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BREVET D'INVENTION
FORMÉE PAR
OWENS-ILLINOIS, INC. pour Système de commande électronique perfectionné dans une machine à façonner des articles de verrerie.
La présente invention concerne d'une manière générale des machines servant à façonner des articles de verrerie à partir de paraisons de verre fondu et, en particulier, un procédé et un appareil pour commander
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électroniquement les sections individuelles d'une telle machine.
La machine à façonner des articles de verrerie à sections individuelles IS est bien connue et comporte plusieurs sections de façonnage individuelles qui comportent chacune plusieurs mécanismes de façonnage d'articles de verrerie. Les sections individuelles sont typiquement alimentées par une seule source de verre fondu qui débite et distribue de manière séquentielle des paraisons de verre fondu pour les sections individuelles dans un ordre déterminé au cours d'un cycle de la machine comprenant un nombre fixe d'impulsions d'horloge pour façonner les paraisons en des articles de verrerie par une mise en oeuvre cylique des mécanismes façonneurs selon une séquence prédéterminée d'opérations de façonnage.
Un système électronique de commande est associé à chaque section individuelle et réagit à chaque impulsion d'horloge pour fournir un signal de charge et plusieurs signaux de façonnage en vue d'actionner les mécanismes façonneurs pendant le cycle de la machine. Un circuit de charge de paraison fournit un signal de charge de paraison en réaction à un signal de charge provenant de l'un quelconque des systèmes de commande et un dispositif réagit à l'absence du signal de charge de paraison pour faire dévier une paraison en vue de l'empêcher d'être distribuée vers une section individuelle. Les sections sont mises en oeuvre en synchronisme selon une différence de phase relative telle qu'une section reçoive une paraison, tandis que d'autres sections exécutent diverses opérations de façonnage intermédiaires.
Des systèmes de commande électronique modernes utilisent un calculateur numérique, comme par exemple ceux décrits dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique NO 3.905. 793 et 4. 152. 134 au lieu de composants dis-
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crets décrits, par exemple, dans le brevet des EtatsUnis d'Amérique nO 3. 762. 907. Une console d'opérateur de section ou SOC est prévue à chaque section individuelle pour permettre à un opérateur machine de modifier les données de synchronisation pour l'une quelconque des opérations de façonnage. La console d'opérateur de section est connectée au calculateur de section individuelle, lit la modification de la synchronisation et remplace les données de synchronisation précédentes correspondantes.
L'utilisation du calculateur fournit non seulement un moyen permettant de modifier automatiquement la séquence des opérations de façonnage et de déterminer si une section individuelle ou non doit recevoir des paraisons, mais également un moyen augmentant la souplesse de la programmation comparée au manque de souplesse de la conception des composants discrets. En dépit de tous les avantages de la souplesse de programmation offerts par l'utilisation d'un calculateur, il est encore possible que le calculateur lui-même"se bloque",'amenant les signaux de façonnage et le signal de charge à se figer et à quitter la section individuelle dans un état d'insécurité pour l'opérateur de la machine.
D'une manière plus spécifique, si l'opérateur souhaite empêcher la distribution d'une paraison dans une section particulière et si le calculateur s'est bloqué pendant la distribution d'une paraison immédiatement précédente dans une autre section, provoquant le figeage de son signal de charge, ce signal de charge provoquera le maintien en activité d'un signal de charge de paraison en dépit de la tentative de l'opérateur d'empêcher la distribution d'une paraison. Dans un tel cas, l'opérateur peut être sérieusement blessé par une paraison chaude distribuée alors qu'il pensait avoir empêché cette distribution.
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L'invention concerne un procédé et un appareil pour commander électroniquement la section individuelle d'une machine à façonner des articles de verrerie. Dans la machine à façonner des articles de verrerie décrite plus haut, chaque système de commande électronique comprend tout d'abord un dispositif pour produire un signal d'exécution chaque fois que le système de commande fournit plusieurs signaux de façonnage aux mécanismes façonneurs. Le système de commande comprend, en outre, un dispositif réagissant au dispositif d'exécution pour fournir un signal de surveillance dans un premier état binaire lorsqu'un premier signal d'exécution y est appliqué et pour passer au second état binaire si aucun signal d'exécution ne se présente dans la période de blocage prédéterminée après le premier signal d'exécution.
Le système de commande comprend finalement un dispositif réagissant au dispositif de surveillance pour valider le signal de charge et les signaux de façonnage du système de commande lorsque le signal de surveillance se trouve dans le premier état binaire et pour interdire le signal de charge et les signaux de façonnage provenant du système de commande lorsque le signal de surveillance se trouve dans le second état binaire. Le signal d'exécution est dérivé d'une instruction de logiciel fournie au calculateur, de telle sorte qu'un état de blocage soit indiqué en son absence. Quoique le dispositif de surveillance ne soit pas connu en ce domaine et n'ait pas été utilisé avec des systèmes de commande de machines à façonner des articles de verrerie, la Demanderesse de la présente invention a utilisé des moyens de surveillance semblables pour d'autres systèmes.
