BE520195A - - Google Patents

Description

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    BRULEUR.   



   L'invention est relative à des perfectionnements apportés à   la   construction des   brûleurs   de   combustible.,   et plus spécialement à des per-   fectionnements   aux brûleurs à combustible destinés à être utilisés dans des unités génératrices de vapeur de capacité relativement petite du type employé d'ordinaire pour la production de vapeur destinée à des opérations industrielles, et propres à brûler du combustible soit liquide soit gazeux. 



   L'un des objets principaux de l'invention est de procurer un brûleur à combustible de construction perfectionnée,se traduisant par une combustion plus efficiente des combustibles tant liquides que gazeux, et l'élimination de la formation de dépôts de carbone dans l'ensemble injecteur de combustible et sur les parois internes de l'unité génératrice de vapeur. 



   L'un des buts primordiaux de la présente invention est, par suite, de prévoir un brûleur à combustible de construction telle que la vitesse des filets d'air fournissant l'air nécessaire pour la combustion et la vitesse du combustible, soient toutes deux   contrôlées   pour assurer   l'intermélange   optimum du combustible et de l'air et l'efficacité optimum de la combustion. 



   Eu égard à ce but général, un objet important de l'invention est -de prévoir   un   appareil brûlant du combustible comprenant une structure de guidage de l'air propre à produire des courants d'air primaire et secondaire concentriques se déplaçant axialement, et de contrôler de manière telle les vitesses des courants dans toute l'étendue de leurs trajets, que soit du combustible liquide, soit du combustible gazeux puisse être introduit concentriquement dans le courant d'air primaire, et convenablement intermélangé avec les courants   d'air   pour obtenir une efficacité de   combustion   optimum. 



   Plus spécifiquement, un objet de l'invention est de prévoir une structure de guidage d'air pour un brûleur à combustible propre à recevoir un cousant d'air sous pression, et à séparer et débiter l'air ain- 

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 si reçu sous forme d'un courant d'air primaire se déplaçant axialement et d'un courant d'air secondaire en spirale qui l'entoure, ces courants ayant des vitesses appropriéespour se mélanger convenablement avec un courant soit de combustible gazeux soit de combustible liquide pulvérisé, introduit centralement dans le courant d'air primaire, et qui comprend un espace plein d'air définissant une chambre d'air principale généralement cylindrique, des moyens dans l'espace plein d'air définissant une chambre d'air primaire coaxialement alignée avec la chambre d'air principale,

   des orifices de sortie d'air de combustion primaire et secondaire coaxialement alignés formés respectivement dans les chambres d'air primaire et principale, et des moyens pour diriger une portion de l'air introduit dans la chambre d'air principale, dans la chambre d'air primaire. 



   Dans les brûleurs à combustible liquide, l'un des buts les plus importants est l'introduction de combustible dans le foyer d'une manière telle qu'aucune quantité de combustible non brûlé ne soit projetée ou atteigne la matière réfractaire ou les surfaces de transmission de chaleur dans l'unité génératrice, car ceci y produit des dépôts de carbone objectionnables. 



   En dépit du fait que, dans des unités génératrices de vapeur relativement petites auxquelles la présente invention est applicable, lorsqu'on utilise du combustible liquide, il soit désirable que le combustible liquide soit injecté sous forme d'un fin brouillard pour former une flamme courte et nourrie ou touffue commençant près de l'extrémité de décharge de l'ajutage, de manière qu'aucune quantité de combustible liquide non brûlé ne puisse être amené à atteindre les surfaces de transmission de chaleur ou les surfaces réfractaires de l'unité génératrice de vapeur, même au taux de charge maximum du brûleur? les injecteurs de combustible liquide antérieurs pour appareils de combustion à combustible liquide, ne produisent pas une flamme ayant ces caractéristiques désirables de combustion
Conformément,

     c'est   un objet important de l'invention de prévoir un appareil d'injection de combustible liquide d'une construction perfectionnée, grâce auquel du combustible liquide peut être introduit dans la zone de combustion d'un foyer, d'une manière propre   à   produire une courte flammenourrie ou touffue dans laquelle le combustible est entièrement consumé sans projection de combustible non brûlé sur la matière réfractaire de la zone de combustion du foyer ou les surfaces de transmission de chaleur de l'unité génératrice de vapeur 
Un autre objet de l'invention est de prévoir un appareil brûlant du combustible liquide dans lequel le combustible liquide est introduit dans la zone de combustion du foyer sous la forme d'un fin brouillard de vitesse relativement faible . 



   L'introduction de combustible liquide sous forme d'un fin brouillard produisant une courte flamme nourrie ou touffue comme dans la présente invention a pour résultat d'éliminer l'obligation d'un garnissage réfractaire sur une longueur importante dans le brûleur, comme cela est nécessaire dans des brûleurs antérieurs. Par suite, pour une dimension donnée d'unité génératrice de'vapeur une moindre quantité de matière réfractaire est nécessaire, et l'on dispose d'une plus grande étendue de surface de transfert de chaleur. 



   Dans les injecteurs à combustible liquide antérieurs, bien des difficultés ont été également rencontrées, résultant de la formation de dépôts de-carbone dans l'orifice de sortie et les canaux à combustible de l'ajutage à combustible..   Ces  dépôts   de carbone proviennent principalement de la cokéfaction du combustible liquide restant dans l'ajutage après que   l'alimentation'de   combustible a été coupée , sous l'effet de la chaleur intense à làquelle la portion terminale de l'ajutage est soumise de la part du garnissage réfractaire du foyer qui se refroidit lentement.

   Pendant le fonctiom.ement du   brtleur.,   le fluide de pulvérisation et le combustible li- 

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 quide traversant l'ajutage dissipent effectivement la chaleur à laquelle l'extrémité de l'ajutage est soumise mais, à la cessation du fonctionnement la pleine intensité de la chaleur provenant du garnissage réfractaire du foyer adjacent de la sortie de l'ajutage agit efficacement pour chauffer cet ajutage. Dans des injecteurs antérieurs ,- de fréquents nettoyages des passages à combustible de l'ajutage sont nécessaires pour éliminer cette accumulation de carbone. 



   Conformément, c'est un autre objet important de l'invention de prévoir un injecteur de combustible liquide d'une construction perfection- née, grâce auquel l'accumulation de dépôts de carbone dans les passages de l'ajutage est éliminée. 



   Plus spécifiquement, c'est un objet important de l'invention de prévoir un injecteur de combustible liquide d'une construction perfec- tionnée, dans lequel des trajets de transfert de chaleur et des éléments ou blocs de transmission de chaleur sont utilisés pour empêcher qu'il se produise un échauffement des parois des canaux à combustible de l'ajutage dans une mesure qui serait suffisante pour déterminer des   dép8ts   de carbone et pour assurer la transmission de la chaleur à laquelle l'ajutage est soumis à des organes du brûleur où la chaleur peut être dissipée sans produire la cokéfaction du combustible. 



   Un autre objet de   l'invention   est de prévoir un ensemble injecteur de combustible liquide d'une construction perfectionnée, dans lequel la chaleur à laquelle l'ajutage est soumis pendant le fonctionnement du brûleur est utilisée pour le préchauffage additionnel du fluide de pulvérisation tel que l'air ou la vapeur, à l'effet de produire un fonctionnement global plus efficace du brûleur. 



   Dans des injecteurs de combustible antérieurs, certaines difficultés proviennent de ce que, à l'arrêt du brûleur le combustible liquide restant dans le conduit menant à l'ajutage a tendance à s'écouler lentement sur le garnissage réfractaire de la chambre de combustion, ou bien dans les passages d'amenée du fluide de pulvérisation de l'ajutage. 



  L'accumulation de combustible provenant de cet écoulement ou fuite se traduit par des conditions de démarrage défavorables du brûleur et un fonctionnement d'ensemble inefficace, produisant l'injection initiale de combustible liquide non pulvérisé, et la combustion de combustible directement sur les parois du foyer. 



   Un autre objet important de l'invention est, par conséquent, de prévoir un injecteur de combustible liquide d'une construction perfec-   tionnée,dans   lequel l'écoulement ou fuite de combustible à partir du conduit d'alimentation de combustible, à travers les passages à combustible de l'ajutage, est empêché lors d'une interruption du fonctionnement du brûleur. 



   Plus spécifiquement, c'est un objet de l'invention de prévoir un injecteur de combustible d'une construction perfectionnée, comprenant un élément d'arrêt pour le combustible, qui empêche l'écoulement ou fuite du combustible à partir du conduit d'alimentation de combustible, lorsque cette alimentation est coupée, mais qui n'entrave pas l'écoulement du combustible pendant le fonctionnement du brûleur. 



   Ces et d'autres objets importants de l'invention ressortiront de la description qui va suivre en regard des dessins annexés dans lesquels des chiffres de référence correspondants désignent des organes ou parties analogues dans les différentes figures et sur lesquels : 
Fig. 1 est une vue partie en coupe d'un ensemble de brûleur conforme à l'invention propre à   brûler   indifféremment soit du combustible liquide soit du combustible gazeux; 
Fig. 2 est une vue en coupe de cet ensemble obtenue suivant la ligne 2-2 de la figure 1; 

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   Fig. 3   est une vue en coupe, illustrant principalement la structure de guidage d'air dans l'espace plein d'air, et obtenue suivant 3-3 de la fige 1;

   
Fig. 4 est une vue éclatée en perspective, montrant les différentes parties d'un brûleur pour l'utilisation de combustible gazeux; 
Fig. 5 est une vue en coupe de l'ensemble d'un brûleur propre à utiliser uniquement du combustible gazeux; 
Fig. 6 est une vue en coupe verticale d'un appareil brûleur de combustible propre à utiliser uniquement du combustible liquide; 
Fig. 7 est une vue agrandie, en coupe verticale, de   l'injec-   teur de combustible liquide du brûleur des figs. 1 et 6; 
Fig. 8 est une vue éclatée, à échelle agrandie, en coupe, des noyaux, bague:-chapeau et corps de   l'ensemble   de l'ajutage de l'injecteur à combustible de la fig. 7; 
Fig. 9 est une vue en bout par l'avant de l'organe formant le noyau de l'ensemble de l'ajutage, observé suivant 9-9 de la fig. 8;

   
Fig.   10   est une vue en bout par l'arrière de l'organe formant le noyau de l'ensemble de l'ajutage, observé suivant 10-10 de la fig. 8; 
Fig. Il est une vue en bout par l'avant de la bague-chapeau de l'ensemble de l'ajutage, observée suivant 11-11 de la fig. 8; 
Fig. 12 est une vue en bout par l'arrière de l'organe formant le corps de l'ensemble de l'ajutage, observé suivant 12-12 de la fig. 8; 
Fig. 13 est une vue en coupe fragmentaire de l'ensemble de l'ajutage, obtenue suivant la ligne 13-13 de la fig. 11; et, 
Fig.   14   est une vue perspective de l'organe formant élément d'arrêt pour le combustible liquide de l'injecteur à combustible de la fig. 



  7. 



