<EMI ID=1.1>
Le détecteur de la présente invention emporte un appareil élec-
<EMI ID=2.1>
générale sur toute nappe d'eau dont il importe de contrôler l'éventuelle
pollution par dès nappes flottantes d'hydrocarbure..
<EMI ID=3.1>
sensibles à la différence de conductivité électrique entre l'eau et les hydro-
<EMI ID=4.1>
qu'à une profondeur égale à l'épaisseur du fila à partir de laquelle on souhaite l'alarme. Le courant de détection, généralement très faible, traverse
<EMI ID=5.1>
électronique, généralement confondu avec la source de courant; élabore l'alarme dès que le courant de détection descend en-dessous d'un seuil prédétermina.
<EMI ID=6.1>
tion indépendante des variations du niveau de la nappe d'eau. Ces appareils
fonctionnent généralement en eaux calmes, mais donnent lieu à de faussée aler-
<EMI ID=7.1>
seur très fine sur les erux calmes,et d'autre part,l'élimination des fausses
alertes en eaux agitées.
Ces fausses alertes proviennent de l'émersion temporaire de l'électrode 1
<EMI ID=8.1>
intempestives, de corps étrangers flottants à proximité de l'électrode-.
L'énumération qui vient d'être faite des difficultés à surmonter
fait comprendre que jusqu'à présent il n'existait pas d'appareil susceptible
<EMI ID=9.1>
doit pouvoir remédier à cette lacune.
<EMI ID=10.1>
consiste à prévoir que la -sonde flottante comprenne un flotteur de détection porteur de 1 'électrode remarquable par sa petite taille et par le fait que les moyens de guidage avec lesquels on le fait coopérer en vue d'éviter sa
<EMI ID=11.1>
et d'osciller quelque peu autour de la position verticale.
Le point fondamental de l'invention réside cependant dans la forme de jupe que l'on donne à l'électrode, en sorte qu'elle coiffe le flotteur de détection dont il vient d'être question et descende jusqu'à l'eau en au moins trois points bien répartis dans la zone périphérique au flotteur de détection.
<EMI ID=12.1>
ses que l'on a délibérément poussées à l'extrême.
La première de ces hypothèses est celle d'une eau parfaitement calme, le fond d'un. puits par exemple : l'immobilité a pour corollaire la permanence de l'alarme, si bien que dans le cas actuel la finesse du film détectable devient le seul objectif recherche.
Cette précision résultera de la parfaite horizontalité du plan que détermine le bord inférieur de la jupe et d'un ajustement précis de l'immersion de ce bord jusqu'à la très faible épaisseur du film d'hydro- carbure. Une construction en symétrie axiale de l'enseoble que constituent le flotteur de détection et son électrode,et la disposition d'un lest, place aussi bas que possible sur une longue tige prolongeant le flot�ur vers le.
<EMI ID=13.1>
chimède pour une perturbation minime., Les variations de niveau de l'eau du puits exigent la liberté exempte de
<EMI ID=14.1>
Eux coulisses à prévoir pour guider le flotteur contre la dériva ou la rotatien. On placera ces coulisses avantageusement sous le niveau de l'eau en
<EMI ID=15.1>
Pour en terminer avec cette première hypothèse d'un puits, on imagine une perturbation, poussée du doigt par exemple, qui ferait osciller le flotteur pendant quelque temps. Tant que dureront 'les mouvements d'oscillation, la détection de l'alarme sera interrompue, la jupe crevant le film
<EMI ID=16.1>
térêt de l'appareil électronique à mémoire peut être pris en considération.
On examine maintenant, en tant que deuxième hypothèse, le cas d'une mare sur laquelle le vent crée des petites vagues que l'on suppose distantes de 20 cm. de crête à crête. On suppose encore, afin de faire un raisonnement par l'absurde, que l'on dispose d'un flotteur de détection visiblement trop grand, portant par exemple une électrode-jupe de 60 cm.de diamè-
<EMI ID=17.1>
crêtes de vagues, crèvera en plusieurs endroits un film d'hydrocarbure suppo-
sé très fin.
