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Dispositif comprenant un moteur électrique soumis à un couple résistant variant périodiquement.
L'invention concerne un dispositif comprenant un moteur électrique sur lequel agit un couple résistant variant périodique- ment au cours de chaque révolution d'un arbre d'entraînement, no- tamment d'une machine à coudre électrique.
Les machines à coudre électriques sont en général en- traînées par un moteur à collecteur, à caractéristique série. En effet, pour cette application, ces moteurs sont actuellement les plus avantageux du fait qu'ils développent un couple de démarra..
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ge élevé. La plupart du temps il est désirable que l'on puisse régler la vitesse de rotation d'une machine à coudre, ce qui se faisait jusqu'à présent au moyen d'une résistance série réglable, ce résultat pouvant également être obtenu avec un commutateur élec- troninue à l'aide duquel une partie ajustable de chaque période et la tension d'une source de tension alternative peut être appli- quée au moteur.
Par suite du mode de fonctionnement des machines à cou- dre connues, le couple d'entraînement que doit fournir le moteur d'entraînement varie fortement en fonction de la position instan- tanée de divers éléments du mécanisme de la machine à coudre. Ces variations sont périodiques si l'on considère une révolution d'un arbre d'entraînement, par exemple d'un vilebrequin de la machine.
En conséquence, lorsque la résistance série ou le commutateur électronique sont réglés de telle façon que durant l'intervalle de démarrage, le moteur n'est tout juste pas arrêté par le couple résistant maximal, sa vitesse de rotation augmente fortement dés que ce couple résistant a de nouveau diminué. Le moteur continue ensuite de tourner à une vitesse relativement élevée, du fait que le couple résistant maximal est vaincu par 1'énergie cinétique du moteur qui, entre-temps, a fortement augmenté : la vitesse de rotation du moteur et la vitesse de fonctionnement de la machine à coudre ne peuvent être réglées au-dessous d'une limite détermi- née.
Cette limite est trop élevée pour beaucoup de fins prati- ques et, jusqu'à présent, elle n'avait pu être abaissée autre- ment que par l'utilisation de moteurs relativement très puis- sants, lourds et coûteux, éventuellement à caractéristique shunt.
Ces difficultés se rencontrent dans de nombreuses au- tres applications de moteurs électriques, par exemple pour l'en @
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tralnement d'automates ou d'essuie-glace pour automobiles.
L'invention fournit une solution simple et à bon marché aux problèmes exposés ci-dessus.
Le dispositif conforme à l'invention est caractérisé principalement en ce que l'arbre d'entraînement pendant une révo- lution duquel le couple résistant varie, commande un élément, par lequel la puissance électrique fournie au moteur électrique 'est périodiquement modifiée avec le couple résistant, de sorte que sa vitesse de rotation reste approximativement constante en dépit de la variation périodique du couple résistant.
Cet élément peut être conçu de façons très diverses, Il peut par exemple s'agir d'un contacteur actionné périodique- ment par une came prévue sur l'arbre d'entraînement ou d'une ré- sistance photo-électrique éclairée périodiquement par une lampe électrique, à travers des ouvertures pratiquées dans un écran porté par l'arbre d'entraînement ou par l'intermédiaire d'au moins un miroir prévu sur cet arbre d'entraînement, ou encore d'une résistance sensible au champ magnétique dont la valeur ohmi- que est modifiée périodiquement par au moins un aimant permanent monté sur l'arbre d'entraînement.
La description du dessin annexé, donnée à titre d'exem- ple non limitatif, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée.
Les fig. 1, 2, 3 et 4 sont les schémas électriques de quatre exemples de réalisation différents du dispositif conforme à l'invention.
Le premier exemple de réalisation du dispositif con- forme à l'invention, représenté schématiquement sur la fig. 1, comporte une résistance de réglage 1 montée en série avec un moteur à collecteur du type série, dont les enroulements d'ex-
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citation 2 et 2' sont connectés en série avec le rotor 3. Lors- qu'un moteur de ce genre est soumis à un couple résistant pra- tiquement uniforme, on peut faire varier de façon très simple sa vitesse de rotation dans un domaine de réglage étendu, en, faisant varier la résistance de réglage 1.
