BE485680A - - Google Patents

Info

Publication number
BE485680A
BE485680A BE485680DA BE485680A BE 485680 A BE485680 A BE 485680A BE 485680D A BE485680D A BE 485680DA BE 485680 A BE485680 A BE 485680A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
slag
zinc
oxygen
carbon
bath
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE485680A publication Critical patent/BE485680A/fr

Links

Classifications

    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B9/00General processes of refining or remelting of metals; Apparatus for electroslag or arc remelting of metals
    • C22B9/05Refining by treating with gases, e.g. gas flushing also refining by means of a material generating gas in situ
    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B19/00Obtaining zinc or zinc oxide
    • C22B19/04Obtaining zinc by distilling
    • YGENERAL TAGGING OF NEW TECHNOLOGICAL DEVELOPMENTS; GENERAL TAGGING OF CROSS-SECTIONAL TECHNOLOGIES SPANNING OVER SEVERAL SECTIONS OF THE IPC; TECHNICAL SUBJECTS COVERED BY FORMER USPC CROSS-REFERENCE ART COLLECTIONS [XRACs] AND DIGESTS
    • Y02TECHNOLOGIES OR APPLICATIONS FOR MITIGATION OR ADAPTATION AGAINST CLIMATE CHANGE
    • Y02PCLIMATE CHANGE MITIGATION TECHNOLOGIES IN THE PRODUCTION OR PROCESSING OF GOODS
    • Y02P10/00Technologies related to metal processing
    • Y02P10/20Recycling

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Manufacturing & Machinery (AREA)
  • Materials Engineering (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Metallurgy (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Manufacture And Refinement Of Metals (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  "PERFECTIONNEMENTS APPORTES A LA PRODUCTION DU   ZINC.!'   
L'invention est relative à la production de zinc métallique à partir de minerais grillés, de scories ou d'autres matières con- tenant du zinc. 



   Un procédé, déjà appliqué avec succès, pour la récupération du zinc à partir de scories contenant de l'oxyde de zinc, consis- te à injecter du charbon pulvérisé en même temps qu'un jet d'air, dans un bain de scories fondues ; la réaction primaire engendre de l'oxyde de carbone avec un peu d'acide carbonique ; le CO réa- git avec l'oxyde de zinc, en libérant du zinc et en formant du CO2 additionnel. Le CO et zinc restant sont alors complètement brulés par de l'air en excès, en formant de l'oxyde de zinc et du CO2. L'oxyde de zinc et les gaz ainsi produits sont alors refrci dis en leur faisant traverser un générateur de vapeur, et l'oxyde est recueilli. Le procédé est essentiellement un procédé inter- mittent par "charges", par distinction d'avec un procédé continu. 



  De la scorie fondue est chargée dans le four, et après une période 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 de fonctionnement la scorie épuisée est déchargée. Des installa-      tions existantes pour l'exécution de ce procédé traitent des sco- ries provenant des fours soufflés à plomb, contenant environ 16 % de zinc et 2 % de plomb, La récupération du zinc est de 1' ordre de 95   %.   La charge est principalement de la scorie fondue; celle-ci peut être partiellement remplacée par de la scorie granu- lée si c'est nécessaire, mais uniquement aux dépens d'un accroisse- ment de consommation de combustible. 



   Le procédé prémentionné conduit à la séparation du zinc sous forme d'oxyde de zinc. 



   L'objet de la présents invention est la récupération de zinc métallique au lieu d'oxyde, et la possibilité d'utiliser dans ce but le four de scrorification a été examinée de près. 



   On a constaté que sans adaptation du procédé connu dans le- quel on .utilise un jet ou soufflage d'air, un rendement utile ou intéressant en zinc métallique ne pouvait être obtenu, du fait que, pour maintenir la température du bain de scories, on doit utiliser une quantité d'air qui dépasse notablement celle requise pour brûler le carbone en oxyde de carbone ; il se forme par con- séquent une quantité importante de CO2 qui, lorsque les gaz se refroidissent, et en particulier dans l'opération de condensation, transforme à nouveau en oxyde de zinc la majeure partie de la va- peur de zinc métallique, par inversion de la réaction de réduction :

   
 EMI2.1 
 La nécessité d'un excédent d'air, si la température du bain doit être maintenue, résulte de la dilution de l'oxygène du jet d'air due à la teneur en azote de l'air lui-même, et qui absorbe une grande proportion de la chaleur engendrée. 



