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DISPOSITIF DE COMMANDE, NOTAMMENT DE L'ALIMENTATION DES CHAUDIERES.
La présente invention est relative à des perfectionnements aux
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dispositifs de commande de 19alhnentation des chaudièreso
En fonctionnement normal des chaudières ou générateurs de va- peur, il se produit, en général, des conditions qui modifient la demande en vapeur. Lorsque cette demande augmente, il faut augmenter de façon corres-
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pondante l'arrivée deau d'alinentation, ainsi que l'arrivée de combustible à l'appareil de chauffage, de manière à empêcher une chute de pression et de la qualité de la vapeur. Inversement lorsque la demande de vapeur diminue, il
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faut réduire de façon correspondante l'arrivée deau d'alimentation et celle du combustible, car autrement la température de la vapeur et la pression pour- raient s'élever plus que cela n'est désiré.
On voit donc qu9il est particuliè- rement désirableet en particulier dans une chaudière à tubes d'eau, de main- tenir automatiquement un équilibre entre l'arrivée d'eau d'alimentation à la chaudière, l'arrivée du combustible à 1?appareil de chauffe et la sortie de la vapeur.
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La présente invention comporte 1?utflisation de conduites munies de plaques ou analogue percées d9un orifice, en conséquence, elle fait entrer en jeu de façon générale les lois physiques qui commandent 19écoulement de fluides à travers des orifices mesurés et elle utilise les phénomènes physi- ques qui leur sont associés pour commander automatiquement et proportionnel- lement 1'écoulement d'un ou de plusieurs fluidespar exemple l'arrivée du com-
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bustible à un appareil de chauffage d-lune chaudière, en relation ave 1garri- vée d'eau d'alimentation à la chaudière., Pour la mise en oeuvre de l'invén- tion, on utilise un orifice de restriction dans la tuyauterie qui sert à ame- ner l'eau d'alimentation à la chaudière et également dans une tuyauterie qui
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amène du combustible liquide à 19appareil de chauffage de la chaudière.
La différence de pression qui s'exerce sur les côtés opposés des plaques à orifi-
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ce' est utilisée pour actionner un dispositif commandant l'arrivée du combusti- ble en fonction de l'arrivée d'eau d'alimentation. De cette fagon, il est pos- sible de régler exactement le fonctionnement d'une chaudière produisant de la vapeux ou chauffant un fluide en actionnant des commandes à l'extrémité d'en- trée de la chaudière plutôt qu'à son extrémité de sortie.
Bien qu'il soit pos- sible d'utiliser des moyens analogues pour commander, de façon proportionnelle, 1?arrivée d'eau d'alimentation et l'arrivée de combustible en fonction de la sortie de vapeur ou d'eau chaude de la chaudière, il est préférable de comman- der la sortie en fonction de l'entrée. Ceci est particulièrement vrai dans le cas de chaudières du type à tubes d9eau, puisque la commande de l'admission et du combustible réduit au minimum les variations de qualité de la vapeur sortant de la chaudièreo Pour augmenter encore l'exactitude du dispositif de commande selon l'invention, il est prévu un moyen sensible à la température de la va- peur et/ou autres fluides sortant de la chaudière.
Ce moyen sensible à Inaction de la température est relié au dispositif commandé par la pression et fonction- ne concurremment avec lui en vue de régler les positions relatives du mécanis- me proportionnel associé pour tenir compte de la température du fluide sortant.
Comme variante du dispositif sensible à Inaction de la température, on a repré- senté un dispositif analogue., permettant d'assurer facilement et commodément des réglages à la main.
La commande proportionnelle représentée ici peut évidemment être appliquée à l'écoulement de courants de fluide dans d'autres cas. En conséquen- ce, l'invention couvre, de façon générale, toutes ces applications.
L'invention a pour objet en premier lieu un dispositif perfection- né de commande proportionnelle,comportant des orifices de restriction de l'é- coulement dans les conduites du système, les phénomènes physiques associés à cette disposition étant utilisés pour commander automatiquement l'écoulement d'un courant de fluide par rapport à un autre, et il convient particulièrement bien pour régler automatiquement le fonctionnement des chaudières du type à tu- bes d'eau, de telle sorte que l'arrivée du combustible liquide à l'appareil de chauffage de la chaudière soit maintenu en équilibre avec le volume d'eau de complément amené à la chaudière.
