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la présente invention est relative à un procédé de traiteuent de boues d'égout ou bouea résiduaires arrivant aux installations municipales de purification des eaux d'égouts en provenunoe des maisons et analogues. Ilest courant d'ame- nor les eaux d'égout dans un réservoir de sédimentation, dans lequel la bouc se dépose et forme un dépôt. La boue est ensuite pompée dans une chaiabre de décomposition ou de putréfaction, dans laquelle la boue se décompose et forme de la boue décom- posée qui, après déshydratation et fichage, peut être utilisée comme engrais. Il est également connu d'amener de la boue, par simple déshydratation aux température* ordinaires, à un degré de siccité élevé uuqual la boue peut être brûlée ou utilisée sans traitement de décomposition.
Ainsi, il a été suggéré de mélanger la boue à une matière fibreuse, telle que dee fibreo do cellulose, qui sert de matière de filtration lors du tami- sage du mélange de boue et de fibres. Le mélange de matière fibreuse et de boue fecilite également la combustion lors de la combustion subséquente de.la masse filtrée. Dana les procé- dés de ce type connus jusqu'ici, la déshydratation finale s'et- fectue par filtrage, habituellement dans un filtre rotatif, un vide étant, de manière connue, parfois appliqué derrière le tamis filtrant. Le produit ainai obtenu présente encore une teneur en liquide telle qu'il ne peut pas être brûlé sans addition d'autres matières combustibles.
Au surplus, les pro- cédés connus ne sont pas continua, en co sens qu'il est néces- saire de renouveler périodiquement la masse do matière fibreuse lorsqu'elle a pasoé plusieurs fois sur le filtre. Ceci oonsti-
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tUd un inconvénient considérable 11:'.:::- 1:; l;''3'::i.llationa de purification da-j Dfn.m til6.gout où *...#. -c # .::jL : de nanièra cor,1;:;.nue.
LI1 p!'3"!1l:,, invention. ->#> ... :¯,r3 ..'. un :procédé do.n8 lsiiuul on fait .icf.e d'un r361s.zlt; l1 ¯...,;-. l'ibreuse et de boua. La procède au.vans l'inve:: #. - #..m j. :-¯: .outer la dê j- dr'tation, do .1ilr.l;)'1 continua, '.z, : '1.:: t.:.' ;:: de sicoit 61 Vi:; , de façon quo 2.,} produit t .!:':'.."s.. C ':,:J:n...stible sans addition d 'autres u-i'ea 000'0-":3 ;;""-.,-" ,',':':1.:::::', conformdmes, à l'invention, tL."1d installation \.? .; ,',".';.l'..on peut fon;- tionner da façon à dii)2.ter, da fa.¯ '-.' :z :.ze, un ptroauic
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prJsontant une s;a::c,. jh ::3.";1=) 0 f3 si1, poids ou davantage.
L' U1'l en LO:1 cor..s1a 1; i" '.1::'10 jiuapensior. formas il 'vu m6lEn.;ts da boue et d3 .')/1;';' J:c1 fibreuse à un trai- tenant déshydratation continu dry.: ljuel auspeiision i tenant dée.'hydra/t.t.jn continu a:::, ¯ '.ucl suspension est d'abord conceiixrée par eYtrU,c,:w^ . n , i basse pression, #> ; aproa quoi elle est encore dêshfclxwa p¯ ',)m¯; !."6ss1ont -a ou une pression éldv.:e, 1 dans une prea;; '..-.u -'.J \;Í:r:ive.
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de ae paasar du atade préalable du ::,.naentra,:., -nation., aU<è"> cas on fait passer (JJ,:'OI:1;ement 1 j , ", dans un apa
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du fonctionnement continu de cette presse, mais également à cause de con aptitude à fonctionner h dea pressions de l'ordre de grandeur nécessaire peur conférer au produit linal un pro- duit de siccité élevé.
La matière fibreuse mélangée à la boue a aloro pour effet d'assurer le frottement dans la maaae, ain- ai qu'entre la via et les parois de la presse à visser nécoa- saire pour appliquer une pression suffisamment élevée sur la
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mas3ao pendent aon.ps03311ee dar..3 la presse à via. De plus, en y mélangeant un 'acide, l'aptitude de la masse aqvu3e h se débarrasser de l'eau eat accrue. L'acide doit être ajouté avant que la masse entre dans l'appareil de filtration. Par addition d'un acide, la boue alcaline devient acide, en aorte que la masse présente une ftiotion interna pluo grande et
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offre ainsi une plus grande réaiutaice aux pressions de dd- foraation.