Dans ce cas, il réagit au dispositif d'exécution pour faire passer le signal de surveillance dans le second état binaire, si aucun signal d'exécution ne
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se présente dans la période de blocage, ce qui indiquerait que le calculateur lui-même s'est bloqué. Lorsque le signal de surveillance passe dans le second état binaire, toutes les sorties du systèmes de commande comprenant le signal de charge et les signaux de façonnage sont interdites pour couper le signal de charge de paraison. L'invention a par conséquent pour but d'empêcher des paraisons de verre fondu d'être distribuées vers les sections individuelles et de renvoyer les mécanismes façonneurs dans un état de sécurité au cas où le calculateur du système de commande est soumis à un état de blocage.
Dans les dessins annexés : la Fig. l est un schéma synoptique et une vue schématique d'une machine à façonner des articles de verrerie dans laquelle l'invention opère ; la Fig. 2 illustre une série de graphiques de temps montrant la séquence de synchronisation relative des signaux existant dans le système de commande électronique et l'unité de charge de paraison de la machine à façonner des articles de verrerie représentée sur la Fig. l pour produire le signal de charge de paraison approprié conforme à l'invention ; les Fig. 3 et 4 sont des organigrammes logiques simplifiés représentatifs d'une partie des programmes suivis par le calculateur de section individuelle de la machine à façonner des articles de verrerie de la Fig. 1 pour fournir un signal d'exécution conforme à l'invention ;
la Fig. 5 est un schéma synoptique électrique du circuit de surveillance représenté sur la Fig. l et conforme à l'invention, et la Fig. 6 est un schéma électrique d'une partie de l'isolateur de sortie/excitateur, de la console de l'opérateur de section et du dispositif de
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charge de paraison représentés comme des blocs sur la Fig. l et conformes à l'invention.
Un schéma synoptique d'une machine à façonner des articles de verrerie est illustré d'une manière générale en 11 sur la Fig. 1. La machine à façonner des
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articles de verrerie 11 comprend plusieurs sections de façonnage (IS) individuelles, un à N, comme IS-l, IS-2 et IS-N indiquées en 12,13 et 14, respectivement.
Comme le montre d'une manière sépcifique IS-l 12, chaque section individuelle (IS) comprend un bloc de valves 15 et plusieurs mécanismes façonneurs d'articles de verrerie 16, un à M, qui y sont raccordés. Le bloc de valves 15 contient plusieurs valves destinées à actionner des mécanismes façonneurs 16 correspondants dans un ordre prédéterminé d'opérations de façonnage en réaction à des signaux de façonnage qui sont appliqués à des solénoîdes (non représentés) associés électromécaniquement aux valves.
La machine à façonner des articles de verrerie 11 comprend aussi plusieurs systèmes de commande électroniques (ECS), un à N, tels que ECS-l, ECS-2 et ECS-N indiqués en 17,18 et 19, qui sont connectés chacun à une section individuelle 12,13 et 14 associée, respectivement, pour fournir des signaux de façonnage à leurs blocs de valves 15. En ce qui concerne de manière spécifique ECS-l 17, chaque système de commande électroniques (ECS) comprend un calculateur de section individuelle (ISC), par exemple ISC-l 21, et une console d'opérateur de section SOC,
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par exemple SOC-l 22. La console SOC-l 22 fournit les signaux de façonnage aux solénoïdes du bloc de valves 15 et est utilisée par un opérateur pour régler la synchronisation des mécanismes façonneurs 16.
La console SOC-l 22 est aussi utilisée pour commander les conditions de fonctionnement de la section IS-l 12.
Lorsque la section IS-l 12 est active, elle est conçue
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pour se trouver dans l'état FONCTIONNEMENT et lorsque la section IS-1 12 est inactive, elle est conçue de manière à se trouver dans l'état de SECURITE. Lorsqu'une section se trouve dans l'état de sécurité, les mécanismes façonneurs sont tous amenés dans une position désignée qui est sûre pour l'opérateur. Si une section se trouve dans l'état de sécurité, l'opérateur peut passer sur un mode manuel dans lequel les solénoîdes du bloc de valves 15 peuvent être commandés individuellement par plusieurs interrupteurs 23 qui sont prévus dans la console SOC-1 22.
Les entrées du calculateur ISC-1 21 sont connectées à la console SOC- 1 22, par l'intermédiaire d'un circuit d'isolateur d'entrée 24 et les sorties du calculateur ISC-1 21 sont connectées à la console SOC 22 par l'intermédiaire de circuits d'isolateur de sortie/excitateur 25 et 26. Le calculateur ISC-1 21 peut être, par exemple, un calculateur LSI-ll fabriqué par la Société Digital Equipment Corporation de Maynard, Massachusetts. Les ports d'entrée et de sortie pour le calculateur ISC-1 21 peuvent être obtenus à l'aide de cartes d'interface d'entrée/sortie parallèles du modèle DRV-ll 27 également fabriquées par la Société Digital Equipment Corporation.
Les sections individuelles sont alimentées à partir d'une seule source de verre fondu qui débite et distribue séquentiellement des paraisons de verre fondu aux sections individuelles. D'une manière plus spécifique, un distributeur de paraisons 28 refoule du verre fondu 29 par deux cisailles à orifices 31 qui, lorsqu'elles sont actionnées, forment une paraison 32. La paraison 32 tombe librement, comme indiqué par une ligne en traits pointillés, sur une écope oscillante 33 qui distribue la paraison 32 vers la section IS-1 12 par l'intermédiaire de son auge 34 associée.
