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Dispositif de production et de pulsion d'air sursature.
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On connaît le dispositif de conditionneLient d'air de salles où ont lieu des dé,:,,a,e-,cnts calorifiques, consistant à envoyer, par l'tertrdiaire de Cé1.!ncs et doe boudas de distribution, de l'air sursatura, c' cst-:-:lire de l'air ayant une hm.d.dité relative la plus élevée possible, et c1ar'iJ: .de c;nut-hes d'eau cri suspension qui, en se vaporisant dans la salle, freinent 11"31,àvetion us tsrtpcrature de l'air et Kaintiennent l' hur.1iùitâ relative à une valeur suffisamment
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élevée.
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La présente invention concerne un dispositif assurant, s:ir.1Ulta...
..ni:rruxit, la lise en vitesse et en pression de l'air nécessaires à sa
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circulation dans l'appareil ou un raseau da aînes éventuel, et la pulvérisation extz@,>:eiit poussée uo la quasi totalité du débit d'eau
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envoyé dans le dispositif.
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±;ai on l' i.l1v.;!ution, ce disaitif' conr4rte er vis-.d.-vis, dns une env<:1 cylindrique, una hclicc seyant à l'entmînetnent de l'air, dont le r.oyu est T.a.uki d'une coupelle assurant, ians un Pr stade, une riiction rcl.r1.tivQ.',ent grossière de l'eau, et une roue de pul- vris(:tiol1 entourant la prilii6rie de la coupelle précédente, et tournant en sens inverse de celle-ci c'est cette roue qui, ani1J1ie Vitesse ùe rotation 61.cve, assure, dans un deuxième stade, une ulv:risa.tio:z 1res poussée des gouttes d'eau produites lors du premier
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stade. Uns caractéristique essentielle de cette roue est de comporter
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-;ß =:, :,,1.u.nè ils .-..r.3 de pales, très fines, parallèles à l'axe de rota- L2. ,,±'1.
¯ 1.:'CI"'i:ts : :!0des 02 l"i.:üis,1.tion possibles ont été représentés nur les iß L11'C:8 armâmes : la ri-IUIIO 1 est une CJ4ti"7e 1-zrtKuit ur l'axe de rotation d'un -iode de z:lisatiG-, et 7.a fi;.;L1N 2 e:t une cou; çeq*ndcu- 1.-¯ e cet <-xe du ù.':C 1.².X.1e.
Ce. dispositif c?J';:'1.'c.r1d : lii;o envalop12 cvlinr1ri 'lue 1, dans laquelle tourne une roue h&li- ,::c: 2, dont les ]!:1.lr.;s sont MjntJes sur un iiioye u 3, fixe sur un ,-,r'w"( 4 qui, daiis le cas de la figure, est celui d'un imteur alec- t;ru4 5, t qui pOI.1r'1.'t1.it ;:vil4¯:aezrt éo-e, en particulier dans le cas ; c.\,-" :.ùcïiir¯ de tn1*z grondes diwrisions, un arbre tournant dans des ;iïc: rr't untz.imé lui-..r: par itJ1 dispositif poulies et courroies, r'1l' r.:x'i..)].e.. Ce ioteur ou ces ç>l1ets sont sur un support: 6, soli- daire dé: la. virale 1, Ce MS# arbre. 4 p::o:'te éealeï..nt une coupelle 7 qui tourne donc ;.1 la r..re vitesse que la roue helicoXde 2. Cette cou- ,:7.7.e. 7 est d'un diantre inférieur a celui du moyeu 3.
Dans le cas de la ¯i;,z, lz coupelle est une pi\.:# indépendante du moyeu trais l'in- vention prévoit que cette coupelle peut faire corps avec le troyeu.
!bill ce cexxi:r cas, on donne la face correspondante du moyeu la c-l'une cour-- On cnterld par coupelle un solide de révolution
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comportant une face concave. Ce dispositif compor-te énalenent une roue de pulvérisation 8 constituée par un n1r>j,eu ? partant un disque 10 T.1UI1Í de pales très fines perpendiculaires a ce disque. L'autre extrenité de ces pales peut avantafeusanent être fixée sur une couronne 11, pour éviter qu'elles ne s'écartent de l'axe sous l'effet de la force centrifuge, et qu'elles ne vibrent.