   Un brûleur de construction perfectionnée, propre à   brûler   effectivement des combustibles soit liquides soit gazeux, est montré fig. 1 
Dans ce brûleur, des moyens sont prévus pour entourer un courant de combustible injecté centralement, par une masse d'air primaire s'écoulant axialement qui est suffisante pour la combustion initiale, et par une masse d'air secondaire formant une spirale, suffisante pour compléter la combustion.

   Lorsque du combustible liquide, comme de l'huile, est utilisé, le combustible est pulvérisé et distribué dans le courant d'air primaire dans la chambre de combustion pour assurer un intermélange convenable,tandis que lorsque du combustible gazeux est utilisé l'air primaire et le combustible gazeux sont mélangés dans une chambre de   prémélan-   ge, avant l'introduction dans la chambre de combustion.

   La structure de guidage de l'écoulement d'air est telle que la proportion relative d'air primaire à l'air secondaire peut être réglée par le choix convenable de la grandeur d'anneaux contrôlant les dimensions des orifices d'air primaire et d'air secondaire pour le taux de fonctionnement maximum de la chaudière, et telle que la quantité d'air totale fournie peut être réduite en vue d'un fonctionnement à une fraction de ce taux maximum, sans déranger soit la distribution établie de l'air ou bien la proportion relative d'air primaire à l'air secondaire. 



   Structure de guidage d'air. 



   Dans la structure du brflleur, un logement procurant une chambre d'air principale, ou espace plein d'air 10, est fixé à l'extrémité de la chambre de foyer ou de combustion 12, d'une chaudière,par exemple à l'aide de boulons   14.   L'espace plein d'air 10 est généralement de section droite circulaire   cornue   il est montré fig. 2, comportant une lumière d'entrée d'air 16 ouverte vers le bas, et une lumière de sortie 18 ouverte dans 

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 le sens axial, dans son extrémité voisine de la chambre de combustion, com- me il est montré fig. 1. La lumière de sortie 18 est coaxialement alignée avec une paroi tronconique 20 de la garniture réfractaire de la chambre de combustion, et avec le contour généralement cylindrique de l'espace plein d'air 10.

   Comme montré le mieux dans la fig. 2, la surface interne de la paroi 22 de la lumière d'entrée 16 est tangentielle à la surface cy- lindrique interne 23 de l'espace plein d'air 10, l'espace entre la paroi
22 et le bord 24 de la paroi cylindrique interrompue de l'espace plein d'air, définissant l'ouverture possible maximum de la lumière d'entrée. 



   La lumière d'entrée 16 est reliée par un conduit d'air flexi- ble 26 à la sortie 28 d'un appareil de soufflage (non représenté), d'une manière conventionnelle. Dans cette structure, le courant d'air entrant est introduit sous pression à une vitesse pratiquement constante dans l'espace plein d'air 10, par le passage d'entrée 16, en formant une couche ou film d'air en mouvement au voisinage de la paroi 22, d'une épais- seur radiale égale à la distance entre la paroi 22 et le bord 24.

   Ce cou- rant d'air pénétrant dans l'espace plein d'air 10, qui est tangentiel à la paroi cylindrique 23, suivra un trajet généralement circulaire autour de la paroi cylindrique 23,comme indiqué par la flèche 29 dans la fig. 2 
Des moyens sont prévus pour contr8ler le volume de l'air qui entre, en modifiant l'épaisseur du courant d'air passant à l'entrée le long de la paroi 22, sans déranger l'écoulement tangentiel du courant d' air entrant. Une valve papillon, qui peut être ajustée pour modifier les dimensions de l'ouverture en 24, est représentée par un organe en forme de plaque 30, ayant une surface externe arquée 32 et une surface interne 34 convenablement courbée ou conformée en ligne de flux  eomme   illustré, pour provoquer un minimum de turbulence du courant d'air qui passe.

   L'organe en forme de plaque 30 est convenablement fixé à des bras pivotants 36 et 38 qui, à leur tour, sont fixés à un axe de pivotement 40 tourillonné dans les parois 42 et 44 du passage d'entrée 16, comme il est montré fig. 1. On peut prévoir toute liaison ou   timpnerie   appropriée de contrôle pour assurer positivement la position de l'axe 34. 



  Une telle liaison ou timonerie est actionnée par un moyen de contrôle de valve papillon (non représenté) qui contrôlera également la quantité de combustible introduite dans le brûleur, d'une manière conventionnelle, Grâce à cette struction de valve, la quantité d'air introduite dans l'espace plein d'air peut être modifiée suivant la charge du brûleur, sans modifier pratiquement la vitesse d'entrée de l'air dans l'espace plein d'air à la valve papillon. La vitesse de pénétration de l'air est réglée approximativement à 19,50 m par seconde (avec une tolérance de ¯ 10 à   15%)'   Comme les moyens de contrôle pour l'organe en forme de plaque 30 ne font en eux mêmes pas partie de l'invention, ces moyens ne sont ni représentés ni décrits. 



   Comme, ainsi que montré fig. 2, l'axe 40 est parallèle à la paroi 22, l'organe en forme de plaque 30 peut être basculé vers la paroi 22 pour réduire l'ouverture de la lumière d'entrée 16. Des butées appropriées sont prévues pour limiter le déplacement de l'organe en forme de plaque 30, un épaulement   46,   formé d'une pièce avec la paroi de la lumière d'entrée, déterminant la position d'ouverture maximum de cette valve papillon d'entrée, tandis qu'une butée réglable 48 limite la fermeture de la valve d'entrée. Du fait que l'organe en forme de plaque 30 se meut vers la paroi 22, l'épaisseur du courant d'air, et de ce fait la quantité d'air entrant peut être réduite sans déranger l'écoulement tangentiel du courant d'air, tandis que la vitesse de l'air entrant est maintenue appro-   ximativement   constante.

   Du fait que la pression d'air dans l'espace plein d'air 10 est plus grande que celle dans la chambre de foyer 12, en raison tant du tirage du foyer que de la pression de l'appareil de soufflage de l'air entrant, le courant d'air   s'écoulant   dans l'espace plein d'air, et cheminant circonférentiellement dans celui-ci, chemine pratiquement en spirale vers la lumière de sortie 18. 

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   Injection et mélange de combustible gazeux. 



   Comme il est montré fig. l, un logement plein de gaz 50 comportant une lumière d'entrée radiale 52, est fixé, par exemple à l'aide de boulons   54,   à l'extrémité externe de l'espace plein d'air la, opposée- à sa lumière de sortie 18. Cette extrémité de l'espace plein d'air 10 est établie avec une grande ouverture 56, pour laquelle des portions en forme de bride 58 de l'espace plein de gaz 50 servent de couverture. La paroi 60 de l'espace plein de gaz 50 est établie avec une ouverture 62, y formée en alignement axial avec la lumière de sortie 18. Un organe tubulaire   64,   comportant une bride 66 y fixée à une extrémité, est assujettie à la paroi 60 de l'espace plein de gaz, à l'endroit de l'ouverture 62 par exemple à l'aide de boulons 68.

   L'organe tubulaire 64 s'étend à partir de la paroi 60, coaxialement à travers l'espace plein d'air la, jusqu'à la lumière de sortie 18. Une chicane d'air primaire 70 qui, est fixée dans l'organe tubulaire 64, comme par exemple à l'aide de vis de pression 71 est établie intérieurement avec une surface annulaire de révolution 72 convergente vers la lumière de sortie 18. La portion arrière 74 de l'organe tubulaire 64, et le col ou section retrécie de la chicane d'air primaire 70, forment ensemble un ajutage à gaz pour diriger l'écoulement d'un combustible gazeux de l'espace plein de gaz 50 vers la chambre de combustion 12 à travers la partie centrale de la lumière de sortie 18. 



   Ceci ressort clairement de la fige 5. L'étendue en section droite de l'ajutage formé par la surface 72 est proportionnée de manière telle par rapport à la pression d'alimentation du combustible gazeux que la vitesse de sortie du combustible gazeux soit comprise entre 8,70 et 18 m par seconde pour la charge maximum du brûleur. 



   La structure de guidage d'air est prévue dans espace plein d'air 10 pour séparer l'air qui y circule en courants d'air primaire et d'air secondaire entourant le combustible injecté centralement, afin de fournir l'air nécessaire à la combustion. 



   Le courant de l'air primaire pour la combustion initiale pénètre dans la chambre de combustion 12 à travers la portion avant de l'organe tubulaire 64, en avant de la chicane 70, tandis que le courant de l'air secondaire représentant l'air restant nécessaire pour la combustion complète, pénètre à travers la lumière 18 sur le pourtour extérieur de l'organe tubulaire 64. L'étendue de la section droite de l'orifice primaire est déterminée par le diamètre interne d'un corps en forme de tore   76,   connu sous le nom de bague d'air primaire, monté dans l'extrémité interne de l'organe tubulaire formant ajutage, 64 par exemple à l'aide de vis de pression 78.

   L'étendue en section droite de l'orifice d'air secondaire est déterminée par un corps en forme de tore 77, connu sous le nom de bague d'air secondaire, fixé autour de l'extrémité interne de l'organe tubulaire 64 au voisinage de la lumière de sortie 18, par exemple à l'aide de vis de pression 790
Ces bagues 76 et 77 étant assujetties à l'organe tubulaire 60 uniquement par des vis de pression 78 et 79, peuvent être facilement enlevées de la structure de guidage d'air. La proportion relative d'air primaire à l'air secondaire est contrôlée entièrement par les dimensions relatives des bagues d'air primaire et d'air secondaire 76 et 77, qui procurent des orifices de mesurage annulaires précis.

   Les bagues d'air 76 et 77 sont de dimensions relatives telles que le courant d'air primaire représente de 40 à 55% de l'air total de combustion et les orifices d'air primaire et d'air secondaire sont de dimensions telles que la moyenne des vitesses de débit de l'air primaire et de l'air secondaire est comprise entre 42 et 60 m/seconde aux taux maximum de fonctionnement du brûleur. L'air primaire pénètre dans l'organe tubulaire 64 par une série de perforations ou trous 80 pratiqués dans sa paroi, à l'emplacement de l'ajutage de gaz 70. De l'air est dirigé radialement à travers ces perforations ou trous 80 par un dispositif compresseur d'air fixe 81, comportant une rangée annulaire d'aubes de guidage 82 s'étendant longitudina- 

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 lement, supportées dans une position fixe, entre une paire de supports an- nulaires 84 et 86.

   Ce dispositif compresseur d'air fixe 81 est monté coaxialement sur l'organe tubulaire 64 par un anneau 88 y fixé par tous moyens appropriés, comme par exemple des vis de pression 89, et assujet- ti au support   84   par exemple   à   l'aide de boulons 90 . Un cone 92 est monté entre le support 86 et la bague d'air secondaire 77. Le cone 92 procure une surface directrice d'écoulement pour   l'air¯secondaire,   et struc- turalement il renforce   l'assemblage.   