Cette image montre qu'il y a lieu de miniaturiser le flotteur de détection autant qu'il est possible de le faire. Néanmoins dès que les portejupes ont un diamètre inférieur à 100 irai. , les vagues courtes qui pourraient
les lécher ont une hauteur suffisamment réduite pour ne pas gêner la détec-
<EMI ID=18.1>
Dans le cas qui vient d'être examiné, on avait négligé l'inclinai-
<EMI ID=19.1>
mètre porté par le flanc oblique d'une très grande vague de l'Océan Pacifique. = On suppose encore que le flanc de la vague est bien lisse et que le vent,qui vient de tomber, n'y imprime aucune ride secondaire. Le flotteur est moins incliné que ne l'est le flanc de la vague, la position de son lest contri-
<EMI ID=20.1> grande vague. Il est bon que le guidage du flotteur lui permette alors d'osciller et d'entretmir quelque peu, en vertu de son inertie pendulaire,
les impulsions d'oscillation reçues au moment du creux et du sonnet afin
de multiplier les occasions du parallélisme de la jupe et du plan. Il est heureux par ailleurs que le flanc d'une grande vague ne soit jamais aussi lisse qu'on l'a supposé et que le flotteur soit secoué par des. vagues secondaires de petite amplitude.
Le raisonnement ci-dessus revenait à admettre que la condition nécessaire à l'alarme pour un film mince revenait au parfait parallélisme
du plan d'eau et du bord de la jupe. Cependant si l'on entend détecter un
film infiniment mince, la condition nécessaire est plus sévère encore : les deux plans dont on vient de parler doivent être non seulement parallèles
mais encore tous deux horizontaux, afin d'éliminer l'erreur d'obliquité en vertu de laquelle la profondeur d'immersion de la jupe est à corriger par le cosinus de l'angle d'inclinaison. En vue de corriger cette erreur angulaire et d'améliorer la précision dans le cas de la grande vague, on recommande de faire flotter le flotteur de détection au sein d'un flotteur auxiliaire qui délimite
<EMI ID=21.1>
par temps calme le même niveau moyen que l'eau ambiante. Une au moins des communications est prévue à cheval sur ce niveau moyen de façon à permettre l'entrée du film d'hydrocarbure dans le bassin flottant.
Le flotteur auxiliaire est constitué par des corps flottants dispo-
<EMI ID=22.1>
nées pour la construction du flotteur de détection restent d'application construction légère, lest aussi bas que possible, moyens de guidage contre la rotation et la dérive sous le niveau de l'eau avec liberté de mouvements verticaux et d'oscillations relatives-
Si nécessaire, on placera ce flotteur auxiliaire au sein d'un bassin déterminé par un second flotteur auxiliaire plus grand, et ainsi de suite. Chaque flotteur est un peu coins incliné que le plan moyen de l'eau qui le porte, l'eau de chaque bassin ayant une tendance générale à être en moyenne moins inclinée que le bassin qui la contient. On comprend que si l'on raisonne statistiquement, on finira par avoir plus de chance de trouver un niveau d'eau horizontal dans le bassin le plus_.intérieur de l'ensemble.
Il est clair, que c'est au bassin le plus extérieur qu'il y a lieu de fixer les moyens de coopération en vue des guidages avec les points fixes.
<EMI ID=23.1>
liaires et l'on attache l'ancre au bassin auxiliaire extérieur. On dispose sur ce bassin une couverture cettant l'ensemble à l'abri du vent. Oa prend les dis-
<EMI ID=24.1>
<EMI ID=25.1>
flotteur auxiliaire. Il est en effet exceptionnel que l'on rencontre un cas pratique dans lequel ce flotteur auxiliaire ce se justifierait pas.
Même dans un puits les variations de niveau sont habituellement trop grandes pour qu'il soit possible de concevoir des moyens de guidage fixes coopérant directement avec le petit flotteur de détection.
