BE440275A - - Google Patents

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BE440275A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41JTYPEWRITERS; SELECTIVE PRINTING MECHANISMS, i.e. MECHANISMS PRINTING OTHERWISE THAN FROM A FORME; CORRECTION OF TYPOGRAPHICAL ERRORS
    • B41J5/00Devices or arrangements for controlling character selection
    • B41J5/08Character or syllable selected by means of keys or keyboards of the typewriter type
    • B41J5/10Arrangements of keyboards, e.g. key button disposition

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Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  BREVET D'INVENTION PERFECTIONNEMENTS DANS LES MACHINES A STENOGRAPHIER A   CARACTERES.   



   L'invention concerne une forme perfectionnée de machine à sténographier à caractères du type dans lequel les touches du clavier pour les divers symboles sont divisées en groupes, celles se rapportant aux voyelles étant situées dans la partie médiane du clavier et celles pour les diverses consonnes étant groupées autour des premières. 



   L'invention a pour objet de procurer une disposition et un groupement perfectionnés des touches, qui présentent certains avantages pour la manipulation et l'actionnement rapide, combinés avec un arrangement perfectionné des lettres ou caractères sur les touches, qui permet l'emploi de la machine pour l'écriture dans diverses langues. 

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   Conformément à l'invention, le clavier est agencé pour être actionné par une paire de mains, et les positions des touches pour certaines lettres sont arrangées de telle sorte que la position de repos des doigts sur les touches correspond à celle que les bouts des doigts prennent lorsque les mains tombent naturellement sur une surface horizontale. Les positions de ces touches seront définies ci-aprèspar l'expression "positions naturelles" car ce sont les positions que prennent les doigts naturellement dès que les mains sont placées sur les touches.

   Une étude attentive des diverses langues importantes a été faite comparativement avec la langue anglaise et comme résultat, certaines lettres de l'alphabet anglais ou roman ont été choisies comme étant d'usage le plus constant dans l'écriture des diverses langues, compte tenu de   la   phonétique et de la prononciation des dites langues. 



   En lisant de gauche à droite de l'horizontale, les lettres choisies pour les touches de "position naturelle" sont S T F L E pour la main gauche, c'est à dire les touches initiales, et U L F T S pour la main   droite,c'est     à   dire les touches finales. 



   Les touches pour les lettres restantes sont groupées autour des deux groupes de "position naturelle", les touches initiales autour du groupe de gauche et les touches finales autour du groupe de droite. Entre les deux groupes sont disposées les touches de voyelles, pour être actionnées par les deux pouces. 



   Ces touches de voyelles sont arrangées autour d'une touche de voyelle centrale, d'une manière telle que les pouces puissent abaisser deux ou même trois touches en même temps, afin de produire des diphtongues en une seule frappe. 



   En outre, les touches sont disposées à divers niveaux, le tout dans le but d'obtenir un actionnement aisé avec le minimum de mouvements des mains, et de permettre également à un seul doigt d'abaisser simultanément plus d'une touche. Les touches de"position naturelle"peuvent être recouvertes d'une matière différant de celle recouvrant les autres touches afin d'aider l'opérateur à trouver et à retenir les touches de "position naturelle" .Par exemple, les touches de "position naturelle" peuvent être couvertes d'une matiè- 

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 re textile ou de caoutchouc, alors que les autres touches ont un recouvrement formé d'un métal lisse ou d'une composition   quelcon-   que. 



   Un exemple de clavier arrangé conformément à l'un des modes de réalisation de l'invention est illustré en plan dans la fig.l des dessins annexés;
La fig.2 est une vue perspective de face, et
Fig.3 est une vue perspective postérieure, ces deux vues étant dessinées à échelle réduite ;
Fige. 4, 5 et 6 montrent la frappe d'une phrase sur une bande de papier, en utilisant le clavier illustré dans les fige. 1 à 3, respectivement en anglais, en français et en allemand, en même temps qu'une transcription ligne pour ligne de la frappe dans chacun de ces cas. 



   En se référant aux dessins, un clavier agencé pour sténographier dans diverses langues est illustré et, pour les explications, est représenté comme monté sur une boite 7. 



   Les symboles employés dans le cas représenté sont les lettres de l'alphabet anglais ou roman avec addition d'une touche pour un + et d'une touche pour un   *   qui peuvent être utilisées pour modifier le son d'une consonne ou   pour¯indiquer   la longueur d'une voyelle. La touche + peut également être utilisée pour indiquer le H et également actionnée avec d'autres lettres pour fournir des symboles supplémentaires, tels que par exemple, + F = W ou bien p + = B. 



