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Dans beaucoup d'industries, notamment celles des jus de raisins et autres fruits sans alcool, ainsi que dans l'industrie laitière et celle des al- liments reconstituants, de préférence du lait de consommation- courants, des bois- sons comportant dès-mélanges de lait, malt, oeufs, etc.., de même que dans les industries fabriquant une matière pouvant couler, telle que par exemple de la poudre de café et des produits pulvérulents pour les applications les plus dif- férentes, il est nécessaire de mettra ces produits sur le marché dans des réci- pients dits d'emballage perdu.
Jusqu'à présent, on rencontrait de grandes difficultés dans l'utili- sation de récipients de ce genre soit du fait que ces récipients ne convenaient pas, quant au prix, à la distribution d'articles de consommation courante rela- tivement peu coûteux,'soit du fait-qu'ile ne satisfaisaient pas aux conditions concernant le transport, l'emballage, le stockage, la stérilasation du contenu etc..
L'invention supprime ces inconvénients. Elle a pour objet un réci- pent formant emballage perdu pour matière liquide et pouvant couler, des procé- dés pour sa fabrication, son remplissage et sa fermeture, ainsi que des disposi- tifs pour l'xécution des procédés.
Le récipient formant emballage perdu, conforme à l'invention, présen- te une partie en forme de cuvette et une paroi servant à fermer cette dernière, il est caractérisé en ce que sa partie en forme de cuvette est en une matière synthétique thermoplastique déformable, en particulier à mince paroi, et compor- te une paroi de fermeture plus épaisse servant au raidissement.
Conformément au procédé de fabrication du récipient suivant l'inven- tion, on forme en même 'temps, lors de la conformation de la partie en cuvette, un goulot verseur fermé vers l'extérieur.
Suivant une forme de réalisation préférée du procédé servant à fabri- quer, à remplir et à fermer le récipient formant emballage perdu, la partie en cuvette est complètement fermée en soudant,une paroi, le récipient fermé ainsi terminé est amené à un dispositif de remplissage .,-,-et - une aiguille de remplissage est introduite dans le récipient' eh traversant . la partie de recouvrement du goulot verseur formé sur lui, cette aiguille débi- tant dans le récipient une quantité, de préférence mesurée au préalable, de ma- tière de remplissage, tandis qu'un outil de coupe sépare en même temps à l'inté- rieur du goulot verseur un élément en matière synthétique et l'évacue, le réci- pient rempli étant finalement.
amené à un dispositif de fermeture qui pose et fi- xe un couvercle de forme appropriée sur le goulot verseur.
Plusieurs formes de réalisation du récipient formant emballage per- du, ainsi que des dispositifs pour sa fabrication, son remplissage et sa ferme- ture sont représentées, à titre d'exemples non limitatifs, aux dessins annexés.
'La fige- 1 est une élévation de face du récipient suivant le premier exemple de réalisation.
La fig. 2 est une élévation prise de la gauche du même récipient.
La fige 3 est une coupe, à plus grande échelle, d'un détail.
La fige 4 est un plan correspondant à la fig. 2.
La fig. 5 est un plan, à plus grande échelle, d'un récipient suivant la fige 1.
La fige 6 représente une variante d'un détail.
La fig. 7 est une élévation du récipient suivant le,second exemple de réalisation.
La fige 8 est une élévation du récipient suivant le troisième exemple
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de réalisationo
La figo 9 est une perspective d'une botte d'expédition ouverte montrant les récipients en placeo
Les fig. 10, 11-et 12 sont des coupes longitudinales d'un dispositif destiné à la fabrication de la partie en cuvette du récipient à partir d'une feuille de matière synthétique par aspiration de celle-ci contre une matrice po- sitive appropriée.
La fig. 13 est une coupe longitudinale d'un dispositif destiné à la conformation de la partie en cuvette à l'aide d'un élément presseur mécanique avec conformation subséquente sous vide ou par air comprimé.
Les figo 14, 15 et 16 sont des coupes du dispositif de la fig. 13 pendant des phases successives différentes de la mise en forme.
Les fig. 17 à 20 sont des coupes longitudinales montrant, en partie en élévation;, le dispositif destiné au remplissage du récipient avec la matière dans différentes phases du remplissage. '
La figo 21 est une coupe verticale d'un exemple de réalisation du dispositif servant à poser le capuchon de fermeture.
Les figo 22 et 23 sont des coupes longitudinales d'un autre exemple de réalisation d'un dispositif de ce genre.
La figo 24 est un plan du récipient avec le capuchon de fermeture.
La figo 25 représente une autre forme de réalisation d'un dispositif servant à fabriquer la partie en cuvette du récipient.
Les figo 26 à 28 montrent les positions relatives des parties du dispositif pendant les différentes phases de travail-.
Les fig. 29 et 30 illustrent les phases de travail concernant le remplissage et la fermeture des récipients au moyen d'une autre forme de réali- sation d'un dispositif de remplissage.