La figure 1 représente en coupe une exécution particulière d'un flotteur de détection reposant sur de l'eau calme. La profondeur d'inversion de l'électrode en forme de jupe (11) est finement: ajustée
par la vis (13) et bloquée à la valeur désirée par le contre-écrou (14). On a placé le lest (12) aussi bas que possible sur la longue tige (15)
qui sert de quille au flotteur. On remarque une petite pièce excentrée (16)
à ajuster en position par le serrage de la vis (17). Cette pièce (16) constitue un balourd destiné à compenser les imperfections de centrage dans la fabrication; l'ajustement se fait en plaçant le flotteur sur un plan d'eau
<EMI ID=26.1>
d'immersion de l'électrode rigoureusement constante sur tout son pourtour.
La figure 2 est une coupe dans le flotteur de la figure 1 au niveau d'une plaque de guidage (18) qui appartient soit au premier des flotteurs auxiliaires entourant le flotteur de détection, soit à la masse fixe dans les cas exceptionnellement faciles. Oa a prévu en (19) un jeu <EMI ID=27.1>
traînerait des noeuds dans le fil électrique très fin et très souple (21) qui relie l'élsctrode (11) à l'appareil de détection (23) dont on a relié <EMI ID=28.1> La figure 3 représente une autre exécution variante du flotteur de détection. Elle comporte une électrode-jupe déterminée par trois bras <EMI ID=29.1>
phérique au flotteur.
On préférera cependant l'exécution variante de la figure 1 qui
<EMI ID=30.1>
La figure 4 représente cette sonde flottante en coupe, alors qu'elle <EMI ID=31.1>
coupa verticale, mais sur le flanc d'une longue vague.
La figure 5 est une vue en plan.
<EMI ID=32.1>
Ce flotteur est pourvu d'une couverture (53), mettant les flotteur* qu'il contient à l'abri du vent..
<EMI ID=33.1>
Ce niveau doyen d'eau est horizontal dans le cas de la figure 4 . Par contre, il constitue une ligne brisée, dont la pente décroît au fur et mesure qu'on se rapproche du centre de la sor�e dans le cas de la figure 6.
<EMI ID=34.1>
dans chacun des bassins qui se suivent serait fort difficile à faire si l'on entendait en suivre l'évolution à chaque moment.
On remarque que chaque flotteur auxiliaire est perte par des corps légère
<EMI ID=35.1>
<EMI ID=36.1>
(57a) à placer dans des quilles multiples.
<EMI ID=37.1> <EMI ID=38.1>
tion de plusieurs impulsions d'alarme. -
On voit par les exemples illustrés aux figures qu'il y aura
lieu de proportionner le nombre de flotteurs auxiliaires à la difficulté du.
cas. Pour les eaux réputées calaos, l'exécution avec un seul flotteur auxi�
<EMI ID=39.1>
REVENDICATIONS
1. Détecteur de fila d'hydrocarbure sur les eaux, du type fonctionnant par
mesure de la conductivité électrique de la couche superficielle, comportant d'une part, une sonde flottante et d'autre part, un appareil électronique élaborant l'alarme, caractérisé en ce que la sonde flottante cocporte un
<EMI ID=40.1>
ment et d'osciller quelque peu autour de sa position verticale, surmonté d'une électrode en forme de jupe qui le coiffe.en descendant jusqu'au liquide en au moins trois points répartis dans sa zone périphérique, et caractérisé, pour ce qui concerne l'appareil électronique, en ce que ledit appa-
<EMI ID=41.1>
que celles-ci sont fugitives.
<EMI ID = 1.1>
The detector of the present invention includes an electrical apparatus.
<EMI ID = 2.1>
general on any body of water whose possible
pollution by floating oil slicks.
<EMI ID = 3.1>
sensitive to the difference in electrical conductivity between water and hydro-
<EMI ID = 4.1>
only to a depth equal to the thickness of the fila from which the alarm is desired. The detection current, generally very low, flows through
<EMI ID = 5.1>
electronic, generally confused with the current source; generates the alarm as soon as the detection current drops below a predetermined threshold.
