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S'''ilt AUTOMATIQUE DE TENSION POUR VOITURES 1)Ë CIm!.tI1\ Il FER A CHAUFFAGE ':'C'.f' R tLTE
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ta présente invention se Apporte à un dispositif destiné à être installé sur les voitu- reô de Chëînih de fer pouvant circuler sur dés lieed lètr1f1deo à différentes tensions et lui dêtëftîhë automâtiquement, selon la tension
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d'alimentation de la voiture, le couplage des
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r'é'âiatbncee de chauffage convenant à cette tension.
Le dispositif suivant l'invention présente l'a,vaiitâ& que ses éléments de cotaïaande des organes de doitú!'1!.1ÍtI.'tion BOut 'entièrement statiques; ils ne
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comprennent donc aucun relais ou autres appareils @ à contacts dont le fonctionnement est généralement @ peu précis. Le dispositif suivait l'invention adapte @ le couplage des résistances de chauffage aux tensions @ d'alimentation nominales de 3 000 V. courant continu @ ou alternatif, 1 500 V. courant continu ou alternatif @ ou 1 000 V. courant alternatif à 50 ou 16 2/3 Hz.
Ces @ résistances peuvent soit constituer un ensemble central pour tout une voiture, le chauffage des différents compartiments étant réglé individuellement par thermo- états agissant sur un débit d'air chauffé par les dites résistances, soit constituer des groupes indivis duels par compartiment et, dans ce dernier cas, on peut envisager un sélecteur unique pour toute la voiture ou un sélecteur par compartiment. Quoiqu'il en soit, le fonctionnèrent est le même. Les résistances sont alimen- tées par une ligne générale à partir de la locomotive ; pour les tensions ci-dessus, la commutation se fait, comme il est connu, par couplage série ou série-parallèle de groupes de résistances au moyen d'un commutateur à trois positions commandé par deux bobines.
La position de repos correspond au couplage à 3 000 V; l'excitation d'une bobine effectue le couplage à1 500 V. et l'exci- talion de l'autre bobine celui à 1 000 V. Un contacteur* de tête applique ou coupe la tension d'alimentation. Le sélecteur suivant l'invention répond aux exigences de fonctionnement ci-après, les chiffres cités étant donnés à titre d'exemple, pour fixer les idées:
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- lorsque la tension d'alimentation est de t 875 V. et au delà, le couplage correspond à 3 000 V. confina ou alternatif nominaux;
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- le couplage correspond à 1 500 V.' continu ou qI1?ej?*> natif nominaux si la tension est comprise entre 1 875 V. et 1 275 V.
- le couplage correspond à 1 000 V. nominaux en. courant alternatif, si la tension est de 1 275 V. et en dessous
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- si' la tension est continue et que sa valeur fonfet dans les limites correspondant au couplée 1 900 3i le couplage reste à 1 500 V. car, dans je cas, 1 ne peut s'agir que d'une ligne à 1 500 z. eoug;,Vol4,0,1 - si la valeur efficace de la tension, continue ou
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alternative, descend en dessous de 500 '. , V&là$n*r tation des résistances est coupée car alors l '1 l une chute de tension anormale de la ligne et il
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importe de conserver uniquement pour la tr,v.o 3,a puissance disponible.
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- la commutation se fait en ouvrant d'a'bQfd 11! ç teur de tête, en effectuant le couplage cot'x!e$P01't4m:rt! à la tension, puis en refermant le contacteur de tête.
