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Appareillase de traitement de transactions financières" La présente invention se rapporte à un appareillage de traitement de transactions financières lorsque celles-ci sont effectuées par des
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utilisateurs déportés. Dans la présente description. le terme de -transaction" ne s'applique pas seulement à ce que l'on entend généralement par ce mot. par exemple le paiement d'une facture ou le dépôt d'argent sur un compte, mais porte également sur la diffusion d'informations telles que les taux de change et les cotations boursières.
La description du Brevet Britannique n GB-B-2180380 (Merrill
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Lynch) détaille un appareillage de négoce de titres. dans lequel une e zz unité centrale communique avec divers systèmes de base de données et terminaux pour effectuer le traitement des transactions.
La description du Brevet Européen nO EP- B 1-72183 (NCR Canada) expose un système de traitement de transactions financières dans lequel divers traitements sont effectués pour différentes étapes, comme le traitement de documents et la vérification de guichet. On trouve en outre d'autres documents présentant des procédés antérieurs. dont EP-BA-14312 (IBM). EP-A2-527639 (US Order), WO 91/09370 (Online Resources) et W093/02422 (Checkfree Corp. ), qui se rapportent à des traitements effectués pour la mise en oeuvre de transactions financières. En général. les appareillages de l'ancien procédé se rapportent principalement aux traitements particuliers qui sont effectués.
Ainsi. les caractéristiques principales de l'appareillage de GB- : 180380 résident dans la manière dont les
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unités centrales traitent les signaux qui y ont été introduits. On peut donc dire qu'un important travail a été effectué dans le domaine de l'amélioration du mode de fonctionnement des traitements de transactions financières.
La présente invention n'est pas spécifiquement destinée aux traitements particuliers qui y sont effectués, mais vise un appareillage qui est capable d'effectuer divers traitements de transactions financières et dans lequel la communication entre les processeurs et l'interaction entre ces processeurs et les divers terminaux sont améliorées de manière à fournir un temps de réponse court et à ne présenter qu'un faible risque d'altération des données.
Un autre objectif de la présente invention est d'introduire plus de souplesse dans un tel appareillage. de manière que l'adjonction de traitements supplémentaires soit possible tout en ne demandant qu'un interfaçage relativement simple et des opérations intégrées.
Un dernier objectif de la présente invention est de minimaliser les frais de télécommunications des utilisateurs déportés.
Conformément à l'invention. on fournit un appareillage de traitement de transactions composé des éléments suivants :- une unité de contrôle ; une unité de distribution reliée à l'unité de contrôle et comprenant une interface destinée à être reliée à un système de base de données financières : et un jeu de postes de travail déportés chez les clients. comportant chacun une interface pour une communication bilatérale à distance avec l'unité de distribution ; dans cette configuration, l'unité de contrôle et l'unité de distribution comportent toutes deux un dispositif central de
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routage de messages relié à plusieurs appareils serveurs. les serveurs de chaque unité comprenant :au moins deux appareils serveurs à processeur. comportant :
au moins un processeur de télétransmission conçu pour recevoir les signaux de données acheminés par le routeur central de messages et les transmettre à la destination indiquée par un identificateur intégré dans les signaux : et au moins un processeur de téléchargement conçu pour extraire des données en réponse à un signal d'interrogation acheminé depuis le routeur central de messages associé et pour transmettre ces données au routeur central de messages avec un identificateur de destination intégré permettant l'identification du
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poste de travail qui a transmis le signal de demande : e au moins un appareil de communication conçu pour le transfert de données :
et au moins un appareil auxiliaire destiné à fonctionner automatiquement de manière indépendante des postes de travail et comprenant :- au moins un appareil vérificateur conçu pour contrôler le flux de données dans le routeur central de messages et pour vérifier ces données : dans cette configuration, chaque appareil serveur est associé à une adresse et comporte un dispositif d'activation destiné à être activé lorsque l'adresse est reconnue : dans cette configuration, l'unité de contrôle comprend une base de données qui est destinée à l'utilisateur, comporte des
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1 données financières régulièrement mises à jour par l'unité de
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distribution et est raccordée pour cette communication au routeur central de messages de l'unité de distribution ;
et dans cette configuration. chaque poste de travail pour clients comprend des adresses pour les appareils serveurs à processeur destinés à la télétransmission et descendant. ainsi que des dispositifs de contrôle pour l'insertion automatique d'une adresse adéquate dans chaque signal transmis à l'unité de distribution.
Il est préférable que chaque poste de travail pour clients comprenne une table de renvois d'adresses principales. demandées par l'utilisateur. et d'adresses secondaires et que le dispositif de contrôle comprenne un dispositif destiné à insérer automatiquement avec chaque adresse principale les adresses secondaires qui lui sont associées. sans commander l'affichage d'un
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message à l'utilisateur indiquant le déroulement de cette activité.
