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Perfectionnements aux emballagesde protection pour paquet 8 de fil.
La présente invention se rapporta aux procédés de conditionnement de paquets enroulée de matière filamenteuse quelconque, qui sera désignée par "fil" dans le présent mémoire, et plue particulièrement de gâteaux de rayonne obtenue dans des pots de filature centrifuge, en vne de leur traitement à l'aide de liquides et de gaz, et à des matériaux perméables perfeotion- nés pour l'emballage de ces paquets - L'un dea bute principaux de l'invention est de réaliser une enveloppe ou emballage de protection d'un paquet enroulé de fil pendant son traitement par un liquida.
Un autre but de l'invention @et de réaliser une enveloppe, en matière très par- méable, d'un prix de revient suffisamment réduit pour pouvoir être Jetée après un seul usage, sans augmenter pour cela, de façon sensible, le coût de fabrication du fil.
Un autre but encore de l'invention est de réaliser uns enveloppe protectrice
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qui, en dépit de son prix réduit et de sa facilité d'obtention, présente une résistance suffisant, pour supporter les condi- tions de traitement à l'état mouillé du fil et servir, après ce traitaient à l'état mouillé, comme enveloppe protectrice de la masse anroulée en étant capable de résister à des manipulations quelque peu brutales pendant l'envoi à une opération de rebobi- nage, de retordage ou à une autre opération de fabrication ou de préparation des textiles, soit dans l'installation de production d'origine, soit dans "ce installation extérieure telle que celle d'un client de, Acteur de fils artificiels.
Un autre but encore de l'invention est de créer un procédé pour mettre l'enveloppe en place sur les paquets enroulés de fil.
D'autres buts et avantagea de l'invention apparaîtront dans la description qui va suivre, faite en regard des dessins annerés donnés à titre d'exemples non limitatifs et sur lesquels :
Les fig. I à 3 montrent dea phases successives d'un pro- cède général de mise en place d'un type d'enveloppe aur une masse de fil enroulée.
Les fig. 4 et 5 montrent la préparation du paquet enrou- lé, muni de son enveloppe cour son dévidage après traitement à l'aide d'un liquide et/ou aéchae de la masse.
Les fig. 6 à 17 montrent divers procédée d'application de l'enveloppe,' suivant l'invention sur des paquets de fil.
D'une façon général., lea matières à partir desquelles sont faites les enveloppes suivant l'invention comprennent lea Paiera et lea feutres analogues au papier, qui sont très per- méables et qui présentent de bonne, résistances à l'état mouillé.
De tels papiers sont utilisés dans la fabrication de sace pour portions individuelles de thé et se sont avérée satisfaisant,. papiers obtenus à partir de fibres de cellulose régénérée, tellea que celles pouvant être obtennues à partir de solution,' de viscose ou de cellulose au cuivre et ayant des longueurs
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allant d'environ 4,7 mm à 25 mm ou plus, présentent une résistan- ce élevée à l'état mouillé et peuvent être utilisées avec succès pour la mine en oeuvre de l'invention. On peut utiliser tout papier perméable présentant une résistance accrue à l'état mouil- lé par suite de son imprégnation à l'aide d'une résine, pendant sa fabrication ou après celle-ci.
Des exemples de papiers de ce type sont fournis par ceux formée à partir de fibres imprégnées à l'aide de résines à base d'urée et de formaldéhyde, de phénol et de formaldéhyde, de mélanine et de formaldéhyde ou de résines analogues. D'autres matures convenant comme enveloppes sont celles se présentant sous forme de feutres, de l'épaisseur du papier, fabriqués à l'aide de fibres ayant la longueur de celles constituant le papier ou les matières textiles et renfermant une faible proportion de fibres pouvant être activées, ou formée entièrement par des fibres de ce type, et qu'on amène à adhérer ensemble, partout où elles se touchent, aussi bien qu'avec les fibres ne pouvant pas être activées si elles existent,
par acti- ration vers l'état adhésif et par désactivation ultérieure. Des fibres activables convenables comprennent les fibres thermoplas- tiques du type ester de cellulose, tel que l'acétate de cellulose et du type formé par les résines vinyliques, telles que les chlorures de polyvinyle, les copolymères du chlorure de polyvi- nyle avec l'acétate de vinyle et les chlorures de polyvinyle ayant subi une post-chloration ou des copolymères du chlorure de vinyle et d'acétate de vinyle. Ces fibres peuvent être activées par la chaleur ou par un solvant ou par des agents de gonflement pour être ...nées à l'état adhésif.
On peut rendre compacts les Papiers ou les feutres analogues au papier par compression pen- dant que les fibres sont rendues adhésives, pour assurer leur adhérence mutuelle à leur. points de croisement, et on peut les désactiver par refroidissement ou par évaporation du solvant.
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L'utilisation de fibres à base de résines vinyliques ont parti- culièrement avantageuse lorsque les liquides de traitement aux- quels on soumet les paquets enroulés sont très corrosifs et, dans ce but, on peut utiliser un papier compose entièrement de fibres de résines vinyliques résistant aux produits chimiques, la perméabilité et la résistance à l'état mouillé étant réglées dans ce cas, soit par un contrôle soigné des conditions d'acti- vation, soit par mélange d'une certaine proportion déterminée de fibres de résine vinylique actiTables à une température plus base@ ou par une conce ':ration plus réduite du aolvant, avec le reste des fibres de résine vinylique.
Ainsi, on peut mélanger des fibres moins facilement sctivables fabriquées à l'aide de copolymèrespost-chloréa obtenus à partir de 70 à 95 parties en poids de chlorure de vinyle avec 30 à 5 parties en poids d'a- cétate de vinyle avec une proportion prédéterminée de fibres constituées par les copolymères non chlorés correspondante.
On peut également obtenir une enveloppe protectrice ayant une résistance élevée à l'état mouillé, en recouvrant avec de la viscose un papier perméable aux liquides ayant une épaisseur assez réduite et une flexibilité suffisante pour se conformer aisément, d'une façon générale, à la fois aux surfaces périphé- riques interne et externe d'un paquet annulaire, et en régéné- rant la cellulose de la viscose pour produire une matière en feuille portant une pellicule flexible fortement adhérente de cellulose régénérée.
