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" Perfectionnements apportés aux récipients. pour débiter des matières visqueuses ou pâteuses y contenues, notamment aux tùbea souples à pâte ".
L'invention est relative aux récipients pour dé- biter des matières visqueuses ou pâteuses, du genre de ceux dont on peut faire sortir celles-ci par pression; et elle
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oonacyne plue éQ1loment (parce que o'est dans leur cas que son application paraît devoir offrir le plus d'intérêt), mais non exclusivement, parmi ces récipients, les tubes souples à pâte..
Elle a pour but., surtout, de rendre ces réci- pients tels qu'ils répondent, mieux que jusqu'ici, aux
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divors degiderata se la pratique.
Elle consiste, principalement, à munir de moyens tels, les orifices de sortie des récipients du genre en ques tion, que l'ensemble constitue un doseur ne permettant, @
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lorsque désiré, la sortie de la matière contenue dans les- dits. récipients que seulement en quantités bien déterminées.
Elle consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres dispositions, qui s'uti- lisent de préférence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement un certain mode d'application (celui où on l'applique aux tubes souples à pâte), ainsi que certains modes de réalisation (ceux-qui seront indiqués ci-après), desdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de pro- duits industriels nouveaux, les récipients du genre en question comportant application de ces mêmes dispositions, ainsi que les éléments et outils spéciaux propres à leur établissement.
Et elle pourra, de toute façon, être bien com- prise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins ci-annexés, lesquels complément et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication.
Les fig. 1 à 5 de ces dessins montrent, toutes en même coupe longitudinale partielle, axiale et schémati- que, sauf la première qui le montre en élévation, un tube souple à pâte établi conformément à un mode de réalisation de l'invention, ce tube étant représenté, sur les fig. 2 à 5, dans autant de phases successives de son fonctionnement.
La fig. 6 montre, en coupe longitudinale axiale partielle, à plus grande échelle, un tube souple à pâte éta- bli d'une façon un peu autre qu'aux précédentes figures.
La fig. 7 montre, en perspective, les éléments constituant le doseur d'un tube souple à pâte établi égale- ment conformément à l'invention, cette figure représentant
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en rchlitc l'une des bx.Ll'W1L6J;1 do oc< Luho mu; .arr. r.ai= dront s'adapter successivement deux éléments dessinés sépa- rément au-dessus dudit tube et prêts à être mis en place.
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Les fig. 8 @@9, enfin, montrent, en coupe axiale, les doseurs de @ tubes souples à pâte établis conformé- ment à d'autres modes de réalisation de l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon celui de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant d'établir un tube souple à pâte, c'est-à-dire dont l'une de ses extrémités porte une tubulure munie d'un bouchon, tube qui est ferme à son autre extrémité et dont on peut faire sortir le contenu en écrasant plus ou moins cette dernière extrémité, on s'y prend comme suit, ou de façon analogue.
On agence de manière telle les organes à faire comporter à l'orifice de sortie des tubes du genre en ques- tion que lesdits organes réalisent une chambre de capacité variable qui, en augmentant de volume jusqu'à sa capacité maximum, s'emplisse d'une quantité de matière correspondant à la quantité à utiliser lors de chaque usage, et,en dimi- nuant de volume, libère la susdite quantité de matière ; pourquoi on procède comme il va être dit.
Concernant le tube souple a lui-même -- exception faite du bouchon à lui faire comprendre --, on le constitue comme à l'ordinaire, c'est-à-dire comportant une tubulure al.
Concernant, ensuite, les moyens à faire comporter à l'orifice de sortie afin que l'ensemble constitue un do- seur pour la matière contenue dans le tube souple, on a a- vantageusement recours, pour les constituer, à l'une des dispositions qui vont être indiquées ci-après.