Ce domaine est limi- té d'une part par le couple résistant, du fait que lorsque la vitesse de rotation augmente, le couple d'entraînement du moteur série diminue, et d'autre part, par la réserve de couple de démar- rage qui est nécessaire pour vaincre la différence entre la fric- tion statique et la friction de glissement et de petites varia- tions du couple résistant. Avec un moteur série déterminé conçu pour une tension alternative de 220 volts, à résistance propre d'environ 15 ohms et à puissance de 300 watts, par exemple, la vitesse de rotation maximale', avec la résistance de réglage 7. égale à zéro et un couple résistant de 2 kg. cm est de 1470 tours par minute.
Si l'on suppose que le couple de démarrage doit être au moins égal à 1,5 fois le couple résistant moyen de 2 kg.cm, le moteur peut démarrer avec une résistance 1 de 473 ohms, ce qui a pour effet de réduire sa vitesse à 344 tours par minute.
Par contre, si l'on admet que le couple résistant va- rie périodiquement au cours d'un tour effectué par l'arbre d'en- traînement 4, et que le couple résistant maximal est égal à, par exemple,quatre fois le couple résistant moyen de 2 kg.cm, le moteur ne peut démarrer avec certitude, si la résistance de régla- ge 1 est supérieure à environ 217 ohms, ce qui fait monter la vitesse de rotation minimale ajustable à environ 950 tours par minute. Du fait que le couple résistant n'est pas uniforme, le domaine de réglage est réduit d'un rapport de 4,3/1 à un rapport de 1,55/1.
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Cet inconvénient inhérent au réglage simple à l'aide d'une résistance série est surtout marqué et gênant dans les machi- nes à coudre électriques : le couple résistant varie fortement en fonction de la position du vilebrequin alors que pour- certains tra- vaux, on aimerai t disposer d'un domaine de réglage le plus grand possible.
On ne peut généralement pas utiliser un moteur surid- mensionné développant un couple de démarrage suffisaient: élevé et éventuellement à caractéristique shunt, en considération du prix et du poids et l'utilisateur doit s'habituer à réduire la valeur de la résistance de réglage 1 jusqu'à ce que la machine démarre et la ramener ensuite rapidement à une valeur élevée correspondant à la vitesse de rotation désirée. Cette commande est imprécise et gênante lors de l'exécution d'autres travaux sur la machine, le piquage se fait de façon heurtée et saccadée.
Conformément à l'invention, l'arbre d'entraînement 4 commande un élément de telle façon que la puissance électrique fournie au moteur électrique 2, 2', 3 varie périodiquement en fonction du couple résistant. Comme le montre la figure 1 l'ar- bre d'entraînement 4 est muni d'une came 5 sous la commande de laquelle un contacteur mécanique 6, 6' est périodiquement action- né et court-circuite la résistance de réglage 1 à travers une résistance ajustable 7, lorsque l'arbre d'entraînement 4 occupe une position pour laquelle le couple résistant commence à augmen- ter fortement. La came 5 a un profil tel que le contacteur 6, 6' continue d'agir jusqu'à ce oue le couple résistant diminue de nouveau.
La résistance 7 et/ou une résistance 8 connectées en série avec la combinaison en parallèle de la résistance de régla- ge 1 et du contacteur 6, 6' sont ajustées de telle façon que le moteur 2, 2', 3 démarre avec certitude, même pour la valeur la plus élevée de la résistance de réglage 1.
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Dans un deuxième exemple de réalisation, représenté sur la fig. 2, la vitesse de rotation du moteur 2, 2', 3 est réglée au moyen d'un redresseur semiconducteur commandé par décalage entre la tension de commande et la tension d'alinen- tation: le moteur est alimenté par une partie ajustable de cha- que seconde alternance de la tension d'alimentation. L'anode du redresseur 9 est connectée au moteur 2, 2', 3 sa cathode, à une bores correspondante de la source de tension alternative et son électro- de de commande à une borne d'un condensateur 10 par l'intermédiai- re d'un élément à valeur de seuil 11, par exemple une diode semi- conductrice à quatre couches. Le condensateur 10 est connecté d'autre part à la cathode du redresseur 9 et à une borne de la source de tension alternative.