   On a trouvé qu'en utilisant de l'oxygène on un mélange gazeux riche en oxygène au lieu d'air, la teneur totale en oxygène du jet, par rapport à la teneur   totale   en carbone du combustible four ni, peut être réduite dans une mesure telle que du CO2 ne se forme 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 pas en quantité appréciable, et cela sans réduire le taux de géné- ration de chaleur jusqu'au point où elle cesserait de compenser les pertes de chaleur et où la scorie cesserait d'être fluide ; et que par enrichissement progressif en oxygène du gaz soufflé, la teneur totale en oxygène nécessaire pour maintenir le processous en fonc- tionnement peut être progressivement réduite en dessous de celle requise pour la combustion complète du carbone en CO.

   L'oxyde zinc de la scorie est alors réduit soit directement par l'excès de carbone, suivant la réaction : 
 EMI3.1 
 soit partiellement par cette réaction (2) et partiellement par le CO suivant la réaction (1), le C02 produit par celle-ci étant réduit par l'excès de carbone, comme   suit :   
 EMI3.2 
 
L'effet obtenu en travaillant avec un excèdent de carbone par rapport à la quantité qui peut précisément être brûlée en CO par l'oxygène du jet, est d'empêcher la production de CO2, et plus l'excès de carbone est important et plus l'on prévient avec succès la formation de CO2. En minimisant le dégagement de CO2, la me- sure dans laquelle la réaction inverse de la réaction (1) peut se produire pendant le refroidissement est également réduite . 



  Il devient par suite possible d'obtenir un bon rendement en zinc métallique à la condensation. 



   L'enrichissement en oxygène d'un jet d'air (sans carbone en suspension) a été proposé dans le cas des cubilots pour la produc- tion du zinc. 



   Dans le procédé conforme à l'invention, un jet de gaz ne contenant pas moins de 40 % en volume d'oxygène, le reste étant pratiquement exempt de CO2 et principalement composé de gaz inerte comme l'azote, ensemble avec du combustible carbonifère sous for- me finement divisée en suspension dans le jet gazeux, est soufflé 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 dans un bain de scorie zincifere fondue, qui peut comprendre d'au- tres matières contenant de l'oxyde de zinc et des fondants addi- tionnels suivant les besoins, ou, et du carbone additionnel, la proportion moléculaire du carbone en suspension par rapport à l'o- xygène dans le jet étant supérieure à 2, de manière que le carbone soit toujours présent en excédent suffisant par rapport à l'oxygène fourni pour empêcher la formation de toute quantité appréciable de CO2. 



   Par ce procédé, on   obtient   l'émission de la vapeur de zinc métallique en mélange avec un gaz contenant une proportion élevée d'oxyde de carbone par rapport à 1 'anhydride carbonique ; ce mélan- ge peut être recueilli à l'abri de l'air et de la vapeur de zinc peut en être condensée sous forme de métal fondu, dans un conden- seur approprié. 



   Les rendements tant en sine libéré, que de condensation de la vapeur de zinc, tombent rapidement avec l'accroissement de la di- lution de l'oxygène dans le gaz de soufflage, la concentration minimum en oxygène dans le gaz soufflé qui permet d'exécuter le procédé étant de   40 %   comme indiqué plus haut ; et le gaz soufflé ne devra contenir aucune quantité notable de vapeur d'eau. Il est préférable de travailler avec un gaz de soufflage formé d'oxy- gène à 98 % de pureté, mais si on utilise une moindre concentra- tion d'oxygène dans le jet, de l'air enrichi en oxygène, et sec, convient. 



   L'efficacité du procédé dépend du soin avec lequel on évite toute dilution exagérée, non seulement de l'oxygène dans le gaz de soufflage, mais également de la vapeur de zinc dans lez gaz émis, par des gaz inertes et des gaz ou vapeurs absorbant de la chaleur, et par suite, il est désirable que, en plus de l'emploi d'une concentration élevée d'oxygène dans le jet, le combustible carbonifère du jet soit sec et présente une faible teneur en hy- drogène ; tant l'hydrogène que la vapeur d'eau constituent des di- luants sans utilité, du fait qu'ils absorbent de la chaleur à rai- 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 son de leur capacité calorifique, et également, dans le cas de la vapeur d'eau, du fait que de la chaleur est absorbée endo- thermiquement dans sa réaction avec le carbone.

