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L'invention se rapporte à un guide pour voyages et routes, spé- cialement pour véhicules, et elle réside dans la combinaison d'un indica- teur du lieu de stationnement et d'un guide conducteur pour voyages. Le but de la présente invention est d'indiquer au voyageur, dans la voiture, le lieu de stationnement, et de le renseigner sur les alentours. En même temps, elle a pour objet de lui faire connaître, par un moyen optique ou acoustique, les points de vue d'importance culturelle et ceux qu'intéres- sent le règlement de circulation, qui se présentent au lieu de stationne- ment.
On connaît des guides pour voyages dans lesquels une bande sono- re est adjointe à une bande optique de façon qu'une information acoustique corresponde à l'image perçue. Ces guides ont toutefois pour inconvénient de ne pas être en rapport avec le lieu de stationnement de la voilure et de ne point répoidre)au but de l'invention, qui est de donner un commentaire correspondant au lieu de stationnement, ce qui est d'importance essentielle surtout pour les voyages de nuit sur des routes inconnues. Le but de la présente invention est de permettre au voyageur de savoir en quel endroit d'une route ou d'un réseau de routes se trouve son véhicule, ce qui est réalisé au moyen de cartes fabriquées spécialement pour ce guide, sur lesquelles le lieu de stationnement de la voiture apparaît visiblement en dépendance de la course et de la direction.
En ce cas, il est possible, ou bien de combiner en même temps les émissions optique et acoustique en rapport avec le lieu de stationnement, ou bien de renoncer à cette combinaison ..
Le problème est résolu par des impulsions mécaniques, transmises, en ce qui concerne la direction, par le volant, et, en ce qui concerne la course, par les roues de la voiture. Ces impulsions agissent sur une pointe de marquage (indicateur), qui se meut, selon le mouvement de la voiture, dans des guidages, de préférence métalliques, représentant le réseau des communications.
D'après cette caractéristique de l'invention, il est possible, par exemple, de constater immédiatement le lieu de stationnement sur la carte routière appropriée (qui peut naturellement aussi être éclairée), même si l'on se trouve dans une contrée absolument inconnue, en pleine nuit et par temps de brouillard. En même temps que l'on consulte cette carte routière, on peut disposer de signaux acoustiques et optiques d'indication ou d'alarme, servant à faciliter l'orientation et pouvant, par exemple, s'allumer automatiquement quand un point de marquage voulu est atteint.
Suivant un exemple préféré de mise en oeuvre de cette invention l'indicateur réglable de marquage se trouve en rapport avec un rouleau ou un dispositif à jeu libre en deux sens linéaires. L'impulsion dérivant de la course est transmise au rouleau de préférence par un mécanisme de manoeuvre graduelle commandé par l'arbre du tachymètre, tandis que l'impulsion de direction influence le rouleau de préférence par réglage de la base.
Suivant cette caractéristique de l'invention, un mécanisme de ma-. noeuvre graduelle est relié à l'arbre du tachymètre, c'est-à-dire qu'on utilise, pour la transmission, des éléments, se trouvant dans le véhicule, qui sont déjà actionnés par la course, l'essentiel étant que l'indicateur du stationnement ait un jeu libre en deux sens linéaires.
Naturellement, le mécanisme de manoeuvre graduelle peut être actionné par toutes les méthodes et sortes de forces bien connues, par exemple par un moyen hydraulique, mécanique ou électrique.
En ce qui concerne l'actionnement électrique, on peut citer comme
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exemple de construction préféré, celui-ci : au moyen d'un rouleau, un mécanisme de manoeuvre graduelle électro-magnétique se trouve en contact avec une plaque de la base représentant l'un des potentiels et commandée par le mécanisme de direction, et - par un contact glissant - l'indicateur de marquage, en liaison avec le rouleau, reçoit l'autre potentiel nécessaire pour le mécanisme de manoeuvre graduelle, amené par une carte géographique échangeable, parcourue par le courant et présentant des cannelures ainsi que des contacts d'alarme et de guidage.