   Les touches du 0 et du + peuvent être combinées avec toute autre lettre car elles sont facilement accessibles pour un doigt quelconque qui n'est pas autrement occupé. Une lettre hybride, constituée par une combinaison du J et de   l'Y   est également utilisée de préférence. Les touches initiales sont représentées en A et les touches finales en B, tandis que les touches de voyelles sont groupées autour d'une touche centrale de forme triangulaire marquée I.

   Les touches de "position naturelle" sont hachurées et l'on a constaté que si les doigts y sont placés, ils tombent naturellement dans les positions qu'elles occupent, et aussi   que   

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 les deux pouces peuvent facilement actionner les touches de voyelles séparément, ou bien qu'une ou deux touches de voyelles voisinea de la. touche centrale I peuvent être abaissées en même temps que la touche centrale, par l'un ou l'autre des pouces, pour produire des diphtongues. 



   Le marquage des touches à la manière illustrée est, ainsi qu'il est indiqué précédemment, le résultat d'une longue étude de la langue anglaise comparativement è, d'autres langues, et des combinaisons possibles les plus utiles en sténographie. Il doit âtre entendu que la sténographie à taper peut être phonétique ou comprendre une certaine proportion de signes phonétiques en même temps que du langage clair ou courant. Divers systèmes peuvent être réalisés. 



   Avec le clavier illustré, l'ordre dans lequel les touches sont frappées est, en pratique, comme suit: S K P T D + M F R N L et la lettre hybride du côté "initial",p E A U I au centre et 
 EMI4.1 
 . N L 0 K F R P T D S H du côté final. 



   Il est à noter que le clavier est également agencé pour tenir compte des longueurs variables des doigts. 



   En considérant le côté gauche du clavier, la touche S actionnée par le petit doigt est placée à la distance d'une tou- en   commençant par     l'index,   che en avant de la touche T qui,est actionnée par le troisième doigt. La touche T est située à la distance d'une demi-touche en avant de la touche F actionnée par le second doigt qui est le doigt le plus long, tandis que la touche L, qui est actionnée par l'index, est placée à la distance d'une demi-touche en avant de la touche F. 



   En outre, la touche E actionnée par le pouce qui est le plus court des doigts, est placée à la distance d'une touche en avant de la touche S qui est actionnée par le petit doigt. Les touches représentant le + et le . sont agencées pour être actionnées par un doigt quelconque, non occupé par ailleurs, et dans ce but elles sont disposées suivant une inclinaison appropriée à partir du niveau de la touche S jusqu'à celui de la touche E, du côté gau- che, et d'une   manièrorrespondante   du côté droit, comme représen- 

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 té. Ces touches peuvent également être actionnées avec les touches de voyelles, ainsi qu'on le comprendra. Les   autres   touches sont groupées comme il est représenté. Le petit doigt qui 'est le plus court, n'est destiné qu'à actionner les deux touches K et S.

   Il est à noter que les groupes gauche et droit de touches sont placés angulairement autour de la touche centrale I. Cette disposition est destinée à éviter la tension ou fatigue de l'opérateur. Une ligne droite tirée par le milieu des touches M F R dans chaque groupe, est approximativement parallèle dans le sens horizontal à une ligne.passant par le coude, le centre du poignet et le centre de la première articulation du deuxième doigt de l'opérateur. 



  Cet agencement empêche la torsion du poignet et évite la crampe. 



   La fig.2 montre que les touches sont également disposées à différents niveaux, tous judicieusement calculée pour compenser plus encore les longueurs différentes des doigts. Les touches S K pour le petit doigt sont plus élevées que les touches D T P' pour le troisième doigt, tandis que les touches   M   F R pour le doigt du milieu, qui est le plus long, sont moins élevées que les autres. Dans ce groupe M F R la touche M est placée légèrement plus bas que la touche F, de sorte que l'opérateur peut facilement   reconnaître   au toucher la position à occuper par le bout du doigt médian, et de plus les deux touches sont plus aisément atteintes en même temps lorsque le bout du doigt se trouve sur M F.La touche M ne doit pas être placée tellement bas qu'elle empêche 1'actionnement des touches M F par un seul doigt.

   Cet actionnement est facilité en prévoyant une légère dépression dans la touche M comme représenté. Les mêmes considérations s'appliquent au groupe N L Y.Ce groupe est étudié pour le premier doigt et est disposé plus haut que la groupe M F R. La   touche   N est également située plus bas que la touche L et la différence de niveau entre les touches N et L est plus grande que celle entre les touches   M   et F. 