   Pour ces raisons, des combustibles qui conviennent pour le procédé de l'invention sont constitués pour le charbon dit anthraaite et les combusti- bles artificiellement carbonisés. 



   D'autre part lorsqu'on travaille avec un jet constitué par de l'oxygène pratiquement pur (98   %   de pureté ou plus)-une cer- taine dilution des produits de combustion peut être tolérée. Par conséquent il est possible, lorsqu'on travaille avec un jet d'oxy- gène pratiquement pur, d'utiliser des combustibles hydrocarbonés liquides des qualités lourdes, dans lesquels la proportion de car- bone à l'hydrogène est élevée. Pareils combustibles peuvent être utiles en raison de la facilité avec laquelle ils peuvent être pul- vérisés dans le jet. un cas d'application de l'invention est la production de zinc métallique à partir de blende de zinc grillée. Le four comprend essentiellement une cuve munie de tuyères, disposées en dessous du niveau auquel la cuve est chargée de scories, et de préférence près de son fond. 



   On prévoit également un trou de coulée ou l'équivalent au ni- veau d'évacuation de la scorie et un dispositif de chargement à l'aide duquel des matières solides peuvent être introduites sans introduction simultanée d'une quantité d'air notable. Pour l'éva- cuation de la vapeur de zinc et des gaz, on prévoit une sortie dans la partie supérieure de la cave, qui mène à un condenseur. 



   Pour la mise en route de l'opération, la cuve est d'abord partiellement remplie à l'aide   d'une   charge de matière granulée, de composition analogue à celle de la scorie liquide. qui doit être maintenue pour le bain dans la suite des opérations. Du combustible pulvérisé, avec du gaz riche en oxygène, est soufflé par les tuyères. Lorsqu'un fond de scorie fondue est formé, le fonctionnement de régime commence. La charge peut être constitua 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 par un minérai grillé, de préférence exempt de poussier , ou bien par une scorie zincifère,   qui, par   exemple, proviendra d'un four à plomb, ou bien encore par un mélange de minerai et de scorie ; alternativement, on peut employer un minerai qui a été grillé et briqueté.

   La charge peut également être composée d'un mélange de minerai oxydé ou, et de scories et de combustible carbonifère pulvérisé, mis sous forme de briquettes. 



   De la matière de charge fraiche, qui peut être chaude ou froide, mais est de préférence chauffée à 8000 C ou plus, est ajoutée d'une manière continue ou à de courts intervalles. 



   Des matières de scorification, comme de la silice ou de la chaux, en supplément de ce qui est contenu dans le minerai et dans le combustible pulvérisé, peuvent être ajoutées si c'est nécessai- re. Le four se charge de scorie contenant une proportion de zinc, permettant un rendement élevé de travail par pose avec une élimi- nation   économique.   De la vapeur de zinc se dégage et est conduite au condenseur. Le procédé est continu. 



   Si le minerai grillé est mis en briquettes avec de la matiè- re carbonifère, la réaction entre l'oxygène et le carbone dans le jet, sert uniquement à engendrer de la chaleur, en satisfaisant aux conditions de la réaction entre l'oxyde de zinc et le carbone dans les briquettes conformément à la réaction (2). Les briquettes seront établies de manière à se scorifier et à disparaître lors- que le zinc est   éliminé.   



   Dans le procédé pour récupérer le zinc sous forme métalli- que, comme déjà décrit, tout le bain de sourie sera maintenu à com- position constante, la teneur en zinc étant suffisamment élevée pour permettre l'enlèvement rapide du zinc, mais aussi suffisam- ment basse pour éviter les pertes par entraînement d'oxyde de zinc dans la scorie épuisée. 



   Au lieu de comporter une   chambre'unique   dans laquelle toute la scorie est contenue et peut être malaxée dans toutes ses par- ties, le four peut être construit de manière que la scorie chemine 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 soit dans un labyrinthe ou à travers une succession de chambres aménagées de façon que la teneur en zinc décroisse lorsque la scorie s'écoule du point de chargement au point d'extraction. 



  Ceci permet d'accroître le taux d'extraction du zinc de la scorie et de réduire la teneur en oxyde de zinc de la scorie épuisée éliminée. 