   Comme indiqué précédemment, l'air dans l'espace plein d'air circule en spirale dans l'espace plein d'air généralement cylindrique 10, de la lumière d'entrée 16 vers la lumière de sortie 18. Comme on peut le voir   fig.   3, ce cheminement s'effectue dans le sens opposé à celui des aiguilles d'une montre. Une portion de cet air en circulation attein- dra les aubes d'air fixes 82 et sera dirigé radialement vers l'intérieur   à   travers les trous ou perforations 80 de l'organe tubulaire 64. 



   La réduction de la vitesse de l'air ainsi   dirigé   se traduira par une pression d'air accrue dans le dispositif ou ensemble compresseur 81 et dans l'organe tubulaire 64. L'étendue globale en section droite des perforations ou trous 80 doit être considérablement plus grande que celle de l'ouverture de la bague d'air primaire   76,   savoir de l'ordre de 50 à 75 % plus grande, une gamme de 65   à     75 %   étant préférable. Comme il n'y a pas de différence de pression marquée entre les surfaces extérieure et intérieure de l'enveloppe de l'organe tubulaire 64, la proportion relative d'air primaire et d'air secondaire est contrôlée par les dimensions des bagues d'air primaire et d'air secondaire 76 et 77.

   La surface externe 94 de l'ajutage de gaz 70 est une surface lisse de révolution convergente vers la lumière de sortie 18, l'ajutage 70 étant de longueur telle que la surface 94 s'étend légèrement au dela des perforations ou trous situés les plus en avant, et de dimension telle que la vitesse de l'air pri maire vers l'orifice d'air primaire est d'approximativement 31,50 m/seconde pour la charge maximum du   brûleur?   l'étendue de la section annulaire effective de mesurage d'air primaire, définie entre l'extrémité de l'orifice de la surface 94 et la paroi interne de l'organe 64 étant de 33 à 50 % plus grande que l'étendue de la section droite de l'orifice de sortie de l'air primaire.

   La surface 94 sert ainsi de chicane d'air primaire pour rediriger l'air primaire entrant radialement, en un courant d'air annulaire se détendant et s'écoulant axialement vers la chambre de foyer 12 à travers la bague d'air primaire 76. 



   Les parties composantes décrites jusqu'à présent forment la structure du brûleur à combustible gazeux. Une vue de ces éléments assemblés, destinés à être uniquement employés avec du combustible gazeux est donnée par la fig. 5, cette structure ne différant de celle de la fig. 1 que par l'omission de l'ensemble formant   l'injecteur   à combustible liquide 96, et son remplacement par une plaque de couverture 97. Lorsque du gaz est   brillé,   du combustible gazeux passe de l'espace plein de gaz 50,   à     tra-   vers l'organe tubulaire 64 et l'ajutage 70 vers l'orifice formé par la bague d'air primaire 76. Le courant d'air primaire annulaire pénètre dans l'extrémité avant de l'organe tubulaire 64, et s'écoule axialement sur la surface 94 vers l'orifice de la bague d'air primaire. 



   La portion de l'organe tubulaire 64 située en avant de l'extrémité la plus étroite de l'ajutage   70,   sert de chambre de prémélange peur l'air primaire et le combustible gazeux, à l'effet d'assurer   l'intermélange   nécessaire de combustible et d'air avant que le courant n'atteigne la zone de combustion dans la chambre de foyer 12. Ce prémélange d'air et de   com-   bustible se produit dans l'organe tubulaire 64 et à la bague d'air primaire 76. L'étendue en section droite interne de la portion de l'organe 64 formant la chambre d'air primaire ou de prémélange, en avant de l'ajutage 70, est de préférence de 50 à 75 % plus grande que l'étendue en section droite de l'orifice de sortie d'air primaire, à l'effet de maintenir des vitesses convenables d'air et de combustible pour un prémélange optimum.

   A l'effet 

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 d'assurer le mélange convenable et des vitesses de combustible gazeux convenables, l'étendue en section droite de l'extrémité de décharge de l'ajutage 70 représente de 65 à 77% de l'étendue en section droite de l'orifice de sortie de l'air primaire. 



   Un organe d'allumage approprié (non représenté) est prévu près du débouché de la lumière de sortie   18.   Lorsque la charge de combustible gazeux et d'air primaire mélangé est introduite dans la chambre de foyer, elle est en outre entourée par une masse cheminant en spirale d'air secondaire qui   s'intermélange   avec le combustible en expansion qui   brille   pour en assurer la combustion complète. 



   Injection de combustible liquide. 



   Gomme mentionné, l'ensemble de brûleur de la fig. 1 est propre à   brûler   soit du combustible liquide, soit du combustible gazeux. 



  Lorsque du combustible liquide doit être utilisé dans le brûleur combiné de la fig. 1, l'alimentation de gaz est simplement coupée en dessous de la lumière 52. A l'effet d'introduire du combustible liquide dans la chambre de foyer, dans une forme convenant à la combustion, l'injecteur de combustible liquide, qui va être décrit, prévu pour injecter le combustible liquide sous forme d'une pulvérisation, au centre du courant d'air primaire est accouplé pour être utilisé avec la structure de guidage d'air précédemment décrite dans l'injecteur de combustible gazeux. Un tel agencement est représenté dans la fig. 6. 



   Lorsque le brûleur est modifié de cette façon, un organe formant couvercle 50' est assujetti, par exemple par des boulons   54,   à l'extrémité externe de l'espace plein d'air 10 opposée à sa lumière de sortie 18, par dessus la grande ouverture d'accès 56, en lieu et place de l'espace plein de gaz   50.   La paroi intérieure 60' de l'organe formant couvercle 50' est établie avec un évidement 62' y pratiqué en alignement axial avec la lumière de sortie 18, et l'organe tubulaire 64, avec la bride 66 y fixée, est assujetti à la paroi 60' de l'organe formant couvercle 50' à l'endroit de l'évidement   62',   par les boulons 68. L'organe tubulaire 64 s'étend à partir de la paroi 60', coaxialement à travers l'espace plein d'air la jusqu'à la lumière de sortie 18.

   La chicane d'air primaire   70   est fixée dans l'organe tubulaire 64 par les vis de pression 71 et elle comporte intérieurement la surface annulaire de révolution 72 convergente vers la lumière de sortie 18, comme précédemment décrit en référence aux figs. 



  1 et 5. 



   La structure de guidage d'air, qui est identique à celle montrée par les figs. 1 et 5, fonctionne de la manière antérieurement définie. 



   Comme mentionné, à l'effet de réaliser une combustion efficace du combustible,et d'éliminer la formation de carbone sur les parois réfractaires et de transmission de chaleur de la chambre de combustion, du combustion liquide est de préférence injecté dans la zone de combustion sous la forme d'une courte flamme nourrie ou touffue. Un exemple des dimensions d'une telle flamme, comparativement aux dimensions d'une chambre de combustion illustrera probablement mieux ce que l'on entend par une courte flamme nourrie ou touffue.

   Dans une chaudière de 80 HP, du type illustré qui est l'une parmi de nombreuses chaudières à laquelle la présente invention est applicable, la chambre de combustion formée par les surfaces de transmission ou de transfert de chaleur affecte la forme d'un cylindre ayant approximativement   2,30   m de long et environ 50 cm de diamètre. Pour une telle chambre de combustion une courte flamme touffue ou nourrie introduite coaxialement, à la charge maximum du brûleur, par exemple 109 litres de combustible par heure aura de préférence une longueur globale de   1,40   m à 1,52 m à partir del'orifice de décharge de l'ajutage, la flamme partant à environ 25 mm, ou moins, de l'ajutage.

   A l'extrémité de. l'ajutage de la flamme, celle-ci aura de préférence un diamètre d'environ 20 cm et elle croîtra graduellement en diamètre jusqu'à avoir approximativement 46 cm à une distance d'environ 1 m de l'ajutage. Lorsque la charge du 

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 brûleur est ramenée en dessous du maximum, les dimensions de la flamme sont réduites proportionnellement. 



   Une flamme de cette configuration générale procure des conditions de combustion optimum dans un espace minimum. L'injecteur de combustible liquide de la présente invention, décrit ci-après en détail, en coopération avec la structure de guidage d'air précédemment décrite, produit une flam- me de la forme courte et nourrie ou touffue précédente, et peut être utili- sé avec des chambres de combustion ayant une forme de section droite autre que circulaire pour obtenir des conditions de combustion avantageuses ana-   logues .    



   Il doit être entendu que les dimensions de flamme ci-dessus sont uniquement illustratives de ce que l'on entend par une flamme qui est courte et nourrie ou touffue par rapport aux dimensions longitudinale et de sec- tion droite de la chambre de combustion, et que de telles dimensions varie- ront avec la charge et la capacité de charge du brûleur. 



   L'ensemble injecteur à combustible liquide 96 qui est établi conformément à la présente invention, et qui est propre à produire une flamme courte, nourrie ou touffue telle que celle décrite plus haut, comprend une paire de tubes concentriques 98 et 100 comportant à leur extrémi- té voisine de la chambre de foyer un ajutage de pulvérisation 102 et, à l'autre extrémité desquels est monté un raccord d'entrée d'huile et de fluide de pulvérisation 104. L'ensemble injecteur de combustible 96 est rigidement supporté dans sa position coaxiale dans le tube 64 par le raccord 104 qui est assujetti par des boulons 106   à   l'extrémité arrière de la plaque formant couvercle 50'.

   Le raccord 104 est établi avec des lumières d'entrée 110 et 112 qui sont reliées par des conduits appropriés 114 et 116 à une source de combustible liquide, comme du mazout, et à une source de fluide de pulvérisation sous pression, comme de l'air ou de la vapeur, respectivement. 



   Le raccord 104 est pourvu d'un alésage terminal 111 dans lequel s'ouvre la lumière d'entrée de fluide de pulvérisation 112 et, au fond de l'alésage 111, on prévoit un alésage fileté réduit   113   dans lequel s' ouvre la lumière d'entrée d'huile 110. Le tube 100 est fileté à son extrémité externe pour s'assembler dans l'alésage 113 de manière que de l'huile pénétrant dans le raccord soit débitée dans le tube 100. Le tube 98 qui 1' entoure s'adapte étroitement dans l'alésage 111 pour communiquer directement avec la lumière d'entrée de fluide de pulvérisation 112.

   Le tube 98 est monté dans le raccord 104 par une bride de guidage 118 qui est convenablement assujettie à l'extérieur du tube 98 et montée sur le raccord 104, par exemple à l'aide de vis   119.   Si on le désirait, la bride 118 pourrait être formée d'une pièce avec le tube 98. 



   Des valves appropriées de fermeture et de contrôle (non représentées) sont prévues dans les conduits d'entrée 114 et 116, d'une manière conventionnelle, pour   contrôler   l'écoulement du combustible et du fluide de pulvérisation sous pression. La valve de contrôle de combustible est actionnée avec la valve papillon de contrôle d'air, suivant la charge de la chaudière, tandis que celle pour le fluide de pulvérisation conserve sa position d'ajustement initial indépendamment de la charge. 



   Ajutage. 



