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L'invention est relative aux�procédés et appareils
pour l'anesthésie par voie respiratoire, appareils du genre de
ceux dits Il à rebreathingtt c'est-à-dire pour lesquels le sujet
est amené à respirer dans un espace clos rempli de gaz choisis
par l'opérateur, espace clos dans lequel le sujet renvoie le
produit de ses expirations successives et en particulier son
gaz carbonique, déchet de sa respiration.
Elle a pour but, surtout, de remédier aux inconvé-
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type connu, notamment en ce qui concerne le choix et le dosage ,
des gaz entrant dans la composition du mélange anesthésique à
inhaler, et en ce qui concerne l'absorption du gaz carbonique
expiré par le sujet.
Elle consiste, principalement, selon les procédés du
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nu par l'adduction dans le susdit espace clos, en des endroits convenables, de plusieurs courants de gaz que l'on dose à l'aide de débitmètres appropriés, ces gaz pouvant comprendre notamment, outre l'oxygène et ]! anesthésique, une certaine dose de gaz carbonique pour activer la fonction respiratoire,
et, d'autre part, à absorber par un réactif chimique approprié le gaz carbonique expiré par le sujet, l'ensemble étant fait tel, dans le cas où le mélange inhalé, comporte une adduction de gaz carbonique, que ledit réactif ne puisse agir exclusivement que sur le gaz carbonique du mélange expiré.
Elle comprend, mise à part cette disposition principale, certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après notamment,
une deuxième disposition consistant, dans les appareils du genre en question, à réchauffer les gaz et les vapeurs anes-
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Elle vise plus particulièrement certains modes d'application, ainsi que certains modes de réalisation, desdites dispositions; et elle vise, plus particulièrement encore et ce à titre de produits industriels nouveaux, les appareils du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions, les éléments spéciaux propres à leur établissement, ainsi que les installations pouvant comprendre de semblables appareils.
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise
à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que du dessin ci-annexé, lesquels complément et dessin ne sont, bien entendu, donnés surtout titre d'indication..
Les fige 1 et 2, de ce dessin, montrent en élévation et en plan schématique, un appareil d'anesthésie établi conformément à l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon ceux de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant de procéder à une anesthésie par la méthode du "rebreathing", on s'y prend comme suit, ou de façon analogue.
On alimente le sujet de façon telle que,
d'une part, on puisse faire inhaler par ledit sujet un mélange qui contienne, en proportions dosables a volonté, des vapeurs d'un ou de plusieurs anesthésiques ainsi que des gaz favorables à la respiration, ces derniers gaz pouvant notamment comprendre, non seulement de l'oxygène ou de l'air, mais encore du gaz carbonique en proportion convenable, lequel gaz est destiné à activer la fonction respiratoire,
et, d'autre part, bien que le sujet soit amené à respirer en circuit fermé, c'est-à-dire bien que les gaz expirés s'oient réintroduits dans le circuit fermé caractérisant, ainsi que connu, la méthode du "rebreathing", on puisse, cependant absorber le gaz carbonique contenu dans lesdits gaz expirés.
A cet effet, on a recours à un appareil que l'on agence et que l'on relie, au sujet ainsi qu'aux divers dispositifs qui y accèdent, substantiellement de la façon suivante.
On fait tout d'abord comprendre essentiellement, à
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quelle on fait déboucher les gaz devant entrer dans la composition du mélange à inhaler, la capacité de cette cuve pouvant être augmentée de celle d'un ballon mélangeur 2.
Pour permettre de doser convenablement le mélange,
on interpose, sur les conduits tels que 3 séparant de la cuve 1 les bouteilles 4, 5, 6 etc. contenant les divers gaz, des pointeaax à débit réglable 7, combinés avec des débitmètres d'un type quelconque 8, par exemple coagissant avec des diaphragmes
<EMI ID=7.1> pourraient contenir, par exemple,
l'une, 4, de l'oxygène,
une deuxième, 5, du gaz carbonique,
et une troisième 6, un anesthésique gazeux tel que du protoxyde d'azote.
Dans le cas où l'on veut utiliser de l'anesthésique liquide, on procède par exemple en débitant ce dernier à partir d'un flacon gradué 10 avantageusement monté sur le couvercle 11 de la cuve 1, lequel couvercle on peut faire amovible, avec joint étanche. Le réglage du débit d'anesthésique se fera à l'aide d'un robinet pointeau 12 ou autre organe de réglage disposé sur un autre tube adducteur 3 et débitant goutte à goutte sur, par exemple, une rondelle de feutre 13 disposée à l'intérieur du couvercle.
