BE561614A - - Google Patents

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BE561614A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41BMACHINES OR ACCESSORIES FOR MAKING, SETTING, OR DISTRIBUTING TYPE; TYPE; PHOTOGRAPHIC OR PHOTOELECTRIC COMPOSING DEVICES
    • B41B25/00Apparatus specially adapted for preparation of record carriers for controlling composing machines

Landscapes

  • Record Information Processing For Printing (AREA)

Description

       

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   La présente invention a pour objet de prévoir un système nouveau de composition pour l'impression de textes, visant de façon générale à accélérer cette composition, tout au moins à la rendre en majeure partie automatique, et de ce fait, à réduire les frais de ladite composition. 



   Elle a aussi pour objet d'établir ce nouveau système tel qu'il fasse appel aux possibilités actuelles d'automatisation d'opérations, même de nature intellectuelle, et qu'il réduise de ce fait l'intervention humaine en cette composition au petit nombre seulement d'actions intelligentes concernant la compréhension des textes et leur présentation esthétique. 

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   Elle a encore et complémentairement pour objet de prévoir ce nouveau système tel qu'il   entrane   l'automatisation ales opérations de coupure et justification, usuelles dans la composition   est   qui nécessitaient jusqu'à présent l'invervention d'opérateurs, spécialisés.. 



   Le processus actuel de préparation et de composition d'un texte peut, semble-t-il, se résumer comme suit : 
Un manuscrit d'auteur, éventuellement modifié, donne lieu à l'établissement de copies multiples dactylographiées. 



  Il s'agit là d'une opération de mise au net. 



   Sur une de ces copies   dactylographiées,   travaille alors un préparateur de composition. Ce travail, outre les corrections évidentes desfautes de frappe et de syntaxe qui ont pu subsister malgré les corrections antérieurement apportées sur les copies, consiste essentiellement dans le report sur ladite copie des indications ou informations de service suivantes : a. Indication du format et éventuellement des marges; b. Détermination de la justification; c. Détermination des polices, variétés et corps de caractères des lettres, chiffres et signes, de façon générale, des éléments du texte à composer; d. Indications éventuelles de modifications d'alinéas dans la copie dactylographiée; e. Indications des réserves pour impression des   clichés;   f.

   Indications éventuelles des emplacements de notes de bas de page dans la composition, etc. 



   La copie ainsi préparée est alors remise à un imprimeur qui, disposant du texte et de ses indications de service, doit assurer la commande d'une machine de composition, tout en assurant, en outre, deux opérations distinctes et essentielles : la coupure en fin de ligne et la justification. Il importe peu 

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 d'ailleurs, au point de vue auquel se place la présente invention, que le résultat immédiat de l'intervention d'un opérateur chez l'imprimeur réside dans l'obtention définitive d'une composition en alliage plombé ou d'un film photographique impressionné, ou simplement dans l'impression (le plus souvent par perforations d'un ruban) d'un support qui servira ensuite à commander une machine de composition semi-automatique ou automatique.

   Il convient seulement de rappeler que de telles machines de composition à commande automatique ou semi-auto- matique sont connues mais qu'en un tel cas, jusqu'à présent, la préparation du ruban de commande devait être assurée par l'intervention d'un opérateur spécialisé. 



   La présente invention a surtout pour objet plus précis de prévoir un procédé nouveau, et un nouveau système mettant en oeuvre ce procédé, qui éliminent dans la composition d'un texte à imprimer toute intervention chez l'imprimeur d'un opérateur spécialisé pour décider des opérations de coupure et de justification de lignes de composition. 



   Elle a aussi, complémentairement mais non impérativement pour objet particulier de prévoir ce procédé et ce système tels qu'ils permettent d'éviter toute opération de mise au net d'un manuscrit, préalablement à la composition, pour rotant toutefois que ce manuscrit se présente au préparateur de composition sous la forme d'une copie lisible, de préférence dactylographiée. 



   En ce qui suit, on désigne par "informations de service!! toutes informations et indications du genre de celles qui ont été ci-dessus définies pour le travail de préparation de composition et de composition même. 



   On réserve le terme "enregistrement codé" à tout enregistrement d'informations susceptible d'être soumis à un 

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 palpage mécanique, électrique et (où) optique pour fournir des signaux électriques dont les configurations propres simulent les éléments d'information de ces enregistrements. 



  On réserve le terme "enregistrement en clair" à tout enre- gistrement d'informations susceptible d'être lu   directemeht,   même si les signes qu'il comporte sont, pour partie au moins d'une nature arbitraire, du genre sténographique ou sténo- typique par exemple. 



   Le procédé de composition conforme à l'invention se caractérise alors essentiellement en ce qu'il comporte les stades opératoires suivants, tant manuels qu'automatiques : a) Etablissement d'au moins un enregistrement codé des éléments d'information d'un texte et des informations élémentaires de service les accompagna nt - ce stade opéra- toire pouvant comporter une période ou phase d'établissement de cet ou de ces enregistrements qui soit unique ou pouvant en comporter plusieurs indifféremment, et pouvant donner lieu tant à l'établissement d'un enregistrement mixte, texte et service, qu'à des enregistrements distincts de texte d'une part, de service de l'autre;

   b) Conversion progressive de cet ou de ces enre- gistrements codés en autant d'ensembles de signaux électri- ques - ce second stade pouvant aussi comporter soit une phase unique, soit autant de phases alternées que de besoin, indif- féremment; c) Transposition de ces ensembles de signaux élec- triques en au moins un ensemble de signaux, ou plusieurs si de besoin, définissant ou décrivant alors la composition typo- graphique complète du texte telle-qu'elle devra être réalisée par une ma chine de composition, manuelle ou automatique;

   

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 d) Etablissement d'enregistrements du oudes ensem- bles de signaux délivrés en résultat du stade opératoire c, que ces derniers enregistrements soient codés en vue d'une commande semi-automatique ou automatique d'une machine de composition mécanique, oi soient en clair en vue d'une com- mande manuelle d'une telle machine. 



   Ce procédé se caractérise complémentairement par les principales varia ntes suivantes qui peuvent être intro- duites en ses stades de développement : 
1 ) Au cours du stade   a,   et quand de besoin,   établis   sèment d'au moins un enregistrement codé de correction du texte et (ou) des informations de service y relatives - au cours du stade b alors, conversion de cet enregistrement codé de corrections en un ensemble de signaux électriques pour annulation et substitution aux signaux provenant du premier enregistrement, en vue du stade c; 
2 ) Au cours du stade a, établissement d'autant d'enregistrements en clair, au moins, que d'enregistrements codés;

   
3 ) Au cours du stade d, établissement simultané d'au moins un enregistrement codé et d'un enregistrement en cla ir - ces variantes   poùvant   être séparément ou simultané- ment introduites dans le procédé sus-défini. 



   Un appareillàge pour la mise-en oeuvre de ce pro- cédé se caractérise alors, et de façon générale, en ce qu'il comporte, en combinaison opérative, au moins des moyens pour c aablir les enregistrements codés sus-définis, des moyens pour traduire ces enregistrements codés en signaux électriques des moyens pour transposer ces signaux en au moins un ensemble de signaux décrivant la composition typographique complète du 

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 texte, et des moyens pour enregistrer ces derniers signaux. 



   La mise en exploitation pratique de l'invention,      maintena nt, pourrait bien évidemment,recourir à une réa- lisation unitaire, plus exactement localisée, mais alors la cadence d'opération globale serait tout aussi clairement condi tionnée par l'élaboration de l'enregistrement codé d'informa- tions de service et ces informations nécessitent   l'interven-   tion d'un facteur humain.

   En conséquence, et pour assurer à l'exploitation pratique de l'invention, la pleine utilisa- tion des qualités de rapidité et de souplesse intrinsèque dudit procédé et dudit système, l'invention prévoit de recou- rir à un fractionnement rationnel des moyens de mise en oeuvre susvisés, à savoir : 
D'une part, les moyens propres à l'établissement des divers enregistrements codés définis dans le stade opéra- toire a; 
D'autre pa rt, les moyens propres au dépouillement des informations de ces enregistrements, à leur conversion et transposition électriques et à l'enregistrement des informa- tions ainsi transposées. 



     Vu   sous ce dernier aspect, un système de composition pour la mise en oeuvre du procédé conforme à l'invention se caractérise plus particulièrement en ce qu'il comprend au moins un appareil d'élaboration d'enregistrements codés, et de préférence une pluralité de ces appareils, et au moins un appareil alimenté par les enregistrements provenant du ou des premiers et établi pour former, à partir du dépouillement automatique de ces enregistrements, le ou les enregistrements de composition typographique complète du texte pour commande d'une machine de composition. 

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   Tout appareil pour   l'élaboration   des enregistrements de textes, informations de service, et corrections, peut avan- tageusement comprendre une machine imprimante à commande ma- nuelle par clavier, selon les indications qui seront précisées plus loin. 



   Tout appareil d'élaboration du ou des enregistrements finalement désirés pourra avantageusement comporter une machi- ne à calculer électrique ou électronique, du genre des calcu- latrices à programme. Ce programme sera d'ailleurs précisé plus loin. Il est   toutefois   bien connu que de telles   calcu-   latrices sont directement adaptées à l'introduction de données sous forme de bandes d'enregistrements codés et à la délivran- ce de résultats également sous forme de bandes enregistrées, codées ou en clair.

   En outre, toute calculatrice du type dit universel peut, sans modification de ses organes internes et par la seule modification de sa mémoire de programme, voir son fonctionnement adapté à la résolutation automatique de tous problèmes concernant les données introduites, et par suite à tout problème entrant dans la catégorie des opéra- tions de coupure, justification et indication de la composi- tion typographique d'un texte, ces dernières étant essentiel- lement basées sur des comptages de signes et de blancs et des comparaisons à des références prédéterminées. 



     Illustrativement,   et en vue de bien préciser les caractéristiques, modalités de mise en oeuvre et avantages de l'invention, divers exemples de systèmes conformes au pro- cédé sus-défini, vont être détaillés en se référant, lorsque de besoin, aux figures jointes, dont les sujets seront pré- cisés au fur et à mesure de cette description. 



   On va d'abord considérer diverses modalités   d'éla-   

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 boration des enregistrements codés à   dépuiller   ultérieure- ment pour transposition. 



   Au cas où l'éditeur ne dispose que d'un manuscrit impropre à l'établissement direct d'un enregistrement codé de texte, et donc conjointement d'un enregistrement codé d'informations de service, la mise au net de ce manuscrit doit être effectuée. Il est alors loisible de procéder, si- multanément à cette mise au net, à l'établissement de l'en- registrement codé du texte et aussi à l'établissement dé l'enregistrement codé des informations de service, de pré- férence. 



   Deux cas peuvent se présenter : celui où le pré- parateur de composition peut travailler sur le manuscrit avant sa mise au net; celui où la mise au net doit précéder le travail du préparateur de composition. 



   Dans le premier cas, il paraît plus avantageux de procéder à une mise au net simultanée du texte et des informations de service ajoutées à ce texte par le prépa- rateur. La "frappe" de la machine imprimant au net le texte et les informations,   e@   de service assurera la production simultanée, outre d'un enregistrement en clair sur page ou double page, d'un ruban   d'en@ istrement   codé, sans que l'opé- ratrice de frappe n'ait à se préoccuper de l'élaboration de ce ruban pa r la machine autrement que par l'observation de consignes telles que les suivantes : ne pas revenir en arriè- re tant dans une ligne que d'une ligne à l'autre; taper en marge de chaque ligne son numéro dans le texte recopié (si la machine n'est pas automatiquement disposée pour cette frappe au retour du chariot);

   noter ses propres fautes de copie (facultatif) mais ne pas corriger (impératif). 

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   Le ruban codé - le terme "ruban" étant pris pour désigner toute nature de support d'enregistrement et toute nature d'impression sur ce support - pourra être élaboré par la machine soit avec deux pistes, l'une pour le texte, l'autre pour les informations codées, ou encore et de pré- férence avec une piste unique comportant les deux enregis- trements avec leurs éléments d'information entrelacés. 



   L'opération sera reprise avec un texte et les infor- mations de service y relatives, pour l'établissement d'un ruban de corrections. Il suffira, pour que ce ruban soit unique, que l'ensemble des corrections à apporter au texte soit rassemblé, que les corrections proviennent de l'opéra-   trice   de frappe, du préparateur de composition (ou de celui qui relit le texte mis au net) et (ou) de l'a uteur lequel aura révisé ladite mise au net, etc. En ce cas toutefois, l'opératrice de frappe sera obligée de taper impérativement les numéros des lignes corrigées puisque ces lignes ne se succèdent pas dans l'ordre numérique normal.

   Toute correction dans une ligne devra bien entendu, s'effectuer en retapant la ligne complète et, si une ligne est remplacée par plu- sieurs, ces dernières porteront le même numéro, correspon- dant à celui de la ligne corrigée. 



   Dans le second cas, celui où le manuscrit est impropre au travail de préparation de composition même, il sera d'abord mis au net. Un premier ruban   d'enregistrement   codé du texte pourra, si désiré, être simultanément réalisé dans les conditions mêmes que prévues ci-dessus. Puis, le préparateur ayant travaillé sur une copie de cette mise au net, le seul enregistrement codé des informations de service pourra être réalisé, par une frappe directe ou non, soit sur 

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 un autre support, soit sur le même support défilant à nou- veau sous un mécanisme d'inscription identique au premier - en ce cas, le ruban sera à deux pistes parallèles, comme dans une varia nte de présentation déjà indiquée plus haut. 



   Le ruban de correction pourra toujours être fait de la façon précisée pour le premier cas. 



   La raison pour laquelle il paraîtrait préférable de n'avoir qu' un ruban d'enregistrement unique, à simple où double piste, réside dans le fait que le synchronisme d'avan- cement des deux groupes d'informations, texte et service, sera automatiquement assuré pour leur introduction dans une calculatrice, sans nécessiter de prévisions spéciales   concer-   nant le synchronisme de plusieurs rubans devant défiler en phase relative constante, pour cette introduction de données. 



   En préparant au contraire les données sur deux ru- bans seulement, l'un de première frappe de mise au net, l'au- tre de corrections, seul demeure en jeu, à l'entrée de la calculatrice, le problème plus simple de l'arrêt d'un ruban pour entraînement du second et vice-versa. 



   N'est d'ailleurs pas exclus du domaine de l'inven- tion le cas où le ruban de première mise au net et le ruban de corrections sont lus indépendamment pour l'introduction de données dans la calculatrice, cette dernière assurant alors, par un sous-programme interne, la comparaison de ces deux séries de données et la substitution des données de la seconde série à celles correspondantes de la première série. 



  Ce mode opératoire ne serait limité en pratique que par des considérations d'ordre économiques, car il nécessiterait évidemment des mémoires de très grandes capacités d'infor- mations. 

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   Il n'est aussi pas exclue du domaine de l'invention que la préparation de composition, d'une part, les corrections de l'autre, soient effectuées préalablement à toute opération de frappe délivrant un ruban d'enregistrements codés, entre- lacés ou côté à côté. Ne pourraient subsister que des fautes de frappe, ce qui nécessiterait une relecture ligne à ligne au fur et à mesure de la frappe et l'annulation de toute ligne qui contiendrait une faute de frappe, son remplacement par   @   ligne suivante étant direct lorsque l'enregistrement est fourni à l'entrée de la calculatrice.

   Ceci rendrait inutile toute indication de numéro de ligne dans la frapper 
Quelle que soit la solution adoptée, il est bien évident que son choix est dicté par des considérations d'or- dres surtout extérieurs au développement prppre du procédé et du système conformes à   l'invention :   organisation et économie du travail de préparation et d'élaboration des en- registrements. 



   La machine imprimante formant les rubans d'enregis- trements codés, en même temps qu'elle fournit une frappe en cla ir des informations de texte et de service peut être déri- vée d'une machine à écrire ou d'un appareil de télétypie, surtout dans le cas/où les rubans sont séparés, ne comportant qu'une piste, ou comportant des doubles pistes. Alors en effet, il suffit de compléter l'agencement de la machine à écrire par un bloc d'impression sur ruban ayant ses éléments (électro-aimants par exemple) actionnés à partir des touches du clavier standard ou complété aux fins requises pour une préparation de composition.

   Il suffit d'autre part, d'omettre dans un appareil de télétypie les sorties d'envoi en ligne des signaux électriques formés, en conservant le dispositif 

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 usuel de contrôle visuel du télétype et son   disposition   de perforation codée de ruban, Dans l'une et l'autre machine, 'impression des numéros de ligne pourra être assurée auto-   par   actionnement d'un pas-à-pas à chaque retour de chariot, pas-à-pas commandant cette impression tant sur le ruban que sur la page. Pour l'établissement des enregis- trements de service, une   correspondance   arbitraire peut être établie entre les touches des claviers standard de ces ma- chines et les désignations desdites informations.

   Un ruban ou une piste de texte serait automatiquement interprété comme tel par une calculatrice en fonction de l'entrée sur laquelle il serait lu; un ruban ou une piste de service serait simi- lairement interprété comme tel par la calculatrice. 



   Le plus souvent, toutefois, le clavier devra être   modifié,'surtout   dans le sens de son élargissement de carac- tères et de signes divers. Dans le cas, en particulier, où les informations de texte et de service devront apparaître entre- lacées sur une piste unique, des indications intercalaires deviendront nécessaires   pour .que   les mêmes codes numériques soient ensuite correctement interprétés par la calculatrice. 



  De telles indications seront dites "d'annonce" dans la suite de l'exposé, qui va plus précisément considérer le cas d'un tel ruban en plus de détail, pour le fait qu'il apparaît comme étant celui qui nécessite une adaptation plus poussée de dispositifs et machines usuels en vue de son emploi. Il doit cependant demeurer bien entendu que les dispositions qui précèdent trouvent leurs places naturelles dans le domaine de l'invention. 



   L'exemple illustré sur la fig, 1 montre un fragment de ruban d'enregistrements codés en lesquels alternent   irré-   

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 galièrement des éléments de texte et des éléments de   service.   



  Ce ruban a donc été préparé par une frappe de l'ensemble de ces informations. La portion de ruban de la fig. 1 peut concerner indifféremment une frappe de texte et de service ou une frappe de corrections,de texte et de service. 



   En cet exemple, est utilisé, non limitativement d'ailleurs, un code numérique binaire à sept éléments de code. Sur le ruban 1, pourvu. d'une rangée de perforations d'entraînement 2, ici centrale mais pouvant être décalée latéralement comme désiré, ou même dédoublée, courent sept lignes désignées par les références j, n, v, t, b, a, f pour les sept éléments de code, plus une ligne, dénommée d, dont' l'utilité sera précisée plus loin en relation avec l'exemple de calculatrice qui sera décrit. 



   La présence de perforations d'entraînement, pré- suppose une avance pas-à-pas, tant à l'inscription   qu'à   la lecture. Ceci n'est pas impératif, bien qu'estimé plus avan- tageux au point de vue de la précision et de la commodité d'emploi, et on pourrait tout aussi bien prévoir un déroule- ment continu avec entraînement par friction. 



   Quel que soit le mode d'entraînement adopté, l'ins- cription'définit sur le ruban des colonnes espacées d'un intervalle marqué   @,   prédéterminé, qui une fois converti en intervalle de temps par la lecture, définira la durée d'un   ' moment   de code" de la calculatrice, les huit lignes étant lues en parallèle, de la même façon qu'elles sont impression- nées en parallèle à   l'inscription.   



   Cette impression est prise ici perforée. Ceci non plus   n'est   pas limitatif et toute autre modalité   d'impression   bien connue par encrage, brûlage, électrolyse, enregistrement 

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 magnétique, photographie, etc., peut être utilisée. Il ne .s'agit que de varier la nature du support en certains cas et de substituer aux têtes   @'. @scription   et de lecture pour per- forations les têtes de constitution appropriée à la nature de l'impression désirée. Les unes et les autres sont d'ailleurs bien connues dans la technique. 



   Avançant de la droite vers la gauche, le ruban de la fig. 1 doit se lire de la gauche vers la droite. Il montra un début de ruban, bout d'amorce coupé, à partir d'un moment   où   une information de justification'doit être donnée. La jus- tification s'exprime par une valeur numérique définissant la longueur de la ligne du text e à imprimer finalement. 



   Dans la forme représentée, les indications d'an- nonce utilisées sont les suivantes :   J : annonce   du code de justification; annonce du code de numéro de ligne du textedac- tylographié (en utilisant ce terme générique de dactylographie pour tout genre de frappe); 
V : annonce du code numérique définissant la   variété   des signes, tant la police et le corps des caractères que les groupes qui peuvent être définis pour les caractères dans les différents corps et polices; 
T : annonce des codes numériques de caractères en leurs significations alphabétiques ou symboliques propres; 
B : annonce d'un code de blanc ou espace entre mots   dans le texte dactylographié ;

   indication de fin de ligne   dactylographiée sera aussi donnée comme un blanc, à moins que la ligne dactylographiée ne se termine par un trait d'union pour coupure d'un mot, à la frappe, d'une ligne à la suivante, auquel cas le blanc de fin de ligne sera supprimé à la frappe 

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 même. 



   En outre. et a insi qu'il est précisé sur les schémas des fig. 2 et 3, montrant des portions de ruban à ces fins, on utilise aussi une indication d'annonce de début d'alinéa A et une indication d'annonce de fin d'alinéa F. 



   Si l'on ne devait utiliser qu'un code à cinq éléments, les informations de blancs et de début et fin d'alinéa pourraient être constituées par des codes numériques particuliers, précédés de l'annonce T, par exemple, ou encore les début et fin d'alinéa, par des codes précédés de l'annonce      V, un blanc étant représenté par un code particulier précédé. de l'annonce T. 



   Sur le ruban de la fig. 1, on trouve dans la colonne d'annonce J une perforation unique dans la ligne j. Deux colonnes viennent ensuite portant des perforations de code numérique à sept éléments plus une perforation dans la ligne d. La première colonne qui suit la colonne d'annonce J permet décrire en numération binaire une valeur comprise entre 0 et 127, la seconde, conjointement avec la première, permet d'éori re toute valeur entre 128 et 16 383 inclusivement. 



   Le numéro de la ligne du texte dactylographié est annoncé par la présence d'une perfor ation de colonne unique sur la ligne n; c' est la colonne d'annonce N. Puis, viennent deux colonnes réservées à l'indication de la valeur numérique de la ligne de texte dactylographiéo Ces deux colonnes ne comportent pas de perforation sur la ligne d, mais les codes utilisés nécessitent la présence d'au moins deux perforations en d'autres lignes, pour les différencier à la lecture des colonnes d'annonce.

   L'omission,de perforation dans la ligne d est dictée dans l'exemple , encours de description; par la 

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 nécessité de supprimer les   @@éros   de lignes   dactylographiées   dans l'introduction des données à   l'opérateur   arithmétique et à la mémoire   d'informations   de la calculatrice. La numé- rotation des lignes   du   texte dactylographié pourra être re- prise périodiquement, par exemple toutes les dix mille lignes, sans inconvénient. 



   Vient ensuite une colonne d'annonce V, présentant une perforation unique sur   la.ligne   v du ruban. La colonne suivante, qui présente une perforation sur la ligne d, précise par ses autres perforations la valeur numérique affectée à l'information V, en numérotation binaire de 0 à 127. 



   La colonne d'annonce T qui vient alors, ne comporte qu'une perforation sur la ligne t du ruban. Elle est suivie par exemple d'une colonne indiquant la valeur numérique du code d'une lettre du texte, plus une perforation en d: 
On peut supposer illustrat ivement qu'un blanc doive immédiatement venir après cette lettre d'ouverture du texte. Ce blanc (de la copie dactylographiée) est annoncé dans la colonne B par une perforation unique sur la ligne b du ruban. Dans la colonne suivante, on ne trouve qu'une per- foration sur la ligne d du ruban. 



   Après ce blanc, pourront alterner des informations de service V et des lettres ou signes de la copie dactylo- graphiée. La portion de ruban montrée est coupée pour abréger la représentation et arriver. à une fin de ligne dactylographiée' Elle peut se terminer par un blanc de fin de ligne, sur quoi vient le numéro de la ligne suivante du texte. Elle pourrait aussi bien se terminer sur une lettre ou un signe, en cas d'une coupure de mot en fin de ligne dans le texte dactylo- graphié.

   Un blanc de fin de ligne peut être directement im- 

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 pressionné sur le ruban par un retour de chariot de la ma-  chine utilisée où il peut être frappé normalement Si le   etour   du chariot entre en jeu et que la ligne frappa se termine par un tiret, la frappe de celui-ci   mettra.hors   1 d'action le retour de chariot pour l'impression automatique du blanc de fin de ligne. 