- la précision du dispositif n'est pas affectée prati- quement par les variations de température ni par les
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variations de lu tension de la batterie du véh4é0410$ servant de source d'alimentation des circuits ' "à* servant de source d'alimentation des ' '.#'## V If Le sélecteur automatique suivant 1' invention ' !,l''
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est caractérisé en ce qu'il comprend un discrimina" teur de tension constitua par un transformateur dont le primaire est raccordé, d'une part, à la ligne d1 alimentation à travers une résistance et, d'autre part, à la masse a. travers une autre rems tance, la tension aux bornes de cette dernière étant mise en série et en opposition de phase avec une tension,
fournie par un premier secondaire du transformateur la tension résultante étant redressée et filtrée et appliquée à l'ensemble, dont une extrémité est 4 la Fasse, d'un premier et d'un deuxième potentiomètres en série, l'amplitude de la tension fournie par le dit premier secondaire étant telle que la tension continue aux bornes des deux potentiomètres soit proportionnelle à la valeur efficace de la tension de liene, continue ou alternative, et un troisième potentiomètre, alimenta par une tension redressée à partir d'un deuxième enroulement secondaire du transformateur, ayant son extrémité positive raccor- dée à la borne positive de l'ensemble du crémier et du deuxième potentiomètres,
le dit troisième poten-' tiomètre et le premier, dont une extrémité est 4 la masse, fournissant la tension d'entrée 4 deux basculas à transistrons excitant respectivement la bobine du commutateur correspondant au couplage 1 000 V, et la bobina de ce commutateur correspondant au couplage 1 500 V.
, l'excitation de chacune de ces bobines se
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produisant quand la tension à l'entrée de la bascule correspondante descend en-dessous d'une valeur fonc- tion du réglage du potentiomètre intéressé, et le deuxième potentiomètre fournissant la tension d'entrée à une bascule à transistrons, dite de tension minimum, qui excite une autre bascule à transistrona commandant l'ouverture et la fermeture du contacteur de tête de ligne, l'ouverture de celui-ci se produisant quand la tension à l'entrée de la bascule de tension minimum descend en-dessous d'une certaine valeur dépendant du réglage du potentiomètre correspondant.
En outre, les bascules produisant les couplages à 1 000 V. et à 1 500 V. ainsi que la bascule de tension minimum possè- dent une fourchette de fonctionnement obtenue par intro- duction, dans le circuit de commande du premier transis- tron, d'une tension provenant d'un écage suivant et les deux premières bascules ne produisent l'excitation ou la désexcitation de la bobine correspondante du commutateur qu'un certain temps après leur changement d'état, par l'action d'une constante de temps.
Suivant d'autres caractéristiques de l'invention, la bascule commandant l'ouverture et la fermeture du contacteur de tête possède deux entrées, la première rece- vant une tension de la bascule de tension minimum provo- quant l'ouverture de ce contacteur, lequel s'ouvre égale- ment,lorsque disparaît, à l'autre entrée, une tension fournie* par une constante de temps à résistance-capacité,
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dont la résistance est shuntée par une diode de façon que la décharge de la capacité soit plus rapide que la charge, cette constante de temps étant branchée aux bornée d'une self saturable, à travers un redresseur,
cette self étant alimentée à travers une résistance par une tension alternative et ayant ses enroulements de saturation parcourus respectivement par un courant provenant des bascules commandant le commutateur de couplage, ce courant apparaissant pendant l'interven- tion de la constante de temps de ces bascules.
Enfin, des moyens sont prévus pour empêcher la bascule correspondant au couplage 1 500 V. d'exciter sa bobine lorsque la bascule correspondant au couplage 1 000 V. fonctionne dans le sens de l'excitation de la bobine correspondante et pour empêcher l'excitation de l'une ou l'autre de ces deux bobines quand la bascule de tension irinimum fonctionne dans le sens de l'ouverture du contacteur de tête. D'autres caractéristiques apparaitront dans la description ci-après, en se réfé- rant aux dessina annexes, se rapportant à un exemple non limitatif de réalisation.
La figure 1 permettra de comprendre la consti- tution et le fonctionnement du sélecteur suivant l'in- vention; certaine éléments, représentés par des rectan- gles, seront décrits en détail par la suite à l'appui de la figura 2.