Selon l'une de ses dispositions, celle faisant l'objet des fig. 1 à 7, on établit lisse la surface extérieure de la. tubu- lure a1, ¯¯¯et on constitue le bouchon pour l'obturation de la-
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dite tubulure par une bague b propre à être engagée sur la tubulure a1 et à se daplacer le long d'elle, et munie d'un chapeau amovible intérieurement plat et y vissé extérieure ment, bouchon de préférence empêché de tourner sur lui-même pour permettre de visser ou dévisser le chapeau avec une seule main, cela par exemple en munissant la bague b de deux ergots opposés d pouvant se déplacer respectivement dans deux rainures a10 ménagées longitudinalement dans la tubulu- re, lequel bouchon a des dimensions telles qu'il puisse, é- tant arrêté dans sa position haute extrême, laisser, entre lui et la tranche de la tubulure a1,
un intervalle de volu- me déterminé d'avance, la position basse extrême dudit bou- chon correspondant à celle où le chapeau c s'applique sen- siblement sur ladite tranche, ou, mieux, en butant sur l'ex- trémité correspondante du tube, laisse, entre lui et ladite tranche, un intevalle très faible, ladite tranche pouvant également être creuse, comme montré, en a2, sur les fig. 2 à 5 et 7, pour que soit obtenu ce dernier intervalle; le moyen propre à permettre d'arrêter le chapeau dans sa position haute extrême pouvant être constitué de façons différentes, par exemple en faisant comprendre, à un niveau approprié, à la tubulure al un épauement extérieur a3 (fig. 6) contre lequel viendront buter les ergots d.
Le tout étant ainsi constitué, le tube supposé contenir de la pâte et le bouchon dans sa position basse extrême (fig. 1 et 2), lorsqu'on veut faire sortir, de ce tube, de la pâte, on presse à la main, comme à l'ordinaire, sur ledit tube.
La pâte, si la pression exercée sur ce tube est suffisante,.fait soulever le bouchon et, si cette pression est assez prolongée, les ergots d- de la bague b viennent bu- ter contre l'épaulement de la tubulure l (fig. 3), et l'in- tervalle compris entre le chapeau et la tranche de ladite tubulure est rempli par de la pâte, dont le volume est, com-
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me on le comprend, fonction de la hauteur dont le bouchon a été soulevé;une partie de ladite 'matière ne risquant pas de s'échapper entre la tubulure et la bague si on a prévu entre les deux, au voisinage de la tranche de ladite tubu- lure, un joint étanche e (fig. 6 et 7), ce joint pouvant toutefois être remplacé par le contact direct entre lesdi- tes tubulures et bague.
Après quoi, on cesse de presser sur le tube a, on dévisse le chapeau (fig. 4) et on fait revenir la ba- gue b dans sa position primitive (fig. 5), c'est-à-dire celle pour laquelle elle est effacée le long de la tubulure al.
Cela, fait, la partie de matière f qui s'était en- gagée entre le chapeau et la tubulure se trouve accessible, étant seulement adhérente à celle-ci par sa base, et on peut l'en séparer par un moyen approprié quelconque.
Pour rétablir le bouchon dans sa position de re- pos primitive, rien d'autre n'est à faire que de visser le chapeau a sur la bague b et de s'assurer que ledit bou- chon occupe bien sa position basse extrême.
Il a été admis, dans ce qui précède, que c'était la pression exercée sur la matière contenue dans le tube a qui faisait soulever le bouchon, mais on comprend qu'on pourrait aussi bien amener à la main ledit bouchon dans sa position haute extrême, puis presser sur ladite matière.
On voit que, en adoptant la disposition décrite, on ne peut prélever, du tube a, à chaque opération, que des quantités de matières toujours les mêmes, mais il est inté- ressant de pouvoir en prélever, d'une opération à l'autre, des quantités variables, ce qu'on peut réaliser de façons différentes, par exemple comme représenté sur la fig.
7, c'est-à-dire, d'une part, en constituant de manière telle, la tubulure al, que soient ménagées, sur une certaine pro- fondeur de sa paroi latérale une ou plusieurs échancrures,
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par exemple deux échancrures opposées, comprenant chacune
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vers le haut des redents transversaux a 4, et, d'autre part, en faisant porter intérieurement à la partie inférieure du bouchon, constitué comme ci-dessus, deux ergots latéraux K tels que, après avoir engagé ledit bouchon sur la tubulure, lesdits ergots puissent être mis en place et se loger res- pectivement dans lesdites échancrures.
Le tout étant ainsi constitué et le bouchon étant
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cluiiti sa, pavition baadc axtrônia, quand on vaut ppalover do la matière, si ledit tout est judicieusement établi, on fait tourner ledit bouchon jusqu'à ce que les ergots g ne pré- sentent en face respectivement de deux redents a4, de même hauteur, puis on agit par pression sur ledit tube, la posi- tion desdits ergots pouvant être connue par exemple par un index convenablement établi.