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paraisons sucessives sont fournies aux autres sections individuelles par l'intermédiaire de leurs auges 35 et 36 associées dans un certain ordre et à une vitesse prédéterminée proportionnelle à la vitesse d'un moteur d'entraînement de distribution de paraisons 37. Le moteur d'entraînement 37 est mis sous tension par une alimentation de courant à fréquence variable (INV) fournie par un inverseur et entraîne mécaniquement l'écope oscillante 33. Comme la vitesse du moteur d'entraînement 37 est déterminée par la fréquence de l'alimentation de courant INC, le temps de cyclage de chaque section individuelle et, par conséquent, celui de la machine 11 sont déterminés par la vitesse de distribution des paraisons.
Typiquement, les opérations de façonnage exécutées par les mécanismes façonneurs 16 de chaque section individuelle sont synchronisées par division du cycle global de la machine et de chaque cycle de section en 360 . De plus, chaque cycle de section ainsi que la séquence d'opérations de façonnage de ce cycle sont rapportés au démarrage du cycle de la machine avec un décalage de section individuelle, d'un nombre de degrés visant à compenser la différence de temps pendant le cycle de la machine au cours duquel des paraisons de verre fondu sont distribuées à chaque section individuelle. Une horloge à dispositif de remise à zéro (CRU) 38 réagit aussi à la fréquence du courant d'inverseur (INV) et fournit 360 impulsions par cycle de machine pour une vitesse de distribution de paraisons prédéterminée quelconque.
L'horloge CRU 38 fournit également un signal de remise à zéro après 3600 d'impulsions d'horloge pour définir la fin et le début de cycles de machine successifs. L'horloge CRU 38 peut être un codeur ou un générateur d'impulsions du type décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4. 145.204 et le brevet des Etats-Unis d'Amérique
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nO 4. l45. 205 cédés tous deux à la Demanderesse et cités ici à titre de référence.
Un calculateur de surveillance de machine (MSC) 39 est connecté à chaque calculateur ISC, par exemple ISC-l 21, de chaque système ECS, par exemple ECS-l 17. Initialement, le calculateur MSC 39 charge un programme de commande et des données de synchronisation d'un dispositif de stockage 41 dans chaque calculateur ISC. L'opérateur utilise un terminal 42 pour sélectionner les données de synchronisation particulières qu'il doit charger dans chaque calculateur ISC, un jeu de données de synchronisation différent étant prévu pour chacun d'eux. Le calculateur MSC 39 et chaque calculateur ISC reçoivent les impulsions de synchronisation de l'horloge CRU 38 afin d'établir la synchronisation de 360 pour le cycle de la machine.
Lorsque le calculateur MSC 39 charge chaque calculateur ISC, l'horloge CRU 38 produit un signal d'horloge qui fournit une référence pour la synchronisation du cycle de machine et du cycle de section comprenant la séquence d'opérations de façonnage à exécuter par chaque section IS. D'une manière plus spécifique, le calculateur ISC 1 21 fournit plusieurs signaux de
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façonnage par l'intermédiaire de la console SOC-l 22 aux solénoïdes du bloc de valves 15 en vue d'actionner les mécanismes façonneurs 16 dans l'ordre prédéterminé des opérations de façonnage nécessaires pour façonner les articles de verrerie selon le programme de commande et les données de synchronisation actuellement stockées dans le calculateur ISC l 21.
Le calculateur MSC 39 est aussi connecté à un panneau de rejet de bouteille et de commande de machine 43 qui est utilisé par l'opérateur pour rejeter un article de verrerie particulier d'une section IS particulière lorsqu'il arrive à un poste de rejet de bouteille 44. Des détails du panneau 43 et du
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poste de rejet 44 ainsi que des détails se rapportant au calculateur MSC 39 sont décrits d'une manière plus spécifique dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4. 152. 134 qui est cédé à la Demanderesse et qui est cité ici à titre de référence.
En plus des signaux de façonnage, chaque calculateur ISC fournit un signal de charge (LS) pendant une période correspondant au cycle de machine divisé par le nombre de sections. Par exemple, dans une machine à dix sections, le signal de charge (LS) pour
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chaque section aura une durée de 36 . Le signal de charge (LS-l) de la carte de sortie 26 du calculateur ISC-l 21 et les autres signaux de charge (LS-2 à LS-N) des autres calculateurs ISC (ISC-2 à ISC-N) sont tous connectés à un dispositif de charge de paraison (GLU) 45 qui combine par réunion logique tous les signaux de charge en vue de fournir un signal de charge de paraison (GLS) à un solénoïde de charge de paraison 46 par l'intermédiaire du tableau de commande de machine 43.
Le tableau de commande de machine 43 comporte un interrupteur d'arrêt E de machine 47 et un interrupteur de verre de machine 48 que l'opérateur peut utiliser pour interrompre le signal de charge de paraison (GLS) lorsqu'il le souhaite. Lorsque le solénoïde 46 est excité, il actionne une valve de charge de paraison 48 qui permet à un flux d'air d'alimentation de passer dans une conduite pneumatique ON. Lorsque le solénoïde 46 n'est pas excité, la valve 48 revient dans une position normale, ce qui permet à un flux d'air d'alimentation de passer dans une conduite pneumatique OFF.