La tension d'alimentation des résistances de
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chauffage de la voiture, fournie- à partir de la loco- motive, est amenée par une prise 1, à travers le con- tact normalement ouvert 2 d'un contacteur de tête, au commutateur de couplage C dont les contacts, non représentés, ont pour mission de grouper les six résistances R de chauffage soit toutes en série (cou- plage 3 000 V.) ,. soit en deux groupes en parallèle de trois en série (couplage 1 500 V.), soit on trois groupes en parallèle de deux en série (couplage 1 000 V.) Un contacteur, non représenté et souci!:
à l'action d'un thermostat, peut être invercale entre le commutateur C et le groupe de résistances pour la régulation de la température, ainsi qu'il est connu, Le commutateur C est à trois positions et est commandé de part et d'autre de sa position de repos, par l'une ou l'autre de deux bobines, non représentées, alimen- tées par une source auxiliaire à travers des transi trôna 3 et 4 qui seront, dans ce qui suit, assimilés à des interrupteurs. @
Lorsque les interrupteurs 3 et 4 sont ouverts, le commutateur C est an repos et établit le couplage 3 000 V. entre les résistances R.
La fermeture, de l'interrupteur 3 produit le couplage 1 500 V et celle de 1'interrupteur 4 le couplage 1 000 V. La tension de la prise 1 est appliquée à un circuit discriminateur de tensions comprenant un transformateur 5 dont le pri- maire est raccordé d'une part à la prise Il 3,. travers une
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résistance 6, et d'autre part à la masse, à travers une résistance 7, et qui possède deux enroulements secondaires dont l'un est en parallèle avec une résis- tance 8 et dont l'autre fournit une tension, redressée par un redresseur 9, à un potentiomètre 10 shunté par un condensateur de filtrage 11.
La tension résultante aux bornes des résistances 7 et 8 en série est redres- sée par une diode 12 et appliquée à deux potentiomètres 13 et 14 en série dont l'ensemble est shunté par un
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condensateur de filtrage 15.
Lorsque la tension à la prise 1 est continue, il apparaît une tension aux bornes de la résistance 7, qui se reporte aux bornes du condensateur 15 ; le trans- formateur 5 ne joue aucun rôle et il n'apparaît dono pas de tension au potentiomètre 10. Si, au contraire, la tension à la prise 1 est alternative, il apparaît une tension non seulement aux bornes de la résistance 7 niais également aux bornes de la résistance 8. Cette dernière tension est en opposition de phase avec la première et sa valeur est ajustée de façon que la tension continue aux bornes du condensateur 15 soit la même que celle qui y apparaîtrait si lu tension à la prise 1 était continue et égale à la valeur efficace de la tension alternative.
De cette façon, la tension aux bornes du condensateur 15 est proportionnelle à la tension efficace de ligne, qu'elle soit continue ou alternative. Il apparaît également une tension continue aux bornes du condensateur 11,. dont le rôle sera expliqué par la suite.
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Les tensions fournies par les potentiomètres 13,10 et 14 sont appliquées respectivement à des circuits à bascule à transistrons B 1500, B 1000 et B 500.
Les bascules B 1500 et B 1000 commandent les interrup- teurs 3 et 4 d'excitation des bobines du commutateur de couplage; elles provoquent la fermeture respective de ces interrupteurs quant leur tension d'entrée, fournie par le potentiomètre correspondant, descend en dessous d'une certaine valeur fixée par le réglage de celui-ci et inversement, elles provoquant l'ouverture de ces interrupteurs quand leur tension d'entrée remonte au-dessus d'une autre valeur, supérieure à la première, ces bascules possédant une "fourchette" ayant pour but d'éviter. les commutations intempestives quand la tension varie autour du seuil de fonctionnement.
