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DESCRIPTION Petit support de communication manuscrite L'invention générale concerne un ensemble ou un appareil qui inclut un petit support de communication manuscrite utilisable une seule fois et des éléments qui étendent ses possibilités d'utilisation.
L'invention, telle qu'elle est caractérisée dans la première revendication, propose un ensemble ou appareil infroissable qui ne se détériore pas sous l'eau, fixable à un rebord (de vêtement principalement), comportant tout les moyens pour l'écriture et des éléments pour une protection et un masquage instantané de la surface d'écriture.
Cet ensemble est portable et utilisable de façon pratique en tout lieu autant par l'auteur que par le bénéficiaire. Le masquage, qui est possible mais facultatif, garantit la confidentialité de l'écrit ou du dessin dans la mesure où le ferait par exemple une enveloppe en papier fermée à la colle. Ce masque peut également fonctionner comme un emballage cadeau ou à effet surprise.
Au moins trois tailles sont prévues : un petit modèle pour une communication brève ; un modèle moyen admettant plusieurs phrases et un modèle géant Le petit modèle peut contenir ce qu'il y a sur une carte de visite ou servir de petit aide-mémoire à remettre. Il peut être utilisé dans des lieux où une carte en papier serait impratique et peut mentionner une adresse toute récente ou occasionnelle, ainsi qu'éventuellement la date et l'heure d'un rendez-vous. Des vacanciers, par exemple, peuvent en faire usage à la plage, à la piscine, dans la nature, dans un dancing ou une discothèque.
Ce petit modèle peut aussi être utilisé comme le sont les petites cartes de compliments qui accompagnent des fleurs ou un autre présent qu'on fait parvenir.
Des entreprises peuvent en faire fabriquer qui comportent en plus un dessin et/ou un texte publicitaire et les distribuer gratuitement ou en prime.
L'invention suivante concerne un procédé selon lequel une fine pellicule masque un écrit ou un dessin et s'enlève par simple grattage. Cela garantit le secret dans la mesure où la pellicule ainsi détruite est compliquée à refabriquer. Un avantage de ce procédé est que la pellicule résume à la
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foisle moyen de masquage et celui de fixation ou de scellage. Ce procédé est actuellement appliqué à différentes sortes de billets de loterie, de jeu ou de concours.
Pour qu'on ne puisse pas voir au travers de la pellicule, la matière qui la compose doit pouvoir refléter, sinon absorber la quasi-totalité de la lumière, si bien que cette fine pellicule a toujours un aspect métallisé ou noir.
Le procédé revendiqué est caractérisé par une surface pleine transparente et solide d'une épaisseur minimale placée entre la pellicule masquante et la surface portant l'écrit, le symbole ou le dessin. Grâce à ce nouvel élément la fine pellicule peut être d'une transparence qui correspond à n'importe quelle couleur. Les rayons lumineux passés à travers la pellicule, puis renvoyés par la surface d'écriture, sont diffusés plus largement dans la pellicule, ce qui a pour effet de rendre flou et illisible l'écrit.
Une surface pleine transparente bombée plutôt que plane diffuse encore davantage.
Ce nouveau procédé permet aussi de rendre disponible dans le commerce un ensemble dont la surface d'écriture est encore vierge. Après la rédaction ou l'apport d'un dessin, la surface pleine transparente déjà recouverte de la pellicule masquante, peut être fixée instantanément de façons diverses sur l'écriture. Pour rester en accord avec la garantie de confidentialité, cette fixation est définitive, dans le sens où elle ne pourrait être que détruite.
Le choix de la couleur qui masque le message est important, car elle doit être en accord avec la nature du message. Le métallisé, déjà associé au gain, et le noir ne peuvent convenir à tout les messages possibles avec le nouvel ensemble.
Dans le cas d'une version utilisée en plus à des fins publicitaires, il est possible de faire varier toutes les couleurs de l'ensemble et de proposer ainsi des combinaisons spécifiques et exclusives de couleurs à un très grand nombre d'entreprises. Toutes les couleurs de la version standard peuvent aussi varier, par exemple, selon la mode ou pour proposer un éventail de combinaisons susceptibles de s'harmoniser avec des tenues vestimentaires. Un autre avantage est que contrairement au procédé utilisé pour les billets de loterie, la surface d'écriture n'est pas endommagée par le grattage. Ceci grâce à la surface pleine transparente qui offre même une protection permanente (et l'effet esthétique d'un sous-verre). Enfin, l'ensemble peut être fait de matériaux imperméables.