Ce type d'emballage, lorsque le gâtean enveloppé est traité à l'aide de liquides puis séché, se rétré- cit avec le gâteau en acquérant un aspect crêpé permanent. la pellicule de cellulose régénérée portée par le papier doit représenter de 6 à 15 % du poids du papier. N'importe quel type de papier mentionné ci-dessus ayant une résistance élevée à l'état mouillé, peut être pourvu d'une pellicule de cellulose régénérée obtenue de cette manière. La pellicule déposés peut
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être continue on présenter des porte microscopiques mais, dans tous les cas, elle devient apparemment très poreuse et perméable pendant le traitement à l'aide de liquide du gâteau enveloppé.
Afin de munir la matière en feuille d'une pellicule de cellulose réfrénerez, telle que le poids de la feuille soit augmenté de 6 à 15 % après dépôt de la pellicule, il faut appli- quer sur la matière en feuille une solution diluée de viscose dans laquelle les proportions de viscose et d'eau sont respecti- vement comprises entre 1:7 et 1:3.
Les limites super* .-tire et inférieure de l'accroissement de poids de la matière en feuille par la pellicule de cellulose régénérée sont toutes deux critiques. Si l'accroissement de poids est inférieur à 6 %, l'emballage ne se rétrécit pas avec le paquet defil pendant le séchage* D'autre part, sil'accroissement de poida est nettement supérieur à 15 % environ, l'emballage a tendance à se rétrécir d'une manière excessive pendant le sécha- ge et il risque de se rompre ou de se déchirer. En se rétrécie- sant, l'emballage acquiert ue aspect crêpé permanent dont l'im- portance dépend de la proportion de cellulose régénérée présente dans la gamme indiquée préoédemment.
On peut utiliser tous les moyens convenable@ pour réné- rer la cellulose de la pellicule de viscose portée par la matiè- re en feuille. Par exemple, on peut faire passer la feuille dans un bain de coagulation et de régénération à bas. d'acide sulfuri- que aqueux, par exemple dans un bain aqueux renfermant de 8 à 12% d'acide sulfurique et en outre pouvant renfermer des proportions convenables d'autres matières utilisées communément dans des bains de ce genre, telles que du sulfate de sodium et du sulfate de sine ou des produite équivalente.
On peut utiliser une viscose quelconque, mais de préféren- ce une viscose de composition, de viscosité et de point de sel normaux, c'est-à-dire une viscose renfermant de 6 à 8 % te
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cellulose, de 6 à 8 % d'hydroxyde de sodium et ayant un point de sel compris entre 3 et 6 et généralement voisin de 5.
On peut appliquer la viscose sur la matière en feuille par pulvé- riaation ou à la brosse, mais, de préférence, on fera passer cette feuille dans un récipient renfermant: la solution de vis- cose, puis dans le bain de régénération renfermant de l'aride sulfurique*
Suivant un autre mode de mise en oeuvre, on prépare un papier ou une mati re d'emballage analogue an papier, per- méable aux liquides, à l'aide d'un mélange de 7 à 70 % en poids de fibres d'ester de cellulose, telles que celles obtenues avec l'acétate de cellulose, le propionate de cellulose, le butyrate de cellulose, l'acétobutyrate de cellulose, qui sont saponifia- bles, et 30 à 93 d'autres fibres non saponifiables, telles que le bois, le coton, le chanvre, le lin, l'abaca et la cellu- lose régénérée.
lea fibres peuvent avoir une longueur correspon- dant à celles du papier ou des matières textiles, et les fibre. d'enter de cellulose sont lidos de façon autogène ou autrement aux autres fibres. les fibres de l'emballage se présentent à l'origine dace un état de déséquilibre potentiel, ce qui signi- !le que leur disposition relative est telle que les fibres d'es- ter de cellulose sont libres de se rétracter et d'entraîner ainsi avec elles les autres fibres. Ce déséquilibre potentiel peut être dâ à la présence d'une quantité prépondérante de fi- bres d'enter de cellulose, distribuées au hasard.
Dans ce mode de mise en oeuvre, les fibres d'ester de cellulose peuvent se présenter sono la forme de fibres discon- tinues, de faisceaux de ces fibres, obtenus par découpage ou sectionnement d'un fil continu en tronçons, ayant la longueur désirée, ou d'un filaient ou d'un fil continu distribué sur la surface du papier suivant un dessin tel que les fibre. d'ester de cellulose se présentent localement sur ce papier. L'expression
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"fibres d'ester de cellulose" est utilisée ici pour désigner les faisceaux de fibres aussi bien que les fibres et les filaments eux-mêmes.
On peut fixer les fibres d'eater de cellulose à la surface d'un papier terminé de toute manière appropriée. Si l'es- ter de cellulose est à l'état plastifié, on chauffe le papier sur lequel les fibres sont réparties, de préférence sous pression, en le faisant passer par exemple entre des cylindres chauffée de calandrage, pour amener l'enter de cellulose à un état permettant son adhérence et pour liur ensemble les fibres dans le produit.
Suivant une autre réalisa: ion, on fixe les fibres d'aster de cel- lulose sur la surface du papier à l'aide d'un solvant de l'ester, par exemple d'acétone lorsque l'ester est de l'acétate de cellu- lose.
Lorsque les fibres d'ester de cellulose sont déposées à la surface d'une bande d'autres fibres, par exemple de fibres de cellulose, pour constituer une opération de la fabrication du papier, on peut les fixer sur cette surface par liaison autogène des fibres, ou bien on peut les fixer à la surface du papier à l'aide d'une pellicule continue de faible épaisseur en une matiè- re formant des pellicules, telle que la cellulose régénérée, qui n'est paa affectée en elle-même par l'agent de saponification utilisé ultérieurement pour éliminer les groupement esters* On peut léposer un tissu de fibres d'ester de cellulose sur le par- pier, de façon continue ou discontinus, au coure de sa fabrica- tion,
en envoyant une suspension aqueuse de fibres d'ester de cellulose sur la toile métallique portant les fibres du papier lorsqu'elle quitte le distributeur renfermant les fibres insapo- nifiables constituant le papier. On dépose les fibres d'ester de cellulose à la surface de la bande déjà formée, se qui produit une faible pénétration sur cette surface des fibres d'ester de cellulose dans la bande et un oschevêtrement minimum des deux types de fibres.
lorsqu'on enveloppe des gâteaux de fil de ce
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type d'emballage, on soumet cet emballât à l'action d'un milieu de saponification aqueux avant ou pendant le traitement du fil, à l'aide de liquide, ce milieu pouvait oralement, dans le cas de rayonne de viscose, 'être également un milieu de désulfuration du fil, par exemple une solution aqueuse renfer- mant environ 0,6 % de sulfure de sodium et 0,5 % de carbonate de sodium.
