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" Procédé et dispositif pour l'alimentation en matière à eal- oiner des fours rotatifs à voie humide pour cimenteries et au- tres industries ".
Il est reconnu que la capacité de production et le ren- dement thermique d'un four rotatif dépendent en grande partie des moyens utilisée pour introduire et distribuer la pâte dans celui-si.
A l'heure actuelle, la grande majorité des fours rotatifs à voie humide sont alimentes par simple écoulement de la pâte à la partie supérieure du four. Ce procédé est celui qui donne le rendement le Plus médiocre à tous pointa de vue.
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Pour améliorer ce rendement, un grand nombre de procédés et dispositifs ont été imaginés et construits. Bien peu ont pu résister à l'épreuve de la pratique et ceux qui ont survé- au Bout loin de donner toute satisfaction.
Le procédé suivant l'invention se distingue de tout ce qui a été réalisé jusqu'à présent par les caractéristiques princi- pales suivantes ! :
1 répartition mécanique de la pâte, (dans une zone de longueur prédéterminée), réalisée et créée partielle- ment par la rotation du four même, en combinaison avec un dispositif installé à l'intérieur du four et l'in- jection de pâte sous pression en $et* compacts, cette répartition se faisant soit en quantités mathématique- zone ment égales sur toute la longueur de la/déterminée, soit en quantités progressivement plus grandes ou plus petites d'une extrémité à l'autre de la dite zone,soit encore en toutes autres quantités voulues;
2 différence de température maxima entre la pâte et les gaz en tous points de la zone de séchage;
3 retenue oomplète dans le four des poussières des zones de cuisson et de décarbonatation; entraînement impos- sible de pâte par le s gaz dans la chambre à pous- sières.
4 Impossibilité absolue de formation d'anneaux de pâte dans la zone de séchage.
Le procédé d'alimentation suivant l'invention peut être réalisé par le dispositif décrit ci-après et illustré aux des- sins, mais il doit être bien entendu que cette forme de réali- sation du dispositif est donnée uniquement à titre d'exemple et que des modifications ou changements peuvent y être apportés sans se départir du domaine de l'invention.
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la figure 1 est un développement en plan du four vu de dose
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sus et une Coupe à travers le dispositif d'injection montrant quatre tuyères;
la figure 2 est un développement en plan du four vu de des- sus Identique au précédent et une coupe travers le dispositif d'investi on montrant une seule tuyère et des moyens pour régler'.'
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la direction du jet de celle-el; la figure 3 est un développement an plan du four vu de dean sus analogue aux précédents, mais dans lequel la partie arrière" de la zone de séchage du four reçoit plus de matière que la
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partie avant, et une coupe à travers le dispositif d'injectione la figure 4 est une coupe longitudinale verticale du font rotatif, montrant également la chambre à poussières$ le disposa tif d'injection de matière et un dispositif pour amener de la pâte liquide dans la zone du four débouchant dans la chambre, poussières;
la figure 5 est une coupe longitudinale verticale du four rotatif, montrant également la chambre à poussières, le dispo-
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sitif d'injection de la matière et un dispositif d'amende d'eatl, dans la zone du four débouchant dans la chambre à poussières; la figure 6 est une coupe transversale du four rotatif
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suivant la ligne TI<"TI de la figure 4;
la figure7 est une coupe transversale du four rotatif suivant la ligne VII-VII de la figure 4;
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les figures 8, et 0 sont des vues de ohatnes utilisées dans diverses zones four rotatifs En se référant aux figures 1 à 3e X 1 est la projeetiozi ' de J'axe longitudinal du four, B la zone de séchage du four, C
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une zone de récupération précédant la dite zone de séchage et 11 A une zone suivant la zone de séchage, D étant la chambre à >1.µ poussières. la pâte est amenée aux tuyères I, 11 III> IV, sous pres ,.. sion, laquelle, pression est réglable à partir d'un minimum..
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Toutes les tuyères seront de préférence alimentées à la mê- me pression,, de sorte qu'avec un nombre déterminé de tuyères, le débit puisse être modifié en modifiant simplement la pression de la pâte, ce qu'il est impossible de réaliser avec les procé- dés utilisant la pulvérisation de la pâte.