En même temps, l'efficacité du pro cédé de purifi- cation est accrue, par le fait que les substances prot6tn1quee contenues dans la boue sont amenées à se coaaul.ar '- une valeur de pH appropriée.
L'invention aéra maintenant décrite on détail, en se
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référant aux dessins ci-almexéo, dana lesquels deux formes d'exécution de l'invention sont ochématiadea à .titra d'exem- ple. Dalla ces desuin la figure 1 montre une installation do traitement d'esux résidunirea, dans laquelle ces eaux sont d'abord conoen- trées par sédimentation,' avant d'être déshydrates par 1'iltra- tion et compression, et - la figure 2 montre dea parties d'une installation dans laquelle lea eaux résiduairespassent directement dans un appareil se filtration, sans subir au préalable un traite- mont de concentration.
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A la figure 1, loo eaux r61].,;,Jua::'r3 hautes sent amendée dans un ;réc3orvoir de BÔdimoT\ ':;9. c.:.or. par un tuyau dé- gcat 2. Le réservoir 1 présents une poche 3, dans laquelle la bout sédimentée 4 est recueillie dans '),11 dispositif connu an uoi ot non roprdiemd our le d!631n. Crda1reoent, lu boue manant dea 111±\11)0113 et analogues contient une quantité relati- vement grande de motière fibreuse, orcinairemajit soue forme
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de papier partiellement dissous. Le pourcentage pondérul de
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,Libres cellulool-ilttea, par rapport 3 le. faneur totale en aasià- tas solides sèchas, varie selon les l3tallat1ons de traite- ront de boues et selon les saisons, mais ce pourcentage peut âtre supposé compris entre 3 e': 1C . Ce pourcentage s'appli- qua aux eaux rée:1..rluuirea entras'; ....:j le réscrvoir 1 par la tuyau 2.
Le pourcentages de fibres cilluloz'-quoa contenu (iamp la boue 4 recueillie dans la pocha 3 es" néralement un pou moins élevé. La bouo décantée 4 contient 94 bzz ou davantage d'humidité, ce qui correspond à une teneur de matière aèc',e da 6 ,G ou moins.
De la poche 3, la boue et pO:!1péa par un tuyau 5t dans lequel est montée une pompe 6, dai.j uno chambre 7, dans laquelle la vcleur de pH de la boue est r1-léa. Ce r6glLge J'effectue, par exemple, par addition :'acid aulluriqua ve- nant d'un réservoir 8, par une conduis 9 daaa laquelle e3t montée une aoupapo 10. Pour obJ;<jnl../#; vaiaur de pH u..'1.l.:: - rme dana la boue, il est nécessaire i' x, ¯ ;:- celle-ci au cours de l'addition de l'acide. Un a;irrxe,; :u¯ ¯ ¯ =e : par conséquent pré- vu dans la chambre 7 et est e':<.'uj:--:ë ar '1.n moteur i2. La va- leur du pH de la boue eat rLß -. .'; .: ''le le point 1::10- électrique dos substances pro'. 5¯n:. au 7 7 contenues ait été atteint, ce qui provoque la cosa.=W n da ces substances.
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Lorsque la boue présente cette valeur de pH, elle possède non
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aptitude maximale à lu séparation d'eau. La ccntiommrztion d'a- cide eul1'u1'illUe pour le réglage du pH est d'environ 0,25 à 0,5 noie par m3.
Do la chambre 7, la boue est amende par une conduite 13, passant par une soupape 14, à un dispositif de déshydrata- tion constitue par un taxais 15. En passant à travers un tamia, la teneur en matiere solido de la suspension de boue etde fila
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est augmentée jusqu'à environ 15 ? . Au besoin, une quantité supplémentaire de fibres calluloaiques peut être ajoutée et mélan±ée à la boue avant son pacage sur le tamis. Cette addi- tion de fibres peut varier périodiquement, afin de compenser les fluctuations saiaomiiorea de la teneur en libres osllulo - siques de la boue brute.
Au surplus, aes libres peuvent 8'tre ajoutées dans le but d # uujr.on.tar lu teneur an libres par rap- port à la teneur en matièrou solides de la boue et dans la out a'augmenter ainsi la valeur calorifique du produit údab.,ydrat6.
