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Laitier au vanadium se laissait bien traiter.
Il est connu. de récupérer le vanadium contenu dans le fer brut en formant, avant la transformation finale du fer brut en acier, un laitier ou scorie au vanadium que l' on sépare du bain de métal, puis que l'on prépare ou traite par désagrégation et lessivage.
Un procède connu (braver allemand 400,487 de formation de laitier de vanadium en partant de fer Thomas brut, prévoit d'in terrompre l'affinage du fer brut, avant le decarburation, à un moment où le vanadium est entièrement ou pour la plus grande par- tie scorifiépuis de séparer le scorie du fer et ensuite d'affi ner définitivement le fer, éventuellement dans un four spécial.
Il a été de plus proposé de choisir les comditionr dans la fabrication du laitier de vanadium, de telle sorte à obtenir un laitier de vanadium essentiellement solide ou à peu près solide (brevet allemenand le 710.753).
On peut à cet effet, soit choisir la composition du fer brut
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de manière qu'il se forme une scorie difficilement fusible, soit maintenir le bain de fer jusqu'à enlèvement de la scorie de vana dium si froid que la scorie est obtenue sous forme solide ou à peu près Il est alors rationnel d'enlever la scorie riche en silicate qui se forme au début du soufflage, avant le soufflage sur le iai- tier au vanadium, quand la teneur en si du fer brut y oblige.
La scorie de vanadium est traitée actuellement en vue de la récupération du vanadium, de préférence en l'attaquant dans un dispositif adéquat, par exemple un four rotatif tubulaire, en présence de porteurs d'alcali, tels que la soude, le sel de cuisi- ne, le spath fluor, etc., après quoi on procède au lessivage des combinaisons vanadiques. Ce procédé de désagrégation a le grand défaut que le laitier se concrétionna et s'agglutine complètement ou partiellement.
De ce fait, le lessivage, la lixiviation de la matière enlevée du four est rendue notablement plus difficile et la récupération baisse. il peut même se forcer des dépôts solides dans le êour qui obligent à des interruptions de travail et qui entraînent des frais élevés pour la remise en marche.
Ces défauts em se présentent cependant plus quand, pour l'at- taque, la désintégration, on utilise des scories de vanadium pro- venant du fer brut, dont les grains de fer ont une teneur en car- bone d'environ 1 % ou moins. Pour obtenir de telles scories au vanadium, spécialement aptes à la récupération du vanadium, l' af- finage est interrompu et le laitier au vanadium est retiré au mo ment où la teneur en carbone du bain de fer est de 1 % ou moins.
Il est particulièrement avantageux quand, dans la formation de scories de vanadium dans ce but, la scorie est retiree, non immédiatement après décarburation pratiquaient compléta du fer mais déjà au moment où la teneur en carbone du bain se trouve en- core entre 1 % et 0,5 % De ce fait, non seulement on élimine la tendance du laitier à se concrétionner lors de sa désagrégation, mais encore on obtient qu'au cours. de la décarburation ultérieure, la scorification ultérieure, sans cela inévitable, du manganèse et du fer et ainsi une dilution de la scorie de vanadium par les oxy
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des de manganèse et de fer, soient évitées..
Ceci est important également parce que les teneurs en mange
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nè.5e. soc. C2I'bol;.8 restent dens le bain agissant d'une manière métal- lurgiCLlement favorable lors de l'affinage ultérieur définitif do- fer en acier. Ces teneurs sont alors disponibles comme porteurs de chaleur. La teneur en manganèse est, à la fin du processus d'affinage, encore plus élevée, protège ainsi le fer vis-a-vis
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Ci' ULla. forte oxydation et ûiminu-e la perte de manganèse lors de la désoxydation par le ferromanganèse.
Le procédé de formation de scorie de vanadium conforme à l'invention peut aussi être employé avantageusement en combinai- son avec les mesures ci-dessus décrites en vue d'obtenir une sco- rie solide ou presque solide. Le procède peut être réélise dans des réservoirs d'affinage à caractère basique, acide ou neutre.
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R 1 ÀI ± fl'i Jj 1G"''lQô4 1. Laitier ou scorie de vanadium, obtenue de fer brut, et qui ne se concretione pas lors de l'attaque au four de gril18ge. par des agents alcalins, par exemple la. soude, le sel de cuisine, le spath fluor, caractérisé en ce que 1--,s grains de fer cOllt.e1.i.lS c12iS la scorie ne renferment qu' eiwirar 1 ou moins de carbone.