Le récipient des fig. 1 à 6 présente une partie en cuvette 1 en ma- tière synthétique à mince paroidéformable, de préférence thermoplastique, qui peut être fabriquée, comme décrit ci-après, suivant l'un des procédés connus dans la technique des matières synthétiques, par exemple suivant le procédé sous vi- de, et qui affepte une forme trapézoïdale. Au cours de la conformation, le gou- lot 2 fermé vers l'extérieur qui délimite l'ouverture de sortie 3 et qui sert -de goulot verseur, est formé en même temps à l'extrémité rétrécie de la partie en cuvette 1.
La paroi plate 4 sert à la fermeture de la partie en cuvette 1, cette paroi étant, suivant l'application, en une matière synthétique ou en car- ton revêtu d'un feuille de matière synthétique, puis étant reliée à la partie en cuvette 1 par soudure ou collageo La paroi de fermeture 4 est plus épaisse que la paroi de la partie en cuvette 1 afin'de servir au renforcement de celle- ci. La partie en cuvette 1 peut être appliquée par son bord sur la paroi de fer- meture 4 ou bien elle peut présenter un rebord.
On peut laisser en place l'élément obturateur du .goulot 2 lorsque l'application de la paroi de fermeture 4 ne se fait qu'après le remplissage du récipient en cuvette 1 et, dans ce cas, l'élément obturateur peut être ouvert lors de l'emploi du contenu du récipient en le découpant, en le pergant ou en l'enfonçant .
Lorsque le remplissage du récipient ne se fait qu'après l'application de la paroi de fermeture 4 sur la partie en cuvette 1,. le couvercle de fermetu- re se trouvant sur le c8té intérieur du goulot 2 et formant avec-lui un ensemble peut être découpé du goulot. Après le remplissage du récipient, l'ouverture de versemerit 3 peut être fermée, dans l'exemple de réalisation représenté, avec un
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capuchon 5 constitué de manière qu'il vienne coiffer le goulot 2 sur toute sa périphérie et qu'il vienne s'appliquer avec serragesur ce dernier à l'endroit de l'ouverture de sortie 3 au moyen d'un disque circulaire 60 Le capuchon 5 est soudé ou collé partiellement ou totalement par ses deux languettes 7 et 8 à la partie en cuvette 1.
Pour ouvrir 'le récipient, il suffit de saisir l'une des languettes 7 et 8, après quoi le capuchon 5 peut être enlevé avec le disque de serrage 6.
Comme le montre la fig. 6, le col verseur 5 en forme de goulot peut également être fermé par un bouchon 9 de section e U. Ce bouchon, qui est de préférence en matière synthétique, est avantageusement engagé à force,dans le goulot 2, par exemple au moyen d'un poinçon, et est soudé à ce goulot par voie . électrique. 'Pour vider le contenu du récipient, le fond du bouchon 9 est ouvert par perçage.
Dans les récipients qui servent à recevoir une matière pouvant cou- ler, le bouchon 9 peut comporter une série de trous de distribution.
L'invention n'est pas limitée l'exemple de réalisation représenté.
C'est ainsi par exemple que la partie en cuvette peut également affecter la for- me d'un parallélépipède rectangle. La surface de base trapézoïdale présente tou- tefois l'avantage que lorsqu'on incline le récipient pour vider son contenu, l' entrée d'air nécessaire au versement uniforme se fait mieux que dans un récipient de forme parallélépipédique de même volume. Pour son raidissement, la partie en cuvette du récipient peut présenter des-nervures de renforcement. De même, la partie en cuvette du récipient µeu comporter des parties estampées donnant par exemple des renseignements sur'son contenu ou sur le fabricant. On peut ob- tenir un raidissement du récipient en choisissant la paroi de fermeture à appli- quer en une matière plus épaisse que la partie en cuvette.
La paroi de fermeture 4 est avantageusement appropriée à recevoir des inscriptions graphiques ou illustrées en relation avec le contenu du récipient.
L'impression des parois de fermeture en feuilles peut se faire par rotation, donc d'une manière, très économique.
Pour augmenter la surface d'application entre la partie en cuvette et la paroi de fermeture, la partie en cuvette peut comporter sur le côté de fer- meture un bord marginal plat dirigé vers l'extérieur. Pendant la soudure de la partie en cuvette avec la paroi de fermeture, on dispose ainsi d'une butée pour l'appareil à souder.
Le récipient présente une bonne stabilité du fait qu'il est élargi vers le bas et que le centre de gravité est ainsi déplacé vers le bas lorsque le récipient est chargé. 1
Lorsque le récipient décrit parvient comme semi-produit sur les élé- monte d'enlèvement, de sorte que ces derniers peuvent eux-mêmes effectuer la sou- dure,de la paroi de fermeture, il présente l'avantage que les parties en cuvette peuvent être emboîtées les unes dans les autres et qu'elles prennent peu de pla- ce pour l'expédition et le stockage.