En outre, le fonctionnement de ces bascules, dans un sens ou dans l'autre, ne provoque l'actionnement des interrupteurs qu'elles commandent qu'après une temporisation déterminée par une constante de temps. Lorsque la bascule B 1000 fonctionne dans le sens de la fermeture de l'interrupteur 4, elle envoie à la bascule B 1500 un signal de verrouil- lage électrique qui empêche celle-ci de fonctionner dans le sens de la fermeture de l'interrupteur 3, ce afin d'éviter la fermeture simultanée des deux interrupteurs .
3 et 4. Quant à la bascule B 500, qui possède également une fourchette, elle commande une autre bascule Bt qui provoque l'ouverture et la fermeture du contact 2 du
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contacteur de tête, l'ouverture do ce contact se pro- duisant quand la tension d'entrée de la bascule B 500, fournie par le potentiomètre 14, descend en-dessous d'une certaine valeur, correspondent à une tension d'environ 500 V à la prise 1, ceci afin d'éviter, en cas de très forte chute de tension en ligne, de consommer de la puissance dans les résistances de chauffage, puis- sance qui -peut être plus utilement employée pour la trac- tion.
?lais la bascule Bt est également commandée, dans le sens correspondant à l'ouverture du contact 2, par un circuit D commandé par des signaux émis par les bas- cules B 1500 et B 1000 lors de leur fonctionnement dans un sens ou dans l'autre et qui ne cessent que lorsque l'interrupteur 3 ou 4 commandé à pria l'état correspon- dant à l'état de la bascule, après écoulement de la constante de temps. L'action du circuit D sur le. bascule Bt se fait rapidement pour ouvrir le contact 2 tandis que son action inverse n' est suivie de la fermeture du contact 2 qu'après un certain tempe.
Enfin, la bascule B 500, lorsqu'elle fonctionne dans le sens correspon- dant à l'ouverture du contact 2, applique à l'entrée à l'entrée des bascules B 1000 et B 1500, à travers des diodes 16 et 17, une tension suffisamment élevée pour mettre ces bascules dans l'état correspondant à l'ouverture des interrupteurs 4 et 3. Cela étant, le fonctionnement du sélecteur automatique selon l'invention est le suivant, en envisageant deux cas:
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1) la tensian à la rise est continue. cette tension est de l'ordre de 000 V., les tension fournies par les potentiomètres 13, 10 et 14 respe ivement à l'entrée des bascules P 1500, B 1000 et 00 sont supérieures au seuil de fonction- nement de celles-ci.
En particulier, la bascule B 1000 reçoit la tension la plus élevée puisqu'il n'apparaît aucune tension au potentiomètre 10. Par conséquent, le contact 2 du contacteur de tête est fermé et les inter- rupteurs 3 et 4 sont ouverts; le commutateur " est au. repos et réalise le couplage 3 000 V, des résistances de chauffage.
Si on passa de le ligne à 3 000 V. à une ligne à 1 500 V., la locomotive passe évidement par une zone de translation où la tension disparaît ce qui fait que la 'bascule B 500 commande, par l'inter- médiaire de la bascule Bt, l'ouverture du contact 2. la bascule B 500, comme dit plue haut, envoie en même temps aux entrées des bascules B 1000 et B 1500 une tension qui met celle-ci dans l'état correspondant aux interrupteurs 4 et 3 ouverte, Si, maintenant, on suppose que la tension de 1 500 V. apparaît, la bascule B 500 est mise dans l'état correspondant à la fermeture du contact 2 et la tension qu'elle envoie aux entrées des bascules B 1000 et B 1500 a disparu.
Vais d'autre part, la tension fournie par le potentiomètre 10 à l'entrée de la bascule B 1000 est remontée à une valeur suffisante
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pour maintenir celle-ci dans l'état corxespondant à l'interrupteur 4 ouvert tandis que la tension fournie par le potentiomètre 13 à l'entrée de la haacale B 1500 est suffisamment basse pour faire fonctionner celle-ci dans le sens correspondant à l'interrupteur 3 fermé.