Dans la forme d'exécution rapr3sontéu, le tamis est constitué par une enveloppa conique periore 16 dans laquelle
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la suspension est enteainée axialoment à l'aida d'une via d'a- limentation 17, qui posséda un pas élevé, de façon que le li- quide puisse traverser le tamis sous une faible pression. Le tamis est enfermé dans un boîtier 18 destiné à recueillir le liquide séparé, qui est renvoyé dans le réservoir 1 par une conduite 19. La masse de boua et de fibres ainsi concentrée
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est évacuée par un conduit vertical 20 qui l'amena à l'axtrémi- té d'entrée d'une presse à via rotative comportant une envolop-
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pe perforée 21 et une via d'aliscntation 22. Le pas do la via est faible, en comparaison de ce-lui de la via 17.
L'enveloppe cylindrique 21 présente une partie conique perforée 23 se
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terminant par une ouverture de sortis 24 qui est commandée pa r un agencé pour exercer une contre-
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action axiale sur la masse de boue et -tS -ibr# chassée par l'ou verture de sortie, par l'action de la via 22, L'élément de sou- pape en question est, de préférence, agencé pour pouvoir cou-
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lisser axialement sur l'arbre 26 de la vis aT il est soupi a.
l'action d'un ressort ou d'un dispositif analogue de façon à résister à la pression de la messe sortante avec une contra-
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pression réglable correspondait au djg-L; .0 sicciti désiré. En pratique, une teneur en !3ubciteLict; se chu d'environ 40 fi en pdiids peut être obtenue, en cre:; t2 sur la masee, dans l'ou- verture de sortie, une contrs pre 3'¯ :. d'environ 4 à µ kg par em2. La presse à via est .i.cnte (.33 un. boîtier 27 dani lacuel ta-t recueilli le liquida Epar é 3ans l'enceinte 219 23, ce liquide étant renvoya' dans le --é3e--voir 1 par une cor.duite z28.
Los via 17 at 22 aont par moteur, do façon que la masse de boue et de fibres passe, de manière con- tinue, à travers la tamis et dans la presse a vis.
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Dana la forme d'exécution reprissatée, la masse t déshydratée 29 sortait de la presse à via est amenée par un
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tyyau 30 à un four 31, dans lequal cett5e masse tombe sur une ' grille 32. La four travailla selon la principe de la combus- tion à contre courant à une tempéra:lir3 d1-nvïron 13807, de l'air étant aspiré dan3 la direction is YYchee 33 à la par- fie supérieure du four, de manière .:. f:rsvrsa la grille et la matière se trouvant sur celle-ci, La foyer incandescent réduit la vapeur en hydrogène, sn ::n¯W 2i ;az da géneratuur H +00.
Par ce procédé 1 le 30, 'la Ll.j(,îde juifurique fourni ss; réduit on SOp. La température néce2jair- est comprise antre 74. tit *'49"P, Etant donné qu'on utiiue de !lucide sulturi" qu,j pour régler la valeur do pîî de la boue et S tant donn que l'acido sulfurique est réduit P:: aathyirido Bk:lfureujt, la
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corrosion est maintenue à un minimup. Par ailleurs, la forma- tion de SO3 est empêchée, le gaz de générateur formé peut être brûlé à l'aide d'air secondaire, de façon à engendrer dejjja la chaleur.
Les gaz résiduaires sont évacuée, comme montre par lea fléchas 34, par una conduite 35 et déchargea à l'aide d'un dispositif d'aspiration 36 comportant, de préférence, un séparateur de poussière et un pré-chauffeur, les gaz s'échap- pont ensuite par une chemine 37. La combustion est exécutée à un degré tel qu'il reste seulement des cendres cornue aube- tance sèche, ces cendres étant retirées de tempe en tamps du four par un dispositif d'évacastion 38 aboutissant à un col- ' lecteur 39, dans lequel les cendres 40 sont recueillies, en vue d'être transportées ailleurs.
La combustion qui a lieu dans le four est auto entre- tenue. Il n'est pas nécessaire de fournir des matières combus- tibles supplémentaires, étant donné que le produit séché possè- de en lui-même un degré de combustion suffisamment élevé pour qu'une combustion continue soit maintenue. La combustion renver- sée empêcha l'échappement de .gaz nuisibles, Dama le même but, il peut être souhaitable d'aspirer de'l'air à travers le tamis
15 et la presse à via 21, 22.
Dans un procédé de déshydratation tel que celui il- lustré à la fleura 1, la tamis 15 peut être omis, auquel cas la suspension concentrée par sédimentation ou d'une manière analogue doit avoir une teneur en humidité de moins de 94 %, par exemple de 85 %.