L'invention a également pour objet, dans le dispositif du type ci-dessus;, des moyens permettant de modifier facilement les proportions des fluides circulant dans des conduites séparéeso
Elle a encore trait, dans le dispositif ci-dessus, à un disposi- tif servant à régler automatiquement, en fonction de la température, le dispo- sitif de dosage, de manière à tenir compte de la température ou de la qualité du fluide sortant de la chaudière.
D'autres particularités et avantages de 1-'invention ressortiront de la description ci-dessous, faite en se référant au dessin annexé, dans le- quel :
La fig. 1 est une coupe longitudinale, avec parties en élévation, d'un système de commande selon l'invention, les conduites dans lesquelles cir- culent les courants de fluides à régler proportionnellement n'étant représen- tées qu'en partie.
La fig. 2 est une coupe transversale, à plus grande échelle, sui- vant la ligne 2-2 de la fige 1, montrant un moyen permettant de relier de fa- gon réglable certaines des pièces.
La fig. 3 est une coupe longitudinale suivant la ligne 3-3 de la fig. 1.
La fig. 4 est une vue en élévation représentant une variante ser- vant à régler à la main les leviers de manoeuvre de la fig. 1.
On a représenté schématiquement sur le dessin une forme de réa- lisation de l'invention applicable à la commande du combustible liquide envoyé à l'appareil de chauffage d'une chaudière ou d'un générateur de vapeur. Dans
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l'exemple représenté, la conduite ou tuyau 1 peut être considéré comme relié à un générateur de vapeur, non représenté, et il sert à amener de 1-'eau de complément à cette chaudière.
Une conduite 6 est reliée à un brûleur à com-
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bustible liquide (non représenté) servant à-chauffer la chaudière, en vue day amener ce combustible dont la quantité est réglée automatiquement en passant de la conduite 7 dans la conduite 6, en proportion déterminée par rapport au volume d'eau de complément amené à la chaudière par la conduite 2 comme on le verra plus loin.
Dans la conduite ± est montée une plaque .8 percée d'un orifice 9 servant à réduire le passage du liquide dans ledit orifice. Une plaque analo-
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gue Il est montée dans la conduite 6, cette plaque présentant un orifice 12. Comme on le voit sur la fig. 1, les conduites 6 et 7 sont décalées l'une par rapport à l'autre, leurs extrémités étant fermées en ;13, et 14, respectivement mais, toutefois, ces conduites communiquent par un orifice 16 fermé par une soupape 17 qui est actionnée, comme on le verra plus loin, de manière à per- mettre le passage du combustible liquide de la conduite 7 dans la conduite 6 allant à l'appareil de chauffe du générateur de vapeur.
Bien que, pour la com-
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modité, 1?appareil de la fig. 1 soit représenté comme occupant une position verticale et que les fluides circulent dans les conduites ± et 6 dans des di- rections opposées, on peut modifier ces conditions suivant les besoins dans différentes installations. Avec l'intérieur de la conduite 7 communique un
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tuyau 1& relié à une ouverture d'un robinet à trois voies J:2. dont le bois- seau 20 comporte un passage diamétral 21 et un passage radial 22 communiquant avec le précédent. Sur une autre ouverture du robinet 19 est branché un tuyau 23 qui peut fonctionner comme tuyau de vidange dans certaines installations et comme tuyau d'air comprimé dans d'autres. Sur un orifice diamétralement op-
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posé du robinet 12 est branché un tuyau 24, qui est dans 1,'alignement du tuyau 23.
Gomme on le comprend, en faisant tourner le boisseau 20, on peut obtenir différentes combinaisons de branchement entre les conduites 18, 23, et 24.p à volonté.
Le tuyau 24 comporte un réducteur de pression 26 d'un type cou-
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rant. Sur ce réducteur 26 est branché un tuyau 27 comportant une partie recour- bée descendante 28 dans laquelle est montée une plaque 23.avec orifice 31.. La partie de tuyau 78 va à un moteur 32, commandé par pression et servant à action- ner la soupape 7.. Le moteur 2 est d'un type courant et il comporte un diaphrag- me 33, serré entre les parties à& et .2i du logement, la partie étant portée par un tube 6 qui entoure la tige 3*7 de la soupape 7,. La tige 7 est fixée sur le diaphragme 33 de manière à monter et descendre avec lui suivant le côté du diaphragme sur lequel s'exerce la pression.