Le goulot du récipient, qui entoure l'ouverture de versement, peut présenter un cran servant à arrêter les gouttes.
Le récipient fabriqué suivant le procédé de l'invention permet de charger sans contamination des produits stériles.
La forme décrite du récipient assure une utilisation optimum de la matière.
Le récipient de l'exemple de réalisation de la fg. 7 se différencie essentiellement de celui décrit ci-dessus, du fait que sa paroi antérieure com- porte une rainure 10 s'étendant obliquement par rapport à l'axe longitudinal du récipient et servant à recevoir un chalumeau 11. Comme le montre le dessin, l'
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extrémité supérieure du chalumeau 11 fait légèrement saillie au-dessus de la paroi du récipient afin que le chalumeau puisse être commodément saisio Du fait que la rainure 10 s'étend obliquement par rapport à"l'axe longitudinal duréci- pient 1, la longueur du chalumeau peut être choisie supérieure à la profondeur du récipient 1.
On peut empêcher le chalumeau de tomber intempestivement de la rainure 10 en utilisant, par exemple, des rubans adhésifs collés sur la paroi du récipient.
Dans le récipient suivant l'exemple de réalisation'de la fige 8, la partie en cuvette 1 comporte des nervures creuses 12 s'étendant transversalement à l'axe longitudinal du récipient, ces nervures permettant de mieux saisir le récipient et éervant en même temps aussi à le renforcer.
La figo 9 montre comment les récipients prêts à être expédiés sont placés dans une caisse d'expédition et fait ressortir l'utilisation optimum de la placeo
Le dispositif représenté aux figo 10 à 12 servant à la fabrication de la partie en cuvette du récipient est constitué par une table 13 et un cadre de serrage 14, entre lesquels le bord d'une feuille 15 est pincéo Le cadre de serrage 14 sert, en outre;, à guider une plaque 16 d'un poinçon présentant, de plus, une partie cylindrique 17 renfermant un ressort de compression 18. Une matrice 19 est raccordée à la plaque 16, son contour correspondant à la partie en cuvette à fabriquer du récipient, à l'exception du goulot.
Un poinçon 20 est supporté dans la matrice 19 de façon à pouvoir cou- lisser dans le sens axial du goulot verseur 21 devant être formé sur le réci- pient. Le poinçon 20 présente sur le côté opposé au goulot verseur 21 une sur- face oblique 22 contre laquelle s'applique la surface oblique correspondante d'un poussoir 23. Comme le montre la figo 13, le poussoir 23 comporte un collet 24 qui s'applique, d'une part, contre un épaulement 25 du cylindre 17 et qui sert, d'autre part, d'élément d'appui pour le ressort de compression 180 Le poinçon constitué par les parties 16 et 17 peut être élevé et abaissé au moyen d'une ti- monerie 260 Dans la matrice 19 des fig. 10 à 12 on prévoit une série de canaux d'aspiration et éventuellement de refoulement 27 dont un seulement a été repré- senté pour plus de clarté.
Un canal d'aspiration et éventuellement de refoule- ment 28 est également creusé dans le poinçon 200
Pour la mise en forme de la partie en cuvette du récipient, on pla- ce tout d'abord une feuille 15 en matière synthétique sur la table 13 de façon que ses bords dépassent légèrement l'ouverture de la table. Le cylindre de ser- rage 14 est ensuite abaissé pour presser la feuille contre la table 13, de sor- te que les bords ne peuvent pas être déchirés vers-l'intérieur, même en présence de forces de conformation très grandes. Le cylindre 17 avec la matrice 19 se déplace alors de haut en bas jusqu'à ce que la plaque 16 s'applique contre la table 13 et que la feuille 15 prenne la forme représentée à la figo 10 sous l' action de l'air emprisonné entre la plaque 16 avec la matrice 19 et cette feuil- le 15.
L'air est aspiré par les canaux 27 et 28, ainsi que par d'autres canaux non représentés, jusqu'à ce que la feuille soit tendue en épousant étroitement la matrice 19. Cet état est représenté à la fig. 11. Le poinçon 20 est alors avancé sous la pression du poussoir 23 s'exerçant contre la surface de glisse- ment 22 pour former le double bord saillant du goulot de versement 21. Après que le poinçon s'est retiré et que le poussoir 23 s'est de nouveau élevé pour 'dégager le trajet de recul du poinçon 20, les pièces se trouvent dans la posi- tion représentée à la figo 12. A présent, le cylindre de serrage 14, ainsi que les-pièces 17, 16, 18, 19 et 23 se séparent de la table en s'élevant, de sorte que-la feuille conformée en une partie en cuvette 29 peut être enlevée.
Il est aussi possible d'introduire de l'air comprimé par les canaux 27 dirigés vers le bas pour éjecter la partie conformée du récipient.