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Un autre rode de réalisation consiste a enrouler cylindriquer.-nt à la périphérie du (li-nue 10 un jmiiiajje en fil de lu 2 1un et à milles de 10 à 20 mm.
Le moyeu 9 de la roue est fixe sur un arbre 12 dont le sens de
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rotation est inveiie de celui (le l'arbre cE, et auquel on donne la plus grande vitesse de rotation possible, par exemple, si l'arbre "
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' tourne à 1500 t/minute, l'arbi-e 12 tourr'3. à 3000 t/1Winiite.
Sur le raode de réalisation représenté par la firure, l' arbre 12
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est celui d'un :noteur électricue 13, rais il 'mourrait é7ale-,nent être l'arbre d'un mouvement, c'est-à-dire tourner dans deux paliers et être entraîne par un dispositif à poulies et courroies. Cenoteur électrique où les paliers sont fixés sur un support 14, solidaire de
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la virole 1. Le .diùaàtre du disnue 10 est voisin de celui du moyeu 3. Les pales qu'il po-te sont constituées soit par des lars talliques, ou en 1latiére nlastique, très fines, dont le plan pas;>.: par l'axe de rotation, soit par des tir-es Mitalliques ou en .k3tire plastique, cylindriques de faible <ü;txe..
Le diaa.tre de ces tires ou l'épais- seur.des pales sont de l'ordre du miilin.àt1-e, si les pales sont des lanes planes, leur auteur est d'environ 5 fois leur épaisseur. Le nombre de ces T'aies est le plus grand possible, mais toutefois leur
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eslxicer.ient dnit être suffisant -ur que les routtes cr6ôes au contact d'une pale ne rencontrent ras trop rapider-ent celles crv5.:.es au contact de la raie voisine, pour i'vitrr qu'elles ne 5' Wf1;lutine!lt. Lel.1I' norme est, en Tf.np):'-1.l, c#\prls entre 2. et 7?, de ^kmirirc: à ce que l'inter- valle entI"3 deux '"(Üen c.nt::'cutiv;; soit du lO a 2n nn.
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Sur le mode de réalisation représenté par la figure, l'alimentation en eau du centre de la coupelle est par le fait que l'arbre 12 portant la roue de dispersion est creux, et que son extrémité 15 placée devant la face concave de la coupelle est ouverte. L'extrémité 16 placée à l'opposa pénètre dans une botte d'alimentation en eau 17 à travers un presse-étoupe.
L'on ménage avantageusement un espace 18 entre la botte 17 et la carcasse du moteur 13 pour que les fuites du presse-etoupe ne penètrent pas dans le moteur et s'échappent à l'extérieur. La botte 17 est alimentée en eau au moyen d'une tuyauterie 19, Un Rode de réalisation plus simple mais moins élevant consiste à prévoir simplement une tuyau- terie d'eau passant entre le oyeu 3 de la roue hélicolde et la couronne 11 de la roue de dispersion, puis entre le bord extérieur de la coupelle 7 et les Lords de la roue 6. L'extrémité de cette tuyauterie viendrait déboucher sur l'axe de rotation, face à la concavité de la coupelle.
L'eau ainsi amenée au centre de la coupelle se repartit uniformément sur la face concave de celle-ci pour former un film de plus en plus fin au fur et à fissure que l'on s'éloigne de l'axe. Ce film éclate en gouttes à uns faible distance de la périphérie de la coupelle. Les. gouttes ainsi crées ont une vitesse voisine de la vitesse périphérique de la coupelle et elles viennent heurter les pales de la roue 8 qui ont une très grande vitesse relative par rapport à elles, puisque cette roue tourne en sens inverse de la coupelle et est d'un plus grand diamètre.