Il est chargé périodiquement par cette source, à travers la résistance de réglage 1 et la résistan- ce variable 8 connectée en série avec celle-ci. Pendant chaque seconde alternance de la tension alternative d'alimentation, l'ano- de du redresseur 9 devient positive par rapport à sa cathode.
Simultanément le condensateur 10 se charge jusqu'à ce que son armature supérieure devienne positive. A l'instant où la tension - aux bornes du condensateur 10 dépasse la tension de rupture de la diode 11, cette diode est débloquée et le condensateur se déchar- ge à travers la diode et le trajet électrode de commande-cathode du redresseur 9, qui. est de ce fait rendu conducteur. L'instant d'amorçage est fonction de la constante de temps du circuit RC
1, 8, 10 et peut être modifié à l'aide de la résistance de régla- ge 1, de sorte que la puissance électrique fournie au moteur 2,
2', 3 peut être réglée.
Conformément à l'invention, la résistance de réglage . 1 est dans ce cas également court-circuitée périodiquement par le contacteur 6, 6', monté éventuellement en série avec une ré-
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sistance variable 7, à l'instant où le couple de freinage agis- sant sur l'arbre d'entraînement 4 augmente fortement. De ce fait, le condensateur 10 est chargé beaucoup plus rapidement, de sorte aue le redresseur commandé 9 devient conducteur beaucoup plus tôt.
Le moteur 2, 2', 3 reçoit donc une puissance électrique plus éle- vée et peut vaincre le couple résistant croissant, sans ralentir.
Le contacteur 6, 6' s'ouvre dès que le couple résistant a atteint sa valeur maximale et se met de nouveau à diminuer, et le moteur continue alors,de tourner à la vitesse de rotation ajustée au moyen de la résistance de réglage 1.
Le contacteur 6, 6' ne doit transmettre qu'une petite pointe de courant dont l'amplitude est, suivant la valeur des résistance 7 et 8,inférieure à, ou de l'ordre de grandeur de
1 mA, de sorte que l'on peut utiliser un petit contacteur à bon marché. Grâce à ce contacteur, on évite avec certitude le blocage du moteur 2, 2', 3 lorsque son arbre d'entraînement atteint la position pour laquelle le couple résistant approche de sa valeur maximale, ce qui est très important surtout pour des vitesses basses et très basses (valeur élevée de la résistance de régla- ge 1).
La résistance 7, peut, si elle est utilisée, être ajus- tée de telle façon que le moteur reçoive tout juste la puissance additionnelle nécessaire pour le faire démarrer en vainquant le couple résistant maximal, et à éviter que son rotor se met à oseil- lier.
Dans le troisième exemple de réalisation, représenté sur la fig. 3, le redresseur semiconducteur commandé 9 de la fig. 2 est remplacé par un interrupteur semiconducteur 9' con- ducteur dans les deux sens, commandé, dénommé habituellement "Triac", alors que la diode à rupture 11 de la fig. 2 est rempla-
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cée par un interrupteur semiconducteur à rupture, conducteur dans les deux sens 11', habituellement dénommé "Diac".
Le contacteur 6, 6' de la fig. 2 et la résistance 7 avec laquelle il est connecté en série sont remplacés par une résistance photo-électrique 16 qui peut être éclairée, à travers une ouvertu- re pratiquée dans un écran 15 monté sur l'arbre d'entraînement 4, par une lampe électrique 12 branchée sur la source de tension d'alimentation.
Cet exemple de réalisation fonctionne exactement de la même façon que celui représenté sur la fig. 2, à la seule diffé- rence près que le moteur 2, 2', 3 est alimenté à travers le "Triac" 11' par des impulsions de courant de polarités alternées.