Le mélange déshydraté de boue et de fibres peut alors être décomposé et utilisé ultérieurement comme agent améliorant la qualité du sol ou fertilisant. Ce produit possède, en tant que fertilisant, une valeur beaucoup plus grande que celle de la boue décomposé et oéchée. On a constaté, en effectuant des
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casais, que le n'jlange de boue et do fibres séché conviant tria bien pour être décomposé , sa température s'élevant ra-
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pidement usctu'a 450C. De-ne lao installations de décomposition plus grandes, des températures sensiblement plus élevées, par exemple de fi0 à 70 0, peuvent 3tv<3 atteintes.
A 003 toapo- ratures, les matières nuiaiblos, par e::ople les oeufsd'asca- ris, etc., sont ddtruiteo.
La figure 2 montre une installation de déshydrata- tion, dans laquelle on fait usage d'un tania rotatif, Kana cet- ta installation, la suspension de boue est amenée dans un tam- tour perforé et filtrée à travers une couche filtrante de fibres
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belluloaiquoa qui est déposée au-' '-.-. paroi du tambour et qui quitte le tamis en mCne temps qun la boue. Le tamia relatif Comprend un récipient 41 auquel la boue eat aciendc diribctemant par un tuyau 42, cana avoir été concentre par sédimentation ou autrement.
Un tambour cylindrique perforé 43 aet monté, do ma- nière à pouvait tourner, dans le récipient 41, de façon à être
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partiellement icmorgo dans la boas. Ce tambour tourne dans le cana de la floche 44. La matière filtrante est constituée d'une suspension de fibres cellulosiques obtenue, da Référence, en
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dissolvant dei dtcùeto de papier dans da l'eau, cotte suspen- sion étant déposée, do manière coû Situe, la partie supérieure du tambour rotatif, à partir d'un lis-4ri.bu-1t ,eur 45 s'étendant transversalement au tambour. La ::.:^:.ti,r de fibres est amenée au distributeur 45 par un tuyau -l'i, Ja cette manière, une cou- che filtrante 47 de fibres eall.:;iue3 as forac sur la partie inférieure du tambour.
Cette ,31..1.:', est déshydratée par passage du liquide à trnvers I03 perforations du tanbeur,
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avant d'atteindra le niveau de la boue dana la récipient.
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Ainsi, en ra3.jtuit dans le 'tambour, la suspension de boue oat efficacement filtrée, les matières solides étant absorbées et entraînées par Indite couche filtrante, tandis quo le liquida est évacua par uno nortio 40. Four que la coucha filtrante
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ne soit par, ('lJ.r10:"::!ULO pur la bouo entrants, uno cloison 49 est prévue entre l'entrée et la cote adjacent du tambour, une
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ouverture 50 étant prévue pour l'écoulaaent de la boue dans la partie inférieure du récipient.
La couche do boue et da fibres ainsi fornéo est enouitn déshydratée an passant sur une partie libre du taabuur, à l'extrémité de sortie, au-des- sue du niveau da liquida, put.3 at passant sur un rouleau 51, par lequel la couche est m.13-Wa du tambour et transidréo par un dispositif d'évacuation 52 jusqu'à l'extrémité d'entrée d'une presse à vis rotative 53 qui pout être du même type
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que celle mcntr.5l.: à la fit;oU1'tI 1. Le mélange de bouts et de fi- brea qui quitte le taris rotatif en 52 peut présenter une te- neur en substance rècne de 10 û 12 . Le pouruontabe de t1br8 contenu dans ce mélange dépend do la quantité do fibrea cellu- loaiques déposées sur le tambour.
Les fibrea sont, de préfé- rence, fournies en une quantité telle qu'elles ferment uno couche filtrante de 100 à 200 de fibres par m2de surface
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du tambour. Lea fibres ccll\1l.0f!lqucu ainsi fournie-) s'ajoutent évidemment foi la matière fi'o;:-eu:J6 déjà contenue dana la boue entrant dans le récipient 41 et peuvent, par CUnlJqucllt, être utilisées pour compenser lu Caillu pourcentage de cette aa- tière contenue dans la boue.
Les i'luatuatior:rs uaiooMnierea de la teneur en libres de 1 bv>ue ouVnt être ccpenu0eB en changeant la quantité de fibres fournie au tambour. Le fait que les fibres celluloalquca soient amenées nu tamis indépen-
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de=ont de la boue, de la manière illustrée h la figure 2, présente l'avantage particulier de permettre qu'une quantité plus grande de matières solides de la boue soit absorbée et entraînée par les fibres que dans le cas où l'on filtre une suspension d'un mélange de boue et de fibres, comme décrit en référence à la figure 1.