0 Dans une réalisation. l'appareil serveur du vérificateur de transactions comprend un processeur à piste de contrôle conçu pour écrire automatiquement un résumé de transaction dans une base de données de transactions grâce à la surveillance des signaux du routeur central de messages associé.
On comprendra plus clairement la présente invention grâce à la description qui est donnée ci-après de quelques-unes de ses réalisations privilégiées et n'est fournie qu'à titre d'exemple et en référence aux dessins d'accompagnement, parmi lesquels :- la fig. 1 est un schéma fonctionnel général montrant un
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appareillage conforme à l'invention : e la fig. 2 est un schéma plus détaillé montrant l'appareillage : la fig. 3 est un schéma montrant la structure d'une unité de ZD distribution de l'appareillage :
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la fig. 4 (a) est un schéma fonctionnel montrant la structure c d'une unité de contrôle de l'appareillage et la fig. 4 (b) est un ZP Il. schéma montrant la structure d'un appareil serveur typique ;
et la fig. 5 est un tableau montrant la manière dont un poste C7 de travail déporté faisant partie de l'appareillage et destiné e aux utilisateurs communique avec l'unité de distribution pour la communication de jeux d'échantillons de données.
Si l'on se reporte aux dessins. en commençant par la fig. 1. on y verra un appareillage 1 conforme à l'invention et destiné au traitement des transactions financières. L'appareillage 1 est raccordé à un grand système de base de données bancaires 2. Celuici emmagasine une très grosse quantité de données, dont des détails sur des comptes, pour un nombre de clients pouvant atteindre trois à quatre milliers de personnes ainsi qu'une importante masse d'autres données de trésorerie : informations boursières, tarifications de services. taux d'intérêt sur les dépôts, etc. Le système 2 ne fait pas partie de l'invention et il suffit de se rappeler qu'il stocke une grosse quantité de données et que celles-ci sont mises à jour en temps réel.
L'appareillage 1 comprend une unité de contrôle 3 qui contient différents processeurs de contrôle et appareils de mémorisation.
L'unité de contrôle 3 est reliée à une unité de distribution 4, raccordée à son tour à des appareils d'interface 5. On a indiqué une liaison de communication bilatérale ou bidirectionnelle 6 entre les interfaces 5 et les interfaces 7 des postes de travail déportés 8.
L'unité de contrôle 3 et l'unité de distribution 4 sont hébergées dans une institution financière, par exemple une agence bancaire. et sont physiquement proches du système de base de données 2. On peut toutefois envisager qu'elles en soient séparées par une certaine distance. auquel cas des lignes louées les y relient. Les postes de travail pour clients 8 se trouvent dans les locaux des clients et peuvent être réparus sur une vaste aire géographique.
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Si l'on se reporte à présent à la fig. 2. on y trouvera une explication plus détaillée de l'appareillage 1. L'unité de contrôle 3 comporte un jeu de disques fixes 12 et une unité centrale (CPU) 13. Celle-ci extrait des programmes des disques 12 et les stocke dans une mémoire (non représentée) de façon à permettre l'exécution des différents traitements. Ces traitements peuvent être lancés par l'utilisateur au terminal Il de l'unité centrale.
Les disques 12 emmagasinent une banque de données financières qui est
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régulièrement mise à jour. e L'unité de contrôle 3 est raccordée par une liaison bidirectionnelle 14 à l'unité de distribution 4. L'unité de distribution 4 comporte des disques fixes 15 raccordés à une unité centrale 16. Celle-ci peut extraire des disques 15 divers programmes destinés à exécuter les différents traitements. On peut cependant envisager de remplacer l'une ou l'autre des unités centrales 13 et 16 par un jeu de processeurs séparés dédiés chacun à un traitement spécifique. La question de déterminer si la mise en oeuvre des traitements s'effectue principalement dans le logiciel ou dans le matériel n'a pas de pertinence pour la présente invention.
L'unité centrale 16 est connectée directement à une interface 17 qui la relie au système de base de données bancaires 2.
L'unité de distribution 4 est raccordée à deux jeux de souscomposants de l'interface 5. L'un d'entre eux comprend une interface 20 raccordée à une batterie de modems 21 destinés communiquer par un réseau téléphonique de service public (RTSP) 22 avec des modems 7 de postes de travail pour clients 8. L'autre sous-composant de l'interface 5 est constitué par une interface 30 raccordée à un appareil de routage 31 X25 destiné à assurer la communication entre l'unité centrale 16 et les modems 7 des postes de travail des clients par le biais d'un réseau de données de service public (RDSP) 32.
Comme le montre le schéma, le modem 7 du poste de travail du client peut communiquer par une ligne louée 33 ou par une liaison à appel téléphonique 34.