L'exemple de réalisation représenté sur la fig. 4 res- semble fortement à celui de la fig. 2.' Toutefois, le moteur 2,
2', 3 est inséré dans le circuit cathodique du redresseur comman- dé 9, de sorte que l'on obtient un effet de contre-couplage sta- bilisant, exercé par la force contre-électromotrice se manifestant aux bornes du moteur. Lorsque la charge à laquelle est soumis le moteur augmente, sa vitesse de rotation et, par conséquent, cette force contre-électromotrice diminuent. En conséquence, le redres- seur commandé 9 est amorcé plus tôt, du fait que sa cathode de- vient plus tôt négative pnr rapport à son électrode de commande, ,, de sorte que le couple d'entraînement du moteur augmente.
Le cir- cuit de commande connu en soi, du redresseur 9 comporte outre les résistances 1 et 8, une résistance 17, connectée en série avec une diode 18, entre l'extrémité de la résistance de réglage 1 montée en potentiomètre, opposée à la résistance 8 et la borne du moteur 2, 2', 3 opposée au redresseur 9. La diode 18 est con-. nectée de telle façon qu'un courant circule dans le circuit-8,
1, 17, 18 lorsque l'anode du redresseur commandé 9 est positive,
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et l'électrode de commande du redresseur 9 est connectée à la prise du potentiomètre 1 par l'intermédiaire d'une diode normale 11" montée dans le sens direct.
Conformément à l'invention, la résistance 17 est shuntée par l'interrupteur 6, 6' conçu sous forme de contact interrupteur, de sorte cue l'électrode de commande du redresseur 9 pendant l'al- ternance positive de la tension appliquée à son anode devient plus positive lorsque le contact de l'interrupteur 6, 6' est in- terrompu. De ce fait, la puissance électrique fournie au moteur 2, 2', 3 est augmentée périodiquement, chaque fois que la came 5 actionne l'interrupteur 6, 6'.
Par court-circuitage du redresseur commandé 9 au moyen d'un interrupteur 19, le moteur peut être alimenté avec une puis-- .sance maximale et atteindre une vitesse non réglée ni stabilisée maximal e.
Dans un exemple de réalisation pratique du dispositif représenté sur la fig. 4., destiné à commander de vitesse de rota- tion du moteur 2, 2', 3 d'une machine à coudre, conçue pour une tension alternative de 220 volts et à puissance de 70 watts, on a utilisé les éléments suivants redresseur semiconducteur commandé 9 :"Philips type BT 100 diode 11" : "Philips" type BXY 10 diode 18 : "Philips" type BY 100 potentiomètre 1 : 2 k ohms 1 watt résistance 8 :
10 k ohms 5,5 watts résistance 17 : 180 ohms 1 watt
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Avec ce dispositif, on parvenait à réduire la vitesse de rotation du vilebrequin de la machine à coudre jusqu'à une vi- tesse stable de 6 tours par minute, alors que la vitesse minimale (instable) avec une résistance série usuelle, toutefois sans les éléments 6, 6', 7 et/ou 8 de la fig. 1, n'était pas inférieure à
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168 tours par minute.
Il est évident que l'on peut imaginer de nombreuses variantes aux forces de réalisation décrites. On peut par exemd ple conter sur l'arbre d'entraînement 4, au lieu de l'écran 45 de la fi?. 3, au moins un miroir, qui réfléchit périodicument la lumière émise par la lampe 12 sur la résistance 'photo-électn- que 16. On peut également monter sur l'arbre d'entraînement 4, au moins un aimant permanent,' sous l'influence duquel la valeur d'une résistance sensible au champ magnétique varie périodique- ment.
Enfin, on peut utiliser au lieu d'une Triac, deux redres- seurs semiconducteurs commandés montés tête-bèche, par exemple avec un circuit de commande distinct pour chacun de ces redres- seurs, ou un redresseur en pont avec un redres- seur commandé inséré dans la branche diagonale de courant'continu, le circuit RC 1, 7, 8, 10 de la fig. 2 pouvant également être in- séré dans cette branche diagonale.
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Device comprising an electric motor subjected to a resistive torque varying periodically.