Bien que l'on quisse envelopper les paquets enroulée à l'aide de ces emballages, de toute manière convenable, selon la forme particulière du paqnet, l'invention prévoit, de pré- férénce, les procédée suivante, représentés sur les dessins annexés*
Les fig. I à 3 montrent un prooédé d'application des enveloppes sur des 'paquets annulaires, tels que des gâteaux de rayonne formés dans des pots de filature centrifuge, ce@ enveloppes servant à protéger l'intérieur aussi bien que l'ex- térieur du paquet pendant le traitement à l'état mouille et pendant sa manipulation au cours du transport. la tilt.
1 montre le début de l'opération de conditionne- ment du paquet de fil 2 suivant un procède qui consiste à en- rouler, sur la face externe du paquet, une feuille 3 de forme générale rectangulaire en papier perméable ayant une grande résistance à l'état mouillé, la longueur de la feuille étant, de préférence, telle qu'elle puise@ entourer complètement la surface du paquet ou que ses extrémités se recouvrent après enroulement sur le paquet. Après avoir enroulé de cette nantir* la feuille autour du paquet 2, on rentre à l'intérieur la partie extrême latérale 4 de la feuille dépassent l'extrémité du paquet enroule, comme On le volt sur la fig. 2.
On rentre ensuite l'autre cota 5 de la fouille dépassant l'antre extré- mite du paquet, comme on le voit sur la fig. 3. Pour les rai- sons indiquées ci-après, le côté rentré le prunier est, de
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préférence, celui voisin de la plus grande base du gâteau annu- laire. Etant donné que les gâteaux sont formée dans des pots de filature dont: la paroi interne est légèrement conique Tara l'in- térieur partir de l'extrémité ouverte du pot, la plus grande base de ce paquet est celle correspondant à la partie supérieure du pot.
La largeur de la feuille eet, de préférence, telle que la face interne du gâtesu soit recouverte totalement, et elle peut avantageusement avoir une largeur nettement supérieure, de façon que les parties rentrera dans le paquet se recouvrent, comme on l'a représenté sur la fig. 3- le paquet étant ainsi enveloppé, on peut le soumettre à un traitement au mouillé.
A cet effet, on peut introduire des tiges de support ou des conduits d'amenée du liquide dans les paquets annulaires et l'emballage perméable protège les spires intérieures et les empêche d'être endommagées par frottement sur ces tiges ou ces conduits. En outre, l'emballage en papier sert à empêcher le déplacement des spires à l'extérieur et à l'inté- rieur du paquet sous l'action des liquides tout en permettant le passage rapide de celui-ci à travers l'ensemble enveloppé.
On peut soumettre les paquets conditionnée à l'action d'autant de liquides différente qu'on le 4'lire, après quoi on peut lea sé- cher et les transporter vers le poste de transformation suivant, par exemple le rebobinage, le retordage et les opérations analo- gues, pour lequel il n'est plus nécessaire d'avoir une enveloppe protectrice.
Si l'on se reporte à la fig. 6, lors du dévidée des gâteaux annulaires 2, on Introduit 'dans ceux-ci des organe@ flexi- bles 8 en forme de manchettes ou de douilles, l'extrémité la plus large de ces gâteaux étant disposée sur un support convena- ble 7, et dea Plaques 8 en forte de cuvette@ renversées sont placées sur ces Paquets en les surplombant pour guider la fil 9 en cours de dévidage, et 1 'écarter de la surface du paquet lora-
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qu'il et dirige rere le guide 10.
Comme on le voit sur la fig- 4 l' inaertion de la manchette flexible 6 dans le gâteau 2 par son extrémité la plus large déplace la partie 5 de l'enveloppe ren-
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trée dans l'extrémité la plus petite u gâteau et la refoule bore de celui-ci, lorsque cette partie a été rentrée en dernier, comme cela est préférable.
Après avoir placé le gâteau, renfer- mant la douille ou manchette, par son extrémité la plus large
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sur le support, conwe on l'a représenté sur la fiér. 5, la par- tie de l'emballage dépassant la petite base du gâteau peut être saisit par l'opérateur, qui peut alors aisément arracher l'embal- lage de la partie externe en tirant vers le bas et dégager ainsi
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la face extérieure du aâteau pour permettre le déridage. - Quel que soit le type de papier à grande résistance à l'état mouillé utilisé$ on peut lui donner la tonne d'un tube,
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avant de l'appliquer sur le gâteau, en superposant et en collant les borde opposée de la feuille.
On fait adhérer, de préférence, le@ borde superposée de la feuille à l'aide d'une bande 25 son-
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bible à la chaleur, comme on l'a représenté sur la fig. 6. t'em- ballope est fait de préférence, comme montré sur la fif. 7 en introduisant le tube 23 par l'intérieur du paquet annulaire 27, , puis en repliant le tube sur les bords du paquet, et enfin autour'
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des parois extérieures Jusqu'à ce que les extrémités et chevan- chant en 28.
Pour faciliter l'insertion, on peut tordre le tube sur lui-mtme pour former des parties pliées ne recouvrant diri- gées suivant une hélice. Après l'insertion du tube retordu, on peut le détordre partiellement pour déployer l'emballage et
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l'amener en contact avec la paroi interne du gâteau, pertianlil- rement aux extafmités, avant de lea rabattre sur la face externe d0ce gU* au. .-.. '" Le fiiet ou bande 25 peut tri composé de toute manier i, thermoplattiqne désirée, on 8h. faisant prise par la chaleur L ai elle est encore à l'état th;I.a.t1qu. qui est rendue a4.' l
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sive par chauffage.
Des exemple de matières convenables sont fournis par les résines vinyliques, en particulier celles à
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baae de chlorure de polyvinyle, de copolymrl8 de chlorures de vinyle avec de l'acétate de vinyle ou du nitrile acrylique, de polymères ou de copolymères de vinyle post-chlorés, de chlorure
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de polyvinylidène; de même que lea résines à base d'esters des acides acrylique et méthacrylique telles que le méthacrylate de méthyle polymérisé; le polyéthylène; les amides polymérisées;
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les dérivée de la cellulose tels que l'éthy1-cellulose etc...
L'utilisation de la bal 3 25 présente de nombreux avantages, étant donné que la saleté qui accompagne l'utilisation d'adhé-
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sifs liquides est entièrement évitée. Ch peut contrôler aisé- ment et de façon certaine l'application de cette bande, de façon qu'elle ne puisse s'écarter de sa position entre les borde se recouvrant à réunir de la feuille avant d'être amenée à l'état
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adhésif.