Un ressort à boudin 38 est pla- cé sous le diaphragme 33 afin d'équilibrer sensiblement le poids des pièces, de manière à agir sur la soupape 17 en fonction des variations de la pression
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du fluide au-dessus du diaphragme 33.. Un manomètre 32, est monté sur le tuyau 27. de manière à indiquer la pression qui y règne-.
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Sur le tuyau 28, en un point situé en dessous de la plaque Z2, est branché un tuyau bzz sur lequel est monté un manomètre l2 et relié, SI à son autre extrémité, à une soupape de décharge 43., laquelle comporte une conduite éà servant à évacuer le fluide en excès s'écoulant par le tuyau , lorsque la soupape 46, s'écarte de son siège fs1.o La soupape 46 est portée par une tige 48 qui coulisse dans la plaque d'extrémité 42, du logement de soupape 43.. La soupape 46, commande la pression dans la chambre sous pression 32,, en vue d9ac- tionner la soupape 12.
Lorsque la soupape 4, s9ouvre légèrement pour laisser sortir du fluide du tuyau 41, la pression dans la chambre sous pression 32
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est réduite et, en conséquence, la soupape 17 est amenée par le ressort 38, dans sa position fermée, représentée sur la fig. 1, en réduisant ainsi le volume de combustible passant de la conduite 7 dans la conduite 6. Lorsque la
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soupape se ferme, la pression dans la chambre sous pression 32, augmente et agit sur le diaphragme 33 en provoquant un mouvement d'ouverture de la sou-
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pape 17, par l'intermédiaire de la tige 37,, de manière à augmenter l'arrivée de combustible à l'appareil de chauffage ou au générateur de vapeur.
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La soupape s'ouvre et se ferme en fonction de changements dans la pression d'eau d'alimentation et du combustible fluide dans les conduites 5 et 6 respectivement, sur les côtés opposés de leurs plaques à orifices res-
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pectives 8 et 119 la différence de pression étant transmise à la soupape ±µ au moyen du mécanisme suivant : de petits tuyaux 51 et 52 font communiquer la conduite 6 avec un boîtier 53 contenant un diaphragmer ce boîtier étant en deux parties entre lesquelles est serré,sur son bord, un diaphragme flexi- ble 54 sur la partie centrale duquel sont fixés, sur ses deux faces, des dis- ques 22 et 57, sur le côté gauche desquels,en regardant la fig. l, est fixé un bras court se déplaçant avec le diaphragme 54.
Il y a lieu de noter que l'une des extrémités du tuyau 51 communique avec l'intérieur de la conduite 6, du côté à haute pression de la plaque à orifices 11 et que son autre extré- mité communique avec la chambre qui se trouve dans leboîtier 53, du côté droit
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du diaphragme 2it, tandis que le tuyau J2 communique par 19-une de ses extrémi- tés avec l'intérieur de la conduite 6, du côté à basse pression de la plaque à orifice il, et, par l'autre extrémité, avec l'espace qui se trouve du côté
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gauche du diaphragme 2lt,.
Le sens de l'écoulement du liquide dans la conduite 6 est indiqué par la flèche.
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Dans le boîtier il pivote en 22 un bras 61 à l'extrémité extérieu- re duquel est fixé un arbre 62, de sorte que le déplacement du bras 61 autour de l'axe de l'arbre 62 provoque une légère rotation de cet arbre.
Comme on le voit plus nettement sur la fig. 3, la paroi intérieure, supérieure, du boî-
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tier 2l comporte une cavité 63, dans laquelle se loge l'extrémité du bras 61 voisine de l'extrémité de l'arbre 62, ceci donnant du jeu permettant au bras
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61 de se déplacer en même temps que le diaphragme µka Le trou par lequel passe l'arbre 62 a un diamètre supérieur à celui de cet arbre et, dans 1?intervalle, est monté un manchon en caoutchouc ou matière plastique appropriée, moulé sur l'arbre mais suffisamment élastique pour permettre à cet arbre de se déplacer en fonction de tous les déplacements du diaphragme 54, -tout en empêchant une fuite, le long de cet arbre, du fluide sous pression passant de l'intérieur à l'extérieur du boîtier.
