深圳市鹏兴食安第三方监管有限公司 一种单位食品安全检查方法及装置

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