En outre l'utilisation d'une bande ou d'un filet étroit continu'constitue un moyen simple de régler la quantité d'adhé- si! et la largeur de la couche de liaison dans le produit, ce qui permet de limiter au minimum la variation de la perméabilité au liquide des sonos assemblées de la feuille ou de régler de façon à obtenir une variation déterminée quelconque de cette per- méabilité, suivant l'utilisation finale à laquelle doit être soumis le produit.
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Les tips. 8 à 12 montrent un autre mode d'application d'un emballage en papier de haute résistance à l'état oull1é sur un g'àtean de fil. Comme on le voit sur la fip. 8, on enroule une feuille mince 32 de papier flexible ou de matière tnmiotrue perméable aux liquides et aux eau autour d'un mandrin expane1- ble 33 ( ou on fait Pliaser un tube de papier sur le mandrin) et on place le paquet ou gâteau annulaire 34 sur la feuille 32,
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puis on provoque l'expansion du mandrin. Des moyens de fenretu- re sont disposée autour de la partie dépassant de la portion
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d'enveloppe intérieure et, comme on le voit sur la figure, ces moyens peuvent comporter avantageusement un ou plusieurs fila- monta ou fils thermoplastiques 35 Juxtaposés ou torsadés ensem- ble autour de chacune des extrémités dépassant de l'enveloppe.
L'invention n'est toutefois pas limitée à un adhésif particulier quelconque at il va de soi que l'on peut appliquer, au lieu de filaments ou -le fils thermoplastiques, n'importe quelle colla ou liant. Si on le désire, l'un des deux filaments ou fils torsadés 35 peut être 'un type résistant à la chaleur, da sorte que, même après la fermeture, ce fil résistant demeure pour faciliter le déchirement de la jonction lors de l'ouverture du paquet. Si on le désire, la matière d'emballage peut comporter une matière sensible à la chaleur, qui devient adhésive à chaud.
Par exemple, un papier peut renfer-er une proportion importante (15 à 100%) de fibres sensibles à la chaleur, par exemple de fibres thermoplastiques formées de -résine vinylique, par exemple celles connues sous la marque "Vinyon". Dans ce cas, il n'est pu nécessaire e prévoir de moyens de fermeture.
Après application des moyens de fermeture sur le pourtour des extrémité. de la partie intérieure de l'enveloppe, loreque ces moyens sont nécessaires, on dispose une seconde feuille d'emballage ou un second tube 36, en papier perméable ou en matière analogue, sur la périphérie externe du paquet, de la manière représentée sur la fig. 9, de préférence de telle m&niè- re que cette feuille ou ce tube s'adapte exactement sur la bo- bine, bien qu'un certain Jeu pulase être toléra.
Ensuite, on rabat les extrémités de l'emballage extérieur Pour les ramener sur la feuille intérieure ou, lorsque les feuil- les d'emballage ne renferment paa de matière sensible à la cha- leur, sur les moyens de fermeture (fig. 10) et l'on ferme l'em- ballage par l'applisstion d'un far ohand 37 (voir fig. II). La fermeture à l'aide du fer chand peut être effectuée sur tout
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le pourtour, on en des points éloignée de ce pourtour. Comme on le voit sur la fig. II, le fil résistant à la chaleur, lors- qu'un fil de ce p-enre est utilisé, peut dépasser de la ferme- ture en 35a, de aorte qu'il peut être saisi ensuite pour dé- chirer l'enveloppe après traitement ou après la transport du paquet.
Comme on l'a représenté sur la fig. 12, les portions de l'enveloppe dépassant vers l'extérieur le paquet fermé peuvent être déchirées en de.- coints 38 éloignés les une des autres, puis rabattues sur lea extraites annulaires du gâteau. Avec ce mode d'emballage, l'absence de papier froissé ou plié à l'inté- rieur du paquet, aussi bien qu'à sa périphérie extérieure, éli- mine ou réduit de façon importante les possibilités, de déchire- ment et d'enlèvement de l'enveloppe pendant lea manipulations.
De même, en fixant ensemble lea papiers d'emballage intérieur etextérieur pour former un paquet de bon aspect, bien envelop- pé, on peut soumettre le paquet enveloppé à l'action interne et externe de liquides, de pas et de produite analogues sans dé- couvrir lea spires de fil et riaquer de les emmêler.
Tout type de papier très résistent à l'état mouillé peut être mlissé, comme montré sur la fig. 13, pour assurer l'appli- cation exacte e l'emballage sur la surface de gâteau, tout en fournissant une flexibilité et une possibilité d'expension qui facilitant l'application sur des surfaces ayant des diamètres différente pendant l'enveloppement. On plisse la matière en feuille en repliant sur elles-mêmes des partiea eapacéea de la matière, d'abord dans un sens, puis dans l'antre, le long de lignes parallèles 43 et 44 pour former les partie superposées parallèle@ 45, 46 et 47 séparées seulement par l'épaisseur de la matière en feuille 48.
On peut presser les partiea repliée* avec un fer ou un cylindre chand tout en lea soumettant à l'action de la vapeur, afin de maintenir en place les partie repliées
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et leur permettre de résister à toute déformation. Afin de mainte- nir en place, avec plus de certitude, ces parties plissées, en peut utiliser un autre procédé. Dana ce caa avant plissage, on pulvérise légèrement une face de la matière en feuille à l'aide d'une solution de cire ou de résine, ou on la recouvre légèremont à l'aide de cire ou de résine, à l'état pulvérulent, ou bien à l'aide de filaments de résine.
La sire ou la rénine sont rendues adhésives par la chaleur. L'application de la résine ou de la cire doit être suffisarment faible et effectuée de façon que les particules 50 de matière intrinsèquement adhésive appliquées sur une face de la matière en feuille soient suffisamment écartées les unes des autres pour que la perméabilité aux liquides de la matière en feuille demeure sensiblement inchangée. Après avoir replié la matière en feuille, comme il a été dit ci-dessus, on presse les plie pour les aplatir avec un fer chaud ou un cylin- dre chaud qui rend la matière adhésive et ensemble légèrement les parties superposées des plia, sur lesquelles cette matière adhésive a été appliquée.
Lee borda latéraux de la feuille de matière d'emballage sont 'ramenés l'un sur l'autre pour former un élément tubulaire, dont les parties plissées parallèles eont dis- posées longitudinalement et dont les parties superposées 45 et 48 sont placées à l'intérieur du tube.
