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"Aéromoteur à double action "..
Ce brevet se rapporte à un moteur à air , à double action l'une intérieure.l'autre extérieure,fonctionnant au. moyen du vent et de l'air atmosphérique, four plus dE, clarté, cette machine est représentée par différents dessins ci-annexés, @ @ dans lesquels! la figure 1 représente le moteur vu d'un côté, et somma il est parfaitement circulaire, la vue est identique de tous les côt é s.
La figure 2 est une coupe longitudinale du moteur pour montrer les détails du mécanisme intérieur e-t extérieur.
La figure 3 donne la coupe transversale du moteur pour montrer les détails du mécanisme intérieur et extérieur.
La figure 4 est une coupe transversale faite entre le niveau supérieur du socle de base et la surface d'assise du
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moteur,pour montrer les détails du mécanisme intérieur et extérieur. Dans ces figures, on a toujours repris les mêmes numéros pour désigner les mêmes pièces.
Dans les figures 1,2,3,4,le chiffre 3 désigne l'arbre vertical du moteur, 7 les tronçons des colonnes d'armature du moteur, 8 les couronnas ou disques d'armature du moteur, 15 les aubes fixes incurvées,fixées par leurs extrémités aux couronnes d'armature; (ces aubes incurvées peuvent éventuel- lement âtre remplacées par des aubes planes).
Dans les différentes figures 1,2,3,4, le chiffre 1 désigne la poulie du moteur , 4 le support du palier de l'arbre du moteur (crapaudine:), 5 la charpente du sosie de base ou che- valet, sur lequel est monté le motcur;10 les haubans destinés à maintenir la stabilité du moteur, 11 les amarres ancrées dans le sol pour y fixer les haubans de stabilité.
Dans les figures 1,5,4,le chiffre 20 désigne les paliers à billes de l'arbre vertical du moteur fixés aux rayons 24, qui se rejoignent au centre des couronnes 8 pour former le logement des paliers.
Dans les figures 1 t 2,le chiffre 3 désigne le palier axial, à double rangée de billes,dans lequel tourne l'arbre vertical du moteur, 6 le :plateau-couvercle supérieur du moteur sur lequel prend appui la cheminée de tirage d'air, 9 les dispositifs de tension pour les haubans de stabilité du moteur 12 la Cheminée qui établit le tirage d'air passant' à l'inté- rieur du cylindre du moteur; 13 est la bague terminale au sommet de la cheminée pour y fixer des haubans de stabilité, 14 les haubans de la cheminée.
Dans les figures 2 et 3, le chiffre 16 désigne les sec- tions de tambours rotatifs du moteur qui sont fixés à l'arbre -vertical et forment ensemble le cylindre du moteur,17 les ailettes fixées à leurs deux extrémités., d'une part à la paroi intérieure des tambours rotatifs, et d'autre part à l'axe
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vertical du moteur, 22 les aubes mobiles disposées à la péri- phérie des tambours rotatifs, 23 les bras radiaux pour fixer et centrer les tambours cylindriques sur l'arbre vertical du moteur, 24 les rayons reliés aux couronnes 8 et destines à porter, à leur point de rencontre,les paliers à billes,dans lesquels tourne l'arbre vertical du moteur, 25 les viroles circulaires destinées à assurer un parfait tirage d'air à l'intérieur du cylindre du moteur,
26 des écrans fixés dans les disques pour empêcher que le courant d'air passe d'une aube mobile à l'autre, entre les tambours partiels contigus,
Dans la figure 3 le chiffre 18 désigne les baguée de sertissage destinées fixer une extrémité des ailettes sur l'arbre du moteur,19 le palier à double rangée de billes pour l'arbre vertical du. moteur,palier fixé aux rayons qui se rejoignent au centre du plateau-couvercle 6 où ils formant siège pour recevoir le dit palier,31 le collier surmontant le plateau-couvercle pour y placer la cheminée de tirage; 4' est un mode d'appui et de calage approprié pour supporter le palier axial à doubla rangée de billes 3.
Dans la figure 4,le chiffre 16' désigne l'espace vide autour duquel tourne le cylindre monté sur l'arbre vertical 2 ; dans cet espace vide se produit le tirage,l'air entrant par les orifices du chevalet et prenant un mouvement ascen- sionnel pour arriver finalement à la cheminée de tirage 12.
La carcasse ou armature du moteur comprend un socle ou chevalet 5 monté bien de niveau et fixé au sol ; puis, sur ce chevalet,vient un disque annulaire 8 sur lequel s'asseoit le moteur; puis viennent les montants ou colonnes 7,par sec- tions ou tronçons; à ces colonnes on fixe une première cou- ronae ou disque 8; entre ces deux premiers disques on monta les aubes fixes incurvées 15 en position verticale. Fuis on continue à monter les autres sections successivement; le nom- bre de sections variera suivant la puissance que l'on veut
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obtenir du moteur; on peut,de même, faire varier le diamètre de la machine. Enfin, on place, le plateau-couvercle 6.
On monte, à mesure de la construction,les aubes incurvées 15,les haubans 10 attachés au couvercle 6, les amarrages 11,les tendeurs 9, et on établit les langueurs et les tensions re- quises de ces haubans pour assurer la stabilité du moteur.