The invention relates to a device comprising an electric motor on which acts a resistive torque varying periodically during each revolution of a drive shaft, in particular of an electric sewing machine.
Electric sewing machines are generally driven by a commutator motor with standard feature. In fact, for this application, these motors are currently the most advantageous because they develop a starting torque.
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high age. Most of the time it is desirable that one can regulate the speed of rotation of a sewing machine, which has hitherto been done by means of an adjustable series resistance, this result can also be obtained with a switch. electronically with the help of which an adjustable part of each period and the voltage of an ac voltage source can be applied to the motor.
As a result of the mode of operation of known sewing machines, the driving torque to be supplied by the driving motor varies greatly depending on the instantaneous position of various elements of the mechanism of the sewing machine. These variations are periodic if we consider a revolution of a drive shaft, for example of a crankshaft of the machine.
Consequently, when the series resistor or the electronic switch are set in such a way that during the starting interval, the motor is just not stopped by the maximum resistive torque, its rotational speed increases sharply as soon as this resistive torque. declined again. The motor then continues to run at a relatively high speed, as the maximum resistive torque is overcome by the kinetic energy of the motor which, in the meantime, has greatly increased: the rotational speed of the motor and the operating speed of the motor. sewing machine cannot be adjusted below a specified limit.
This limit is too high for many practical purposes and, until now, could not have been lowered other than by the use of relatively very powerful, heavy and expensive motors, possibly with a shunt characteristic. .
These difficulties are encountered in many other applications of electric motors, for example for the en @
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automatic and windshield wipers for automobiles.
The invention provides a simple and inexpensive solution to the problems set out above.
The device according to the invention is characterized mainly in that the drive shaft during a revolution of which the resistive torque varies, controls an element, by which the electric power supplied to the electric motor is periodically modified with the torque. resistant, so that its rotational speed remains approximately constant despite the periodic variation of the resistive torque.
This element can be designed in very diverse ways. It can for example be a contactor actuated periodically by a cam provided on the drive shaft or a photoelectric resistor periodically illuminated by a electric lamp, through openings made in a screen carried by the drive shaft or by means of at least one mirror provided on this drive shaft, or a resistor sensitive to the magnetic field whose ohmic value is periodically changed by at least one permanent magnet mounted on the drive shaft.
The description of the appended drawing, given by way of non-limiting example, will make it clear how the invention can be implemented.
Figs. 1, 2, 3 and 4 are the electrical diagrams of four different exemplary embodiments of the device according to the invention.
The first exemplary embodiment of the device in accordance with the invention, shown schematically in FIG. 1, comprises an adjusting resistor 1 connected in series with a series-type commutator motor, the ex- windings of which
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citation 2 and 2 'are connected in series with the rotor 3. When a motor of this kind is subjected to a practically uniform resistive torque, its speed of rotation can be varied very simply in a range of. extended adjustment, by varying the adjustment resistor 1.
This range is limited on the one hand by the resistive torque, due to the fact that when the speed of rotation increases, the drive torque of the series motor decreases, and on the other hand, by the reserve of starting torque. which is necessary to overcome the difference between static friction and sliding friction and small variations in resistive torque. With a determined series motor designed for an alternating voltage of 220 volts, with an inherent resistance of about 15 ohms and a power of 300 watts, for example, the maximum rotational speed ', with the setting resistance 7. equal to zero and a resistant torque of 2 kg. cm is 1470 revolutions per minute.
If it is assumed that the starting torque should be at least equal to 1.5 times the average resistive torque of 2 kg.cm, the motor can start with a resistance 1 of 473 ohms, which has the effect of reducing its speed at 344 revolutions per minute.
On the other hand, if we admit that the resistive torque varies periodically during a revolution made by the drive shaft 4, and that the maximum resistive torque is equal to, for example, four times the average resistive torque of 2 kg.cm, the motor cannot start with certainty if the adjustment resistance 1 is greater than approximately 217 ohms, which raises the minimum adjustable speed of rotation to approximately 950 revolutions per minute. Because the resistive torque is not uniform, the adjustment range is reduced from a ratio of 4.3 / 1 to a ratio of 1.55 / 1.