   Pour un début d'alinéa,   'fige   2, après le numéro de   Ua   ligne qui doit ,ainsi commencer dans le texte dactylographié, vient une colonne A d'annonce de début d'alinéa,   portant \Une   perforation dans la ligne d du ruban. Les informa tions sui- vantes sont telles que dans la fig, 1. 



   Pour une fin d'alinéa, fig. 3, après des informa- tions telles que précisées en relation avec la fige l, vient une colonne d'annonce de fin d'alinéa F, présentant une per- foration unique sur la ligne f du ruban, suivie d'une colonne ne portant que la seule perforation dans la ligne d du ruban. 



  Vient immédiatement la colonne d'annonce N du numéro de la ligne suivante du texte dactylographié. Si l'impression d'un blanc de fin de ligne dactylographiée est prévue automatique,   @@   la frappe de la touche de fin   'd'alinéa   mettra hors d'action le retour du chariot. 



   De la constitution de ruban qui vient d'être dé- crite, peut se déduire directement toute constitution de ru- bans séparés ou tout au moins à pistes séparées pour les in- formations de texte et de service. Bien entendu, les infor- mations relatives au numérotage des¯ lignes du texte dactylo- graphié seront reportées tant sur l'un que sur l'autre des rubans séparés. 



   En variante, sur un support et une piste unique sur ce support, peuvent alterner les informations de texte 

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 et les informations de servie.., ligne par ligne du texte dactylographié, les informations de numérotage des lignes de ce texte étant par exemple épétées pour les informations d'une ligne du texte puis pour les informations d'une ligne de service, afin de permettre à la calculatrice d'établir une correspondance définie entre ces fragments alternés d'informations. 



   Toute autre configuration de présentation de rubans d'enregistrements codés, en ce qui concerne le nombre de lignes dudit ruban, les correspondances de codes numériques et les repères additionnels tels que ceux définis dans   l'exem-   ple illustré par la ligne d du ruban, entrera bien évidemment dans le cadre de l'invention. 



   La fig. 4 donne une vue schématisée de l'ensemble de l'appareil de frappe dactylographique permettant alors d'éta- blir un ruban tel que celui qui vien d'être précisé en relation avec les fig. 1 à 3. En cet appareil, dérivé d'une machine à écrire - le mode de dérivation serait similaire pour un appa- reil incorporant une partie de téléimprimeur - on établit par exemple, et non limitativement, deux claviers 3 et 4. res- pectivement associés à deux corbeilles de caractères 5 et 6 mais à un rouleau unique 7 élargi pour pouvoir être frappé tant par les caractères d'une corbeille que par les caractères de l'autre. Les mécanismes de commande des barres porte-carac- tères par les touches des claviers peuvent être de tout type usuel et ne sont pas montrés.

   On notera toutefois qu'aux fins particulières de l'invention, toute liaison est supprimée entre les touches du clavier 4 et l'avance du rouleau de l'ap- pareil. De ce fait, toute indication de service rapée sur une feuille de papier de préférence transparente 8, portée sur la 

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 partie du rouleau coopérant avec la corbeille 6, sera exac- tement en position même du signe OM caractère tapé elimmédia- tement après, sur la feuille 9, portée sur l'autre moitié du rouleau 7. Pour une lecture simultanée par suite, il suffira d'appliquer les deux feuilles l'une sur l'autre, en décalant leurs interlignes, ce qui permettra une vérification commode de ces enregistrements en cla ir. 



   Il serait évidemment possible de ne prévoir qu'une seule corbeille de caractères, un clavier unique et par suite un enregistrement en clair unique. Toutefois, il faudrait alors prévoir un décalage en hauteur de toute frappe d'information de service vis-à-vis de toute frappe d'informa tion de texte, pour que l'information de service apparaisse dans un inter- ligne du texte. Ce décalage pourrait porter sur le rouleau 7, par actionnement d'un cliquet par une touche spécialisée "service", toute frappe normale ramenant le rouleau à sa posi- tion de ligne normale pour frappe du texte. 



   Si les informations de service ne peuvent être données chacune par un caractère unique, le rouleau   7   sera divisé en deux rouleaux indépendants dans leurs avances laté- rales et les caractères de la corbeille 6 feront avancer leur propre rouleau. 



   Des touches spécialisées sont, dans l'exemple consi- déré, incorporées aux claviers 3 et 4. Leurs définitions suf- fisent pour leur réalisation pratique, , la portée de tout technicien des machines à écrire dans le'clavier 3, les touches T, B, A et F; dans le clavier 4, les touches J et V. 



  Ces touches n'actionnent pas de caractères dans les corbeilles. 



  La touche A provoque un décalage du rouleau 7 d'un nombre prédéterminé de pas vers la gauche. La touche F provoque la 

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 la venue automatique du rouleau à sa position extrême sur la gauche. Le retour de chariot pourra être réalisé à la main, comme usuel. Les blancs la frappe seront obtenus manuel- lement par la barre d'espacement E, comme usuel. Une touche additionnelle de tiret de fin de ligne, U, sera ajoutée dans le clavier 3 par exemple. Dans le corps du texte, le tiret d'union a sa place dans le clavier normal 3. 



   Dans l'exemple montré, il est aussi prévu une touche spéciale N, entre les deux claviers et à cette touche N sont associées dix touches de chiffres, de 0 à 9. Ce sous- ensemble de touches est destiné à la frappe des numéros de ligne du texte dactylographié, tout au moins pour   l'élabora-   tion des enregistrements de corrections. Il pourra être mis hors service pour toute frappe de mise au net si   à   l'appareil sont incorporés des moyens sus-précisés pour imprimer automa- tiquement les numéros de ligne à la suite les une des autres   aux'retours   de chariot. N'étant pas impé ratifs, ces moyens ne sont pas illustrés.

   Les touches dudit sous-ensemble peuvent avantageusement assurer la frappe sur les deux feuilles 8 et 9 à la fois, il ne s'agit que d'une connexion mécanique de .ces touches avec les caractères des corbeilles 5 et 6. 



   Toute touche enfoncée dans l'un ou l'autre des deux claviers doit assurer d'une part l'avancement du ruban d'enregistrement, d'autre part sa perforation correspondant à l'information portée par ladite touche. Avec la disposition proposée dans la fig. 4, le câblage de chaque touche est uniforme en son principe. Comme indiqué succinctement, le clavier 4 est agencé pour que l'enfoncement d'une touche corresponde à une indication devant fournir l'information y perforer dans une colonne complète du ruban. En fait donc, 

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 le clavier 4 aura cent vingt-huit touches, numérotées de 0 à 127 et la valeur numérique de la justification sera fournie à l'opératrice sous la forme de deux nombres successifs à taper. 



   Pour le sous-ensemble N, les codes binaires   à   imprimer pourront être déterminés par un câblage approprié des dix touches de 0 à 9 : l'opératrice pourra alors enfoncer la touche N, à blocage (comme pour une touche de majuscules), taper le numéro de la ligne puis refrapper la touche N pour déblocage, et ce déblocage provoquera l'avance du ruban d'en- registrement de deux pas consécutifs, en lesquels auront lieu les impressions des deux portions du code binaire traduisant le code décimal tapé. 



     Après   la frappe des touches B, F et A, l'opératrice devra normalement appuyer sur la barre d'espacement E. Ces manoeuvres pourront être omises en câblant les touches A et F et la barre d'espacement E pour que leurs actionnements res- pectifs provoquent deux avances consécutives du ruban d'enre- gistrement (relais différés en cascade) et deux perforations prédéterminées comme dit en ces deux avances d'un pas chacune. 



  La touche B pourrait alors être omise. D'un autre point de vue, la   touche T.   pourrait aussi être omise en câblant chacune des touches du clavier 3 de manière à provoquer une dpuble avance du ruban d'enregistrement et l'impression automatique de l'annonce T en position de premier pas de cette avance. 



   Ces touches ont été toutefois montrées et définies car elles seraient indispensables dans le cas d'une machine à clavier unique. En cette machine alors, non seulement les touches J et V (de même que N) provoqueraient l'avance pour impression du ruban d'enregistrement, mais elles commanderaient 

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 (similairement à ce qui a été décrit pour la touche N du schéma) l'introduction d'un câblage de chiffrement avant l'impression des codes numériques qui leur sont associés. 



   Revenant à l'exemple en cours de description, la fig. 5 montre un exemple de disposition pour commande du ruban d'enregistrement et sa perforation. En cette figure, toute touche 10 des claviers 3 et 4 a sa tige de support 11 pivotée par les leviers 12 et 13 sur des pivots 14 et 15. 



  A son enfoncement par suite, se ferment deux contacts 16 et 17. Les contacts 17 sont multiples sur l'enroulement de com- mande du relais d'avance pas-à-pas 18 du rochet 19 de commande de l'arbre 20 du (ou des) débiteur(s) 21, entraîna nt le ruban à perforer 1 sur une platine 22 en   regard,   d'une rangée de huit poinçons référencés j, n, v, t, b, a, f, d pour rappeler leur correspondance aux perforations des lignes du ruban, fig.   1 à 3.   Chaque contact 17; par sa fermeture, pro- voque donc l'avance d'un pas du ruban. Le contact 16 de chaque touche est convenablement câblé sur les électro-aimants de commande des poinçons, dont les enroulements sont rappelés sur le schéma de la fige 5.

   Le câblage proprement dit n'a pas besoin d'être détaillé, étant donné qu'il sera directement réalisé à partir des codes désirés, codes qui sont bien en- tendu laissés au choix de l'utilisateur. La fermeture du contact 16 provoque donc l'inscription d'un code numérique de colonne du ruban ou d'un code d'annonce, selon la destination de la touche qui le commande. 



   Bien que schématiques, les fig.   4 et   5 informent suffisamment le réalisateur pour que l'appareil visé puisse être directement établi, sans plus d'indications, compte tenu de la situation actuelle de la technique en ce domaine. 

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   Le ruban porteur d'enregistrements codés ayant été élaboré, il est introduit dans une tête de lecture incluse dans l'équipement d'entrée   de une   calculatrice électrique. Cette tête de lecture peut être d'une configuration telle que sché- matisée sur la fig. 6; à savoir comporter :      
1 ) Un débiteur 23 pour l'entraînement du ruban perforé, commandé par le rochet 24 placé sous la commande d'actionnement d'un électro-aimant 25.

   Cet électro-aimant porte un enroulement d'excitation 26 et un enroulement de blocage 27 (rendant lorsque alimenté inefficace toute impul- sion de commande d'avance qui peut être appliquée en 26); 
2 ) Une tête de lecture proprement dite, constituée par huit lampes telles que 28, logées dans une platine 29 sur laquelle est appliqué le ruban 1 entraîné par le débiteur 23, et huit cellules photoélectriques telles que 30, en regard    des ouvertures établies dans la platine 29 ; toute per-   foration du ruban donnera lieu à la génération, par voie photoélectrique, d'un signal à la sortie de la cellule cor- respondant à son emplacement de ligne sur le ruban; 
En avance pas-à-pas normale, chaque signal délivré   consistera en une impulsion de tension ;

   le ruban devra   en certains cas, à   préiser   plus loin, stationner sur la platine, chaque signal alors délivré sera converti en une valeur de potentiel constante pendant chaque temps d'arrêt; 
3 ) Un ensemble de préamplificateurs individuels, tels que 31, agencés chacun pour délivrer une tension haute sur des bornes telles que j, n, v, r, b, a, f, d, lorsqu'une perforation se présente devant la cellule correspondante ;   endérivation à la sortie de chaque amplificateur 31 se trouve   un étage inverseur de polarité tel que 32, donnant alors la 

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 tension inverse ou complémentaire, ici désignée par   @,   n, v, t, b, a, f, d, selon une notation connue en elle-même (elle se lit "barre") dans l'algèbre de Boole. 



   En pratique et de préférence,   les   sorties d'une tête de lecture seront prises sur les résistances de sortie d'étages cathodynes, afin de faciliter l'attaque simultanée de plusieurs circuits d'utilisation de ces signaux. Si de besoin, dans les diverses dérivations, pourront être ensuite insérés des étages amplificateurs de puissance. 



   Toute tête de lecture existant dans une calculatrice établie pour la mise en oeuvre de l'invention pourra avoir une constitution similaire à, ou dérivée de celle de la   fige 6,   Dans l'exemple en cours de description, en particulier, il existera une seconde tête de lecture, identique à la première, pour le ruban des enregistrements des corrections. 



   L'organisation générale d'une calculatrice pour tout système de mise en pratique de l'invention peut être considérée comme définie par le schéma-bloc de la fig. 7. Elle présente fondamentalement : 
1 ) Un équipement d'entrée E, pour la lecture des rubans codés, texte et service et corrections, incorporant par suite les deux têtes de lecture 50 et 51 pourvues chacune d'un électro-aimant d'avance pas-à-pas 52 et 53 respective- ment. Ces électro-aimants sont alimentés tous deux en perma- nence par des impulsions de commande provenant d'une source externe, contenue par exemple dans le programme P de la cal- culatrice qui en fixent les temps d'application (le plus souvent, cette application sera ininterrompue).

   Lesdites impulsions sont appliquées sur la borne d'entrée 54 de l'équipement E. , 

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Un ensemble 55   inclus   dans l'équipement d'entrée cassure la sélection de la tête à mettre en activité et la )commutation d'opération de ces têtes. Un exemple de cons-   titutiôn   de cet ensemble sera décrit plus loin. Par ses deux bornes de sortie 56 et 57, de conditions de tension toujours inverses l'une de l'autre, le commutateur-sélecteur 55 bloque l'un des électro-aimants 52 et 53 et débloque l'autre. Tou- tefois, les deux électro-aimants peuvent être simultanément bloqués par une commande du programme indiquée en   74,   ce qui arrête alors l'introduction de toute donnée dans l'opérateur arithmétique OA de la calculatrice.

   Par ses deux bornes de sortie 58 et 59, toujours aussi de conditions de tension inverses ou complémentaires, le commutateur-sélecteur 55 commande la conductibilité de l'un ou   l'autre   de deux cir- cuits de transfert conditionné 60 et 61, respectivement asso- ciés eux-mêmes aux têtes de lecture 50 et 51 pour la trans- mission des signaux délivrés par ces têtes à un circuit de réunion 62. Par circuit de réunion, on entend ici tout cir- cuit ou réseau, du genre unidirectionnel, qui transfère à sa sortie n'importe lequel de ses signaux d'entrée. 



   De façon générale, le circuit de transfert 60 sera rendu passant par le commutateur-sélecteur 55 chaque fois que la tête de lecture 50 verra son électro-aimant avancer, sauf pendant des périodes de reprise de lecture après correc- tions, ainsi qu'il sera précisé à propos de la fig. 8. Le circuit de transfert 61 sera rendu passant par le commutateur- sélecteur 55 chaque fois que devront être efficaces les signaux provenant de la tête de lecture 51. 



   Le circuit de sortie 63 de l'équipement d'entrée fait suite au réseau ou circuit de réunion-62. C'est en ce 

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 circuit 63 que pourront, lorsque de besoin, être établis les amplificateurs de puissance (amplification en tension) des signaux élémentaires des codes transmis à l'opérateur arith-   métique.   



   2 ) Un opérateur arithmétique OA comprenant un circuit calculateur 65, relié à l'entrée 64 de l'opérateur par l'intermédiaire d'un circuit ou réseau d'aiguillage 66. 



  La nature et le rôle de ce réseau d'aiguillage sera précisé plus loin. Un certain nombre de liaisons actives du calcula- teur 65 au programme P et réciproquement est prévu comme usuel. Le détail en sera donné pour un exemple illustratif de réalisation dudit calculateur. 



   Par des dérivations prises dans le circuit d'entrée 64 de l'opérateur arithmétique OA, les données introduites, pour partie au moins, seront inscrites dans une mémoire 68. 



  L'accès de la mémoire 68 s'effectue à travers un circuit d'aiguillage conditionné 67, qui sera précisé ultérieurement. 



  Dans le cas où la calculatrice est prise d'un type dit uni- versel, cette mémoire 68 pourra être tout ou partie de la mémoire générale de la machine. 



   Fondamentalement, pour le but recherché, le cal- culateur 65 devra mettre en fin d'opération en mémoire, deux résultats de calcul. Ces mémoires sont indiquées en 71 et 72, alimentées par les sorties 69 et 70 du calculateur 65. Les données à y inscrire seront définies plus loin. Pour le cas d'une machine universelle ces deux mémoires pourront faire partie de la mémoire générale de la machine. 



   Une fois obtenues les deux montées en 71 et 72, l'opérateur devra élaborer les signaux de sortie. Pour ce faire, un équipement 73 est prévu, alimenté par les trois 

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 mémoires 68,71 et 72 ainsi qu'il sera dit. Son fonctionne- ment propre est placé sous la commande du programme, liaison 80. En 75 est indiquée la sortie de résultat de l'opérateur arithmétique OA, provenant de l'équipement 73. 



   3 ) Un équipement de sortie S comprenant au moins une tête d'inscription 77 commandée par un électro-aimant d'avance pas-à-pas 78. Cette tête peut, si de besoin, recevoir les signaux à inscrire non pas directement de l'entrée 76 de cet équipement S mais à travers une matrice 79 convertissant l'ensemble des signaux délivrés en 75 et reçus en 76 en un autre ensemble de signaux à enregistrer effectivement sur un support final, au moins. Le déclenchement du pas-à-pas d'avance de la tête d'inscription est commandé à partir du programme P, par la liaison 83. L'introduction de mise en service du convertisseur 79, si prévu, est commandée par le programme, par la liaison 81. 



   4 ) Et, selon la routine normale des calculatrices du genre considéré, un équipement de programme P, dont les détailes apparaîtront progressivement au cours de la descrip- tion spécia lisée de la machine. Il incorpore toutefois et bien évidemment des organes d'ordres conditionnés, d'ordres fixes, des répertoires de valeurs numériques, des commandes de sous-programmes pour l'opérateur arithmétique, etc. 



   De ce schéma-bloc, il ressort clairement que la calculatrice à inclure dans un système permettant en oeuvre le procédé conforme à l'invention peut effectivement consister en une machine du type universel, puisqu'une machine de ce 'type incorpore nécessairement les divers équipements et organes exposés. S'agissant toutefois d'un programme quasi fixe ici, une machine spécialisée peut être également établie 

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 sans passer par l'organisation d'une machine de type 'universel C'est sur une telle machine spécialisée que va maintena nt porter l'exposé et sa constitution et son fonctionnement confirmeront bien qu'à sa place peut être utilisée -une machine de type universel. Pour clarifier toutefois ledit exposé, on considérera surtout le cas de machines travaillant en numération binaire parallèle.

   Au point de vue du domaine de ltinvention, on doit comprendre que ceci n'exclut nullement toute application du calcul à une machine travaillant en numération binaire série, le passage de l'une à l'autre étant évident pour le spécialiste. 



   Auparavant toutefois, on va décrire en rela tion avec la fig. 8, une organisation possible du commutateur- sélecteur 55 de l'équipement d'entrée E de la fig.   7.   



   Sur la fig. 8, on a indiqué en 50 et 51 les têtes de lecture de la fig. 7. Les sorties de ces têtes sont, par les conducteurs montrés, reliées à un aiguilleur, 84 pour la tête 50 et 85 pour la tête 51. Par ces aiguilleurs sont res- pectivement commandés des registres 86 et 87, statiques par exemple. A ces registres ou enregistreurs statiques sont   respectivement&   associés des décodeurs 88 et 89.

   Chaque décodeur fournit à tout instant une tension continue propor- tionnelle au code numérique contenu dans son registre: 
Les sorties des deux décodeurs 88 et 89 attaquent les deux entrées   d'un   comparateur 96 établi pour que, tant que les tensions de décodage sont   inéga   les, et quel que soit le sens de cette inégalité, les sorties 56 et 58 pré- sentent un potentiel de valeur propre à débloquer respective- ment le   pas-à-pas   52 de la tête de lecture 50 et le circuit de transfert 60 associé à cette même tête de lecture. Les 

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 valeurs de potentiel aux sorties 57 et 59 sont alors telles qu'au contraire le pas-à-pas 53 et le circuit de transfert 61, a ssociés à l'autre tête de lecture 51, soient bloqués. 



  Pour qu'une telle condition d'ensemble soit satisfaite, il suffit que le potentiel de la sortie 90 du comparateur 96 soit directement appliqué sur les sorties 56 et 58 alors que ce même potentiel voit sa polarité inversée par l'étage in- verseur de polarité 91 inséré dans la liaison allant de 90 à 57 et 59. 



   La sortie du décodeur 88 est d'autre part dérivée sur une entrée d'un second comparateur 95. L'autre entrée de ce comparateur reçoit la tension provenant de 94 mais seulement lorsque cette tension passe à travers un étage de transfert 93 sur lequel elle est également appliquée. Le passage n'est rendu effectif que lorsqu'il existe une tension convenable appliquée sur 93 par la sortie 92 du comparateur 96. La sortie du second comparateur 95 est aussi dirigée vers la sortie 58 du commutateur sélecteur. On a indiqué en 97 un circuit ou réseau de réunion (définition donnée plus haut) pour l'acheminement des deux tensions en 90 et à la sortie de 95 vers cette sortie 58. 



   Le fonctionnement peut s'exposer comme suit : 
Initialement, l'enregistreur 86 contient un numéro de ligne de texte dactylographié et l'enregistreur 87, un   aure   numéro supérieur au premier. Par les décodeurs 88 et 89, le comparateur 96 délivre en 90 un potentiel qui en 56 et 58 débloque le   pas-àpas   52 et le circuit de transfert 60 associés à la tête de lecture 50. Par contre, ce potentiel bloque le pas-à-pas 53 et le circuit de transfert 61 associés à la tête de lecture 51. Seul avance le ruban de texte et de ser- 

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 vice principal sous la tête de lecture 50. 



   A chaque changement de numéro de ligne de texte sur ce ruban, change l'enregistrement en 86. Lorsque cet enregistrement devient identique à celui qui existe en 87, les tensions de décodage deviennent égales et le comparateur 96 varie son potentiel en 90, d'où le déblocage du   pas-à-pas   53 et du circuit de transfert 61 associés à la seconde tête de lecture et le blocage réciproque du pas-à-pas 52 et du circuit de transfert 60 associés   à   la première tête de lec- ture. A partir de cet instant, les signaux transférés à l'opé- rateur arithmétique sont ceux qui proviennent du ruban de correction avançant sous la tête de lecture 51. 



   Toutefois, en sa condition d'inégalité, le compa- rateur 96 bloquait le circuit de transfert conditionné 93. 



  Par suite, le comparateur 95 se trouvait dans une première condition bien définie puisqu'il comparait à zéro (ou toute autre valeur fixe) la tension de décodage appliquée sur lui par la dérivation 94 du décodeur 88. Lorsque le comparateur 96 change de condition, il rend passant le circuit 93 'et le comparateur 95 change aussi de condition. Ce comparateur a. une mémoire, consistant par exemple en un basculeur bistable à deux entrées d'actionnement distinctes. Lorsqu'il change de condition, il superpose en 58 une tension de blocage qui, même seule, suffirait à bloquer le circuit de transfert 60. 



  La présence du réseau de réunion 97 qui est unidirectionnel par définition, évite toutefois que cette tension ne soit appliquée en 56. 



   Dès que, par avance du ruban de correction, le numéro de la ligne en 87 devient différent de celui qui est resté affiché en 86, le comparateur 96 fonctionne de nouveau 

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 pour rétablir les conditions premières :le ruban de correc- tion est stoppé et son circuit de transfert 61 est rendu non passant. Le ruban principal est remis en route. La tête de lecture 50 délivrerait alors à la calculatrice des signaux en surnombre et indésirables puisque ces signaux représentent une partie annulée de texte et de service. Mais le compara- teur 95 n'a pas varié sa position et par suite la tension de blocage qu'il délivre demeure appliquée en 58, le circuit de transfert 60 demeure bloqué. Lorsque le ruban principal, remis en route, délivre le numéro de ligne suivant au registre 86; la tension de décodage en 88 donc en 94 varie.

   Elle ne peut traverser le circuit 93 bloqué par le comparateur 96, mais elle est appliquée sur l'a utre entrée du basculeur 95, ce qui rétablit le basculeur à sa condition premi ère,   d'où   la suppression de la tension de blocage en 58. Les signaux de la ligne suivante du ruban principal traverseront donc correcte- ment le circuit de transfert 60. 



   Sur la fig. 9, on a illustrativement représenté une réalisation d'aiguillage et de registre, telle qutelle peut être assurée pour le schéma de la fig.   8.   Le registre comporte en cet exemple quatorze basculeurs, en deux groupes de I à VII et de VIII à XIV. Chaque basculeur a deux bornes d'attaque symétriques et distinctes, 98 pour sa remise en condition binaire zéro, 99 pour sa mise en condition binaire un. Ces conditions sont bien évidemment déterminées une fois pour toutes dans le montage du registre.

