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Procédé de collage de surfaces de polyoléfines à des surfaces de polyoléfines
Les polyoléfines sont hydrofugeset ne permettent par conséquent pas en soi l'attaque d'agents adhésifs aqueux. De même les substances adhésives siccatives avec des solvants or- ganiques s'accrochent mal en soi aux surfaces de polyoléfines.
En vue de permettre le collage de surfaces de polyoléfines sur des surfaces de polyoléfines, on a déjà proposé des matières adhésives restant collantes, mais on ne peut assurer ainsi un collage sur parce que ces matières adhésives conservent en per- manence un pouvoir de glissement ou coulant et elles ne permet- tent donc pas un fixage mutuel des surfaces à coller. En outre des matières adhésives, à base de résines artificielles, sont en général beaucoup plus onéreuses que les colles à l'eau.
Il est connu actuellement d'accroître les propriétés @
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adhésives et la mouillabilité des surfaces de polyoléfines par un traitement de surface. Des procédés appropriés qui ont pour résultat une activation des surfaces de polyoléfines sont décris par exemple dans les brevets suivants :
brevetautrichien 170.900, brevet autrichien demandé sous le n A 587/59, brevet américain 2.937.066, imprimé mis à l'inspection publique du brevet alle- mand 1.082.400, brevet britannique 718.715, brevet autrichien demandé sous le n A 6145/59 et brevet autrichien demande sous le n A 1777/59. Cette activation des surfaces des corps en polyoléfines, par exemple des feuilles, a été employée jusqu'ici en vue d'améliorer l'adhérence des couleurs d'impression, de même aussi qu'en vue du collage de surfaces de polyoléfines avec des corps exerçant une succion, ayant par exemple, en l'occurren- ce, collé des feuilles de polyoléfines avec du papier ou du car- ton.
Mais on n'est toutefois pas parvenu jusqu'ici à coller des surfaces de polyoléfines à des surfaces de polyoléfines en un temps suffisamment court pour un procédé industriel.
L'invention a donc en vue de permettre un collage de surfaces de polyoléfines à des surfaces de polyoléfines et elle consiste essentiellement à accroître au préalable la mouillabi- lité et le pouvoir adhérent des surfaces à coller par activation de la couche superficielle de manière connue en soi et à réaliser ensuite le collage au moyen d'une colle d'amidon appliquée en @ : :ici] n]us : -"e Dar 2 une quantité d'au moins 1 g. par m et au plus de ? g. par m (par rapport à la teneur en matière sèche), alors que les quan- tités de colle en usage jusqu'ici s'élèvent du décuple au centu- ple.
Alors que, malgré l'élévation du pouvoir adhérent et mouil- lant des surfaces à coller par l'emploi d'un adhésif durcissant dissous dans des solvants organiques en usage courant pour les matières artificielles, un collage rapide, un bon matage et un collage non glissant ne pouvaient pas être réalisés, il s'est avéré avec surprise que, justement par l'emploi d'adhésifs d'a- midon, dextrine ou acétate de polyvinyle, non courants en soi
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pour les matières artificielles, sur des surfaces activées,on peut obtenir un succès complet lorsqu'on applique cet adhésif dans des limites appropriées compris es entre 1 g. et 5 g. par m .
Des essais ont montré que, grâce à cette faible épaisseur d'application, commence manifestement à intervenir, déjà dans le temps court, souvent des fractions de seconde, entre l'appli- cation de la colle et l'exécution du collage, l'évaporation du solvant, et qu'ainsi se produit une élévation de concentration de l'adhésif, au point que, de cette amnière, on peut réaliser une vitesse d'encollage inférieure à 15 minutes et même une vitesse d'encollage considérablement plus grande;. Par l'eG- ploi dp ces adhésifs peu coûteux qui servent aussi pour l'encollage commun des sacs de papier et du carton ondulé, en quantitéfaibles inusitées à cet effet jusqu'ici, ce procédé de collage parait industriellement d'un emploi particulièrement rationnel.