Deux moyens sont ainsi prévus pour faire varier le débit d'un four donné. Le premier moyen consiste à faire varier le débit sans faire varier la pression, en supprimant une ou plu- sieurs des tuyères d'injection I, II, III, IV,...etc. Le second moyen, qui donne un réglage du débit plus précis, consiste à fai -re varier-, légère meut la pression de la pâte fournie aux diver- ses tuyères d'injection I, II, 111....etc. En combinant cas deux modes de réglage, il est possible de faire varier le débit par des fractions quelconques et aussi petites qu'on le désire.
Suivant la capacité du four, on peut utiliser une à cinq ou six tuyères d'injection.
Ces tuyères sont de simples lances à jets compacts, qui sont placées à l'intérieur de la chambre à poussières, comme illustré aux figures 1 à 5. De cette façon, les jets traversent la chambre à poussières D avant de pénétrer dans le four. Les jets de pâte étant compacts, on se rend compte de ce qu'il est impossible d'avoir une chute de pâte dans la chambre à poussiè- res (contrairement à ce qui se produit avec le procédé utilisant la pulvérisation), le courant gazeux n'ayant aucun effet sur un jet lancé de la sorte.
Il doit être entendu que les tuyères peuvent aussi être placées immédiatement à l'entrée du four; dans ce cas, les jets ne traverseront pas la chambre à poussières D.
. Four la répartition de la pâte à l'intérieur du four dans la zone de séchage, on disposé dans le four des bute 1, 2, 3,.. etc., qui se projettent en des points sur les développements vue de dessus illustrés aux figures 1 à 3, et qui sont vus en ligne droite sur les figures 4, 5 et 7. Les jets de pâte s'é-
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arasent contre ces buts qu4 produisent une projection BaSiai" de cette pâte, qui se réduit d'autant mieux en fines partie
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les, que la proodon d inet ion est plus élevée. bzz Ces buts sont disposés d'une part sur les directrices e;;., FZ'Fl-F5 P 25 et d'autre part dans le sens longitudinal ils z se projettent sur le développement illustré à la figure 1 ou
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en des points faisant partie d'une droite 3S faiblement inal.i sur l'axe X X du four.
En considérant la figure 1 et en admettant que les lances I, II,, III, IV sont fixes et que le four se déplace dans le sens de la flèche, on constate que le jet produit par la lance I, qui touche d'abord le but 1, va successivement toucher les bute.
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2, 3o 4, 5, 6$ 79 8, 9, 10......25. De même le jet de la lanet''
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III touchera dans les mêmes conditions les buts 17, 189 19t 20,W 21, 22t 230, . 4, 1 3, g g 4........16. La même chose se Produit pour les lances II et IV. de sorte que chaque jet aura asperge la zone de séchage B d'une extrémité à l'autre autant de fois par tour du four,, qu'on aura adopté de droites B 3 pour la ré- partition des buts.
Les buts sont disposés de telle sorte qu'on jet ne peut en, aucun cas passer entre eux et atteindre la zone A située au- delà. de la zone de séchage B. L'on verra d'autre part qu'un jet, est raccourci par chaque but successif,, sauf lorsqu'il traverse librement toute la longueur de la zone B en se déplaçant par exemple du but 24 au but 1. Il est donc impossible qu'un jet dépasse les limites comprises entre les buts 1 et 25.
Par con- séquent, la zone de séchage est bien limitée par les direetri- '
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ces Fi Fi et F5 F$5 et ella ne peut étre raccourcie ni allon- gée sans modifier la position des lances.
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Pour plus de sécurité on pourra encore disposer an-àelà ¯'1 x de la liméte p , 1 1' e'ost-a-dire dans la zone A, des bute 1' 'fil 3', etc... qui recueillent la pâte venant à dépasser la zone de séchage B. Ces buts 1' 2....etc. seront de préférence
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alignés avivant une génératrice du four, c'est-à-dire une droite parallèle à l'axe X X, comme illustré aux figures 1, 2 et 3.