On peut maintenir la feuil- le de matière Bons la forme tubulaire'en collant ou assemblant, de toute autre manière, les borda 49 se recouvrant, ou bien le tube peut conserver sa forme simplement en donnant aux bord. un recouvrement suffisant, Le diamètre du tube est celui de l'inté- rieur du paquet de fil devant être enveloppé. les liaisons par adhésif entre les parties se recouvrant formant le@ plie sont telles qu'elle peuvent être supprimées alternent, les plie pouvant être ouverte sans déchirer ou endommager la matière en feuille lorsqu'on désir* élargir le tube. On place, de préférence, l'élé- ment tubul9ire en matière en feuille plissée sur la masse de fil
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devant être enveloppée de la manière représentée sur la fig. 7.
Avec cet agencement, l'élément tubulaire s'applique étroi- tement sur la paroi intérieure de la masse de fil, les parties repliées formant lea plis étant disposées longitudinalement par rapport à la masse de fil pour renforcer l'enveloppe et la maintenir dans la position désirée. En ramenant les parties ex- trames de l'élérent tubulaire sur les extrémités de la masse de fil et en les fixant, de manière à ce qu'elles se recouvrent, sur la paroi extérieure de cette masse, les plis s'ouvrent d'une quantité suffisante en @mpant les attaches entre les parties se recouvrant.
Les plis ont une profondeur suffisante et sont en assez prand nombre pour pouvoir être ouverts et former des par- ties tubulaires de plus grand diamètre, suffisantes pour être ramenées contre la paroi extérieure de la masse de fil et être fixées par Superposition, sans que ces plis s'ouvrent complète- ment, de sorte qu'une partie de chacun de ces plia demeure pré- sente dans lea portions superposées de l'élément tubulaire pla- cées à l'extérieur de la masse de fil enveloppée.
Corme les par- ties repliées à l'extérieur, qui comportent des plie longitudi- naux, se recouvrent, ces plia peuvent être appliqués sur la face extérieure de la masse de fil par aplatissemont ou lissage contre cette masse dans le sens dans lequel ils sont orientés. les parties superposées et formant les plis sont à l'intérieur de la partie de l'enveloppe appliquée sur la paroi interne de la masse de fil et servent à raidir et à renforcer cette partie en la maintenant contre le fil. Les parti 39 plissées ont égale- ment tendance à servir de moyens de guidage du paquet lorsqu'on le place sur une tige de support et résistent, en outre, à l'usu- re de la masse de l'enveloppe par cette tire de support.
On peut également plier les papiers de l'invention comme on l'a représenté sur les fig. 14 et 15 et les introduire dans un pot de filature 60 (fig. 14) avant d'y former le poteau- Une
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bande élastique 56, par exemple en caoutchouc, peut être prévue à une extrémité du tube, mais elle n'est pas essentielle. Le pot 60 peut présenter clusisurs gorges axiales prévues sur sa paroi interne pour faciliter la lavée du gâteau et du papier l'entourant, mais ce n'est pas indispensable.
Après la formation du poteau, on ouvre les plis externes 57 et 58, com-e on l'a représenté sur la fip-- 16, puis on fait passer les extrémités du tube à l'intérieur du gâteau et on les replie sur l'extrémité de celui-ci, corne sur la fig. 17.
La feuille d'eml llage présento une perméabilité uniforme sur toute sa surface. Les papiers perréables d'emballage suivant l'invention présentent un grand nombre d'avantages, comme il a été exposé en partie ci-dessus. Ils sont d'un prix de revient réduit et on peut, par suite, les jeter après les avoir utilisés pour protéger les paquets enroulée de fil lors du traitement à l'aide de liquides, de vapeurs, pendant leur séchage, les opéra- tione analogues, et finalement pendant le transport du paquet à une autre installation en vue de sonore bobinage, de son ourdie..- ge et d'autres opérations textiles ou préparatoires. Ceci les rend les plus économiques pour le transport de gâteaux ou d'au- tres paquets de rayonne ou d'autres fils artificiels.
Jusqu'ici, dans la fabrication des fils artificiels, il était de pratique courante de rebobiner les paquets initiaux pour leur donner une autre forme, par exemple celle de cônes ou d'achevé aux et d'ex- pédier ces derniers* Ceci nécessite une opération supplémentaire de bobinage lorsque le client désire une présentation différente, opération qui ne peut être évitée qu'en rendant possible le trans- port des paquetsde fil initiaux.
Les emballages tricotés utili- gés Jusqu'ici pour protéger les paquets de fil pendant leur trai- tement sont d'un prix trop élevé pour pouvoir être jetés après une seule utilisation et, par suite, l'expédition de ces paquets dans un emballage de oe type nécessite une dépense supplémentaire
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pour l'emballage ou l'inconvénient d'avoir à les retourner au fabricant de fil* artificiels.
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Improvements to protective packaging for 8 wire bundle.
The present invention relates to methods of packaging coiled bundles of any filamentous material, which will be referred to as "yarn" in the present specification, and more particularly of rayon cakes obtained in centrifugal spinning pots, in view of their treatment. using liquids and gases, and perfected permeable materials for the packaging of these packages - One of the main objects of the invention is to provide a protective envelope or packaging for a wound package of wire during its treatment with a liquida.
Another object of the invention @and to achieve an envelope, of very parmable material, of a sufficiently low cost price to be able to be discarded after a single use, without thereby significantly increasing the cost of wire manufacturing.
Yet another object of the invention is to provide a protective envelope
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which, despite its reduced price and ease of production, has sufficient strength to withstand the conditions of wet processing of the yarn and to serve, after that wet processing, as a casing protective of the coiled mass by being able to withstand somewhat brutal handling during shipment to a rewinding, twisting or other textile manufacturing or preparation operation, either in the production facility of origin, or in "this external installation such as that of a customer of, Actor of artificial threads.
Yet another object of the invention is to provide a method for putting the casing in place on wound bundles of yarn.
Other objects and advantages of the invention will appear in the description which follows, given with reference to the annealed drawings given by way of nonlimiting examples and in which:
Figs. I to 3 show successive phases of a general method of placing a type of casing on a wound mass of wire.
Figs. 4 and 5 show the preparation of the wound pack, provided with its envelope during its unwinding after treatment with a liquid and / or drying of the mass.
Figs. 6 to 17 show various methods of applying the envelope, according to the invention on bundles of yarn.
In general, the materials from which the envelopes of the invention are made include paper and paper like felts, which are very permeable and exhibit good wet strengths.