   Une sortie plaque au moins 100 de chaque basculeur est reliée à une entrée 101   d'un   décodeur 102, non détaillé car pouvant avoir toute constitu- tion bien connue dans la technique, décodeurs à résistances, à diodes, etc. voire même à relais ici puisqu'une grande 

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 rapidité n'est pas nécessaire. La seule condition à satisfaire est que la tension en 103 dudit décodeur varie d'autant   @@   d'échelons que d'unités dans le nombre inscrit au registre. 



   Ceci pourrait être considéré comme prohibitif en pratique si l'on ne rappelait qu'en fait, la sortie indiqué e en 103 peut être multiple, comme peuvent être multiples toutes entrées d'un comparateur analogique. Toute subdivision pour le décodage peut alors être commodément et convenablement assurée dans le registre : ladite subdivision pourra être basée sur une considération pratique, celle qui statistique- ment indique une valeur maximum moyenne (dans le temps) pour l'écart entre numéros de lignes de texte principal et de texte de correction. 



   En ce registre ne doivent être introduits que les numéros de ligne des textes dactylographiés- C'est pourquoi chaque entrée 99 est précédée d'un réseau d'intersectione, d'un genre usuel à diodes ou cristaux redresseurs sur le schéma donné, et présentant chacun deux entrées distinctes! 
Sur une entrée, est appliqué le signal provenant de la lec- ture d'une ligne du ruban de la machine :la ligne j pour le basculeur I, la ligne n pour le basculeur II, et ainsi de suite   comme     figuré.   Sur l'autre entrée sera appliqué un signal d'autorisation d'inscription, en l'absence duquel tout signal appliqué sur la première entrée demeurera inopé- rant. 



   Ce registre, d'autre part, doit conserver l'enre- gistrepent jusqu'à ce qu'un nouveau nombre doive lui être introduit. Par contre, il doit être remis à zéro avant l'in- troduction de ce nouveau nombre. 



   Le signal d'autorisation d'inscription et de remise 

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 à zéro, .le même ici, est directement dérive par le réseau d'intersection 104 constituant l'entrée de l'aiguillage (l'aiguilleur complet comportant ce réseau 104, les réseaux 105 sus-définis et aussi les moyens séparateurs qui vont, être précisés et qui comportent les trois triodes cathodynes 106, 107, 108 et les éléments de retard 109 et 110). Le ré- seau d'intersection 104 est à huit entrées, respectivement reliées aux sorties j, n, v, I, b, a, f, d de la tête de lecture, fig. 6. Comme les réseaux 105, il est montré établi pour des signaux d'impulsions positives, chaque signal étant dit présent ou étant considéré comme existant lorsque le po- tentiel de sa borne d'application devient haut.

   Ceci résulte du sens de connexion des diodes, et de la polarisation posi- tive commune à leurs anodes, au point de branchement des voies de prélèvement. 



   La première voie de prélèvement, par le cristal sé- parateur 111, attaque la grille de la triode 106. La sortie de cathode 112 de cette triode est reliée à toute et chacune des bornes 98 de remise à zéro des basculeurs I à   XIV du   registre. Ainsi, chaque fois que sur le ruban lu apparait la perforation d'annonce N, le registre sera immédiatement remis à zéro. 



   Il est aisé de Vérifier d'après la fige 1, que seul le signal d'annonce N peut produire ce résultat, étant donné la combinaison de signaux considérée à l'entrée de 104. 



   La seconde voie de prélèvement est retardée de 0 en 109, puis elle attaaque la triode 107 par le cristal sépa- rateur 113. La sortie de cathode de cette triode est reliée à toute et chacune des bornes de déblocage des réseaux 105 des basculeurs I à VII.Si donc, dans la première colonne du 

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 ruban qui suit la colonne d'annonce N, il existe un code nu- mérique, les éléments de ce code seront sous forme d'impulsions appliqués sélectivement sur les bornes de mêmes références que lesdites perforations des réseaux 105, débloqués pour les basculeurs I à VII. Ce code sera inscrit en amena nt sélecti- vement en condition binaire un tout basculeur concerné. 



   La troisième voie de prélèvement est encore retardée de 0 par l'élément 110 puis elle attaque la triode 108 à travers le cristal séparateur 115. La sortie 116 de cathode de ladite triode est reliée à toute borne de déblocage des , réseaux 105 des basculeurs VIII à XIV. Ce déblocage a lieu au temps où la seconde des colonnes qui suivent la colonne dtannonce N voit son code numérique lu par la tête de lec- ture. Ce code numérique complémentaire du précédent pour la constitution de l'affichage complet du registre, sera donc sélectivement inscrit sur le groupe de basculeurs de VIII à XIV. 



   La technologie de la fig. 9 est bien connue en elle-même dans les machines calculatrices électriques. Elle a été rappelée ici surtout pour qe qu'elle va permettre ulté- rieusement d'expliciter les constitutions d'autres éléments constituants de la calculatrice, notamment dans l'opérateur arithmétique. 



   L'équipement d'entrée E de la machine schématisée sur la fig. 7 ne nécessite pas de plus amples explications pour sa réalisation pratique. En considérant maintenant l'opé- rateur arithmétique OAn on voit que deux modes de fonctionne- ment sont a priori possibles, correspondant à deux organisa- tions différentes de cet opérateur :

   le premier consisterait à introduire en mémoire dans l'opérateur arithmétique un 

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 nombre important   d'informations,  le second, qui parait ici préférable pour ne pas alourdir la réalisation, surtout au   poin@   de vue économique consiste à introduire les données en mémoi- re au fur et à mesure des besoinso 
La valeur'numérique de la justification J devra bien entendu être introduite en premier dans la machine, et ceci résultera de la configuration   au   ruban en laquelle cette valeur apparait en tête des enregistrements. Dans une machi- ne conforme à l'invention, elle pourra être modifiée en cours de texte même, automatiquement par apparition d'une nouvelle valeur de J sur le ruban.

   La valeur J définit de façon évi- dente   qu+elle   devra être la longueur de toute ligne du texte qui peut venir à sa suite tant qu'elle n'est pas modifiée. 



  Cependant, il s'agit maintenant d'une ligne du texte à com- poser et non d'une ligne du manuscrit dactylographié, donc d'une ligne d'enregistrement codé. 



   S'il n'existait aucune condition ou restriction aux possibilités de coupure des lignes dans le texte à composer, le programme de fonctionnement de la calculatrice serait sim- plement le suivant : 
Un nombre de signes et blancs du Manuscrit serait introduit en tant que données initiales, en même temps que leurs valeurs de pondération, codes T, B et codes V respec- tivement. On entend par valeur de pondération le nombre d'unités typographiques à attribuer à tout signe et à tout blanc.

   Cette valeur peut dépendre : 
D'une part, de la nature de la variété de carac- tère à laquelle il est fait appel; 
D'autre pa rt, de la valeur propre à cette variété qui doit être attribuée à   1 unité   de base dans laquelle les 

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 largeurs de signes et blancs sont exprimées; 
Enfin du code de correspondance entre la nature des signes et leur nombre d'unités dans la variété considérée; toutes informations transportées ici par les codes numériques V tels que sus-définis. 



   On doit faire la remarque ici qu'en général la valeur d'un blanc est prise constante dans la typographie usuelle, pour une variété de caractères, mais que l'invention permet sur ce point une plus grande souplesse car une telle valeur de blanc pourra, de plus, être variée à volonté de l'opérateur. Il s'agit bien entendu de la valeur du blanc justifiant correspondant à un blanc de la frappe dactylogra- phiée après qu'il ait été pondéré dans la machine. 



   Disposant alors d'un ensemble de signes et blancs en va leurs pondérées, la calculatrice prendrait dans cet ensemble une suite de longueur suffisante pour être au moins égale par la somme de ses valeurs unitaires à la quantité nu-   mérique 'de   justification J, exprimée par   définition   en cette même unité typographique. L'égalité n'étant¯en pratique jamais obtenue, la calculatrice prendrait la dite suite en en retran- chant alors des signes et blancs jusqu'à obtenir la valeur la plus approchée par défaut de la justification J. Soit L cette valeur. 



   Elle vérifierait combien, dans la suite retenue, existe de blancs pondérés (ou espaces justifiants). Soit main tenant N ce nombre. 



   Elle opérerait alors la division (J-L)/N, ce qui donnerait deux valeurs numériques l'une pour le quotient de la division, soit   Q,   l'autre pour le reste de la division, soit R. 

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   Reprenant alors la suite L, et en ne considérant aucun mélange de polices de gravure ayant des espaces de base différents, la calculatrice procéderait alors à la jus- tification de   eette   suite pour qu'elle représente une ligne complète justifiée, en ajoutant à cette fin (Q + 1) unités typographiques à,R espaces de cette suite et en ajoutant   Q   unités typographiques à (N - R) espaces de cette suite, soit bien au total : R(Q + 1) +   (N -   R)Q = QN + R   J. -   L la dernière égalité de cette expression définissant bien évidemment la division opérée. 



   Toutefois, la calculatrice ne doit être habilitée à justifier une ligne ainsi coupée dans un ensemble de signes et blancs que si la coupure est licite. Il existe, en effet certaines prohibitions de coupure en un texte typographique. 



  Ces prohibitions peuvent être de deux natures a) Elles sont liées aux signes qui suivent ou pré- cèdent une coupure dont la légitimité doit être examinée; b) Elles sont liées au sens des mots ou des pro- positions qui suivent ou précèdent   un±   coupure. 



   Les prohibitions de la première nature sont seules à prendre ici en considération. Les prohibitions de la seconde nature, ou "prohibitions-sens", ne pourraient être traitées, si de besoin, que par une intervention intelligente du pré- parateur et figurer alors sur le ruban sous la forme d'un cède particulier à lire par la machine et à interpréter comme prohibition. 



   En ce qui concerne les prohibitions-signes, à savoir les prohibitions de la première na ture, une'liste exhaustive peut en être dressée à l'avance et cette liste introduite 

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 dans la mémoire du programme de la machine. Pour mieux fixer les idées sur ce point particulier, on peut considérer le cas suivant, limité a ux prohibitions portant sur quatre lettres ou signes seulement.

   En désignant par la lettre V les voyelles ' et pa r la lettre C les consonnes   autres   que les lettres T, X et Y, en désignant de plus par 5 tout chiffre arabe et par S tout signe quelconque   à   l'exclusion d'un blanc, une liste de prohibitions-signes, pour la langue française, serait de la nature suivante : 
S   V/V   s S 5/5 S S =/S S (S X/V S E 5/5 S S S/=S (S Y/V S   S   5/5 E s (/s s s V/X V E   5/5   E s S/) S ( S '/S S   5'./5   5 s   S/,   S   ( S S/' S S 5/. 5 S S/; S   -   T/-   S E 5/. 5 S S/.

   S 
S S/S . 5 ,/5 5 S   si!   S   S 5/, 5 S si? S   
E 5/, 5 S S/: S 
E S/S S (S E/S S ) (S S/E S 
Dans le tableau qui précède : S désigne tout signe quelconque à l'exclusion d'un espace justifiant; V désigne une voyelle; C désigne une consonne autre que T, X ou Y; 5 tout chiffre arabe y compris zéro ; E désigne un espace justifiant. 



   Les signes de ponctuation et le trait d'union sont représentés par eux-mêmes. 

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   Dans le fonctionnement exposé   pins   haut, alors, on devra prévoir pour la machine une étape intercalaire qui consistera, une fois   dé@@ni3   la suite susdite donnant la valeur la plus rapprochée de J par défaut, à examiner dans la fin de cette suite¯s'il existe ou non une prohibition de coupure. Si cette prohibition existait, la suite devrait être ra ccourcie de la valeur numérique propre aux signes à y supprimer jusqu'à ce que la coupure devienne lieite. Soit Lc la valeur de ladite suite ainsi rectifiée, c'est avec cette valeur Lc que devraient être exécutées les opérations sui- vantes, telles qu'elles ont été définies. 



   Dans le cas   où   l'on désirerait aussi tenir compte des prohibitions-sens dans la calculatrice, outre que l'in- formation devrait figurer sur lé ruban d'enregistrements   ce-   dés comme indiqué, il Conviendrait alors d'introduire cette information, lors de la lecture de ce ruban, dans la mémoire de programme de la machine et, lors d'une opér ation de lici- tation de coupure de faire intervenir le contenu de   cett,e   mémoire dans les tests de licitation, tout somme interviennent les prohibitions-signes qui sont bien évidemment emmagasinées d'avance alors, dans la mémoire de programme de la machine. 



   Le programme général de fonctionnement qui vient d'être défini n'est bien entendu directement applicable que sur un texte continu, ne présentant pas d'alinéas. Il doit pour la présence d'un alinéa, être modifié de la façon sui- vante, pa r exemple : 
A la présence d'un signal de fin d'alinéa, le pré- lèvement de la suite qui a été dite L dans l'ensemble de signes et blancs pondérés doit être interrompu. La valeur alors, présente de L, soit Lf, doit être portée à L uniquement par 

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 le moyen de blancs justifiants ajoutés jusqu'à l'obtention de la condition pfécisée à savoir Lf + Bf (en désignant pa r Bf la valeur de cette suite de blancs complémentaires) égaJe à la valeur la plus rapprochée par défaut de J. 



   L'apparition d'un signal de fin d'alinéa devra donc d'autre pa rt commander l'opération de division susdite de manière à ce que cette division s'effectue selon la   relation :   
J - (Bf + Lf) = QN + R 
La justification devra alors avoir lieu en ajoutant (Q + 1) unités typographiques à R espaces de la suite Lf et Q unités typographiques aux (N - R) espaces suivants de cette suite, puis en ajoutant ensuite le nombre de blancs complé- mentaires convenable pour ajouter la valeur totale Bf à   la   ligne justifiée et coupée. Il est bien évident d'ailleurs que la coupure n'a pas besoin de licitation en un tel cas. 



   La présence d'un signal de début d'alinéa, devant assurer l'introduction en début de ligne coupée et justifiée d'un nombre prédéterminé de blancs fixes, soit Ba la valeur typographique de cette première suite de blancs de début d'alinéa, l'apparition de ce signal de début d'alinéa devra provoquer l'exécution de la division selon la rela tion : 
J - (Ba + La) = QN + R 
La désignant la valeur de la suite prélevée dans l'ensemble signes et blancs disponibles pour que J - (Ba +   la )   ait la plus petite valeur positive possible. 



   Après licitation de coupure, la justification devra s'opérer en introduisant d'abord le nombre de blancs complémentaires convenable pour introduire la valeur totale Ba en cette ligne justifiée, puis normalement en ajoutant (Q + 1) unités à R espaces de la suite La et Q unités   ty@@-   

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 graphiques aux (N - R) espaces suivants. 



   En examinant maintenant une manière commode dont peut être conduite l'opération d'essai systématique pour licitation de coupure dans une calculatrice automatique, on est amené à constater qu'il peut être avantageux de prévoir, dans la suite L et en fin de cette suite, une certaine réserve soit kL, correspondant à une valeur entière d'un certain nombre k de signes et blancs. La licitation peut évidemment être directe, et alors la valeur Lc être égale en fait à (1 - k)L. Or, dans la suite (1 - k)L, comme d'ailleurs dans la suite totale L, le nombre de blancs est évidemment variable et il peut donc être parfois trop faible pour conduire à un résultat satisfaisant. La présentation typographique finale de la ligne justifiée pourrait .être défectueuse au point de vue de la largeur de ses blancs. 



   Pour pallier ce défaut, dans une certaine mesure tout au moins, il est prévu selon une caractéristique auxi- liaire de l'invention de recourir à une opération intercalaire, avant essai systématique de licitation de coupure. Cette opération aura pour but de contre-balancer la fixité du facteur k dans un sens tel qu'elle réduise toujours au mieux l'importance des espaces   vis-à-vis   de l'importance des signes dans une ligne.finalement justifiée. 



   A cette fin, non seulement la calculatrice formera le nombre N sus-défini, avec une valeur   de pondération   moyenne des blancs du texte lu, mais aussi un nombre M qui résultera de la pondération de ces mêmes blancs mais avec une valeur arbitraire plus petite, qui sera considérée comme valeur minimum de pondération. 



   Avant essai systématique de licitation de coupure 

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 la   cal@latrice   formera la différence : 
M - [(J - L) + kL]. 



  Si cette différence a une valeur négative, la réserve est progressivement réduite, signe à signe et blanc à blanc, pour que ladite différence passe par zéro. La réserve aura alors une valeur minimum pour qu'après licitation de, coupure, la valeur L obtenue assure, pour la justification,   uhe   présen- tation typographique correcte en tous les cas au point de vue présentation artistique. 



   Ayant ainsi définies conditions générales de pro- gramme d'une calculatrice à inclure dans un système conforme à l'invention, l'exposé de l'exemple de réalisation entrepris en relation avec les fig. l à 9 va maintenant être poursuivi en considérant la fig. 10 qui montre illustrativement un mode d'établissement de l'opérateur arithmétique OA de la fig. 7. 



  Pour la seule commodité du dessin, cette fig. 10 est subdivi- sée en deux parties, 10A et 10B, la partie 10B devant se placer à la gauche de la partie 10A. 



   Au bas de la fig. 10 est rappelé le programme P. 



  Les liaisons allant de l'opérateur arithmétique au programme et du programme à l'opérateur (pour celles tout au moins qui sont figurées) sont montrées en trait mixte. Les liaisons de remise à zéro et de lecture de certains éléments du schéma par des signaux de programme ne sont pas figurées pour alléger la représentation. Elles seront précisées, quant à leur exis- tence et à leur temps d'efficacité, au cours même de l'exposé. 



   Les signaux provenant de l'équipement d'entrée E de la calculatrice sont présents   dansl'entrée   64 de l'opéra- teur arithmétique, fig, 10A. Ils sont respectivement appliqués sur les seize bornes d, a, f, f, a, a, b, b, v, v, t,   ,   j, J, n, n. 

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   Ces signaux sont dirigés sur un ensemble de réseaux d'aiguillage 66. Ils sont aussi, pour partie d'entre eux, dérivés vers un circuit formant le sous-ensemble 67 de la fig.   7.   Les signaux j, n, v, t, b, a; f, d, tout d'abord, sont retardés et leurs dérivations par les éléments de retard   117.   Ce retard est prévu égal à   @   durée de l'intervalle chro- nométrique normal de la calculatrice. Chacune de ces dériva-- tions aboutit à un réseau d'intersection (ou transfert condi- tionné) faisant partie d'un ensemble de huit réseaux, indiqué par la référence 118. La commande de transfert est simultanée pour ces huit réseaux. Leurs sorties aboutissent aux huit, entrées parallèles d'une mémoire, référence d'ensemble 68. 



  Cette mémoire peut pourtant de façon commode se subdiviser en deux parties. Dans l'une 119 viendra s'inscrire la seule valeur numérique de justification. Le contenu de cette mémoire ne s'effacera qu'à l'introduction d'une nouvelle donnée de valeur numérique de   justification.   L'autre partie 120 cons- titue un registre à décalage, chaque étage de ce registre comprenant bien évidemment huit basculeurs en parallèle et le décalage s'opérant ligne par ligne à chaque introduction de donnée de colonne. Pour la mise en mémoire, le décalage peut être produit par application d'une impulsion appliquée en 121 et provenant du circuit même, qui va être décrit, qui commande la conductibilité du sous-ensemble 118.

   La partie 119 de la mémoire générale 68 peut alors avoir sa commande indépendante, comme indiqué illustrativement sur le schéma fig. 10B. Les bornes de j à d indiquées sur la gauche sont considérées reliées aux bornes j à d, un réseau d'aiguillage, pouvant d'ailleurs être similaire à celui de la fig. 9 est établi en 123 pour,ne permettre que le transfert de la justi- 

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 fication   à   la mémoire 119 qui peut aussi être du genre de celle montrée sur la fig. 9. Bien entendu, en cet arrangement, sera formé le signal d'admission j, n, v, t, b, a, f, d) au lieu de j, n, v, t, b, a, f, d (dans le cas de la fig. 9). 



  Chaque fois que ce signal d'admission sera formé en 123, et à ses trois temps utiles, il viendra, par la connexion 124, bloquer un sous-ensemble 125 de trois réseaux d'intersection. 



  Ce sous-ensemble, on va le voir, a pour mission de former les signaux d'admission des codes dans la partie 120 de la mémoire et aussi de former des signaux de comptage à utiliser par la suite pour la lecture de la mémoire 120, ainsi qu'il sera décrit. 



   De l'entrée 64, fig. 10A, sont en effet dérivés aussi les signaux d, sans retard, d retardé de   #,   et d non retardé, et aussi d retardé de   #.   Ces quatre signaux sont combinés deux à deux pour former les signaux d'admission des codes numériques dans la mémoire 120. A cette fin sont prévus trois réseaux d'intersection, sous-ensemble 125.Le premier de ces trois réseaux reçoit les signaux d et de. Il délivrera donc un signal chaque fois que les deux signaux entrants exis- teront, en d'autres termes auront tous deux leurs valeurs hautes de potentiel (ou basses) simultanément. Le second ré- seau reçoit les signaux de et d. Il délivrara donc un signal chaque fois que ces deux signaux existeront simultanément.

   Le troisième réseau reçoit les signaux d et de.Il délivrera un signal chaque fois seulement que ses deux signaux d'entrée existeront. 



   Ces trois signaux sont groupés par un réseau de réunion 126. Ce réseau 126 délivrera donc un signal chaque fois qu'un des trois signaux de sortie des ciruuits d'inter- 

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 ',section 125 se présentera à son entrée, indifféremment., Cha- que fois que le réseau 126 délivre un-signal de sortie (ou !transfère l'un des trois signaux sus-définis), il rend passant les huit réseaux   inclus   dans le sous-ensemble 118, donc assure l'admission du code qui se présente à cet ins- tant sur les fils j, n, v, t, b, a, f, d. 



   Un premier but, évident, d'un tel arrangement de mise en mémoire réside dans la nécessité de n'introduire en la mémoire 120 que les codes d'annonce et de valeur numérique des éléments du ruban incorporant les codes d'annonce V, T, B, A, F, à l'exclusion des éléments incorporant le code J, ainsi qu'il a été exposé ci-dessus, dans le cas considéré, et   dans   le cas tout à fait général, les éléments incorporant le code d'annonce N (qui a joué son rôle utile dans l'équi- pement d'entrée E de la calculatrice et qui doit être éliminé dans l'opérateur arithmétique). 



   En se reportant aux fig. 1 à 3, on voit que l'ar- rangement décrit assure cette élimination. En effet, par exemple, le code d'annonce N, retardé de   #   en 117, arrivera sur l'entrée du sous-ensemble 118 à un temps où ce sous- ensemble ne sera pas rendu passant, puisqu'aucun des trois signaux de sortie du sous-ensemble 125 n'existera au sens sus-défini : le signal d.de sera nul puisque de ,sera nul (règle du produit logique); le signal de.d également ; ses, deux facteurs étant nuls; le signal d.de aussi, son facteur d étant nul.

   Il est aisé de vérifier que, par contre, tout autre code d'annonce et tout autre code numérique que ceux   intempérant   le code d'annonce N, seront   admit   dans la mémoire 120, exception faite pour J com me dit, puisqu'à leurs ins- tants de présentation 4 l'entrée de 118, l'un des trois 

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 signaux d'admission existera toujours. 



  Si l'on ne considérait que le premier but de l'arran- gement décrit, il suffirait évidemment de former seulement par un réseau d'intersection unique, un signal d'interdiction d'admission (produit logique d.de) pour atteindre ce but. 



   Mais cet arrangement a pour second but de permettre un comp- tage spécialisé, colonne à colonne, des informations mises en mémoire en 120. 



   Tout signal - impulsion - formé par le produit logique d.de sera directement aiguillé sur l'entrée 127 d'un compteur d'impulsions 128. En se reportant aux fig. 1 à 3, on voit que ce signal correspondra, en tous les cas, à l'introduction dans la mémoire 120 d'une information de colonne d'annonce. Le compteur 128 avancera donc d'un pas (ou comptera une unité) pour chacune de ces colonnes. 



   Les signaux formés par les produits logiques d.de et de.d correspondent, eux, aux introductions dans la mémoire 120 d'informations contenues dans des colonnes numé- riques du ruban qui suivent les codes d'annonce V, T, B, A et F. Ces signaux sont dirigés ensemble sur l'entrée   d'un   aiguilleur 129. Cet aiguilleur a pour rôle de diriger toute impulsion qu'il reçoit sur l'entrée 127 dudit compteur si cette impulsion correspond au code numérique d'une colonne précédée par le code d'annonce V. Il dirigera au contraire toute impulsion qu'il reçoit sur l'entrée d'un compteur au- xiliaire de réserve, 130, si cette impulsion correspond au code numérique d'une colonne précédée d'un des codes   d'annon-   ce susdits autre que V.