Ces buts 1' 2' etc... peuvent d'autre part comporter des palet- tes v' disposés en divers endroits de la longueur de ces buts, comme illustré à la figure 4. Ces palettes v' serrent à soule- . et ver la pâte partiellement séchée/à mieux l'exposer à l'action des gaz,
Il a donc/été expliqué q par la rotation du four même, le point de contact des jets avec les buts se déplace périodiquement , de façon à produire la dispersion des jets d'une extrémité à l'autre de la zone de séchage B et cela plusieurs fois par tour du,four. Pourvu que la pression de la pâte ne tombe jamais en- dessous du minimum exigé , aucune influence ne peut modifier la répartition établie d'avance de la matière dans la zone de séchage, ce qu'aucun autre procédé n'a pu réaliser jusqu'ici.
Avec l'arrangement des buts illustrés aux figures 1 et 2, on obtient la répartition de la pâte en quantités mathématique- ment égales sur toute la longueur de la zone de séchage B. Si au contraire, on désire obtenir des quantités plus grandes ou plus petites de matière, en certains endroits de la zone B, on augmentera ou on diminuera le nombre de buts dans ces endroits.
Un exemple de distribution localisée renforcée est illus- tré à la figure 3. Dans cette figure, le nombre de buts dans la partie arrière de la zone de séchage B est plus grand que le nombre de buts dans la partie précédente. De cette façon, le nombre de jets qui Tiendront s'écraser sur les buts de la par- tie arrière sera plus grand que celui de la partie avant et une plus grande quantité de pâte sera répartie dans cette par- tie arrière. Il est évident que de la méme façon on pourrait augmenter le nombre de buts de la partie avant, de la partie médiane ou de toute autre partie ou parties de la zone de sé- chage B.
Chaque jet en s'écrasant contre un but, produit un vérita-
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1,,ble écran de pâte, présentant une très grande surface aux gazg tant pour absorber de la chaleur que pour récolter la poussière entraînée par le courant gazeux...
Les buts placés sur les droites E E peuvent évidemment être multipliés et peuvent même être disposés de façon à se toucher ' pour former une surface, augmentant considérablement la oapa- cité de la zone de séchage du four et retenant toutes les pous- sières entraînées par les gaz.
Le problème de la répartition de la matière dans la zone de Bêchage est donc résolu par le dispositif et procédé suivant l'invention. d'une façon rationnelle, comme auoun autre diapo- sitif ou procédé n'a pu le réaliser jusqu'ici.
Pour récupérer les éclaboussures de pâte, qui se produi- sent lorsque les jets touchent les premières rangées de buts à
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la limite F25 F25' il est prévu une zone C qui est maintenue '\, humide par un appoint de pâte s'écoulant librement dans le four; on évite ainsi que les éclaboussures de pâte n'y sèchent et for -ment à la longue un anneau de pâte.
Dans cette zone C, le revêtement* en briques est supprimé
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et remplacé par des tôles d'usure,t pour empêcher l'adhérenos
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de .âte à la paroi du four, ont fixa une série de chaînes 1"(gg%g .,',,., 2"... etc. suspendues par une extrémité à la paroi du oïlts. *an::" tre extrémité est terminée par un po3ds e" dont lé rôle est 36. lorsqu'elles sont suspendues. La longueur de ces chaînes , ,1.\ tendre ces chaîneà7l" zit,..,oto, est telle que les jets dta4e te ne peuvent 1 t oaoher. Ces chaînes 1" 2" etc...sont répare ties longitudinalement suivant te SI lignes, qui sur le àévelop- pement illustré aux figures 1 et 3 donnent des droites inclinées sur l'axe XX sous un angle plus grand que celui des droites E E.
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.On peut également utiliser d'autres moyens. On peut pa ''#"'y exemple réaliser le même effet par des ceroles en chaînas de ' -; : mêmeJd1amètre que le four. Ses ehaînea oirculaires sont s'u.speï-;y dues à la paroi du four par une série de chatnettes, de f:ÇO que ces chaînes touchent toujours la paroi du four et empêchent
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ainsi l'agglomération de pâte séchée dans la zone C.