Such papers are used in the manufacture of single serving tea bags and have been found to be satisfactory. papers obtained from regenerated cellulose fibers, such as those obtainable from solution, viscose or copper cellulose and having lengths
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ranging from about 4.7 mm to 25 mm or more, exhibit high wet strength and can be used successfully for the mine in the practice of the invention. Any permeable paper which exhibits increased strength in the wet state as a result of its impregnation with a resin, during or after manufacture can be used.
Examples of papers of this type are provided by those formed from fibers impregnated with resins based on urea and formaldehyde, phenol and formaldehyde, melanin and formaldehyde or the like. Other matures suitable as envelopes are those in the form of felts, the thickness of paper, made from fibers having the length of those constituting the paper or textile materials and containing a small proportion of fibers which may be activated, or formed entirely by fibers of this type, and which are made to adhere together, wherever they touch, as well as with fibers which cannot be activated if they exist,
by activation to the adhesive state and subsequent deactivation. Suitable activatable fibers include thermoplastic fibers of the cellulose ester type, such as cellulose acetate and of the type formed by vinyl resins, such as polyvinyl chlorides, copolymers of polyvinyl chloride with polyvinyl chloride with. vinyl acetate and post-chlorinated polyvinyl chlorides or copolymers of vinyl chloride and vinyl acetate. These fibers can be activated by heat or by a solvent or by blowing agents to be formed in an adhesive state.
Papers or paper-like felts can be compacted by compression while the fibers are being made adhesive, to ensure their mutual adhesion to them. crossing points, and can be deactivated by cooling or by evaporating the solvent.
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The use of fibers based on vinyl resins is particularly advantageous when the processing liquids to which the wound packages are subjected are very corrosive and, for this purpose, a paper composed entirely of resistant vinyl resin fibers can be used. to chemicals, permeability and wet strength being regulated in this case, either by careful control of the activation conditions or by mixing a certain proportion of active vinyl resin fibers with a temperature plus base @ or by a more reduced ration of the solvent, with the rest of the vinyl resin fibers.
Thus, it is possible to mix less easily sctivatable fibers produced using post-chlorea copolymers obtained from 70 to 95 parts by weight of vinyl chloride with 30 to 5 parts by weight of vinyl acetate with a proportion predetermined number of fibers constituted by the corresponding non-chlorinated copolymers.
A protective casing having high wet strength can also be obtained by covering with viscose a liquid permeable paper having a sufficiently reduced thickness and sufficient flexibility to readily conform to the general condition of the paper. both at the inner and outer peripheral surfaces of an annular packet, and regenerating the cellulose from the viscose to produce a sheet material carrying a flexible, strongly adherent film of regenerated cellulose.
This type of wrapping, when the wrapped cake is treated with liquids and then dried, shrinks with the cake, acquiring a permanent crimped appearance. the regenerated cellulose film carried by the paper must represent 6 to 15% of the weight of the paper. Any type of paper mentioned above having high wet strength can be provided with a regenerated cellulose film obtained in this way. The deposited film can
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To be continued it presents microscopic doors but, in all cases, it apparently becomes very porous and permeable during the treatment with liquid of the wrapped cake.
In order to provide the sheet material with a refractory cellulose film, such that the weight of the sheet is increased by 6 to 15% after deposition of the film, a dilute solution of viscose must be applied to the sheet material. wherein the proportions of viscose and water are respectively between 1: 7 and 1: 3.
Both the super-tensile and the lower limits of the increase in weight of the sheet material by the regenerated cellulose film are critical. If the increase in weight is less than 6%, the packaging does not shrink with the yarn pack during drying * On the other hand, if the increase in weight is significantly more than about 15%, the packaging tends to shrink excessively during drying and it may break or tear. By shrinking, the packaging acquires a permanent crimped appearance, the extent of which depends on the proportion of regenerated cellulose present in the range indicated above.
Any suitable means can be used to re-establish the cellulose from the viscose film carried by the sheet material. For example, the sheet can be passed through a low coagulation and regeneration bath. of aqueous sulfuric acid, for example in an aqueous bath containing 8 to 12% sulfuric acid and further which may contain suitable proportions of other materials commonly used in such baths, such as sodium sulfate. sodium and sine sulfate or equivalent products.
Any viscose can be used, but preferably a viscose of normal composition, viscosity and salt point, i.e. a viscose containing 6 to 8% te
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cellulose, from 6 to 8% sodium hydroxide and having a salt point between 3 and 6 and generally around 5.
The viscose can be applied to the sheet material by spraying or by brushing, but preferably this sheet is passed through a container containing: the viscose solution, then into the regeneration bath containing 'sulfuric arid *
In another embodiment, a paper or a paper-like, liquid-permeable packaging material is prepared using a mixture of 7 to 70% by weight of ester fibers. cellulose, such as those obtained with cellulose acetate, cellulose propionate, cellulose butyrate, cellulose acetate butyrate, which are saponifiable, and 30 to 93 other non-saponifiable fibers, such as wood, cotton, hemp, flax, abaca and regenerated cellulose.
the fibers may be of a length corresponding to that of paper or textile materials, and the fibers. of cellulose enter are autogenously or otherwise to other fibers. the fibers in the packaging are initially in a state of potential imbalance, which means that their relative arrangement is such that the cellulose ester fibers are free to retract and cause so with them the other fibers. This potential imbalance may be due to the presence of a preponderant amount of cellulose enter fibers, distributed at random.
In this embodiment, the cellulose ester fibers can be in the form of discontinuous fibers, of bundles of these fibers, obtained by cutting or severing a continuous yarn into sections, having the desired length. , or a spun or a continuous thread distributed over the surface of the paper in a pattern such as the fibers. cellulose ester are present locally on this paper. Expression
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"cellulose ester fibers" is used herein to refer to the fiber bundles as well as the fibers and filaments themselves.
The cellulose eater fibers can be attached to the surface of a finished paper in any suitable manner. If the cellulose ester is in the plasticized state, the paper on which the fibers are distributed is heated, preferably under pressure, by passing it for example between heated calendering rolls, to bring the enter of cellulose in a condition that allows it to adhere and to bind the fibers together in the product.
According to another embodiment, the cellulose aster fibers are fixed to the surface of the paper using a solvent for the ester, for example acetone when the ester is acetate. cellulose.