Les gouttes qui rencontrent les pales de la roue 8 éclatent donc et ce divisent en un grand nombre de très fines gouttelettes, dès qu'elles sortent de la roue 8, elles sont emportées par le courant d'air crée par la roue hélicoïde. iious avons représente sur la figure 3 un autre mode de réalisation ,' de l'invention qui mortre clairement ce qui la caractérise. la roue hélicoîde 2 et la coupelle 7 sont montées sur les deux bouts d'arbre du moteur électrique 5, fixé par les pales 20 d'un aubage fixe qui dorme . lcur sens une rotation inverse de celle de la roue 2.
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Le disque 10 de la roue de di-gRnxim devient le coyeu d'une roue
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hélicolde 21 qui fonctionne en turbin réceptrice, et qui tourne en
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sens inverse de la roue. Les angles cla l'auh:.1:e fine 20 et ceux des paies de cette roue 21 6c.nt calculas de .uu/"'rG a ce que la vitesse de rotation de cette C.r.'.K''xls.'Y'C. ;(Vu\;! soit la plus élc6'i possible.
Ira moyeu 10 port3 {1,.:c; r':llc3 trbn fims corine celles du disque 10 de lil .;..tli,r.zticn ;;'\3!..r\auÙt'.c par la fi"Ul'C 1. L'autre aas;>j,tê . de ces JXll00 cet avtrlta ,auac.rTt r.,izTtc.nue 1 r' wie couronne 11. L'ali- jrentation en edii de lxn CC)',..EpC:a.a.c: ast assuroc jùàr' une tu:;:luteril2! fixe 22 dont l'e:d;ic=.nitFd vicamt déboucher Gur l'axe de rotcltion.
Un cat4izia,,,r: aval fi%,c, 23 l1.2ut 8tre \.ÎVilIl't;1., ;cuoC!!t dicp.;G' M la suite de la couronne il -Yiur tn"'Ai0l1:,eJ:1 ca ptcion utatiqua urla partiQ de l' rjl1(;l):i.c> air,.:;:i.ru: ,le l'nM:', La fOl1ct:i.onne:.nnt cet* r': .Itc. nn'!: 10 ,8!.²J '1W'\ celui du disposait 1C'..Ka'a=a:4:,3'.31.1'r décrit, 1 ';iv,uit<'iT der: qc iiCx¯11i:' Yj.?'r01,:. Ctl2'' le "tx.."; do-rit est qu'il :? cr;r:yxM'tv 'iu'mi '.'ut ) ,(';tIt' vl:ctrirnte et que la 'V,7.trs:l:: do rotation <'.t'. 13 xC3LtC ,te; diG:!'f3iQn peut 5trn supérieure -'.
3.(: C /) t/ y vitess-c axiJiar.; Jcs ;'0 I;ctL'Y'$ b-L^syrw?Ines 'b:"i.ll1<.'1.Sés fonction- lent sur 50 iY3z'x.c'7dtSs .1. ... 3 u n r L'invention a pour 0;";] et un dispositif de àxùv6nisatim d'eau en très fines gouttelettes, e."1 vue du la production, d'air sursaturé, ce dispositif cor:portant dans une enveloppe cylindrique une hélice pour l' entra5ner;îent de l'air, et une coupelle tournant à la oore vitesse
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que l'hélice qui se place en aval de celle-ci, :or rapport au sets de
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circulation de l'air. Cette coupelle= est antourca d'une roue de disper- sion qui a la disposition d'une cae d'écureuil tourimrit en sens inverse de celui de la coupelle et . plus grande vitesse que celle-ci.
Un ajutage
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<l...:.:n'3 de l'eau em contre de la coupelle, les gouttes d'eau se fourent à 1<-.u de distance de la périF3ur3.e de celle-ci sont vo7.er-nent heurtées par 7.N pales fines <1,e la cage d'écureuil et se dispersent en Iras fin:.;:.:; gouttelettes entm5:nf. $ par le counarit d'air crée par l'hélice.
L'invention IJ1:'fivoit que la coupelle et la roue de dispersion peuvent : ou bien %ne qui1>6es chacune d'un neeur indépendant, ou qu':m:>si bien la roue de dispersion peut Stre er,.tre?i%6e par une roue hlieeSd r el,rice i,,ue jar le courant d'air cri5é par la roue helioolde ci le sur- '..c it±m,e arbre que la coupelle.