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"Procédé et machine pour la confection de collants".
Cette invention a pour objets un procédé ainsi que les machines capables d'appliquer ce procédé en vue de la confec- tion industrielle de vêtements dits collants par le couplage de deux bas.
Le procédé selon l'invention a pour but essentiel de permettre une telle fabrication industrielle à rythme accéléré et dans des conditions économiques avantageuses. De plus, ce procédé et les machines qui en permettent l'application sont tels qu'il ne requièrent aucune main-d'oeuvre spécialisée ; la confection des collants est simple, systématique et sans aucune opération délicate ou préjudiciable ; les déchets de fabri- cation sont pratiquement inexistants et qu'aussi bien le procédé que les machines subséquentes sont applicables, prati-
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quement, pour toutes qualités de bas.
Le procédé Ion l'invention consiste substantiellement à suspendre deux bas d'une telle manière qu'au moins la partie supérieure, légèrement ouverte, de l'un soit disposée en face de la partie supérieure, légèrement ouverte, de l'autre, les pieds desdits bas étant orientés dans le même sens; à pratiquer, dans lesdites parties supérieures adjacentes des deux bas, à partir de leur bord supérieur et sur une certaine hauteur, une incision longitudinale; à écarter l'une de l'autre les deux paires de lèvres desdites incisions ainsi réalisées de manière à les amener au moins approximativement dans le prolongement l'une de l'autre ; àsolidariser mutuellement lesdites paires de lèvres adjacentes et, enfin, à évacuer le collant ainsi confec- tionné.
Ce procédé peut évidemment être assorti de toutes phases complémentaires ou accessoires. Les machines capables d'appli- quer ce procédé peuvent également se présenter sous des combi- naisons mécaniques ou électromécaniques diverses. En substance, une machine pour appliquer ledit procédé consiste en la combi- naison, de préférence sur un même bâti, d'un moyen pour permettre de suspendre deux bas d'une telle manière qu'au moins la partie supérieure, légèrement ouverte, de l'un soit disposée en face de la partie supérieure, légèrement ouverte, de l'autre, les pieds aesdits bas étant orientés dans le même sens; d'un moyen pour pratiquer, dans lesdites parties supérieures adjacentes des deux bas, à partir de leur bord supérieur et sur une certaine hauteur, une incision longitudinale ;
moyen pour écarter l'une de l'autre les deux paires de lèvres desdites incisions ainsi réalisées de manière à les amener au moins approximative- ment dans le prolongement l'une de l'autre; et enfin, d'un moyen pour solidariser mutuellement lesdites paires de lèvres adjacentes, et enfin, à évacuer le collant ainsi confectionné.
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Un tel groupement d'éléments peut évidemment être réalité de manières variables,notamment au prorata des desiderat a dans les rythme* et qualité* de production.
C'ast donc' simple titre d'exemple, sans aucun caractère limitatif, qu'une exécution est décrite en détail ci-après en se référant aux dessins annexée qui, pour plus de clarté, ont été établis d'une maniera schématique. Ces dessins ont essentiellement pour but d'établir la nature, la position relative et la fonction des éléments essentiels intervenant dans l'exposé tant du procédé que des machines capables d'ap- pliquer ce procédé.
Dans ces dessins: la figure 1 est une vue frontale des éléments essentiels d'une machine selon l'invention, la machine étant représentée dans sa position de repos; la figure 2 est une vue latérale en direction de la flèche F2 de la figure 1 ; la figure 3 est une vue en plan de la figure 1; la figure 4 est, à échelle agrandie, une vue de la partie indiquée en F4 dans la figure 3; la figure 5 est une vue partielle en direction de la flèche F5 de la figure 2; la figure 6 est une vue frontale de la partie indiquée en F6 dane la figure 1, la machine étant représentée dans une première position caractéristique; la figure 7 est une vue latérale de la figure 6 ; la figure 8 est, à plus grande échelle, une coupe selon la ligne VIII-VIII de la figure 6;
la figure 9 est une vue semblable à celle de la figure 6, la machine étant représentée dans une deuxième position caractéristique; la figure 10 est une vue latérale de la figure 9;
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la figure 11 est, à plus grande échelle, une coupe selon la ligne XI-XI de la figure 10; la figure 12 est une vue semblable à celle de la figure 7, la machine étant représentée dans une troisième position caractéristique; la figure 13 est une coupe, à plus grande échelle, selon la ligne XIII-XIII de la figure 12; la figure 14 est une coupe selon la ligne XIV-XIV de la figure 13; la figure 15 est une vue semblable à celle de la figure 7, la machine étant représentée dans une quatrième posi- tion caractéristique; la figure 16 est, à plus grande échelle, une coupe selon la ligne XVI-XVI de la figure 15;
les figures 17 et 18 sont des coupes, respectivement selon les lignes XVII-XVII et XVIII-XVIII de la figure 16; la figure 19 est une vue semblable à celle de la figure 6, la machine étant représentée dans une cinquième position caractéristique ; la figure 20 est une vue latérale de la figure 19; la figure 21 est une vue semblable à la figure 18 mais correspondant à la position de la machine représentée à la figure 19 ; la figure 22 est une vue frontale semblable à la figure 1, la machtine étant représentée dans une sixième position carac- téristique ; la figure 23 est une coupe à plus grande échelle suivant la ligne XXIII-XXIII de la figure 22; la figure 24 est, à moindre échelle,, une we partielle en direction de la flâche F24 de la figure 23;
les figures 25, 26 et 27 sent des vues samblables à celle de la figure 23 mais relatives à trois autres positions
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caractéristiques; la figure 28 est, à moindre échelle, une vue selon la flèche F28 de la figure 27; la figure 29 est une vue semblable à la figure 24 mais pour une autre position caractéristique de la machine.