  Cette différence permet de frapper plus facilement les touches N et L. Le petit doigt, relativement faible, n'a que deux touches à actionner, et sa faiblesse est compensée par le fait que les touches qu'il actionne sont placées plus haut que les autres. 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 



   Les touches de voyelles sont actionnées par les pouces et comme en écrivant l'anglais ces voyelles sont largement utilisées en combinaison avec I, les touches sont disposées autour de la grande touche triangulaire I, et il est apparent que cette touche peut être facilement atteinte par un pouce en même temps qu'une ou deux des touches de voyelles voisines, en facilitant ainsi la frappe des diphtongues. 



   Les figures 4, 6 et 6 montrent la facilité avec laquelle le texte produit par le clavier conforme à l'invention peut être lu et transcrit. 



   La fig.4 montre une portion d'une bande comportant   l'insorip-   tion d'une phrase anglaise par une machine.utilisant le clavier illustré et la phrase est transcrite du côté droit de la bande, ligne pour ligne, en caractères d'écriture. Il est à noter qu'on a fait usage de symboles phonétiques. 



   Les fig.25 et 6 sont des   illustratjons   analogues mais avec des phrases en français et en allemand respectivement. Il est apparant que les frappes dans les trois langues peuvent être aisément lues et transcrites. 



   En outre, pour l'enseignement, le clavier peut être utilisé sans addition d'un mécanisme de machine à écrire quelconque. 



   Par exemple, les plongeurs portant les touches représentées peuvent presser contre des ressorts appropriés disposés dans la boite ou cadre 7, de sorte que lorsqu'une touche est abaissée elle revienne à sa position initiale exactement comme dans une machine à écrire. On forme ainsi un appareil d'enseignement compact qui peut être fabriqué en série, à bas prix. 



   Il doit être   entendu   que bien que l'invention viseplus spécialement celles des langues qui peuvent être écrites en caractères anglais ou roman, certaines de ses particularités sont applicables aux machines à sténographier, dans lesquelles des caractères autres que ceux de l'anglais ou roman sont employés. 



   Le clavier peut être utilisé conjointement avec un mécanisme de machine à écrire quelconque comprenant l'alimentation de papier, l'espacement, les barres à caractères et le mécanisme d'encrage, 

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 l'invention ne visant que l'agencement des touches et du clavier.
REVENDICATIONS ((   *le-   Dans une machine à sténographier àcaractères, du type ( défini, la mesure'qui consiste à prévoir un clavier capable d'être ( actionné par une paire de mains, les positions des touches pour ( certaines lettres étant arrangées de telle façon que la position de ( repos des doigts sur les touches correspond à celle que les bouts des doigte prennent lorsque les mains tombent naturellement sur une ( surface horizontale,

   les positions de ces touches étant définies ( comme positions naturelles" car ce sont les positions que prennent      ( naturellement les doigts lorsqu'ils sont posés sur les touches.

Claims (1)