Sur l'extrémité extérieure de l'arbre 62 est calée, de manière à tourner avec lui, à l'extérieur du boîtier 53,1?extrémité inférieu- re d'un bras vertical 66 qui, comme on le voit sur la fig. 1, bascule vers la droite ou vers la.gauche lorsque le diaphragme 54 se déplace.
Des tuyaux 67. et 68 font communiquer la conduite ± avec un autre boîtier 63,, de construction analogue au boîtier 53et fait comme lui de deux parties entre lesquelles est serré un diaphragme 71. Sur la partie centrale de
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ce diaphragme et sur ses faces opposées sont fixés des disques 72 et 22 sur le côté droit duquel, en regardant la fig. l, est fixé un bras 11;, se déplaçant avec le diaphragme 71.
Sur le bras 7, pivote en zij, dans le boîtier , un bras 7.1 fixé à l'arbre 'riz et traversant la paroi du boîtier, cet arbre com- portant umzanchon analogue au manchon représenté sur la fig. 3 Sur 1 ex- trémité extérieure de l'arbre 78 est calée sur lui, de manière à tourner avec
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lui à l'extérieur du boîtier 22" l'extrémité supérieure d'un bras z dirigé vers le bas, qui, comme on le voit diaprés la figo 1 bascule vers la droite ou vers la gauche lorsque le diaphragme 71 se déplace.
Comme on le voit sur la fig.
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lue le tuyau 67 fait ecmuniquer l'espace compris dans le boîtier 6 gauche du diaphragme 71,qui est le coté à pression élevée de la plaque tandis que
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le tuyau 68 fait communiquer la chambre intérieure du boîtier 6 qui se trouve à droite du diaphragme 71 avec le côté à basse pression de la plaque 8. On voit donc que la chambre à haute pression qui se trouve à gauche du diaphragme 71 est à l'opposé de la chambre à haute pression qui se trouve à droite du diaphrag- me 54.
Les bottiers 53 et 69 sont sensiblement de construction analogue, sanf que le bras 22 est plus long que le bras 66. Toutefois, on peut modifier
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à volonté les longueurs relatives des bras Tl et 66 de manière à satisfaire aux'nécessités de différentes conditions opératoires. Le bras 79, sur une par- tie convenable de sa longueur, comporte une fente longitudinale centrale 81 qui
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s'étend presque jusqu'à l'extrémité inférieure du bras ou peut même s'ouvrir à cette extrémité inférieure, si on le désire. Il est prévu, de façon analo- gue, sur le bras 66, sur une partie désirée de sa longueur, une fente 82.Les
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bras 22 et 66 sont articulés sur une bielle 83, en forme de T retourné.
La posi-
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tion de la liaison en T est établie au moment de l'installation pour donner les positions désirées des leviers 79 et 66. Des réglages appropriés dans les pro- portions des leviers peuvent se faire automatiquement de façon à compenser des variations dans la pression et la qualité de la vapeur ou on peut faire à la main des réglages analogues. La pièce 83 comporte deux éléments de formes
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identiques 83a et $3b, fixés 15un sur 1'antre à l'aide de pièces d'espace- ment $1 qui se logent dans les fentes 81 et 82. Les éléments 83a et z sont fixés sur les pièces d'espacement à l'aide de dispositifs de fixation 86.
Il est prévu un jeu suffisant entre les pièces d'espacement 84 et les bords des
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fentes 81 et 82 pour permettre un coulissement longitudinal, ainsi que le léger pivotement nécessaire entre les pièces lorsque l'un des diaphragmes % ou 71 se déplace.
Sur l'extrémité supérieure de la partie verticale de la pièce
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83, pivote en 87,un levier z$ pivotant en 8 , sur un prolongement du boîtier d9un diaphragme 92 commandé par la température. Ce boîtier est fait déléments 2l et 94., entre lesquels est fixé un diaphragme 96.muni en son centre de dis- ques 97. et desquels part un bras 2.ê, montant par une ouverture de la partie 93 du boîtier et articulé en 99 sur le levier 88. Un ressort 103.9 travail- lant à la tension, est fixé à une extrémité sur lextrémité libre du levier 88, en 102, et à l'autre extrémité, sur une vis 103 de réglage de la tension du ressort.