Dans cette exécution, une machine selon l'invention pour la confection de collants à partir de deux bas ordinaires est essentiellement constituée par la combinaison suivante : machine comporte un bâti général 1 formé substantiellement d'au moins deux châssis latéraux 2-3 mutuellement solidarisés par des entretoises 4-S-6-7-8 dont les trois dernières 6-7-8 font, en l'occurrence, office de glissière pour un équipage mobile qui sera décrit ultérieurement. A légère distance de l'une de leurs extrémités, les entretoises 4-5 sont réunies entre elles par des traverses 9-10; sur chacune de celles-ci est montée une paire démontants verticaux, respectivement 11-12 et 13-14.
Les bouts desdites paires de montants verticaux 11-12, d'une part, et 13-14, d'autre part, sont également solidarisés entze eux par des traverses, respectivement 16-16. De plus, la liaison entre ces deux paires de montante verticaux peut être complétée par des tringles supplémentaires, 17-18, par exemple. Sur ladite tringle 18 sont fixés deux guides verticaux 19-20 lesquels traversent, chacun, une languette, respectivement 21-22 , elle-même fixée sur une traverse, respectivement 23-24, solidarisée auxdites paire. de montant@, respactivement 11-12 et 13-14.
Sur lesdits guides verticaux 19-20 peut coulisser un curseur 25. Celui-ci est solidarisé à la partie bile d'un vérin pneumatique 25 dont la partie fixe est elle-même rend. solidaire, via des pattu de fixation 27-28. du susdit montant 12. De plus . ledit curseur 25 est solidarisé à la partie fixa
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d'un deuxième vérin pneumatique 29 dontle bout libre de la tige mobile 30 est fixé à un chariot coulissant 31 lequel est posi- tivement guidé, via deux paires de pattes 32-33 et 34-35 , par lesdits guides 19-20. Ledit chariot 31 est aménagé de manière à réaliser une forme 36 destinée à fixer, en position convenable, la partie supérieure de deux bas en vue de l'application du procédé de confection selon l'invention.
En l'occurrence, cette forme 36 est constituée par deux plaquettes 37 en porte-à-faux, parallèles entrp 3lles sur une certaine partie de leur longueur et légèrement convergentes vers leur bout libre. Ces deux pla- quettes présentent, chacune, une fente médiane 38 de sorte que chaque forme, pour la fixation d'un bas, est constituée par deux demi-plaquettes mutuellement opposées, respectivement 39-40 et 41-42,. D'autre part, la susdite tringle 17 est, en son milieu, pourvue d'une languette en porte-à-faux 43 a laquelle est fixée la partie fixe d'un vérin pneumatique 44 dont la partie mobile 45 eat, à son bout libre, garnie d'un élément
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thermo-coupeur 46, formée par exemple, par une résistance dise- trique.
Sur les glissières horizontal.. 6-7, via des pattes
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.!1-!I. et a9-60, prend appui un chariot coulissent 11. Par Ilintera6diaire d'un montant 62 ce chariot eoulissant est soli- darisé, en l'occurrence, à la tige 53 d'un vérin pneumatique
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dont la corps IL* est fixé en bout et c08X:1al.eftt au corps 11 d'un deuttieme vérin dont la tige µµ cet, à son bout libre, fixée au outais 3 du btti 1.
Sur la ouriot eeMlieeent t fixé, par son bout eupérieur, un montent J! pourvu d'une patte tw'!8F86. par la aUdits eliweière !. Arit wonteat il est welideriwée la partis fixe Il d'un vérin P tiqtàe. Là partis mobile 60 de 00 dentier cet, en baut, 9 ga " d'une double fCN1'G118 a, eux 081.18-0± eont fixée dem pilote 11-11 sur 1......1.., 8I't1.cna1',
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respectivement, l'un des bouts des tringles 64-65. Sur l'autre bout desdites tringles, est fixé un élément tubulure, respec- tivement 66-67, traversant, à frottent doux, des fentes diver- gentes, respectivement 68-69, présentées par le susdit chariot coulissant 51. De l'autre c6té de ce dernier lesdits éléments tubu)aires 66-67 sont pourvus de mâchoires, respectivement 70- 71.