De plus, len proportions relati- ves de boue et de fibres dans le produitfinal peuvent être
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modifiées, en faisant varier ï'épai3oeur de la couche filtrem- te, ce qui peut se faire, par exemple, en faisant varier la
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vitesse de rotation du tambour. Su rcelan; l'alimentation en fibres et la vitesse de rotation l'une par rapport à l'autre,
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il peut être possible d'obtenir T G: ¯ .o.r ce itae -lue élevé de fibres allant jusqu'à 50 de 1 tn;.ur e substance pêche du produit finale
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REVDICATICS.
1.- Procédé pour traiter 1 bout dluis des inatalls- tiona de purification d'eaux ou de boues résinuaireo ot ana- logues, caractérisé en ce qu'une suspension d'un malauge de boue ' et de matiàre fibreuse, telle que des 3 fibres cellulosiques, est soumise à un traitement de déshydratation continu, dans
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lequel la auapenalon ezt d'abord concentrée par extraction d'eau à basse pression, après quoi alla est déshydratée davan-
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tage par compression soudaine prajaijn élevés dana une presue à via rotative.
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2.- Procédé suivant la raverialcation 1, caractérisé an ce que la euaponsion est d'aoord concentrée par sédimenta- tion et/ou flottation, après quo."1 viia eat encorb concentrée par filtration.
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3.- Procédé suivant la revendication 1, caractérise en ce que la suspension est filtrée sans concentration préa- lable, avant que la masse de bouo et do fibres ooit amenée dans la presse à vie.
4. - Procédé suivant l'uno ou l'autre des revendica- tions 1, 2 et 3, caractérisé en ce que la suspension est aci- dife avant d'être filtrée et/ou comprimée.
5. - Procédé suivant la revendication 4, caractérisé en ce que la suspension est acidifiée jusqu'à une valeur de pH à laquelle les substances prétéiniques contenues dans la boue se coagulent.
6. - Procédé suivant l'une ou l'autre des revendica- tions 4 et 5, caractérisé en ce qu'on fait fonctionner la preose à vis avec une contre-pression axiale d'environ 4 à 5 kg par cm2.
7. - Procédé suivant la revendication 1, caractérisé on ce que la suspension est filtrée sur une couche filtrante de matière fibreuse qui est amenée au tamis, séparément par rapport à la boue et qui quitte le tamia en même temps que celle-ci.
6.- Procédé suivant la revendication 7, caractérise en oe que La suspension est filtrée dans un tamis rotatif, dont le tambour est partiellement immergé dans la suspension, celle- ci étant amende dans l'espace contenant du liquide du réoi- pient contenant le tamia, tandis que la suspension de fibres est amenée dans le tambour en un point situé au-dessus du niveau du liquida dans ledit récipient.
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the present invention relates to a process for treating sewage sludge or residual sludge arriving at municipal sewage purification installations from homes and the like. It is common to feed the sewage into a settling tank, in which the goat settles and forms a deposit. The sludge is then pumped into a decomposition or putrefaction cellar, where the sludge decomposes and forms decomposed sludge which, after dewatering and bundling, can be used as fertilizer. It is also known to bring sludge, by simple dehydration at ordinary temperatures, to a high degree of dryness whereby the sludge can be burned or used without decomposition treatment.
Thus, it has been suggested to mix the slurry with a fibrous material, such as cellulose fiber, which serves as a filtration material when sieving the mixture of sludge and fibers. The mixture of fibrous material and sludge also promotes combustion during subsequent combustion of the filtered mass. In processes of this type known heretofore, the final dehydration takes place by filtration, usually in a rotary filter, a vacuum being, in known manner, sometimes applied behind the filter screen. The product thus obtained still has a liquid content such that it cannot be burned without the addition of other combustible materials.
Moreover, the known methods are not continuous, in the sense that it is necessary to periodically renew the mass of fibrous material when it has passed over the filter several times. This oonsti-
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tUd a considerable disadvantage 11: '. ::: - 1 :; l; '' 3 ':: i.llationa of purification da-j Dfn.m til6.gout where * ... #. -c #. :: jL: de nanièra cor, 1;:;. naked.