En admettant, maintenant, selon un premier mode de réalisation non représenté, que l'absorption du gaz carbonique contenu dans les gaz expirés par le sujet se fasse en dehors de la cuve 1, on aurait ainsi réalisé, par la combinaison de cette cuve avec les divers tubes adducteurs 3, et avec deux tubes 14 et 15 munis de soupapes 16 et 17 et reliant la cuve à un masque respiratoire porté par le sujet, un appareil répondant aux conditions ci-dessus posées et permettant un dosage précis du mélange à la fois respiratoire et anesthésique, que l'on se propose de faire inhaler par le sujet.
Un orifice de rentrée d'air 18 convenablement réglable, ou tous autres moyens analogues, pourraient en outre être prévus sur la cuve.
Mais il semble plus avantageux de disposer à l'intérieur de la cuve 1 les moyens pour absorber le gaz carbonique expiré (ou tous autres déchets respiratoires), auquel cas on procède de façon telle que, par une disppsition judicieuse de ces moyens, ainsi que des divers tubes adducteurs 3, les moyens
<EMI ID=8.1> nique expiré (et non sur celui provenant de la bouteille, ni davantage sur les autres gaz qui seraient susceptibles d'être absorbés par lesdits moyens).
C'est ainsi que, par exemple, pour réaliser les conditions précédentes,
on divise la cuve 1 en deux compartiments 19 et 20 par une cloison telle que 21, les gaz étant amenés, par le jeu de la respiration, à passer de celui 19, desdits compartiments, qui reçoit les gaz expirés en 15, à celui 20, duquel le mélange gazeux se rend au sujet par le conduit 14, et le passage entre les deux compartiments se faisant par au moins un orifice
22,
on dispose dans l'un de ces compartiments, par exemple le compartiment 20, les moyens destinés à absorber le gaz car;* bonique des gaz expirés, ces moyens consistant par exemple en
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auquel aboutit l'orifice 22, étant entendu qu'on peut utiliser tout autre produit ayant la propriété de laisser passer les gaz en général, sauf le gaz carbonique qu'il absorbe et fixe au passage,
et on dispose le tube adducteur 3 provenant de la bou-
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par cette bouteille puisse se rendre directement vers le conduit d'aspiration 14, sans être influencé par le produit 23.
Sur le dessin, on a supposé, suivant une réalisation avantageuse, que les gaz passaient du compartiment inférieur 19 recevant les gaz expirés, au compartiment supérieur 20, auquel cas le tube 3 amenant le gaz carbonique de la bouteille 5 aboutit en haut de ce compartiment, tandis que les gaz des autres bouteilles peuvent (mais non nécessairement), aboutir dans le compartiment inférieur, lequel est relié.au ballon 2; mais il est bien entendu que bien d'autres dispositions pourraient être
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Enfin, on complète avantageusement l'ensemble précédent par des moyens propres à réchauffer les gaz et les vapeurs anesthésiques respirés par le sujet,
et, à cet effet, on peut réaliser lesdits moyens par une circulation d'eau chaude ou de vapeur, par une résistance électrique, etc., le tout monté par exemple dans une enveloppe de réchauffage extérieure 25.
En suite de quoi, quel que soit le mode de r éalisation adopté, on. obtient un ensemble dont le fonctionnement, qui résulte déjà clairement de ce qui précède, peut se résumer de la façon suivante.
Les soupapes 16 et 17 et les conduits 14 et 15 étant agencés de la façon représentée à titre d'exemple sur le dessin, la respiration du sujet provoque l'aspiration du mélange gazeux contenu dans la cuve et dans le ballon, mélange qui peut être convenablement dosé par l'opérateur; d'autre part, le sujet aspira directement à la partie supérieure de la cuve le gaz carbonique provenant de la bouteille 5, lui-même dosé, ainsi que les vapeurs anesthésiques provenant du flacon 10, lorsque de telles vapeurs sont utilisées.
Le sujet rejette dans la partie inférieure de la cuve les gaz qu'il n'a pas absorbés et le gaz carbonique qui est le déchet de sa respiration.
A l'inspiration suivante, il reprend ces gaz qui traversent le produit absorbant 23, sauf le gaz carbonique qui est fixé, et reprend ainsi des gaz frais du ballon et de la cuve.
De cette manière, il ne peut pas y avoir accumulation de gaz carbonique. Le débit de gaz carbonique à inhaler, jugé convenable et fixé par l'opérateur, restera donc constant pendant toute la durée de l'opération, ou pourra être modifié et réglé au gré de l'opérateur.