La solidarisation entre les éléments tubulaires et les mâchoires est assurée dans la partie supérieure de celles-ci afin de laisser entièrement libre leur partie inférieure pour en permettre la libre pénétration dans la partie supérieure des bas et, par conséquent, pour permettre aussi la fixation de ceux-ci. En regard de chacune desdites mâchoires 70-71 est disposée une seconde mâchoire, respectivement 72-73. Chacune de celles-ci est fixée à l'élément Mobile, respectivement 74-75, d'un vérin pneumatique dont les parais fixes 76-77 sont fixées aux extrémités correspondantes des susdites tringles
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71#-76. De plue, lea ausdites parties mobiles 74-75 dudit vérin traversent ooexielement les suedite tubes correspondants 66-67.
Par l' :1ntiair8 dun support ad hoc 78 aménagé dans le bâti 1, à distance convenable du chariot coulissant 51 en position initiale, sont fixée un dispositif ou une machine à coudre 79 et. proximité de celle-ci, un dispositif thermo-
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oowoew 0 dtsposi en bout de l'élément mobile d'un vérin 81 lequel est, via une trmveree 82, dtiment fixé sur les entretoices -Ut Iatre la po8it108 de repos dudit chariot coulissant 51., d'wmt part, et 1'.,18o-..t de ladite aaohme à coudre 79.
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via un pivot 87, un électro-aimant 88 à noyau mobile 89. Ce dernier est, via un pivot 90, articulé sur une deuxième potence 91, fixée sur le corps 92 d'un vérin pneumatique. Ce, vérin prend librement appui, via de pivote 93, sur une troisième potence fixe 94, solidaire du bord supérieur du susdit chariot coulissant 51.
La partie mobile 95 dudit vérin oscillant est, à son bout libre, garnie d'une masselotte 96. Celle-ci est fixée à l'un des bouts d'un ressort de rappel 97 dont l'autre bout est fixé en bout d'une potence 98 solidaire du chariot coulis- sant 51. D'autre part, dans ladite masselotte 96 est engagé, d'une manière à pouvoir tourner librement, un ergot 99 portant en porte-à-faux une aiguille 100. La machine est complétée par un vérin horizontal dont la partie fixe 101 prend appui sur le bâti 1 et dont la partie mobile formée par une longue tige 102 est disposée en amont de la position de repos du chariot coulis- sant 51.
Le fonctionnement de la machine ainsi constituée est comme suit, considérant, au départ, ladite machine en position de repos telleque représentée aux figures 1 à 5.
Dans la machine décrite, un cycle opérationnel complet consiste, en principal,à fixer correctement deux bas constitutifs d'un collant, à pratiquer une incision simultanément dans les deux bas ; à déplacer les deux paires de lèvres des incisions ae manière à les amener en alignement ; parfaire ledit aligne- ment; à coudre entres elles lesdites lèvres voisines ; à sectionner le fil et à évacuer le collant terminé.
Pour fixer correctement les deux bas 103-104 , il suffit de glisser, sur chaque paire de supports 39-40 et 41-42 de la forme 36, la partie supérieure d'un bas ordinaire, dans une telle position que considérant les deux bas librement suspendus, les pieds soient orientés parallèlement et dans le même sens.
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Dans cette position, les bas présentent deux face* supérieure* 105-106 parallèles et légèrement écartées l'une de l'autre.
A ce moment, le vérin pneumatique 26 est mis sous pression en sorte que son élément mobile entraîne simultanément vers le haut et sur une distance, par exemple de l'ordre de vingt centimètres, le curseur 25 , le vérin 29-30, le chariot 31 et la forme 36 avec les bas qu'elle porte. Dans cette position, lesdites parties 105-106 voisines des bas se trouvent disposées entre les paires de mâchoires, respectivement 70-72 et 71-73.
Sont ensuite mis sous pression les vérins 74-76 et 75-77 , ce qui provoque la fermeture desdites mâchoires 70 à 73 et, par conséquent, la mise en contact et l'immobilisation desdites parties 105-106 des bas, respectivement 103-104.
Pour séparer la forme 36 des bas en laissant ceux-ci fixés et suspendus aux mâchoires 70 à 73, on met sous presion les vérins 29-30. Il en résulte que la forme 36 est amenée à un niveau sensiblement supérieur, abandonnant ainsi le bas 103- 104. Dans cet état, pour pratiquer l'incision 107, il suffit de mettre sous pression le vérin 44-45 portant l'élément thermo- coupeur 46. La course dudit vérin étant dQment préréglée,ledit élément thermo-coupeur est abaissé d'une quantité exactement égale à la longueur de l'incision, après quoi le vérin est relâché et l'élément thermo-coupeur est à nouveau amené dans sa position haute ou position d'attente.
Pour amener les paires de lèvres de l'encision 107 en prolongement mutuel et, en l'occurrence, dans un plan horizontal, on met sous pression le vérin 59-60. L'élément mobile de ce vérin sollicite vers le haut les tringles 64-65 dont les bouts solidaires des éléments tubulaires 66-67, étant positivement guidés dans les fentes divergentes 68-69, s'écartent progressive- ment.