Dans les limites employées suivant la présente invention pour les quantités d'adhésif appliquées, ces quantités sont fonction en partie de la nature de l'adhésif utilisé. Il a par exemple été établi qu'une colle d'amidon vendue dans le commerce par la firme Henkel & Cie. GmbH. de Dusseldorf sous le nom de Zinal 348, est à utiliser en une quantité inférieure à 5 g. jusqu'à 5 g. par m2 pour obtenir un feutrage complet, alors que dans l'emploi de la colle d'amidon connue sous le nom de Zinal 238 une application déjde 1,4 g/m2 conduit au même résultat.
Pour une application de 1,2 g. de Zinal 348 par m on ne pouvait plus observer qu'un feutrage incomplet tandis qu'un feutrage incomplet similaire par l'emploi de Zinal 238 ne se produisait que pour une quantité appliquée deg/m et moins.
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Process for bonding polyolefin surfaces to polyolefin surfaces
Polyolefins are water repellant and therefore do not per se attack aqueous tackifiers. Likewise, adhesive substances which dry with organic solvents do not adhere in themselves to the surfaces of polyolefins.
With a view to permitting the bonding of polyolefin surfaces to polyolefin surfaces, adhesive materials which remain tacky have already been proposed, but it is thus impossible to ensure a safe bonding because these adhesive materials permanently retain a sliding power or flowing and therefore do not allow mutual fixing of the surfaces to be bonded. In addition, adhesive materials, based on artificial resins, are generally much more expensive than water-based glues.
It is currently known to increase the properties @
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adhesives and wettability of polyolefin surfaces by surface treatment. Suitable methods which result in activation of polyolefin surfaces are described, for example, in the following patents:
Austrian patent 170,900, Austrian patent applied for under number A 587/59, US patent 2,937,066, form released for public inspection of German patent 1,082,400, British patent 718,715, Austrian patent applied for under number A 6145/59 and Austrian patent application under number A 1777/59. This activation of the surfaces of polyolefin bodies, for example foils, has heretofore been employed for improving the adhesion of printing colors, as well as for bonding polyolefin surfaces to bodies. exerting suction, having for example, in this instance, glued sheets of polyolefins with paper or cardboard.
However, hitherto, however, it has not been possible to bond polyolefin surfaces to polyolefin surfaces in a sufficiently short time for an industrial process.
The aim of the invention is therefore to allow bonding of polyolefin surfaces to polyolefin surfaces and it essentially consists in first increasing the wettability and the adhesion power of the surfaces to be bonded by activating the surface layer in a known manner. itself and then to achieve the bonding by means of a starch glue applied at @:: here] n] us: - "e Dar 2 an amount of at least 1 g. per m and at most? g. per m (in relation to the dry matter content), whereas the quantities of glue in use so far have risen from ten to one hundred percent.
Whereas, despite the increase in the adhesion and wetting power of the surfaces to be bonded by the use of a hardening adhesive dissolved in organic solvents in common use for artificial materials, rapid bonding, good matting and gluing non-slippery could not be realized, it turned out with surprise that, precisely by the use of adhesives of starch, dextrin or polyvinyl acetate, not common in themselves
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for artificial materials, on activated surfaces, complete success can be achieved when this adhesive is applied within suitable limits of between 1 g. and 5 g. by m.
Tests have shown that, thanks to this thin application thickness, it is evident that the time, often fractions of a second, between the application of the glue and the execution of the gluing, begins to take place. evaporation of the solvent, and thus an increase in the concentration of the adhesive occurs, to the point that, from this process, a sizing speed of less than 15 minutes and even a considerably higher sizing speed can be achieved; . By the use of these inexpensive adhesives which are also used for the joint gluing of paper bags and corrugated cardboard, in small quantities unusual for this purpose hitherto, this gluing process appears to be of particularly rational use industrially. .
Within the limits employed according to the present invention for the amounts of adhesive applied, these amounts depend in part on the nature of the adhesive used. It has for example been established that a starch glue sold commercially by the firm Henkel & Cie. GmbH. from Düsseldorf under the name Zinal 348, is to be used in an amount less than 5 g. up to 5 g. per m2 to obtain complete felting, whereas in the use of the starch glue known under the name of Zinal 238 an application of already 1.4 g / m2 leads to the same result.
For an application of 1.2 g. of Zinal 348 by m one could only observe an incomplete felting while a similar incomplete felting by the use of Zinal 238 only occurred for an applied quantity deg / m and less.
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