Les conduites pneumatiques ON et OFF sont raccordées aux côtés opposés d'un vérin de charge de paraison à double effet 51 contenant un piston de charge de paraison 52 auquel un volet de rejet de paraison 53 est fixé. Lorsque le solénoïde 46 est excité, la pression
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d'air de la conduite ON force le piston 52 à maintenir le volet 53 dans une position rétractée, dans laquelle la paraison 32 peut être débitée dans l'écope oscillante 33. Cependant, lorsque le solénoïde 46 est désexcité, la pression d'air de la conduite OFF force le piston 52 à étendre le volet 53 vers la position indiquée par la ligne pointillée 53'en vue de faire dévier la paraison vers une goulotte à calcin 54.
Lorsque toutes, les sections individuelles de la machine
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11 traitent du verre dans un état de"FONCTIONNEMENT", le solénoïde 46 est toujours excité et le volet 53 est toujours rétracté pour permettre la distribution des paraisons. Pour la machine à dix sections de l'exemple décrit plus haut, un signal de charge de paraison de 3600 (GLS) est dérivé de dix signaux de charge de 36 successifs (LS) afin de maintenir le volet 53 rétracté.
Cependant, lorsque l'opérateur arrête une des dix sections, un signal de charge de paraison de 3240 (GLS) est dérivé de neuf signaux de charge de 36 successifs
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(LS), tandis qu'une période de 36 sans signal de charge de paraison (GLS) existe. Cette période de 36 dépourvue de signal de charge de paraison est synchronisée avec la section de façonnage (IS) appropriée, de sorte que la paraison destinée à la section arrêtée est déviée par le volet 53 vers la goulotte à calcin 54.
Par exemple, comme le montre la Fig. 2, si l'opérateur arrête la section IS-2 13, il n'y a pas de signal de charge (LS-2) et, par conséquent, pas de signal de charge de paraison (GLS), comme indiqué par une ligne en traits interrompus, de sorte que la paraison destinée à la section IS-2 13 est déviée.
Comme décrit plus haut, le calculateur ISC fournit le signal de charge (LS) à partir duquel le signal de charge de paraison (GLS) est dérivé. Une
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difficulté très sérieuse se présente lorsque l'opérateur souhaite arrêter une des sections individuelles en vue de la réparer ou de l'entretenir. Par exemple, si l'opérateur arrête la machine 11, tandis que le signal de charge de paraison (GLS) est en cours de dérivation du signal de charge (LS-l) fourni par le calculateur ISC-l 21 sur une période Tl qui peut être de 360, comme décrit dans l'exemple qui précède, si l'on suppose que la durée d'un cycle de la machine est d'environ 5 secondes, Tl est approximativement égal à 500 millisecondes.
Dans des conditions normales, ISN-l 21 couperait son signal de charge (LS-l) et ISN-2 ne couperait pas son signal de charge (LS-2), de sorte qu'aucun signal de charge de paraison (GLS) ne serait dérivé après la période Tl. Cela étant, la paraison 32 serait déviée de la section IS-2 13, comme décrit plus haut. Cependant, si ISC-l 21"se bloque"à un moment t (2) avant de couper son signal de charge (LS-l), le signal de charge (LS-l) resterait actif, de sorte qu'un signal de charge de paraison (GLS), indiqué par une ligne interrompue, serait produit indépendamment du fait que le calculateur ISC-2 n'active pas son signal de charge (LS-2). Cela étant, l'opérateur pourrait être sérieusement blessé par une paraison chaude 32 qui serait distribuée à la section IS-2 alors qu'il croyait avoir empêché cette distribution.
Pour remédier à cette situation, l'invention a été mise au point pour surveiller chaque calculateur ISC en vue de détecter ses "blocages"et d'empêcher la distribution de paraisons et le retour des mécanismes de façonnage 16 dans un état de SECURITE en réaction à un blocage détecté. Il convient de noter que ces blocages sont difficile à définir ou à classer car ils impliquent souvent un problème matériel interne auquel on remédie habituellement en remplaçant simplement le dispositif au lieu
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de le réparer. Comme telle, la détection d'un blocage est beaucoup plus critique que l'identification de sa source.
Comme décrit plus haut, le calculateur MSC 39 charge un programme de commande et des données de synchronisation du dispositif de stockage 41 dans chaque calculateur ISC. Un programme de commande et des données de synchronisation sont stockés dans le calculateur ISC-121 qui fournit les signaux de façonnage, par l'intermédiaire de la console SOC-1 22, aux solénoîdes du bloc de valves 15 pour actionner le mécanisme façonneur 16 et fournit également le signal de charge (LS-1) au dispositif GLU 45.