   De l'air comprimé venant du tube 98 pulvérise l'huile du conduit 100 à l'ajutage 102, pour débiter l'huile en fines particules dans la chanbre de foyer   12.   La structure de l'ajutage 102 est du type perfectionné qui est montré dans les figures 7 à 13. Gomme montré fig. 7, l'ajutage 102 consiste principalement en trois organes un organe formant noyau cylindrique 120, un organe en forme de plateau annulaire ou bague formant chapeau   121,   et un organe formant corps cylindrique creux 122.

   Dans leur position assemblée, le noyau 120 s'ajuste étroitement dans la paroi interne 122' du corps   122,   et la bague - chapeau 121 est serrée dans l'organe formant corps entre le noyau 120 et la paroi terminale du corps 122, la position axi- 

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 ale relative de ces organes étant maintenue par l'appui de l'extrémité arrière du noyau 120 contre l'extrémité du tube à fluide de pulvérisation 98 lorsque le corps 122 est serré sur le tube 98 par la liaison filetée 123 entre ces organes. 



   Gomme le montre le mieux les figs. 8 et 10, le noyau 120 est établi avec un alésage terminal central   124,   dans lequel s'adapte étroitement l'extrémité avant du tube à combustible 100. Un anneau compressible de section circulaire, 126, de préférence en caoutchouc, est prévu dans une gorge annulaire   126'   du tube 100 pour empêcher les fuites entre le passage d'huile et le passage de fluide de pulvérisation à travers le tube 98. Le noyau 120 est pourvu d'une tête réduite 127, reliée à sa portion cylindrique principale par un col de diamètre réduit   128   formé par une gorge annulaire 129.

   Une multiplicité de petits trous   ou.   perforations parallèles   130,   disposés concentriquement autour de l'axe longitudinal du noyau, procurent des passages pour le fluide de pulvérisation, du tube 98 dans la gorge 129 et la chambre annulaire 131 qui entoure la tête 127 dans le corps 122. L'extrémité de la tête 127 et le esté adjacent de la bague-chapeau 121 sont établis avec des surfaces coniques complémentaires 132 et 133 respectivement, maintenues en contact intime dans l'assemblage.

   Une multiplicité de rainures conductrices pour le fluide de pulvérisation,   134,   sont découpées dans la surface   132   de la tète, et une multiplicité de passages conducteurs inclinés pour l'huile, 135, un pour chaque rainure, sont formés à travers le col et la tête du noyau pour relier l'alésage 124 aux rainures 134 dans des emplacements intermédiaires entre les extrémités de celles-ci. Toutes les rainures 134 sont disposées suivant le même angle radial par rapport à l'axe du noyau, chacune d'elles étant perpendiculaire à un rayon du noyau,. et comme elles sont formées dans une surface conique   132,   elles sont toutes inclinées axialement suivant le même angle sur l'axe du noyau.

   A sa   pàinte.,   la tête 127 est entaillée afin de procurer une face conique 136 voisine des extrémités des rainures   134.   



   Comme illustré fig. 8, les rainures 134 ont des étendues en section droite progressivement décroissantes jusqu'à l'endroit où elles recoupent les passages d'huile 135 et elles sont alors de section droite constante pour le reste de leur longueur. 



   A l'extrémité opposée de la surface convergente   133,   la baguechapeau 121 est établie avec une surface lisse annulaire divergente 137, et un orifice   138   comportant une étroite lèvre plane est formé entre les deux. La surface 137 est une surface de révolution décrite par une ligne courbe se déplaçant autour de l'axe longitudinal de la bague-chapeau. 



  La paroi terminale du corps 122 est établie avec une surface lisse convergente analogue, de révolution, 139 dont le bord   139'   forme dans l'assemblage une continuation du bord 140 de la surface 137. Le bord 141 de la surface   139   délimite l'orifice de sortie de l'ajutage 102. 



   Comme illustré fig.   7,   les surfaces 137 et 139 définissent dans l'assemblage un dôme de mélange de forme torique,   142,   symétrique par rapport à l'axe de l'ajutage, et dans lequel une multiplicité de courants d'huile et de fluide de pulvérisation mélangés sont dirigés tangentiellement pour produire un mélange de combustible pulvérisé se détendant et tourbillonnant dans le dôme   142,   qui sort en spirale par l'orifice 141. 



   Comme déjà indiqué, à l'effet d'éviter que du combustible n'atteigne les surfaces de transfert de chaleur ou la matière réfractaire du garnissage du foyer, et pour produire une combustion complète du combustible dans une chambre courte, il est nécessaire d'injecter le combustible liquide dans la zone de combustion du foyer dans la forme d'un fin brouillard et de manière à produire une courte flamme nourrie ou touffue.

   La demanderesse a observé que ce résultat désiré peut être obtenu en   contrôlant   convenablement la pression du fluide de pulvérisation, la proportion relative de fluide de pulvérisation au combustible à injecter, la vitesse du 

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 fluide de pulvérisation à 1?emplacement de   l'intennélange   avec le combus- tible et la vitesse de sortie du mélange de combustible et de fluide de pulvérisation de l'ajutage. Les deux derniers de ces facteurs sont con-   trôlés   par le proportionnement convenable des dimensions des passages à travers l'ajutage en relation avec les deux premiers facteurs.

   A l'effet de produire une flamme axialement courte, la vitesse de sortie du mélange de fluide de pulvérisation et de combustible doit être basse, comprise dans l'intervalle de 97,5 m à 120 m par seconde. La demanderesse a obser- véque pour produire une telle vitesse de sortie, la vitesse du fluide de pulvérisation au point où s'effectue   l'intermélange   avec le combustible liquide, devra être comprise entre 195 et 240 m par seconde, la vitesse optimum étant approximativement 217,5 m par seconde, des variations dans la vitesse excédant cet intervalle se traduisant par un fonctionnement inefficace du brûleur ou la projection de combustible sur les surfaces environnantes..

   La vitesse du fluide de pulvérisation à l'emplacement de   l'intermélange   avec le combustible liquide est contrôlée en propor- tionnant l'étendue en section droite totale des passages pour le fluide de pulvérisation d'après la quantité de fluide de pulvérisation nécessaire à la capacité désirée du brûleur. 



   La pulvérisation optimum du combustible liquide est produite lorsque le rapport en poids du fluide de pulvérisation au combustible est 0,2 à 1 au taux de fonctionnement maximum du brûleur, le rapport pratique minimum étant 0,18   à 1.   Un rapport au dessus de 0,2   à   1 ne produit pas de résultats indésirables sauf qu'il nécessite des dimensions accrues des passages du fluide de pulvérisation dans l'ensemble injecteur mais ne produit aucune amélioration notable dans la pulvérisation du combustible. 



   Le rapport de l'étendue en section droite totale des passages du fluide de pulvérisation au point ou emplacement de l'intermélange avec le combustible liquide,, à l'étendue en section droite de l'orifice de sortie, est de préférence de l'ordre de 1 à 2 pour donner des résultats optima de fonctionnement. 



   Dans l'application à la structure d'ajutage représentée dans les figs. 8 à 12, l'étendue en section droite des rainures 134 à leur jonction avec les passages 135 est telle qu'une vitesse du fluide de pulvérisation en ce point se trouve comprise dans la gamme de 195à 240 m par seconde, une vitesse de 217,5 m par seconde en ce point produisant des résultats optima. La pression d'alimentation de fluide de pulvérisation est maintenue pratiquement constante dans tout l'intervalle de fonctionnement du brûleur, de sorte que ces vitesses restent pratiquement constantes pour maintenir la pulvérisation optimum du combustible. La vitesse   d'ali-   mentation de combustible est naturellement modifiée suivant la charge'du brûleur.

   L'étendue en section droite de l'orifice de sortie au bord 41, est approximativement deux fois l'étendue en section droite globale des rainures 134 à leurs points de jonction avec les passages   135,   une gamme de 1,65  à 1, à 2,3 à 1   constituant l'intervalle des proportions pratiques Une telle dimension d'orifice de sortie produit l'intervalle de vitesse de sortie désiré de 97,5 à 120 m par seconde. L'étendue en section droite de l'ouverture de la bague-chapeau 121 au bord   138   est de préférence de 1,35 à 1,25 fois l'étendue de l'orifice défini par le bord 141 du corps 122. 



   A l'effet de prévenir la cokéfaction du combustible liquide dans les rainures 134 et les passages 135 de l'ajutage, lors d'une interruption du fonctionnement du brûleur, il est nécessaire d'éviter la transmission de chaleur du garnissage réfractaire 20 du foyer aux parois qui délimitent ces canaux à combustible. Dans le passé, des efforts ont été tentes pour empêcher cette transmission de chaleur, en masquant l'ajutage vis-àvis du garnissage réfractaire et en retirant l'ajutage du foyer. Aucune de ces solutions ne s'est démontrée complètement satisfaisante.

   La demanderesse a résolu ce problème en prévoyant un ajutage de construction telle 

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 et établi en matériaux appropriés tels que des trajets de transmission de chaleur sont procurés par l'ensemble formant l'ajutage pour conduire rapidement de la chaleur de l'ajutage aux parois de l'espace plein d'air en vue de la dissipation de cette chaleur, et que des éléments ou blocs thermiquement actifs sont formés pour empêcher la   transmissicn   de chaleur des trajets de transmission de chaleur aux parois de l'ajutage qui délimitent les canaux à combustible. 



   Les trajets de transmission de chaleur sont définis dans l'injecteur 96 de la présente invention par le corps 122, dont la portion terminale est soumise à la chaleur provenant du garnissage réfractaire du foyer, et par le conduit 98, qui sont tous deux formés de métaux transmettant rapidement la chaleur. Le conduit 98 est de préférence établi en cuivre rouge ou en aluminium et le corps 122 est de préférence établi en cuivrebéryllium en raison de sa haute conductibilité thermique, de son usinabilité et du fait qu'il conserve des bords usinés vifs pendant de longues périodes de service. Le noyau 120 et la bague-chapeau 121 sont tous deux formés d'une matière non corrosive ayant un faible coefficient de conductibilité thermique pour prévenir la transmission de chaleur du corps 122 aux surfaces délimitant les canaux à combustible. 



   L'acier inoxydable a été trouvé particulièrement approprié dans ce but. Les portions filetées en engagement du conduit 98 et du corps 122 sont établies plus longues qu'il n'est requis par les conditions de résistance de la structure, afin de procurer une grande étendue de contact pour la transmission de chaleur entre les organes. La transmission de chaleur au conduit 98 échauffe préalablement le fluide de pulvérisation pendant le fonctionnement du brûleur et se traduit par un fonctionnement d'ensemble plus efficient. 



   Comme indiqué précédemment., certaines difficultés se sont également présentées dans des dispositifs antérieurs, provenant du lent   écou-   lement ôu fuite de l'huile de l'extrémité du tube d'amenée d'huile dans les passages de fluide de pulvérisation et à l'extérieur de l'ajutage dans le four lors d'une'interruption dans le fonctionnement du brûleur. A l'effet d'éliminer cet écoulement ou fuite on prévoit un élément d'arrêt 150 pour le combustible, monté dans un alésage terminal élargi 151 du conduit 100, qui permet l'écoulement pratiquement libre du combustible sous pression mais empêche cet écoulement ou fuite du combustible du conduit lorsque l'alimentation du combustible sous pression est coupée. L'élément d'arrêt de combustible 150 est représenté en perspective dans la fig. 14. 