Dans le cas d'utilisation de chaînes droites ou circulaires, on Prévoit une amenée séparée de pâte, illustrée à la figure
4 en 40.
Cette amenée peut être constituée par une conduite à deux parois entre lesquelles circule de l'eau entrant en 41 et sortant en 42. La pâte entre dans la conduite par l'orifice 43 et pro- vient d'un régulateur 30 à flotteur 31 commandant au moyen d'une soupape 32, l'entrée de pâte liquide qui se fait par la conduite
33. La pâte passant par l'orifice commandé par la soupape 32, s'écoule à travers la canal d'évacuation libre 34 dans l'enton- noir 35 et de là dans la conduite 40. La quantité de pâte s'é- coulant dans la zone C du four, est donc réglée par le flotteur
31 de façon à être constante.
Ces dispositifs de chaînes 1" 2" etc... ou de chaînes cir- culaires peuvent être, le cas échéant, supprimée si l'on rempla- ce l'introduction directe de pâte par l'ajoute d'une faible quan- tité d'eau pour laver la paroi et recueillir les éclaboussures de pâte., Dans ce cas d'ajoute d'eau, il y aura lieu de pourvoir la zone C d'une quantité de corps broyeurs 44, tels que eylpebs, petits boulets ou cubes, pour racler la paroi, ces corps broyeurs étant compris entre une série d'anneaux 45,
Dans le cas d'ajoute d'eau, celle-ci est amenée dans la zone 0 par une conduite simple 36 reliée de la même façon que ci-dessus à un régulateur 30 à flotteur 31, identique à celui décrit ci-dessus, la conduite 33 servant dans ce cas à l'intro- duction d'eau.
Les buts placés dans la zone de séchage B et contre les- quels doivent s'écraser les jets de pâte, sont suspendus à la paroi du four par une extrémité et terminée à l'autre extrémité par un poids 1 qui est de préférence un grand maillon ou anneau.
Ces bute doivent être flexibles et le poids w à l'extrémité a pour objet de tendre brusquement le but et par cette légère secousse provoquer la chute de la matière séchée qui le recou-
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vre avant qu'il ne soit à nouveau recouvert de pâte fraîche.
Ces buts 1, 2, etc ... ont une longueur déterminée par le diamètre du four. Ils peuvent être constitués par une grasse chaîne, par des fers plats articulés ou par une série de treil- lis en grosses mailles et en gros fil de fer; en tous cas, ils doivent être mobiles et flexibles.
Dans la zone A, située au-delà de la zone de séchage B et pourvue de dispositifs pour répartir les boulettes de pâte en fins granules et en même temps pour transmettre par contact la chaleur des gaz à la matière séché, on peut utiliser des char- nes ou autres organes identiques à ceux utilisés comme buts,,1)..) 2, etc.* également tendus par des poids w'
Les figures 8,9 et 10 représentent, à titre d'exemple, des buts ou chaînes utilisées respectivement dans la zone de sécha- ge B, dans la zone de prolongement A et dans la zone de récuse- ration C.
La figure 2 montre des moyens permettant de modifier la di- reotion horizontale du jet et par là, raccourcir ou allonger la zone de répartition. Dans ce but, la tuyère I est montée dansune traverse 50 dont la position peut être ajustée par des vis 51, de façon à diriger le jet parallèlement à l'axe X X du four ou aigu à un angle sur cet axe, de l'un ou de l'autre coté de celui-CI.,
Au eu de disposer les buts de façon à ce qu'ils se projet=' tent sur le développement représenté à la figure 1 Ou 2 et dans le sens longitudinal, en des points situés sur la droite E E faiblement inclinée sur l'axe X X du four, on peut obtenir la .
même répartition de la matière en suspendant les buta suivant des génératrices, c'est-à-dire des droites parallèles à l'axe X X du four et en inclinant les axes des jets sur la dit are X du four, par exemple par les moyens illustrés à la figure 2.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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"Method and device for the supply of material to be cast in rotary wet kilns for cement works and other industries".