2. Procédé d'obtention d'une scorie de vanadium suivant revendication 19 par .I...irdai:...i'::1.8,(? de far brut et enlèvement âe la scorie de vanadium avant l'affinage définitif; caractérise en ce que l'affinage est interl'omi1u al. la scorie de v3laaiLbl l'8t.ir;S.c e.a iiLoù1en'i où la faneur en carbone du bain de fer est ae 1 et
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Vanadium slag allowed himself to be treated well.
He is known. to recover the vanadium contained in the crude iron by forming, before the final transformation of the crude iron into steel, a vanadium slag or slag which is separated from the metal bath, then which is prepared or treated by disintegration and leaching .
A known process (German braver 400,487 for the formation of vanadium slag starting from raw Thomas iron, provides for interrupting the refining of the raw iron, before decarburization, at a time when the vanadium is entirely or for the most part by - Tie scorified to separate the slag from the iron and then to refine the iron definitively, possibly in a special furnace.
It has further been proposed to choose the ingredients in the manufacture of the vanadium slag, so as to obtain an essentially solid or almost solid vanadium slag (German patent 710,753).
For this purpose, one can either choose the composition of the crude iron
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so that a hardly fusible slag is formed, either maintain the iron bath until the van dium slag is removed so cold that the slag is obtained in solid form or so It is then rational to remove the Slag rich in silicate which forms at the start of blowing, before blowing on the vanadium iron, when the si content of crude iron requires it.
Vanadium slag is currently treated with a view to recovering the vanadium, preferably by attacking it in a suitable device, for example a tubular rotary kiln, in the presence of alkali carriers, such as soda, cooking salt. - ne, fluorspar, etc., after which the vanadic combinations are leached. This process of disintegration has the great defect that the slag solidified and agglutinated completely or partially.
As a result, leaching, leaching of the material removed from the furnace is made significantly more difficult and the recovery decreases. it can even force solid deposits into the core which necessitate work interruptions and which entail high costs for restarting.
These em defects are, however, more present when, for the attack, the disintegration, vanadium slag from crude iron is used, the iron grains of which have a carbon content of about 1% or more. less. To obtain such vanadium slag, especially suitable for vanadium recovery, the refining is interrupted and the vanadium slag is removed at the time when the carbon content of the iron bath is 1% or less.
It is particularly advantageous when, in the formation of vanadium slag for this purpose, the slag is removed, not immediately after decarburization practiced completely iron but already when the carbon content of the bath is still between 1% and 0.5% As a result, not only is the tendency for the slag to solidify during its disintegration to be eliminated, but also only during the course of it is obtained. subsequent decarburization, subsequent slagging, otherwise inevitable, of manganese and iron and thus dilution of the vanadium slag by the oxy
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manganese and iron are avoided.
This is also important because the levels in mange
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nth 5th. soc. C2I'bol; .8 remain in the bath acting in a favorable metallurgical manner during the definitive subsequent refining of iron to steel. These contents are then available as heat carriers. The manganese content is, at the end of the refining process, even higher, thus protecting the iron against
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Here 'ULla. strong oxidation and reduces the loss of manganese during deoxidation by ferromanganese.
The process for forming vanadium slag according to the invention can also be used advantageously in combination with the measures described above in order to obtain a solid or nearly solid slag. The process can be carried out in basic, acidic or neutral refining tanks.
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R 1 AI ± fl'i Jj 1G "'' lQô4 1. Slag or vanadium slag, obtained from crude iron, and which does not solidify when attacked in the grilling oven by alkaline agents, for example soda, cooking salt, fluorspar, characterized in that 1 -, s grains of iron cOllt.e1.i.lS c12iS slag contain only eiwirar 1 or less carbon.
2. A method of obtaining a vanadium slag according to claim 19 by .I ... irdai: ... i ':: 1.8, (? Of crude far and removal of the vanadium slag before final refining; characterized in that the refining is interl'omi1u al. the slag of v3laaiLbl l'8t.ir; Sc ea iiLoù1en'i where the carbon fan of the iron bath is ae 1 and