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Les fig. 13 à 16 représentent un dispositif destiné à la fabrication de la partie en cuvette du récipient au moyen d'un élément de pression. La fig.
13 est une coupe longitudinale de l'ensemble du dispositif. Plusieurs pièces de ce dispositif correspondent aux pièces du dispositif décrit ci-dessus pour la fabrication de la cuvette suivant un procédé d'aspiration et il s'agit dans ce cas du cylindre 17 avec l'épaulement 25, du ressort de compression 18, du pous- soir 23 avec le collet 24, de la timonerie 26 et du poinçon 20. Toutefois, dans la forme de réalisation des fig. 13 à 16, on ne prévoit dans ce poinçon 20 aucun canal à air.
Le poinçon 30 prévu dans cet exemple de réalisation n'est pas adap- té, contrairement à la matrice 19 de l'exemple des fig. 10 à 12, à la forme en cuvette à obtenir, mais est plus petit, de sorte qu'il reste une couche de flui- de pression entre le poinçon 30 et la feuille 150 Cette dernière s'adapte, com- me le montrent les fig. 14 et 15, sous l'action du fluide de pression à la for- me d'une matrice qui est constituée par une plaque de base 31 et deux mâchoires 32 et 33 et qui est portée par une table 34. Celle-ci est maintenue par une ti- ge 35 de façon à pouvoir monter et descendre. La course de la tige 35 est limi- tée en premier lieu par un collet 36 pouvant s'appldquer contre des surfaces 37 et 38 du bâti de la machine. En plus ou à la place de cette limitation, on peut aussi prévoir une limitation par une timonerie.
Pour former la cavité à l'intérieur du goulot verseur 21, un poinçon
39 pouvant coulisser dans le sens axial du goulot verseur est supporté dans la mâchoire 33, ce poinçon venant successivement dans les positions représentées aux fig. 14 à 16 par rapport à la mâchoire ou avec elle. Comme le montre en par- ticulier la fig. 15, le poinçon 39 produit la conformation du goulot verseur 21 . en coopération avec le ppinçon 20 qui est actionné de la même manière que dans l'exemple des fig. 10 à 12.
La fig. 16 montre la façon dont on retire une partie en cuvette 29 qui vient d'être conformée, la table 34 est élevée par la tige 35 jusqu'au des- sus du bord supérieur de l'anneau de maintien 40, de sorte que les mâchoires 32 et 33 fixées par des vis 41 et 42 sur la table 34 peuvent être rabattues sur le côté. En même temps, les pièces 20, 23, 18, 30 etc.. s'élèvent, afin que la partie 29 du récipient puisse être facilement enlevée.
Les fig. 17 à 20 illustrent l'opération de remplissage.
Une monture 43 vient coiffera le goulot verseur 21, tandis qu'une ai- guille 44 'abaisse en direction du milieu du goulot verseur pour percer celui- ci et pour décharger la matière à l'intérieur du récipient, comme le montre la fig. 18.
Un outil de coupe 45 comportant une lame ronde 46 s'abaisse en même temps que l'aiguille 44, cet outil tournant découpant la partie médiane du gou- lot verseur 21. Lors de son recul, laiguille 44 entraîne par ses crochets 47 la partie découpée 48 vers le haut. Pendant que le récipient 49 est poussé de côté après dégagement du goulot verseur,21 par la monture 43 qui s'est entretemps élevée, la surface conique 50 formée sur la lame ronde 46 détache la partie dé- coupée 48 des crochets 47 de l'aiguille 44, de sorte que cette partie tombe li- brement.
Un chalumeau 50' est ensuite placé dans une rainure en diagonale formée sur le récipient 49 et le capuchon obturateur 52, qui est enfilé sur le goulot verseur 21, qui s'applique contre l'organe de maintien 51 analogue à un poinçon et qui comporte une lèvre 53 servant à maintenir le chalumeau 50' est posé, dans le dispositif suivant l'exemple de réalisation de.la fig. ?le sur le goulot verseur 21 de façon que le capuchon obturateur 52 épouse étroitement les ,deux parois ascendantes du goulot verseur 21 et que la partie plus basse de ce capuchon 52 obture l'ouverture de versement du goulot 21.
Le bord extérieur du capuchon obturateur 52 est pressé contre la paroi extérieure voisine du goulot
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verseur 21 par les organes de serrage 54 quiagissent à la manière de pinces, qui comportent latéralement des surfaces de glissement obliques 55 et qui sont sup- portés de façon à pouvoir tourner dans une mesure limitée autour des axes 56, sous l'action du cylindre 57 coopérant avec les surfaces de glissement obliques 55, de façon qu'il se forme un bourrelet à l'embouchure du goulot verseur et qu'un serrage du capuchon obturateur sur ce goulot verseur soit produite 58 désigne un ressort annulaire qui tend à écarter les organes de serrage 54 les uns des autres.