   Dans certaines circonstances, le maximum d'élimination du zinc sous forme de métal peut ne pas être économique, auquel cas l'extraction du zinc sous forme de métal peut être limitée, laissant subsister une certaine quantité d'oxyde de zinc dans la scorie éli- minée du bain, laquelle peut alors être traitée pour l'extraction du zinc sous forme d'oxyde, par exemple par un procédé connu du genre précédemment mentionné. 



   Si les matières de la charge contiennent une quantité appré- ciable de cuivre, d'argent ou d'autres métaux semblables, il peut convenir d'ajouter à la charge une substance contenant du soufre, comme un sulfure de fer, donnant lieu à la formation d'une matte contenant le cuivre, l'argent et autres métaux semblables, matte qui passera au fond du bain et pourra être extraite par un second trou de coulée situé à la partie inférieure du bain, et à prévoir du reste,de toute manière, pour les nettoyages. Ce second trou de coulée permettra également l'élimination de toute quantité de fer fondu qui pourrait se former. 



   On a constaté que les gaz, lorsqu'ils quittent le bain de scorie, sont relativement chauds, et que leur chaleur sensible peut être utilisée pour effectuer une réduction additionnelle du zinc dans des matières non scorifiées. Ainsi, il convient parfois de faire passer les gaz contenant du zinc, lorsqu'ils quittent le bain et avant qu'ils ne pénètrent dans le condenseur, à travers une colonne chauffée de briquettes contenant du minerai grillé et du carbone, grâce à quoi du zinc est libéré par la réaction(2), aux dépens d'une chute de température des gaz. Cette colonne pré- sente aussi certains autres avantages, en filtrant les gouttelettes de scories entrainées dans les gaz. 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 



   Alternativement, avant de pénétrer dans le condenseur, les gaz peuvent être passés à travers une colonne de coke. Ceci concou- re à filtrer les gouttelettes de scories, et sert également à rédui- re, au moins partiellement, par la réaction (3) tout le 002 qui pourrait être formé par la   réaction (!}.   malgré l'excédent de car- bone du jet. 



   Pour assurer l'enlèvement de toute quantité notable d'anhy- dride carbonique, il est ordinairement nécessaire de chauffer le coke autrement que par les gaz, par exemple, à l'aide d'un courant électrique, en utilisant le coke comme résistance. 



   Les dessins annexés illustrent un exemple type de four appro- prié pour la mise en oeuvre du procédé de l'invention. Dans les dessins : 
Fig. 1 est une élévation en coupe du four, suivant son axe lon- gitudinal ; 
Fig. 2 est une élévation en coupe suivant la ligne 2-2 de la fig. 1 ; 
Fig. 3 est un plan en coupe suivant les lignes 3-3 des figs. 



   1 et 2. 



   Dans le four illustré, une cuve propre à contenir un bain 2 de scorie liquide comporte un fond plein, réfractaire, résistant à la scorie,   4,   formé par exemple en matière céramique ou carbonée, comme de l'alumine frittée, du graphite ou du carborundum, et des parois creuses, refroidies à l'eau 5, dont les portions infé- rieures logent des tuyères 3. La cuve comporte une vouverture de chargement 1, et l'espace collecteur des gaz 8 de la chambre du four, au   dessus   du niveau de la surface du bain de scorie 2, est isolé de l'ouverture de chargement par une partie de la paroi 5 
Plongeant jusqu'en dessous du niveau de la surface du bain. Les parois de l'espace collecteur des gaz 8 sont en matériau réfractai- re plein et sont d'une pièce avec une voûte en arc 10.

   Un prolon- gement de l'espace collecteur des gaz forme un cerneau 9 à fond incliné, en assurant par là le retour dans la cuve de la scorie 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 entraînée sous forme pulvérisée et se déposant dans le carneau. 



  Un conduit   descendant   11 mène du carneau 9 dans le condenseur (non représenté). Le niveau du bain de scorie est maintenu constant par une ouverture de trop plein pourvue d'un bec 7, et un trou de cou- lée à tampon, 6, situé à la base de la cuve, permet l'évacuation, en cas de besoin, du fer fondu ou d'une matte qui viendrait à se former et permet également la vidange complète de la cuve lorsque c'est nécessaire. 



   REVENDICATIONS. 