Celui-ci ne se fermera, comme on l'a vu, qu'après un certain teps pendant lequel la bascule B 1500 envoie un signal au circuit D lequel maintient la bascule 3t dans l'état correspondant au contact 2 ouvert. Dès que l'interrupteur 3 est fermé le signal envoyé au circuit D disparaît et, un certain temps après, le contact 2 se ferme. Les résistances de chauffage sont ainsi adaptées à leur nouvelle tension d'alimnntation.
Si, accidentellement, la tension de la ligne à 1 500 V. vient à tomber aux environs de 1 000 V., la tension à l'entrée de la bascule B 1500 correspond évidemment, à plus forte raison, au maintien de l'inter- rupteur 3 formé et il en est ainsi effectivement car la bascule B 1000 ne fonctionne pas étant donné que sa tension d'entrée reste trop élevée, ceci à cause de l'absence de tension au potentiomètre 10 vu que la ligne est à courant continu. Le couplage des résistances de chauffage reste donc à 1 500 V.
Il est facile de voir que si on repasse de 1 500 V à 3 000 V, la commutation se fera comme prévu.
2) la tension à la :prise 1 est alternative.
Il s'agit ici d'une tension de l'ordre de
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1 000 V; comme elle est alternative, il apparaît une tension aux bornes du potentiomètre 10 qui a pour effet d'abaisser la tension d'entrée de la bascule B 1000, ce qui provoque son fonctionnement dans le sens correspondant à la fermeture du l'interrupteur 4 et ce fonctionnement empêche celui de la bascule B 1500. Ici orcore, il est facile de voir que la fermeture du ccntact 2'ne s'effectuera qu'une fois le couplage réalisé.
Si la tension de ligne descend accidentel* lement aux environs de 500 V efficaces, on voit également que le contact 2 s'ouvre, comme dans le cas de la ligne à courant continu.
La figure 2 montre le détail des circuits de commande du sélecteur de tensions suivant l'invention ; ils sont alimentés par une source à courant continu 18 et par une source à courant alternatif 19. Ces deux sources sont obtenues à partir de la batterie du véhicule, par exemple au moyen d'un onduleur à transis- trons ou à trinistrons; au besoin, la tension de la source à courant continu peut être stabilisée par tout moyen connu. Sur la figure, on n'a représenté qu'une seule source 18 mais il est bien évident qu'on peut prévoir, par exemple une source stabilisée pour les circuits à faible puissance, sensibles à la tension, et non stabilisée pour les autres circuits.
La bascule Bt commande l'excitation de la bobine 20 actionnant le contact 2 du contacteur de
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tête par l'intermédiaire d'un transistron 21 de puissance, Un autre transistron 22, identique, fonctionne symétriquement au premier et débite sur une résistance 23 égale à celle de la bobine 20, afin d'éviter de trop grandes fluctuations de la tension de la source 18.
Ces transistrons sont précédés d'autres transistrons 24, 25,26, 27 qui fonctionnent de façon classique: on voit que la situation corres- pondant au contact 2 ferme, c'est-à-dire au transistron 21 conducteur correspondant au tranaietron 27 conducteur et, inversement, le contact 2 ouvert correspond au tran- sistron 27 non conducteur. le courant de base du transistron 27 est sous la dépendance de l'étut de deux transistrons 28 et 29. le transistron 28 est shunté par une résistance 30; si on suppose que le transistron 29 est conducteur et le transistron 28 non conducteur, lu chute de tension dans la résistance 30 provoque un courant dans la base du transistron 27, rendant celui-ci conducteur.
Si on rend alors le transistron 28 conducteur, la résistance 30 est court-circuitée et le transistron 27 devient non conducteur. Ce dernier résultat est également obtenu Si on rend le transistron 29 nor. conducteur. Il s'ensuit que le contact 2 est fermé si le transistron 29 est conducteur et le transistron 28 non conducteur et qu'il s'ouvre si, eoit le transistron 28 est rendu conducteur, soit le transistron 29 est rendu non conducteur.