D'après cette disposition de l'invention, on emploie par exemple des cartes, de préférence deforme ronde, qui peuvent être estampées à partir de feuilles métalliques toutes minces et qui présentent des cannelures.
La carte elle-même pprte, de façon connue, des indications des kilomètres et toutes autres données telles que celles que l'on trouve ordinairement sur les cartes géographiques.
Naturellement, il y a encore des moyens de réglage, non seulement en ce qui concerne l'indicateur de marquage, pour placer celui-ci à la main sur une position de départ, mais aussi en ce qui concerne l'adaptation aux différents diamètres de roues propres aux différents types des voitures et l'ajustage selon l'usure des pneus. L'essentiel est que l'impulsion soit transmise conformément à la course.
Pour ce qui est de la préparation des cartes géographiques appropriées pour l'exemple de construction à commande électrique, l'une des caractéristiques de l'invention réside dans le fait que la carte, avec 1' indicateur du stationnement, est en liaison avec des conducteurs flexibles communiquant la direction et la course, et est par conséquent mobile selon la longueur du câblage. La carte géographique peut être remplacée par une autre. On peut employer les cartes des grandes routes départementales et les plans de ville, dont l'échelle de mesure peut varier.
Selon d'autres possibilités avantageuses de réalisation des cartes géographiques, les cartes peuvent se présenter sous forme de feuilles métalliques minces, avec des cannelures y embouties ou être fabriquées en matière synthétique incrustée de cannelures'métalliques, et on peut y prévoir des contacts, par exemple par des entaillages, des fils tendus ou d' autres moyens connus, du même genre, ce qui permet de choisir d'avance une route inconnue ou de déclencher des signaux optiques et/ou acoustiques lorsqu'on arrive au stationnement désiré.
Suivant cette dispositipn de l'invention, il est par exemple possible que les directions des offices de circulation, les entreprises d'expositions, les hôtels, etc., envoient aux clients ou visiteurs qu'ils attendent, des cartes géographiques préparées comme indiqué ci-dessus, de façon que les voyageurs y trouvent indiquée d'avance la route exacte à suivre, ce qui les empêche de s'égarer, des signaux acoustiques devant se déclencher ou des lampes d'alarme, s'allumer si la bonne route n'est pas prise.
De telles cartes géographiques ainsi préparées peuvent aussi être employées utilement par les services de la police ou des pompiers, de même qu'à des fins militaires, auxquels cas elles serviront, de guides routiers en ce sens qu'elles indiqueront l'endroit de stationnement et -éviteront tout -égarement grâce aux moyens de contact, par signalisation optique ou acoustique.
-La qualité essentielle de cette carte réside en ce que la course est, à proprement parler, tâtée par l'indicateur de marquage, ce qui peut être effectué de façon électrique ou acoustique, une bande sonore, préparée de façon convenable, pouvant donner en même temps des renseignements
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précis, comme ce serait nécessaire, par exemple, à des fins militaires.
Pour les voyages dans de belles régions, il serait utile que les bureaux,de voyages fournissent, avec la carte, une telle bande sonore, ce qui permettrait au voyageur de jouir pleinement des aspects du paysage rencontré sur la route choisie et préparée d'avance, chose qui, autrement ne serait pas possible, vu qu'en parcourant rapidement le pays, on ne peut se rendre compte de la beauté des points de vue aux aspects pittoresques.
De plus, le moyen faisant l'objet de l'invention permet d'indi- quer aux voyageurs franchissant les frontières les particularités cultu- relles et géographiques caractérisant le pays visité.
Une autre possibilité encore s'offre au voyageur, en ce sens qu' il peut, en voyageant, faire tracer, par l'indicateur de marquage, dans les cartes appropriées, des chemins non indiqués jusqu'alors, en vue d' une utilisation future ou d'une reproduction multiple de cette carte.
De même, un hôtelier ou une direction de l'exposition,voulant adresser de telles cartes aux clients 'attendus, peuvent utiliser le systê- me eux-mêmes d'abord et envoyer un délégué en auto sur les routes intéres- santes, en vue de la préparation de cartes qu'ils remettront ensuite à leurs clients. Ce procédé sera très important par exemple à l'occasion de courses automobiles (courses en forme d'étoile ou courses se terminant à un lieu fixe), pour lesquelles différentes routes mènent au point de rassemblement.