Le programme de commande pour chaque calculateur ISC comprend un programme principal de calculateur ISC et un programme d'interruption d'horloge de calculateur ISC illustrés d'une manière générale par des organigrammes logiques sur les Fig. 3 et 4, respectivement, qui sont représentatifs du fonctionnement d'un calculateur ISC et qui sont expliqués plus en détail dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4.152. 134 qui a déjà été cité ici à titre de référence. Le programme principal de calculateur ISC est amorcé en 55 et passe à une fonction de traitement pour invalider les interruptions en 56. Chacune des cartes d'interface d'entrée/sortie 27 du calculateur ISC-1 21 contient un moyen de commande/état (non représenté) qui fournit un bit ou un signal d'exécution (CSRO) qui peut être chargé ou lu sous la commande du programme.
Ainsi, après avoir invalidé les interruptions en 56, le programme principal de calculateur ISC remet à zéro le signal d'exécution (CSR) en 57.
Après avoir vérifié la console SOC pour détecter des variations de synchronisation en 58, le programme principal de calculateur ISC passe à une fonction de traitement pour valider des interruptions en 59 com-
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prenant des instructions qui permettent au calculateur ISC-1 21 de réagir aux impulsions d'horloge et de remise à zéro fournies par l'unité CRU 38. Le programme passe alors à un point de décision en 61 pour déterminer si une communication a été requise par le calculateur MSC 39. Quelle que soit la décision prise, le programme principal du calculateur ISC revient en 57 pour ramener le signal d'exécution (CSR) à zéro.
Lorsque le programme principal de calculateur ISC a validé les interruptions d'horloge et de retour à zéro, le calculateur ISC-1 21 amorce le programme d'interruption d'horloge ISC qui possède une priorité plus élevée, chaque fois qu'une impulsion d'horloge est reçue de l'unité CRU 38. Dans le cas de l'exemple qui précède d'une machine ayant un cycle de machine d'environ cinq secondes, des signaux d'interruptions d'horloge se présentent à des intervalles d'environ 14 millisecondes, c'est-à-dire à raison de 360 impulsions par cycle de machine. Cela étant, le programme d'interruption d'horloge de calculateur ISC est amorcé en 62 en réaction à un signal d'interruptions d'horloge et passe à un point de décision en 63 pour déterminer s'il doit ignorer l'interruption d'horloge.
Comme décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4. 152.134, une impulsion de remise à zéro tardive exige au moins qu'un signal d'interruption d'horloge soit ignoré, de sorte que le programme se ramifie au niveau de"OUI"et revient au programme principal, comme indiqué en 64. Si le signal d'interruption d'horloge ne doit pas être ignoré, le programme se ramifie au niveau de"NON"et continue à se dérouler, comme décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n 4. 152. 134.
Quels que soient les ordres produits par le programme d'interruption d'horloge de calculateur ISC dans les blocs suivants, la section IS-1 12 est
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soit dans le mode de FONCTIONNEMENT, comme indiqué en 65 et 66, soit dans le mode de SECURITE, comme indiqué en 67 et 68 avant de produire les fonctions de façonnage pour ce degré et de positionner le signal d'exécution (CSR) ou le mettre à un, en 69, et de revenir au programme principal.
Ainsi, comme le montre à nouveau la Fig. 2, le calculateur ISC-l 21 produit un train d'impulsions d'exécution 70, dans lequel chaque impulsion est produite lorsque le signal d'exécution (CSR) est positionné ou mis à un par le programme d'interruption d'horloge de calculateur ISC et est ensuite repositionné et remis à zéro par le programme principal de calculateur ISC. Si le programme d'interuption d'horloge de calculateur ISC revient continuellement au programme principal de calculateur ISC sans se bloquer, les impulsions d'exécution 70 ont une période T2 approximativement égale au temps qui s'écoule entre des interruptions d'horloge successives, par exemple d'environ 14 millisecondes, comme indiqué dans l'exemple qui précède.
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Comme le montre à nouveau la Fig. l, le signal d'exécution (CSR) est fourni par une des cartes d'interface 27, par l'intermédiaire du circuit d'isolateur d'entrée 24, à un circuit de surveillance 71 qui y est contenu. Le circuit de surveillance 7l fournit un signal d'invalidation de sortie (OD) aux circuits d'isolateur de sortie/excitateur 25 et 26 par l'intermédiaire de l'isolateur d'entrée 24. Comme le montrent de manière plus spécifique les Fig. 2 et 5, le circuit de surveillance 71 comprend deux dispositifs à temps monostables 72 et 73 qui peuvent être, par exemple, des dispositifs à temps 555 câblés de manière à fonctionner dans un mode monostable.
Le circuit de surveillance 71 intervient par réception du signal d'exécution (CSR) lorsqu'il est revendiqué dans le programme d'inter-
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ruption d'horloge de calculateur ISC en 69. Le signal est appliqué à une extrémité d'un condensateur 74, dont l'autre extrémité est connectée à l'anode d'une diode 75, à une résistance 76 et à l'entrée de déclenchement (TR) du premier dispositif à temps 72. La cathode de la diode 75 et l'autre extrémité de la résistance 76 ainsi qu'une résistance de synchronisation 77 et les bornes de remise à zéro (R) et d'alimentation (V) du premier dispositif à temps 72 sont connectées à une source de tension positive V.
