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Allume - feu
La présente invention est relative aux allume-feux utilisés pour l'allumage des foyers, poêles, cuisinières,etc,
Elle a pour but d'éviter l'emploi de copeaux ou mor- ceaux de bois ainsi que les jets de pétrole utilisés sou- vent lorsque le feu ne prend pas assez vite.
Dans ce but, l'allume-feu, objet de l'invention, est constitué par une brique en matière réfractaire qui est im- bibée de pétrole et qui présente des trous ou canaux pour le passage de l'air destiné à la combustion du pétrole.
Dans la réalisation pratique de l'invention, la pâte réfractaire servant à la fabrication des briques de ce genre doit être poreuse et résistante aux différentes de tempéra- ture.
Les trous et ouvertures prévus dans la brique sont constitués par une canalisation centrale et par des canaux
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rayonnants destinés à donner naissance par le passage de l'air à des jets de flammes agissant directement sur le charbon à allumer.
Les dessins ci-joints montrent un exemple de réalisa- tion d'un allume-feu suivant l'invention.
La figure 1 est une vue en élévation d'un allume-feu de forme cylindrique.
La figure 2 est une coupe faite par le plan 11-11 de la figure 1.
La. figure 3 représente le développement de la. brique cylindrique montrée figure 1
Comme le montrent ces figures, la brique 1 de forme cylindrique mais qui peut également avoir une forme polygo- nale présente une canalisation centrale 2 cylindrique ou even tuellement polygonale, dirigée suivant la génératrice du cy- lindre, ainsi que des rainures 3 formant entre elles des nervures 4, à la périphérie du cylindre. La canalisation centrale 2 et les rainures 3 sont reliées par des trous trans- versaux 5.
La. canalisation centrale peut éventuellement présenter également des rainures et nervures (non repressentes
La brique est formée de terre refractaire suffisamment poreuse et résistant aux différences de température pour ob- tenir une masse d'une porosité suffisante pour l'absorption d'une certaine quantité de pétrole. En pratique, elle est for- mée de terre réfractaire grésifiant légèrement et de chamotte, additionnée de matières organiques brûlant au feu ou de matiè- res poreuses. La matière choisie doit en tous cas être suffisam-
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ment dure et 9i. t aU;r;Q....Qt"";;"Ii/;Ï. résistante aux différences de température pour que la brique ne s'écaille ni ne s'effrite par l'usage répété.
Lors de l'emploi, cette brique est humectée de pétrole et
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placée sur la grille du poêle à allumer, Il La couche extérieure de pétrole est alors allumée et la brique est recouverte de charbon sans interposition de bois ou autres corps généra- lement employés pour l'allumage du charbon.
Par suite des nervures et rainures situées sur le pour- tour de la brique, ainsi que des trous transversaux, il ne se produit pas d'obstruction, ni d'étouffement de la flamme.
L'air circule par la canalisation centrale et passant par les trous transversaux, forme, avec le pétrole qui monte à la surface, des jets de flamme intenses, agissant directe- ment sur le charbon qui au bout d'un certain temps se trouve parfaitement allumé.
Les briques peuvent être divisées en deux parties sui- vant les génératrices du cylindre et chaque partie peut être employée seule pour les petites grilles ou en combinaison avec l'autre partie dont elle est séparée pour les grilles présentant une large surface, Ces briques peuvent également éventuellement être fixées à l'extrémité d'un manche pour être présentées sous la grille des foyers à allumer.
Les trous transversaux peuvent évidemment être rempla- cés par des fentes qui joueront le même rôle d'amener l'air destiné à la combustion du pétrole en vue de créer des cen- tres de combustion active et par jet l'air s'échauffe au cours de son passage dans la brique et l'on obtient ainsi à la sortie des trous, des flammes à haute température du genre de celles sortant des chalumeaux.
La brique, objet de l'invention, supprime le bois d'al- lumage, est absolument sans danger et écarte, au contraire, le danger que présente toujours le jet de pétrole que beau- coup de ménagères emploient.encore lors de l'allumage des feux.
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Fire starter
The present invention relates to fire lighters used for lighting homes, stoves, stoves, etc.,
Its purpose is to avoid the use of chips or pieces of wood as well as the jets of petroleum often used when the fire does not start quickly enough.
For this purpose, the firelighter, object of the invention, is constituted by a brick of refractory material which is impregnated with petroleum and which has holes or channels for the passage of air intended for the combustion of the fuel. oil.
In the practical embodiment of the invention, the refractory paste used in the manufacture of bricks of this kind must be porous and resistant to temperature variations.
The holes and openings provided in the brick consist of a central pipe and channels
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radiators intended to give rise by the passage of air to jets of flames acting directly on the charcoal to be ignited.
The accompanying drawings show an exemplary embodiment of a firelighter according to the invention.
Figure 1 is an elevational view of a cylindrical shaped firelighter.
Figure 2 is a section taken through the plane 11-11 of Figure 1.
Figure 3 shows the development of the. cylindrical brick shown in figure 1
As these figures show, brick 1 of cylindrical shape but which can also have a polygonal shape has a central cylindrical or even polygonal duct 2, directed along the generatrix of the cylinder, as well as grooves 3 forming between them ribs 4 at the periphery of the cylinder. The central pipe 2 and the grooves 3 are connected by transverse holes 5.
The central pipe may optionally also have grooves and ribs (not shown
The brick is formed of refractory earth sufficiently porous and resistant to temperature differences to obtain a mass of sufficient porosity for the absorption of a certain quantity of oil. In practice, it is formed from lightly sizzling refractory earth and chamotte, with the addition of organic matter which burns in a fire or of porous materials. The chosen subject must in any case be sufficient
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ment hard and 9i. t aU; r; Q .... Qt "" ;; "Ii /; Ï. resistant to temperature differences so that the brick does not flake or crumble with repeated use.
During use, this brick is moistened with petroleum and
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placed on the grate of the stove to be lit. The outer layer of petroleum is then ignited and the brick is covered with charcoal without the interposition of wood or other bodies generally used for igniting charcoal.
Due to the ribs and grooves located on the perimeter of the brick, as well as the transverse holes, there is no obstruction or suffocation of the flame.
The air circulates through the central pipe and passing through the transverse holes, forms, with the oil which rises to the surface, intense jets of flame, acting directly on the coal which after a certain time is perfectly located. alight.
The bricks can be divided into two parts according to the generatrices of the cylinder and each part can be used alone for the small grids or in combination with the other part from which it is separated for the grids having a large surface. These bricks can also be used. possibly be attached to the end of a handle to be presented under the grid of the fireplaces to be lit.
The transverse holes can obviously be replaced by slots which will play the same role of bringing in the air intended for the combustion of the petroleum in order to create active combustion centers and by jet the air is heated at the gas. during its passage in the brick and one thus obtains at the exit of the holes, high temperature flames of the kind of those coming out of the torches.
The brick, object of the invention, eliminates the firewood, is absolutely safe and, on the contrary, eliminates the danger always presented by the jet of petroleum which many housewives still use when burning. lighting of fires.