Comme les éléments tubulaires 66-67 sont solidaires de
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l'une des mâchoires, respectivement 70-71 de chaque paire, celles-ci sont entraînées dans le même mouvement positivement guidé qui les écarte progressivement l'une de l'autre et amène finalement les bords de l'incision en prolongement mutuel et en position horizontale. à l'exception de la partie voisine de la partie intérieure de l'incision qui se maintient en fin de course desdites paires de mâchoires à un niveau légèrement inférieur.
En raison du fait qu'au départ les paires de mâchoires 70-72 et 71-73 sont mutuellement écartées, on obtiendra, après l'immobilisation desdites paires de mâchoires dans leur posi- tion écartée, qu'il subsistera, au-dessus desdites mâchoires, une partie de bas dépassante 108 dont la largeur sera égale à la moitié de la susdite distance initiale entre lesdites paires de mâchoires et suffisante pour permettre la couturelultérieure.
La phase suivante consiste à parfaire l'alignement dea paires de lèvres de l'incision 107 pendant que l'équ-ipage mobile portant les bas est amené en présence du mécanisme ou de la machine à coudre 79, ce qui correspond à la fin de course du vérin rapide 55-56. A ce moment, l'électro-aimant 88 est excité ; son noyau 89 se déplace axialement et entraine, dans un mouvement de basculement vers le bas, l'aiguille 100 et les éléments 90 à 96 qui en forment le support. Ce mouvement se fait à l'encontre de l'effet de traction du ressort 97 qui est ainsi mis sous tension. Ce mouvement est tel que la pointe de l'aiguille 100 se trouve, à ce moment, à un niveau inférieur à la susdite partie 109, jonction des deux lèvres de l'incision 107 du tissu.
A ce moment, le vérin 92-95 est actionné, ce qui provoque le déplacement, vers l'avant, de sa partie mobile, c'est-à-dire aussi de l'aiguille 100, laquelle pénètre dans le tissu sous la partie prérappelée 109. Il suffit, dès lors, de couper l'excitation de l'éléctro-aimant 88 pour, sous l'effet
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de traction du ressort de rappel 97, ramener ce noyau 89 en position initiale. Dans ce mouvement de retour, ladite aiguille entraîne, en attirant vers le haut, la susdite partie 109 du tissu, ce qui amène pratiquement les paires de lèvres présen- tées par ledit tissu dans un même alignement X-Y sur toute leur longueur.
Dans le cadre d'une production industrielle et pour augmenter le nombre horaire de collants confectionnés sur une même machine on pourra actionner en sens inverse les vérins 29-30 et 26 de manière à ramener le chariot coulissant 31, et par conséquent aussi les formes 36, en position initiale de départ dès que ledit équipage mobile aura été déplacé par rapport aux formes sur lesquelles sont initialement fixés lestas. Et, dès ce moment, avant que soit terminé le cycle opérationnel en cours, on pourra entamer un nouveau cycle opérationnel en fixant, sur lesdites formes 36, une nouvelle paire de bas ordi- naires. Pendant ce temps, le vérin 53-54 a été alimenté en vue de déplacer à vitesse convenable le chariot coulissant 51, et par conséquent aussi les bas dans leur forme et position susdécrites.
Ainsi, les parties dépassantes 108 desdits bas par rapport aux mâchoires 70 à 73 défilent sous le dispositif ou machine à coudre 79 qui solidarise les paires de lèvres adja- centes de la susdite incision 107. Lorsque, pendant cette opération de couture, ladite partie 109 approche le dispositif de couture, l'aiguille 100 qui soutient toujours la partie cen- trale du tissu, bute contre une partie fixe du dispositif de couture ou du bâti, en s'écartant ainsi du tissu par rotation autour de l'axe de l'ergot 99. En fin de course, après achève- ment de la couture, le vérin 81 est actionné, ce qui amène l'élément thermo-coupeur 80 en contact avec le fil lequel est, ainsi, instantanément sectionné. le chariot coulissant 51 est ensuite déplacé en sens inverse par l'actionnement du vérin 53-
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54.
En fin d'actionnement de ce vérin 53-54, on actionne en sens convenable les vérins 76-77 dont les parties mobiles, res- pectivement 74-75, se déplacent en entraînant chacune une mâchoire, respectivement 72-73, libérant ainsi le tissu. A ce moment, la soufflerie (non représentée) est mise en marche et de l'air est soufflé par les tuyères 83-84-85, chassant ainsi le collant terminé. Le vérin 55-56 est ensuite mis en fonc- tionnement, ce qui provoque le retour de l'équipage mobile dont fait partie le chariot coulissant 51 dons sa position initiale ou de départ. Pendant ce mouvmeent, on actionne le vérin 59-60 lequel ramène les mâchoires 70 à 73 dans leur position initiale,
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respectivement, el.'occurrance, en position verticale.
Egalement, en fin de ces mouvements, lesdites mâchoires ont pénétré dans la partie supérieure des bas supportés par la forme 36. Enfin, le vérin 101-102 est actionné d'une telle manière que son élé- ment mobile 102, repoussant l'aiguille 100, ramène celle-ci dans sa position intiale ou de départ par rapport à ses supports.