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Les deux unités centrales 13 et 16 sont conçues pour exécuter divers traitements. contrôlés principalement par des logiciels. Comme on l'a déjà dit. une possibilité alternative consiste à mettre en oeuvre ces traitements dans le matériel. Un aspect important de la présente invention réside dans le mode d'imbrication des différents traitements. Cette particularité est illustrée par la fig. 3 pour l'unité de distribution 4 et à la fig. 4 pour l'unité de contrôle 3.
Comme le montre la fig. 3. l'unité centrale 16 comporte un routeur central de messages 40. qui est raccordé aux interfaces 20 et 30. Ce routeur central de messages 40 est relié à plusieurs traitements, qui se rapportent chacun à un appareil serveur. Les appareils serveurs se répartissent dans les trois grandes catégories suivantes :
A. un processeur de traitement de données et/ou d'interrogations ou de signaux d'instruction ;
B. un appareil de transfert ou de communication. qui a pour seule fonction le routage de l'information ; et
C. un appareil auxiliaire destiné à l'exécution de traitements autonomes qui ne sont pas directement liés au traitement de transaction.
Sur le schéma, les processeurs sont indiqués par la lettre P, les appareils de communication par la lettre C et les appareils auxiliaires par la lettre A. Par ailleurs. les flèches qui remontent vers le routeur central de messages indiquent un flux de données dirigé vers l'unité de distribution 4 (processeur de chargement ascendant ou télétransmission). tandis que les flèches qui retournent vers les appareils serveurs se rapportent à un flux de données partant de l'unité de distribution 4 (processeur de
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chargement descendant ou téléchargement).
ID L'unité centrale 16 de l'unité de distribution 4 présente des appareils serveurs de connexion et déconnexion, de transmission et de réception, respectivement 41. 43 et 44. Les appareils auxiliaires comprennent un appareil à piste de contrôle +5 et un vérificateur
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de transactions 46. Les appareils à processeur comportent un appareil d'établissement de solde 47. un appareil de paiements 48 et un appareil de courrier électronique 49.
Si l'on se reporte spécifiquement à la fig. 4 (asz on verra que le routeur central de messages 50 est raccordé aux appareils de réception et de transmission de messages. respectivement 51 et 52. Ces appareils 51 et 52 de l'unité centrale 13 communiquent avec les appareils 43 et 44 de l'unité centrale 16. Le routeur central de messages est également raccordé au vérificateur de transactions et aux appareils auxiliaires à piste de contrôle 54 et 55. Les appareils à processeur comprennent un appareil de paiements 56 et un appareil de courrier électronique 57.
En examinant plus particulièrement la fig. 4b. on y observera la structure d'un appareil serveur caractéristique, désigné d'une manière générale par le numéro de référence 60. Cet appareil serveur 60 comprend un jeu de circuits fonctionnels 61 reliés à une base de données 64 et à une mémoire de travail 64. Les circuits fonctionnels 61 sont également reliés à une mémoire tampon 62 située dans le routeur 40 ou 50. La mémoire tampon 62 est utilisée pour faire passer des données ou des signaux d'instructions entre les appareils serveurs.
On a déjà dit qu'en cours de fonctionnement, le système de base de données bancaires 2 est mis à jour en temps réel grâce à des informations financières. L'unité de distribution 4 communique avec le système 2 et met à jour la grande base de données sur les unités d'entraînement de disques fixes 15. Cette base de données emmagasine des données choisies pour les clients, afin de minimaliser le volume de communication requis entre l'interface 17 et le système 2. Une grande quantité de données sont également stockées dans la base de données des unités d'entraînement de disques fixes 12 de l'unité de contrôle 3.
De nombreux logiciels sont cependant mémorisés sur ces mêmes disques 12 et gèrent le fonctionnement de l'appareillage 1 tout en contrôlant des éléments
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comme la sécurité en matière d'accès aux postes de travail des clients de la banque. Sur ce point. il est s'avère avantageux de ne pas donner aux clients un accès direct à l'unité de contrôle 3. car les
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possibilités de -piratage- sont ainsi limitées. c Chaque poste de travail de client 8 peut transmettre un signal au routeur central de message 40 de l'unité de distribution 4 par le truchement des circuits de communication appropriés. Ces signaux comprennent des adresses intégrées destinées aux appareils serveurs concernés. Le routeur central de messages 40 reconnaît ces adresses et retransmet les signaux aux appareils serveurs adéquats.
Les postes de travail des clients 8 ne mémorisent cependant que les adresses destinées aux appareils à processeur, et non celles qui visent les appareils auxiliaires ou les appareils serveurs de communication. D'une manière générale. les appareils auxiliaires ne sont pas sollicités par le routeur central de messages qui utilise en revanche les appareils de communication 41. 43 et 44 pour communiquer avec le routeur 50 et les interfaces 20 et 30.