   A cette fin, l'aiguilleur 129 est pla cé sous la commande d'un circuit 132 qui, chaque fois qu'apparaît le code d'annonce V et après un retard convenable 

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 (ici   2 #   puisqu'un retard   #   est prévu pour la formation des signaux d'admission et qu'il s'agit de la colonne qui suit V), commuta la sortie de 129, de l'entrée 131 du comp- teur auxiliaire 130 à l'entrée 127 du compteur 128. Ceci revient à dire que l'organe 132 forme le signal logique j. n. v, t. b, a, f, d. et qu'une impulsion ainsi formée est retardée puis dirigée sur l'aiguilleur 129. 



   Le compteur auxiliaire 130 a sa sortie reliée à l'entrée 127 du compteur 128. Il constitue ainsi une réserve d'impulsions de comptage, les impulsions de réserve éta nt transvasées du compteur auxiliaire au compteur principal dès que le premier se trouve rempli. En fait, le compteur auxi- liaire 130 pourra consister avantageusement en un registre à décala ge, automatique pendant l'introduction des données, commandé ainsi qu'il sera décrit en un stade ultérieur de cycle d'opération de la calculatrice. 



   Pour comprendre le but de cet arrangement, il convient de   rappeier   ce qui a été dit concernant la licitation des coupures et aussi la présentation finale de la ligne typo- graphique : après avoir considéré une certaine suite de signes et blancs, on examine, dans une réserve, d'abord si cette réserve n'est pas trop forte, puis si dans son contenu, une ' coupure peut être licitée. 



   Le mode de comptage proposé ci-dessus pour la mise en mémoire en 120 des informations correspond à ces deux stades opératoires de l'opérateur arithmétique, n'agissant que sur des signes et blancs (et indépendamment des codes d'annon- ce et des codes numériques de variétés); le contenu final du compteur principal 128 devra dépendre du résultat desdites opérations pour commander ensuite une lecturé et un efface- 

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 ment partiels corrects de la mémoire   120   pendant l'opération de justification proprement dite. Il convient donc de prévoir une réserve de comptage de même valeur et de même nature que la réserve prévue pour les opérations sus-rappelées et por- tant sur des codes numériques seulement de signes et blancs. 



   Il serait possible de faire aussi dépendre l'aiguil- lage des codes d'annonce A et F, en 129, mais ceci sera rendu inutile par le fait que, dans le cas d'une fin d'alinéa, les deux réserves seront complètement épuisées avant la justifi-   cation et ; le cas d'un début d'alinéa, ce code viendra.   en tête d'une introduction de données et donc son impulsion de comptage introduite en 130 sera toujours transférée en 
127 avant l'arrêt d'introduction de données. 



   Revenant maintenant à l'introduction des données dans la calculatrice proprement dite, fig. 10A, on voit que l'ensemble d'aiguillage 66 alimente six sorties référencées 
J, F, A, B, V et T, pour rappeler les natures des codes numé- riques qu'elles doivent délivrer. On peut considérer que ces sorties sont à sept fils pour J, V et T, à un seul fil pour 
B, F,   A.   En effet, les codes d'annonce étant supprimés sur pes sorties, par l'ensemble d'aiguilleurs contenus en 66 (six aiguilleurs chacun de nature et constitution possibles simi- laires à celle de l'aiguilleur qui a été décrit pour la fig. 



   9), sont sélectivement atteints des registres qui, pour l'inscription de B, F et A, ne devront avoir qu'un élément, basculeur par exemple, puisqu'aucune valeur numérique réelle n'existe pour ces signaux dont les codes dits jusqu'à présent numériques ne sont marqués que par une perforation da ns la ligne d de la colonne du ruban qui suit la colonne d'annonce - mais qui, pour l'inscription de J, V et ? devront respecti- 

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 vement avoir quatorze, sept et sept éléments, tels que bas- culeurs. La constitution des six réseaux d'aiguillage inclus en 66 peut se déduire directement de celle du réseau d'aiguil- lage de la fig. 9; la constitution de chacun des six registres suivants :133 pour J, 134 pour F, 135 pour A, 136 pour   B,,   137 pour V et 138 pour T est évidente d'après ce qui précède. 



  Toutefois, on doit noter qu'alors que les registres 133 pour J et 137 pour V auront leurs remises à zéro commandées de la façon indiquée pour le registre de la fig. 9, à savoir remise à zéro seulement pour nouvel affichage, les registres 134, 135, 136 et   138   seront prévus pour être remis à zéro à chaque moment de code   #   par une impulsion provenant du programme. 



  Lorsqu'un de ces registres reçoit une information, il ne la conserve donc qu'un temps 9 , suffisant pour l'action correc- te de l' information. 



   Les codes B et   T   sont aussi, dans l'ordre de leurs apparitions aux bornes de sortie de même nom de l'ensemble 66, dirigés par un réseau de réunion (séparation) 139 sur l'entrée d'un registre àdécalage comprenant un premier registre 140 et un second registre 141 en cascade a vec le premier. La capacité totale de ces registres est k + 2,   c'est-à-dire   qu'ils présentent en tout k + 2 étages d'enre- gistrement, chaque étage comportant huit basculeurs en paral- lèle (sept pour les sept éléments de code de toute lettre ou signe T, un pour l'élément de code de tout blanc   B).   Chaque lignai d'entrée fait avancer l'un et l'autre registre d'un pas.

   Le registre   14@   .st à nombre d'étages réduit, qua tre pa r exemple si l'on ne considère dans la machine que la nécessité de quatre signes pour déterminer un code-prohibi- tion. 



   Par une dérivation de la sortie J, et à travers un 

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 circuit soustracteur dont le rôle sera exposé plus loin, le code de justification est aussi enregistré dans un registre 143. Ce registre, à entrées parallèles par exemple, est agencé-en totalisateur algébrique, c'est-à-dire que tout code numérique appliqué sur son entrée marquée (+) provoque un enregistrement qui, s'il y a lieu, s'ajoute à l'enregis- trement déjà contenu dans le registre et que tout code numé- rique appliqué sur son entrée marquée (-) s'en retranche. 



  Pour cela, les quatorze basculeurs du registre 143 sont connectés en cascade en deux voies, l'une de comptage, l'autre de décomptage, par exemple, et un quinzième basculeur, mar- quant le signe de la quantité contenue dans le registre, est incorporé à la structure. Dans l'entrée (-) peut être inclus un extracteur de complément comme usuel. Selon l'entrée ac- tivée, la voie de comptage ou de décomptage est débloquée pour la totalisation. 



   Le basculeur de signe est ici montré en 144 sorti du registre 143. D'une de ces sorties plaque part une conne- xion 145 vers le programme P. Cette sortie peut présenter bien entendu deux conditions de tension, l'une haute, l'autre basse, basculeur de signe en condition de marquage de signe plus et de signe moins, par exemple. 



   Au début de tout cycle d'introduction de données dans la calculatrice, la condition générale du registre 143 est telle que ledit basculeur de signe 144 marque le signe plus (y compris pour le zéro,du registre).. Au début du pre- mier cycle d'introduction de données, le registre est vide et   c@est   la valeur numérique de la justification donnée en début de ruban d'enregistrement qui y est introduite, en mêmes temps qu'elle l'est dans le registre 133. 

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   Le registre 133 contient des moyens propres à en effectuer la lecture lors de son effacement (donc à un change- ment de valeur numérique de justification). Alors le code numérique ancien, lu de cette sorte, vient se retrancher en 142 du code numérique nouveau dirigé vers le registre 143. 



  Ce registre recevra donc le code de différence algébrique entre l'ancienne et la nouvelle valeur de justification, ce qui évite une remise à zéro de ce registre lors d'un chan- gement de justification en cours de cycle d'opération. 



   Le registre 133 contena nt deux groupes de sept basculeurs chacun, les moyens de lecture lors de l'effacement peuvent consister en deux groupes de sept connexions allant aux entrées du circuit soustracteur 142, les connexions du second groupe (les sept basculeurs de plus gros poids)   incor-   porant des éléments de retard   @.   A une remise à zéro géné- rale, ceux des basculeurs qui se trouvaient en condition bi- naire un, délivrent ainsi des impulsions d'éléments de code   'sur   leurs propres connexions de sortie. 



   Au registre 133 est également associé un dispositif de lecture 146. Ce dispositif peut comporter ici quatorze tubes pentodes dont la conductibilité est individuellement commandée pour   -chacun   par la condition d'un des quatorze étages du registre 133 (par les grilles de suppression par exemple). A des périodes de cycle opératoire qui seront définies plus loin, ces tubes recevront, du programme, des impulsions de test en 147. Sur une liaison de sortie, qui peut être à sept fils, par subdivision des tubes en 146 en deux groupes correspondant aux deux groupes de basculeurs de 133 et activation de test alternée de l'un à l'autre de ces groupes, il apparaîtra donc, en deux temps espacés de   @,   le 

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 code numérique inscrit dans le registre 133.

   La liaison de sortie est désignée par la référence   148   et elle aboutit   à   une entrée (multiple ici) d'un circuit soustracteur 149. 



   L'autre entrée du circuit soustracteur 149 pourra recevoir, à des temps qui seront précisés et quand de besoin, un code numérique provenant d'un dispositif de lecture 150, chaque fois que ce dispositif de lecture sera testé par impulsions de programme en 151. Le dispositif 150 est destiné à lire le code numérique qui pourra être inscrit dans le re- gistre 152. On a indiqué en 153 l'entrée de remise à zéro par impulsions de programme de ce registre 152. Les codes nu- mériques qu'il pourra afficher lui seront transmis du pro- gramme P par la liaison   154.   Leur valeur pourra être soit Ba, soit Bf selon les définitions de ces grandeurs qui ont été données plus haut. Ce registre n'entrera donc en action que dans le cas d'une fin ou d'un début d'alinéa.

   Sa constitution, au nombre de basculeurs près, pourra être similaire à celle du registre 133 et celle du dispositif de lecture 150 à celle du dispositif   146.   



   La commande d'affichage d'une valeur Ba ou d'une valeur Bf dans le registre 153 par la liaison   154   s'effectue bien évidemment lorsque change de condition le basculeur 135 enregistrant un signal de début d'alinéa ou le basculeur 134 enregistrant un signal de fin d'alinéa. C'est pourquoi la sortie du basculeur 135 est montrée reliée au programme P par une liaison 155 et la sortie du basculeur   134,   par une liaison 156. On a indiqué en 157 et 158, respectivement, les bornes de remise à zéro de ces deux basculeurs. Ces bornes reçoivent une suite ininterrompue d'impulsions de programme de cadence   #,   légèrement en avance sur les instants de sortie 

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 d'impulsions du sous-ensemble d'aiguillage 66. 



   On peut rappeler ici que ce sous-ensemble   d'aiguil-   lage 66 introduit en toute sortie un retard   #,   pour que l'introduction de données dans la calculatrice coïncide avec l'introduction de données dans la mémoire de l'opérateur arithmétique. 



   Tout code numérique Ba ou   B   apparaissant sur la liaison 154 sera aussi, par le circuit de réunion 159 dirigé. sur l'entrée (-) du totalisateur algébrique   143.   



   Tout code développé par lecture du registre 152, en 150, sera dirigé, outre l'entrée susdite du circuit soustrac- teur 149, vers une entrée d'un additionneur 160. La sortie de cet additionneur 160 est dirigée, à travers un circuit de transfert   conditionnné   161, sur l'entrée (+) du totalisateur algébrique 143. Ce circuit de transfert 161 ne sera rendu passant que lorsqu'il recevra en 162, du programme, des im- pulsions de déblocage, à des temps qui seront précisés plus loin. 



   Les trois registres 136 (un basculeur périodiquement remis au zéro par les impulsions de commande de cadence   #   avec une légère avance sur les impulsions pouvant sortir en 
B de l'aiguilleur 66 et appliquées en 163), 137 (sept bas- culeurs revenant au repos à chaque nouvelle introduction de donnée à substituer à'la précédente), et 138 (sept basculeurs remis au repos par application en 164 d'impulsions périodiques de cadence 9 et présentant l'avance de phase sus-indiquée) ont leurs sorties reliées à des entrées de deux réseaux ou matrices 165 et 166. La matrice 165 reçoit les signaux pro- venant de 136 et 137. La matrice 166 reçoit les signaux pro- vénant de 137 et 138. 

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   Chacune de ces matrices assure au moins.une pon- dération, au sens qui a été défini plus haut, des codes nu- mériques T d'une part, des signaux de blancs B, d'autre part. 



   Cette pondération est placée bien entendu sous le contrple et la commande des codes numériques V. En fait, la matrice 
165 est double puisqu'elle doit délivrer, à sa sortie 167 les blancs pondérés pvec la valeur minimum de base dans la typographie désirée, et à la sortie 168 les mêmes blancs pondérés avec la valeur maximum admissible de la typographie. 



   L'une et l'autre de ces valeurs peuvent dépendre du code numérique alors présent dans le registre 137; d'où la sou- plesse de la machine à cet égard. Si cet avantage n'était pas jugé utile, la liaison entre 137 et 165 serait omise et des valeurs fixes de pondération introduites en 165. 



   Chacune des matrices précitées a donc pour rôle de convertir un code numérique entrant (en provenance de 138 pour la matrice 166, en provenance de 136 pour la matrice 165) en un autre code numérique, fonction du premier, et représen- tant par exemple, le résultat de la multiplication du premier par une valeur numérique fixée par la quantité enregistrée en - 
137. Des constitutions statiques de telles matrices sont bien connues dans la pratique des tables de multiplication et de fonctions pour calculatrices électroniques. 



   La sortie 167 de la matrice 165 qui délivrera fina- lement le nombre N précité en fin de chaque cycle   d'intro-   duction de données, attaque une mémoire 170. Cette mémoire est établie sous la forme d'untotalisateur algébrique, par exemple du genre précisé à propos du totalisateur algébrique 
143. Les signaux provenant de 165 sont. appliqués sur l'entrée (+) de ce totalisateur 170. On a indiqué en 171 le basculeur 

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 de signe du totalisateur et en 172 une entrée de t'émise à zéro par le programme. 



   Les sorties 168 de la matrice 165 et 169 de la matrice 166 sont dirigées, par le circuit de réunion 173, d'une part sur l'entrée d'un registre à décalage 174, d'autre part, sur une entrée du réseau de réunion 159. Les signaux qu'elles délivrent seront, de ce dernier introduits, sur l'entrée (-) du totalisateur algébrique 143. 



   Le registre   174   est d'un type de registre à déca- lage qui a été précédemment   décr.it   dans l'exposé. Il est prévu à k étages. Sa commande de décalage, au cours de l'in- troduction des données est assurée par la borne 175, simulta- nément à la commande du décalage du registre 140-141 alors assurée par la borne 176 ; ces deux bornes recevront bien en- tendu des impulsions d'avance pas-à-pas, de cadence   #,   en provenante du programme P. 



   La sortie 177 du registre 174 est dirigée sur une entrée d'un circuit additionneur de codes 178 dont l'autre entrée reçoit les signaux provenant de la sortie 167 de la matrice 167. Ainsi, au cours d'un cycle d'introduction de données, et ainsi qu'il sera précisé plus loin, le totali- sateur 170 sera actionné pour former progressivement la somme M + (1 - k)L. Il suffira donc par suite d'y introduire en négatif, la valeur de justification J pour que la quan- tité contenue dans ce totalisateur soit telle qu'il a été défini plus haut. 



   Le basculeur de signe 171 du totalisateur 170 commande la conductibilité d'un circuit de transfert condi- tionné 179, de manière à ce que ce circuit soit passant lors- que ledit basculeur marque le signe moins et non passant dès 

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 que le basculeur de signe est amené à marquer le signe plus (il marquera ce signe sitôt le registre totalisateur 170 amené au zéro). Le circuit 179 recevra, à des instants qui seront précisés, des impulsions de programme par la liaison      180. 



   Toute impulsion de programme, transférée par le circuit 179, sera appliquée sur l'entrée d'un circuit de réunion 181 dont la sortie attaque une commande de décalage forcé (sans introduction de données) à la fois des registres 174 et 140-141. 



   L'autre entrée du circuit de réunion 181 est reliée par une liaison 186, discriminatrice de polarité par exemple, à la sortie d'une plaque de basculeur 182. Ce   basculeur   par la sortie de son autre plaque est aussi relié au programme P par la liaison 183. Ce basculeur 182 est destiné à marquer le résultat des tests de prohibitions-signes appliqués par le programme, en 184, sur un comparateur 185 qui compare les codes de ces prohibitions aux codes contenus en 141. A chaque coïncidence, le basculeur 182 bascule deux fois et délivre donc une impulsion en 186 vers le réseau   de   réunion 181. 



   S'il n'y a pas coïncidence, la coupure sera licitée comme expliqué plus loin, et le basculeur 182 viendra en une condition fixe ce qui, tout en ne délivrant qutune impulsion de mauvaise polarité en 186 (pas de retour au basculeur), appliquera alors au programme une tension en 183 lui noti- fiant la licitation de la coupure. Bien entendu, toute autre organisation de comparateur et d'indicateur de comparaison peut être utilisée ici. Par exemple le comparateur 185 peut consister en un additionneur ou soustracteur de codes et l'organe 182 déceler alors le zéro de sortie de   l'additionneur,   

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 sur quoi il commande l'ouverture de circuits de transfert d'impulsions vers 181 s'il n'y a pas cette condition de zéro,      vers le programme si cette condition de zéro existe. 



   Outre la commande de décalage des registres'174 et 140, toute impulsion sortant du réseau ou circuit 181 est aussi dirigée par la liaison 187 sur l'entrée de com- mande de décalage de même référence sur la fig, 10B; pour le compteur auxiliaire 130, de capacité k. 



   La sortie du registre 174 est d'autre pa rt dirigée, par la liaison 188, sur l'entrée d'un compteur ou registre totalisateur 189, fig. 10B. Lors d'une lecture avec effacement de ce compteur 189, assurée par impulsions appliquées en 190 et provenant du programme à un instant qui sera précisé, la sortie dudit compteur est transférée, par la liaison 191 à l'entrée de l'additionneur 160 de la fig. 10A, donc, par ce circuit, à l'entrée (+) du totalisateur algébrique 143. 



   Le contenu du compte 189 pourra cependant être lu à volonté en ce qu'un dispositif de lecture 192 lui est asso- cié dont l'activation est placée sous la dépendance d'impul- sions de programme à appliquer en 193 sur ce dispositif de lecture 192. La liaison 194 de sortie de ce dispositif de lec- ture est amenée à une entrée d'un circuit soustracteur 193. 



   L'autre entrée de ce soustracteur, est, par la liaison 195 et un circuit à transfert conditionné 196, reliée à la sortie du soustracteur 149, fig. 10A. En 197 est indiquée la liaison d'activation de 196. 



   La sortie du soustracteur 193, fig. 10B, est reliée à l'entrée (+) d'un totalisateur algébrique 198. Le basculeur de signe de ce totalisateur est indiqué en 199. Tant qu'il est en condition de signe plus, il bloque d'une part un circuit 

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 de transfert conditionné 200 et d'autre part rend passant un circuit de transfert conditionné 201 qui recevra en 202 des impulsions de programme selon une modalité qui sera précisée. 



  Dès qu'il atteindra la condition de signe moins, il rendra passa nt le circuit 200 et bloquera le circuit 201. En outre, par la liaison 203, il indiquera au programme une fin d'opé- ration (en fait de division). 



   Le circuit de transfert 200 reçoit sur son entrée des trains codés (en parallèle par exemple) de lecture d'un dispositif de lecture 205 associé au totalisateur, chaque fois que ce dispositif 205 recevra une impulsion de lecture en 206. Toutefois, ce dispositif de lecture consistera en fait en un registre additionnel en lequel sera transféré par un circuit 207,le contenu du totalisateur 198 chaque fois . que sera appliquée en 208 une impulsion d'admission de trans- fert. Toute impulsion en 208 suivra dans le temps une impul- sion en 206, cette dernière vidant le registre 205. Ainsi chaque signal transporté par la liaison 209 du registre 205 à l'entrée du circuit 200 sera retardée en fait d'une étape d'opération sur le contenu du totalisateur. 



   La sortie 69 du circuit 200 atteint une mémoire   71   et, par la disposition précédente; le reste R d'une division conduite par soustractions successives en 198 sera acheminé dans ladite mémoire 71. 



   L'entrée (-) du totalisateur 198 recevra, pour   la.   division, par la liaison 210, le contenu numérique d'un registre   211,   fig. 10A, Ce registre a son entrée reliée à la sortie 168 déjà précisée de la matrice 165.En fin d'un cycle d'introduction de données dans la calculatrice, il contiendra donc le nombre N correspondant   à   la valeur globale des blancs 

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        pondères   avec la valeur moyenne susdite, qui ont   existe:   en ces données. La liaison 210 recevra les codes numériques d'un dispositif de lecture 212 associé au registre 211,, chaque fois qu'une impulsion de lecture sera appliquée en 213 sur ce dispositif de lecture. 



   La sortie 70 du circuit de transfert conditionné 201 de la fig, 10B est reliée aux entrées de deux mémoires. 



  Elles constituent ensemble la mémoire 72 de la fig. 7, affec- tée alors à l'inscription du quotient de la division. La   mémoie   re   214   contiendra en fin de division le nombre Q, valeur du quotient. La mémoire   215   contiendra similairement le nombre Q + 1, étant agencée pour être remise au repos en position de marquage + 1, alors que la mémoire 214 est agencée pour être remise au repos en position de marquage 0. Leurs entrées de remise au repos sont indiquées en 216 et 217, respectivement. 



   La mémoire 71 du reste R peut être progressivement vidée, par son entrée de décomptage 218. Un indicateur de zéro 219 lui est associé, qui varie sa tension de sortie selon qu'il indique ou non le zéro du contenu de la mémoire 71. Par sa tension de sortie, directe en 220, inversée en polarité en 221, il commande les conditions de conductibilité, qui se- ront alors toujours réciproques, de deux circuits de transfert conditionné 222   et'223.   Le circuit 222 recevra pour transfert un signal de Q unités a partir de la lecture de la mémoire 214 par toute impulsion de lecture qui peut se présenter à l'entrée de lecture 224 de cette mémoire.

   Le circuit 223 re- cevra pour transfert un signal de Q + 1 unités à partir de la lecture de la mémoire 215 pour toute impulsion de lecture appliquée en 225 sur cette   mémoireo   
En fait, les impulsions en 218, 224 et 225 pro- 

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 viendront   d'un'   circuit 226 ayant pour fonction de   @éceler   l'existence de signaux de blancs dans; les signaux- de lecture ,de la mémoire 120. Ces signaux proviennent d'un circuit ou dis. positif de lecture 227 de cette mémoire. Le circuit 226 détecte les blancs en   ayamt   alors, appliquée en.   permanence   sur son, entrée 228, le code représentant un blane {annonce B + perfo- ration d à la colonne .suivante). et en   recevant   les codes lus en 227 sur son autre -entrée.

   Chaque   détection   d'un blanc provoque en 226 la génération d'une impulsion appliquée en 225,224      218. 



   Par ailleurs la liaison de sortie du dispositif de lecture 227 atteint aussi une entrée d'un dispositif ou cir- cuit additionneur 229 qui reçoit sur son autre entrée tout signal passant par le circuit 222 ou le circuit 223. A chaque indication de blanc (perforation d), ce circuit ajoutera donc une valeur numérique Q ou Q + 1 (perforations dans les autres lignes du ruban reproduit). 



   La liaison de sortie de l'additionneur 229 est dirigée sur un réseau de réunion 75 constituant la sortie de l'opérateur arithmétique, fig. 7. L'autre entrée de ce réseau ou circuit de réunion reçoit le code de justification à chaque fois qu'est lue la mémoire 119 par le moyen d'une série d'im- pulsions (trois pour une lecture en parallèle) appliquée en 230 sur le dispositif de lecture 231 associé à la mémoire 119. 



     .La   lecture du dispositif 227 associé à la mémoire 120 est assurée par le moyen d'impulsions appliquées en 232 et assurant, outre cette lecture, l'effacement des données lues dans la mémoire 120 et aussi le décomptage du contenu      du compteur 128. Un indicateur de retour a u zéro 233, asso- cié à ce compteur délivre alors un signal de fin de lecture 

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 au programme, par la liaison indiquée en 234. 



   Le dispositif 227 peut consister en autant de grou- pes de huit tubes pentodes que d'étages prévus dans le comp- teur 128 et la mémoire 120. Les étages du compteur commandent lesdits tubes par leurs grilles de suppression, les étages de la mémoire des commandent par leurs grilles écrans et les impulsions de lecture sont appliquées sur les grilles de com- mande par exemple et non limitativement. Les impulsions en 232 testent consécutivement les étages, dans le sens de la gauche vers la droite sur le schéma de la fig. 10B. 