Le dispositif de fermeture du récipient suivant l'exemple de réali- sation des fig. 22 et 23 se différencie essentiellement de celui décrit précédem- ment, du fait qu'il présente à l'intérieur du cylindre creux 59 un poinçon 60 pouvant s'élever et s'abaisser qui est constitué élastiquement à son extrémité inférieure par la présence de découpes 61 (fig. 23) et qui présente une surface intérieure conique 62 soumise à l'action du corps d'écartement 63. Un anneau presseur coopérant 64, dont le rôle est décrit'ci-après, est disposé à l'extré- mité inférieure du cylindre creux 59.
Le dispositif de fermeture décrit en dernier lieu fontionne de la façon suivante
En supposant que le capuchon obturateur 52 soit enfilé, comme le mon- tre la fig. 22, sur le goulot verseur 21 du récipient 49 à fermer, que le bord inférieur du poinçon 60 s'applique contre le fond du capuchon obturateur 52, que l'anneau presseur coopérant 64 entpure la paroi extérieure du goulot verseur 21 à sa base et que le corps,d'écartement 63 soit déplacé dans le sens de la flèche (figo 23) sous l'action d'un organe d'actionnement non représenté, l'extrémité élastique du poinçon 60 presse la paroi voisine du capuchon obturateur 52 contre la paroi du goulot verseur 21, l'anneau presseur coopérant 64 agissant contre la paroi extérieure du goulot verseur 21.
Il se forme ainsi à, l'embouchure du gou- lot verseur un bourrelet permettant un ancrage efficace du capuchon, obturateur 52 contre le goulot verseur 21, comme le montre la figo 23.
La pose du capuchon obturateur 52 sur le goulot verseur pourrait aussi se faire par soudureo
Dans le dispositif représenté à la figo 25 pour la fabrication de la partie en cuvette du récipient, 100 désigne le bâti de la machine sur lequel est monté un cylindre de pressage 1010 Ce dernier contient un piston presseur coulissant 102 sur lequel est fixé un porte-poinçon 1030 Celui-ci traverse le fond du-cylindre 101 et le bâti 100 de la machine. Un ressort de compression 104, qui tend à maintenir le piston presseur 102 dans sa position extrême supé- rieure, est disposé coaxialement au porte-poinçon 103 entre ce piston presseur 102 et le fond du cylindre 1010 Une ouverture 106, à laquelle est raccordé un conduit à air comprimé non représenté, est pratiquée dans le couvercle 105 du cylindre 101.
L'air s'échappe de la partie du cylindre, qui contient le ressort 104, par une ouverture 107.
Un pistin principal 108, qui est disposé de façon à pouvoir coulis- ser dans un guide 114 solidarisé avec le bâti 100 de la machine, est fixé rigi- dement à l'extrémité inférieure du porte-poinçon 103. La forme du poinçon prin- cipal est adaptée à la forme intérieure.de la partie en cuvette du récipient.
Un alésage transversal 109 creusé dans le poinçon principal contient un poinçon latéral 110 qui peut coulisser dans cet alésage et qui peut être actionné par de l'air comprimé amené par un conduit -1-11 et un canal 112 mettant ce conduit en communication avec l'alésage 109. Un ressort de compression 113 s'oppose à l'actionnement du poinçon latéral et tend à la maintenir dans la position extrê- me reculée ou à le ramener dans cette position extrême.
Le poinçon principal 108 coopère avec une matrice 115 qui' peut cou- lisser verticalement par rapport au bâti 100 de la machine et au guide 114 sous
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Inaction d'éléments non représentéso La matrice 115 comporte une plaque 117 pla- cée librement au fond de la cavité 116 communiquant avec un canal d'aspiration
118 qui est raccordé, de son c8té, à une pompe d'aspiration non représentée per- mettant de faire partiellement'le vide dans la cavité.
Un corps cylindrique 119 est fixé latéralement à la matrice 115, ce corps 119 contenant, d'une part, une partie de moule en forme de douille
120 et, d'autre part, un poinçon coopérant 121 s'étendant à travers cette partie moulée. La partie de moule 120 et le poinçon coopérant 121 sont montés de fa- çon à pouvoir coulisser dans le corps cylindrique 119 et peuvent être déplacés contre l'action de ressorts de compression 126 et 127 par l'intermédiaire de rac- cords à air comprimé 124 et 125 débouchant dans les alésages de guidage 122 et
123. L'extrémité antérieure de la partie moulée peut coulisser dans un évidement
128 du moule 115 et peut être amenée sous pression dans une position de travail dans laquelle cette extrémité est alignée avec la paroi latérale de la cavité
116.