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L'action sur le transistron 29 provient du circuit D dont il a été question précédemment et l'action sur le transistron 28 provient de la bascule B 500. Celle-ci est équipée de transistrons 31, 32,
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33, 34, 35. la base du transistron 31 est rel4e au curseur du potentiomètre 14 et on voit que si la tension fournie par celui-ci est suffisamment élevée, le transistron 31 est conducteur.
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Il en résulte que le transistron 3< es, xr:n conducteur, le transistron 33 conducteur, lee tren #>:#>*- trons 34 et 35 non conducteurs. il n'apparaît donc Pas
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de tension aux bornes de la résistance 36 de Qi.á, du transistron 34 ni aux bornes de la xésiataace 37 d'émetteur du transistron 35.
Si on suppose que la tension de ligne, fournie par la locomotive, descend
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aux environs de 500 V.e le transistron 31 devient non conducteur et la situation s'inverae, -##*#*"* -i"dire qu'il apparaît une tension aux bornes de distantes 36 et 37. La.tension aux bornes de la résistance 36
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provoque l'état de conduction du transntron ?8 ce qui, comme on l'a vu, détermine l'ouverture etz contact z 2.
Quant à la tension aux bornes de la a.ataa ?, .. : ..- -: elle est appliquée à l'entrée des bascules B 1000 et B 1500 à travers les diodes 16 et 17, ce qui pour
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effet, ainsi qu'on 1e: verra par la euit #!-.# le commutateur de couplage à l'état de rL..,-, 1 1.,e '-", , tron 34 joue également un autre rôles quand il devient
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conducteur (tension de ligne trop basse), il produit l'appariton d'une tension aux bornes d'une résistance 38 insérée dans le circuit émetteur-base des transis- trons 31 et 32 qui'fait que pour rendre à nouveau le tranaiatron 31 conducteur,
la tension fournie par le potentiomètre 14 doit remonter à une valeur plus élevée que celle qui avait provoqué l'état de non conduction de ce tr&nsistron. On obtient ainsi l'effet de fourchette mentionné plus haut. Le même procédé est appliqué aux bascules B 1000 et B 1500 comme on le verra par la suite.
La bascule B 500 est équipée d'une diode Zener 39 qui est commune aux bascules B 1000 et B 1500 et dont l'utilité apparaîtra dans la description du fonctionnement du circuit D.
La bascule B 1000 comprend les transiterons 40 à 48 commandant le transistron @, cité précédemment, qui alimente la-bobine 49 du commutateur de couplage. 'Le tran- sistron 43 commande le transistron 45 à travers une oons- tante de temps formée par une résistance 50 et un conden- sateur 51. Afin de réduire l'importance de celui-ci, le transistron 45 est monté en émettodyne ce qui lui procure une entrée à haute impédance. Quant au transistron 44, il fournit aux bornes de sa résistance de collecteur 52, une tension destinée à empocher la bascule B 1500 d'exciter la bobine correspondante du commutateur de couplage quand la bobine commandée par la bascule B 1000 est excitée.
Le transistron 43 fournit également au transistron 40 l'effet de fourchette comme dans la bascule B 500.
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La bobine 49, shuntée par une diode 53 serv à court-cirouiter la bobine à la désexcitation e, éviter ainsi des surtensions au transistron 4,est shuntée d'autre part par une diode !i4, une diode Zener 55 et une résistance 56 en série. Entre le point commun à la diode Zener 53 et à la résistance 56 et le collec- teur du transistron 43 est branché un ensemble de deux résistances égales en série ,57 et 58. L'émetteur du transistron 43 est relié, à travers la résistance @@ de faible valeur, (où apparaît la tension pr- l'effet de fourchette) à la diode Zoner 39 de le B 500.