Sur le plateau-couvercle 6 on monte le collier 21 pour y adapter , ensuite, la cheminée de tirage 12 qui porte, à sa partie supérieure,la bague 13 L laquelle sont fixés des oreilles ou anneaux pour y attacher les haubans de stabilité de la cheminée-,14,l'autre extrémité de ces haubans étant fixée au plateau-couvercle 6. La hauteur de la cheminée doit être suffisante pour assurer un bon tirage d'air dans le cylindre qui tourne sur l'arbre 2.
La construction du cylindre est constituée par un arbre vertical ;3, qui tourne en prenant appui sur un palier axial à double rangée de billes 3. Ce palier s'appuie sur le support 4, qui est lui-même solidement fixé dans une fondation appropriée 4'. A son extrémité supérieure,l'arbre tourne dans un palier à double rangée de billes 19 qu.i est porté par les rayons 24 se rejoignant au centre du plateau-couvercle 6 et formant un logement pour recevoir le palier.
Le long de l'ar- bre 2, entre les deux paliers extrêmes, se trouvent,de dis- tance en distance,des paliers à billes 20,également portés par des rayons qui se rejoignent au centre des couronnes 8 pour former des sièges ou logements destinés à recevoir ces paliers.
Sur l'arbrs 2 sont fixés les tambours partiels 16, répartis entre les paliers 20 et portés par les rayons 23, qui se trouvent à chaque bout des tambours partiels et fixés à l'arbre. Le nombre de sections cylindriques ou tambours partiels 16 à monter sur l'arbra 2 varie suivant la puissance demandée au moteur; cette puissance variera également suivant le diamètre des tambours, Outre ces cylindres partiels, on
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fixe également à l'arbre 2 les ailettes 17, à l'intérieur des cylindres, une extrémité des ailettes s'attachant à l'arbre par les anneaux de sertissage 18 et l'autre extrémité se fixant à la paroi intérieure du tambour.
Les ailettes sont incurvées et montées sous un angle convenable pour avoir le meilleur rendement d'utilisation de l'énergie cinétique de l'air en mouvement, en vue de faire tourner le cylindre sur l'arbre 2. Chaque tambour partial porte un groupe d'ailettes 17 qui sont disposées en gradins et horizontalement, comme on peut le voir dans les figures 2 et . Sur les parois extérieu- res des tambours sont fixées les aubes mobiles 22,d'une lon- gueur égale à la hauteur de, chaque tambour partiel, comme on peut le voir à la figure 2. bur l'arbre vertical 2 se trouve un frein,placé entre la poulie 1 et le cylindre; ce frein sert à arrêter le moteur quand on le désira.
Tous ces détails de construction étant respectés,le cylindre est maintenant complet avec son arbre vertical ?- et prêt à fonctionner par l'action des tambours 16,des aubes mobiles 23,des ailettes 17, de la manière dont il sera parlé plus loin.
Le cylindre complètement monté,comme il vient d'être dit,peut tourner librement au centre de l'armature du moteur, comme on peut le voir d' après les figures 2; et 3.
Il est cité ci,après quelques détails relatifs aux dif- férents organes et au mode d'installation et de fonctionne- ment de l'aéromoteur à double action,interne et externe, pro- pulsé par l'air atmosphérique. Le moteur doit se trouver à un niveau d'au moins trois mètres au-dessus des obstacles en- vironnants susceptibles d'arrêter le vent. Il sera donc avan-. tageusement placé sur une colline, un terrain surélevé, un toit, un pylône ou une construction quelconque procurant la hauteur et le dégagement nécessaires.
Le fonctionnement du moteur est assuré par la masse d'air atmosphérique. Ce fonctionnement est le suivant: le mouvement
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in térieur et le mouvement extérieur s ont simultanés. Voyons d'abord le mouvement intérieur: le courant d'air pénètre par les ouvertures du socle 5 et de 1à arrive à la partie inférieure du cylindre .puis,poursuivant son trajet dans le cylindre, il exerce une pression sur les ailettes 17 qu'il rencontre dans les tambours successifs et, par cette pression, il fait tourner le cylindre sur son axe vertical; le courant d'air arrive alors en haut du cylindre,passe dans la chemi- née de tirage 12 et finalement s'échappe dans l'atmosphère par l'orifice supérieur de cette cheminée.
Il s'établit ain, si dans le cylindre un tirage d'air ininterrompu qui produit la rotation continue du cylindre sur son axe. Voyons maintenant le mouvement extérieur : le vent frappe extérieurement le moteur,sur la moitié de sa périphérie; l'air pénètre donc par les aubes fixes 15 qui canalisent le courant d'air dans une direction tangentielle au cylindre et suivant le sens de rotation que celui déjà imprimé au cylindre par l'action Vient intérieure;
cet air on mouvement/frapper les aubes mobiles 22 fixées aux parois extérieures des cylindres partiels 16, ce qui produit une poussée sur le cylindre,poussée qui vient renforcer l'action interna et dans le même sens. Les deux actions agissent donc simultanément sur le même cylindre, in- térieurement et extérieurement et l' impulsion totale qui pro- vogue, le mouvement de rotation du cylindre sur son axe est donc la somme des deux forces exercées parles courants d'air, l'un intérieur,l'autre extérieur. Un obtient donc un rendement maximum.
RESUME
L'invention porte sur un aéromoteur, @ tel qu'il vi ent d'être déc r it avec son mode de fonctionnement, soit en résumé un aéromoteur à double action, intérieure et ex- térieurer, propulsé par l'air atmosphérique et qui se caractéri- se comme sui t :