La partie moulée comporte sur son coté antérieur une cavité cylindrique
129 qui correspond avec le contre-poinçon 121 à la forme extérieure d'un goulot ou col verseur devant être formé sur la partie en cuvette du récipient. La coopération de la partie de moule 120, du poinçon latéral 110 et du poinçon coo- pérant 121 est décrite en détail ci-après en liaison avec les phases de fabrica- tion illustrées aux fig. 26 à 280
Comme le montre! déjà la figo'25, une feuille 130 en une matière des- tinée à la fabrication du récipient s'étend au-dessous du guide 114 et, en fait, sous la forme d'un boudin sans fin dont la largeur correspond sensiblement à cel- le du guide, comme le montre le dessin.
Dans la phase de travail illustrée à la figo 26, la feuille 130 est pincée entre le dessous du guide 114 et le bord supérieur de la matrice 115, du fait que cette dernière a été élevée.. Au préa- lable, la partie de moule 120 a toutefois été,,amenée dans sa position extrême antérieure en introduisant de l'air comprimé dans l'alésage 122 par le conduit
124. Après serrage de la feuille, de l'air est aspiré de la chambre 116 par le canal 118 et la feuille est aspirée en se déformant dans la matrice 115 de façon a épouser grossièrement la forme de celle-ci, comme représenté par la ligne 130'.
L'échappement de l'air de la chambre 116 est représenté schématiquement par la flèche 131.
Dans la phase de travail suivante, le poinçon principal 108 est a- baissé en faisant agir sur le piston 102 de l'air comprimé amené par le canal
106 et est engagé dans la matrice 115. Au cours du mouvemen t du poinçon prin- cipal dans la position extrême inférieure représentée à la fige 27, la feuille
130' déjà ébauchée continue à être déformée et cela de façon que la partie en cuvette du récipient soit formée, à l'exception du goulot verseur. Le poin- çon latéral 110 est ensuite soumis à l'action d'air comprimé par l'intermédiaire du conduit 111 et du canal 112 et est ainsi amené dans sa position extrême avan- cée. Dans ce cas, il se forme une surélévation cylindrique sur la paroi laté- rale de la partie du récipient par coopération du poinçon latéral 110 avec la cavité 129 de la partie de moule 120.
Dans la dernière phase de fabrication, le poinçon coopérant est finalement.avancé sous l'action d'air comprimé et le col ou goulot proprement dit reçoit sa forme définitive par coopération de ce poinçon avec la cavité cylindrique 132 creusée dans le poinçon latéral 110, de sorte que la partie en cuvette du récipient présente la constitution désignée par 130" aux fig. 27 et 28.
Pour dégager la partie en cuvette achevée du récipient, les conduits
124 et 125 sont tout d'abord mis à l'atmosphère par des soupapes, non représen- tées, de sorte que les ressorts de compression correspondants 126 et 127 peuvent ramener la partie de moule 120 et le poinçon coopérant 121 dans leur position extrême intérieure. En même temps, le poinçon latéral 110 est également déchar- gé de l'action de l'air comprimé et est ramené dans sa position reculée sous l' action du ressort 113. Après que le goulot du récipient a été ainsi dégagé, le
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piston 102 du poinçon principal 108 peut aussi être déchargé, de sorte que ce dernier est retiré de la matrice 115-et de la partie 130" du récipient par le ressort 104.
En même temps, la matrice 115 peut également être ramenée dans la position inférieure représentée à la fig. 25, de sorte que la feuille 130 et la partie 130" du récipient qui est formée sur elle peuvent être avancées d'un pas jusqu'à ce qu'une partie non travaillée de la feuille se trouve de nouveau entre le guide 114 et la matrice. Des organes connus, non représentés, peuvent ser- vir au transport pas à pas de la feuille entre deux phases de fabrication du dis- positif décrit. Le transport peut éventuellement aussi être effectué à la main.
Dans la pratique, il est avantageux de conformer en même temps plus d'une partie 130" du récipient en plaçant, par exemple, l'un derrière l'autre deux'dispositifs du type représenté à la fig. 25.
Il y a encore lieu de mentionner que les goulots verseurs formés sur les parties de récipients par le dispositif de la fig. 25 ont une forme corres- pondant à celle du goulot de la fig. 22.
Après avoir fabriqué finalement la partie en cuvette du réoipient en la découpant de la feuille, on soude sur elle à l'aide d'un dispositif connu un couvercle qui ferme complètement le récipient comme paroi latérale de ce dernier, Le récipient peut donc être stocké dans cet état sana que des germes et de la poussière puissent entrer dans ce récipient, c'est-à-dire que la sta- bilité peut être conservée pratiquement dans une mesure illimitée.
Les fig. 29 et 30 représentent une autre forme de réalisation d'un dispositif servant à ouvrir, à remplir et à fermer les récipients suivant un pro- cédé continu. Le bâti 150 du dispositif porte, en plus d'une bande transporteuse 152 recevant les récipients 140, une série de postes de travail, à savoir un pos- te 153 pour ouvrir les récipients, un poste 154 pour les remplir, un poste 155 pour amener des capuchons de fermeture et finalement un poste 156-pour fermer les récipients et pour fixer les capuchons de fermeture.
