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Perfectionnements apporta aux grille-pain électriques,
La présente invention concerne des grille-pain électri- ques et a pour but de procurer un montage commode pour isoler les éléments conducteurs d'un grille-pain.
Suivant la présente invention, dans un grille-pain élec- trique comportant des culasses d'extrémité àimant partie de l'ha- billage extérieur du grille-pain,les culasses d'extrémité sont faites en une matière isolante moulée et au moins une des culasses forme un support isolant sur lequel les éléments conducteurs du grille-pain sont montés.
Un interrupteur servant à commander l'excitation d'un élément chauffant électrique pour griller le pain peut comporter
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des contacte ayant la forme de lamelles élastiques fixées directe- ment sur une des culasses d'extrémité.
Pour bien faire comprendre la présente invention, un grille-pain électrique à éjection automatique conformé à l'invention sera décrit ci-après, à titre d'exemple, avec référence aux dessins annexés dans lesquels la Fig.l est une vue en élévation de coté du grille-pain dont certaines parties sont représentées en coupe pour montrer le mécanisme intérieur ; la Fig.2 est une vue en plan du dessous de la carcasse métallique intérieure du grille-pain ; ' la r'ig.3 est une vue en élévation de l'intérieur d'une des culasses d'extrémité du grille-pain; et, la Fig.4 est une vue en élévation fragmentaire de l'inté- rieur de l'autre culasse d'extrémité du grille-pain.
Dans les dessins, le grille-pain comporte un habillage ex- térieur comprenant-deux culasses d'extrémité 1 et 2 en matière isc- lante moulée et un couvercle en tôle 3 en forme de U inversé dont les bords longitudinaux mont maintenus en place par des saillies 4 prévues sur les culasses d'extrémité 1 et 2. Le couvercle 3 comporte des rebords inférieurs tournés vers l'intérieur et travermés par des vis (non représentées) qui fixent le couvercle 3 aux culasses d'extrémité 1 et 2. Deux ouvertures 5 sont ménagées dans le dessus du couvercle 3 pour introduire du pain dans les chambres à griller 16 et 17 du grille-pain (voir fig.2).
Une carcasse métallique 6 qui est représentée en plan du dessous sur la Fig.2 s'étend entre les culasses d'extrémité 1 et 2. Cette carcasse 6 comporte des pattes 7 à sa partie supérieure par lesquelles elle est fixée par des vis 8 à des saillies 21 pré- vues sur les culasses 1 et 2 et des pattes 9 et 10 à sa partie inférieure par lesquelles elle est fixée par des vis 11 aux culasses l'et 2.
La carcasse 6 porte trois éléments chauffants parallèles
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13, 14 et 15 (voir Fig.2), délimitant ainsi les deux eh\ambre',4 h, griller 16 et 17. Les éléments chauffants 13 et 15 coatppfnnent chacun des supports d'amiante 19 et 19 comportant des oreilles,20 1, long de leurs bords verticaux et des rubans métalliques 22 enroulés sur les supports, les oreilles 20 maintenant le rubans 22 en pièce.
La continuité électrique entre les deux rubans 22 sur les supports
18 et 19 est assurée par une bande de connexion 23 fixée aux sup- ports 1.8 et 19 en 24 et 25. L'élément chauffant 13 (comme le montre le dessin) et l'élément chauffant 15 sont montés de façon que les rubans 22 s'étendent sur une face des supports 18 et 19.
L'élément chauffant 14 comporte des supports 12 et 21 et les rusant) 22 s'étendent fur les deux faces opposées, puisque Isolement chauffant dessert les deux chambres griller 16 et 17. lies deux extrémités des rubans 22 de chaque élément chauf- fant sont fixés à des cosses 26 et 27. Les cosses 26 et 27 dans le cas de l'élément chauffant 13 sont fixées aux culasses 1 et 2 par des attaches 28 et 29 respectivement traversées par des vis 30.
Des vis 32 fixent les attaches 28 et 29 aux culasses 1 et 2, respec- tivement.
De même, les cosses 26 et 27 de l'élément, chauffant 14 sont fixées à des attaches 33 et 34 (fies.3 et 4) et les cosses 26 et 27 de l'élément chauffant 15 sont fixées à des attaches 35 et 36.