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This drawback inherent in simple adjustment using a series resistor is especially marked and troublesome in electric sewing machines: the resistive torque varies greatly depending on the position of the crankshaft, whereas for certain jobs, we would like to have the largest possible adjustment range.
It is generally not possible to use an oversized motor developing a sufficient starting torque: high and possibly with shunt characteristic, in consideration of the price and the weight and the user must get used to reducing the value of the adjustment resistor 1 until the machine starts and then quickly return it to a high value corresponding to the desired speed of rotation. This command is imprecise and annoying when performing other work on the machine, the stitching is done in a bumpy and jerky way.
According to the invention, the drive shaft 4 controls an element such that the electric power supplied to the electric motor 2, 2 ', 3 varies periodically as a function of the resistive torque. As shown in figure 1 the drive shaft 4 is provided with a cam 5 under the control of which a mechanical contactor 6, 6 'is periodically actuated and short-circuits the adjustment resistor 1 through an adjustable resistance 7, when the drive shaft 4 occupies a position for which the resistance torque begins to increase sharply. Cam 5 has a profile such that contactor 6, 6 'continues to act until the resistive torque decreases again.
The resistor 7 and / or a resistor 8 connected in series with the parallel combination of the setting resistor 1 and the contactor 6, 6 'are adjusted in such a way that the motor 2, 2', 3 starts with certainty, even for the highest value of adjustment resistor 1.
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In a second exemplary embodiment, shown in FIG. 2, the speed of rotation of the motor 2, 2 ', 3 is regulated by means of a semiconductor rectifier controlled by an offset between the control voltage and the supply voltage: the motor is supplied by an adjustable part of the chain. - as second half-wave of the supply voltage. The anode of the rectifier 9 is connected to the motor 2, 2 ', 3 its cathode, to a corresponding terminal of the alternating voltage source and its control electrode to a terminal of a capacitor 10 via the intermediary of a threshold value element 11, for example a semiconductor diode with four layers. The capacitor 10 is connected on the other hand to the cathode of the rectifier 9 and to a terminal of the alternating voltage source.
It is charged periodically by this source, through the adjustment resistor 1 and the variable resistor 8 connected in series with the latter. During each second alternation of the AC supply voltage, the anode of rectifier 9 becomes positive with respect to its cathode.
Simultaneously the capacitor 10 is charged until its upper armature becomes positive. At the instant when the voltage - across capacitor 10 exceeds the breakdown voltage of diode 11, this diode is turned on and the capacitor is discharged through the diode and the control electrode-cathode path of rectifier 9, who. is therefore made conductive. The firing instant is a function of the time constant of the RC circuit
1, 8, 10 and can be changed using the adjustment resistor 1, so that the electric power supplied to motor 2,
2 ', 3 can be adjusted.
According to the invention, the adjustment resistor. 1 is in this case also periodically short-circuited by the contactor 6, 6 ', possibly mounted in series with a re-
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variable resistor 7, at the instant when the braking torque acting on the drive shaft 4 increases sharply. As a result, the capacitor 10 is charged much faster, so that the controlled rectifier 9 becomes conductive much earlier.
The motor 2, 2 ', 3 therefore receives a higher electric power and can overcome the increasing resistive torque, without slowing down.
The contactor 6, 6 'opens as soon as the resistive torque has reached its maximum value and again begins to decrease, and the motor then continues to rotate at the rotation speed adjusted by means of the adjustment resistor 1.
Contactor 6, 6 'must only transmit a small current peak, the amplitude of which is, depending on the value of resistance 7 and 8, less than, or of the order of magnitude of
1 mA, so that a small, inexpensive contactor can be used. Thanks to this contactor, blocking of motor 2, 2 ', 3 is avoided with certainty when its drive shaft reaches the position for which the resistive torque approaches its maximum value, which is very important especially for low speeds and very low (high value of adjustment resistor 1).
Resistor 7 can, if used, be adjusted in such a way that the motor receives just the additional power needed to start it overcoming the maximum resistance torque, and to prevent its rotor from starting to quit. bind.