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Un mode d'emploi doit être fourni au bénéficiaire de cet ensemble nouveau et inconnu. Ce mode d'emploi ne peut pas toujours être transmis verbalement, ni même dans le language des sourds et muets.
Un premier moyen revendiqué consiste en une mention qui contient"Scratch", telles qu'entre autres"Scratch-me" (grattez-moi),"Scratch-it"ou "Scratch-off". Elle se trouve de préférence sur la pellicule masquante ou indiquant celle-ci. Cette indication à l'avantage d'être brève, d'être dans une langue courante mais qui ne doit pas nécéssairement être connue puisqu'il s'agit d'une onomatopée. Etant donné que cette indication est placée en évidence sur un ensemble original qui n'a pas de nom connu pour être désigné, cette indication deviendra inévitablement ce nom. Cette mention s'y prête car elle est originale et elle a un sens. C'est aussi la marque de cet ensemble.
L'autre moyen revendiqué consiste en ce que l'aspect général de cet ensemble représente l'extrémité d'un doigt. L'ongle est le plus souvent associé à l'action de griffer ou de gratter, ce qui fournit un indice supplémentaire. Il indique aussi, et davantage peut-être, le moyen idéal, car l'ongle n'endommage pas la surface pleine transparente. C'est d'autant plus utile que beaucoup de gens ont pris l'habitude de gratter les billets de loterie à l'aide d'une pièce de monnaie. Cet ensemble doit pouvoir se conserver. Ce moyen confirme aussi qu'une simple manipulation sans apport matériel extérieur suffit. De plus, cette forme originale le rend facilement reconnaissable par la suite et peut contenir tout les éléments de l'invention globale. Ceci dans des contours arrondis et donc inoffensifs.
La surface pleine transparente peut être bombée, comme il en a été question plus haut, ce qui accroît aussi sa solidité.
L'aspect général doit être stylisé de façon à ne pas faire ressembler cet ensemble à un doigt amputé.
Cette forme se prête aussi à ce qu'il y ait une variante féminine et une masculine. La différence des proportions concerne surtout la longueur de l'ongle qui est actuellement un signe distinctif entre les deux sexes.
La variante ambivalente ou neutre (celle illustrée) à l'ongle d'une longueur qui fait la moyenne. Il est possible de ne jouer que sur une différence de couleur pour indiquer le féminin ou le masculin. Une dominante rose pour le féminin et une dominante bleue pour le masculin.
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L'invention suivante concerne un procédé d'écriture ou de dessin selon lequel une pointe grave une couche unie et solide, et fait apparaître une matière sous-jacente d'une couleur ou d'un ton distinctif. Le procédé inventé utilise des éléments totalement fiables, impérissables et qui sont des plus compacts. Il possède la particularité de permettre une écriture en état de submersion et avec une aisance comparable à celle qu'on a avec un stylo à encre sur du papier. Il s'agit d'un procédé selon lequel une peinture spéciale est appliquée très finement sur une surface dure et lisse.
Quand cette peinture est sèche, une pointe légèrement obtuse peut la racler sans l'éclater en dehors d'un trait régulier. Ceci en glissant sur la surface du dessous. Cette peinture spéciale peut être un type de peinture acrylique actuellement destiné à des travaux artistiques sur papier ou carton, mais appliqué aux fins de l'invention au pistolet sur un fond non-absorbant et lisse, en plastique par exemple.
Les moyens et les dispositifs décrits plus bas mettent à profit la compacticité des éléments du procédé d'écriture et le fait qu'ils ne sont utilisables qu'une seule fois, pour éviter qu'ils donnent lieu à un encombrement quelconque ou à une pollution éventuelle.
L'appareil suivant intègre touts les éléments dont il est question ci-avant et un moyen de protection de la pellicule masquante contre le grattage involontaire avant son utilisation. Bien que cette pellicule puisse adhérer plus fortement que ce n'est le cas pour les billets de loterie, c'est une mesure utile qui répond à la condition de port pratique.