LI1 p! '3 "! 1l: ,, invention. -> #> ...: ¯, r3 ..'. Un: process do.n8 lsiiuul we make .icf.e of a r361s.zlt; l1 ¯ ...,; -. l'ibreuse et de boua. La proceeds to.vans the invention :: #. - # .. m j.: -¯: .outer de j- dr'tation, do .1ilr .l;) '1 continued,' .z,: '1. :: t.:.' ; :: so that is 61 Vi :;, so that 2.,} produces t.!: ':' .. "s .. C ':,: J: n ... stible without adding other u- i'ea 000'0 - ": 3 ;;" "-., -", ',': ': 1. :::::', conformdmes, to the invention, tL. "1d installation \.? .;, ', ".' ;. l '.. we can function in such a way as to dii) 2.ter, da fa.¯' -. ' : z: .ze, a ptroauic
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the continuous operation of this press, but also because of its ability to operate at pressures of the order of magnitude necessary to give the end product a high dryness product.
The fibrous material mixed with the sludge has the effect of ensuring the friction in the maaae, as well as between the via and the walls of the screw press necessary to apply a sufficiently high pressure on the screw.
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mas3ao pendent aon.ps03311ee dar..3 the press at via. In addition, by mixing an acid therein, the ability of the intended mass to get rid of water is increased. The acid must be added before the mass enters the filter apparatus. By the addition of an acid, the alkaline sludge becomes acidic, causing the mass to exhibit a greater internal influence and
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thus offers a greater response to deforestation pressures.
At the same time, the efficiency of the purification process is increased, by the fact that the protein substances contained in the sludge are allowed to coalesce at an appropriate pH value.
The invention will now be described in detail, with reference to
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referring to the above drawings, in which two embodiments of the invention are exemplified by. In these drawings, figure 1 shows a wastewater treatment plant, in which this water is first conenacted by sedimentation, before being dehydrated by filtration and compression, and - figure 2 shows parts of an installation in which the waste water passes directly into a filtration apparatus, without first undergoing a concentration treatment.
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In Figure 1, loo r61].,;, Jua :: 'r3 high is amended in a; BÔdimoT \':; 9. horn. by a damaged pipe 2. The reservoir 1 presents a pocket 3, in which the sedimented end 4 is collected in '), 11 device known an uoi ot not roprdiemd for the d! 631n. Crda1reoent, the sludge from 111 ± \ 11) 0113 and the like contains a relatively large amount of fibrous motter, mostly orcinar in the form
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partially dissolved paper. The weighted percentage of
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, Free cellulool-ilttea, relative to 3 le. Total tedder in dry solids, varies with sludge treatment level and season, but this percentage can be assumed to be between 3 °: 1C. This percentage applied to real waters: 1..rluuirea entras'; ....: j the tank 1 through pipe 2.
The percentages of fibers cilluloz'-quoa contained (iamp the mud 4 collected in the bag 3 is generally a lower louse. The decanted tank 4 contains 94 bzz or more of moisture, which corresponds to a content of matter aèc ' , e da 6, G or less.
From the pocket 3, the mud and pO:! 1péa by a 5t pipe in which is mounted a pump 6, dai.j uno chamber 7, in which the pH value of the mud is r1-lea. This regulation I carry out, for example, by adding: 'aulluric acid coming from a reservoir 8, by a pipe 9 daaa which has been mounted a aoupapo 10. For obJ; <jnl ../#; pH value u .. '1.l. :: - rm in the sludge, it is necessary i' x, ¯;: - this during the addition of the acid. A; irrxe ,; : ū ¯ ¯ = e: therefore predicted in chamber 7 and is e ': <.' uj: -: ë ar '1.n motor i2. The pH value of the sludge is rLβ -. . '; .: '' the point 1 :: 10- electric dos substances pro '. 5¯n :. at 7 7 contained has been reached, which causes the cosa. = W n in these substances.
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When the sludge has this pH value, it has no
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maximum ability to separate water. The quantity of acid used for pH adjustment is approximately 0.25 to 0.5% per m3.
In chamber 7, the sludge is fine through a pipe 13, passing through a valve 14, to a dewatering device constituted by a taxais 15. Passing through a chipmunk, the solido content of the slurry slurry etde fila
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is increased to about 15? . If necessary, an additional quantity of calluloa fibers can be added and mixed with the slurry before it is grazed on the sieve. This fiber addition may vary periodically, in order to compensate for the saiaomiiorea fluctuations in the free osllulose content of the raw sludge.
In addition, free can be added for the purpose of uujr.on.tar the free content in relation to the solids content of the sludge and in the end to thereby increase the calorific value of the product. údab., ydrat6.