La machine est ainsi prête pour un nouveau cycle opérationnel
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lequel est extréaieaent rapide, n'étant que d'une duréede l'ordre de 10 à 12 secondes.
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Il va de roi 6videm nt que les diff6rente vérins, généralement des vérins pneumatiques, hydrauliques ou cléopneu- matiques, devant être actionnés dans un sons ou dans l'autre
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à des lIOI8.nta bien pz4oie, 1*uD circuit d'alimentation fera avantageusement partie d'um 8J'8't de %ion appliquant des moyens co vs ooi (Béa reprisatia).
Dans une for particulière de mise wn CMUYI'8, cette prograwartion pont M8nalter de l':I.a881'tMnt, dans l'8pp8Nil. de miem-mitel -.DM8VNl l88 opportmt pw d pièces on 8OUV-.a't da l'appareü, de Mmière à *1.:I.Mzt une ordonnanoe partait,$ d dii'f<r<nt OP6 tie tell qaeliss ont été pricideoant dioritea. 1p18M11t. 18 ¯oIain8 poa're ltI'8 om-
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plétée par tous éléments ou accessoires complémentaires, notammen en vue d'une plus grande sécurité de manoeuvre. Par exemple, on pourra introduire des moyens rendant l'actionnement des éléments subordonnés au bon fonctionnement de l'élément précé- dent, toutes choses bien connues en matière denachines auto- matiques et qui sont essentiellement variables.
REVENDICATIONS. l.- Procédé pour la confection de collants, caractérisé en ce qu'il consiste substantiellement à suspendre, au même niveau, deux bas d'une telle manière qu'au moins la partie supé- rieure légèrement ouverte de l'un soit disposée en face de la partie supérieure légèrement ouverte de l'autre, les pieds étant orientés dans le même sens lorsque lesdits bas pendent librement à pratiquer, dans lesdites parties supérieures rapprochées des deux bas, une incision longitudinale s'étendant sur une certaine hauteur ; à écarter l'une de l'autre les deux paires de lèvres desdites incisions de manière à les amener, au moins approxima- tivement, dans le prolongement l'une de l'autre; à solidariser mutuellement lesdites paires de lèvres adjacentes et, enfin, à évacuer le collant ainsi réalisé.
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"Process and machine for making tights".
The objects of this invention are a method as well as machines capable of applying this method with a view to the industrial manufacture of so-called tights by the coupling of two stockings.
The main aim of the process according to the invention is to allow such industrial manufacture at an accelerated rate and under advantageous economic conditions. Moreover, this process and the machines which allow its application are such that it does not require any specialized manpower; the making of tights is simple, systematic and without any delicate or damaging operation; manufacturing waste is practically non-existent and that both the process and the subsequent machines are applicable, practical
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cally, for all qualities of stockings.
The process Ion the invention consists substantially in hanging two stockings in such a way that at least the upper part, slightly open, of one is arranged opposite the upper part, slightly open, of the other, the feet of said stockings being oriented in the same direction; in making, in said adjacent upper parts of the two stockings, from their upper edge and over a certain height, a longitudinal incision; in moving the two pairs of lips of said incisions thus produced away from each other so as to bring them at least approximately in line with one another; to mutually join said pairs of adjacent lips and, finally, to remove the pantyhose thus produced.
This process can obviously be combined with any additional or accessory phases. Machines capable of applying this process can also be presented in various mechanical or electromechanical combinations. In essence, a machine for applying said method consists of the combination, preferably on the same frame, of a means for allowing two stockings to be hung up in such a way that at least the upper part, slightly open, of one is arranged opposite the upper part, slightly open, on the other, the lower aes Said feet being oriented in the same direction; a means for making, in said adjacent upper parts of the two stockings, from their upper edge and over a certain height, a longitudinal incision;
means for moving the two pairs of lips of said incisions thus produced away from one another so as to bring them at least approximately in line with one another; and finally, a means for mutually securing said pairs of adjacent lips, and finally, for removing the pantyhose thus made.
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Such a grouping of elements can obviously be realized in variable ways, in particular in proportion to the desiderat in the rhythm * and quality * of production.
It is therefore merely by way of example, without any limiting nature, that an embodiment is described in detail below with reference to the accompanying drawings which, for the sake of clarity, have been drawn up in a schematic manner. The main purpose of these drawings is to establish the nature, the relative position and the function of the essential elements involved in the description, both of the process and of the machines capable of applying this process.