Le tracé peut dans ce cas être effectué par des moyens connus, mécaniques, électro-magnétiques, etc.
Le rapport avec le guide de voyage est donné par la combinaison du guide routier, ou de l'indicateur du stationnement, avec un dispositif reproduisant les images et le son, et donnant, relativement au lieu de stationnement, des commentaires optiques et acoustiques d'intérêt culturel et/ou relatifs au règlement de la circulation.
Le dispositif faisant l'objet de l'invention est la combinaison du guide routier bien connu, procurant des illustrations et des informations acoustiques, avec l'indicateur du stationnement, et ce n'est que par une telle combinaison que l'on peut atteindre le but de l'invention, c'est- à-dire fournir au voyageur la description exacte des alentours d'un lieu de stationnement désiré, le guider de façon sure dans des endroits de grande circulation ou encore, par exemple, lui permettre de transmettre des ordres ou de donner des instructions lorsqu'il arrive en certains endroits
Par rapport à l'appareil routier avec reproduction d'images et émission de sons déjà connu, l'invention présente encore l'avantage suivant :
un levier à deux branches dégage les chevilles d'arrêt des images correspondantes, selon le diamètre tâté de la bobine portant la bande sonore.
D'après l'invention, des séries d'images sont coordonnées à des commentaires acoustiques. On peut, en particulier, sans rapport acoustique avec le guide routier, régler les images, dans le projecteur, suivant un numéro distinctif pour l'émission du son. Mais la combinaison avec l'indicateur routier est également possible.
Un exemple de réalisation de l'invention est représenté aux dessins ci-annexés. L'examen de ceux-ci et de leur description feront apparaitre d'autres caractéristiques encore de l'invention.
La figure 1 représente un guide pour voyages avec dispositif acoustique et optique mais sans indicateur routier.
La figure 2 représente une vue latérale et en coupe suivant la
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ligne A-B de la figure 1.
La figure 3 illustre une possibilité de réglage automatique entre l'image et le son.
La figure 4 représente schématiquement la combinaison d'un dispositif automatique indiquant le stationnement (indicateur routier) avec le guide de voyages.
La figure 5 représente une vue de dessus de'la carte routière de forme ronde représentée déjà à la figure 4. Il va de soi que toute autre forme de carte pourrait être adoptée.
La figure 6 représente une coupe suivant la ligne A-B de la figure 5, représentant les parties intéressantes pour la description.
La figure 7 illustre la possibilité de combinaison d'un indicateur de stationnement électrique et mécanique.
La figure 8 illustre la possibilité de production d'impulsions en coordination avec la course.
La figure 9 illustre la possibilité de production d'impulsions en coordination avec la direction.
La figure 10 représente la combinaison des impulsions coordonnées à la course et à la direction, avec la carte routière.
Aux figures 1 et 2, 1 désigne un projecteur en série avec lampes 2, système optique 3 et guidage pour les images 40 Dans cet exemple, un réseau de circulation, se trouvant justement en projection, est désigné par 5. Dans le coin inférieur gauche se trouvent les chiffres 1, 4, 7 et 8, indiquant quelles bobines sonores correspondent à cette image. Ces bobines sont destinées à donner des informations d'intérêt culturel, des informations relatives au règlement de la circulation ou d'autres encore.
Au moyen d'un commutateur ou de touches à pression 8, 9, il est possible de choisir l'opération automatique ou manuelle. Si l'on emploie la première, le dispositif acoustique est obligatoirement couplé avec l'image.
10 désigne une coiffe qui doit augmenter la netteté de la projection. Au-dessous de cette coiffe, on peut placer le haut-parleur 11, mais il peut être remplapé aussi par la radio de l'automobile, avec commutation appropriée;, 12 et 13 désignent des compartiments dans lesquels se trouvent les bobines à bande sonore. Au moyen du système sélecteur 14 et 15, il est possible de placer les bobines de telle façon qu'on puisse faire sortir automatiquement la bobine voulue, en touchant le bouton de déclenchement. Le dispositif acoustique pour la bobine sonore est désigné par 16 et le bouton acoustique, par 17.