In the third exemplary embodiment, shown in FIG. 3, the controlled semiconductor rectifier 9 of FIG. 2 is replaced by a semiconductor switch 9 ′ conducting in both directions, controlled, usually called "Triac", while the breaking diode 11 of FIG. 2 is replaced
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Cée by a semiconductor breaker switch, conductive in both directions 11 ', usually called "Diac".
The contactor 6, 6 'in fig. 2 and the resistor 7 with which it is connected in series are replaced by a photoelectric resistor 16 which can be illuminated, through an opening in a screen 15 mounted on the drive shaft 4, by a lamp electric 12 connected to the supply voltage source.
This exemplary embodiment operates in exactly the same way as that shown in FIG. 2, with the only difference that the motor 2, 2 ', 3 is supplied through the "Triac" 11' by current pulses of alternating polarities.
The exemplary embodiment shown in FIG. 4 closely resembles that of FIG. 2. ' However, engine 2,
2 ', 3 is inserted into the cathode circuit of the controlled rectifier 9, so that a stabilizing counter-coupling effect is obtained, exerted by the counter-electromotive force appearing at the terminals of the motor. As the load to which the motor is subjected increases, its rotational speed and, consequently, this back electromotive force decreases. As a result, the controlled rectifier 9 is primed earlier, because its cathode becomes negative pnr earlier than its control electrode, ,, so that the driving torque of the motor increases.
The control circuit known per se, of the rectifier 9 comprises, in addition to the resistors 1 and 8, a resistor 17, connected in series with a diode 18, between the end of the adjustment resistor 1 mounted as a potentiometer, opposite to the resistor 8 and the motor terminal 2, 2 ', 3 opposite the rectifier 9. The diode 18 is con-. nected in such a way that a current flows in circuit-8,
1, 17, 18 when the anode of the controlled rectifier 9 is positive,
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and the control electrode of the rectifier 9 is connected to the tap of the potentiometer 1 through a normal diode 11 "mounted in the forward direction.
According to the invention, the resistor 17 is shunted by the switch 6, 6 'designed as a switch contact, so that the control electrode of the rectifier 9 during the positive alternation of the voltage applied to its anode becomes more positive when the contact of switch 6, 6 'is interrupted. As a result, the electrical power supplied to the motor 2, 2 ', 3 is periodically increased, each time the cam 5 actuates the switch 6, 6'.
By short-circuiting the controlled rectifier 9 by means of a switch 19, the motor can be supplied with maximum power and reach a maximum unregulated or stabilized speed e.
In an exemplary practical embodiment of the device shown in FIG. 4., intended to control the speed of rotation of the motor 2, 2 ', 3 of a sewing machine, designed for an alternating voltage of 220 volts and at a power of 70 watts, the following semiconductor rectifier was used ordered 9: "Philips type BT 100 diode 11": "Philips" type BXY 10 diode 18: "Philips" type BY 100 potentiometer 1: 2 k ohms 1 watt resistor 8:
10 k ohms 5.5 watts resistance 17: 180 ohms 1 watt
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With this device, it was possible to reduce the speed of rotation of the crankshaft of the sewing machine down to a stable speed of 6 revolutions per minute, while the minimum (unstable) speed with a usual series resistance, however without them. elements 6, 6 ', 7 and / or 8 of FIG. 1, was not less than
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168 revolutions per minute.
It is obvious that one can imagine many variations to the strengths of realization described. One can for example rely on the drive shaft 4, instead of the screen 45 of the fi ?. 3, at least one mirror, which periodically reflects the light emitted by the lamp 12 on the photoelectric resistor 16. It is also possible to mount on the drive shaft 4, at least one permanent magnet, under the 'influence of which the value of a resistor sensitive to the magnetic field varies periodically.
Finally, instead of a Triac, two controlled semiconductor rectifiers can be used head-to-tail, for example with a separate control circuit for each of these rectifiers, or a bridge rectifier with a controlled rectifier. inserted in the diagonal branch of direct current, the RC circuit 1, 7, 8, 10 of fig. 2 can also be inserted in this diagonal branch.