Un tel ensemble présente de nombreux avantages par rapport aux procédés et appareils du genre en question déjà
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celui de permettre de doser à volonté le mélange à inhaler, y compris le gaz carbonique,alors que jusqu'à présent il était impossible à l'opérateur de se rendre compte du dosage des gaz qu'il fait respirer au sujet, ni même de maintenir constant ce dosage malgré toute son habileté professionnelle, car il n'avait, à sa disposition, pour se rendre compte de ce dosage, que l'examen attentif des réactions plus ou moins violentes du malade,
celui, concurremment, de retenir et fixer le gaz carbonique provenant de la respiration,
et celui, enfin, de permettre de réchauffer le mélange avant inspiration, alors que, dans les appareils actuels, les gaz provenant de la détente- de bouteilles à haute pression, de même que les vapeurs anesthésiques (éther, chloroforme etc.), arrivent très froids dans les poumons, ce qui provoque fréquemment des complications pulmonaires post-opératoires.
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties ayant plus particulièrement été indiqués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.
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The invention relates to methods and apparatus
for respiratory anesthesia, apparatus of the kind
those said He to rebreathingtt that is to say for which the subject
is allowed to breathe in an enclosed space filled with selected gases
by the operator, closed space in which the subject returns the
product of its successive expirations and in particular its
carbon dioxide, the waste of his breathing.
Its main purpose is to remedy the inconveniences.
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known type, in particular as regards the choice and dosage,
gases entering into the composition of the anesthetic mixture
inhaling, and regarding the absorption of carbon dioxide
expired by the subject.
It consists, mainly, according to the processes of
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naked by the adduction in the aforesaid closed space, in suitable places, of several gas streams which are metered using suitable flow meters, these gases being able to include in particular, in addition to oxygen and]! anesthetic, a certain dose of carbon dioxide to activate the respiratory function,
and, on the other hand, in absorbing by an appropriate chemical reagent the carbon dioxide exhaled by the subject, the assembly being made such, in the case where the inhaled mixture comprises a supply of carbon dioxide, that said reagent cannot act exclusively on the carbon dioxide of the exhaled mixture.
It comprises, apart from this main provision, certain other provisions which are preferably used at the same time and which will be discussed more explicitly below in particular,
a second arrangement consisting, in devices of the kind in question, in heating the gases and the anes-
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It relates more particularly to certain modes of application, as well as certain embodiments, of said provisions; and it targets, more particularly still and this as new industrial products, the devices of the type in question comprising application of these same provisions, the special elements specific to their establishment, as well as the installations which may include similar devices.
And she can be understood anyway
with the aid of the additional description which follows, as well as the appended drawing, which supplement and drawing are of course not given above all by way of indication.
Figures 1 and 2, of this drawing, show in elevation and in schematic plan, an anesthesia apparatus established in accordance with the invention.
According to the invention, and more especially according to those of its modes of application, as well as those of the embodiments of its various parts, to which it seems that preference should be given, proposing to proceed to a anesthesia by the method of "rebreathing", it is done as follows, or analogously.
We feed the subject in such a way that,
on the one hand, it is possible to make said subject inhale a mixture which contains, in proportionable proportions at will, vapors of one or more anesthetics as well as gases favorable to respiration, these latter gases possibly comprising, not only oxygen or air, but also carbon dioxide in a suitable proportion, which gas is intended to activate the respiratory function,
and, on the other hand, although the subject is brought to breathe in a closed circuit, that is to say although the exhaled gases are reintroduced into the closed circuit characterizing, as is known, the method of "rebreathing ", one can, however, absorb the carbon dioxide contained in said exhaled gases.
For this purpose, recourse is had to an apparatus which is arranged and which is linked to the subject as well as to the various devices which access it, substantially as follows.
We first of all make it clear essentially, to
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which is made to open the gases to enter in the composition of the mixture to be inhaled, the capacity of this tank can be increased by that of a mixing flask 2.
To allow the mixture to be properly dosed,
is interposed on the conduits such as 3 separating from the tank 1 the bottles 4, 5, 6 etc. containing the various gases, adjustable flow points 7, combined with flow meters of any type 8, for example co-acting with diaphragms
<EMI ID = 7.1> might contain, for example,
one, 4, oxygen,
a second, 5, carbon dioxide,
and a third 6, a gaseous anesthetic such as nitrous oxide.