In the rapr3sontéu embodiment, the sieve is constituted by a periore conical envelope 16 in which
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the slurry is axially entrained with the aid of a feed via 17, which has a high pitch, so that the liquid can pass through the screen under low pressure. The sieve is enclosed in a housing 18 intended to collect the separated liquid, which is returned to the tank 1 via a pipe 19. The mass of boua and fibers thus concentrated
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is evacuated by a vertical duct 20 which brought it to the inlet axis of a rotary via press comprising an envolop-
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eg perforated 21 and a via of alcntation 22. The pitch of the via is weak, compared to that of the via 17.
The cylindrical casing 21 has a perforated conical portion 23 which is
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ending with an outlet opening 24 which is controlled by a device designed to exert a counter-
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axial action on the mass of sludge and -tS -ibr # driven by the outlet opening, by the action of via 22, The valve element in question is preferably designed to be able to cut
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axially smooth on the shaft 26 of the screw aT it is soft a.
the action of a spring or similar device so as to resist the pressure of the outgoing mass with a contra-
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adjustable pressure corresponded to djg-L; .0 desired sicciti. In practice, a content of! 3ubciteLict; chu of about 40 fi in pdiids can be obtained, in cre :; t2 on the masee, in the output opening, a pre check 3'¯:. from about 4 to µ kg per em2. The via press is .i.cnte (.33 un. Casing 27 dani lacuel ta-t collected the liquid Epar é 3ans enclosure 219 23, this liquid being returned 'into the --é3e - see 1 by a horn .duite z28.
The via 17 at 22 are driven by motor, so that the mass of mud and fibers pass continuously through the screen and into the screw press.
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In the reprissatized embodiment, the dehydrated mass t 29 exiting the press via is fed by a
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pipe 30 to a furnace 31, in which this mass falls on a grid 32. The furnace worked according to the principle of countercurrent combustion at a temperature: lir3 d1-nviron 13807, air being sucked into the direction is YYchee 33 at the top of the oven, so.:. f: rsvrsa the grid and the material on it, The incandescent hearth reduces the vapor to hydrogen, sn :: n¯W 2i; az da generatuur H +00.
By this process on the 30th, the Lll (, Jewish island provided ss; reduced to SOp. The required temperature is between 74. tit * '49 "P, Since we use! Lucide sulturi" qu, j to adjust the value of pîî of the sludge and S given that the sulfuric acid is reduced P :: aathyirido Bk: lfureujt, the
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corrosion is kept to a minimup. On the other hand, the formation of SO3 is prevented, the formed generator gas can be burned with the aid of secondary air, so as to generate heat already.
The waste gases are evacuated, as shown by the fléchas 34, by a pipe 35 and discharged by means of a suction device 36 comprising, preferably, a dust separator and a preheater, the gases being discharged. then escape through a chimney 37. The combustion is carried out to a degree such that only dry retort ash remains, these ashes being removed from the temple in tamps of the furnace by an exhaust device 38 resulting in a collector 39, in which the ashes 40 are collected, with a view to being transported elsewhere.
The combustion which takes place in the furnace is self-sustaining. It is not necessary to provide additional combustible materials, since the dried product in itself has a sufficiently high degree of combustion to maintain continuous combustion. The reverse combustion prevented the escape of harmful gases. For the same purpose, it may be desirable to draw air through the screen.
15 and the press at via 21, 22.
In a dehydration process such as that illustrated in fleura 1, the sieve 15 may be omitted, in which case the suspension concentrated by sedimentation or the like should have a moisture content of less than 94%, for example. by 85%.
The dehydrated mixture of mud and fiber can then be broken down and subsequently used as a soil quality improver or fertilizer. This product has, as a fertilizer, a much greater value than that of decomposed and oicked sludge. It has been observed, by carrying out
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case, that the suitable mixture of dried mud and fibers sorted out well to be decomposed, its temperature rising rapidly.
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quickly usctu'a 450C. In larger decomposition plants, significantly higher temperatures, for example from 10 to 70 0, can be reached.
At 003 toapo- ratures, the damaged material, eg, ascaris eggs, etc., is destroyed.
Figure 2 shows a dewatering installation, in which use is made of a rotary tania, Kana this installation, the sludge slurry is brought into a perforated drum and filtered through a filter layer of fibers.
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belluloaiquoa which is deposited at- '' -.-. wall of the drum and which leaves the sieve at the same time as the mud. The relative chipmunk comprises a container 41 to which the sludge is conveyed through a pipe 42, may have been concentrated by sedimentation or otherwise.