La pression de la matière s'exerce, comme ci-des- sus, sur le bouchon qui se soulève jusqu'à ce que les ergots g vienent en contact des redents a4 considérés; moyennant quoi, il se loge, entre le chapeau et la tubulure, une quan- tité de matière fonction de la hauteur desdits redents, par conséquent variable suivant qu'on met en jeu telle ou telle paire de redents. Mais il est entendu qu'on peut amener à la main le bouchon à venir bùter, par ses ergots g, contre les redents choisis.
La bague b, dans tout ce qui précède, a été qup- posée ramenée à la main pour être effacée le long de la tu- bulure, mais il parait préférable qu'elle puisse revenir automatiquement dans cette position, ce qu'on peut réali- ser par exemple, dana le cas de la disposition montrée sur la fig. 6, par une sorte de ressort à boudin h établi con-
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centriquement entre l'épa-ulement a3 de la tubulure ai et les ergots d de la bague et sollicitant ledit bouchon à occuper ladite position, et, dans le cas de la disposition montrée sur la fig. 7, par un ressort à boudin h établi concentri-
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quement entre l'épaulement de la tubulure et l'extrémité correspondante du tube, ressort assurant le même résultat que le précédent ressort.
Ces dispositifs de rappel du bouchon empêchent en outre, quand on ne se sert pas du tube, le fonctionnement . intempestif éventuel dudit bouchon, en immobilisant celui-ci dans sa position bass'e extrême, cette immobilisation pouvant être réalisée -- dans le cas où on ne voudrait pas utiliser de tels dispositifs de rappel, ou même en utilisant ceux-ci -- en agençant de manière telle,, les rainures de guidage a10 de la tubulure a1, que les ergots d puissent y être reliés, au bas de leur course, par l'intermédiaire de joints à bai- onnette (non représentés), du genre de ceux qu'on utilise pour certaines lampes électriques à incandescence.
Quelle que soit la disposition adoptée pour le bouchon, on comprend que le tube a peut également fonction- ner comme un tube ordinaire, avec cette seule différence que, pour s'en servir, on dévisse le chapeau c.
Selon une autre disposition des moyens à faire comporter à l'orifice de sortie afin que l'ensemble consti- tue un doseur pour la matière contenue dans le tube, dispo- sition représentée fig. 8, on fait comporter à la tubulure a1, d'une part, sur sa surface externe, un filetage de pas et de sens approprié, et, d'autre part, sur sa surface interne, un taraudage éga- lement de pas approprié mais de sens inverse au susdit file- tage,
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on établit, d.o mùiniéra telle)' il iB88 S8 i8B8 Ôo filo%nio 9JCi:I?:PR9 \il 9 la .-ib.:
ù.u"o gJL, un Taeuohon duno prafendour guà.érà.ewre à 1" hnétoér do lt.,partia file. tée &e la tubulure , par oxompio Q.Q1agla. ¯..,..gette àeJ?R1SFe , on établit, de manière telle qu'elle puisse se vis-
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ser sur le filetage externe de la tubulure a1, un bouchon i, d'une profondeur supérieure à la hauteur de la partie file- tée de la tubulure a, par exemple double de cette dernière, on établit, de manière telle qu'elle puisse se vis- ser dans le taraudage interne de la tubulure a, une bague cy lindrique j, on fait comporter, aux susdits bouchon et bague j, des moyens tels que, lorsque mis en place, ils soient soli- darisés pour ce qui est de la rotation mais puissent se dé- placer relativement l'un à l'autre par translation, ces mo- yens pouvant consister,
par exemple, en un doigt k, porté par la bague j, engagé dans une rainure 1¯ portée par le bou- chon i en son intérieur et prévue sur toute la hauteur dudit bouchon, et on assemble les susdits éléments de manière que le dévissage du bouchon provoque l'enfoncement de la bague j¯ et vice-versa.
On conçoit que, si les pas du filetage et du ta- raudage, ainsi que les diverses dimensions relatives des é.- léments constitutifs,, ont été convenablement déterminées, l'ensemble obtenu sera tel que la simple mise en place du bouchon i provoquera la montée de la bague donc la créa- tion de la capacité devant recevoir la pâte distribuer lors du plus prochain usage ; cette capacité étant remplie par pression, le dévissage du bouchon 1 provoquera. la des- cente de la bague i et la quantité de pâte désirée se trou- vera entièrement dégagée.