In the case where one wants to use liquid anesthetic, one proceeds for example by delivering the latter from a graduated bottle 10 advantageously mounted on the cover 11 of the tank 1, which cover can be made removable, with seal. The anesthetic flow rate will be adjusted using a needle valve 12 or other adjusting member arranged on another adductor tube 3 and delivering drop by drop on, for example, a felt washer 13 arranged at the inside the cover.
Assuming now, according to a first embodiment not shown, that the absorption of the carbon dioxide contained in the gases exhaled by the subject takes place outside the tank 1, we would thus have achieved, by the combination of this tank with the various adductor tubes 3, and with two tubes 14 and 15 provided with valves 16 and 17 and connecting the tank to a respiratory mask worn by the subject, an apparatus meeting the above conditions and allowing precise dosage of the mixture to the both respiratory and anesthetic, which we propose to have the subject inhale.
A suitably adjustable air intake orifice 18, or any other similar means, could also be provided on the tank.
But it seems more advantageous to have inside the tank 1 the means for absorbing the expired carbon dioxide (or any other respiratory waste), in which case one proceeds in such a way that, by a judicious disppsition of these means, as well as of the various adductor tubes 3, the means
<EMI ID = 8.1> expired (and not on that coming from the bottle, nor more on the other gases which would be likely to be absorbed by said means).
Thus, for example, to achieve the previous conditions,
the vessel 1 is divided into two compartments 19 and 20 by a partition such as 21, the gases being brought, by the breathing play, to that 19, of said compartments, which receives the gases exhaled at 15, to that 20 , from which the gas mixture goes to the subject through line 14, and the passage between the two compartments being through at least one orifice
22,
one has in one of these compartments, for example compartment 20, the means intended to absorb the gas because; * good exhaled gas, these means consisting for example of
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to which the orifice 22 ends, it being understood that any other product having the property of allowing gases in general to pass through can be used, except the carbon dioxide which it absorbs and fixes as it passes,
and the adductor tube 3 coming from the bou-
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by this bottle can go directly to the suction duct 14, without being influenced by the product 23.
In the drawing, it is assumed, according to an advantageous embodiment, that the gases pass from the lower compartment 19 receiving the exhaled gases, to the upper compartment 20, in which case the tube 3 bringing the carbon dioxide from the bottle 5 ends at the top of this compartment. , while the gases from the other cylinders can (but not necessarily) end in the lower compartment, which is connected to the balloon 2; but it is understood that many other provisions could be
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Finally, the previous assembly is advantageously completed by means suitable for heating the anesthetic gases and vapors inhaled by the subject,
and, for this purpose, said means can be produced by circulating hot water or steam, by an electrical resistance, etc., all mounted for example in an external heating envelope 25.
As a result, whatever the embodiment adopted, we. obtains an assembly whose operation, which already results clearly from the above, can be summarized as follows.
The valves 16 and 17 and the conduits 14 and 15 being arranged as shown by way of example in the drawing, the breathing of the subject causes the aspiration of the gas mixture contained in the tank and in the balloon, which mixture can be. properly dosed by the operator; on the other hand, the subject sucked directly from the upper part of the tank the carbon dioxide from the bottle 5, itself dosed, as well as the anesthetic vapors from the bottle 10, when such vapors are used.
The subject rejects into the lower part of the tank the gases which he has not absorbed and the carbon dioxide which is the waste of his breathing.
On the next inspiration, he takes up these gases which pass through the absorbent product 23, except for the carbon dioxide which is fixed, and thus takes up fresh gases from the balloon and the tank.
In this way, there can be no accumulation of carbon dioxide. The flow rate of carbon dioxide to inhale, deemed suitable and set by the operator, will therefore remain constant throughout the duration of the operation, or may be modified and regulated at the discretion of the operator.
Such an assembly has many advantages over methods and apparatus of the type in question already.
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that of allowing the mixture to be inhaled to be dosed at will, including carbon dioxide, whereas until now it was impossible for the operator to realize the dosage of the gases that he makes the subject breathe, or even to keep this dosage constant despite all his professional skill, because he only had at his disposal, to realize this dosage, the careful examination of the patient's more or less violent reactions,
that, concurrently, to retain and fix the carbon dioxide from respiration,
and that, finally, to allow the mixture to be heated before inspiration, while, in current devices, the gases coming from the expansion of high-pressure bottles, as well as the anesthetic vapors (ether, chloroform, etc.), arrive very cold in the lungs, which frequently causes post-operative pulmonary complications.
As goes without saying, and as it follows moreover already from the foregoing, the invention is in no way limited to those of its modes of application, nor to those of the embodiments of its various parts having more particularly been indicated; on the contrary, it embraces all the variants.