In these drawings: FIG. 1 is a front view of the essential elements of a machine according to the invention, the machine being shown in its rest position; FIG. 2 is a side view in the direction of arrow F2 in FIG. 1; Figure 3 is a plan view of Figure 1; FIG. 4 is, on an enlarged scale, a view of the part indicated at F4 in FIG. 3; FIG. 5 is a partial view in the direction of arrow F5 in FIG. 2; Figure 6 is a front view of the part indicated at F6 in Figure 1, the machine being shown in a first characteristic position; Figure 7 is a side view of Figure 6; Figure 8 is, on a larger scale, a section along the line VIII-VIII of Figure 6;
FIG. 9 is a view similar to that of FIG. 6, the machine being shown in a second characteristic position; Figure 10 is a side view of Figure 9;
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Figure 11 is, on a larger scale, a section along the line XI-XI of Figure 10; FIG. 12 is a view similar to that of FIG. 7, the machine being shown in a third characteristic position; FIG. 13 is a section, on a larger scale, along the line XIII-XIII of FIG. 12; Figure 14 is a section on the line XIV-XIV of Figure 13; Figure 15 is a view similar to that of Figure 7, the machine being shown in a characteristic fourth position; Figure 16 is, on a larger scale, a section along the line XVI-XVI of Figure 15;
Figures 17 and 18 are sections, respectively along lines XVII-XVII and XVIII-XVIII of Figure 16; Figure 19 is a view similar to that of Figure 6, the machine being shown in a fifth characteristic position; Figure 20 is a side view of Figure 19; Figure 21 is a view similar to Figure 18 but corresponding to the position of the machine shown in Figure 19; Figure 22 is a front view similar to Figure 1, the machine being shown in a characteristic sixth position; Figure 23 is a section on an enlarged scale taken on line XXIII-XXIII of Figure 22; Figure 24 is, on a smaller scale, a partial we in the direction of the arrow F24 of Figure 23;
Figures 25, 26 and 27 show views similar to that of Figure 23 but relating to three other positions
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characteristics; FIG. 28 is, on a smaller scale, a view along arrow F28 of FIG. 27; FIG. 29 is a view similar to FIG. 24 but for another characteristic position of the machine.
In this embodiment, a machine according to the invention for making tights from two ordinary stockings is essentially constituted by the following combination: machine comprises a general frame 1 formed substantially from at least two side frames 2-3 mutually secured by spacers 4-S-6-7-8 of which the last three 6-7-8 act, in this case, as a slide for a mobile unit which will be described later. At a slight distance from one of their ends, the spacers 4-5 are joined together by cross members 9-10; on each of these is mounted a vertical dismounting pair, respectively 11-12 and 13-14.
The ends of said pairs of vertical uprights 11-12, on the one hand, and 13-14, on the other hand, are also secured to each other by crosspieces, respectively 16-16. In addition, the connection between these two pairs of vertical risers can be completed by additional rods, 17-18, for example. On said rod 18 are fixed two vertical guides 19-20 which each pass through a tongue, respectively 21-22, itself fixed to a cross member, respectively 23-24, secured to said pair. amount @, 11-12 and 13-14 respectively.
On said vertical guides 19-20 can slide a slider 25. The latter is secured to the bile part of a pneumatic cylinder 25, the fixed part of which is itself made. integral, via fixing brackets 27-28. of the aforesaid amount 12. In addition. said slider 25 is secured to the fixed part
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of a second pneumatic cylinder 29, the free end of the movable rod 30 of which is fixed to a sliding carriage 31 which is positively guided, via two pairs of tabs 32-33 and 34-35, by said guides 19-20. Said carriage 31 is arranged so as to produce a form 36 intended to fix, in a suitable position, the upper part of two stockings with a view to applying the method of making according to the invention.
In this case, this form 36 is constituted by two plates 37 in cantilever, parallel between 3lles over a certain part of their length and slightly converging towards their free end. These two plates each have a median slot 38 so that each shape, for attaching a stocking, consists of two mutually opposed half-plates, respectively 39-40 and 41-42,. On the other hand, the aforesaid rod 17 is, in its middle, provided with a cantilevered tongue 43 to which is fixed the fixed part of a pneumatic cylinder 44, the movable part 45 of which is, at its end. free, filled with an element
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thermo-cutter 46, formed for example by a disc resistance.
On horizontal runners .. 6-7, via tabs
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.! 1-! I. and a9-60, is supported by a sliding carriage 11. Through an intermediate post 62, this sliding carriage is joined, in this case, to the rod 53 of a pneumatic cylinder.
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of which the body IL * is fixed at the end and c08X: 1al.eftt to the body 11 of a second cylinder whose rod µµ this, at its free end, fixed to the outais 3 of the btti 1.
On the ouriot eeMlieeent t fixed, by its upper end, a mount J! provided with a tw '! 8F86 tab. by the aUdits eliweière !. Arit wonteat it is welideriwée the fixed party It of a jack P tiqtàe. There left mobile 60 of 00 dentures this, in baut, 9 ga "of a double fCN1'G118 a, they 081.18-0 ± e have set dem pilot 11-11 on 1 ...... 1 .., 8I ' t1.cna1 ',
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respectively, one of the ends of the rods 64-65. On the other end of said rods, is fixed a tubing element, respectively 66-67, crossing, with gentle friction, divergent slots, respectively 68-69, presented by the aforesaid sliding carriage 51. On the other hand Next to the latter, said tubular elements 66-67 are provided with jaws, respectively 70- 71.