It is recognized that the production capacity and thermal efficiency of a rotary kiln depend largely on the means used to introduce and distribute the dough therein.
Today, the vast majority of wet rotary kilns are fed by simply flowing the dough from the top of the kiln. This process is the one which gives the poorest performance from all points of view.
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To improve this efficiency, a large number of methods and devices have been devised and constructed. Very few were able to withstand the test of practice and those who survived the End far from giving any satisfaction.
The process according to the invention differs from anything that has been carried out up to now by the following main characteristics! :
1 mechanical distribution of the dough, (in a zone of predetermined length), produced and partially created by the rotation of the oven itself, in combination with a device installed inside the oven and the injection of dough under pressure in $ and * compacts, this distribution being made either in mathematically equal quantities over the entire length of the / determined, or in progressively larger or smaller quantities from one end of said zone to the other, or again in any other desired quantities;
2 maximum temperature difference between the paste and the gases at all points in the drying zone;
3 complete retention in the oven of the dust from the cooking and decarbonation zones; impossible entrainment of paste by the gas in the dust chamber.
4 Absolute impossibility of formation of dough rings in the drying area.
The feed method according to the invention can be carried out by the device described below and illustrated in the drawings, but it should of course be understood that this embodiment of the device is given only by way of example and that modifications or changes can be made thereto without departing from the scope of the invention.
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Figure 1 is a plan of the furnace seen from the dose
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sus and a Section through the injection device showing four nozzles;
Figure 2 is a plan development of the furnace seen from above Identical to the previous one and a section through the investi gation device showing a single nozzle and means for adjusting.
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the direction of the jet; FIG. 3 is a plan view of the furnace seen from Dean, similar to the previous ones, but in which the rear part of the drying zone of the furnace receives more material than the
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front part, and a section through the injection device; Figure 4 is a vertical longitudinal section of the rotary font, also showing the dust chamber, the material injection device and a device for supplying liquid paste into it. the area of the oven opening into the chamber, dust;
Figure 5 is a vertical longitudinal section of the rotary kiln, also showing the dust chamber, the arrangement
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injection device for the material and an EATL fine device, in the zone of the furnace opening into the dust chamber; Figure 6 is a cross section of the rotary kiln
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along the line TI <"TI of Figure 4;
Figure 7 is a cross section of the rotary kiln taken along line VII-VII of Figure 4;
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Figures 8 and 0 are views of ohatnes used in various rotary kiln areas Referring to Figures 1 to 3e X 1 is the projection of the longitudinal axis of the oven, B the drying area of the oven, C
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a recovery zone preceding said drying zone and 11 A a zone following the drying zone, D being the chamber with> 1.µ dust. the paste is brought to the nozzles I, 11 III> IV, under pressure, .. sion, which pressure is adjustable from a minimum ..
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All the nozzles will preferably be supplied at the same pressure, so that with a determined number of nozzles, the flow rate can be modified by simply modifying the pressure of the paste, which is impossible to achieve with the nozzles. process using pulp spraying.
Two means are thus provided for varying the flow rate of a given oven. The first means consists in varying the flow rate without varying the pressure, by removing one or more of the injection nozzles I, II, III, IV, etc. The second means, which gives a more precise adjustment of the flow, consists in varying the pressure of the paste supplied to the various injection nozzles I, II, 111, etc., slightly. By combining two adjustment modes, it is possible to vary the flow rate by any fractions and as small as desired.
Depending on the capacity of the furnace, one to five or six injection nozzles can be used.
These nozzles are simple compact jet lances, which are placed inside the dust chamber, as illustrated in Figures 1 to 5. In this way, the jets pass through the dust chamber D before entering the oven. The pulp jets being compact, we realize that it is impossible to have a pulp drop in the dust chamber (unlike what happens with the process using spraying), the gas stream having no effect on such a throw.
It should be understood that the nozzles can also be placed immediately at the entrance of the furnace; in this case, the jets will not pass through dust chamber D.