   Ayant ainsi précisé un exemple de constitution d'o- pérateur arithmétique pour calculatrice à incorporer dans un système conforme à l'invention, son fonctionnement peut main- tenant s'exposer comme suit : 
Les mémoires étant vides dans la calculatrice, la lecture d'un ruban d'enregistrements codés débute par l'in- troduction d'un code numérique de justification en 133 et 143. 



  Le code est appliqué en 143 à travers 142 qui-alors retranche zéro puisque le registre 133 est vide. 



   Sur le ruban, après l'indication d'un numéro de ligne dont on n'a pas à tenir compte présentement, vient un code d'annonce V suivi de la valeur numérique de V. On consi- dère pour le moment un texte sans alinéa. Ce code numérique V est inscrit sur le registre 137 et y demeurera tant qu'un nouveau code V ne sera pas donné sur le ruban. La condition du registre 137 conditionne alors les deux matrices 165 et 166 
Peuvent ensuite alterner irrégulièrement des codes T et des codes B. Chacun d'eux est introduit dans le registre qui lui correspond, 138 ou 136. Les valeurs de ces codes sont pondérées dans les matrices 166 et 165 en fonction du code 

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 affiché dans le registre 137. Cette pondération varie chaque fois que varie ce code V. 



   Les codes pondères qui sortent en 169 et 168 sont   diriges   par le réseau de réunion 173 et le réseau de réunion 159 vers l'entrée (-) du totalisateur 143. Ils sont aussi dirigés vers l'entrée du registre de réserve   174   sous cette forme pondérée et, simultanément, par le circuit de réunion 139, sur l'entrée du registre 140-141, sous forme non pon- dérée. 



  * Ces codes numériques pondérés sont ainsi progressi- vement soustraits en 143 du code numérique de justification J. A tout instant, en ce totalisateur 143, existera la valeur de la différence numérique actuelle (J-L). 



   D'autre pa-.rt, les codes pondérés sortant en 167 sont dirigés à travers   l'additionneur   178, sur l'entrée (+) du registre   tmtalisateur   170. 



   Sitôt remplie la réserve 174, les codes numériques pondérés sortant sont dirigés sur l'additionneur 178, donc sont ajoutés progressivement dans le totalisateur 170. Ils sont aussi dirigés sur l'entrée du registre 189 de la fig. 



  10B, et à tout instant alors, ce registre 189 contient   (l-k)L.   



  A tout instant, le registre 170 contient la valeur numérique M + (1 - k)L. 



   L'introduction des données se poursuivant, le to- talisateur algébrique 143 passe par zéro. Son basculeur de signe fonctionne et délivre en 145 au programme P un signal de fin d'admission des données. Le programme délivre en 74 un signal de blocage des avances pas-à-pas des têtes de lecture des rubans. L'introduction des données prend fin pour le cycle d'opérations considéré, quelle que soit la tête 

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 de lecture du ruban alors en service. 



   Du fait du retard   #   dans l'introduction des données après lecture du ruban, un dernier code peut venir s'inscrire dans le calculateur, en moitié temps qu'il est mis par ailleurs dans la mémoire 120. 



   Le   programme P   arrête alors l'application des im- pulsions de commande de décalage en 175 et 176. D'autre part, il applique en 147 et en 151 un nombre convenable d'impul- sions de lecture sur les dispositifs de lecture des mémoires 133 et 152. 



   La mémoire 152 est présentement vide. Le code déli- vré par cette lecture sera donc   zér@   et seul sera directement transmis, à travers le soustracteur 149, le code de justifi- cation J. Appliqué sur l'entrée (-) du totalisateur 170, ce code amène donc le contenu de ce totalisateur à la valeur   M +   (1-k)L - J. 



   Le programme applique alors une seuite de k impul- sions en 180. Si le résultat de la totalisation qui vient d'être indiqué est négatif, le -basculeur de signe 171 du totalisateur 170 rend passant le circuit de transfert 179. 



  La première impulsion en 180 traversera 1(étage de transfert 179 et provoquera une avance d'un pas des registres 140--141 et 174. Ce dernier délivrera un code numérique d'un signe à   @a   fois au registre 189 et au totalisateur 170. Si cette addition numérique ne varie pas le signe de la quantité ci- dessus dans ce totalisateur, le basculeur de signe demeurera en condition de signe moins et le circuit 179 demeurera passant, Une seconde impulsion en 180 répétera l'opération, et ainsi de suite, jusqu'à ce que le contenu en 170 passe par zéro, sur quoi le circuit 179 est bloqué. 

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   Bien entendu, en fonctionnement normal, une partie seulement des k impulsions de programme en 180 traverseront le circuit 179, sinon le nombre k aurait été mal choisi. 



   Après ces k impulsions en 180, le programme assure la comparaison en 185 entre les groupes de quatre codes présents en 141 et les groupes constituant les prohibitions- signes. 



   Pour une coïncidence de configurations entre ces groupes de codes, interdisant la coupure, le basculeur 182, comme susdit, envoie une impulsion en 186 qui étant de pola- rité convenable, commande l'avance d'un pas des registres 140-141 et 174. Ce dernier délivre un signal de code numéri- que d'un signe au registre 189. Il le délivre aussi autota- lisateur 170 mais ceci n'a pas d'importance. 



   Sitôt une non-coïncidence détectée, la coupure devient licite. Cette licitation provoque l'envoi au pro- gramme en 183 d'un signal de fin d'opération d'essai systé- ma tique de coupure. Par la commande d'avance pas-à-pas   su@-   décrite pour les registres 140-141 et   174,   le premier à (k + 2) étages au total et le second à k étages, la licita- tion d'une coupure trouvera le cohtenu des deux derniers étages de 141 transféré sous sa forme pondérée en 189. Ce dernier contient alors effectivement la valeur numérique de coupure licite   L.   



   Le signal de fin d'opération de licitation, en 183 déclenche, alors, le mécanisme de la division qui, dans l'exemple considéré, va s'effectuer par soustractions succes- sives du contenu du registre 211, soit N, de la valeur numé- rique J - L. 



   On peut noter toutefois, avant de décrire cette 

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 division, que toute impulsion de décalage qui a traversé le réseau de réunion 181, soit en résultat des k impulsions de programme en 180, soit en résultat des impulsions déli- vrées en 186 pendant la recherche d'une coupure licite, ont fait avancer le compteur 130, fig. 10B, en sorte que le contenv correspondant à ce nombre d'impulsions a été trans- féré dans le compteur 128. La concordance entre le contenu de 128 et le nombre d'étages de la mémoire 120 qui devra être lu en fin d'opération a donc été bien assuré. 



   Ceci dit, la division s'effectue comme suit : le programme P assure tout d'abord une lecture sim ultanée des regist res 133 (quantité numérique J), 152 (nulle ici), et 192 (quantité numérique Lc). Du soustracteur 193 sort la quan- tité numérique J-Lc qui est introduite par l'entrée (+) dans le totalisateur 198. Sur quoi, le programme assure une pre- mière lecture du registre 211, et il répètera l'application périodique d'impulsions de lecture en 213 jusqu'à ce qu'il reçoive un signal de fin de division. 



   Par l'entrée (-) du totalisateur 198, par suite, le   nombre N est retranché un nombre de fois suffisant pour que 1   basculeur de signe 199 de ce totalisateur indique zéro au moins. Préslablement à chaque lecture de N, le programme assure le transfert du contenu du totalisateur 198 dans le dispositif de lecture 205, après la première lecture de N, A chaque lecture de N, il applique aussi une impulsion en 202. Après le premier transfert de N et préalablement au second, il applique une impulsion en 206, et répète cette opération à chaque tra nsfert.

   Ainsi le quatient Q est formé progressivement, tant dans la mémoire   214   que dans la mémoire 215   (où   est formé parallèlement le nombre Q +   1)2-1,En   fin 

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 d'opération, le reste R de la division est transféré   dans',     la)   mémoire 71 par le circuit 20Q alors rendu passant. Le   chan--   gement d'état du basculeur 199 ayant stoppé   l'opération,,   aucune autre impulsion relative à la division n'est envoyée par le   progra..mme.   



   Par contre alors, le programme applique le nombre convena ble d'impulsions de lecture en 230, d'où la sortie en 75 du code numérique de la justification J, contenu dans la mémoire 119. Si la justification ne doit pas être répétée tant qu'elle ne varie pas, la sortie de la lecture de la jus- tification sera aussi dirigée vers une mémoire particulière du programme. A chaque période de lecture suivante, le pro- gramme comparera ce code en mémoire avec celui de la nouvelle lecture et, s'il est le même, bloquera le circuit de sortie 75 pendant le temps désirable. D'une autre manière, le pro- gramme viendrait tester le contenu de 119 par un moyen indé- pendant et n'appliquerait les impulsions en 230 que si le résultat de ce test montre une variation de valeur numérique de la justification. 



   Puis le programme applique en 232 les impulsions de lecture de la mémoire 120 jusqu'à ce quil reçoive par la liaison 234 l'indication que le compteur 128 (qui a décompté sous l'action de ces impulsions) est retourné à zéro: Dans l'intervalle, les codes numériques de la ligne coupée sortent sur la liaison 227 pour test des blancs en 226. A chaque signal de blanc, une impulsion est délivrée par 226, est appliquée sur les mémoires 214 et 215 et simultanément sur l'entrée de décomptage du compteur 71. Pendant les R premiers blancs, jusqu'à ce que ce compteur ait été ramené à zéro,, le circuit de transfert 223 est passant;. c'est donc.la valeur 

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 numérique (Q + 1) qui est ajoutée aux codes de ces blancs en 229.

   Pendant les autres blancs, une fois le compteur R revenu à zéro, c'est le circuit 222 qui est passant et ces (N - R) blancs seront donc augmentés seulement de Q   'unités   en 229. Le circuit 229 peut recevoir du programme un code numérique de base chaque fois qu'un blanc est décelé en 226. 



   Le signal de fin de justification de ligne coupée, arrivant par   234   au programme, stoppe l'application des impulsions en 232. Le programme délivre alors des signaux de remise de l'opérateur arithmétique en condition de repri- se d'introduction des données, à savoir : 
1 ) Par application d'impulsions en 190, a lieu le décomptage du registre 189 et la délivrance du code numéri-   que de son contenu sur la liaison 191 ; ce fait, le con-   tenu Lc de ce registre est appliqué sur la borne (+) du totalisateur   143   à travers l'additionneur 160 et le circuit de transfert 161 alors rendu passant. Le registre 152 est remis à zéro s'il n'y était déjà et une dernière lecture effectuée en 150. Dans les conditions considérées (texte sans alinéa) le code Lc passera seul au totalisateur.

   En 143, il restera donc la différence de la valeur numérique J et du nombre résiduel de codes pondérés qui sont restés en 174; 
2 ) Par comma nde de décalage de 174 (donc de 140-141), le contenu résiduel en 174 est transféré en 189 ; simultanément le compteur 130 voit son contenu résiduel transféré en 128; 
3 ) Les registres et totalisateurs 211, 170, 198, 205,   214     et 215   sont remis à zéro, 
Le circuit de programme supprime alors en 74 la 

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 tension de blocage des électro-aimants des têtes de lecture et le cycle recommence. 



   Au cas où un signal de fin d'alinéa apparaît dans le cours d'une période d'introduction de données, maintenant, le fonctionnement décrit sera modifié de la façon suivante : 
Le signal envoyé au programme par la liaison 156 provenant du basculeur 134 d'inscription du code fin d'alinéa, stoppera par l'ui-même l'introduction des données (sortie en 74 d'un signal de fin de lecture); le code suivant sera lu ma is non transféré sur les matrices 165 et 166 (c'est le code de la colonne qui suit le signal de fin d'alinéa et donc au point de vue de la calculatrice décrite, une colonne N, sans action dans l'opérateur arithmétique). 



   Le programme déclenche alors l'envoi d'impulsions sur la liaison 154, de façon plus précise, l'envoi répété de codes de blancs   justifiants de   fin d'alinéa. Ces codes se retranchent bien entendu dans le totalisateur 143 en même temps qu'ils sont progressivement mis en mémoire en 152. 



   Lorsque le basculeur de signe 144 change de   conditicn   il délivre en 145 un signal au programme P. Ce signal y est alors interprété comme commande de fin d'envoi de codes de blancs justifiants en   154.  Le nombre Bf a été ainsi formé et mis en mémoire. 



   Dans la suite des opérations décrites alors, cette valeur Bf sera automatiquement retranchée de la valeur J en son transfert au registre 170 par le soustracteur 149. Le signe du contenu de ce registre sera ainsi automa tiquement négatif et les k impulsions provenant du programme en 180 passeront à travers le circuit 179. Le contenu complet de la réserve 174 sera transféré au registre 198. Le registre 

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   140-141'   sera vidé. La réserve en 130 sera transférée en 128 pour la lecture de la mémoire 120. 



   La coupure sera alors directement autorisée. 



   La justification dë la ligne coupée devra bien évidemment s'opérer sur J - Bf. Ceci est assuré par le fait qu'à l'introduction du dividende dans le totalisateur 198, circuit de transfert 196 rendu passant par le pro- gramme à cet instant, le nombre Bf sera automatiquement re- tranché en 149, du nombre J. 



   La justification s'opérera alors comme dit: La fin de la ligne justifiée pourra être constituée par le signal de fin d'alinéa, à interpréter comme tel dans l'équi- pement de sortie S de la machine. Les blancs justifiants peuvent être ajoutés dès la sortie en 75, en disposant un détecteur de signal de fin d'alinéa en parallèle au détec- teur de blancs 226 et en commandant par ce détecteur de signal de fin d'alinéa, l'addition de signaux de blancs jus- tifiants en nombre défini par le contenu de la mémoire 152. 



   Un signal de début d'alinéa alors apparaîtra. toujours avec le registre 198 vide et aussi le compteur 128. 



  Dans le totalisateur 143, bien évidemment, le nombre Bf a. été ajouté par l'additionneur 160 au moment du transfert de Lc qui a été décrit. 



   La venue au travail du basculeur 135, enregistrant un signal de début d'alinéa, provoque l'envoi au programme d'un signal de début d'alinéa par la liaison 155. Alors, en réponse à ce signal, le programme arrête momentanément l'introduction des données mais envoie un nombre prédéterminé cette fois de blancs fixés   (pour   début d'alinéa) dans la mémoire 152 et partant, par le circuit 159, dans le totalisa- 

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 teur algébrique 143 (par son entrée (-) bien entendu). puis le programme supprime le signal de blocage en 74 et l'intro- duction des données reprend. 



   Le reste des opérations se déroule similairement à ce qui vient d'être décrit pour le signal de fin d'alinéa, c'est-à-dire que la justification s'opérera sur J - Ba, après que le totalisateur 170, pour l'opération préalable à l'essai de licitation de coupure, aura.reçu - (J - Ba). La licita- tion de coupure s'effectuera toutefois de la façon normale. 



  Puis, pour la division en vue de justification, le dividende sera J - Ba. 



   A la lecture pour justification de la mémoire 120, le signal de début d'alinéa apparaîtra en tête. Ou bien il sera directement transmis en 75, pour être interprété comme tel par l'équipement de sortie S, ou bien un détecteur spécia- lisé sera également prévu en parallèle avec 226 et commande- ra l'envoi du nombre convenable de blancs justifiants en 75, en stoppant alors provisoirement la lecture de la mémoire. 



   On aurait, bien entendu, pu prévoir un seul signal pour indiquer le début et la fin d'alinéa, ce qui impliquerait le remplacement automatique après le cycle contenant le signal de fin d'alinéa, de Bf par Ba dans la mémoire 152 et la sous- traction immédiate de Ba dans le totalisateur 143 avant reprise de la lecture du ruban. Un texte commençant toutefois en général par un signal de début d'alinéa, un cycle d'opé- rations serait perdu. 



   Des exemples qui viennent d'être décrits ressortent suffisamment les moyens à mettre en oeuvre pour satisfaire au procédé de l'invention pour que les appareils qui en résultent puissent être directement établis par le technicien. 

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  Bien entendu, toute varia nte de réalisation technologique des moyens décrits entre dans le cadre et le domaine de la présente invention,'tels qu'ils sont définis par l'exposé qui précède. 



   Il est bien évident que la perforatrice 77 peut, par une configuration appropriée de la matrice 79, soit produire directement tout ruban de type déjà connu pour la commande automatique d'une machine de composition mécanique, soit produire un ruban spécial à convertir, à la volonté de l'imprimeur, en un tel ruban de commande directe.



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   The object of the present invention is to provide a new composition system for printing texts, generally aimed at accelerating this composition, at least at making it largely automatic, and therefore at reducing the costs of printing. said composition.



   It also aims to establish this new system such that it makes use of the current possibilities of automation of operations, even of an intellectual nature, and that it therefore reduces human intervention in this composition to the small number. only intelligent actions concerning the understanding of texts and their aesthetic presentation.

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   Its further and additional object is to provide for this new system such that it involves the automation of the cutting and justification operations, customary in east composition, which until now required the intervention of specialized operators.



   The current process of preparing and composing a text can, it seems, be summed up as follows:
An author's manuscript, possibly modified, gives rise to the establishment of multiple typewritten copies.



  This is a cleanup operation.



   On one of these typed copies, then works a composition preparer. This work, in addition to the obvious corrections of typing and syntax errors which may have remained despite the corrections previously made to the copies, consists essentially in the transfer to the said copy of the following indications or service information: a. Indication of the format and possibly the margins; b. Determination of justification; vs. Determination of the fonts, varieties and body of characters of letters, numbers and signs, in general, of the elements of the text to be composed; d. Possible indications of modifications of paragraphs in the typewritten copy; e. Indication of reservations for printing of clichés; f.

   Possible indications of the locations of footnotes in the composition, etc.



   The copy thus prepared is then delivered to a printer who, having access to the text and its operating instructions, must ensure the control of a composition machine, while also ensuring two distinct and essential operations: the cut at the end. line and justification. It doesn't matter

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 moreover, from the point of view of the present invention, that the immediate result of the intervention of an operator at the printer's resides in the final production of a lead-coated alloy composition or of a photographic film impressed, or simply in the printing (most often by perforating a ribbon) of a support which will then be used to control a semi-automatic or automatic composition machine.

   It should only be recalled that such automatic or semi-automatic control composing machines are known, but that in such a case, until now, the preparation of the control tape had to be ensured by the intervention of a specialized operator.



   A more precise object of the present invention is above all to provide a new method, and a new system implementing this method, which eliminates in the composition of a text to be printed any intervention at the printer of a specialized operator to decide on the cutting and justification operations of composition lines.



   It also has, complementarily but not necessarily as a particular object to provide for this process and this system such that they make it possible to avoid any operation of clearing a manuscript, prior to the composition, for burping however that this manuscript is presented. to the composition preparer in the form of a legible copy, preferably typed.



   In what follows, "service information !!" denotes all information and indications of the kind that have been defined above for the work of preparing the composition and the composition itself.



   The term "coded record" is reserved for any record of information liable to be subject to a

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 mechanical, electrical and (or) optical probing to provide electrical signals whose specific configurations simulate the information elements of these recordings.



  The term "unencrypted recording" is reserved for any recording of information capable of being read directly, even if the signs it contains are, in part at least of an arbitrary nature, of the stenographic or shorthand type. typical for example.



   The composition process in accordance with the invention is then essentially characterized in that it comprises the following operating stages, both manual and automatic: a) Establishment of at least one coded record of the information elements of a text and elementary service information accompanies them - this operational stage can include a period or phase of establishment of this or these recordings which is unique or which can include several indifferently, and which can give rise both to the establishment of a mixed recording, text and service, as distinct recordings of text on the one hand, of service on the other;

   b) Progressive conversion of this or these coded recordings into as many sets of electric signals - this second stage possibly also comprising either a single phase, or as many alternating phases as necessary, without distinction; c) Transposition of these sets of electrical signals into at least one set of signals, or several if necessary, then defining or describing the complete typographical composition of the text as it should be carried out by a machine. dialing, manual or automatic;

   

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 d) Establishment of recordings of the set or sets of signals delivered as a result of operative step c, whether these latter recordings are coded with a view to semi-automatic or automatic control of a mechanical composition machine, or are in clear with a view to manual control of such a machine.



   This process is further characterized by the following main variations which can be introduced in its developmental stages:
1) During stage a, and when necessary, established sow at least one coded record of correction of the text and / or related service information - during stage b then, conversion of this coded record from corrections to a set of electrical signals for cancellation and substitution for signals from the first recording, in view of stage c;
2) During stage a, making at least as many unencrypted recordings as there are coded recordings;

   
3) During the stage of simultaneous establishment of at least one coded recording and one clear recording - these variants can be separately or simultaneously introduced in the above-defined process.



   An apparatus for the implementation of this method is then characterized, and generally, in that it comprises, in operative combination, at least means for establishing the above-defined coded recordings, means for translate these coded recordings into electrical signals means for transposing these signals into at least one set of signals describing the complete typographical composition of the

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 text, and means for recording these latter signals.



   The practical use of the invention, now, could of course resort to a unitary realization, more exactly localized, but then the overall rate of operation would be just as clearly conditioned by the development of the coded recording of service information and this information requires the intervention of a human factor.

   Consequently, and in order to ensure, in the practical use of the invention, full use of the qualities of speed and flexibility intrinsic to said method and to said system, the invention provides for resorting to rational fractionation of the means of implementation, namely:
On the one hand, the means specific to the establishment of the various coded records defined in the operational stage a;
On the other hand, the means specific to analyzing the information from these recordings, to their electrical conversion and transposition and to the recording of the information thus transposed.



     Seen from this last aspect, a composition system for implementing the method according to the invention is characterized more particularly in that it comprises at least one apparatus for producing coded records, and preferably a plurality of coded recordings. these devices, and at least one device fed by the recordings coming from the first one and established to form, from the automatic examination of these recordings, the record or records of complete typographic composition of the text for control of a composition machine.

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   Any device for the preparation of text records, service information, and corrections, can advantageously comprise a printer machine with manual keyboard control, according to the indications which will be specified later.



   Any apparatus for producing the record (s) ultimately desired may advantageously include an electric or electronic calculating machine, of the type of program calculators. This program will also be specified later. It is, however, well known that such calculators are directly suitable for entering data in the form of tapes of coded recordings and for delivering results also in the form of recorded tapes, coded or in clear.

   In addition, any calculator of the so-called universal type can, without modification of its internal organs and by the only modification of its program memory, see its operation adapted to the automatic resolution of all problems concerning the data entered, and consequently to any problem. entering into the category of operations of cutting, justification and indication of the typographical composition of a text, the latter being essentially based on counts of signs and blanks and comparisons to predetermined references.



     Illustratively, and with a view to clearly specifying the characteristics, methods of implementation and advantages of the invention, various examples of systems in accordance with the above-defined process will be detailed with reference, when necessary, to the accompanying figures. , whose subjects will be specified as this description proceeds.



   We will first consider various methods of ela-

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 boration of coded recordings to be processed later for transposition.



   In the event that the publisher has only a manuscript which is unsuitable for the direct establishment of a coded text recording, and therefore together with a coded service information recording, the clarification of this manuscript must be performed. It is then possible to proceed, simultaneously with this clarification, to the establishment of the coded recording of the text and also to the establishment of the coded recording of the service information, preferably.



   Two cases may arise: one where the composition preparer can work on the manuscript before it is edited; the one where the focus must precede the work of the composition preparer.



   In the first case, it seems more advantageous to carry out simultaneous sharpening of the text and of the service information added to this text by the preparer. The "typing" of the machine printing the text and the information in net, e @ service will ensure the simultaneous production, in addition to a recording in clear on page or double page, of a coded recording tape, without that the typing operator does not have to worry about the production of this tape by the machine other than by observing instructions such as the following: do not go backwards in a line as well as from one line to another; type in the margin of each line its number in the copied text (if the machine is not automatically prepared for this typing on return of the carriage);

   note your own copying errors (optional) but do not correct (imperative).

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   The coded tape - the term "tape" being taken to designate any kind of recording medium and any kind of printing on this medium - can be produced by the machine either with two tracks, one for the text, the another for the coded information, or again and preferably with a single track comprising the two recordings with their elements of information interlaced.



   The operation will be resumed with a text and the related service information, for the establishment of a tape of corrections. For this ribbon to be unique, it will suffice for all the corrections to be made to the text to be brought together, whether the corrections come from the typist, from the composition preparer (or from the one who rereads the text put in the text. net) and (or) of the author who will have revised the said editing, etc. In this case, however, the typing operator will be required to enter the numbers of the corrected lines since these lines do not follow one another in normal numerical order.

   Any correction in a line will of course have to be made by retyping the entire line and, if a line is replaced by several, they will bear the same number, corresponding to that of the corrected line.