Les attaches 29 et 34 sont électriquement connectées en série par des conducteurs 37 et 38 par l'intermédiaire d'un thermostat bi- métallique qui sera décrit brièvement ci-après,
Les attaches 33 et 36 sont électriquement connectées par un'conducteur 39 dont un fragment seulement est représenté. Par consé- quant, les éléments chauffants 13, 14 et 15 sont électriquement con- nectés en série par les attaches suivantes dans l'ordre 28, 29, 34, 33, 36 et 35. Il est à remarquer que les attaches de connexion 28, 29 et 33, 36 sont de simples bandes métalliques Montées directement sur les culasses 1 et 2 qui servent donc de supports isolants pour ces éléments.
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Des supports pour le pain 40 et 42 s'étendent horizonta. lement dans les chambres à griller 16 et 17 (cornue le montrent en particulier les Figs.1 et 2) et sont formés par un fil métallique plié en zigzag de telle façon que les ondulations ainsi formées soient disposées dans un plan horizontal et soient ainsi capables de supporter le bord inférieur d'une tranche de pain. Les supports 40 et 42 pour le pain sont en fait formés d'un seul fil métallique qui est profilé en U en plan, la base du U étant reliée à une plaque en U peu profonde 43. Les extrémités libres 44,45 du U sont logées dans des rainures verticales ménagées dans la carcasse et permettent aux supports 40 et 42 de se déplacer verticalement.
La plaque 43 forme un côté d'un parallélogramme déformable désigné d'une manière générale par le chiffre 46 et qui est articulé à la carcasse 6 en 47 et 48. Un levier 49 part de la plaque 43 et tra- verse une fente verticale 51 ménagée dans la culasse 2. Un bouton 50 est prévu à l'extrémité extérieure du levier 49 et permet de soulever et d'abaisser les supports pour le pain à la main.
Un étrier 52 s'étend sur trois cotés du grille-pain à l'ex- térieur de la carcasse 6 et est monté à pivot à ses extrémités libres en 53 et 54 dans la carcasse 6. L'étrier 52 passe en dessous du levier 49, comme le montre la Fig.l, et est sollicité vers le haut par des ressorts de tension 55 fixés à une extrémité 1'étrier 52 et à l'autre extrémité à la carcasse 6 et, par conséquent, à moins qu'il soit bloqué (de la façon décrite ci-après) dans sa po- sition abaissée, l'étrier remonte et maintient les supports 40 et 42 pour le pain dans leurs positions supérieures (c'est-à-dire la position de la Fig.1) par contact avec le levier 49.
L'étrier 52 comporte un bras de prolongement 56 dont l'ex- trémité inférieure a la forme d'un U (Fig.4) et est gainée de ma- tière isolante en 57. Le bras de prolongement 56 est destin** à fermer deux jeux 58 et 59 de contacts coopérants .formant un interrup- teur bipolaire en série avec les éléments chauffants 13, 14 et 15.
Chaque jeu de contacts 58 et 59 comprend un conct fixe ayant la
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forme d'une lamelle métallique 60 fixée à la culasse 1 par des vis 62 et une lamelle contact mobile 63 fixée à la culasse 1 par une via 64, les extrémités libres des deux lamelles de contact 63 dtant disposas de manière à pouvoir être engagées par le bras de prolongement 56.
Les lamelles de contact 60 et 63 sont sollicitées dans un sens s'écartant l'une de l'autre par leur élasticité propre, Il est remarquer par conspuent que, lorsque l'étrier 52 est dans sa position soulesés, les contacts 60 et 63 sont ouverts pour désexciter les élément chauffants 13, 14 et 15 et, lorsque l'étrier est dans sa position abaissée, les contacts sont formée par la pression du bras de prolongement 56 pour exciter les éléments 13, 14 et 15.
Le cordon d'alimentation du grille-pain pénètre par une ouverture 65 ménagée dans la culasse 1. Le conducteur sous ten- tien 66 et le conducteur neutre 67 sont connectés à des bornes 68 pré. vues sur le* lamelles de contact fixes 60 et le conducteur de terre 69 est connecté à la carcasse 6 par un écrou en L 71. Une lamelle conductrice 70 connecte le contact mobile 63 du Jeu de contacts 68 à l'attache de connexion 35. On remarquera à nouveau que le support isolant pour le montage des éléments de l'interrupteur bipolaire est la culasse 1.
L'étrier 52 porte également un organe de verrouillage 63. L'organe de verrouillage, comme le montre la Fig.3, est coude en U, la branche 74 du U étant façonnée de manière advenir s'accro- cher en dessous des crochets 75 et 76 du dispositif à temps bimé- tallique afin de maintenir 1'Strier 52 dans sa position abaissée (le support pour le pain reposant sur l'étrier 52 par gravité), la branche 77 comporte un organe isolant 78 qui y est attaché de sorte que, lorsque 1'Strier 52 est dans sa position abaissée et en dessous du crochet inférieur 75, l'organe isolant 78 maintient les lamelles de contact 79 écartées des lamelles de contact 80 contre leur sollicitation naturelle.