   1. Un procédé pour la production de zinc métallique à partir de scories zincifères, qui peuvent être enrichies initialement ou, et par intermittence au cours de la marche, à l'aide de minérais grillés, de scories et d'autres matières contenant de l'oxyde de zinc, procédé dans lequel un jet de gaz ne contenant pas moins de 40% en volume d'oxygène, le reste étant pratiquement exempt de CO2 et principalement composé de gaz inertes comme l'azote, ensem- ble avec du combustible carbonifère dans un état finement divisé en suspension dans le jet de gaz, est soufflé dans un bain de scorie zincifère fondue, qui peut comprendre d'autres matières contenant de l'oxyde de zinc comme prémentionné, et des fondants additionnels et, ou du carbone additionnel ;

   la proportion moléculaire du car- bone en suspension dans le jet, par rapport à la teneur en oxygène de ce jet étant supérieure à deux, de manière que le carbone soit toujours présent en excédent suffisant par rapport à l'oxygène four- ni pour prévenir la formation de toute quantité appréciable de CO2, et le mélange gaz-vapeur émis par la scorie étant recueilli à 1 ',abri de l'air, et envoyé à un condenseur en vue de la conden- sation du zinc métallique y contenu.

Claims (1)

  1. 2. Un procédé tel que revendiqué dans la revendication 1, dans lequel le combustible carbonifère finement divisé en suspen- sion dans le gaz soufflé est du combustible solide, tel que de l'anthracite. <Desc/Clms Page number 10>
    3. Un procédé tel que revendiqué dans la revendication 1 ou 2, dans lequel le gaz soufflé est pratiquement exempt de vapeur d'eau.
    4. Un procédé tel que revendiqué dans l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le combustible carbonifère finement divisé en suspension dans le gaz soufflé est pratiquement exempt d'hydrogène.
    5. Un procédé tel que revendiqué dans l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le gaz soufflé contient au moins 98 % d'oxygène en volume.
    6. Un procédé continu tel que revendiqué dans l'une quelcon- que des revendications précédentes, dans lequel le bain de scorie est maintenu à une composition pratiquement constante par rétablis- sement continu ou à fréquents intervalles à l'aide de matière de charge fraiche, la scorie épuisée étant extraite du bain d'une manière continue ou à de fréquents intervalles, 7. Un procédé continu tel que revendiqué dans la revendica- tions 6, dans lequel la matière de charge fraiche est conformée en briquettes et contient, outre une matière zincifère, telle que du minerai de zinc grillé ou oxydé ou, et de la scorie zincifère -provenant par exemple d'un four à plomb-, du combustible carboni- fère pulvérisé.
BE485680D BE485680A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE485680A true BE485680A (fr)

Family

ID=131533

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE485680D BE485680A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE485680A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
RU2242520C2 (ru) Способ запуска процесса прямой плавки
FR2507624A1 (fr) Procede pour la gazeification du charbon et la fabrication de fonte et installation pour sa mise en oeuvre
FR2488903A1 (fr) Procede de production de gaz dans un reacteur a bain de fer
FR2579996A1 (fr)
BE485680A (fr)
NO821751L (no) Fremgangsmaate ved forgassing.
EP1287168A1 (fr) Procede de reduction de minerais de fer et installation pour sa mise en oeuvre
FR2480790A1 (fr) Procede carbothermique de production de l&#39;aluminium
BE1012434A3 (fr) Procede pour produire du fer liquide a partir d&#39;oxydes de fer.
BE1009996A3 (fr) Procede de traitement d&#39;un produit pulverulent et installation pour la mise en oeuvre de ce procede.
BE508600A (fr)
FR2521594A1 (fr) Procede pour produire du plomb d&#39;oeuvre a partir de concentre de sulfure
BE1006837A6 (fr) Procede de fabrication directe d&#39;acier a partir de matieres solides a base de fer.
BE508370A (fr)
BE887555A (fr) Procede et appareil pour produire de l&#39;eponge de fer
BE843776A (fr) Procede pour la production d&#39;un produit partiellement reduit et produit obtenu par ce procede
BE453796A (fr)
BE510367A (fr)
BE388991A (fr)
BE504989A (fr)
BE548475A (fr)
BE486481A (fr)
BG104950A (bg) Метод и пещ за преработване на вторични оловни суровини
FR2500479A1 (fr) Procede et appareil pour produire de l&#39;eponge de fer
BE527950A (fr)