Selon une troisième disposition des.susdits mo- yens, disposition représentée fig. 9 et 10: ou bien (fig. 9) on fait comporter à la tubulure a1, d'une part, un filetage èxterne m, et, d'autre part, en son intérieur, un alésage cylindrique n. communiquant, par l'une de ses extrémités, avec l'orifice de sortie, et, par l'au- tre, avec l'intérieur du tube, @
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on donne à l'orifice de sortie proprement dit de la tubulure al un diamètre inférieur au susdit alésage, on prévoit des lumières o, avantageusement présen- rtant une section globale inférieure à la section de l'alésa- ge n, faisant communiquer l'intérieur de l'alésage n avec l'intérieur du tube à pâte, on établit un petit piston propre à coulisser dans lalésage à découvrir,
et se lorsqu'en fin de course des- cendante, les orifices o, on munit l'alésage n de butées limitant, de part et d'autre, la course du piston p, et, enfin, on établit un couvercle propre à se visser sur le filetage ou bien, d'une part, on constitue l'orifice de sortie du tube sous forme d'un élément tubulaire comportant, sur son exté- rieur, un filetage m1 et, en son intérieur, un alésage cy- lindrique n1, et, d'autre part, on prévoit, dans le tube propre- ment dit, dans sa partie adjacente au susdit élément tubu- laire, un épaulement n2 présentant, en son intérieur, un deuxième alésage cylindrique n3 de diamètre supérieur à l'a- lésage n1 et coaxial avec ce dernier,
on établit un piston p propre à coulisser dans l'a- lésage n3 et comportant une tête p1 propre elle-même à cou- lisser concurremment dans l'alésage n2 et constituée par un plateau perce d'au moins un orifice p 2 avantageusement annu- laire mettant en communication avec l'extérieur la.
chambre n4 comprise entre le fond du piston n et le fond de l'alésa- ge n3, on prévoit, régulièrement réparties tout autour de l'alésage n3 une série de rainures o1 propres à mettre l'in- térieur de la chambre n4 en communication avec l'intérieur du tube, tant que le pioton p1 sa trouve au-dessous d'une
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't position donnée pour laquelle le volume de la ohambro' n correspond au volume unitaire à distribuer, on établit un couvercle r1 propre à se visser sur le filetage ml et à venir reposer, par l'intermédiaire d'un anneau de liège sur la tranche de la tubulure de sor- tie, on fait comporter à ce couvercle, en son intérieur, un renflement r2 propre à venir en contact avec la tête p1, de hauteur suffisante pour assurer, à fin de vissage, la descente complète du piston p, et présentant, ledit renfle- ment,
du centre à la périphérie une protubérance de guidage r propre à venir, pour faciliter le début du vissage, se loger dans un alvéole axial porté par la tête p1, et un renflement annulaire r propre à venir, dès le début du vissage, obturer l'orifice annulaire p2 comporté par la tête p1, et, enfin, on prévoit, dans les deux cas, des moyens propres à, lorsque le piston p a été soulevé par la pression créée dans le tube, forcer ledit piston à redescendre, ces moyens pouvant consister:
soit, et ainsi que représenté fig. g, en une tige 1 de longueur appropriée et avantageusement de diamètre très voisin du diamètre de l'orifice de sortie du tube, tige por- tée par le couvercle r, lui-même propre à se visser aur le filetage n, et pénétrant, ladite tige, par l'orifice de sor- tie proprement dit du tube; soit en une tige portée par le piston La lui-même, faisant saillie hors de l'ensemble et qu'il suffit alors de repousser pour forcer le piston IL 0 descendre ; soit, et ainsi que représenté fig. 10, en le renfle-
2 ment r lui-même; soit en un ressort disposé entre le piston et le fond en regard de l'alésage n;
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soit en tout autre dispositif.
On conçoit que, le piston se trouvant enfoncé, la pâte à distribuer peut pénétrer par les lumières o, o1 dans l'intérieur de l'alésage n, n2 et qu'alors, lorsqu'on exerce une pression, ne sort du tube que la quantité de pâ- te correspondant à la cylindrée engendrée par le piston n.
Il suffire. de faire redencendre le'dit piston pour remettre l'appareil en état de fonctionner à nouveau.