  L'élément d'arrêt 150 consiste en une portion ou segment de disque supérieur 152 et une portion ou segment de disque inférieur 154 alignés coaxialement et unis par une petite portion cylindrique 156. L'élément d'arrêt 150 est monté dans l'extrémité du conduit, dans une position telle que les surfaces qui correspondent aux cordes 158 et 160 soient horizontales. Le segment de disque 152 vient porter contre la paroi terminale annulaire 161 de l'alésage 151 pour maintenir un alignement axial convenable entre l'élément d'arrêt 15P et le conduit 100 pendant l'assemblage. Les surfaces arquées des segments 152 et 154 sont unies et formant joint, à la paroi interne du conduit   100,   par exemple par soudure, pour empêcher les passages ou fuites d'huile et d'air entre la paroi du conduit et les surfaces arquées. 



   Pendant le fonctionnement du brûleur, le combustible liquide s'écoule par dessous la surface   158,   vers le haut autour des côtés de la portion cylindrique 156 et par dessus la surface 160 dans l'alésage termi-   nal 124   du noyau 120. Lorsque l'alimentation de combustible est coupée, le segment de disque inférieur   154   empêche l'écoulement ou fuite du combustible de la moitié inférieure du conduit 100,et le segment de disque supérieur 152 empêche l'entrée de l'air, vapeur ou autre élément déplaçant le liquide dans la moitié supérieure du conduit 100.

   L'écoulement de combustible par dessus la surface 160 est empêché du fait'que la pression atmosphérique de l'air s'exerçant sur la surface horizontale du combustible entre les segments 152 et 154, de part et d'autre de la portion cylindrique 156 est suffisante pour équilibrer la pression fluide produite par la portion 

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 de combustible occupant le conduit 100 derrière le segment 152 mais au-des- sus du niveau de la surface comprenant la corde 1600 
Gomme précédemment indiqué, les valeurs de vitesse données pour l'écoulement du combustible gazeux et l'écoulement de l'air primaire et de l'air secondaire, à l'exception de la vitesse d'entrée d'air dans l'espace plein   d'aira   se rapportent au- taux de charge maximum du brûleur
Ces vitesses seront proportionnellement moindres pour des charges moindres.,

   mais en raison du caractère amélioré de la structure de guidage de l'écou- lement de l'air de combustion et du combustible gazeux précédemment décrite les mêmes conditionnements efficaces d'air et de combustible seront mainte- nus dans la gamme étendue de fonctionnement du   brûleur.   Par exemple., l'es- sai standard de puissance pour chaudières de l'American Society of Mechani- cal Engineers, a montré que l'efficacité du brûleur décrit croît de 83,5 % à charge maximum, à 89 % à 1/3 de la charge maximum. 



   Par suite, le brûleur à combustible défini est propre à brûler des combustibles soit liquides soit gazeux isolément ou alternativement, et conserve un niveau élevé de rendement de combustion dans tout son intervalle de fonctionnement. 



   L'invention peut être réalisée sous d'autres formes spécifiques sans se départir de son esprit ou perdre ses caractéristiques essentielles Les réalisations indiquées doivent par conséquent être considérées à tous égards comme illustratives et non restrictives, et tous changements ainsi que la substitution d'équivalents pourraient y être apportés sans s'écarter des limites de l'invention telles que notamment définies par les revendications   REVENDICATIONS   
1.- Un appareil brûleur de combustible comprenant, en combinaison, une source d'air comprimé, une structure de guidage d'air reliée à la dite source et comportant des moyens définissant des orifices de sortie concentriquement alignés d'air primaire et d'air secondaire, pour diriger de l'air dans la zone de combustion d'un foyer,

   sous forme d'un courant d' air primaire   s'écoul.ant   axialement et d'un courant d'air secondaire en spirale qui l'entoure, les dits orifices d'air primaire et d'air secondaire étant de dimensions propres à communiquer, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, une vitesse axiale moyenne à l'air déchargé à travers ces orifices, allant de 42   à   60 m par seconde, et de dimensions relatives telles que le courant d'air primaire constitue en poids les 40 à 55 % de l'air total fourni par la dite source et des moyens d'injection de combustible comprenant un ajutage dans la dite structure de guidage d'air, qui est coaxial avec l'orifice d'air primaire, pour diriger un courant de combustible dans le centre du dit courant d'air primaire. 

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Claims (1)

1. 2.- Un appareil brûleur de combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant des moyens définissant des orifices de sortie, concentriquement alignés, d'air primaire et d'air secondaire, et propres à diriger de l'air dans la zone de combustion d'un foyer à travers les orifices sous forme d'un courant d'air primaire s'écoulant axialement et d'un courant d'air secondaire en spirale qui l'entoure, les dits orifices étant de dimensions propres à communiquer à l'air déchargé une vitesse de débit axiale moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur de 42 à 60 m par seconde, et de dimensions relatives telles que l'air primaire constitue en poids les 40 à 55 % de l'air de com- bustibn total,

   des moyens d'injection de combustible comprenant un ajutage monté dans la dite structure de guidage d'air en alignement coaxial avec le dit orifice d'air primaire, pour diriger un courant de combustible dans le centre du dit courant d'air primaire, le dit ajutage étant de construction propre à pulvériser du combustible liquide et à décharger un fin brouillard de combustible et de particules de fluide de pulvérisation inter-mélangés dans le courant d'air primaire à l'orifice de sortie de l'air primaire, avec <Desc/Clms Page number 14> une vitesse de sortie de l'ajutage de 97,5 à 120 m par seconde, et des moyens pour fournir du combustible liquide sous pression au dit injecteur de combustible.

   3.- Un appareil brûleur de combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une chambre d'air généralement cylindrique, des moyens pour diriger un courant d'air tangentiellement dans la dite chambre, des moyens définissant des orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire concentriquement alignés, et des moyens pour diriger une portion de l'air introduit dans la dite chambre d'air sous forme d'un courant s'écoulant axialement à travers le dit orifice de sortie d'air primaire, et le restant, sous forme d'un courant d'air secondaire en spirale entourant le courant d'air primaire, à travers le dit orifice d'air secondaire, les dits orifices de sortie étant de dimensions propres à communiquer à l'air qui en est déchargé une vitesse de débit axiale moyenne,

   au taux de fonctionnement maximum du brûleur?'de 42 à 60 m par seconde, et étant de dimensions relatives telles que le courant d'air primaire constitue en poids de 40 à 55 % de l'air total déchargé, et un injecteur de combustible pour diriger un courant de combustible dans le centre du dit courant d' air primaire, comprenant un ajutage de décharge de combustible gazeux convergent, monté dans la dite structure de guidage d'air, en alignement coaxial avec et axialement espacé de l'orifice de sortie d'air primaire, pour introduire du combustible gazeux dans le courant d'air primaire avant son passage à travers le dit orifice de sortie d'air primaire, le dit ajutage étant de dimensions propres à communiquer au combustible gazeux une vitesse axiale,

   au taux de fonctionnement maximum du brûleur? de 8,70 à 18 m par seconde à l'extrémité de décharge de l'ajutage.

   4.- Un appareil brûleur de combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une chambre d'air pratiquement cylindrique, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air, sous forme d'un courant s'écoulant tangentiellement, ayant une vitesse d'entrée d'approximativement 19,50 m par seconde, des moyens définissant des orifices de sortie concentriques d'air primaire et d'air secondaire pour le dit espace plein d'air, et des moyens dans le dit espace plein d'air pour séparer l'air y introduit en un courant d'air primaire s'écoulant axialement et un courant d'air secondaire en spirale qui l'entoure, dirigés respectivement à travers les dits orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire,

   et des moyens d'injection de combustible peur introduire du combustible concentriquement dans le dit courant d'air primaire, les dits moyens définissant les orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire formant des orifices de dimensions telles que les courants d' air primaire et d'air secondaire ont une vitesse moyenne de sortie de 42 à 60 m par seconde à la charge maximum du brûleur 5 Un appareil brûleur de combustible comprenant une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une chambre d'air pratiquement cylindrique, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air sous forme d'un courant s'écoulant tangentiellement, ayant une vitesse d'entrée d'approximativement 19,50 m par seconde,

   des moyens définissant des orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire, concentriques, pour le dit espace plein d'air, et des moyens dans le dit espace plein d'air pour séparer I' air y introduit en un courant d'air primaire s'écoulant axialement et un courant d'air secondaire en spirale qui l'entoure, dirigés respectivement à travers les dits orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire, et des moyens d'injection de combustible comprenant un ajutage monté dans la dite structure de guidage d'air pour introduire un courant de combustible concentriquement dans le dit courant d'air primaire,

   les moyens définissant des orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire formant des orifices de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne de 42 à 60 m par seconde au taux de charge maximum de . <Desc/Clms Page number 15> brûleur est communiquée aux courants d'air primaire et d'air secondaire, et de dimensions relatives telles que le courant d'air primaire forme de 40 à 55 % en poids de l'air déchargé du dit espace plein d'air.

   6.- Un appareilbrûleur de combustible tel que défini dans la revendication 5, dans lequel les dits moyens d'injection de combusti- ble comprennent un injecteur de combustible liquide pulvérisé, comportant un ajutage de pulvérisation de combustible propre à produire un fin brouil- lard de particules de combustible liquide et à décharger du combustible pulvérisé dans le courant d'air primaire à une vitesse de sortie d'ajutage de 97,5 à 120 m par seconde.

   7.- Un appareil brûleur de combustible tel que défini dans la revendication 5, dans lequel les dits moyens d'injection de combusti- ble comprennent un ajutage à combustible gazeux monté dans la dite struc- ture de guidage d'air, en alignement coaxial avec le dit orifice de sor- tie d'air primaire et axialement espacé de celui-ci, pour diriger du combustible gazeux dans le dit courant d'air primaire en vue de son intermélange avec lui avant son passage à travers le dit orifice de sortie d' air primaire, le dit ajuta.ge étant de dimensions telles que le combus- tible gazeux en est déchargé dans le courant d'air primaire à une vitesse de 8,70 à 18 m par seconde à la charge maximum du brûleur.

   8.- Dans un appareil pour brûler du combustible, une structure de guidage d'air pour contrôler l'introduction de l'air dans la zone de combustion d'un foyer, comprenant un espace plein d'air définissant une chambre d'air généralement cylindrique, des moyens pour introduire un courant d'air s'écoulant tangentiellement dans le dit espace plein d'air, des moyens dans le dit espace plein d'air pour séparer l'air y introduit en courants d'air primaire et d'air secondaire et diriger les dits courants à travers les orifices d'air primaire et d'air secondaire respectivement, des moyens définissant des orifices de sortie d'air primaire et d'air secondaire concentriques pour le dit espace plein d'air,

   de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne de 42 à 60 m par seconde est communiquée aux courants d'air à leur point de décharge du dit espace plein d'air, à la charge maximum du brûleur.