When the cellulose ester fibers are deposited on the surface of a web of other fibers, for example cellulose fibers, to constitute a papermaking operation, they can be attached to that surface by autogenous bonding of the fibers. fibers, or they can be fixed to the surface of the paper with a continuous thin film of a film-forming material, such as regenerated cellulose, which is not itself affected by the saponification agent subsequently used to remove the ester groups * A fabric of cellulose ester fibers can be deposited on the stone, continuously or discontinuously, during its manufacture,
by sending an aqueous suspension of cellulose ester fibers onto the wire mesh carrying the fibers of the paper as it leaves the dispenser containing the unsaponifiable fibers constituting the paper. The cellulose ester fibers are deposited on the surface of the already formed web, which results in little penetration on this surface of the cellulose ester fibers in the web and minimal entanglement of the two types of fibers.
when wrapping cakes in this thread
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type of packaging, this packaging is subjected to the action of an aqueous saponification medium before or during the treatment of the yarn, using liquid, this medium could orally, in the case of viscose rayon, 'be also a wire desulfurization medium, for example an aqueous solution containing about 0.6% sodium sulfide and 0.5% sodium carbonate.
Although it is necessary to wrap the wound packages using these packages, in any suitable manner, according to the particular shape of the package, the invention preferably provides for the following procedures, shown in the accompanying drawings *
Figs. I to 3 show a method of applying the casings to annular packages, such as rayon cakes formed in centrifugal spinning pots, which casings serve to protect the interior as well as the exterior of the package. during wet processing and during handling during transport. the tilt.
1 shows the start of the conditioning operation of the bundle of yarn 2 according to a process which consists in rolling, on the external face of the bundle, a sheet 3 of generally rectangular shape of permeable paper having a high resistance to water. in the wet state, the length of the sheet preferably being such that it can completely surround the surface of the pack or that its ends overlap after winding on the pack. After having wrapped this collateral * the sheet around the packet 2, we enter inside the extreme lateral part 4 of the sheet protruding from the end of the wound packet, as can be seen in fig. 2.
The other side 5 of the excavation is then entered, extending beyond the other end of the package, as seen in fig. 3. For the reasons given below, the tucked-in side of the plum tree is,
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preferably, the one near the largest base of the annular cake. Since the cakes are formed in spinning pots, the inner wall of which is slightly conical Tara the interior from the open end of the pot, the largest base of this package is that corresponding to the upper part of the pot.
The width of the sheet is preferably such that the internal face of the cake is completely covered, and it can advantageously have a significantly greater width, so that the parts will fit into the packet overlap, as has been shown on fig. 3- the package being thus wrapped, it can be subjected to a wet treatment.
For this purpose, support rods or liquid supply conduits can be introduced into the annular packets and the permeable packaging protects the inner turns and prevents them from being damaged by friction on these rods or these conduits. In addition, the paper wrapping serves to prevent movement of the turns outside and inside the package under the action of liquids while allowing rapid passage of the latter through the wrapped assembly. .
The conditioned packets can be subjected to the action of as many different liquids as are read, after which they can be dried and transported to the next transformer station, for example rewinding, twisting and similar operations, for which it is no longer necessary to have a protective envelope.
If we refer to fig. 6, during the unwinding of the annular cakes 2, are introduced into them flexible members 8 in the form of sleeves or sleeves, the wider end of these cakes being arranged on a suitable support 7 , and inverted Cups 8 are placed on these packages overhanging them to guide the wire 9 being unwound, and away from the surface of the package when.
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that he and directs rere the guide 10.
As can be seen in FIG. 4, the insertion of the flexible sleeve 6 into the cake 2 by its wider end displaces the part 5 of the casing.
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the smaller end of the cake and the boron discharge thereof, when this part has been entered last, as is preferable.
After placing the cake, enclosing the sleeve or sleeve, by its widest end
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on the support, as it has been represented on the fiér. 5, the part of the wrapper protruding from the small base of the cake can be grasped by the operator, who can then easily tear the wrapper from the outer part by pulling downwards and thus release.
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the outer face of the cake to allow unwinding. - Whatever type of high strength wet paper is used $ it can be given per ton of a tube,
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before applying it to the cake, layering and gluing the opposite edges of the sheet.
The superimposed edge of the sheet is preferably adhered by means of a rubber band.
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bible heat, as shown in fig. 6. The wrapper is preferably made, as shown on the fif. 7 by introducing the tube 23 from the inside of the annular packet 27, then by folding the tube over the edges of the packet, and finally around '
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of the outer walls Until the ends and overlapping at 28.
To facilitate insertion, the tube can be twisted on itself to form non-overlapping folded parts directed in a helix. After insertion of the twisted tube, it can be partially untwisted to unfold the package and
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bring it in contact with the internal wall of the cake, pertianlil- ously to the ends, before folding it over the external face of the cake. .- .. '"The film or strip 25 can be sorted in any way desired thermoplastic, or by setting by the heat L ai it is still in the th state; I.a.t1qu. Which is made a4. l
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sive by heating.
Examples of suitable materials are provided by vinyl resins, particularly those with
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baae of polyvinyl chloride, of copolymrl8 of vinyl chlorides with vinyl acetate or acrylic nitrile, of post-chlorinated vinyl polymers or copolymers, of chloride
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polyvinylidene; as well as the resins based on esters of acrylic and methacrylic acids such as polymerized methyl methacrylate; polyethylene; polymerized amides;
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cellulose derivatives such as ethyl cellulose etc ...
The use of the bal 3 has many advantages, since the dirt that accompanies the use of adhesive.
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Liquid sifs is entirely avoided. Ch can easily and reliably control the application of this strip, so that it cannot deviate from its position between the overlapping edges to unite the sheet before being brought to the state.
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adhesive.
Furthermore, the use of a continuous narrow band or net is a simple means of controlling the amount of adhesion! and the width of the tie layer in the product, which makes it possible to limit to a minimum the variation in the liquid permeability of the sonos assembled from the sheet or to adjust so as to obtain any determined variation in this permeability, depending on the end use to which the product is to be subjected.
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The tips. 8 to 12 show another mode of application of high strength paper wrapping as wrapped on a wire mesh. As seen on the fip. 8, a thin sheet 32 of flexible paper or liquid and water permeable thermal material is wound around an expandable mandrel 33 (or a paper tube is folded over the mandrel) and the package or cake is placed. ring finger 34 on sheet 32,
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then the expansion of the mandrel is caused. Window means are arranged around the part projecting from the portion.
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inner casing and, as can be seen in the figure, these means may advantageously comprise one or more filamenta or thermoplastic threads 35 juxtaposed or twisted together around each of the ends protruding from the casing.
However, the invention is not limited to any particular adhesive at all, it goes without saying that one can apply, instead of thermoplastic filaments or son, any glue or binder. If desired, one of the two filaments or twisted yarns 35 may be of a heat resistant type, so that even after closing this tough yarn remains to facilitate tearing of the seam upon opening. of the package. If desired, the packaging material can include a heat sensitive material, which becomes hot tacky.