Si l'on désire pouvoir, à certains moments, faire sortir du tube, sans répétition de manoeuvre, une quantité quelconque de pâte, il suffira: soit de prévoir dans le piston un orifice x de section plus petite que celle servant à la sortie de la ma- tière pâteuse pendant le déplacement du piston; cet orifioe laissant sortir l'excédent de la matière pâteuse désiré lorsque le piston a terminé sa course et si l'useger exerce sur le tube le supplément de pression nécessaire pour vain- cre la résistance créée par l'orifice étroit; soit .de prévoir sur le tube un second orifice avec bouchon ordinaire;
soit de prévoir un dispositif permettant d'immobi- liser le piston à sa position basse extrême, ceci pou- vant être relise,, entre autres manières appropriées, en fai- sant creuse la tige g, en la munissant de lumières permet- tant, lorsque le couvercle r. est en place, le passage de la pâte de l'intérieur de l'alésage n dans l'intérieur de la tige g, et en fermant, par un bouchon amovible, l'orifice supérieur de la tige g traversant le couvercle r et débou- chant hors du couvercle r;
soit de prévoir des moyens propres à mettre en rela- tion directe l'intérieur du tube avec l'orifice de sortie, ceci pouvant être réalisé, par exemple et ainsi que repré-
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senté,. ' .lf en constituant la tubulure al par deux pièces s et t
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concentriques pouvant tourner l'une dans l'autre, la pièce interne s contenant l'alésage n, l'autre étant solidaire du tube, un doigt de commande u permettant de faire tourner la pièce s par rapport au tube, et en prévoyant, dans la pièce s, une lumière v, et, dans la pièce t, un canal w, tels que, lorsque mis en re- gars, ils assurent la communication désirée.
Enfin, on agencera avantageusement l'ensemble pour que, en fin de vissage, une butée portée par le couver- cle r vienne pousser le doigt u jusqu'à une position pour laquelle la susdite communication est interrompue.
Selon, enfin, une quatrième disposition des sus- dits moyens, disposition représentée fig. 11, on procède de manière analogue à ce qui vient d'être ditrelativement aux fig. 9 et 10, mais au lieu de constituer le piston p par un simple dis- que plein (compte non tenu des perforations x qu'il peut comporter) on le constitue de manière telle que, d'une part, à la descente, il se laisse facilement traverser par la matiè- re pâteuse, et, d'autre part, à la remontée, il ne se laisse pas traverser par ladite matière ;
ce pourquoi par exemple, on fait comporter au piston une ouverture axiale de grandes dimensions p3, on établit en regard du piston p et du côté de ce
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dernier faisant faoe a l'intérieur du tube une gspooe de cla- - ett, <-M.'t ' pet porté par le piston et portant, ledit clapet, des '! ouvertures 6 non en regard de l'ouverture , on,fait comporter au susdit rebord p5 un bourrelet p7 limitant vers le bas la deacente du clapet p4, on fait comporte]:
au couver le r propre à obturer le tube, une saillie r5telle que,'lors de la mise en place dudit couvercle, ladite saillie vienne porter sur le clapet
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p4, l'écarte du piston p et le fasse des cendre, la matière pâteuse passant sans résistance au travers des ouvertures p3 et p6 et venant s'accumuler au-dessus du piston.
On conçoit que toute pression exercée sur le tube fera. remonter le clapet , coupera.le passage libre et for- cera à sortir la matière pâteuse se trouvant au-dessus du piston, la disposition réalisée dispensant de se préoccuper de l'étanchéité à l'air de la capacité située au-dessus du piston pendant la période de descente de 'ce dernier.
Bien entendu, n'importe quel type de soupape pour- ra jouer le même rôle que le clapet p. venant d'être décrit.
Comme il va de soi, et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite au- cunement à celui de ses'modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties,ayant plus spécialement été indiqués; elle en embrasse, au con- traire, toutes les variantes, notamment celles, relatives au mode de réalisation ayant été décrit en premier lieu, où le bouchon serait agencé de manière telle qu'il puiss.e être vis- sé sur la tubulure al comme.le sont généralement ceux des tubes souples ordinaires, cela en faisant telle, la bague d, qu'elle comprenne, à la place des ergota d, un rebord tarau- dé propre à être vissé sur un filetage correspondant qu'on fait comprendre à ladite tubulure --, de préférence de même sens que les filets du chapeau g,
de façon qu'on puisse dévisser celui-ci avec une seule main lorsque le bouchon se trouvera dans sa position haute extrême --, le pas des fi- lets desdites bague et tubulure pouvant être ou bien très allongé si le bouchon doit se déplacer sous la pression de la matière contenue dans le tube, ou bien ordinaire dans le cas oontraire; dans la première hypothèse un moyen approprié quelconque pouvant être adjoint si on veut immobiliser le bouchon dans sa position basse extrême,, laquelle'immobilisa- tion, dans la seconde hypothèse, est réalisée par le faible
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pas des filets.