L'autre extrémité de la résistance de synchronisation 77 ainsi qu'un condensateur de synchronisation 78 sont connectés aux bornes de seuil (TH) et de décharge (D) du premier dispositif à temps 72. L'autre extrémité du condensateur de synchronisation (79) est connectée à la masse. Un condensateur de dérivation 79 est connecté de la borne de tension de commande (CV) du premier dispositif à temps 72 à la masse pour assurer l'immunité contre le bruit. Le condensateur 74 et la résistance 76 forment un différentiateur d'impulsion et la diode 75 bloque des excursions positives vers le niveau de tension positif V. Lorsque le signal d'exécution (CSR) appliqué au condensateur 74 est mis à un, tandis que l'autre côté, au niveau du point de jonction A, est maintenu élevé, aucune charge n'est présente sur le condensateur 74.
Cependant, lorsque le signal d'exécution (CSR) est remis à zéro à un moment t (O) par le programme principal de calculateur ISC en 57, le point de jonction
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passe à une valeur logique 0 et le condensateur 74 commence à se charger. Le passage à la valeur logique 0 déclenche également le premier dispositif à temps 72, de sorte que sa sortie B passe à la valeur logique 1.
En même temps, le condensateur de synchronisation 78, qui a été maintenu déchargé, commence à se charger, comme indiqué par la ligne en traits interrompus C (t).
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Lorsque le condensateur de synchronisation 78 se charge approximativement aux 2/3 de la tension de source V après une période T3 d'environ 100 microsecondes, la sortie B du premier dispositif à temps 72 revient à une valeur logique. La sortie B du premier dispositif à temps 72 passe donc à une valeur logique 1, puis revient à une valeur logique pour fournir une impulsion de détection 20.
La sortie B du premier dispositif à temps 72 est connectée à un inverseur 81 dont l'autre extrémité est connectée aux bornes de seuil (TH) et de déclenchement (TR) du second dispositif à temps (73) en même temps qu'une résistance de synchronisation 82 et un condensateur de synchronisation 83. L'autre extrémité de la résistance de synchronisation 82, ainsi que les bornes de remise à zéro (R) et d'alimentation (V) du second dispositif à temps 73 sont connectées à la source de tension positive (V). L'autre extrémité du condensateur de synchronisation 83 ainsi qu'un condensateur de dérivation 84 sont connectés à la masse, l'autre extrémité du condensateur de dérivation 84 étant connectée à la borne de tension de commande (CV) du second dispositif à temps 73.
Lorsque la sortie B du dispositif à temps 72 passe à la valeur logique 1, la sortie de l'inverseur 81 au niveau du point de jonction C, passe à la valeur logique qui déclenche le second dispositif à temps 73 et force sa sortie, le signal d'invalidation de sortie (OD), à passer à la valeur logique 1 au moment t (O). Le circuit de surveillance 71 est donc mis sous tension au moment t (0) lorsque le premier signal d'exécution (CSR) est remis à zéro. Au même moment, le condensateur de synchronisation 83 commence à se charger. Les valeurs de la résistance de synchronisation 82 et du condensateur de synchronisation 83 sont choisies de manière à fournir une
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période T4 plus courte que la durée du signal de charge (LS) provenant des calculateurs ISC.
En ce qui concerne l'exemple de la machine à dix sections, dans laquelle les signaux de charge (LS) ont approximativement 500 millisecondes, la période T4 de la forme d'exécution préférée est d'environ lOO millisecondes. Comme le délai T2 entre des impulsions d'exécution est sensiblement inférieur à la période de charge T4, environ 14 millisecondes dans l'exemple qui précède, le condensateur de synchronisation 83 se décharge à un moment t (l) parce que la tension de référence au niveau du point de jonction C revient à la valeur logique lorsque la sortie B du premier dispositif à temps 72 passe à une valeur logique 1.
Comme le condensateur de synchronisation 83 se décharge bien avant d'atteindre le niveau de tension requis pour ramener le second dispositif à temps 73 à zéro, le signal d'invalidation de sortie (OD) reste à la valeur logique l.
Le circuit de surveillance 71 reste actif, le signal d'invalidation de sortie (OD) étant à la valeur logique l, jusqu'à ce que le calculateur ISC-l 21 se bloque, le signal d'exécution (CSR) étant mis à 1 ou remis à zéro. En l'absence de la remise à zéro du front postérieur devenant négatif du signal d'exécution (CSR), le condensateur de synchronisation 83 continue à se charger jusqu'à ce qu'il atteigne approximativement les 2/3 de la valeur de la tension positive V après que la période de charge T4 se soit terminée à un moment t (3). A ce moment, le signal d'invalidation de sortie (OD) est revenu à la valeur logique 0.
Dans le cas de l'exemple, même si le calculateur ISC-l 21 se bloque au moment t (2) juste avant que son signal de charge (LS-l) cesse d'être actif, le circuit de surveillance 71 détecte le blocage dans les limites de la période T4 cesse d'être actif au moment t (3) environ
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100 millisecondes dans la période de charge de paraison de 500 millisecondes pour le calculateur ISC-2. Lorsque le circuit de surveillance 71 est désactivé, le signal
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de sortie (OD) passe à la valeur et bloque le signal de charge (LS-1) du calculateur ISC-2, de sorte que le signal de charge de paraison (GLS) cesse également d'être actif au moment t (3).