La résistance 56 est égale à la résistance 60 de collecteur du transistron 43 ce qui fait que, si on suppose-les transistrons 43 et 4 non conducteurs tous les deux, le point commun eux résistances 57 et 58 est au potentiel médian entre les pôles de la source 18. Si les transistrons 43 et 4 sont conducteurs tous la même chose se passe étant donné que les diodes 5.
39 ont la même tension Zener, 8 volts par exemple. Si au contraire, l'un de ces transistrons est conducteur et l'autre non conducteur, le potentiel du point commun aux résistances 57 et 58 s'écartera de 4 V dans un sens ou dans l'autre, suivant: le cas, par rapport au potentiel médian de la source 18. C'est ce qui fournit le signe envoyé au circuit D comme il sera expliqué Ce signal apparaît donc pendant l'action de 1
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de tempe 50, 51 qui retarde l'instant où le transis- toron 4 prend le même état que le transistron 44.
.a bascule B 1500 est de constitution semblable à celle de la bascule B 1000 sauf qu'elle ne comprend pas de transistron analogue a 44 mais possède un translation 68 qui, lorsqu'il est rendu conducteur par le transistron 44, rend le transistron 62 non conducteur et, par conséquent, le transistron d'entré$ 61 conducteur, ce qui a pour effet de rendre non conducteur le transistron 3 d'excitation de la @@ine 69 du commutateur correspondent au couplage 1 500 V, Le signal envoyé au circuit D est obtenu de la même façon que pour la bascule B 1000.
Le circuit D comprend une self saturable composée de deux éléments 70 et 71, dont l'enroulement à courant alternatif est alimenté par la source 19 à travers une résistance 72. En parallèle aveo cet- enroulement est monté un pont redresseur 73 qui, côté 'continu, est shunté par une résistance 74 et fournit, à travers une self de filtrage 75, une tension de charge à un condensateur 76 à travers ose résistance 77 shuntée par une diode 78.
Lorsqu'aucun courant ne circule dans les enpoulemente à courant continu de la self saturable, l'enroulement alternatif présente une impédance élevée ce qui fait qu'une tension existe à ses bornes qui charge le condensateur 76. Etant donné le sens
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de la diode 78, cette charge se fait a travers résistance 77. Le pôle Pont 73 est relié au pôle positif de là source -le, et, en régime, la charge du condensateur 76 est suffisant pour porter la base du transistron 29 à un potentiel qui le rend conducteurs Si un courant continu circule,
dane les enroulements de saturationde la self saturable$ l'impédance de celle-ci devient très fait tension fournie parle pont 73 au condensa tombe fortement. Il s'ensuit que le condensateur se décharge dans la résistance 74, qui est faible par rapport à la résistance 77 et le courant de décharge ne passe pas dune cette dernière, étant dérivé par la diode 78. La décharge est donc rapide et tille rond le transistron 29 non conducteur d'où, résulte l'ouver- ture du contact 2.
Si maintenant le @ @ de saturation cesse dans la self 8a réapparaît au pont 73 mais la charge du @teu 76 se fait avec une grande constante de tempsi; le contact 2 met donc un temps assez long pour ne refermer.
Les enroulements à courant continu de la self saturable 70, 71 sont raccordés à des ponts redresseurs 79,80 qui sont alimentés entre le point commun de l'ensagble de deux résistances égales en série fil @ respectivement le point commun aux 58 dans la bescule B 1000 et le point coite de la bascule B 1500. Les redresseurs 79 et 80 ont
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pour but de Maintenir le mène sens de courant dans les enroulemente à courant continu de lu Self satu- ruble quel que soit le sens de la tension provenant des bascules.
Il est facile de voir que les signaux transmis de l'une ou 1'nuire des bascules B 1000 ou B 1500 au circuit D provoquent, par leur apparition. l'ouverture rapide du contact 2 et, par leur diopn-' rition, la fermeture retardée de ce contact.
On peut, évidemmentapporter des modifi- cations au sélecteur automatique décrit ci-dessus nana sortir du cadre de la présente invention.