   9.- Une structure de guidage d'air pour un appareil brûleur de combustible, comprenant des moyens définissant une première chambre d'air, des moyens définissant une seconde chambre d'air généralement cylindrique coaxialement alignée dans la dite première chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air dans la dite première chambre d'air à une vitesse d'approximativement 19,50 m par seconde, des moyens pour diriger radialement une portion de l'air ainsi introduit, de la dite première chambre d'air dans la dite seconde chambre d'air, des moyens définissant un orifice de sortie pour la dite seconde chambre d'air, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite première chambre d'air, en substance coaxial et axialement aligné avec le dit orifice de sortie de la seconde chambre d'air,

   les orifices de sortie définis par les dits moyens étant de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne, à la charge maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air déchargé par les dits orifices. la 0- Un appareil pour brûler du combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures la traversant, des moyens, définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire,

   des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, pratiquement en alignement coaxial et en alignement axial avec 1''orifice de sortie de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air, sous forme d'un courant di- <Desc/Clms Page number 16> rigé en substance tangentiellement à la paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air externe en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire,

   qui est disposée en alignement radial avec les dites ouvertures et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers 1'orifice de sortie du dit organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne de 42 à 60 m par seconde est communiquée à l'air les traversant au taux de fonctionnement maximum.

   de brûleur, et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, et des moyens d'injection de combustible comprenant un ajutage monté pratiquement en alignement coaxial dans le dit organe tubulaire et propre à diriger un courant de combustible directement dans le dit courant d'air primaire.

   11,- Un appareil pour brûler du combustible, tel que défini dans la revendication la, dans lequel les dits moyens d'injection de combustible sont propres à injecter du combustible liquide dans la forme d'un fin brouillard avec une vitesse de débit de l'ajutage de 97,50 m à 120 m par seconde.

   12.- Un appareil pour brûler du combustible, tel que défini dans la revendication 10, dans lequel les dits moyens d'injection de combustible sont propres à injecter du combustible gazeux dans le dit courant d'air primaire, dans un emplacement intermédiaire entre l'extrémité de la dite chicane d'air et le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire à une vitesse de 8,70 à 18 m par seconde au taux de fonctionnement maximum du brûleur..

   13.- Un appareil pour brûler du combustible comprenant, en canbinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures la traversant, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d' air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans l'organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, pour diriger l'air introduit par les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, des moyens adjacents de l'extrémité de la dite chicane d'air, intermédiaires entre les dites ouvertures et l'orifice de sortie de l'organe tubulaire,

   définissant une étendue de mesurage d'écoulement annulaire de 30 à 50 % plus grande que l'étendue en section droite du dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe et de dimensions relatives telles que l'air 'traversant le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, et des moyens d'injection de combus- <Desc/Clms Page number 17> tible comprenant un ajutage monté pratiquement en alignement coaxial dans le dit organe tubulaire et propre à diriger un courant de combustible directement dans le dit courant d'air primaire.

   14,- Un appareil pour brûler du combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite cham- bre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, inter- médiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ou- vertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air,

   des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace d'air en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est disposée en alignement radial avec les dites ouvertures et convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, pour diriger l'air introduit par les dites ouvertures en un courant d'air annulaire à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire,

   les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne de 42 à 60 m par seconde, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, est communiquée à l'air qui y passe, est de dimensions relatives telles que la portion de l'air traversant le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, l'étendue en section droite globale des dites ouvertures étant de 65 à 75% plus grande que l'étendue en section droite minimum du dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, et des moyens d'injection de -combustible, comportant Un ajutage monté en substance en alignement coaxial dans le dit organe tubulaire et qui est propre à diriger un courant de combustible directement dans le dit courant d'air primaire.

   15.- Un appareil peur brûler du combustible comprenant, en combinaison, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie, pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie pour la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa surface cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air extérieure en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers le dit orifice de sortie de l'or- gane tubulaire,

   les moyens définissant les dits orifices étant de dimen- sions telles quune vitesse moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde est communiquée à l'air qui y passe, et <Desc/Clms Page number 18> de dimensions relatives telles que l'air passant à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, un injecteur-pulvérisateur de combustible-liquide monté coaxialement dans le dit organe tubulaire et propre à décharger du combustible dans le dit courant d'air primaire à une vitesse de 97,5 m à 120 m par seconde, et des moyens pour fournir du combustible et du fluide de pulvérisation au dit injecteur dans un rapport en poids, combustible-fluide de pulvérisation,

   n'excédant pas 1 à 0,18.

   16.- Un appareil brûleur de combustible comprenant une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures la traversant, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec le dit orifice de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylin- drique, des moyéns dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage externe en forme de surface de révolution, engendrée autour-de l'axe du dit organe tubulaire, disposée en alignement radial avec les dites ouvertures et convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, pour diriger l'air introduit par les dites ouvertures en un courant d'air annulaire à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire,

   la dite chicane d' air étant établie intérieurement avec une ouverture s'étendant axialement qui a la forme d'une surface interne de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, et définit un ajutage à combustible gazeux, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur,de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe,

   et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air? l'étendue en section droite de la dite ouverture de chicane étant de dimension telle que du combustible gazeux en est déchargé vers l'orifice de sortie de l'organe tubulaire à une vitesse de 8,70 m à 18 m par seconde au taux de fonctionnement maximum du brûleur.

   17. - Un appareil brûleur de combustible comprenant, une structure de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire,-des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire,en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec le dit orifice de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant'dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage externe ayant la forme d'une surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est disposée en alignement radial avec <Desc/Clms Page number 19> les dites ouvertures, et convergente vers l'orifice de sortie du dit or- gane tubulaire,, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertu- res en un courant d'air annulaire à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire,

   la dite chicane étant établie intérieurement avec une ouverture s'étendant axialement ayant la forme d'une surface interne de ré- volution, engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, et définissant un ajutage à combustible gazeux, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'un vitesse moyenne, au taux de fonctionnement ma- ximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire représente 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air,

   l'étendue en section droite de l'extrémité de décharge de la dite ouverture de chicane représentant de 65 à 75 % de l'étendue en section droite de l'orifice de sortie du dit organe tubulaire.

   18.- Un appareil brûleur de combustible, comprenant une struc- ture de guidage d'air comportant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi de l'organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures la traversant, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec le dit orifice de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air, en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique,

   à une vitesse d'approximativement 19,50 m par seconde, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage externe en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers l'orifi- ce de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, la dite chicane d'air étant établie intérieurement avec une ouverture s'étendant axialement,

   ayant la forme d'une surface interne de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire et définissant un ajutage à combustible gazeux, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse.moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, l'étendue en section droite de la dite ouverture de chicane étant de dimension telle que du combustible gazeux en est déchargé vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, à une vitesse de 8,

   70 à 18 m par seconde pour le taux de fonctionnement maximum du brûleur.

   19.- Une structure de guidage d'air pour un brûleur à combustible, comprenant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air,

   <Desc/Clms Page number 20> des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air externe ayant la forme d'une surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, qui est disposée en alignement radial avec les dites ouvertures et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air .introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire,

   les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers ledit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air totalintroduit dans le dit espace plein d'air.

   20.- Une structure de guidage d'air pour un brûleur à combustible, comprenant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coa- xialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air en forme de surface de révolution, engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire et disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, des moyens disposés adjacents à l'extrémité de la dite chicane d'air,

   dans un emplacement intermédiaire entre les dites ouvertures et l'orifice de sortie de l'organe tubulaire, définissant une étendue de mesurage d'écoulement annulaire de 30 à 50 % plus grande que l'étendue en section droite du dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne, au, taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que 1' air traversant le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air.

   21.- Une structure de guidage d'air pour un brûleur à combustible, comprenant un espace plein d'air définissant une première cham- bre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une multiplicité d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air, entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air,

   en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une por- <Desc/Clms Page number 21> tion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit or- gane tubulaire, disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire à travers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu' une vitesse moyenne,

   au taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe, et de dimen- sions relatives telles que la portion de l'air passant à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air, l'étendue en section droite globale des dites ouvertures étant de 65 à 75% plus grande que la section droite du dit orifice de sortie de l'organe tubulaire.

   22.- Une structure de guidage d'air pour un brûleur à combus- tible,comprenant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique,une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités,étant formée avec une rangée annulaire d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance en alignement coaxial et en alignement axial avec l'orifice de.

   sortie pour la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air, en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, à une vitesse d'approximativement 19,50 m par seconde, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures,dans le dit organe tubulaire,une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire, et établie avec une surface de guidage d'air externe en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire, disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire,

   pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur,de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'air.

   23.- Une structure de guidage d'air pour brûleur à combusti- ble, comprenant un espace plein d'air définissant une première chambre généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire, intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une rangée annulaire d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifice de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie pour la dite chambre d'air,

   des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace plein d'air en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique, à une vitesse d'environ 19,50 m par seconde, des moyens dans le dit espace plein d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre d'air, à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans le dit organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air <Desc/Clms Page number 22> en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe du dit organe tubulaire,disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire vers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire,

   des moyens voisins de l'extrémité de la dite chicane d'air, dans un emplacement intermédiaire entre les dites ouvertures et l'orifice de sortie de l'organe tubulaire, définissant une étendue de mesurage du courant annulaire de 30 à 50% plus grande que l'étendue en section droite de l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse de sortie moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur,de 42 à 60 m par seconde, est communiquée à l'air qui y passe., et de dimensions relatives telles que l'air passant à travers l'orifice de sortie de l'organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace plein d'airo 24.- Une structure de guidage d'air pour un brûleur à combus- tible,

   comprenant un espace plein d'air définissant une première chambre d'air généralement cylindrique, un organe tubulaire monté en substance coaxialement dans la dite chambre cylindrique, une portion de la paroi du dit organe tubulaire , intermédiaire entre ses extrémités, étant établie avec une rangée annulaire d'ouvertures qui la traversent, des moyens définissant un orifice de sortie annulaire pour la dite chambre d'air entourant une extrémité du dit organe tubulaire, des moyens définissant un orifi- ce de sortie pour le dit organe tubulaire, en substance coaxialement alignés et en alignement axial avec l'orifice de sortie de la dite chambre d'air, des moyens pour introduire de l'air sous pression dans le dit espace d'air en un courant dirigé en substance tangentiellement à sa paroi cylindrique,

   à une vitesse d?environ 19,50 m par seconde, des moyens dans le dit espace d'air pour diriger une portion de l'air ainsi introduit, de la dite chambre à travers les dites ouvertures, dans le dit organe tubulaire, une chicane d'air montée dans l'organe tubulaire et établie avec une surface de guidage d'air en forme de surface de révolution engendrée autour de l'axe de l'organe tubulaire, disposée en alignement radial avec les dites ouvertures, et convergente vers l'orifice de sortie du dit organe tubulaire, pour diriger l'air introduit à travers les dites ouvertures en un courant d'air annulaire à travers le dit orifice de sortie de l'organe tubulaire, les moyens définissant les dits orifices étant de dimensions telles qu'une vitesse moyenne, au taux de fonctionnement maximum du brûleur, de 42 à60 m par seconde,

   est communiquée à l'air qui y passe, et de dimensions relatives telles que la portion de l'air traversant le dit orifice de sortie de 1' organe tubulaire représente de 40 à 55 % de l'air total introduit dans le dit espace-plein d'air, l'étendue en section droite globale des dites ouvertures étant de 65 à 75 % plus grande que l'étendue en section droite de l'orifice de sortie du dit organe tubulaire.