<EMI ID = 6.1>
tion independent of variations in the water table level. These devices
generally operate in calm waters, but give rise to distorted
<EMI ID = 7.1>
very fine soreness on calm eruxes, and on the other hand, the elimination of false
rough water alerts.
These false alarms come from the temporary emergence of electrode 1
<EMI ID = 8.1>
unwanted foreign bodies floating near the electrode.
The above list of the difficulties to be overcome
makes it clear that until now there was no device capable of
<EMI ID = 9.1>
must be able to remedy this shortcoming.
<EMI ID = 10.1>
consists in providing that the floating probe comprises a detection float carrying the electrode, remarkable for its small size and for the fact that the guide means with which it is made to cooperate in order to avoid its
<EMI ID = 11.1>
and oscillate somewhat around the vertical position.
The fundamental point of the invention, however, lies in the form of a skirt that is given to the electrode, so that it covers the detection float just mentioned and goes down to the water in at least three points well distributed in the zone peripheral to the detection float.
<EMI ID = 12.1>
its that we have deliberately taken to the extreme.
The first of these hypotheses is that of perfectly calm water, the bottom of one. well for example: immobility has as a corollary the permanence of the alarm, so that in the current case the fineness of the detectable film becomes the only objective sought.
This precision will result from the perfect horizontality of the plane determined by the lower edge of the skirt and from a precise adjustment of the immersion of this edge down to the very small thickness of the hydrocarbon film. An axially symmetrical construction of the ground formed by the detection float and its electrode, and the arrangement of a ballast, places as low as possible on a long rod extending the flow towards the heart.
<EMI ID = 13.1>
chimedes for minimal disturbance., Variations in the level of the well water require freedom from
<EMI ID = 14.1>
Them wings to be planned to guide the float against the drift or the rotatien. These slides are advantageously placed below the water level by
<EMI ID = 15.1>
To end with this first hypothesis of a well, we imagine a disturbance, pushed by the finger for example, which would make the float oscillate for some time. As long as the oscillating movements last, the detection of the alarm will be interrupted, the skirt puncturing the film
<EMI ID = 16.1>
The interest of the electronic memory device may be taken into consideration.
We now examine, as a second hypothesis, the case of a pond on which the wind creates small waves which are assumed to be 20 cm apart. from peak to peak. We also suppose, in order to reason by the absurd, that we have a detection float visibly too large, carrying for example a skirt electrode of 60 cm. In diameter.
<EMI ID = 17.1>
wave crests, will burst in several places a film of hydrocarbon suppo-
very fine.
This image shows that the detection float should be miniaturized as much as possible. However, as soon as the skirt hangers have a diameter of less than 100 go. , the short waves that could
the licks have a height reduced enough not to interfere with the detection
<EMI ID = 18.1>
In the case which has just been examined, the inclination was neglected.
<EMI ID = 19.1>
meter carried by the oblique flank of a very large wave in the Pacific Ocean. = We still suppose that the side of the wave is very smooth and that the wind, which has just fallen, does not imprint any secondary ripple on it. The float is less inclined than the side of the wave, the position of its ballast
<EMI ID = 20.1> big wave. It is good that the guide of the float then allows it to oscillate and maintain somewhat, by virtue of its pendular inertia,
the oscillation pulses received at the time of the trough and the sonnet in order to
to multiply the opportunities for parallelism of the skirt and the plane. It is also fortunate that the side of a big wave is never as smooth as it was supposed and that the float is tossed about. secondary waves of small amplitude.
The above reasoning amounted to admitting that the condition necessary for the alarm for a thin film came back to perfect parallelism.
the body of water and the edge of the skirt. However, if one intends to detect a
infinitely thin film, the necessary condition is even more severe: the two planes just mentioned must not only be parallel
but still both horizontal, in order to eliminate the skew error by virtue of which the immersion depth of the skirt is to be corrected by the cosine of the angle of inclination. In order to correct this angular error and improve the precision in the case of the big wave, it is recommended to make the detection float float within an auxiliary float which delimits
<EMI ID = 21.1>
in calm weather the same average level as ambient water. At least one of the communications is provided straddling this average level so as to allow the entry of the hydrocarbon film into the floating basin.