Cela étant, le solénoïde de paraison 46 est désexcité, amenant le volet de paraison 53 à s'étendre et à faire dévier la paraison 32 pour empêcher cette paraison d'être distribuée au moment où l'opérateur ne s'y attend pas.
Comme mentionné plus haut, la sortie du circuit de surveillance 71 est connectée à chacun des circuits d'isolateur de sortie/excitateur 25 et 26 pour y appliquer le signal d'invalidation de sortie (OD).
Toutes les sorties du calculateur ISC-1 21 sont isolées de la console SOC-1 22 par des opto-isolateurs contenus dans les circuits d'isolateur de sortie/excitateur 25 et 26. D'une manière plus spécifique, la Fig. 6 ne représente qu'un des circuits de sortie 26 et deux parmi les diverses sorties du calculateur ISC-1 21, c'est-à-dire la sortie de validation de relais de démarrage et la sortie de charge de paraison. Chaque sortie est connectée à une entrée d'un circuit-porte NON ET 85 et 96, respectivement, dont les sorties sont connectées aux entrées de cathode de phototransistors à diode électroluminescente 87 et 88, respectivement.
L'autre sortie de chaque circuit-porte NON ET 85 et 86 est connectée à la sortie OD du second dispositif à temps 73. Les sorties d'émetteur des phototransistors à diode électroluminescente 87 et 88 sont connectées aux résistances 89 et 91, respectivement, dont les autres extrémités sont connectées à des résistances 92 et 93 et à des circuits d'excitation 94 et 95, respectivement, qui sont tous mis à la masse. Les circuits
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d'excitation 94 et 95 peuvent être, par exemple, une paire de transistors 94a et 94b connectés à la manière de Darlington.
La sortie du circuit d'excitation 94 de validation de relais de démarrage ainsi que toutes les autres sorties à l'exception de celle du circuit d'excitation de charge de paraison 95 sont connectées à la console SOC 1 22 et fournissent un trajet vers la masse pour un relais de démarrage 96 y contenu. L'autre extrémité du relais de démarrage 96 est connectée à un interrupteur de démarrage 97 normalement ouvert et à deux contacts 98 normalement ouverts, dont les autres extrémités sont connectées en série, par l'intermédiaire d'un interrupteur d'arrêt E 99 normalement fermé, à une source de tension positive V. Un relais à retard 101 est connecté en série avec une autre paire de contacts 102 entre la masse et la source positive de tension V.
Les deux paires de contacts de K2 98 et 101 sont actionnées en position de fermeture lorsque le relais de démarrage K2 96 est excité. Un interrupteur à retard 103 est connecté en série avec un relais d'alimentation 104 entre la masse et la source positive de tension V. L'interrupteur à retard 103 est actionné en position de fermeture lorsque le relais à retard 101 est excité et est déclenché en position d'ouverture approximativement 2 secondes après la désexcitation du relais à retard 101.
La sortie du dispositif d'excitation de charge de paraison 95 est connectée au dispositif GLU 45 et à l'entrée de cathode d'un phototransistor à diode électroluminescente 105 dont l'autre extrémité est connectée en série avec une résistance limiteuse de courant 110a et deux contacts normalement ouverts 106 dans la console SOC-1 22 à la source de tension positive. Les deux contacts de Kl 106 sont amenés en position de fermeture lorsque le relais d'alimentation Kl 104 est excité. La sortie du dispo-
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sitif d'excitation de charge de paraison 95 fournit le signal de charge (LS-l) au dispositif GLU 45 sous la forme d'un trajet vers la masse.
Les systèmes ECS-2 à ECS-N fournissent également des signaux de charge (LS-2 à LS-N, respectivement) à des phototransistors à diode électroluminescente 107 et 108 par l'intermédiaire de résistances connectées en série llOb et llOc dans le dispositif GLU 45 d'une manière analogue. Les sorties des phototransistors à diode électroluminescente 105, 107 et 108 sont connectées en parallèle entre une source de tension positive V et deux résistances 109 et 111 connectées en série, ces dernières étant mises à la masse. La jonction entre les résistances 109 et 111 est connectée à l'entrée d'un circuit de dispositif d'excitation 112 dont la sortie fournit le signal de charge de paraison (GLS) sous la forme d'un trajet vers la masse.
Le signal d'invalidation de sortie (OD) régit le mode des sorties du calculateur ISC-l 21 selon le tableau suivant :
TABLEAU
EMI21.1
<tb>
<tb> MODE <SEP> OD <SEP> SORTIES <SEP> SORTIE <SEP> DU
<tb> DE <SEP> ISC-l <SEP> CIRCUIT <SEP> NON <SEP> ET
<tb> INTERDICTION <SEP> : <SEP> (0 <SEP> 0 <SEP> 1
<tb> Circuit <SEP> de
<tb> surveillance <SEP> ( <SEP>
<tb> 71 <SEP> désactivé,
<tb> ISC-l <SEP> bloqué <SEP> (0 <SEP> 1 <SEP> 1
<tb> VALIDATION <SEP> :
<SEP> (1 <SEP> 0 <SEP> 1
<tb> Circuit <SEP> de
<tb> surveillance <SEP> 71 <SEP> ( <SEP>
<tb> activé, <SEP> ISC-l <SEP> en
<tb> fonctionnement <SEP> (1 <SEP> l <SEP> 0
<tb>
Lorsque le circuit de surveillance 71 est
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ACTIF et que le signal d'invalidation de sortie (OD) est un 1 logique, il valide toutes les sorties du calculateur ISC-1 21 vers la console SOC-1 22 ainsi que la sortie de charge de paraison vers le dispositif GLU 45. Par conséquent, lorsqu'un 1 logique est présenté par la sortie de validation de relais de démarrage du calculateur ISC-1 21 au circuit-porte NON ET 85, ce qui rend sa sortie basse, la diode électroluminescente du phototransistor à diode électroluminescente 87 s'allume et rend le phototransistor conducteur.