For example, a paper may contain a large proportion (15 to 100%) of heat sensitive fibers, for example thermoplastic fibers formed from vinyl resin, for example those known under the trademark "Vinyon". In this case, it could not be necessary to provide closing means.
After application of the closing means on the periphery of the ends. from the inner part of the envelope, when these means are required, a second wrapping sheet or a second tube 36, of permeable paper or similar material, is placed on the outer periphery of the packet, as shown in figure fig. 9, preferably such that this sheet or tube fits exactly on the coil, although some pulase clearance will be tolerated.
Then the ends of the outer packaging are folded back to bring them back onto the inner sheet or, when the packaging sheets do not contain heat-sensitive material, onto the closure means (fig. 10) and the packaging is closed by the applisstion of a far ohand 37 (see fig. II). Closing with the chand iron can be done on any
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the perimeter, at points far from this perimeter. As seen in fig. II, the heat resistant yarn, when a yarn of this p-enre is used, can protrude from the aortic closure at 35a which it can then be grabbed to tear the casing after. processing or after transporting the package.
As has been shown in FIG. 12, the portions of the casing protruding outwards from the closed packet can be torn in de.- corners 38 away from each other, then folded over the annular extracts of the cake. With this method of wrapping, the absence of crumpled or folded paper within the package, as well as at its outer periphery, eliminates or significantly reduces the possibilities of tearing and damage. removal of the casing during the manipulations.
Likewise, by securing the inner and outer wrapping papers together to form a good looking, well wrapped packet, the wrapped packet can be subjected to the internal and external action of liquids, paces and the like without damage. - cover the turns of wire and laugh at tangling them.
Any type of paper that is very resistant when wet can be mixed, as shown in fig. 13, to insure the exact application of the package to the cake surface, while providing flexibility and expandability which facilitates application to surfaces of different diameters during wrapping. The sheet material is folded by folding back on themselves parts of the material, first in one direction, then in the antrum, along parallel lines 43 and 44 to form the overlapping parallel parts @ 45, 46 and 47 separated only by the thickness of the sheet material 48.
You can press the folded parts * with an iron or a cylinder chandelier while subjecting them to the action of steam, in order to keep the folded parts in place.
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and allow them to resist any deformation. In order to hold these pleated parts in place with greater certainty, another method can be used. In this caa before pleating, one side of the sheet material is lightly sprayed with a wax or resin solution, or it is lightly covered with wax or resin, in the powder state. , or using resin filaments.
The sire or the renin are made adhesive by heat. The application of the resin or wax should be sufficiently light and carried out so that the particles 50 of intrinsically adhesive material applied to one side of the sheet material are sufficiently spaced from each other so that the liquid permeability of the material. sheet material remains substantially unchanged. After having folded the sheet material, as said above, the folds are pressed to flatten them with a hot iron or hot roller which makes the material adhesive and lightly together the overlapping parts of the folds, on which this adhesive material was applied.
The sides of the sheet of packaging material are brought together to form a tubular member, the parallel pleated parts of which are arranged longitudinally and the overlapping parts 45 and 48 of which are placed side by side. inside the tube.
The sheet of material may be maintained in the tubular shape by gluing or otherwise assembling the overlapping edges 49, or the tube may retain its shape simply by giving the edges. sufficient coverage. The diameter of the tube is that of the inside of the bundle of wire to be wrapped. the adhesive bonds between the overlapping portions forming the fold are such that they can be alternately removed, the folds being able to be opened without tearing or damaging the sheet material when it is desired to expand the tube. The tubular member of pleated sheet material is preferably placed over the mass of yarn.
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to be wrapped in the manner shown in FIG. 7.
With this arrangement, the tubular member rests tightly on the inner wall of the mass of yarn, the folded parts forming the plies being disposed longitudinally of the mass of yarn to strengthen the casing and hold it in the shell. desired position. By bringing the extraneous parts of the tubular element back over the ends of the mass of wire and fixing them so that they overlap on the outer wall of this mass, the folds open up. a sufficient amount by @mpanting the fasteners between the overlapping parts.
The folds have a sufficient depth and are in sufficient number to be able to be opened and form tubular parts of larger diameter, sufficient to be brought back against the outer wall of the mass of wire and to be fixed by superposition, without these folds open fully so that a portion of each of these folds remains present in the superimposed portions of the tubular member placed outside the wrapped mass of wire.
As the parts folded over to the outside, which have longitudinal folds, overlap, these folds can be applied to the outside face of the mass of wire by flattening or smoothing against this mass in the direction in which they are placed. oriented. the superimposed parts and forming the folds are inside the part of the envelope applied to the internal wall of the mass of yarn and serve to stiffen and reinforce this part by holding it against the yarn. The pleated parts also tend to act as a means of guiding the packet when placed on a support rod and furthermore resist wear of the mass of the envelope by this pulling. support.
The papers of the invention can also be folded as shown in FIGS. 14 and 15 and place them in a spinning pot 60 (fig. 14) before forming the post there.
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elastic band 56, for example of rubber, may be provided at one end of the tube, but it is not essential. The pot 60 can have axial grooves provided on its internal wall to facilitate washing of the cake and of the paper surrounding it, but this is not essential.
After the post has been formed, the outer folds 57 and 58 are opened, as shown on fip - 16, then the ends of the tube are passed inside the cake and folded over the top. end thereof, horn in fig. 17.
The eml llage sheet presents a uniform permeability over its entire surface. The permeable wrapping papers according to the invention have a large number of advantages, as was explained in part above. They are of a reduced cost price and can, therefore, be discarded after having used them to protect the bundles wound with wire during treatment with liquids, vapors, during their drying, the opera- tione. the like, and finally during transport of the package to another installation for sound winding, warping, and other textile or preparatory operations. This makes them most economical for transporting cakes or other packages of rayon or other artificial yarns.
Heretofore, in the manufacture of artificial yarns, it has been common practice to rewind the initial bundles to give them another shape, for example that of cones or of completed ones, and to ship the latter. additional winding operation when the customer desires a different presentation, an operation which can only be avoided by making it possible to transport the initial bundles of wire.
The knitted wrappers heretofore used to protect bundles of yarn during processing are too expensive to be discarded after one use, and hence the shipment of these bundles in packaging. oe type requires additional expense
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for the packaging or the inconvenience of having to return them to the manufacturer of the artificial yarns *.