Le poste 153 comprend une douille 157 qui est fixée au bâti 150 et dans laquelle un manchon de support 158 est disposé de façon à pouvoir cou- lisser. la douille délimite un cylindre 159 auquel de l'air comprimé peut être amené par-un raccord 160. Le manchon de support présente un épaulement 161 qui agit comme piston et sur lequel s'exercent, d'une part, la pression d'air régnant dans le cylindre 159 et, d'autre part, l'action d'un ressort de compression 162 prenant appui sur un anneau 163 fixé à l'extrémité inférieure de la douille.
Le ressort 162 tend à maintenir le manchon de support 158 dans sa position extrê- me supérieure. Une broche porte-lame 165 peut tourner dans le manchon de support 158 au moyen de roulements à billes 164 et porte, à son extrémité supérieure, une poulie 166 tandis qu'une lame 167 est fixée à l'extrémité inférieure. La broche 165 est entraînée par un moteur, non représenté, à vitesse de rotation relativement élevée par l'intermédiaire de la poulie 166 et d'une courroie de commande 168 passant sur cette dernière.
La bande transporteuse 152 est entraînée pas à pas par un dispositif, non représenté, la grandeur des pas d'avancement correspondant à la distance en- tre deux récipients voisins. Dès qu'un récipient se trouve au-dessous du poste 153, de l'air comprimé est amené au cylindre 159 par le raccord 160, de sorte que le manchon de support avec la broche porte-lame 165 est abaissé contre l'ac- tion du ressort 162. Au cours de ce mouvement d'abaissement, la lame rotative découpe au fond du goulot verseur 141 du récipient 140 un disque 142 qui est projeté par suite de la rotatio de la lame et, en fait, avec une composante di- rigée de bas en haut. Cela empêche que le disque tombe dans- le récipient par l' ouverture 143 formée dans celui-ci.
Dès que cette ouverture a été formée, l'é- paulement 161 est déchargé de l'action de l'air comprimé, de sorte que la broche 165 avec le manchon de support 158 revient à la position initiale sous l'action du ressort 1620
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Une goulotte réceptrice 169 ouverte en bas est disposée sur l'anneau 163 et intercepte les disques 142 projetés par la lame 167, de sorte que ces dis- ques tombent à c8té et entre les récipients 140 se trouvant sur la bande trans- porteuse. Il y a encore lieu de mentionner que la bande transporteuse présente des nervures de maintien 151 dirigées vers le haut, qui forment des compartiments pour les récipients et qui maintiennent ces derniers écartés les uns des autres d'une distance correspondant à la grandeur du pas d'avancement de la bande.
Cela rend impossible un déplacement des récipients lorsqu'on découpe l'ouvertu- re 143 dans le goulot verseur 141'. lorsqu;un récipient ouvert parvient au poste de remplissage 154, une tubulure de remplissage 170, communiquant par un tube 171 avec un réservoir, non représenté, de la matière à charger, est engagée par l'ouverture 143 du récipient. Le mouvement de la tubulure'dans le sens vertical s'effectue par l' intermédiaire d'un étrier 172 fixé à une tige de piston 173. Cette dernière est assujettie à un piston 175 coulissant dans le cylindre 174. Ce cylindre 174 est porté par le bâti 150 et contient, en plus du piston 175, un ressort de compression 176 agissant sur ce dernier de bas en haut.
Par l'intermédiaire d'une raccord 1779 de l'air comprimé peut être amené à agir, contre l'action du ressort 176, sur le piston, de sorte que celui-ci peut être abaissé avec la tu- bulure 170 dans la position représentée à la fig. 29. Le chargement de la ma- tière peut se faire, dans ce cas, sous pression pour accélérer l'opération.
L'étrier 172 porte, en plus de la tubulure de remplissage 170, une tubulure d'aspiration 180 qui communique par un tuyau 181 avec le c8té aspiration d'une soufflerie (non représentée). Dans sa position extrême supérieure, la tubulure 180 coopère, comme le montre la fig. 30, avec un dispositif d'amenée 182 qui est placé latéralement par rapport à elle, qui comprend un canal d'ame- née en deux parties et dont la partie inférieure 183 peut coulisser dans le sens de la flèche 184 et porte des couvercles ou capuchons 144 pour les récipients 140. la partie supérieure 185 est, par contre, fixée rigidement. Dans la posi- tion avancée de la partie inférieure 183, un capuchon 144 vient se placer au- dessous de la tubulure d'aspiration élevée et est aspiré contre l'extrémité in- férieure de celle-ci.