Sur une ouverture de la partie 94 du boîtier est branché un tuy- au 100 communiquant à l'autre extrémité avec un organe 104 à dilatation ther- mique. Cet organe 104 contient un agent sensible à Inaction des changements de la température, de sorte que lorsque l'élément 104 est placé au contact de la
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conduite de sortie des vapeurs (non représenté) ou en d-autres endroits où il est soumis à l'action d'une certaine température, l'agent contenu dans cet élé- ment 104 est en partie ou en totalité transformé en vapeur à l'intérieur dudit élément, augmente ainsi la pression dans le boîtier du diaphragme 96, en des- sous de celui-ci, en soulevant le diaphragme et avec lui le bras 98,
1?ampli- tude de ce soulèvement variant avec la pression exercée contre le diaphragme.
Sur l'extrémité extérieure de l'arbre 78, à l'extérieur du boî- tier ìl, se trouve un bras 106 tournant avec 1?arbre 78. Comme on le voit sur la fig. 1, le bras 106 monte obliquement pour venir dans une position telle que
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sa tête 107 vienne sur la tige de soupape sur laquelle il est fixé, de ma- nière à se déplacer avec elle. Une ferrure 108, montée sur le boîtier fil, sert ' à fixer une extrémité du ressort 109, l'autre extrémité étant reliée à l'autre extrémité du bras 106. Le ressort 109 tend ainsi normalement à pousser le bras 106 en sens inverse des aiguilles d'une montre, en regardant la fig. 1, sauf dans la mesure où il en est empêché par le diaphragme 71.
Le déplacement vers la droite de ce diaphragme 71 fait tourner le bras 106 dans le sens des aigu-il-
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les d'une montre, par 1?interméàiaire des bras Z4 et 72 et de l'arbre 78p ce qui tend à fermer la soupape 6 en antagonisme à la tension du ressort 1090
Le mécanisme de commande à main représenté sur la fig. 4 compor- te une pièce en 111 en forme de L, sur la branche verticale de laquelle pivote
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un levier 112. ce levier étant relié à une extrémité à la pièce 83, et un res- sort 1.1 étant monté sur son autre extrémité. Le ressort 113 est fixé sur la branche horizontale de la pièce 111 et il pousse le levier il dans le sens des aiguilles d'une montre. Une vis 114., portant contre le dessous du bras 112. sert à assurer le réglage de la position du bras 112 et à maintenir celui-ci en position réglée.
Le levier 112 provoque le déplacement de la pièce 83, de manière à modifier les proportions des bras des leviers 79 et 66.
Le dispositif de commande selon l'invention fonctionne de la façon suivante :
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On supposera que la circulation de l'eau dans la conduite i se fait dans le sens de la flèche ou de gauche à droite en regardant la fig. 1 et que l'écoulement du combustible fluide, par exemple un gaz ou une huile, se fait dans les conduites 6 et 7, dans la direction de là flèche ou vers la
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gaucheo Du fait de la plaque 8 avec orifice qui se trouve dans la conàuite ±p il y a une perte de pression dans la conduite, d'amont en aval de la plaque 80 En conséquence, la pression à gauche de la plaque 8 est plus élevée qu'à droite. De façon correspondante, la pression à droite de la plaque 11 contenue dans la conduite 6 est,supérieure à celle qui règne à gauche.
On voit donc
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que les tuyaux il et j67 amènent les pressions plus élevées sur les côtés res- pectifs des diaphragmes et il et que les tuyaux â2 et 68 amènent les pres- sions inférieures sur les côtés opposés. En conséquence, la pression effective
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sur chacun des diaphragmes i4, et 71, est la différence entre les pressions rég- nant des deux côtés des plaques 11 et 8.
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En supposant qui7. règne une condition pour laquelle il passe dans la conduite 5 une quantité d'eau correspondant à une demande de vapeur,
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le diaphragme 71 s'infléchit vers la droite en regardant la fig. 1, en provo- quant un basculement des bras 79 et 106 dans le sens des aiguilles dune montre.
Le bras 106 ferme ainsi la soupape de décharge 46, ce qui entraîne une augmen- tation de la pression dans les conduites 28 et 41, laquelle agit à son tour sur
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le diaphragme .2l de la soupape 32., de manière à faire descendre et à faire ou- vrir davantage la soupape 17(qui normalement est partiellement ouverte) et fait arriver un plus grand volume de combustible de la conduite 7 (reliée à une alimentation en combustible portée à une pression désirée) à la conduite 6, en augmentant ainsi la pression dans la conduite 6 et, de façon correspon- dante la quantité de combustible allant par l'orifice 12 à la chambre de chauf- fe du générateur de vapeur.