  1. ( 2.- Dans une machine à sténographier à caractères,, selon,la revendication 1, la mesure qui consiste à prévoir un clavier dans ( lequel, en lisant de gauche à droite de l'horizontale, les lettres ( sélectionnées pour les touches de "position naturelle" sont S T F L ( E pour la main gauche, c'est à dire les touches initiales, et RESUME $U L F T S pour la main droite, c'est à dire les touches finales.
    ( ( 3.- Dans une machine à sténographier à caractères,selon la ( revendication 2, un arrangement dans lequel les lettres restantes ( sont groupées autour des deux groupes de "position naturelle" , les ( touches intiales autour du groupe gauche et les touches finales ( autour du groupe droit.
    ( 4.- Bans une machine à sténographier à caractères, selon la ( revendication 2 ou 3, un agencement dans lequel les touches de ( voyelles sont placées entre les deux groupes de touches, et sont ( agencées pour être actionnées par les deux pouces.
    ( 5.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la ( revendication 4, un agencement dans lequel les touches de voyelles ( sont arrangées autour d'une touche de voyelle centrale, d'une manière telle que les pouces puissent abaisser deux et même trois touches simultanément pour produire en une fois des diphtongues.
    6.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, un agencement dans lequel les touches sont placées à différents niveaux dans le but <Desc/Clms Page number 8> d'obtenir un actionnement aisé avec le minimum de mouvements des mains, et afin de permettre également à un doigt d'abaisser simultanément plus d'une touche.
    7. - Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, un agencement dans lequel les touches de "position naturelle" sont recouvertes d'une matière différente de celle recouvrant les autres touches, afin d'aider l'opérateur à trouver et retenir les dites positions naturelles.
    8.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, la mesure qui consiste à prévoir une lettre hybride qui est une combinaison du J et de l'Y, comme illustré dans la fig.l des dessins annexés.
    9.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, un agencement dans lequel les touches sont marquées des lettres de l'alphabet anglais ou roman, avec addition d'une touche + et d'une touche ,qui peuvent être utilisées pour modifier le son d'une consonne ou pour indiquer la longueur d'une voyelle.
    10.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon les revendications 8 et 9, un clavier dans lequel l'ordre dans lequel on atteint les touches est ainsi qu'il suit: S K P T E + M F R N L et la lettre hybride, du côté initial, 0 EAU 1 au centre et N L C M F R P T D S H du côté final.
    Il.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, un agencement dans lequel quatre touches de voyelles sont disposées autour d'une touche de voyelle centrale conformée en triangle, d'étendue telle que deux des touches peuvent être placées sur chacun des côtés opposés du triangle, en sorte que la touche centrale puisse être frappée par un pouce en même temps qu'une ou deux des touches de voyelles voisines, en facilitant ainsi la frappe de diphtongues.
    12.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 1, un agencement dans lequel la touche de voyelle centrale est marquée I, deux touches, voisines d'un des côtés de <Desc/Clms Page number 9> cette touche centrale, 0 E, et deux touches voisines du coté opposé de cette touche centrale, A U, respectivement.
    13.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 11 ou 12, un agencement dans lequel les groupes gauche et droit de touches sont placés angulairement autour de la touche de voyelle centrale pour éviter la tension ou fatigue de l'opérateur: 14.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon les revendications 10 et 13, un agencement dans lequel une ligne droite tirée par le centre des touches M F R dans chaque groupe est sen- siblement parallèle en direction horizontale à une ligne passant par le coude, le centre du poignet et le centre de la première à partir de l'index articulation du deuxième doigt de l'opérateur/pour empêcher la torsion du poignet et éviter la crampe.
    15.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications 10 à 14, un agencement dans lequel les touches sont disposées à divers niveaux pour compenser les longueurs différentes des doigts, les touches S K pour le petit doigt sont placées plus haut que les touches D T P pour le troisiè- me doigt tandis que les touches M F R pour le doigt médian, le plus long, sont placées plus bas que les autres.
    16.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 15, un agencement dans lequel la touche M dans cha- que groupe M F R est placée légèrement plus bas que la touche F, et dans lequel une légère dépression est formée dans cette touche M, dans le but décrit.
    17.- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 15, un agencement dans lequel les touches de chaque groupe N L sont disposées plus haut que les touches des groupes M F R, la touche N étant plus basse que la touche L et la différen- ce de niveau entré les touches N et L étant plus grande que celle entre les touches M et F, dans le but décrit.
    18,- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 15, un agencement dans lequel la touche D est <Desc/Clms Page number 10> placée plus haut que la touche T, des deux côtés du clavier.
    19. - Dans une machine à sténographier à caractères, salon l' une quelconque des revendications 10 à 18, un agencement dans lequel la touche S actionnée par le petit doigt est placée à la distance d'une touche en avant de la touche T qui est actionnée par le troisième doigt ; la touche T est placée à la distance d'une demitouche en avant de la touche F actionnée par le second doigt, tandis que la touche L est placée à la distance d'une demi-touche en avant de la touche F; la touche E actionnée par le pouce est placée à la distance d'une touche en avant de la touche S actionnée par le petit doigt, dans le but décrit.
    20,- Dans une machine à sténographier à caractères, selon la revendication 19, un agencement dans lequel les touches représentant le + et le . sont conditionnées pour âtre actionnées par un doigt quelconque inoccupé et sont dans ce but disposées suivant une inclinaison appropriée à partir du niveau de la touche S jusqu'à celui de la touche E, en substance corme décrit at représenté.
    21. - Un clavier pour une machine à sténographier à caractères, agencé en substance comme précédemment décrit et illustré dans les dessins annexés.
    22. - Un clavier pour une machine à sténographier à caractères, selon l'une quelconque des revendications précédentes, et organisé pour l'enseignement sur un support approprié, les touches étant montées sur des plongeurs pressés par des ressorts arrangés dans une boite ou cadra,sana addition d'un mécanisme quelconque de machine à écrire, en substance comme précédemment décrit.
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