   25.- Un brûleur à combustible comprenant, en combinaison, des moyens pour produire des courants d'air primaire et d'air secondaire annulaires, concentriques, se déplaçant axialement, un dispositif pour injecter du combustible liquide concentriquement dans le centre des dits courants d'air, sous forme d'un fin brouillard rayonnant à travers le dit courant d'air à une vitesse relativement faible, comprenant un ajutage-de pulvérisation de combustible, un conduit d'amenée de combustible et un conduit de fluide de pulvérisation reliés au dit ajutage, des moyens pour fournir du combustible et du fluide de pulvérisation, sous pression, aux dits conduits respectifs, dans un rapport en poids, combustible-fluide, n'excédant pas 1 à 0,18, le dit ajutage ayant un orifice de sortie et des passages interconnectés de combustible et de fluide de pulvérisation, y formés,

   pour intermélanger du combustible et du fluide de pulvérisation à une vitesse de 195 à 240 m par seconde, et décharger le mélange de combustible et de fluide de pulvérisation, sous forme d'un brouillard cheminant en spirale, ayant une vitesse de 97,50 m à 120 m par seconde, des moyens dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'alimentation de combustible pour <Desc/Clms Page number 23> prévenir l'écoulement ou fuite du combustible dans les passages du dit aju- tage alors que le brûleur est inactif, et des moyens pour empêcher la for- mation de dépôts de carbone dans les dits passages d'ajutage lors de l'in- terruption ou cessation du fonctionnement du brûleur.

   26.- Un appareil pour injecter du combustible liquide dans un brûleur à combustible, sous forme d'un fin brouillard de vitesse relati- vement faible, comprenant, en combinaison, un ajutage de pulvérisation de combustible, un conduit d'alimentation de combustible et un conduit de fluide de pulvérisation reliés au dit ajutage, des moyens pour fournir du combustible et du fluide de pulvérisation, sous pression, aux dits conduits respectifs, avec un rapport en poids, combustible-fluide, n'excédant pas 1 à 0,18, le dit ajutage comportant un orifice de sortie et des passages interconnectés de combustible et de fluide de pulvérisation, y formés, pour mélanger du combustible et du fluide de pulvérisation à une vitesse de 195 à 240 m par seconde, et décharger le mélange de combustible et de fluide de pulvérisation sous forme d'un brouillard cheminant en spirale,

   ayant une vitesse de 97,5 à 120 m par seconde, et des moyens, dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'alimentation de combustible, pour prévenir l'écoulement ou fuite de combustible dans les dits passages d'ajutage alors que le brûleur est inactif.

   27.- Un appareil pour injecter du combustible liquide dans un brûleur à combustible, sous la forme d'un fin brouillard de vitesse relati- vement faible,comprenant, en combinaison, un ajutage de pulvérisation de combustible, un conduit d'alimentation de combustible et un conduit de fluide de pulvérisation, reliés au dit ajutage, des moyens pour fournir du combustible et du fluide de pulvérisation, sous pression, aux conduits respectifs, dans un rapport en poids, combustible - fluide, n'excédant pas 1 à 0,18, le dit ajutage ayant un orifice de sortie et des passages interconnectés de combustible et de fluide de pulvérisation, y formés, pour mélanger du combustible et du fluide de pulvérisation à une vitesse de 195 à 240 m par seconde, et décharger le mélange de combustible et de fluide de pulvérisation,

   sous la forme d'un brouillard cheminant en spirale ayant une vitesse de 97,5 à 120 m par seconde des moyens dans l'extrémité de décharge-du dit conduit d'alimentation de combustible pour prévenir l'écoulement ou fuite de combustible dans les dits passages d'ajutage alors que le brûleur est inactif., et des moyens pour prévenir la formation de dépôts de carbone dans les dits passages de l'ajutage lors de l'interrup- tion ou arrêt du fonctionnement du brûleur 28.- Une méthode pour injecter du combustible liquide dans un foyer, consistant à former un mélange à vitesse élevée de fluide de pulvérisation et de combustible liquide, intermélangés dans un rapport en poids qui n'est pas inférieur à 0,18 à 1,

   en pulvérisant le dit combustible à l'aide d'un jet de fluide de pulvérisation d'une vitesse de 195 à 240 m par seconde, et à faire passer le brouillard à travers un orifice de dimensions propres à produire une vitesse de sortie de 97,5 à 120 m par seconde 29.- En combinaison, un appareil d'injection de combustible liquide pour un brûleur à combustible, comprenant un ajutage de pulvérisation de combustible liquide, des moyens pour amener du combustible liquide et du fluide de pulvérisation au dit ajutage dans un rapport en poids n'excédant pas 1 à 0,18, le dit ajutage comportant, y formés, une multiplicité de passages convergents de fluide de pulvérisation et une multiplicité de passages à combustible recoupant les dits passages de fluide de pulvérisation au point de convergence maximum de ceux-ci,

   les dits passages de fluide de pulvérisation ayant une étendue en section droite telle, en leurs points de convergence maximum, qu'une vitesse de 195 à 240 m par seconde est communiquée au fluide de pulvérisation au point ou emplacement d'intermélange avec le combustible liquide.

   30.- La combinaison définie dans la revendication 29, dans laquelle le rapport en poids, combustible liquide-fluide de pulvérisation, <Desc/Clms Page number 24> n'excède pas 1 à 0,2.

   31.- La combinaison définie dans la revendication 29, dans laquelle le rapport en poids, combustible liquide-fluide de pulvérisation, est approximativement 1 à 0,2.

   32.- La combinaison définie dans la revendication 29, dans laquelle 1-1-étendue en section droite des passages à fluide de pulvérisation aux points ou emplacements de convergence maximum de ceux-ci, est telle qu'une vitesse de 210 à 225 m par seconde est communiquée au fluide de pulvérisation 33.- La combinaison définie dans la revendication 29, dans laquelle létendue en section droite des passages de fluide de pulvérisation, aux points de convergence maximum de ceux-ci, est telle qu'une vitesse d'approximativement 217,50 m par seconde est communiquée au fluide de pulvérisation.

   34.- Dans un appareil injecteur pulvérisateur de combustible liquide, un conduit pour du combustible liquide, un conduit qui l'entoure pour du fluide de pulvérisation, des moyens pour introduire du combustible liquide et du fluide de pulvérisation dans les dits conduits respectifs., dans un rapport en poids, combustible-fluide de pulvérisation, n'excédant pas 1 à 0,18, un ajutage de pulvérisation de combustible monté aux extrémités de décharge des dits conduits, comprenant un noyau pourvu de passages séparés pour le combustible liquide et le fluide de pulvérisation, connec- tés respectivement aux dits conduits, et comportant une extrémité portant contre le dit conduit à combustible, une bague-chapeau disposée à l'extrémité du dit noyau, un corps entourant la dite bague-chapeau et le noyau,

   fixé au dit conduit de fluide de pulvérisation et assujettissant les organes en un ensemble serré contre les extrémités des dits conduits, des évidements dans les surfaces adjacentes de la dite bague-chapeau et du corps, définissant un dôme de mélange coaxial avec les dits organes, des rainures de forme convergente ou section droite décroissante dans les surfaces en contact de la dite bague-chapeau et du noyau, définissant des passages d'introduction de fluide de pulvérisation dans le dit dôme et propres à communiquer une vitesse de 195 à 240 m par seconde au fluide de pulvérisation, des passages d'introduction d'huile dans le dit noyau, qui recoupent les passages d'introduction du fluide de pulvérisation en des points intermédiaires entre leurs extrémités, et un orifice pratiqué à travers le dit corps, coaxial au dit dôme,

   ayant une étendue en section droite approximativement égale à deux fois l'étendue en section droite globale des dites rainures en leurs points de convergence maximum.

   35.- En combinaison., un ajutage de pulvérisation de combustible liquide, des moyens pour introduire séparément du combustible liquide et du fluide de pulvérisation, sous pression, dans le dit ajutage, dans un rapport en poids, combustible-fluide de pulvérisation, n'excédant pas 1à 0,18, des moyens définissant un dôme de mélange annulaireà parois lisses, symétrique par rapport à l'axe longitudinal de l'ajutage, et un orifice de sortie pour ce dôme, coaxial avec lui, une multiplicité de passages d'entrée pour le dit dôme, tous inclinés d'une façon analogue par rapport à l'axe longitudinal du dit ajutage, et des moyens pour combiner le dit combustible liquide et le dit fluide de pulvérisation dans les dits passages, et pour décharger le mélange dans le dit dôme de mélange,

   les dits passages étant tous orientés radialement de façon analogue pour décharger le fluide de pulvérisation et le combustible liquide combinés en courants dirigés en substance tangentiellement à la paroi du dit dôme de mélange.

   360- En combinaison, un ajutage de pulvérisation de combustible liquide, des moyens pour introduire séparément du combustible liquide et du fluide de pulvérisation, sous pression, dans le dit ajutage, dans un rapport en poids., combustible-fluide de pulvérisation, n'excédant pas 1 à 0,18, des moyens définissant un dôme de mélange annulaire à parois lisses, <Desc/Clms Page number 25> symétrique par rapport à l'axe longitudinal de l'ajutage et un orifice de sortie pour ce dôme coaxial avec celui-ci, une multiplicité de pas- sages d'entrée pour le dit dôme, inclinés tous de manière analogue par rap- port à l'axe longitudinal du dit ajutage, et d'étendue en section droite propre à procurer une vitesse de décharge du mélange combustible-fluide de pulvérisation, dans le dit dômede 195à 240 m par seconde,

   des moyens combinant le combustible liquide et le fluide de pulvérisation dans les dits passages en vue de la décharge dans le dit dôme de mélange, les axes des dits passages étant tous orientés radialement de manière analogue pour décharger les dits combustible et fluide de pulvérisation combinés en courants dirigés en substance tangentiellement à la paroi du dit d8me de mélange.

   37.- En combinaison, un ajutage de pulvérisation de combustible liquide, des moyens pour introduire séparément du combustible liquide et du fluide de pulvérisation, sous pression, dans un rapport en poids, combustible-fluide de pulvérisation, n'excédant pas 1 à 0,18, des moyens définissant un dôme de mélange annulaire à parois lisses, symétrique par rapport à l'axe longitudinal de l'ajutage, et un orifice de sortie pour ce dôme coaxial avec lui, une multiplicité de passages d'entrée pour le dit dôme ayant une étendue de section droite globale minimum approximativement égale à la moitié de l'étendue en section droite du dit orifice de sortie, tous les dits passages d'entrée étant inclinés de façon analogue par rapport à l'axe longitudinal du dit ajutage,

   des moyens pour combiner le combustible liquide et le fluide de pulvérisation dans les dits passages, en vue de la décharge dans le dit dôme de mélange à une vitesse de 195 à 240 m par seconde, les dits passages étant tous orientés radialement de manière analogue pour décharger le fluide de pulvérisation et le combustible liquide combinés, en courants dirigés en substance tangentiellement à la paroi du dit dôme de mélange.