Lorsque la pression augmente dans la conduite 6, la différence de pression sur les côtés opposés de la plaque 11 augmente de fa- çon correspondante et elle atteint finalement un point pour lequel elle est suf- fisante pour pousser le diaphragme 54 vers la gauche, en regardant la fig. 1
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et, par 193.ntermédiaire des bras 8j, àl et 66 et de la pièce 8, provoquer une rotation en sens inverse des aiguilles d'une montre des bras 12. et 106, en pro- voquant l'ouverture de la soupape 46 et une réduction de pression dans les con- duites et 28. Ceci, à son tour, déplace proportionnellement la soupape 17 dans le sens de sa fermeture, en laissant ainsi arriver moins de combustible dans la conduite 6, ce qui réduit la quantité de combustible fournie au généra- teur de vapeur.
La répétition automatique des opérations ci-dessus décrites pro- voque un écoulement du combustible vers l'appareil. de chauffage de la chaudière, proportionnellement à l'eau d'alimentation arrivant à la chaudière.
L'appareil de commande en fonction de la température, décrit ci- dessus, est sensible à des variations de températures en un endroit commode de la chaudière ou sur le tuyau de sortie de la vapeur ou de l'eau chaude et il
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fonctionne concurremment avec 1?appareâ sensible à la pression, de manière à régler le dispositif proportionnel en fonction de la température de la vapeur ou autre fluide sortant de la chaudière. Lorsque la température de la vapeur ou de l'eau chaude augmente, l'agent contenu dans Isolément 104 se vaporise,
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ce qui provoque une augmentation de pression dans Isolément 1Q4 et le tuyau il la pression agissant sur le diaphragme 96 pour soulever le bras 98 et faire tour- ner le levier 88 en sens inverse des aiguilles d'une montre.
Le levier 88 agit sur l'élément 83 de manière à faire tourner celui-ci dans le sens des aiguilles
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d'une montre, en faisant ainsi basculer les bras 12 et 2pua dans le sens des ai- guilles d'une montre pour fermer la soupape 6,, ce qui provoque une augmenta- tion de pression dans les tuyaux bzz et 41. En conséquence, la soupape 17. s'ou- vre pour laisser arriver un plus grand volume de combustible de la conduite 7 dans la conduite 6,en augmentant ainsi la quantité de fluide passant par la conduite 6 pour aller à la chambre de chauffe du générateur de vapeur.
On voit que le fonctionnement du mécanisme de commande sous l'ac- tion de la température se combine avec le mécanisme sensible à Inaction de la pression, chacun d'eux fonctionnant concurremment de manière à régler propor-
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tionnellament l'arrivée du combustible en fonction de celle de l'eau d9alimen- tation. Ainsi., un mécanisme de commande agit en contrôlant 1?autre, ce qui augmente le facteur de sécurité du fonctionnement du générateur de vapeur.
Bien que l'on ait représenté sur le dessin certaines proportions
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et positions des pièces, il est bien entendu que ceci nest donné qu'à titre d'exemple et qu'on peut faire des réglages différents pour satisfaire aux nécessités d'une installation particulière. Par exemple, on peut régler la pièce 83 dans le sens de la longueur des bras 66 et 79 dans la mesure voulue pour changer le rapport des déplacements des leviers respectifs. On voit donc qu'en réglant de fagon appropriée la pièce 83 sur les bras 66 et 79, on peut proportionner l'arrivée du combustible à l'arrivée d'eau de complément.
Il est également entendu qu'on peut utiliser des moyens appropriés tels qu'une pompe, un injecteur ou autre dispositif courant pour refouler l'eau d'alimen- tation par la conduite 2. dans le générateur de vapeur, en antagonisme à la pression interne qui y règne, de sorte que la totalité de la pression qui règ- ne à l'intérieur du générateur ne s'exerce pas contre 1?arrivée de l'eau d'a- limentation. Comme on le comprend, c'est la différence des pressions des deux côtés de la plaque de la conduite ± qui est efficace pour provoquer les dé- placements du diaphragme 71 et la différence des pressions sur les côtés oppo- sés de la plaque 11 de la conduite 6 qui est efficace pour provoquer le dé- placement du diaphragme 54.