A la suite de la chute de tension au passage des résistances 89 et 92, du courant passe du dispositif d'excitation 94, de sorte que sa sortie fournit un trajet vers la masse pour exciter le relais de démarrage de K2 96. Si l'on suppose que le bouton de démarrage 97 est ensuite pressé, le relais de démarrage excité 96 ferme les deux paires de contacts de K2 98 et 102 pour exciter le relais à retard 101 qui ferme l'interrupteur à retard 103 pour exciter le relais d'alimentation 104. Le relais d'alimentation 104 ferme les deux contacts de Kl 106 qui connectent la source de tension positive V à l'entrée d'anode du phototransistor à diode électroluminescente 105 dans le dispositif GLU 45.
De plus, lorsqu'un 1 logique est présenté par la sortie de charge de paraison du calculateur ISC-1 21 au circuit porte NON ET 87, rendant sa sortie basse, le phototransistor à diode électroluminescente 88 est aussi excité, de sorte que la sortie de son dispositif d'excitation 95 fournit le signal de charge (LS-1) sous la forme d'un trajet vers la masse pour l'entrée de cathode du phototransistor à diode électroluminescente dans le dispositif GLU 45.
Cela étant, la sortie d'émetteur du phototransistor à diode électroluminescente 105 fournit un trajet vers la masse partant de l'alimentation de tension positive V et passant par les
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résistances 109 et 111, de sorte que le dispositif d'excitation 112 du dispositif GLU 45 est conducteur pour fournir le signal de charge de paraison (GLS) sous la forme d'un trajet vers la masse. Tous les autres systèmes de commande électronique, ECS-2 18 à ECS-N 19 fonctionnent de la même manière pour fournir un signal de charge correspondant (LS-2 à LS-N, respectivement) à partir duquel la sortie de signal de charge de paraison (GLS) est dérivée.
Dans le cas d'un blocage dans le calculateur ISC-l 21, le circuit de surveillance 71 est désactivé et le signal d'invalidation de sortie (OD) passe à une valeur logique , comme décrit plus haut, pour interdire toutes les sorties du calculateur ISC-l 21 vers la console SOC-l 22, ainsi que la sortie de charge de paraison vers le dispositif GLU 45. Par conséquent, lorsqu'une valeur logique M est présentée au circuitporte NON ET 85, le phototransistor à diode électroluminescente 87 est désexcité, de sorte que la sortie du dispositif d'excitation 94 ne fournit plus un trajet vers la masse, provoquant le déclenchement du relais de démarrage 96.
Cependant, malgré que les deux contacts de K2 102 s'ouvrent, le relais à retard 10l maintient l'interrupteur à retard 103 fermé pendant environ 2 secondes pour maintenir le relais d'alimentation 104 excité, de sorte que tous les mécanismes de façonnage 16 reçoivent du courant pour revenir dans une position de sécurité pour l'opérateur requise par l'état SECURITE. La difficulté malheureuse qui existait avant l'utilisation du circuit de surveillance 71 était le fait que les deux contacts de Kl 106 restaient également fermés pendant deux secondes et maintenaient le phototransistor à diode électroluminescente 105 excité par la source de tension positive V. Cela étant, le signal de charge de paraison (GLS) persistait pendant
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deux secondes.
Cependant, l'utilisation du circuit de surveillance 71 fournit le signal d'invalidation de sortie (OD) qui détecte le blocage d'un calculateur ISC. Par conséquent, lorsque le signal d'invalidation de sortie (OD) devient une valeur logique , la sortie du circuit-porte NON ET 86 est toujours un l logique, quelle que soit la sortie de charge de paraison, pour désexciter le transistor à diode électroluminescente 88, de sorte que la sortie du dispositif d'excitation 95 ne fournit plus le signal de charge (LS-l) ou le trajet vers la masse pour l'entrée de cathode du phototransistor à diode électroluminescente 105.
Cela étant, le phototransistor à diode électroluminescente 105 se désexcite immédiatement, de sorte que la sortie du dispositif d'excitation 112 ne fournit plus la sortie de signal de charge de paraison (GLS) sous la forme d'un trajet vers la masse pour le solénoïde de charge de paraison 46. Cela étant, le circuit de surveillance 71 assure que le volet de paraison 53 se déploie et fasse dévier la paraison 32 pour empêcher sa distribution et éviter de blesser sérieusement l'opérateur.
Bien entendu, l'invention n'est en aucune manière limitée aux détails d'exécution décrits plus haut auxquels de nombreux changements et modifications peuvent être apportés sans sortir de son cadre.