   38.- Un injecteur à combustible liquide comprenant un tube d'alimentation de combustible, un tube d'alimentation de fluide de pulvérisation, un ajutage de pulvérisation de combustible ayant un orifice de sortie, relié aux extrémités de décharge des dits tubes, et comportant, y formés, une multiplicité de passages de fluide de pulvérisation et une multiplicité analogue de passages à combustible interconnectés aux passages à fluide de pulvérisation pour définir des jets d'injec- tion de combustible, dirigés à travers le dit orifice, et des moyens dans le dit injecteur à combustible pour prévenir la formation de dépôts de carbone dans les dits passages.

   39. - Un injecteur à combustible liquide comprenant un tube d'amenée de combustible, un tube d'amenée de fluide de pulvérisation, un ajutage de pulvérisation de combustible, relié aux dits tubes et comportant, y formés, une multiplicité de passages à combustible et une multiplicité analogue de passages à fluide de pulvérisation définissant des jets de fluide de pulvérisation recoupant les dits passages à combustible, le dit injecteur à combustible comprenant des moyens capables d' agir après interruption ou arrêt du fonctionnement du brûleur? pour transmettre de la chaleur à partir du dit ajutage, à une vitesse qui est suffisante pour prévenir la formation de dépots de carbone dans les dits passageso 40.- Un injecteur à combustible liquide comprenant un conduit d'amenée de combustible,

   un conduit d'amenée de fluide de pulvérisation, et un ensemble formant ajutage de pulvérisation de combustible, comportant un corps fixé à l'un des dits conduits et muni d'une perforation longitudinale et d'un orifice de sortie de combustible, y formés, en alignement coaxial, un noyau monté dans le corps et comportant une multiplicité de passages à combustible et à fluide de pulvérisation interconnectés, définissant une multiplicité de jets de combustible propulsés par du fluide de pulvérisation, dirigés à travers le dit orifice de sortie les dits conduits d'amenée de combustible et de fluide de pulvérisation <Desc/Clms Page number 26> étant interconnectés respectivement aux extrémités d'entrée des passages à combustible et à fluide de pulvérisation formés dans le dit noyau,

   le dit corps étant établi en un matériau ayant un coefficient élevé de conductibilité thermique, de manière que de la chaleur appliquée à l'extrémité de son orifice soit rapidement transmise à l'un des dits conduits auquel il est relié.

   41.- Un ensemble injecteur de combustible pour un brûleur à combustible liquide, comprenant un tube d'amenée de fluide de pulvérisation un tube d'amenée d'huile y disposé concentriquement pour définir un passage d'huile dans ce dernier tube et un passage annulaire de fluide de pulvérisation entre les tubes, un ajutage de pulvérisation monté sur les dits tubes à une extrémité et contenant des passages pour intermélanger l'huile et le fluide de pulvérisation, et décharger un brouillard, cheminant en spirale,

   de fluide de pulvérisation et de particules d'huile intermélangés pour l'injection dans un brûleur? le dit ensemble ccomportant des moyens définissant des canaux ou trajets de transmission de chaleur pour enlever de la chaleur au dit ajutage à une vitesse qui est suffisante pour prévenir la formation de dépôts de carbone dans les dits passages à combustible après cessation du fonctionnement du brûleur.

   42.- Un ensemble injecteur de combustible pour un brûleur à combustible liquide, comprenant un tube d'amenée de fluide de pulvérisation, un tube d'amenée d'huile y disposé concentriquement pour définir des passages d'huile dans ce dernier tube et un passage annulaire de fluide de pulvérisation entre les tubes, un ajutage de pulvérisation monté sur les dits tubes, à une extrémité et contenant des passages pour intermélanger l'huile et le fluide de pulvérisation? et décharger un brouillard,, cheminant en spirale, de fluide de pulvérisation et de particules d'huile intermélangés pour l'injection dans le dit brûleur? le dit ensemble injecteur comportant des moyens pour prévenir la formation de dépôts de carbone dans les dits passages d'huile après cessation du fonctionnement du brûleur.

   43.- Un injecteur de combustible liquide comprenant un ajutage de pulvérisation de combustible et une paire de conduits coaxialement alignés, reliés au dit ajutage et définissant un passage d'amenée de combustible central et un passage de fluide de pulvérisation qui l'entoure, le dit ajutage comportant un premier organe fixé à l'extrémité du conduit extérieur et présentant une ouverture pratiquée à travers son extrémité qui définit un orifice de sortie en alignement coaxial avec le dit conduit, un second organe, monté dans le dit premier organe, comportant une pluralité de passages de fluide de pulvérisation y formés, interconnectés avec le dit passage de fluide de pulvérisation, et définissant une pluralité de jets de fluide de pulvérisation dirigés à travers le dit orifice de sortie,

   et une pluralité analogue de passages à combustible y formés, interconnectés avec le dit passage à combustible à une extrémité, et chacun d'eux intersectant, respectivement,. un des dits passages à fluide de pulvérisation à l'autre extrémité, le dit premier organe et celui des dits conduits qui est extérieur, étant établis en un matériau ayant un coefficient élevé de conductibilité thermique, et le dit second organe étant établi en un matériau ayant un coefficient de conductibilité thermique relativement bas.

   44.- Dans un ensemble injecteur-pulvérisateur de combustible liquide, un conduit pour amener du combustible liquide, un conduit qui l'entoure, pour un fluide de pulvérisation, établi en un métal ayant un coefficient élevé de conductibilité thermique, un organe formant noyau, établi en un métal ayant un bas coefficient de conductibilité thermique, pourvu de passages séparés pour le combustible liquide et pour le fluide de pulvérisation reliés aux dits conduits, et ayant une extrémité venant porter contre l'extrémité de décharge du dit conduit à combustible, une bague-chapeau placée contre l'extrémité du dit noyau et étant établie en un métal ayant un faible coefficient de conductibilité thermique, un organe formant corps, établi en un métal ayant un coefficient élevé de <Desc/Clms Page number 27> conductibilité thermique,

   entourant la dite bague-chapeau et le noyau, et étant fixé au dit conduit de fluide de pulvérisation pour assujettir les dits organes en un assemblage serré contre les extrémités des dits conduits, la dite bague-chapeau et le corps comportant des évidements conjugués, formés dans leurs surfaces adjacentes, qui définissent un dôme de mélange coaxial avec les dits organes, le dit corps comportant un ori- fice qui le traverse, coaxial avec le dit dôme, des rainures formées dans les surfaces en contact de la bague chapeau et du noyau, procurant des passages d'introduction de fluide de pulvérisation dans le dit dôme, et des passages d'introduction d'huile formés dans le dit noyau intersec- tant les dits passages d'introduction de fluide de pulvérisation dans un emplacement intermédiaire entre les extrémités de ceux-ci.

   45.- La combinaison définie dans la revendication 44, dans la- quelle le dit conduit pour le fluide de pulvérisation est établi en aluminium .

   46.-4 La combinaison définie dans la revendication 44, dans laquelle le dit conduit pour le fluide de pulvérisation est établi en cuivre rouge.

   47.- La combinaison définie dans la revendication 44, dans laquelle le dit organe formant corps est établi en cuivre-béryllium.

   48.- La combinaison définie dans la revendication 44, dans laquelle le dit noyau et la bague-chapeau sont établis en acier inoxydable.

   49.- La combinaison définie dans la revendication 44, dans laquelle le dit organe formant corps est établi en cuivre-beryllium, la dite bague-chapeau et le noyau sont établis en acier inoxydable, et le dit conduit pour le fluide de pulvérisation est établi en cuivre rouge.

   50.- Un ensemble injecteur de combustible pour un brûleur à combustible liquide, comprenant un tube d'amenée de fluide de pulvérisation,un tube d'amenée d'huile, disposé concentriquement dans le tube d'amenée de fluide de pulvérisation pour y définir un passage d'huile et un passage annulaire d'air entre les tubes, un ajutage de pulvérisation monté sur le.

   dit tube à une extrémité, et contenant des passages pour intermélanger l'huile et le fluide de pulvérisation et décharger un brouillard, cheminant en spirale, de fluide de pulvérisation et de particules d'huile intermélangés pour l'injection dans un brûleur, des moyens disposés dans l'extrémité du dit tube d'amenée d'huile, au voisinage du dit ajutage, pour empêcher l'entrée de gaz dans sa portion supérieure lorsque le brüleur est inactif, et des moyens, occupant un emplacement intermédiaire entre les dits premiers moyens et l'extrémité de décharge du dit tube d'amenée d'huile, pour empêcher l'écoulement ou -fuite de l'huile à partir de la portion inférieure du dit tube, lorsque le brûleur est inactif.

   51.- Dans un brûleur à combustible liquide, un ensemble injeo- teur de combustible comprenant un ajutage de pulvérisation de combustible, un conduit d'amenée de combustible et .un conduit.d'amenée de fluide de pulvérisation y reliés à leurs extrémités de décharge, et des moyens dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'amenée de combustible pour en empêcher l'écoulement ou fuite du combustible, dans le dit ajutage, alors que le brûleur est inactif.

   52.- Dans un brûleur à combustible liquide, un injecteur de combustible comprenant un ajutage de pulvérisation de combustible, un conduit d'amenée de combustible et un conduit d'amenée de fluide de pulv érisa- tion y reliés à leurs extrémités de décharge, et un élément d'arrêt pour le combustible, monté dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'amenée de combustible,pour en empêcher l'écoulement ou fuite de combustible, dans le dit ajutage, alors que le brûleur est inactif.

   53. - Dans un brûleur à combustible liquide, un injecteur de combustible comprenant un ajutage de pulvérisation de combustible, un con- <Desc/Clms Page number 28> duit d'amenée de combustible et un conduit d'amenée de fluide de pulvérisation y reliés à leurs extrémités de décharge, et un élément d'arrêt pour le combustible, monté dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'amenée de combustible, pour en empêcher l'écoulement ou fuite de combustible, dans le dit ajutage, alors que le brûleur est inactif, le dit conduit d'amenée de combustible étant de forme tubulaire et supporté en position horizontale, et le dit élément d'arrêt de combustible comprenant des segments de disque, supérieur et inférieur, montés concentriquement et axialement espacés dans l'extrémité de décharge du dit conduit d'amenée de combustible,

   les surfaces parallèles à l'axe et contenant les cordes des dits segments de disque étant horizontales, le plan de la dite surface du segment supérieur étant légèrement en dessous du plan de la dite surface du segment inférieur, et les surfaces arquée des dits segments de disque étant scellées à la paroi interne du dit conduit.