Tel qu'il est caractérisé dans la revendication, une pièce opaque est l'extrémité de doigt sans l'ongle (fig. 1), forme sous l'ongle la surface d'écriture en conformité avec le procédé d'écriture inventé et est fendue à l'arrière de façon à présenter une pince pour la fixation à un rebord. Une pièce transparente (fig. 2 et 5) est composée de la surface qui recouvre l'écriture, d'une autre surface symétrique à la première et d'un interstice troué, et se glisse en partie dans un canal (fig. 6) (dans la première pièce) qui abrite alors l'interstice et au départ celle des deux surfaces qui est recouverte de la pellicule masquante.
Une barre verrouillante (1) traverse l'abri en passant par le trou susmentionné et comporte un cran (2) en matière un peu souple qui ne passe plus librement par le trou quand la pièce transparente est réintroduite à l'envers, de sorte qu'après compression au passage contre le bord qui fait obstacle, il se déploie derrière ce
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bord pour fixer définitivement ensemble les trois pièces. Une pointe pour l'écriture (3) est logée dans le doigt et est moulée d'une seule pièce (fig.
3) (en matière un peu souple) avec la barre et une bande (4) qui les relie par l'extérieur de sorte que la pointe ne peut être extraite avant la barre.
Cette bande se termine à l'endroit de la barre par une pointe de flèche stylisée surélevée (5) qui indique l'ongle et offre une prise pour l'extraction de la barre. Dans cette bande est découpée la mention dohtuil est question plus haut.
La surface d'écriture est protégée de façon continue (hors écriture), ce qui est particulièrement utile dans le cas du procédé d'écriture inventé.
Ce moyen de protection transparent présente aussi l'avantage qu'il est possible de se faire une idée du résultat final en regardant l'ensemble au premier stade. C'est important pour la présentation de l'appareil lors de sa mise en vente.
La pointe ainsi logée ne nuit ou ne s'endommage pas et ne peut pas glisser d'elle-même hors du doigt. La mention ne doit pas être imprimée pour être d'une couleur distinctive puisqu'elle est découpée dans la bande qui peut être moulée dans une autre couleur que celle du corps de l'appareil.
Le montage et touts les éléments qui n'intéressent pas le bénéficiaire restent cachés, ce qui écarte un doute éventuel de sa part quant au mode d'emploi. Le tout satisfait au besoin de compacticité et intègre tout les éléments nécéssaires à son utilisation. Tout les éléments inventés contribuent aux avantages du tout et se rendent possibles mutuellement. L'appareil peut être commercialisé à un prix raisonnable. IL se compose strictement de trois pièces en matière plastique (de préférence) et de deux couches de peinture. Les dessins illustrent le petit modèle. Les modèles plus grands sont d'autant plus plats.
Quand l'appareil comporte en plus un message publicitaire, ce dernier peut être imprimé en double de part et d'autre de la bande. Etant donné que l'appareil peut se porter dans toutes les orientations possibles, un double sens de lecture peut être utile. Mais dans certains cas on peut préférer une version de l'appareil sans la bande pour laisser plus de place à un message imprimé une seule fois et en plus grand ou pour éviter une confusion de styles. Selon la version revendiquée c'est possible. La bande et la barre sont supprimées, le cran se trouve sur la pointe d'écriture et se prend, à la réintroduction, dans une encoche sous l'ongle. Si on veut conserver la mention, elle doit être imprimée sur la pellicule masquante.
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L'invention suivante concerne un moyen servant à fixer d'un seul mouvement l'objet dont il fait partie à un rebord.
Les pinces comme on en trouve sur la plupart des stylos ou sur d'autres petits instruments présentent plusieurs désavantages : soit elles n'assurent pas une bonne fixation, et encore moins quand elles ont le fond vers le bas, soit lorsque pour assurer une fixation plus sûre, leur extrémité se termine par une dent qui s'imprime dans-voir endommage-le tissu ou la matière du rebord.
L'invention a pour but d'assurer une meilleure fixation, sans endommager le rebord qui peut être en tissu de vêtement, et de proposer en plus des avantages spécifiques.
Telle qu'elle est caractérisée dans sa revendication, elle a la forme d'une pince dans laquelle sont dressées, sur l'une des surfaces internes, des tranches un peu souples et parallèles entre elles de sorte qu'à l'introduction le rebord les plie l'une après l'autre (fig. 1,4, 6 et 8) (6).