   In the second case, where the manuscript is unsuitable for the work of preparing the composition itself, it will first be cleared. A first encoded text recording tape can, if desired, be simultaneously produced under the same conditions as provided above. Then, the preparer having worked on a copy of this setting in net, the only coded recording of the information of service could be carried out, by a direct key or not, either on

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 another support, or on the same support scrolling again under an inscription mechanism identical to the first - in this case, the tape will have two parallel tracks, as in a presentation variant already indicated above.



   The correction tape can always be done in the way specified for the first case.



   The reason why it would seem preferable to have only a single recording tape, single or dual track, is that the timing of the advance of the two information groups, text and service, will be. automatically ensured for their introduction into a calculator, without requiring special forecasts concerning the synchronism of several ribbons having to scroll in constant relative phase, for this data entry.



   By preparing, on the contrary, the data on two ru- bans only, one of first keystroke, the other of corrections, only remains in play, at the input of the calculator, the simpler problem of stopping one ribbon to drive the second and vice versa.



   The case where the first focusing tape and the correction tape are read independently for the input of data into the calculator, the latter then ensuring, by an internal subroutine, the comparison of these two data series and the substitution of the data of the second series with the corresponding ones of the first series.



  This operating mode would be limited in practice only by considerations of an economic nature, because it would obviously require memories with very large information capacities.

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   It is also not excluded from the field of the invention that the preparation of the composition, on the one hand, and the corrections on the other, are carried out prior to any typing operation delivering a tape of encoded recordings, interlaced. or side to side. Only typing errors could remain, which would require re-reading line by line as the typing progresses and the cancellation of any line that contains a typing error, its replacement by @ following line being direct when the recording is provided at the input of the calculator.

   This would make any indication of the line number in the typing unnecessary.
Whatever solution is adopted, it is obvious that its choice is dictated by considerations of orders above all external to the proper development of the process and system in accordance with the invention: organization and economy of the work of preparation and of preparation of records.



   The printing machine forming the ribbons of coded records, at the same time as providing a keystroke of text and service information, may be derived from a typewriter or from a teletype machine. , especially in the case / where the tapes are separate, comprising only one track, or comprising double tracks. So in fact, it suffices to complete the arrangement of the typewriter by a printing unit on ribbon having its elements (electromagnets for example) actuated from the keys of the standard keyboard or completed for the purposes required for a preparation. decomposition.

   On the other hand, it suffices to omit, in a teletype device, the outputs for online sending of the electrical signals formed, while keeping the device.

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 standard visual control of the teletype and its arrangement of coded ribbon perforation, In both machines, the printing of the line numbers can be ensured automatically by actuation of a step-by-step at each return of carriage, step by step controlling this printing on both the ribbon and the page. For the establishment of service records, an arbitrary correspondence can be established between the keys of the standard keyboards of these machines and the designations of said information.

   A tape or a track of text would automatically be interpreted as such by a calculator depending on the input on which it would be read; a tape or a service track would similarly be interpreted as such by the calculator.



   In most cases, however, the keyboard will have to be modified, especially in the direction of its enlargement of various characters and signs. In the case, in particular, where the text and service information is to appear interspersed on a single track, intermediate indications will become necessary so that the same numerical codes are then correctly interpreted by the calculator.



  Such indications will be called "announcement" in the remainder of the description, which will more precisely consider the case of such a tape in more detail, for the fact that it appears to be one which requires more adaptation. pushing of usual devices and machines with a view to its use. However, it must of course remain that the foregoing arrangements find their natural places in the field of the invention.



   The example illustrated in fig, 1 shows a fragment of tape of coded recordings in which alternate

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 galley text elements and service elements.



  This ribbon was therefore prepared by typing all of this information. The ribbon portion of FIG. 1 can equally concern a typing of text and service or a typing of corrections, text and service.



   In this example, is used, without limitation moreover, a binary digital code with seven code elements. On tape 1, provided. a row of drive perforations 2, here central but being able to be laterally offset as desired, or even doubled, run seven lines designated by the references j, n, v, t, b, a, f for the seven elements of code, plus a line, called d, the utility of which will be specified later in relation to the example calculator which will be described.



   The presence of drive perforations presupposes a step-by-step advance, both for writing and reading. This is not imperative, although it is considered more advantageous from the point of view of precision and convenience of use, and a continuous unwinding with friction drive could just as well be provided.



   Whatever the training mode adopted, the inscription defines on the ribbon columns spaced by an interval marked @, predetermined, which, once converted into a time interval by reading, will define the duration of a The calculator's code moment, with all eight lines being read in parallel, just as they are printed in parallel when writing.



   This impression is taken here perforated. This is also not limiting and any other well-known printing method by inking, burning, electrolysis, recording

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 magnetic, photography, etc., can be used. It is only a question of varying the nature of the support in certain cases and of substituting for the @ 'heads. @scription and reading for perforations the heads of constitution appropriate to the nature of the desired impression. Both are moreover well known in the art.



   Advancing from right to left, the ribbon of fig. 1 should read from left to right. He showed a beginning of tape, end of primer cut, from a moment when a justification information had to be given. The justification is expressed by a numerical value defining the length of the line of the text to be printed finally.



   In the form shown, the annunciation indications used are as follows: J: announcement of the justification code; announcement of the typed text line number code (using this generic typing term for all types of typing);
V: announcement of the numerical code defining the variety of signs, both the font and size of the characters and the groups that can be defined for the characters in the different sizes and fonts;
T: announces the numerical codes of characters in their own alphabetic or symbolic meanings;
B: announcement of a blank code or space between words in the typed text;

   end of typed line indication will also be given as a blank, unless the typed line ends with a hyphen to break a word, when typing, from one line to the next, in which case the blank end of line will be deleted when typed

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 even.



   In addition. and insi that it is specified on the diagrams of fig. 2 and 3, showing portions of tape for these purposes, also an A start announcement indication and an F paragraph end announcement indication.



   If only a five-element code were to be used, the information of blanks and the beginning and end of paragraph could consist of specific numerical codes, preceded by the announcement T, for example, or the beginning and end of paragraph, by codes preceded by the announcement V, a blank being represented by a particular code preceded. of the T.



   On the ribbon of fig. 1, there is in the ad column J a single perforation in the line j. Two columns follow with seven element numeric code perforations plus a perforation in row d. The first column which follows the announcement column J makes it possible to describe in binary numeration a value between 0 and 127, the second, together with the first, allows eori re any value between 128 and 16383 inclusive.



   The line number of the typed text is announced by the presence of a single column perforation on line n; this is the announcement column N. Then, come two columns reserved for indicating the numerical value of the typed line of text. These two columns do not have any perforation on line d, but the codes used require the presence at least two perforations in other lines, to differentiate them when reading the ad columns.

   The omission of perforation in line d is dictated in the example, pending description; over there

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 need to remove @@ eros of typed lines when entering data to arithmetic operator and calculator information memory. The numbering of lines of typed text can be repeated periodically, for example every ten thousand lines, without inconvenience.



   Next is a V ad column, featuring a single perforation on the v line of the tape. The following column, which has a perforation on line d, specifies by its other perforations the numerical value assigned to the information V, in binary numbering from 0 to 127.



   The announcement column T which then comes has only one perforation on the line t of the tape. It is followed for example by a column indicating the numerical value of the code of a letter of the text, plus a perforation in d:
One can assume illustratively that a blank should immediately come after this opening letter of the text. This blank (of the typewritten copy) is announced in column B by a single perforation on row b of the tape. In the next column, only one perforation is found on row d of the ribbon.



   After this blank, service information V and letters or signs of the typed copy may alternate. The portion of tape shown is cut to abridge the representation and arrive. at a typed end of line 'It can end with a blank end of line, on which comes the number of the next line of text. It could also end with a letter or a sign, in the event of a word break at the end of the line in the typed text.

   An end-of-line blank can be directly im-

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 pressed on the ribbon by a carriage return of the machine used where it can be struck normally If the carriage circumference comes into play and the line struck ends in a dash, the strike of this one will put out 1 action the carriage return for automatic printing of end-of-line blank.



   For a beginning of paragraph, 'freeze 2, after the number of Ua line which must, thus begin in the typed text, comes a column A announcing the beginning of paragraph, bearing \ A perforation in the line d of the tape . The following information is as in fig, 1.



   For the end of the paragraph, fig. 3, after information as specified in relation to figure 1, comes an announcement column at the end of paragraph F, presenting a single perforation on line f of the tape, followed by a column not bearing than the only perforation in line d of the tape.



  Immediately follows the ad column N of the number of the next line of typed text. If the printing of a typed line end blank is provided for automatic, @@ pressing the end of paragraph end key will disable carriage return.



   From the composition of the strip which has just been described, any formation of separate strips or at least with separate tracks for the text and service information can be directly deduced. Of course, the information relating to the numbering of the lines of the typed text will be transferred to both of the separate ribbons.



   Alternatively, on a medium and a single track on that medium, the text information may alternate

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 and the service information .., line by line of the typed text, the numbering information of the lines of this text being for example spelled out for the information of a line of text then for the information of a service line, in order to allow the calculator to establish a definite correspondence between these alternating fragments of information.



   Any other presentation configuration of tapes of coded records, with regard to the number of lines of said tape, the correspondences of numerical codes and the additional marks such as those defined in the example illustrated by line d of the tape, will obviously come within the scope of the invention.



   Fig. 4 gives a schematic view of the whole of the typing typing apparatus then making it possible to establish a ribbon such as that which has just been specified in relation to FIGS. 1 to 3. In this device, derived from a typewriter - the derivation mode would be similar for a device incorporating part of a teleprinter - for example, and without limitation, two keyboards 3 and 4 are established. pectively associated with two baskets of characters 5 and 6 but with a single roll 7 enlarged to be able to be struck both by the characters of one basket and by the characters of the other. The mechanisms for controlling the character bars using the keyboard keys can be of any standard type and are not shown.

   It will however be noted that for the particular purposes of the invention, any connection is eliminated between the keys of the keyboard 4 and the advance of the roller of the apparatus. Therefore, any service indication grated on a preferably transparent sheet of paper 8, carried on the

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 part of the roll cooperating with the basket 6, will be exactly in the same position of the OM sign character typed immediately after, on the sheet 9, carried on the other half of the roll 7. For simultaneous reading thereafter, it will suffice to apply the two sheets one on the other, by shifting their spaces, which will allow a convenient checking of these recordings in clear.



   It would obviously be possible to provide only one character basket, a single keyboard and consequently a single unencrypted recording. However, it would then be necessary to provide an offset in height of any typing of service information vis-à-vis any typing of text information, so that the service information appears in an interline of the text. This shift could affect the roller 7, by actuating a pawl by a specialized "service" key, any normal typing bringing the roller back to its normal line position for typing text.



   If the service information cannot each be given by a single character, the roll 7 will be divided into two independent rolls in their lateral feeds and the characters in the basket 6 will advance their own roll.



   Specialized keys are, in the example considered, incorporated into keyboards 3 and 4. Their definitions are sufficient for their practical realization,, the reach of any typewriter technician in keyboard 3, the keys T, B, A and F; in keypad 4, keys J and V.



  These keys do not activate characters in the baskets.



  The A key causes the roller 7 to shift by a predetermined number of steps to the left. The F key causes the

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 the automatic coming of the roller to its extreme position on the left. The carriage return can be done by hand, as usual. Blanks will be obtained manually by the space bar E, as usual. An additional end of line hyphen key, U, will be added in keyboard 3 for example. In the body of the text, the hyphen has its place in the normal keyboard 3.



   In the example shown, there is also provided a special key N, between the two keyboards and this key N are associated with ten number keys, from 0 to 9. This subset of keys is intended for entering the numbers of the keys. line of typed text, at least for the preparation of correction records. It can be put out of service for any keystroke if the above-mentioned means are incorporated in the apparatus for automatically printing the line numbers one after the other on the carriage returns. Not being imperative, these means are not illustrated.

   The keys of said sub-assembly can advantageously ensure the typing on the two sheets 8 and 9 at the same time, it is only a matter of a mechanical connection of these keys with the characters of the baskets 5 and 6.



   Any key pressed in one or the other of the two keyboards must ensure on the one hand the advancement of the recording tape, on the other hand its perforation corresponding to the information carried by said key. With the arrangement proposed in fig. 4, the wiring of each key is uniform in principle. As indicated succinctly, the keyboard 4 is arranged so that the pressing of a key corresponds to an indication which must provide the information to perforate therein in a complete column of the tape. In fact then,

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 keypad 4 will have one hundred and twenty-eight keys, numbered from 0 to 127 and the numerical value of the justification will be supplied to the operator in the form of two successive numbers to be typed.



   For the N sub-set, the binary codes to be printed can be determined by an appropriate wiring of the ten keys from 0 to 9: the attendant can then press the N key, when locked (as for a capital letter key), type the line number then press the N key again to release it, and this release will cause the recording tape to advance by two consecutive steps, in which the printing of the two portions of the binary code translating the decimal code typed will take place.



     After pressing the B, F and A keys, the attendant will normally have to press the space bar E. These maneuvers can be omitted by wiring the A and F keys and the space bar E so that their operations remain. pectives cause two consecutive feeds of the recording tape (delayed relay in cascade) and two predetermined perforations as said in these two feeds of one step each.



  The B key could then be omitted. From another point of view, the key T. could also be omitted by wiring each of the keys of the keyboard 3 so as to cause a weak advance of the recording tape and the automatic printing of the announcement T in the first position. not from this advance.



   These keys were however shown and defined because they would be essential in the case of a single keyboard machine. In this machine then, not only would the J and V keys (as well as N) cause the recording tape to advance for printing, but they would also control

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 (similar to what has been described for the N key in the diagram) the introduction of encryption wiring before printing the digital codes associated with them.



   Returning to the example being described, FIG. 5 shows an example of an arrangement for controlling the recording tape and its perforation. In this figure, any key 10 of keyboards 3 and 4 has its support rod 11 pivoted by levers 12 and 13 on pivots 14 and 15.



  When it is subsequently pushed in, two contacts 16 and 17. There are multiple contacts 17 on the control winding of the step-by-step advance relay 18 of the ratchet 19 for controlling the shaft 20 of the ( or) debtor (s) 21, entrained the tape to be perforated 1 on a plate 22 opposite, a row of eight punches referenced j, n, v, t, b, a, f, d to recall their correspondence to the perforations of the tape lines, fig. 1 to 3. Each contact 17; by its closure, therefore causes the tape to advance by one step. The contact 16 of each key is suitably wired to the punch control electromagnets, the windings of which are shown in the diagram in fig. 5.

   The wiring itself does not need to be detailed, given that it will be carried out directly from the desired codes, codes which are of course left to the choice of the user. Closing the contact 16 therefore causes the entry of a numeric column code of the ribbon or of an announcement code, depending on the destination of the key which controls it.



   Although schematic, Figs. 4 and 5 sufficiently inform the producer so that the target apparatus can be directly established, without further indication, given the current state of the art in this field.

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   The tape carrying coded records having been produced, it is introduced into a read head included in the input equipment of an electric calculator. This read head can be of a configuration such as shown in FIG. 6; namely to include:
1) A debtor 23 for driving the perforated tape, controlled by the ratchet 24 placed under the actuation control of an electromagnet 25.

   This electromagnet carries an excitation winding 26 and a blocking winding 27 (rendering ineffective any advance control pulse which may be applied at 26 when energized);
2) A read head proper, consisting of eight lamps such as 28, housed in a plate 29 on which is applied the tape 1 driven by the debtor 23, and eight photoelectric cells such as 30, facing the openings established in the platinum 29; any perforation of the strip will give rise to the generation, by photoelectric means, of a signal at the output of the cell corresponding to its row location on the strip;
In normal stepping, each signal output will consist of a voltage pulse;

   the tape will have in certain cases, to be taken further, to park on the plate, each signal then delivered will be converted into a constant potential value during each stopping time;
3) A set of individual preamplifiers, such as 31, each arranged to deliver a high voltage across terminals such as j, n, v, r, b, a, f, d, when a perforation occurs in front of the corresponding cell ; derivation at the output of each amplifier 31 is a polarity inverter stage such as 32, then giving the

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 reverse or complementary voltage, here designated by @, n, v, t, b, a, f, d, according to a notation known in itself (it is read "bar") in Boolean algebra.



   In practice and preferably, the outputs of a read head will be taken from the output resistors of cathodyne stages, in order to facilitate the simultaneous driving of several circuits for using these signals. If necessary, in the various branches, power amplifier stages can then be inserted.



   Any read head existing in a calculator established for the implementation of the invention may have a constitution similar to, or derived from that of Fig. 6, In the example being described, in particular, there will be a second reading head, identical to the first, for the tape of the corrections recordings.



   The general organization of a calculator for any system for practicing the invention can be considered as defined by the block diagram of FIG. 7. It basically presents:
1) An input device E, for reading the coded tapes, text and service and corrections, subsequently incorporating the two read heads 50 and 51 each provided with a step-by-step advance electromagnet 52 and 53 respectively. These electromagnets are both permanently supplied by control pulses coming from an external source, contained for example in the program P of the calculator which fix the application times (most often, this application will be uninterrupted).

   Said pulses are applied to the input terminal 54 of the equipment E.,

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A set 55 included in the input equipment overrides the selection of the head to be activated and the operation switching of these heads. An example of the constitution of this set will be described below. By its two output terminals 56 and 57, of voltage conditions always opposite to each other, the selector switch 55 blocks one of the electromagnets 52 and 53 and unlocks the other. However, the two electromagnets can be simultaneously blocked by a program command indicated at 74, which then stops the entry of any data into the arithmetic operator OA of the calculator.

   By means of its two output terminals 58 and 59, always also in reverse or complementary voltage conditions, the selector switch 55 controls the conductivity of one or the other of two conditioned transfer circuits 60 and 61, respectively combined. - These are themselves to read heads 50 and 51 for the transmission of the signals delivered by these heads to a joining circuit 62. By joining circuit is meant here any circuit or network, of the unidirectional type, which transfers any of its input signals to its output.



   In general, the transfer circuit 60 will be made to pass through the selector switch 55 whenever the read head 50 sees its electromagnet advance, except during periods of resumption of reading after corrections, as well as will be clarified with regard to fig. 8. The transfer circuit 61 will be made to pass through the selector switch 55 whenever the signals coming from the read head 51 must be effective.



   The output circuit 63 of the input equipment follows the network or meeting circuit-62. It is in this

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 circuit 63 that can, when necessary, be established the power amplifiers (voltage amplification) of the elementary signals of the codes transmitted to the arithmetic operator.



   2) An arithmetic operator OA comprising a computer circuit 65, connected to the input 64 of the operator by means of a switching circuit or network 66.



  The nature and role of this referral network will be specified later. A certain number of active links from the computer 65 to the program P and vice versa are provided as usual. Details will be given for an illustrative embodiment of said computer.



   By derivations taken from the input circuit 64 of the arithmetic operator OA, the data entered, in part at least, will be written into a memory 68.



  Access to memory 68 is effected through a conditioned routing circuit 67, which will be specified later.



  In the case where the calculator is taken of a so-called universal type, this memory 68 may be all or part of the general memory of the machine.



   Basically, for the desired goal, the computer 65 will have to end the operation in memory, two calculation results. These memories are indicated at 71 and 72, supplied by the outputs 69 and 70 of the computer 65. The data to be entered therein will be defined below. In the case of a universal machine, these two memories may form part of the general memory of the machine.



   Once the two climbs at 71 and 72 have been obtained, the operator will have to work out the output signals. To do this, equipment 73 is provided, supplied by the three

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 memories 68, 71 and 72 as will be said. Its proper operation is placed under the control of the program, link 80. At 75 is indicated the result output of the arithmetic operator OA, coming from the equipment 73.



   3) An output device S comprising at least one writing head 77 controlled by a step-by-step advance electromagnet 78. This head can, if necessary, receive the signals to be written not directly from the input 76 of this equipment S but through a matrix 79 converting the set of signals delivered at 75 and received at 76 into another set of signals to be effectively recorded on a final medium, at least. The triggering of the step-by-step advance of the writing head is controlled from the program P, by the link 83. The entry into service of the converter 79, if provided, is controlled by the program, by link 81.



   4) And, according to the normal routine of calculators of the type in question, program equipment P, the details of which will gradually appear during the specialized description of the machine. However, it obviously incorporates conditioned order units, fixed orders, numerical value repertoires, subroutine commands for the arithmetic operator, etc.



   From this block diagram, it clearly emerges that the calculator to be included in a system making it possible to implement the method according to the invention can actually consist of a machine of the universal type, since a machine of this type necessarily incorporates the various equipment items. and exposed organs. However, since this is an almost fixed program here, a specialized machine can also be established.

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 without going through the organization of a machine of the universal type. It is on such a specialized machine that the presentation will now be carried out and its constitution and operation will confirm that in its place can be used - a universal type. However, to clarify said description, we will consider above all the case of machines working in parallel binary numeration.

   From the point of view of the field of the invention, it should be understood that this in no way excludes any application of the calculation to a machine working in serial binary numbering, the passage from one to the other being obvious to the specialist.



   Previously, however, we will describe in relation to FIG. 8, a possible organization of the selector switch 55 of the input equipment E of FIG. 7.



   In fig. 8, 50 and 51 have indicated the read heads of FIG. 7. The outputs of these heads are, by the conductors shown, connected to a switch, 84 for the head 50 and 85 for the head 51. By these switchers are respectively controlled registers 86 and 87, static for example. With these registers or static recorders are respectively & associated decoders 88 and 89.

   Each decoder supplies at all times a DC voltage proportional to the digital code contained in its register:
The outputs of the two decoders 88 and 89 drive the two inputs of a comparator 96 established so that, as long as the decoding voltages are unequal, and whatever the direction of this inequality, the outputs 56 and 58 present a value potential specific to respectively unlocking the step-by-step 52 of the read head 50 and the transfer circuit 60 associated with this same read head. The

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 The potential values at the outputs 57 and 59 are then such that, on the contrary, the step-by-step 53 and the transfer circuit 61, associated with the other read head 51, are blocked.



  For such an overall condition to be satisfied, it suffices for the potential of the output 90 of the comparator 96 to be directly applied to the outputs 56 and 58, while this same potential has its polarity reversed by the inverter stage of polarity 91 inserted in the link going from 90 to 57 and 59.



   The output of the decoder 88 is on the other hand derived on an input of a second comparator 95. The other input of this comparator receives the voltage coming from 94 but only when this voltage passes through a transfer stage 93 on which it. is also applied. The switchover is only made effective when there is a suitable voltage applied to 93 by the output 92 of the comparator 96. The output of the second comparator 95 is also directed to the output 58 of the selector switch. A meeting circuit or network (definition given above) has been indicated in 97 for the routing of the two voltages at 90 and at the output of 95 to this output 58.



   Operation can be exposed as follows:
Initially, recorder 86 contains a line number of typed text and recorder 87 a number greater than the first. Via the decoders 88 and 89, the comparator 96 delivers at 90 a potential which at 56 and 58 unlocks the step-by-step 52 and the transfer circuit 60 associated with the read head 50. On the other hand, this potential blocks the step-by-step. -pas 53 and the transfer circuit 61 associated with the read head 51. Only the text and ser-

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 main vice under read head 50.



   Each time the text line number changes on this tape, the record at 86 changes. When this record becomes identical to that which exists at 87, the decoding voltages become equal and comparator 96 varies its potential at 90, d ' wherein the unblocking of the stepper 53 and the transfer circuit 61 associated with the second read head and the reciprocal locking of the stepper 52 and the transfer circuit 60 associated with the first read head. From that moment on, the signals transferred to the arithmetic operator are those coming from the correction tape advancing under the read head 51.



   However, in its unequal condition, the comparator 96 blocked the conditioned transfer circuit 93.



  Consequently, the comparator 95 was in a first well-defined condition since it compared to zero (or any other fixed value) the decoding voltage applied to it by the bypass 94 of the decoder 88. When the comparator 96 changes condition, it turns circuit 93 'on and comparator 95 also changes condition. This comparator has. a memory, consisting for example of a bistable rocker with two distinct actuation inputs. When it changes condition, it superimposes at 58 a blocking voltage which, even alone, would be sufficient to block the transfer circuit 60.



  The presence of the meeting network 97 which is unidirectional by definition, however, prevents this voltage from being applied at 56.



   As soon as, in advance of the correction tape, the number of the line at 87 becomes different from that which remained displayed at 86, the comparator 96 operates again.

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 to re-establish the initial conditions: the correction tape is stopped and its transfer circuit 61 is made non-conducting. The main ribbon is restarted. The read head 50 would then deliver excess and unwanted signals to the calculator since these signals represent a canceled portion of text and service. But the comparator 95 has not changed its position and consequently the blocking voltage which it delivers remains applied at 58, the transfer circuit 60 remains blocked. When the main ribbon, restarted, delivers the next line number to register 86; the decoding voltage at 88 therefore at 94 varies.