The auxiliary float consists of floating bodies available
<EMI ID = 22.1>
born for the construction of the detection float remain of application light construction, ballast as low as possible, guiding means against rotation and drift under water level with freedom of vertical movements and relative oscillations -
If necessary, this auxiliary float will be placed within a basin determined by a second larger auxiliary float, and so on. Each float is slightly inclined at the corners than the mean plane of the water carrying it, the water in each basin having a general tendency to be on average less inclined than the basin which contains it. We understand that if we reason statistically, we will end up having a better chance of finding a horizontal water level in the most interior basin of the whole.
It is clear that it is at the outermost basin that it is necessary to fix the means of cooperation with a view to guiding with the fixed points.
<EMI ID = 23.1>
liaires and the anchor is attached to the external auxiliary basin. A cover is placed on this basin, sheltering the whole from the wind. Oa takes the dis-
<EMI ID = 24.1>
<EMI ID = 25.1>
auxiliary float. It is indeed exceptional that we encounter a practical case in which this auxiliary float would not be justified.
Even in a well, the level variations are usually too large for it to be possible to design fixed guide means cooperating directly with the small detection float.
FIG. 1 shows in section a particular embodiment of a detection float resting on still water. The inversion depth of the skirt-shaped electrode (11) is finely: adjusted
by the screw (13) and locked at the desired value by the lock nut (14). We put the ballast (12) as low as possible on the long rod (15)
which serves as a keel for the float. We notice a small eccentric part (16)
to be adjusted in position by tightening the screw (17). This part (16) constitutes an unbalance intended to compensate for the centering imperfections in the manufacture; the adjustment is made by placing the float on a body of water
<EMI ID = 26.1>
rigorously constant immersion of the electrode over its entire periphery.
Figure 2 is a section through the float of Figure 1 at a guide plate (18) which belongs either to the first of the auxiliary floats surrounding the detection float, or to the fixed mass in exceptionally easy cases. Oa planned in (19) a set <EMI ID = 27.1>
would drag knots in the very fine and very flexible electric wire (21) which connects the electrode (11) to the detection device (23) which has been connected <EMI ID = 28.1> Figure 3 represents another variant execution of the detection float. It has a skirt electrode determined by three arms <EMI ID = 29.1>
pherical to the float.
However, we prefer the variant of FIG. 1 which
<EMI ID = 30.1>
Figure 4 shows this floating probe in section, while it <EMI ID = 31.1>
cut vertically, but on the side of a long wave.
Figure 5 is a plan view.
<EMI ID = 32.1>
This float is provided with a cover (53), sheltering the floats * it contains from the wind.
<EMI ID = 33.1>
This oldest water level is horizontal in the case of figure 4. On the other hand, it constitutes a broken line, the slope of which decreases as one approaches the center of the outlet in the case of figure 6.
<EMI ID = 34.1>
in each of the basins which follow one another would be very difficult to do if one intended to follow their evolution at each moment.
Note that each auxiliary float is lost by light bodies
<EMI ID = 35.1>
<EMI ID = 36.1>
(57a) to be placed in multiple pins.
<EMI ID = 37.1> <EMI ID = 38.1>
tion of several alarm pulses. -
It can be seen from the examples illustrated in the figures that there will be
instead of proportioning the number of auxiliary floats to the difficulty of the.
case. For waters known as hornbills, the execution with a single auxi float �
<EMI ID = 39.1>
CLAIMS
1. Hydrocarbon fila detector on water, of the type operating by
measurement of the electrical conductivity of the surface layer, comprising on the one hand, a floating probe and, on the other hand, an electronic device generating the alarm, characterized in that the floating probe contains a
<EMI ID = 40.1>
ment and to oscillate somewhat around its vertical position, surmounted by a skirt-shaped electrode which covers it. descending to the liquid in at least three points distributed in its peripheral zone, and characterized, as regards the electronic apparatus, in that said apparatus
<EMI ID = 41.1>
that these are fugitive.