L'extrémité des tranches est de préférence angulaire mais sans être coupante et si son parcours présente un ou des angles, ils doivent être le plus possible supérieur à 90 .
La solution vient du fait que l'invention ne présente aucune dent ou extrémité nettement uni-dimensionnelle, que la pression est répartie sur une surface totale plus grande et que la pression n'est pas la même pour l'objet au repos sur le rebord et pour l'objet qui subit une force qui tend à le défaire du rebord. Dans ce dernier cas la pression est supérieure mais proportionnelle à cette force. L'objet peut donc être retenu plus fortement et la tendance au dommage devient négligeable. Le fond de la gueule ne sert plus de moyen de suspension et l'efficacité reste bonne dans toute orientation par rapport à la gravité. L'objet ne se ballotte pas comme c'est le cas des pinces où la pression est concentrée sur une petite surface unique. La force avec laquelle l'objet doit être retenu peut être dosée en n'introduisant le rebord qu'en partie.
En faisant varier les s longueurs des tranches de sorte qu'elles s'approchent de la surface opposée progressivement et vers le fond, il est possible d'offrir un effet constant dans un large éventail d'épaisseurs de rebord. Les tranches peuvent être légèrement inclinées vers l'intérieur pour renforcer l'effet de rétention.
L'invention suivante s'ajoute à la précédente et se caractérise dans sa revendication par une seconde série de tranches, dressées cette fois sur l'autre surface interne et orientées perpendiculairement aux premières.
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Les nouvelles tranches empêchent l'objet de glisser sur le rebord ou tissu dans le sens des premières tranches, ce qui tendrait à annuler l'effet de ces premières tranches pour peu que le glissement se fasse en diagonal.
Ces nouvelles tranches sont de préférence suffisamment espacées entre elles pour qu'un tissu puisse s'amonceler (s'entasser) entre elles. Elles sont le plus bas et le plus épais possible pour ne pas être souples, tout en étant assez hautes et étroites pour l'amoncellement (fig. 1,6 et 8).
L'invention suivante propose encore une autre version et est différente de la précédente par le fait que les tranches de la seconde série sont orientées comme les premières mais sans se trouver dans leur prolongation (f. 4) Cette version est plus particulièrement destinée à des rebords de vêtement.
Une fois le rebord introduit, le tissu forme des vagues sous l'influence des tranches et ne subit plus qu'un minimum de pression quand l'objet est au repos. Cette pression devient même négligeable dans le cas d'un objet petit ou léger comme un stylo ou comme l'invention globale. Pour une série de premières tranches identique, le pouvoir de rétention de la dernière version est un peu supérieur à celui des versions précédentes (dans le sens principal).
Ces trois moyens de fixation peuvent être fabriqués d'une seule pièce et être (par exemple) moulés en matière plastique un peu souple.
Selon le mode de réalisation proposé de l'invention globale, le corps de l'appareil est d'une matière un peu souple et il est fendu à l'arrière de sorte à présenter un des moyens inventés de fixation à un rebord. En plus cette pièce est creusée d'un canal (7), dans le sens de la largueur, destiné au passage éventuel d'une lanière, ficelle ou chaîne. Au stade où la pellicule masque mais ne doit pas encore être grattée, il est préférable que l'appareil soit porté à l'extérieur (d'un vêtement principalement), ce qui justifie d'autant plus l'existence du moyen de fixation. Le rebord se prend dans le moyen de fixation du côté de l'ongle. L'appareil se fixe le plus souvent avec l'ongle vers le bas, ce qui est le cas sur une poche de poitrine. La mention indiquant le grattage est inscrite (découpée) verticalement à partir de la pointe de flèche.
De cette façon le porteur ou bénéficiaire, qui a éventuellement reçu l'appareil directement sur sa poitrine, peut lire la mention dans le bon sens, et ce sens est inversé pour les autres personnes auxquelles elle n'est pas adressée. Cela n'empêche que l'appareil peut être porté, comme le sont badges, pins et médailles, avec le contenu de la surface d'écriture et/ou de dessin (non-ou dé-mas- qué) orienté pour l'exhibition.