Après avoir retiré la partie inférieure 183, la tubulure d'aspiration peut être abaissée pour venir, par exemple, dans la position repré- sentée à la fig. 290 La libération du capuchon 144 est effectuée en mettant la tubulure d'aspiration en communication avec l'atmosphère. Le capuchon 144 tom- be alors sur le goulot verseur 141 et est maintenu par ce dernier d!une façon centrée.
Après qu'une quantité prédéterminée de matière mesurée par un dispo- sitif de dosage approprié a été introduite par la tubulure de chargement dans le récipient se trouvant en dessous, la tubulure d'aspiration et la tubulure de chargement sont élevées ensemble en déchargeant le piston 175 de l'action de 1' air domprimé. La bande transporteuse peut ensuite être avancée d'un pas.
Lorsqu'il s'agit pour la matière à charger d'un produit alimentaire devant être chargé sans germes, la pénétration d'impuretés dans le récipient peut être empêchée soit en aspirant de l'air, soit en créant une atmosphère de gaz protecteur dans la région des récipients ouverts. Dans l'exemple de réali- sation représenté, un conduit d'aspiration 186 comportant une fente d'aspira- tion 187 s'étend au-dessus des récipients ouverts, ce conduit étant relié par un tube d'aspiration 188 au c8té aspiration d'une soufflerie. Ce même disposi- tif peut être utilisé pour l'amenée d'un gaz protecteur. Lorsqu'on veut obtenir un chargement sans germes de la matière, ce chargement peut aussi s'effectuer sous un rayonnement ultraviolet.
Pour la fixation du capuchon 144 sur le goulot de versement 141, les récipients parviennent finalement au poste 156 du fait qu'ils sont amenés à a- vancer pas à pas par la bande transporteuse. Un support 190 fixé au bâti 150 porte deux cylindres superposés 191 et 192, dont le cylindre supérieur 191 con-
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ient un piston 193 et le cylindre inférieur 192 un piston annulaire 194 entou- rant concentriquement la tige 195 du piston 193 et présentant un appendice 196 en forme de douille. La tige porte, dans chacune de quatre fentes radiales 197 ,creusées à son extrémité inférieure, une mâchoire de serrage pivotante 198, les fentes et les mâchoires de serrage étant uniformément réparties à la périph4rie de la tige.
Relativement aux mâchoires de serrage centrales, la tige présente une partie de tête 199 qui est destinée à s'engager dans les cavités 145 des capuchons 144 et à maintenir, par suite, fixement ces derniers sur le goulot ver- seur 141 du récipient à fermer pendant que les mâchoires de serrage 198 sont actionnées. On empêche en même temps ainsi une grande déformation radiale du goulot verseur lors de la fixation du capuchon.
Pour actionner les mâchoires de serrage, à savoir pour les amener dans la position de travail et pour les ramener de cette dernière dans la posi- tion de repos, chacun des deux Cylindres 191 et 192 présente deux raccords à air comprimé 200, 201 et 202, 203 qui permettent de mettre en mouvement les pis- tons 193 et 194 dans les deux sens en faisant agir de l'air comprimé sur les surfaces correspondantes des pistons.
Tour fixer un capuchon 144 sur le goulot verseur d'un récipient, on abaisse tout d'abord La tige 195 au moyen du piston 193, de sorte que sa partie de tête 199 s'engage dans le capuchon, à savoir dans la cavité 145 de celui-ci, et presse de capuchon sur le goulot verseur. Dès que cela est terminé, l'appen- dice 196 en forme de douille est abaissé par l'intermédiaire du piston 194, le cône intérieur 204 de cet appendice passant sur les mâchoires de serrage et les amenant à pivoter vers l'intérieur de façon à leur faire saisir le bord 146 du capuchon 144 et à serrer ce bord par une déformation localisée sur le goulot verseur. Ensuite, on peut successivement retirer l'appendice 196 et la tige 195.
Le récipient est, par suite, hermétiquement fermé et peut être enle- vé de la bande transporteuse.
Les procédés décrits destinés au remplissage et à la fermeture du récipient peuvent être exécutés immédiatement à la suite de la fabrication du récipient en des phases de travail successives ou bien ces procédés peuvent également être exécutés, au besoin, ultérieurement, étant donné que le récipient est fermé et exempt de germes après sa fabrication.
Les procédés décrits présentent l'avantage qu'ils, permettent'Non seu- lement la fabrication de récipients stériles, mais leur remplissage et leur fer- meture également par voie stérile.
Diverses modifications peuvent d'ailleurs être apportées aux formes de réalisation, représentées et décrites en détail, sans sortir du cadre de l'in- vention.
REVENDICATIONS.
1.- Récipient formant emballage perdu constitué par une partie en cuvette en matière déformable, de préférence en matière synthétique thermoplas- tique, et par une paroi servant à la fermeture de cette partie, caractérisé en ce que la partie en cuvette, en une matière à paroi particulièrement mince, com- porte un goulot verseur et une paroi de fermeture servant au raidissement.