. Oven the distribution of the dough inside the oven in the drying zone, there are placed in the oven the stops 1, 2, 3, etc., which are projected in points on the developments seen from above illustrated in Figures 1 to 3, and which are seen in a straight line in Figures 4, 5 and 7. The dough jets are
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level against these goals which produce a BaSiai projection "of this paste, which is all the better reduced to fine parts.
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les, that the inet ion proodon is higher. bzz These goals are arranged on the one hand on the guidelines e ;;., FZ'Fl-F5 P 25 and on the other hand in the longitudinal direction they z are projected on the development illustrated in figure 1 or
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at points forming part of a line 3S weakly inal.i on the axis X X of the furnace.
Considering Figure 1 and assuming that the lances I, II ,, III, IV are fixed and that the furnace moves in the direction of the arrow, we see that the jet produced by the lance I, which first hits the goal 1, will successively touch the butts.
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2, 3o 4, 5, 6 $ 79 8, 9, 10 ...... 25. Likewise the jet of the lanet ''
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III will touch under the same conditions the goals 17, 189 19t 20, W 21, 22t 230,. 4, 1 3, g g 4 ........ 16. The same thing happens for lances II and IV. so that each jet will have sprinkled the drying zone B from one end to the other as many times per revolution of the oven, as will have adopted lines B 3 for the distribution of the goals.
The goals are arranged in such a way that in no case can a throw pass between them and reach the zone A located beyond. of the drying zone B. It will be seen on the other hand that a jet is shortened by each successive goal, except when it crosses freely the entire length of the zone B by moving for example from goal 24 to goal 1. It is therefore impossible for a throw to exceed the limits between goals 1 and 25.
Consequently, the drying zone is well limited by the direetri- '
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these Fi Fi and F5 F $ 5 and ella cannot be shortened or lengthened without modifying the position of the lances.
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For more security we can still have an-àelà ¯'1 x of the liméte p, 1 1 'e'ost-a to say in the zone A, of the stops 1' 'wire 3', etc ... which collect the dough coming to exceed the drying zone B. These goals 1 '2 .... etc. will preferably
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aligned along a generatrix of the furnace, that is to say a line parallel to the axis X X, as illustrated in figures 1, 2 and 3.
These goals 1 '2' etc ... may on the other hand include pallets v 'arranged at various places along the length of these goals, as illustrated in Figure 4. These pallets v' tighten up. and worm the partially dried dough / to better expose it to the action of gases,
It has therefore been explained that by the rotation of the oven itself, the point of contact of the jets with the goals moves periodically, so as to produce the dispersion of the jets from one end to the other of the drying zone B and this several times per turn of the oven. Provided that the pulp pressure never falls below the required minimum, no influence can change the predetermined distribution of the material in the drying zone, which no other process has been able to achieve until now. here.
With the arrangement of the purposes illustrated in Figures 1 and 2, one obtains the distribution of the dough in mathematically equal quantities over the entire length of the drying zone B. If, on the contrary, it is desired to obtain larger or more quantities small in matter, in certain places in zone B, we will increase or decrease the number of goals in these places.
An example of a reinforced localized distribution is shown in figure 3. In this figure, the number of goals in the rear part of the drying zone B is greater than the number of goals in the previous part. In this way, the number of jets which will keep crashing on the goals of the back part will be greater than that of the front part and a greater quantity of dough will be distributed in this back part. It is obvious that in the same way one could increase the number of goals of the front part, the middle part or any other part or parts of the drying zone B.
Each throw, crashing against a goal, produces a true
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1,, screen of paste, having a very large surface to gases both to absorb heat and to collect the dust entrained by the gas current ...
The goals placed on the lines EE can obviously be multiplied and can even be arranged so as to touch each other to form a surface, considerably increasing the capacity of the drying zone of the oven and retaining all the dust entrained by the gas.
The problem of the distribution of the material in the digging zone is therefore solved by the device and method according to the invention. rationally, as no other slide or process has so far been able to achieve.