Les deux crochets 75 et 76 sont sollicités l'un vers l'eu*
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tre par un ressort 81 et comportent des queues 82 et 83 situées de part et d'autre du bimétal 84. Le bimétal 84 porte un élisent chauf - fant 85 qui shunte les contacts 79 et 80 par l'intermédiaire des conducteurs 104. Lorsque les contacts 79 et 80 sont ouverts, Vêlé* ment chauffant 85 est connecté en série avec les éléments chauffant))! principaux 13, 14,et 15 du grille-pain par l'intermédiaire des attaches de connexion 32 et 34. Lorsque les contacts 79 et 80 sont fermas, l'élément chauffant 85 est court-circuité.
Lorsque le bouton 50 est abaissé, les supporte 40 et 42 pour le pain sont amenés dans la position de grillage et l'étrier 52 est abaissé pour amener la branche 74 de l'organe de verrouillage 73 sur l'étrier 52 à s'ancrer en dessous du crochet inférieur 75 @ tandis que l'organe isolant 78 ouvre les contacts 79 et 80, Initiale-! ment, l'élément chauffant 85 est par conséquent excité pour amener le bimétal 84 à fléchir autour du couteau 86 sur lequel il est monté.
Le bimétal 84 attaque ensuite la queue 82 et déplace le crochet 75 de sorte que l'organe de verrouillage n'est plus mainte* nu en dessous de lui. L'étrier monte alors légèrement pour se placer en dessous du crochet supérieur 76 qui a été déplacé (vers la gauche sur la Fig.3) sous l'action du ressort 81 lorsque le crochet 75 s'est déplacé, Ce déplacement de l'étrier 52 suffit pour permettre aux contacts 79 et 80 de venir en contact avec l'élément chauffant 85 et de le court-circuiter. Le bimétal 84 se refroidit alors et revient dans sa position initiale.
Il repousse ainsi la queue 83 ver le haut et déplace ensuite le crochet 76 suffisaient (vers la droi- te sur la Fig.3) pour libérer l'étrier 52 qui, nous la pression du ressort 55, monte et entraîne les supports 40 et 42 pour le pain. Un cycle de grillage est ainsi achevé.
Les tolérances de fabrication peuvent être compensées en rendant le mouvement perdu du bimétal réglable par l'intermédiaire de butées 88 et 89. Un réglage fin du cycle de fonctionnement du grille pain peut être réalisé par un coulisseau 90 comportant un bouton 92. Le coulisseau 90 se déplace dans une boutonnière 93 mé-
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nagée dans un levier pivotant 94 portant la butée 88. La position du coulisseau 90 détermine par conséquent la position de la buttée 88, Un déblocage manuel de l'étrier 62 est assuré par le bouton 95 qui,lorsqu'il est enfoncé, fait pivoter le levier 91 pour attaquer et repousser le crochet 75'et 76 suivant la position des crochets 75 et 76 au moment de cette opération.
Le thermostat comporte un châssis métallique 96 qui est fixé à la culasse 2 par des vis 97 et 98. Des contacts 79 et 80 sont montés sur le châssis 96 et sont électriquement isolés de ce châssis par des organes isolante 99, 100 et 102, les Contacts 79 et 80 étant prix'en sandwich entre les organes isolants 99, 100 et 102. Une vis 103 traverse les organes 99, 100 et 102 pour les maintenir assemblés, Les conducteurs 37 et 38 provenant des attache de connexion 32 et 34 et les conducteurs 104 de l'élément chauffant 85 sont connectés aux bornes 105 et 106 sur les contacte 79 et 80.
Diverses modifications peuvent être apportées à la construc- tion décrite plus haut. Par exemple, les ressorts 55 peuvent être ancrés à la carcasse environ à l'emplacement de la tête de flèche sur le trait indicatif du chiffre de référence 6 en estampant une oreille métallique dansdes rebords latéraux de la carcasse en ce point et en y ancrant les ressorts. De plus, la gaine 57 peut être remplacée par un organe circulaire de matière isolante qui, à la façon d'une bague, s'ajuste entre les branches l'extrémité infé- rieure du bras de prolongement 56.
REVENDICATIONS.
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