The connection between the tubular elements and the jaws is ensured in the upper part of the latter in order to leave their lower part completely free to allow free penetration into the upper part of the stockings and, consequently, to also allow the fixing of the stockings. these. Opposite each of said jaws 70-71 is disposed a second jaw, respectively 72-73. Each of these is fixed to the Mobile element, respectively 74-75, of a pneumatic cylinder whose fixed parays 76-77 are fixed to the corresponding ends of the aforesaid rods
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71 # -76. In addition, the aus Said movable parts 74-75 of said cylinder ooexielement pass through the corresponding tubes 66-67.
By the: 1ntiair8 dun ad hoc support 78 arranged in the frame 1, at a suitable distance from the sliding carriage 51 in the initial position, are fixed a device or a sewing machine 79 and. near it, a thermo device
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oowoew 0 dtsposi at the end of the movable element of a jack 81 which is, via a trmveree 82, detent fixed on the spacers -Ut Iatre the resting po8it108 of said sliding carriage 51., from wmt part, and 1 '. , 18o - .. t of said sewing aaohme 79.
. ' a1ltN leaves. is provided "a blower, in this case represented by dee tttywrM Q-8% -µµ also fixed on 1 ...: 1 tee ¯ti .... i8e8, - ,, by any suitable 1107", these nozzle * bne Clll'ieath8 rsrs there. l8P the aieti part !! ns sieure of the sliding carriage there is, ide tu petite Pet oe Lt on which is articulated,
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via a pivot 87, an electromagnet 88 with a movable core 89. The latter is, via a pivot 90, articulated on a second bracket 91, fixed to the body 92 of a pneumatic cylinder. This, jack is freely supported, via pivot 93, on a third fixed bracket 94, integral with the upper edge of the aforesaid sliding carriage 51.
The movable part 95 of said oscillating cylinder is, at its free end, fitted with a weight 96. This is fixed to one end of a return spring 97, the other end of which is fixed at the end of a bracket 98 integral with the sliding carriage 51. On the other hand, in said weight 96 is engaged, so as to be able to rotate freely, a lug 99 carrying a needle 100 in a cantilever manner. The machine is completed. by a horizontal jack, the fixed part 101 of which bears on the frame 1 and the movable part formed by a long rod 102 of which is placed upstream of the rest position of the sliding carriage 51.
The operation of the machine thus formed is as follows, considering, at the outset, said machine in the rest position as shown in Figures 1 to 5.
In the machine described, a complete operational cycle consists, mainly, in correctly fixing two stockings constituting a pantyhose, in making an incision simultaneously in the two stockings; in moving the two pairs of lips of the incisions ae so as to bring them into alignment; perfecting said alignment; in sewing together said neighboring lips; cutting the thread and removing the finished pantyhose.
To correctly fix the two stockings 103-104, it suffices to slide, on each pair of supports 39-40 and 41-42 of the form 36, the upper part of an ordinary stocking, in such a position that considering the two stockings freely suspended, the feet are oriented parallel and in the same direction.
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In this position, the stockings have two sides * upper * 105-106 parallel and slightly apart from each other.
At this time, the pneumatic cylinder 26 is pressurized so that its movable element simultaneously drives upward and over a distance, for example of the order of twenty centimeters, the slider 25, the cylinder 29-30, the carriage 31 and form 36 with the stockings she is wearing. In this position, said parts 105-106 adjacent to the stockings are located between the pairs of jaws, respectively 70-72 and 71-73.
The cylinders 74-76 and 75-77 are then put under pressure, which causes the closing of said jaws 70 to 73 and, consequently, the bringing into contact and the immobilization of said parts 105-106 of the stockings, respectively 103-104 .
To separate the form 36 from the stockings, leaving them fixed and suspended from the jaws 70 to 73, the jacks 29-30 are placed under pressure. As a result, the form 36 is brought to a substantially higher level, thus abandoning the bottom 103-104. In this state, to make the incision 107, it suffices to pressurize the cylinder 44-45 carrying the thermo element. - Cutter 46. The stroke of said cylinder being dQment preset, said heat-cutting element is lowered by an amount exactly equal to the length of the incision, after which the jack is released and the heat-cutting element is again brought in its high position or standby position.
To bring the pairs of lips of the incision 107 in mutual extension and, in this case, in a horizontal plane, the cylinder 59-60 is put under pressure. The movable element of this jack urges the rods 64-65 upwards, the ends of which are integral with the tubular elements 66-67, being positively guided in the divergent slots 68-69, gradually move apart.
As the tubular elements 66-67 are integral with
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one of the jaws, respectively 70-71 of each pair, these are driven in the same positively guided movement which gradually moves them away from each other and finally brings the edges of the incision into mutual prolongation and in horizontal position. with the exception of the part adjacent to the inner part of the incision which is maintained at the end of the travel of said pairs of jaws at a slightly lower level.
Due to the fact that at the start the pairs of jaws 70-72 and 71-73 are mutually separated, it will be obtained, after the immobilization of said pairs of jaws in their separated position, that it will remain, above said jaws, a protruding bottom portion 108 whose width will be equal to half of the aforesaid initial distance between said pairs of jaws and sufficient to allow the later seam.