   It cannot cross the circuit 93 blocked by the comparator 96, but it is applied to the other input of the rocker 95, which restores the rocker to its first condition, hence the elimination of the blocking voltage at 58 The signals from the next main tape line will therefore correctly pass through transfer circuit 60.



   In fig. 9, an embodiment of switching and register has been illustrated, such that it can be provided for the diagram of FIG. 8. In this example, the register comprises fourteen rockers, in two groups from I to VII and from VIII to XIV. Each rocker has two symmetrical and distinct drive terminals, 98 for its reset binary zero condition, 99 for its binary one condition. These conditions are obviously determined once and for all in the assembly of the register.

   A plate output of at least 100 of each rocker is connected to an input 101 of a decoder 102, not detailed because it may have any constitution well known in the art, resistance decoders, diodes, etc. or even relay here since a large

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 speed is not necessary. The only condition to be satisfied is that the voltage at 103 of said decoder varies as many steps as there are units in the number entered in the register.



   This could be considered prohibitive in practice if it was recalled that in fact, the output indicated at 103 may be multiple, as may all inputs of an analog comparator. Any subdivision for decoding can then be conveniently and suitably ensured in the register: said subdivision can be based on a practical consideration, that which statistically indicates an average maximum value (over time) for the difference between line numbers of main text and correction text.



   In this register should be introduced only the line numbers of the typed texts - This is why each entry 99 is preceded by an intersection network, of a usual type with diodes or rectifying crystals on the given diagram, and presenting each two separate entrances!
On an input, is applied the signal coming from the reading of a line of the tape of the machine: the line j for the rocker I, the line n for the rocker II, and so on as shown. A registration authorization signal will be applied to the other input, in the absence of which any signal applied to the first input will remain inoperative.



   This register, on the other hand, must keep the register until a new number is to be entered into it. On the other hand, it must be reset to zero before the introduction of this new number.



   The registration and delivery authorization signal

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 at zero, the same here, is directly derived by the intersection network 104 constituting the entry of the switch (the complete switch comprising this network 104, the networks 105 above-defined and also the separating means which go, be specified and which include the three cathodyne triodes 106, 107, 108 and the delay elements 109 and 110). The intersection network 104 has eight inputs, respectively connected to the outputs j, n, v, I, b, a, f, d of the read head, FIG. 6. Like arrays 105, it is shown to be set for positive pulse signals, each signal being said to be present or being considered to exist when the potential of its application terminal goes high.

   This results from the direction of connection of the diodes, and from the positive polarization common to their anodes, at the point of connection of the sampling paths.



   The first sampling channel, by the separator crystal 111, attacks the gate of the triode 106. The cathode output 112 of this triode is connected to each and every one of the reset terminals 98 of the flip-flops I to XIV of the register. . Thus, each time that the announcement perforation N appears on the read tape, the register will be immediately reset to zero.



   It is easy to verify from Fig. 1 that only the announcement signal N can produce this result, given the combination of signals considered at the input of 104.



   The second sampling path is delayed from 0 to 109, then it attacks the triode 107 by the separator crystal 113. The cathode output of this triode is connected to each and every one of the unblocking terminals of the networks 105 of the rockers I to. VII.If therefore, in the first column of

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 tape following the announcement column N, there is a numerical code, the elements of this code will be in the form of pulses applied selectively to the terminals of the same references as the said perforations of the networks 105, released for the rockers I to VII. This code will be entered selectively bringing into binary condition any concerned rocker.



   The third sampling path is further delayed by 0 by the element 110 then it attacks the triode 108 through the separator crystal 115. The cathode output 116 of said triode is connected to any unlocking terminal of the networks 105 of the rockers VIII. to XIV. This unlocking takes place at the time when the second of the columns following the announcement column N sees its digital code read by the read head. This complementary digital code to the previous one for the constitution of the complete display of the register, will therefore be selectively registered on the group of rockers from VIII to XIV.



   The technology of fig. 9 is well known per se in electric calculating machines. It has been recalled here above all so that it will subsequently make it possible to explain the constitutions of other constituent elements of the calculator, in particular in the arithmetic operator.



   The input equipment E of the machine shown schematically in fig. 7 does not require further explanation for its practical realization. By now considering the arithmetic operator OAn we see that two operating modes are a priori possible, corresponding to two different organizations of this operator:

   the first would consist in introducing into memory in the arithmetic operator a

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 important amount of information, the second, which seems preferable here so as not to burden the production, especially from an economic point of view, consists of entering the data into memory as and when required.
The numerical value of the justification J must of course be introduced first into the machine, and this will result from the ribbon configuration in which this value appears at the top of the records. In a machine according to the invention, it can be modified during the actual text, automatically by the appearance of a new value of J on the ribbon.

   The value J clearly defines that it should be the length of any line of text that may follow it as long as it is not modified.



  However, it is now a line of the text to be composed and not a line of the typed manuscript, therefore a line of coded recording.



   If there were no conditions or restrictions on the possibilities of breaking lines in the text to be composed, the operating program of the calculator would simply be as follows:
A number of Manuscript signs and blanks would be entered as initial data, along with their weight values, T, B and V codes, respectively. By weighting value is meant the number of typographical units to be attributed to any sign and any blank.

   This value may depend on:
On the one hand, from the nature of the variety of character to which it is called;
On the other hand, the value specific to this variety which must be attributed to 1 base unit in which the

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 widths of signs and blanks are expressed;
Finally, the code of correspondence between the nature of the signs and their number of units in the variety considered; all information conveyed here by the digital codes V as defined above.



   It should be noted here that in general the value of a blank is taken constant in usual typography, for a variety of characters, but that the invention allows greater flexibility on this point because such a blank value may , moreover, be varied at will of the operator. This is of course the value of the justifying blank corresponding to a blank of the typed typing after it has been weighted in the machine.



   Having then a set of weighted signs and blanks, the calculator would take from this set a sequence of sufficient length to be at least equal by the sum of its unit values to the numerical quantity 'of justification J, expressed by definition in this same typographical unit. As equality is never obtained in practice, the calculator would take the said sequence by subtracting from it signs and blanks until obtaining the closest value by default of the justification J. Let L be this value.



   It would check how many weighted blanks (or justifying spaces) exist in the sequence retained. Let now hold N this number.



   It would then operate the division (J-L) / N, which would give two numerical values one for the quotient of the division, or Q, the other for the remainder of the division, or R.

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   Taking the sequence L again, and by not considering any mixture of engraving fonts having different base spaces, the calculator would then proceed to justify this sequence so that it represents a complete justified line, by adding for this purpose (Q + 1) typographic units with, R spaces of this series and by adding Q typographic units to (N - R) spaces of this series, that is to say in total: R (Q + 1) + (N - R) Q = QN + R J. - L the last equality of this expression obviously defining the operated division.



   However, the calculator must be empowered to justify a line thus cut in a set of signs and blanks only if the cut is lawful. There are, in fact, certain prohibitions on cutting into typographical text.



  These prohibitions can be of two kinds: a) They are linked to signs which follow or precede a cut, the legitimacy of which must be examined; b) They are related to the meaning of the words or propositions which follow or precede a ± break.



   The prohibitions of the first nature are the only ones to be taken into consideration here. Second nature prohibitions, or "meaning prohibitions", could only be dealt with, if necessary, by an intelligent intervention by the preparer and then appear on the tape in the form of a particular cede to be read by the machine and to be interpreted as prohibition.



   As regards the sign prohibitions, namely the prohibitions of the first nature, an exhaustive list can be drawn up in advance and this list introduced

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 in the machine's program memory. To better fix ideas on this particular point, we can consider the following case, limited to prohibitions relating to four letters or signs only.

   By designating the vowels' by the letter V and by the letter C the consonants other than the letters T, X and Y, in addition designating by 5 any Arabic numeral and by S any sign other than a blank , a list of sign prohibitions, for the French language, would be of the following nature:
SV / V s S 5/5 SS = / SS (SX / VSE 5/5 SSS / = S (SY / VSS 5/5 E s (/ sss V / XVE 5/5 E s S /) S (S ' / SS 5 './ 5 5 s S /, S (SS /' SS 5 /. 5 SS /; S - T / - SE 5 /. 5 SS /.

   S
S S / S. 5, / 5 5 S if! S S 5 /, 5 S if? S
E 5 /, 5 S S /: S
I S / S S (S I / S S) (S S / E S
In the above table: S denotes any sign other than a justifying space; V denotes a vowel; C denotes a consonant other than T, X or Y; 5 any Arabic numeral including zero; E designates a justifying space.



   The punctuation marks and the hyphen are represented by themselves.

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   In the operation exposed pins above, then, we must provide for the machine an intermediate step which will consist, once de @@ ni3 the aforementioned sequence giving the value closest to J by default, to be examined at the end of this follow-up whether or not there is a cut-off prohibition. If this prohibition existed, the sequence would have to be shortened by the numerical value specific to the signs to be deleted there until the cutoff becomes ilite. Let Lc be the value of said sequence thus rectified, it is with this value Lc that the following operations, as they have been defined, should be executed.



   In the event that it is also wished to take into account the prohibitions-meaning in the calculator, in addition to the information having to appear on the tape of ce- dies as indicated, it would then be advisable to enter this information, when the reading of this tape, in the program memory of the machine and, during a cut-off license operation to involve the content of this memory in the licitation tests, any sum comes into play the prohibitions -signs which are obviously stored in advance then, in the program memory of the machine.



   The general operating program which has just been defined is of course directly applicable only to a continuous text, not having any paragraphs. For the presence of a paragraph, it must be modified as follows, for example:
In the presence of an end of paragraph signal, the sampling of the sequence which has been called L in the set of weighted signs and blanks must be interrupted. The present value of L, i.e. Lf, must be brought to L only by

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 the means of justifying blanks added until the pfecised condition is obtained, namely Lf + Bf (by designating by Bf the value of this series of complementary blanks) equal to the closest value by default of J.



   The appearance of an end of paragraph signal must therefore also control the aforementioned division operation so that this division is carried out according to the relation:
J - (Bf + Lf) = QN + R
The justification must then take place by adding (Q + 1) typographic units to R spaces of the series Lf and Q typographic units to the (N - R) following spaces of this series, then adding the appropriate number of additional blanks. to add the total value Bf to the justified and cut line. It is quite obvious, moreover, that the cut does not need licitation in such a case.



   The presence of a signal at the start of a paragraph, which must ensure the introduction at the start of the cut and justified line of a predetermined number of fixed blanks, i.e. Ba the typographic value of this first series of blanks at the beginning of the paragraph, the appearance of this signal for the start of a paragraph must trigger the execution of the division according to the relation:
J - (Ba + La) = QN + R
The designating the value of the sequence taken from the set of signs and blanks available so that J - (Ba + la) has the smallest possible positive value.



   After the break licitation, the justification will have to be done by first introducing the number of complementary blanks suitable to introduce the total value Ba in this justified line, then normally by adding (Q + 1) units to R spaces of the sequence La and Q units ty @@ -

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 graphs in the following (N - R) spaces.



   By now examining a convenient way in which the systematic test operation for cut-off licitation can be carried out in an automatic calculator, it is seen that it may be advantageous to provide, in the following L and at the end of this sequence , a certain reserve is kL, corresponding to an integer value of a certain number k of signs and blanks. The licitation can obviously be direct, and then the value Lc be in fact equal to (1 - k) L. Now, in the sequence (1 - k) L, as moreover in the total sequence L, the number of blanks is obviously variable and it can therefore sometimes be too low to lead to a satisfactory result. The final typographical presentation of the justified line might be defective in terms of the width of its blanks.



   To alleviate this defect, to a certain extent at least, provision is made according to an auxiliary characteristic of the invention to have recourse to an intermediate operation, before a systematic attempt to make a cutoff. The aim of this operation will be to counterbalance the fixity of the factor k in a sense such that it always minimizes the importance of spaces vis-à-vis the importance of signs in a line.



   To this end, not only will the calculator form the above-defined number N, with an average weighting value of the blanks of the text read, but also a number M which will result from the weighting of these same blanks but with a smaller arbitrary value, which will be considered as the minimum weighting value.



   Before systematic cut-off licitation test

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 the cal @ latrice will make the difference:
M - [(J - L) + kL].



  If this difference has a negative value, the reserve is progressively reduced, sign to sign and white to blank, so that said difference passes through zero. The reserve will then have a minimum value so that after licitation of, cut, the value L obtained ensures, for the justification, a correct typographical presentation in all cases from the point of view of artistic presentation.



   Having thus defined general program conditions for a calculator to be included in a system in accordance with the invention, the description of the exemplary embodiment undertaken in relation to FIGS. 1 to 9 will now be continued by considering fig. 10 which illustrates illustratively a mode of establishment of the arithmetic operator OA of FIG. 7.



  For the convenience of the drawing alone, this fig. 10 is subdivided into two parts, 10A and 10B, with part 10B to be placed to the left of part 10A.



   At the bottom of fig. 10 is recalled program P.



  The links going from the arithmetic operator to the program and from the program to the operator (at least for those which are shown) are shown in phantom. The links for resetting and reading certain elements of the diagram by program signals are not shown in order to simplify the representation. They will be specified, as to their existence and their effectiveness time, during the presentation itself.



   The signals coming from the input equipment E of the calculator are present in the input 64 of the arithmetic operator, fig, 10A. They are respectively applied to the sixteen bounds d, a, f, f, a, a, b, b, v, v, t,, j, J, n, n.

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   These signals are directed to a set of routing networks 66. They are also, in part of them, derived to a circuit forming the sub-assembly 67 of FIG. 7. Signals j, n, v, t, b, a; f, d, first of all, are delayed and their derivations by the delay elements 117. This delay is expected to be equal to the duration of the normal time interval of the calculator. Each of these branches results in an intersection network (or conditional transfer) forming part of a set of eight networks, indicated by the reference 118. The transfer control is simultaneous for these eight networks. Their outputs lead to the eight, parallel inputs of a memory, set reference 68.



  This memory can however conveniently be subdivided into two parts. In one 119 will be registered the only numerical value of justification. The content of this memory will not be erased until the introduction of a new datum of numerical justification value. The other part 120 constitutes a shift register, each stage of this register obviously comprising eight rockers in parallel and the shift taking place row by row at each entry of column data. For storage, the offset can be produced by applying a pulse applied at 121 and from the same circuit, which will be described, which controls the conductivity of subassembly 118.

   Part 119 of general memory 68 can then have its independent control, as shown illustratively in the diagram FIG. 10B. The terminals from j to d indicated on the left are considered connected to the terminals j to d, a switching network, which may moreover be similar to that of FIG. 9 is established in 123 for, to allow only the transfer of the

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 fication to the memory 119 which can also be of the type shown in FIG. 9. Of course, in this arrangement, the admission signal j, n, v, t, b, a, f, d) will be formed instead of j, n, v, t, b, a, f, d (in the case of fig. 9).



  Each time this admission signal is formed at 123, and at its three useful times, it will come, via connection 124, to block a subset 125 of three intersection networks.



  This sub-assembly, as we shall see, has the task of forming the admission signals of the codes in the part 120 of the memory and also of forming counting signals to be used subsequently for reading the memory 120, as will be described.



   From entrance 64, fig. 10A, are in fact also derived the signals d, without delay, d delayed by #, and d not delayed, and also d delayed by #. These four signals are combined two by two to form the admission signals of the digital codes in the memory 120. To this end, three intersection networks, subset 125, are provided. The first of these three networks receives the signals d and of. It will therefore deliver a signal whenever the two incoming signals exist, in other words both have their potential high (or low) values simultaneously. The second network receives the signals of and d. It will therefore deliver a signal whenever these two signals exist simultaneously.

   The third network receives the signals d and de. It will output a signal whenever only its two input signals exist.



   These three signals are grouped together by a meeting network 126. This network 126 will therefore deliver a signal each time one of the three output signals of the inter-

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 ', section 125 will appear at its input, indifferently., Whenever network 126 delivers an output signal (or! transfers one of the three above-defined signals), it turns on the eight networks included in the subset 118, therefore ensures the admission of the code which is presented at this time on the children j, n, v, t, b, a, f, d.



   A first, obvious goal of such a storage arrangement resides in the need to enter into memory 120 only the advertisement and numeric value codes of the elements of the ribbon incorporating the advertisement codes V, T , B, A, F, with the exclusion of the elements incorporating the code J, as was explained above, in the case considered, and in the quite general case, the elements incorporating the code of announcement N (which has played its useful role in the input equipment E of the calculator and which must be eliminated in the arithmetic operator).



   Referring to fig. 1 to 3, we see that the arrangement described ensures this elimination. Indeed, for example, the announcement code N, delayed by # in 117, will arrive on the input of the subset 118 at a time when this subset will not be turned on, since none of the three signals of output of the subset 125 will not exist in the above-defined sense: the signal d.de will be zero since de, will be zero (logic product rule); the d signal also; its, two factors being zero; the signal d.de also, its factor d being zero.

   It is easy to verify that, on the other hand, any other announcement code and any other numeric code than those which apply the N announcement code, will be admitted into the memory 120, except for J as said, since their presentation times 4 the entry of 118, one of the three

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 admission signals will always exist.



  If we only consider the first goal of the arrangement described, it would obviously suffice to form only by a single intersection network, an admission prohibition signal (logical product d.de) to achieve this. goal.



   But the second purpose of this arrangement is to allow specialized counting, column by column, of the information stored in 120.



   Any signal - pulse - formed by the logic product d.de will be routed directly to input 127 of a pulse counter 128. Referring to fig. 1 to 3, it can be seen that this signal will correspond, in all cases, to the introduction into the memory 120 of an announcement column information item. Counter 128 will therefore advance one step (or count one unit) for each of these columns.



   The signals formed by the logic products d.de and de.d correspond to the entries in the memory 120 of information contained in digital columns of the ribbon which follow the announcement codes V, T, B, A and F. These signals are directed together on the input of a switch 129. The role of this switch is to direct any impulse that it receives on the input 127 of said counter if this impulse corresponds to the numerical code of a column preceded by by the announcement code V. On the contrary, it will direct any impulse it receives on the input of an auxiliary reserve meter, 130, if this impulse corresponds to the numerical code of a column preceded by one of the aforementioned announcement codes other than V.

   To this end, the dispatcher 129 is placed under the control of a circuit 132 which, each time the announcement code V appears and after a suitable delay

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 (here 2 # since a delay # is provided for the formation of the admission signals and it is the column which follows V), switched the output of 129, of the input 131 of the auxiliary counter 130 at the input 127 of the counter 128. This amounts to saying that the unit 132 forms the logic signal j. not. v, t. b, a, f, d. and that a pulse thus formed is delayed and then directed to the dispatcher 129.



   The auxiliary counter 130 has its output connected to the input 127 of the counter 128. It thus constitutes a reserve of counting pulses, the reserve pulses being transferred from the auxiliary counter to the main counter as soon as the first is filled. In fact, the auxiliary counter 130 could advantageously consist of a shift register, automatic during data entry, controlled as will be described at a later stage of the operating cycle of the calculator.



   To understand the purpose of this arrangement, it is necessary to recall what has been said concerning the licitation of cuts and also the final presentation of the typographic line: after having considered a certain series of signs and blanks, we examine, in a reserve, first if this reservation is not too strong, then if in its content, a cut can be authorized.



   The counting mode proposed above for storing information in 120 corresponds to these two operating stages of the arithmetic operator, acting only on signs and blanks (and independently of the announcement codes and numerical variety codes); the final content of the main counter 128 should depend on the result of said operations to subsequently command a reading and erasure.

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 Partials correct in memory 120 during the actual justification operation. It is therefore advisable to provide for a counting reserve of the same value and of the same nature as the reserve provided for the above-mentioned operations and relating to numerical codes only of signs and blanks.



   It would be possible to make the routing also depend on the announcement codes A and F, in 129, but this will be made unnecessary by the fact that, in the case of an end of paragraph, the two reserves will be completely exhausted before justification and; the case of a beginning of paragraph, this code will come. at the head of a data entry and therefore its count pulse entered at 130 will always be transferred to
127 before stopping data entry.



   Returning now to the input of data into the calculator proper, fig. 10A, we see that the routing assembly 66 supplies six outputs referenced
J, F, A, B, V and T, to recall the natures of the numerical codes that they must deliver. We can consider that these outputs are seven wires for J, V and T, single wire for
B, F, A. In fact, the announcement codes being deleted on our exits, by the set of dispatchers contained in 66 (six dispatchers each of a possible nature and constitution similar to that of the dispatcher who has been described for fig.



   9), are selectively reached registers which, for the writing of B, F and A, will have to have only one element, rocker for example, since no real digital value exists for these signals whose codes known as up to 'now numbers are only marked by a perforation in row d of the column of the ribbon following the announcement column - but who, for the inscription of J, V and? must respect-

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 vement have fourteen, seven and seven elements, such as rockers. The constitution of the six routing networks included at 66 can be deduced directly from that of the routing network of FIG. 9; the constitution of each of the following six registers: 133 for J, 134 for F, 135 for A, 136 for B ,, 137 for V and 138 for T is evident from the above.



  However, it should be noted that while the registers 133 for J and 137 for V will have their resets controlled in the manner indicated for the register of FIG. 9, namely reset to zero only for new display, registers 134, 135, 136 and 138 will be provided to be reset at each code # moment by a pulse from the program.



  When one of these registers receives a piece of information, it therefore only keeps it for a time 9, sufficient for the correct action of the information.



   The codes B and T are also, in the order of their appearance at the output terminals of the same name of the set 66, directed by a reunion network (separation) 139 on the input of a shift register comprising a first register 140 and a second register 141 in cascade with the first. The total capacity of these registers is k + 2, that is to say that they have in all k + 2 recording stages, each stage comprising eight rockers in parallel (seven for the seven elements of code for any letter or sign T, one for the code element for any blank B). Each input line advances both registers by one step.

   The register 14 @. Has a reduced number of stages, four for example if one considers in the machine only the need for four signs to determine a prohibition code.



   By a derivation of the output J, and through a

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 subtractor circuit whose role will be explained below, the justification code is also recorded in a register 143. This register, with parallel inputs for example, is arranged as an algebraic totalizer, that is to say that any numerical code applied on its marked entry (+) causes a record which, if necessary, is added to the entry already contained in the register and that any numerical code applied to its marked entry (-) is' in cut.



  For this, the fourteen rockers of register 143 are connected in cascade in two channels, one for counting, the other for counting down, for example, and a fifteenth rocker, marking the sign of the quantity contained in the register, is incorporated into the structure. In the entry (-) can be included a complement extractor as usual. Depending on the activated input, the up-counting or down-counting channel is released for totalization.



   The sign toggle switch is shown here at 144 output from register 143. From one of these plate outputs there is a connection 145 to the program P. This output can of course present two voltage conditions, one high, the other bass, sign rocker in condition of plus sign and minus sign marking, for example.



   At the start of any cycle for entering data into the calculator, the general condition of register 143 is such that said switch with sign 144 marks the plus sign (including for zero, of the register). At the start of the first data entry cycle, the register is empty and c @ is the numerical value of the justification given at the start of the recording tape which is introduced therein, at the same time as it is in register 133.

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   The register 133 contains means suitable for reading it when it is erased (therefore at a change in digital justification value). Then the old digital code, read in this way, is cut off at 142 from the new digital code directed to register 143.



  This register will therefore receive the code for the algebraic difference between the old and the new justification value, which avoids resetting this register to zero during a change of justification during the operation cycle.



   The register 133 contains two groups of seven rockers each, the reading means during the erasure can consist of two groups of seven connections going to the inputs of the subtractor circuit 142, the connections of the second group (the seven rockers of greater weight ) incorporating delay elements @. On a general reset, those flip-flop switches which were in binary one thus deliver code element pulses to their own output connections.



   With register 133 is also associated a reading device 146. This device can comprise here fourteen pentode tubes, the conductivity of which is individually controlled for each by the condition of one of the fourteen stages of register 133 (by the suppression gates for example) . At operating cycle periods which will be defined later, these tubes will receive, from the program, test pulses at 147. On an output link, which may be seven-wire, by subdividing the tubes at 146 into two groups corresponding to the two groups of 133 rockers and alternate test activation from one to the other of these groups, it will therefore appear, in two steps spaced by @, the

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 numerical code entered in register 133.

   The output link is designated by the reference 148 and it leads to an input (multiple here) of a subtractor circuit 149.



   The other input of the subtractor circuit 149 will be able to receive, at times which will be specified and when necessary, a digital code coming from a reading device 150, each time that this reading device is tested by program pulses at 151. The device 150 is intended to read the digital code which can be entered in the register 152. The program pulse reset entry of this register 152. has been indicated at 153. will be able to display will be transmitted to it from the program P via link 154. Their value can be either Ba or Bf according to the definitions of these quantities which have been given above. This register will therefore only come into action in the case of an end or beginning of a paragraph.