To recover the splashes of dough, which occurs when the jets touch the first rows of goals at
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limit F25 F25 ′, a zone C is provided which is kept moist by adding dough flowing freely in the oven; this prevents the splashes of dough from drying out and in the long run form a ring of dough.
In this area C, the brick cladding * is removed
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and replaced by wear plates, t to prevent adhesion
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of .dough to the wall of the oven, attached a series of 1 "chains (gg% g., ',,., 2" ... etc. suspended by one end to the wall of the oven. * an :: " its end is terminated by a weight e "whose role is 36. when they are suspended. The length of these chains,, 1. \ stretch these chains to the zit, .., oto, is such that the jets dta4e te do not can 1 t oaoher. These chains 1 "2" etc ... are repaired longitudinally along the IF lines, which on the development illustrated in Figures 1 and 3 give straight lines inclined on the axis XX at a greater angle than that of the lines E E.
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You can also use other means. One can pa '' # "'y for example achieve the same effect by chain rings of' -;: sameJd1ameter as the oven. Its eirular chains are due to the wall of the oven by a series of chatnettes, of f: ÇO that these chains always touch the wall of the oven and prevent
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thus the agglomeration of dried paste in zone C.
In the case of using straight or circular chains, a separate supply of dough is provided, shown in figure
4 in 40.
This supply can be constituted by a pipe with two walls between which circulates water entering at 41 and leaving at 42. The paste enters the pipe through orifice 43 and comes from a regulator 30 with a float 31 controlling by means of a valve 32, the entry of liquid paste which is made through the pipe
33. The paste passing through the orifice controlled by the valve 32 flows through the free discharge channel 34 into the funnel 35 and thence into the line 40. The quantity of paste is reduced. flowing in zone C of the furnace, is therefore regulated by the float
31 so as to be constant.
These devices of chains 1 "2" etc ... or circular chains can be, if necessary, omitted if the direct introduction of dough is replaced by the addition of a small quantity. of water to wash the wall and collect the splashes of paste., In this case of adding water, it will be necessary to provide the zone C with a quantity of grinding bodies 44, such as eylpebs, small balls or cubes, to scrape the wall, these grinding bodies being between a series of rings 45,
In the case of adding water, it is brought into zone 0 by a simple pipe 36 connected in the same way as above to a float regulator 30, identical to that described above, the pipe 33 used in this case for the introduction of water.
The goals placed in the drying zone B and against which the dough jets must crash, are suspended from the wall of the oven by one end and terminated at the other end by a weight 1 which is preferably a large one. link or ring.
These stops must be flexible and the weight w at the end has for object to suddenly tighten the goal and by this slight jerk cause the fall of the dried material which covers it.
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vre before it is covered with fresh dough again.
These goals 1, 2, etc ... have a length determined by the diameter of the furnace. They can be formed by a fatty chain, by articulated flat irons or by a series of lattices in coarse meshes and coarse wire; in any case, they must be mobile and flexible.
In zone A, located beyond the drying zone B and provided with devices for distributing the dough balls into fine granules and at the same time for transmitting the heat of the gases to the dried material by contact, it is possible to use char - nes or other organs identical to those used as goals ,, 1) ..) 2, etc. * also stretched by weights w '
Figures 8, 9 and 10 show, by way of example, goals or chains used respectively in drying zone B, in extension zone A and in recuse zone C.
FIG. 2 shows means making it possible to modify the horizontal direction of the jet and thereby shorten or lengthen the distribution zone. For this purpose, the nozzle I is mounted in a cross member 50, the position of which can be adjusted by screws 51, so as to direct the jet parallel to the axis XX of the furnace or acute at an angle on this axis, of one or on the other side of it.,
To have to arrange the goals so that they project on the development represented in figure 1 or 2 and in the longitudinal direction, in points located on the line EE slightly inclined on the axis XX of the oven, we can get the.
same distribution of the material by suspending the buta along generatrices, that is to say straight lines parallel to the axis XX of the furnace and by inclining the axes of the jets on said are X of the furnace, for example by means shown in Figure 2.
** ATTENTION ** end of DESC field can contain start of CLMS **.