Le poste de travail de client 8 (qui consiste en un micro-ordinateur) est programmé pour insérer automatiquement l'adresse de l'appareil serveur concerné dans le signal qui est transmis au routeur 40. Ce signal peut être constitué par une interrogation sur le solde bancaire ; dans ce cas, c'est l'appareil 47 qui fait l'objet de l'adresse. Si la demande porte sur du courrier électronique, l'adresse concerne l'appareil 49. Enfin, si l'utilisateur désire effectuer une transaction comme un versement sur un compte, on recourt à l'appareil 48. Comme les schémas l'indiquent clairement, certains traitements utilisent simultanément des appareils serveurs dans l'unité de contrôle 3 et dans l'unité de distribution 4.
De cette manière. le travail de traitement est réparti entre les deux unités et un processeur peut être consacré à un groupe de clients et l'autre, à un groupe différent. Les appareils serveurs sont programmés pour reconnaître leurs adresses et être activés de manière automatique.
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Un aspect important de l'invention réside dans le fait que les postes de travail des clients sont conçus de manière à insérer automatiquement comme adresse principale l'adresse destinée à l'appareil serveur sollicité lors de la transmission d'un signal. En outre, chaque poste de travail de client se réfère cependant à une table de renvois telle que celle indiquée par le chiffre 70 à la fig. 5.
Grâce à la table 70. le poste de travail de client 8. en insérant l'adresse de l'appareil serveur concerné. insérera également par défaut et de manière -transparente" pour le client, des adresses secondaires pour d'autres appareils serveurs. Ainsi. si le client souhaite accéder à un appareil serveur pour les comptes. son poste de travail insérera automatiquement une adresse principale. en l'occurrence celle destinée à un appareil serveur relatif aux comptes, mais aussi des adresses secondaires pour les services de transactions monétaires. la trésorerie. le courrier électronique et les appareils serveurs de gestion. Comme on le verra, les appareils serveurs tels que représentés dans le tableau 70 ne sont pas les mêmes que ceux montrés dans les dessins précédents.
La nature des traitements effectués par les appareils serveurs n'a pas d'importance. Ainsi. un poste de travail de client peut déclencher le téléchargement des états de solde pour un client souhaitant expressément cette information. Le poste de travail du client recevra cependant également du courrier électronique, des données de trésorerie ainsi que diverses données administratives, le tout à l'insu du client. Ces données sont stockées sur disque dans le poste de travail du client et peuvent être extraites à tout instant. si bien que le client bénéficie d'un temps de réponse très court. étant donné qu'il n'est pas nécessaire d'établir une liaison à distance. On notera donc avec intérêt qu'après l'établissement d'une session de communication. une volume important de données est téléchargé, ce qui minimalise le nombre de connexions requises.
Cette minimalisation du nombre de connexions et du volume d'échange réduit également au minimum les risques d'altération de données e t n'inflige au client que des frais de télécommunications relativement faibles.
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Pendant que les appareils à processeur et les appareils serveurs de communication fonctionnent selon les instructions reçues des postes de travail du client et du routeur 40. les appareils serveurs auxiliaires fonctionnent en arrière-plan et en mode automatique. sans aucune référence à un quelconque autre appareil. L'appareil à piste de contrôle 45 surveille toutes les transactions qui passent par le routeur central de messages concerné et les enregistre dans une base de données. A intervalles périodiques, ces données sont archivées sur bandes.
On dispose ainsi d'une piste de contrôle complète pour la totalité des transactions qui sont traitées par l'appareillage 1. En outre. le vérificateur de transactions 46 fonctionne comme un signal d'alarme contrôlant les transactions pour vérifier que les données transmises par les clients et à ces derniers ne dépassent pas des valeurs tolérées. Le vérificateur de transactions 46 surveille également les accès aux données qui sont à vérifier pour des raisons de sécurité.
Un aspect important de l'invention réside dans la manière dont tous les signaux, qu'il s'agisse de données ou d'instructions, sont transmis par un routeur central de messages dans chacune des deux unités.
Cette façon de faire permet d'effectuer les opérations de vérifications de pistes de contrôle et de transactions d'une manière simple, toutes les données pouvant être surveillées fort facilement.
Elle autorise également une souplesse maximale dans le mode d'interconnexion des divers appareils. Cette qualité est très importante du point de vue commercial. car elle permet d'adjoindre des traitements supplémentaires de manière modulaire. par simple "boulonnage". En outre les postes de travail de clients peuvent recevoir un gros volume de données par session de communication.
Les aspects importants de l'invention touchent à la manière dont les divers appareils sont interconnectés. et non les traitements concrets qui y sont effectués.
La présente invention ne se limite pas aux réalisations décrites cidessus mais peut être modifiée dans sa structure comme dans ses détails.