   Its constitution, except for the number of rockers, may be similar to that of register 133 and that of reading device 150 to that of device 146.



   The command to display a Ba value or a Bf value in the register 153 by the link 154 is obviously carried out when the condition changes the rocker 135 recording a start of paragraph signal or the rocker 134 recording a end of paragraph signal. This is why the output of the rocker 135 is shown connected to the program P by a link 155 and the output of the rocker 134, by a link 156. It has been indicated at 157 and 158, respectively, the reset terminals of these two. rockers. These terminals receive an uninterrupted series of cadence program pulses #, slightly ahead of the output instants.

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 of pulses of the routing sub-assembly 66.



   It may be recalled here that this switching sub-assembly 66 introduces a delay # at any output, so that the entry of data into the calculator coincides with the entry of data into the memory of the arithmetic operator.



   Any Ba or B digital code appearing on link 154 will also be directed by reunion circuit 159. on the input (-) of the algebraic totalizer 143.



   Any code developed by reading register 152, at 150, will be directed, in addition to the aforementioned input of subtractor circuit 149, to an input of an adder 160. The output of this adder 160 is directed, through a control circuit. conditional transfer 161, on the input (+) of the algebraic totalizer 143. This transfer circuit 161 will only be turned on when it receives in 162, from the program, unblocking pulses, at times which will be specified more far.



   The three registers 136 (a rocker periodically reset to zero by the cadence control pulses # with a slight advance over the pulses which can exit in
B of the switch 66 and applied in 163), 137 (seven rockers returning to rest on each new entry of data to be substituted for the previous one), and 138 (seven rockers returned to rest by applying 164 pulses periodicals of rate 9 and having the phase advance indicated above) have their outputs connected to inputs of two networks or matrices 165 and 166. Matrix 165 receives the signals coming from 136 and 137. Matrix 166 receives the signals. signals from 137 and 138.

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   Each of these matrices ensures at least one weighting, in the sense which has been defined above, of the digital codes T on the one hand and of the blank signals B on the other hand.



   This weighting is of course placed under the control and control of the digital V codes. In fact, the matrix
165 is double since it must deliver, at its output 167 the weighted blanks with the minimum basic value in the desired typography, and at the output 168 the same weighted blanks with the maximum admissible value of the typography.



   Either of these values may depend on the digital code then present in register 137; hence the flexibility of the machine in this regard. If this advantage was not deemed useful, the link between 137 and 165 would be omitted and fixed weighting values introduced in 165.



   Each of the aforementioned matrices therefore has the role of converting an incoming digital code (coming from 138 for the matrix 166, coming from 136 for the matrix 165) into another digital code, a function of the first one, and representing, for example, the result of the multiplication of the first by a numerical value fixed by the quantity recorded in -
137. Static constitutions of such matrices are well known in the art of multiplication and function tables for electronic calculators.



   The output 167 of the matrix 165 which will finally deliver the aforementioned number N at the end of each data entry cycle, attacks a memory 170. This memory is established in the form of an algebraic totalizer, for example of the type specified about the algebraic totalizer
143. Signals from 165 are. applied to the input (+) of this totalizer 170. The rocker switch has been indicated at 171

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 sign of the totalizer and at 172 an input of the output to zero by the program.



   The outputs 168 of the matrix 165 and 169 of the matrix 166 are directed, by the union circuit 173, on the one hand on the input of a shift register 174, on the other hand, on an input of the network. reunion 159. The signals they deliver will be, from the latter introduced, on the input (-) of the algebraic totalizer 143.



   Register 174 is of a type of shift register which has been previously described in the discussion. It is planned on k floors. Its shift control, during data entry is provided by terminal 175, simultaneously with the shift control of register 140-141 then ensured by terminal 176; these two terminals will, of course, receive step-by-step advance pulses, of rate #, coming from program P.



   The output 177 of the register 174 is directed to an input of a code adder circuit 178, the other input of which receives the signals coming from the output 167 of the matrix 167. Thus, during a data entry cycle , and as will be specified later, the totalizer 170 will be actuated to progressively form the sum M + (1 - k) L. It will therefore suffice to introduce therein, in negative, the justification value J so that the quantity contained in this totalizer is as defined above.



   The sign rocker 171 of the totalizer 170 controls the conductivity of a conditioned transfer circuit 179, so that this circuit is on when said rocker marks the minus sign and not on.

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 that the sign rocker is caused to mark the plus sign (it will mark this sign as soon as the totalizer register 170 is brought to zero). Circuit 179 will receive, at times which will be specified, program pulses via link 180.



   Any program pulse, transferred by circuit 179, will be applied to the input of a union circuit 181 whose output drives a forced shift command (without input of data) of both registers 174 and 140-141.



   The other input of the joining circuit 181 is connected by a link 186, polarity discriminator for example, to the output of a rocker plate 182. This rocker by the output of its other plate is also connected to the program P by the link 183. This rocker 182 is intended to mark the result of the sign prohibitions tests applied by the program, in 184, on a comparator 185 which compares the codes of these prohibitions with the codes contained in 141. At each coincidence, the rocker 182 switches twice and therefore delivers a pulse at 186 to the meeting network 181.



   If there is no coincidence, the cut will be authorized as explained later, and the rocker 182 will come in a fixed condition which, while only delivering a pulse of wrong polarity at 186 (no return to the rocker), will then apply a voltage to the program in 183 notifying it of the licitation of the cut. Of course, any other organization of comparator and comparison indicator can be used here. For example, the comparator 185 may consist of an adder or code subtractor and the member 182 then detects the output zero of the adder,

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 whereupon it commands the opening of pulse transfer circuits to 181 if there is not this zero condition, to the program if this zero condition exists.



   In addition to the shift control of registers 174 and 140, any pulse leaving the network or circuit 181 is also directed by link 187 to the shift command input of the same reference in FIG. 10B; for the auxiliary meter 130, of capacity k.



   The output of register 174 is also directed, by link 188, to the input of a counter or totalizer register 189, FIG. 10B. During a reading with erasure of this counter 189, ensured by pulses applied in 190 and coming from the program at a time which will be specified, the output of said counter is transferred, via link 191 to the input of adder 160 of fig. 10A, therefore, by this circuit, at the input (+) of the algebraic totalizer 143.



   The content of account 189 can however be read at will in that a reading device 192 is associated with it, the activation of which is placed under the dependence of program pulses to be applied at 193 to this reading device. 192. The output link 194 of this reading device is brought to an input of a subtractor circuit 193.



   The other input of this subtracter, is, by the link 195 and a conditioned transfer circuit 196, connected to the output of the subtracter 149, fig. 10A. In 197 is indicated the activating binding of 196.



   The output of the subtracter 193, fig. 10B, is connected to the input (+) of an algebraic totalizer 198. The sign toggle of this totalizer is indicated at 199. As long as it is in a plus sign condition, it blocks a circuit on the one hand.

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 conditioned transfer 200 and on the other hand turns on a conditioned transfer circuit 201 which will receive program pulses in 202 according to a modality which will be specified.



  As soon as it reaches the minus sign condition, it will pass circuit 200 and block circuit 201. Furthermore, via link 203, it will indicate to the program an end of operation (in fact of division).



   The transfer circuit 200 receives on its input coded reading trains (in parallel for example) from a reading device 205 associated with the totalizer, each time this device 205 receives a reading pulse at 206. However, this reading device reading will in fact consist of an additional register into which will be transferred by a circuit 207, the content of the totalizer 198 each time. that a transfer admission pulse will be applied at 208. Any pulse at 208 will follow in time a pulse at 206, the latter emptying register 205. Thus each signal transported by link 209 from register 205 to the input of circuit 200 will in fact be delayed by one step of. operation on the content of the totalizer.



   The output 69 of the circuit 200 reaches a memory 71 and, by the preceding arrangement; the remainder R of a division carried out by successive subtractions in 198 will be routed to said memory 71.



   The input (-) of the totalizer 198 will receive, for the. division, by link 210, the digital content of a register 211, FIG. 10A, This register has its input connected to the already specified output 168 of the matrix 165. At the end of a cycle for entering data into the calculator, it will therefore contain the number N corresponding to the global value of the blanks

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        weights with the aforesaid average value, which have exists: in these data. The link 210 will receive the digital codes from a reading device 212 associated with the register 211, each time a reading pulse is applied at 213 to this reading device.



   The output 70 of the conditioned transfer circuit 201 of FIG. 10B is connected to the inputs of two memories.



  They together constitute the memory 72 of FIG. 7, then assigned to the entry of the quotient of the division. The memory 214 will contain at the end of the division the number Q, the value of the quotient. The memory 215 will similarly contain the number Q + 1, being arranged to be reset in the marking position + 1, while the memory 214 is arranged to be reset in the marking position 0. Their reset inputs are indicated at 216 and 217, respectively.



   The memory 71 of the remainder R can be progressively emptied, by its down-counting input 218. A zero indicator 219 is associated with it, which varies its output voltage depending on whether or not it indicates the zero of the contents of the memory 71. By its output voltage, direct at 220, reversed in polarity at 221, it controls the conductivity conditions, which will then always be reciprocal, of two conditioned transfer circuits 222 and '223. The circuit 222 will receive for transfer a signal of Q units from the reading of the memory 214 by any read pulse which may appear at the read input 224 of this memory.

   The circuit 223 will receive for transfer a signal of Q + 1 units from the reading of the memory 215 for any reading pulse applied at 225 to this memory.
In fact, the pulses at 218, 224 and 225 pro-

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 will come from a circuit 226 whose function is to detect the existence of blank signals in; the read signals from the memory 120. These signals come from a circuit or dis. positive reading 227 of this memory. Circuit 226 detects blanks in ayamt then, applied in. permanently on sound, entry 228, the code representing a blank {announcement B + perforation d in the following column). and by receiving the codes read at 227 on its other input.

   Each detection of a blank causes in 226 the generation of a pulse applied in 225,224,218.



   Furthermore, the output link of the reading device 227 also reaches an input of an adder device or circuit 229 which receives at its other input any signal passing through circuit 222 or circuit 223. At each indication of blank (perforation) d), this circuit will therefore add a numerical value Q or Q + 1 (perforations in the other lines of the reproduced tape).



   The output link of the adder 229 is directed to a union network 75 constituting the output of the arithmetic operator, FIG. 7. The other input of this network or meeting circuit receives the justification code each time the memory 119 is read by means of a series of pulses (three for parallel reading) applied in parallel. 230 on the reading device 231 associated with the memory 119.



     The reading of the device 227 associated with the memory 120 is ensured by the means of pulses applied at 232 and ensuring, in addition to this reading, the erasure of the data read in the memory 120 and also the counting of the contents of the counter 128. A return to zero indicator 233, associated with this counter then delivers an end of reading signal

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 in the program, by the link indicated in 234.



   The device 227 can consist of as many groups of eight pentode tubes as there are stages provided in the counter 128 and the memory 120. The stages of the counter control said tubes by their suppression grids, the stages of the memory of the devices. control via their screen grids and the read pulses are applied to the control grids, for example, and without limitation. The pulses at 232 consecutively test the stages, in the direction from left to right in the diagram of fig. 10B.



   Having thus specified an example of the constitution of an arithmetic operator for a calculator to be incorporated into a system in accordance with the invention, its operation can now be explained as follows:
The memories being empty in the calculator, the reading of a tape of coded recordings begins with the introduction of a digital justification code in 133 and 143.



  The code is applied at 143 through 142 which then subtracts zero since register 133 is empty.



   On the tape, after the indication of a line number which we do not have to take into account at present, comes an announcement code V followed by the numerical value of V. We consider for the moment a text without indentation. This digital V code is entered in register 137 and will remain there until a new V code is given on the tape. The condition of register 137 then conditions the two matrices 165 and 166
T codes and B codes can then alternate irregularly. Each of them is introduced into the register which corresponds to it, 138 or 136. The values of these codes are weighted in the matrices 166 and 165 according to the code

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 displayed in register 137. This weighting varies each time this V code varies.



   The weight codes which exit at 169 and 168 are directed by the meeting network 173 and the meeting network 159 to the input (-) of totalizer 143. They are also directed to the input of reserve register 174 in this form. weighted and, simultaneously, by the union circuit 139, on the entry of the register 140-141, in unweighted form.



  * These weighted digital codes are thus gradually subtracted at 143 from the digital justification code J. At any time, in this totalizer 143, the value of the current digital difference (J-L) will exist.



   On the other hand, the weighted codes exiting at 167 are directed through adder 178, on the (+) input of tmtaliser register 170.



   As soon as the reserve 174 is filled, the outgoing weighted digital codes are sent to adder 178, so are gradually added to totalizer 170. They are also sent to the entry of register 189 of FIG.



  10B, and at any time then, this register 189 contains (l-k) L.



  At any time, register 170 contains the digital value M + (1 - k) L.



   As the data continues to be entered, the algebraic totalizer 143 passes through zero. Its sign rocker operates and delivers at 145 to the program P an end of data admission signal. The program delivers at 74 a blocking signal for the step-by-step advances of the read heads of the tapes. Data entry ends for the considered cycle of operations, regardless of the head

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 tape reading then in service.



   Due to the delay # in entering data after reading the tape, a last code can be entered in the computer, half of the time it is put in memory 120.



   The program P then stops the application of the shift control pulses at 175 and 176. On the other hand, it applies at 147 and 151 a suitable number of read pulses to the memory readers. 133 and 152.



   Memory 152 is currently empty. The code delivered by this reading will therefore be zero @ and only the justification code J will be directly transmitted through the subtracter 149. Applied to the input (-) of the totalizer 170, this code therefore brings the content of this totalizer to the value M + (1-k) L - J.



   The program then applies a threshold of k pulses at 180. If the result of the totalization which has just been indicated is negative, the sign-rocker 171 of the totalizer 170 turns on the transfer circuit 179.



  The first pulse at 180 will pass through 1 (transfer stage 179 and cause registers 140--141 and 174 to be advanced one step). The latter will deliver a digital code of one sign at a time to register 189 and to totalizer 170 If this digital addition does not vary the sign by the above quantity in this totalizer, the sign rocker will remain in a minus sign condition and circuit 179 will remain on, A second pulse in 180 will repeat the operation, and so on. then, until the content at 170 passes through zero, whereupon circuit 179 is blocked.

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   Of course, in normal operation, only part of the k program pulses at 180 will pass through circuit 179, otherwise the number k would have been chosen incorrectly.



   After these k pulses in 180, the program ensures the comparison in 185 between the groups of four codes present at 141 and the groups constituting the sign prohibitions.



   For a coincidence of configurations between these groups of codes, preventing cut-off, the rocker 182, as aforesaid, sends a pulse at 186 which, being of suitable polarity, controls the advance of registers 140-141 and 174 by one step. The latter delivers a one-sign digital code signal to register 189. It also delivers the autotaller 170, but this does not matter.



   As soon as a non-coincidence is detected, the cut becomes lawful. This licitation causes the program to send to the program at 183 a signal for the end of the systemic cut-off test operation. By the su @ - step-by-step advance control described for registers 140-141 and 174, the first at (k + 2) stages in total and the second at k stages, the licita- tion of a cut will find the cohtenu of the last two stages of 141 transferred in its weighted form in 189. The latter then effectively contains the numerical value of legal cutoff L.



   The signal for the end of the licitation operation, at 183, then triggers the mechanism of the division which, in the example considered, will be carried out by successive subtractions of the content of register 211, namely N, from the value digital J - L.



   However, before describing this

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 division, that any offset pulse which passed through the union network 181, either as a result of the k program pulses at 180, or as a result of the pulses delivered at 186 during the search for a lawful break, advanced the counter 130, fig. 10B, so that the content corresponding to this number of pulses has been transferred into the counter 128. The agreement between the content of 128 and the number of stages of the memory 120 which must be read at the end of the operation was therefore well insured.



   That said, the division is carried out as follows: the program P firstly performs a simultaneous reading of registers 133 (digital quantity J), 152 (zero here), and 192 (digital quantity Lc). From the subtractor 193 outputs the digital quantity J-Lc which is introduced by the input (+) in the totalizer 198. Thereupon, the program performs a first reading of the register 211, and it will repeat the periodic application of d 'read pulses at 213 until it receives an end of division signal.



   By the input (-) of the totalizer 198, therefore, the number N is subtracted a sufficient number of times so that 1 toggle of sign 199 of this totalizer indicates zero at least. Prior to each reading of N, the program transfers the contents of the totalizer 198 to the reading device 205, after the first reading of N, At each reading of N, it also applies a pulse in 202. After the first transfer of N and before the second, it applies an impulse at 206, and repeats this operation on each transfer.

   Thus the quatient Q is formed progressively, both in memory 214 and in memory 215 (where the number Q + 1 is formed in parallel) 2-1, At the end

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 operation, the remainder R of the division is transferred to the) memory 71 by the circuit 20Q then turned on. The change of state of the rocker 199 having stopped the operation, no other pulse relating to the division is sent by the program.



   On the other hand then, the program applies the appropriate number of read pulses in 230, from where the output in 75 of the numerical code of the justification J, contained in the memory 119. If the justification must not be repeated until If it does not vary, the output of the justification reading will also be directed to a particular memory in the program. At each subsequent reading period, the program will compare this stored code with that of the new reading and, if the same, will block output circuit 75 for the desired time. Alternatively, the program would independently test the contents of 119 and apply the pulses at 230 only if the result of that test shows a numerical value variation of the justification.



   Then the program applies in 232 the read pulses of the memory 120 until it receives via the link 234 the indication that the counter 128 (which has counted down under the action of these pulses) has returned to zero: In the 'interval, the digital codes of the cut line are output on link 227 for blank test at 226. At each blank signal, a pulse is delivered by 226, is applied to memories 214 and 215 and simultaneously to the input of countdown of the counter 71. During the first R blanks, until this counter has been brought back to zero, the transfer circuit 223 is conducting ;. so that is the value

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 numeric (Q + 1) which is added to the codes of these blanks in 229.

   During the other blanks, once the counter R has returned to zero, it is circuit 222 which is on and these (N - R) blanks will therefore only be increased by Q 'units in 229. Circuit 229 can receive a program from the program. base numeric code each time a blank is detected in 226.



   The cut line justification end signal, arriving at 234 in the program, stops the application of the pulses at 232. The program then delivers reset signals from the arithmetic operator in the data entry repeat condition, to know :
1) By application of pulses in 190, the counting of register 189 takes place and the delivery of the digital code of its content on link 191; therefore, the content Lc of this register is applied to the (+) terminal of the totalizer 143 through the adder 160 and the transfer circuit 161 then turned on. The register 152 is reset to zero if it was not already there and a last reading carried out in 150. Under the conditions considered (text without paragraph) the code Lc will pass alone to the totalizer.

   In 143, there will therefore remain the difference between the digital value J and the residual number of weighted codes which have remained in 174;
2) By shift command of 174 (hence 140-141), the residual content in 174 is transferred to 189; simultaneously the counter 130 sees its residual content transferred to 128;
3) The registers and totalizers 211, 170, 198, 205, 214 and 215 are reset to zero,
The program circuit then removes at 74 the

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 blocking voltage of the read head electromagnets and the cycle begins again.



   In the event that an end of paragraph signal appears during a data entry period, now the described operation will be changed as follows:
The signal sent to the program by the link 156 coming from the rocker 134 for writing the end of paragraph code, will by itself stop the entry of data (output at 74 of an end of reading signal); the following code will be read but not transferred to the matrices 165 and 166 (it is the code of the column which follows the end of paragraph signal and therefore from the point of view of the calculator described, a column N, without action in the arithmetic operator).



   The program then triggers the sending of pulses on link 154, more precisely, the repeated sending of blank codes justifying the end of paragraph. These codes are of course entrenched in the totalizer 143 at the same time as they are progressively stored in memory in 152.



   When the sign toggle 144 changes condition, it delivers a signal at 145 to the program P. This signal is then interpreted there as a command to end the sending of justifying blank codes at 154. The number Bf has thus been formed and put in. memory.



   In the following operations then described, this value Bf will be automatically subtracted from the value J when it is transferred to register 170 by the subtracter 149. The sign of the content of this register will thus be automatically negative and the k pulses coming from the program in 180 will pass through circuit 179. The entire contents of reserve 174 will be transferred to register 198. Register

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   140-141 'will be emptied. The reserve in 130 will be transferred to 128 for reading from memory 120.



   The cut will then be directly authorized.



   The justification of the cut line will obviously have to take place on J - Bf. This is ensured by the fact that when the dividend is introduced into the totalizer 198, transfer circuit 196 made passing through the program at this instant, the number Bf will be automatically reset in 149 from the number J.



   The justification will then operate as said: The end of the justified line can be constituted by the end of paragraph signal, to be interpreted as such in the output equipment S of the machine. The justifying blanks can be added from the output at 75, by placing an end of paragraph signal detector in parallel with the blank detector 226 and by controlling by this end of paragraph signal detector, the addition of validating blank signals in number defined by the contents of memory 152.



   A start of paragraph signal will then appear. always with register 198 empty and also counter 128.



  In the totalizer 143, of course, the number Bf a. was added by adder 160 at the time of Lc transfer which has been described.



   The coming to work of the rocker 135, recording a start of paragraph signal, causes the program to send a start of paragraph signal via link 155. Then, in response to this signal, the program momentarily stops l entry of the data but sends a predetermined number this time of fixed blanks (for beginning of paragraph) in the memory 152 and therefore, by the circuit 159, in the totalization.

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 algebraic tor 143 (by its entry (-) of course). then the program removes the blocking signal at 74 and data entry resumes.



   The rest of the operations take place similar to what has just been described for the end of paragraph signal, i.e. the justification will take place on J - Ba, after the totalizer 170, for l operation prior to the cut-off licitation test, aura.received - (J - Ba). However, the cut-off license will be carried out in the normal way.



  Then, for the division for justification, the dividend will be J - Ba.



   When reading memory 120 for justification, the paragraph start signal will appear at the top. Either it will be directly transmitted at 75, to be interpreted as such by the output equipment S, or else a specialized detector will also be provided in parallel with 226 and will order the sending of the appropriate number of justifying blanks in 75, then temporarily stopping the reading of the memory.



   It would of course have been possible to provide a single signal to indicate the start and end of a paragraph, which would imply the automatic replacement after the cycle containing the end of paragraph signal, of Bf by Ba in the memory 152 and the Immediate subtraction of Ba in the totalizer 143 before resuming the reading of the tape. However, since a text generally begins with a start of paragraph signal, a cycle of operations would be lost.



   From the examples which have just been described, the means to be implemented to satisfy the method of the invention sufficiently emerge so that the resulting devices can be established directly by the technician.

  <Desc / Clms Page number 71>

 



  Of course, any variation in the technological implementation of the means described falls within the scope and the field of the present invention, as they are defined by the preceding description.



   It is obvious that the punch 77 can, by a suitable configuration of the die 79, either directly produce any tape of the type already known for the automatic control of a mechanical composition machine, or produce a special tape to be converted, at the same time. will of the printer, in such a direct order tape.


    

Claims (1)

RESUME. ABSTRACT. Un système de composition pour impression de textes, basé sur un procédé nouveau d'opérations de prépa ration, coupure et justification des lignes typographiques à imprimer, lequel procédé se caractérise essentiellement, en ce qu'il comporte les stades opératoires suivants : a) Etablissement d'au moins un enregistrement codé des éléments d'information contenus dans un texte et des éléments d'information de ser- vice les accompagnant, enregistrement lisible par une lec- ture automatique ; b) Conversion progressive de cet enregistre* ment codé en signaux électriques ; c)Transposition de ces signaux en un ensemble de signaux représentant, ligne typo- graphique par ligne typographique, la composition complète de ces lignes coupées et justifiées; A composition system for printing texts, based on a new process of preparation, cutting and justification of the typographic lines to be printed, which process is essentially characterized in that it comprises the following operating stages: a) Establishment at least one coded recording of the information elements contained in a text and of the service information elements accompanying them, a recording readable by automatic reading; (b) Gradual conversion of this coded recording into electrical signals; c) Transposition of these signs into a set of signs representing, typographical line by typographical line, the complete composition of these cut and justified lines; d) Enregistrement pour lecture par voie mécanique ou visuelle, ou les deux, de cet ensemble de signaux transposés. d) Recording for mechanical or visual playback, or both, of this set of transposed signals. Des variantes et compléments apportés à ce procédé et à ce système pour en permettre le maximum d'automatisme, et notamment le recours à une calculatrice électrique pour les stades b à d sus-définis. Variants and additions to this method and to this system to allow maximum automation, and in particular the use of an electric calculator for stages b to d defined above. Produits industriels nouveaux constitués par les appareillages établis et destinés, en toutes formes d'exé- cution, à la mise en pratique de ce procédé et de ce système, ainsi que par tous enregistrements codés y relatifs. New industrial products made up of the equipment established and intended, in all embodiments, for the practice of this process and this system, as well as all coded records relating thereto.
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