La figure 3 fait comprendre qu'à toute série acoustique est coordonnée une série optique. Si par exemple, les. supports de son et d'images se déplacent dans le sens indiqué, la reproduction correspondante est émise par le jeu du levier à deux bras 20, muni des extrémités 21 et 22.
La figure 4 représente la combinaison d'un dispositif acoustique avec l'indicateur routier. Le pare-brise est ici désigné par 28 et le volant, par 29, tandis que 30 désigne le tableau de bord. Le dispositif acoustique est désigné par 31 et, au-dessous'de celui-ci, 32 désigne la carte routière automatique, pourvue d'une poignée. Cette carte est reliée par le câble flexible 33, aux organes de direction et aux roues et elle peut donc être placée au devant du volant, par le chauffeur, afin que ce dernier puisse en voir tous les détails plus nettement.
La figure 5 représente schématiquement un exemple de carte rou-
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tière. 34 désigne la partie d'un 'boîtier solide, servant à monter les différents segments de la carte routière.
A la figure 6, on peut voir qu'il y a un intervalle entre la sur- face et la base du bottier. Dans la partie supérieure se trouve la carte routière pivotante 37. La partie inférieure contient une rondelle pivotan- te 40, tournant en rapport avec le volant. Dans'l'intervalle, il y a un rouleau ou galet indiquant le stationnement. On peut évidemment employer un autre dispositif mécanique ou électrique qui indique le stationnement.
Il est cependant essentiel que ce dispositif indiquant le stationnement soit libre de se mouvoir dans deux sens.
A la figure 7, le rouleau ou galet indiquant le stationnement est représenté de façon plus détaillée. Ici encore, la carte routière, qui présente, comme guidages, des fentes ou des estampages, est désignée par
37 et la base pivotante du rouleau, par 40, tandis que 34 désigne la fermeture solide du boîtier, qui, en son milieu, porte un bout d'arbre 41 et présente un forage..Ce bout d'arbre 41 sert à raccorder un câble rigide 49, commandé par le mécanisme de direction, tandis qu'à l'endroit désigné par 42 se trouvent les raccords pour l'amenée du courant électrique. A la figure 7, on a représenté en 43 une roue non magnétique, pourvue de dents à sa périphérie.
Le diamètre et le nombre de dents de cette roue dépendent de la dimension de la carte désirée. 44 désigne un mécanisme de manoeuvre graduelle déjà connu, qui comprend un ressort 45, auquel se trouve attachée l'ancre 46 agissant sur un cliquet d'arrêt 47. A chacune des impulsions, l'ancre 46 est attirée et la roue dentée 43 tourne alors d'une dent. Vu que la roue dentée se trouve dans un châssis 48, guidé en haut sur la carte routière, le mouvement du cliquet d'arrêt se transformera en un mouvement de la roue dentée. L'impulsion de course se fait indépendamment de la direction du véhiculeo Plus la rapidité du véhicule augmente, plus de pas seront parcourus par unité de temps. La direction est transmise au rouleau par le fait qu'il y a une certaine adhérence entre la plaque mobile 40 et la roue 43.
Si alors, au moyzn d'un câble rigide 49, la plaque pivote suivant la direction de la voiture, la roue tourne aussi et si l'indicateur de marquage a la possibilité de dévier, le rouleau déviera sur la carte routière. Si le rouleau a été mal réglé - on peut le régler à la main en le prenant à l'indicateur marqué d'une flèche et le déplacer - le changement de direction ne produira point d'effet, et le voyageur - en arrivant au poteau indicateur suivant - peut déplacer le rouleau de telle façon qu' il corresponde alors à la route.
Il fera avantageusement tourner la carte de telle manière que la direction du véhicule soit conforme à celle indiquée dans la carte.' Au lieu de faire tourner la plaque 40 mécaniquement par un câble ou un arbre, il est possible de prévoir un mécanisme de manoeuvre graduelle, qui produira alors, au moyen de contacts de commutation, le mouvement vers la droite ou vers la gauche suivant des pas déterminés antérieurement.