A perforated cylindrical drum 43 has been mounted so as to rotate in the container 41 so as to be
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partially icmorgo in the boas. This drum rotates in the cana of the flock 44. The filtering material consists of a suspension of cellulosic fibers obtained, da Reference, in
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dissolving dei dtcùeto de papier in water, this suspension being deposited, so costly, the upper part of the rotating drum, from a line-4ri.bu-1t, eur 45 extending transversely to the drum. The ::.: ^ :. ti, r of fibers is fed to the distributor 45 by a pipe -l'i, Ja in this way a filter layer 47 of fibers eall.:;iue3 as forac on the lower part of the drum.
This, 31..1 .: ', is dehydrated by passing the liquid through I03 perforations of the tanber,
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before reaching the level of the mud in the container.
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Thus, in ra3.jtuit in the 'drum, the slurry suspension is effectively filtered, the solids being absorbed and carried away by the filtering layer, while the liquid is evacuated by uno nortio 40. Oven that the filtering bed
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either by, ('lJ.r10: "::! ULO for the incoming bouo, a partition 49 is provided between the entrance and the adjacent side of the drum, a
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opening 50 being provided for the flow of sludge into the lower part of the container.
The layer of mud and fibers thus formed is enouitn dehydrated passing over a free part of the taabuur, at the exit end, above the level of liquid, put.3 and passing over a roller 51, through which the layer is m.13-Wa from the drum and transidréo by a discharge device 52 to the inlet end of a rotary screw press 53 which may be of the same type
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than that mcntr.5l .: à la fit; ou1'tI 1. The mixture of ends and fiber which leaves the rotary dry-off at 52 may present a substantial content of 10 to 12. The amount of t1br8 contained in this mixture depends on the amount of cellulose fibers deposited on the drum.
The fibers are preferably supplied in such an amount as to close a filter layer of 100 to 200 fibers per m2 of area.
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of the drum. The fibers ccll \ 1l.0f! Lqucu thus supplied-) are obviously added faith the material fi'o;: - eu: J6 already contained in the mud entering the container 41 and can, by CUnlJqucllt, be used to compensate for the Curd percentage of this matter contained in the mud.
The i'luatuatior: rs uaiooMnierea of the free content of 1 bv> ue can be increased by changing the amount of fiber supplied to the drum. The fact that the celluloalquca fibers are fed through an independent sieve
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of = have sludge, as illustrated in Figure 2, has the particular advantage of allowing a greater amount of solids in the sludge to be absorbed and entrained by the fibers than in the case of filters a slurry of a mixture of mud and fibers, as described with reference to Figure 1.
In addition, the relative proportions of sludge and fiber in the final product can be
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modified, by varying the thickness of the filter layer, which can be done, for example, by varying the thickness of the filter layer.
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drum rotation speed. Su rcelan; fiber feed and rotational speed relative to each other,
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it may be possible to get T G: ¯ .o.r this high itae -lue of fibers of up to 50 of 1 tn; .ur e peach substance of the final product
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REVDICATICS.
1.- A process for treating 1 end of the inatallations- tiona of purification of water or of resinous sludge and the like, characterized in that a suspension of a sludge of sludge and fibrous material, such as 3 cellulosic fibers, is subjected to a continuous dehydration treatment, in
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which the auapenalon is first concentrated by extracting water at low pressure, after which alla is further dehydrated.
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prajaijn sudden compression stage raised in a rotary press.
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2.- Process according to raverialcation 1, characterized in that the euaponsion is aoord concentrated by sedimenta- tion and / or flotation, after which. "1 viia is cored concentrated by filtration.
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3. A method according to claim 1, characterized in that the suspension is filtered without prior concentration, before the mass of bouo and do fibers ooit brought into the press for life.
4. - A method according to either of claims 1, 2 and 3, characterized in that the suspension is acidic before being filtered and / or compressed.
5. - Process according to claim 4, characterized in that the suspension is acidified to a pH value at which the preteinic substances contained in the sludge coagulate.
6. - A method according to either of claims 4 and 5, characterized in that the screw preose is operated with an axial back pressure of about 4 to 5 kg per cm 2.
7. - Method according to claim 1, characterized in that the suspension is filtered through a filter layer of fibrous material which is fed to the sieve, separately from the sludge and which leaves the chipmunk at the same time as the latter.
6. A method according to claim 7, characterized in that the suspension is filtered through a rotary sieve, the drum of which is partially immersed in the suspension, the latter being fine in the space containing the liquid of the reactor containing the. chipmunk, while the fiber slurry is fed into the drum at a point above the level of the liquida in said container.