The next phase consists of perfecting the alignment of the pairs of lips of the incision 107 while the mobile equipment wearing the stockings is brought into the presence of the mechanism or of the sewing machine 79, which corresponds to the end of rapid cylinder stroke 55-56. At this time, the electromagnet 88 is energized; its core 89 moves axially and drives, in a downward tilting movement, the needle 100 and the elements 90 to 96 which form the support thereof. This movement is made against the pulling effect of the spring 97 which is thus put under tension. This movement is such that the tip of the needle 100 is, at this moment, at a level lower than the aforesaid part 109, the junction of the two lips of the incision 107 of the tissue.
At this moment, the actuator 92-95 is actuated, which causes the displacement, forwards, of its movable part, that is to say also of the needle 100, which penetrates into the tissue under the part. pre-recalled 109. It is therefore sufficient to cut off the excitation of the electromagnet 88 to, under the effect
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pulling the return spring 97, return this core 89 to the initial position. In this return movement, said needle entrains, by drawing upwards, the aforesaid part 109 of the fabric, which practically brings the pairs of lips presented by said fabric in the same X-Y alignment over their entire length.
In the context of industrial production and to increase the hourly number of tights made on the same machine, the cylinders 29-30 and 26 can be actuated in the opposite direction so as to bring back the sliding carriage 31, and therefore also the forms 36 , in the initial starting position as soon as said mobile unit has been moved with respect to the shapes on which the ballast is initially fixed. And, from this moment, before the end of the current operational cycle, a new operational cycle can be started by fixing, on said forms 36, a new pair of ordinary stockings. During this time, the cylinder 53-54 has been supplied with a view to moving the sliding carriage 51 at a suitable speed, and therefore also the stockings in their shape and position described above.
Thus, the protruding parts 108 of said stockings relative to the jaws 70 to 73 pass under the sewing device or machine 79 which secures the pairs of adjacent lips of the aforesaid incision 107. When, during this sewing operation, said part 109 approaching the sewing device, the needle 100, which still supports the central part of the fabric, abuts against a fixed part of the sewing device or the frame, thus moving away from the fabric by rotation about the axis of the fabric. lug 99. At the end of the stroke, after completion of the seam, the jack 81 is actuated, which brings the heat-cutting element 80 into contact with the thread which is thus instantly cut. the sliding carriage 51 is then moved in the opposite direction by the actuation of the cylinder 53-
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54.
At the end of actuation of this jack 53-54, the jacks 76-77 are actuated in the appropriate direction, the moving parts of which, respectively 74-75, move each driving a jaw, respectively 72-73, thus freeing the jaw. tissue. At this point, the blower (not shown) is turned on and air is blown through nozzles 83-84-85, thereby expelling the finished sticky. The jack 55-56 is then put into operation, which causes the return of the movable assembly of which the sliding carriage 51 forms part into its initial or starting position. During this movement, the cylinder 59-60 is actuated which returns the jaws 70 to 73 in their initial position,
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respectively, el.'occurrance, in a vertical position.
Also, at the end of these movements, said jaws have penetrated into the upper part of the stockings supported by the form 36. Finally, the jack 101-102 is actuated in such a way that its movable element 102, pushing the needle back 100, brings it back to its initial or starting position with respect to its supports.
The machine is thus ready for a new operational cycle
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which is extremely fast, being only of the order of 10 to 12 seconds.
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Obviously, it is important that the various cylinders, generally pneumatic, hydraulic or pneumatic cylinders, to be actuated in one sound or the other.
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at well pz4oie lIOI8.nta, 1 * uD supply circuit will advantageously be part of a% ion 8J'8't applying co vs ooi means (Béa repratia).
In a particular setting wn CMUYI'8, this prograwartion bridge M8nalter of the: I.a881'tMnt, in the 8pp8Nil. de miem-mitel -.DM8VNl l88 opportmt pw d pieces on 8OUV-.a't da the apparatus, from Mmière to * 1.: I.Mzt an ordonnanoe was leaving, $ d dii'f <r <nt OP6 tie tell qaeliss were pricideoant dioritea. 1p18M11t. 18 ¯oIain8 poa're ltI'8 om-
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supplemented by all additional elements or accessories, in particular with a view to greater operating safety. For example, it is possible to introduce means making the actuation of the elements subordinate to the correct functioning of the preceding element, all of which are well known in the field of automatic machines and which are essentially variable.
CLAIMS. l.- Process for making tights, characterized in that it consists substantially in hanging, at the same level, two stockings in such a way that at least the slightly open upper part of one is arranged in face of the slightly open upper part of the other, the feet being oriented in the same direction when said stockings hang freely to make, in said upper parts close to the two stockings, a longitudinal incision extending over a certain height; in moving the two pairs of lips of said incisions away from each other so as to bring them, at least approximately, in the extension of one another; in mutually securing said pairs of adjacent lips and, finally, in removing the pantyhose thus produced.