L'alimentation en courant électrique pour les aimants peut se faire à partir du disque 40, au moyen de contacts, et à partir de l'indicateur de marquage ou du châssis 48 de la carte géographique 37. On peut employer également des fils traînants ou toute autre espèce d'amenée de courant,
Aux figures 8 et 9, on a montré comment on peut effectuer la transmission des impulsions dépendant de la course et de la direction.
A la figure 8, on voit qu'un arbre à came 50 ferme le circuit au moyen d'un contact interrupteur 51. Suivant la dimension de la came, on peut choisir alors la durée des impulsions électriques. L'arbre à came peut être actionné par l'arbre du tachymètre 52, au moyen de méca-
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nismes réducteurs. L'émission d'impulsions - tant celle qui dépend de la course que celle qui dépend de la direction - peut être modifiée par mise hors circuit ou en circuit des transmissions.
Dans une ville, par exemple on choisira une transmission plus petite, afin que l'indicateur de marquage parcoure, par kilomètre, une distance plus longue que sur les grand'routes De cette façon, il est possible d'adapter le dispositif, en ville, à l'échelle des plans y employés ordinairement, tandis que pour la marche en campagne, on pourra l'adapter aux cartes employées dans ces régions. Il en est de même pour la transmission de la colonne de direction 53 au disque 54 qui actionne le câble. Ce câble ne peut pas être flexible dans 1' un ni dans l'autre sens. On peut aussi employer un arbre mobile, et faire usage de transmissions et de systèmes réducteurs qui indiquent toujours exactement le stationnement, étant donné qu'ils se trouvent sous la commande des impulsions de course et dépendent de l'échelle de la carte.
On peut éviter absolument toute erreur si, par exemple, l'indicateur de marquage est muni d'un bouton en couleur et une route parcourue antérieurement est marquée sur une carte, qui, rainurée, sert au guidage de l'indicateur.
Si l'indicateur de marquage se trouve à l'extrémité supérieure de la carte, il est possible de le replacer en bas à la main, afin de commencer une autre carte. Si, au bourd supérieur de la carte, on la fait tourner de 360 , les guidages rectangulaires retiennent fixement l'indicateur et la base s'ajuste de nouveau en bas. La direction de la flèche est alors modifiée de même et le mécanisme de manoeuvre- -graduelle indiquant @ le stationnement recommence sa marche. Il peut être placé en tout endroit quelconque, vu que les impulsions de course sont toujours conformes à la course effective, fixée d'avance, qui correspond à l'échelle de la carte.
A l'examen de la figure 10, qui donne une vue perspective du dispositif, on voit que les impulsions de course sont données par la batterie, par l'intermédiaire du contact 51. Cette émission d'impulsions de course est largement indépendante des fluctuations de courant de la batterie, puisqu'on peut choisir le surplus de force de l'aimant de-telle façon que des tensions faibles soient suffisantes pour produire le 'mouvement.
A la figure 10, on peut encore voir que le rouleau 43 qui se trouve entre la carte tournante 37 et la base réglable 40, porte, à sa partie supérieure, l'indicateur de marquage 39, 34 désigne la partie inférieure du bottier et 49, l'amenée de l'impulsion de direction. Grâce à la possibilité d' actionnement du mécanisme de manoeuvre graduelle en dépendance du courant et à la possibilité de déplacement de la base en vue de la transmission de la direction, on peut choisir pour la carte des dimensions si petites qu' on peut l'attacher au tableau de bord et même la prendre à la main sans que son utilisation n'en souffre, c'est-à-dire ne donne des résultats moins satisfaisants.
D'ailleurs, tout le mécanisme, malgré sa précision parfaite, est insensible à toute vibration ou secousse, chacune des impulsions correspondant exactement à un pas précis de la roue dentée.
On peut appliquer la présente invention dans tous les cas où l'on veut indiquer le stationnement d'une voiture en dépendance de sa course.
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