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Mallette de haute sécurité pour transports de fonds L'invention est une mallette de sécurité pour les transports de fonds. Fabriquée dans un métal à haute résistance de perforation, l'intérieur est tapissé d'un carter à double enveloppe, soit en aluminium, soit en polyesther, dont une partie est destinée à contenir une encre indélébile, sous pression par un gaz propulseur, l'autre partie étant dépressurisée. L'encre contenue dans l'enveloppe interne se répandra sur le contenant de la mallette en cas de perforation de l'enveloppe dépressurisée par un outil quelconque, tel que foret, burin, marteau, ou tout autre moyen tenté, voire l'écrasement, dans le but de s'approprier le contenu de cette mallette, à savoir billets de banque ou chèques.
L'invention renferme également un système de sécurité pouvant être armé de façons multiples. Celui-ci comprend un jeu de dix cartouches de sécurité du type aérosol chargées d'encre indélébile pouvant être propulsée par un gaz. Ces cartouches, suite à une malfaçon de dévérouillage, ou à une ouverture de force, éclatent et répandent en pulvérisation leur contenu dans la mallette.
Le système de sécurité se compose de plusieurs protections. Sa mise en vérouillage est simple, et peut être modifiée de diverses façons, celles-ci toutes différentes les unes des autres.
Le vérouillage comprend trois phases. La première est le choix de l'emplacement pour la pose des poussoirs de dévérouillage du système. Il y a vingt cinq possibilités. La seconde phase consiste à refermer la mallette et presser les fermetures d'embouts, opération qui a pour but de bloquer l'ouverture du couvercle, et aussi celui d'armer le dispositif intérieur de protection, les pènes des fermetures sus-dites servant à libérer par simple pression la mise en place du système de sécurité greffé à l'invention. La poussée des fermetures
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centrales fait partie de la dernière phase. Le fait de les ramener l'une contre l'autre oblige deux baguettes de sécurité à traverser les pènes des deux serrures déjà vérouillées en embouts.
Ces baguettes, étant en place, peuvent être à leur tour vérouillées par un barillet à secrets comprenant trois roulettes tournantes numérotées de zéro à neuf.
La mallette est dès lors armée. Elle est inviolable et ne peut être ouverte que par un cycle respecté. En cas de malfaçon ou de viol les cartouches protectrices éclateront sous le choc d'un percuteur. Les billets ou les chèques contenus dans la mallette seront dès lors entachés de produit indélébile, donc inutilisables. Les billets perdront toute valeur mais ne seront pas détruits pour autant. L'invention, une fois fermée et armée, ne peut être ouverte, même par son propre inventeur, sans que celui-ci ne prenne le risque d'actionner la percussion qui fera éclater les cartouches de sécurité.
Le système de dévérouillage de sécurité comprend cinq serrures disposées sur le couvercle de la mallette et dotée chacune de six combinaisons permettant douze mille possibilités. Elles sont de type à pistons radiaux. L'ensemble de ces serrures multiplié par le nombre de positionnement des poussoirs de dévérouillage offre un million cinq cent mille possibilités.
Le carter à encre de l'invention est doté de huit contacteurs de pression, réagissant à la moindre perforation de l'enveloppe extérieure dépressurisée.
L'invention est également munie de contacteurs de température réagissant à plus ou à moins cinquante degrés centigrades, ceci afin d'éviter une violation du système par basse température en gelant les gaz propulseurs.
Ces contacteurs réagissent sur les deux cartouches de côté. Et enfin, l'invention (peut être) munie d'un sys- tème sonore réagissant à plus de cinquante mètres d'écar-
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tement entre le porteur et la mallette. Il ne serait qu'une sécurité supplémentaire mais tout à fait aléatoire.
Le système de protection est inviolable parce qu'offrant la garantie du secret absolu, et pour cause : même en ouvrant cette mallette par la force pour en connaître le fonctionnement, celle-ci ne révèlera pas pour autant le secret d'une seconde mallette. Le vérouillage étant installé, le dévérouillage ne est chaque fois différent.
L'invention ne peut être ouverte que par la personne qui l'a armée lors de la fermeture, ce système pouvant être transmis de banque à banque sans aucun intermédiaire. On peut donc reconnaître l'intérêt du système connu par une seule personne. Un autre avantage est qu'une fois enjolivée par une peausserie, l'invention prend l'apparence d'une mallette ne sortant pas de l'ordinaire, et donc tout à fait anonyme, ce qui ne la rend pas moins efficace pour autant. Par contre, sous cet aspect, elle évite les convoitises lors de transports ou de transferts de fonds, quelles que soient leurs provenances ou leurs destinations.
Le système de protection a été étudié de telle façon que le fonctionnement des poussoirs de dévérouillage, ainsi que leur emplacement ne soit repérable ni auditivement au stétoscope, ni au toucher par un doigté sensible, ni aux rayons X.
Construite aux mesures d'une mallette standard, elle peut facilement passer inaperçue. Entre autres, pour des fonds plus importants, elle peut avoir une taille plus avantageuse, voire même prendre la forme d'un coffre transportable par deux poignées d'embout. Plus l'encombrement est grand, moins le vol est évident. Ce modèle peut être muni d'un double système de sécurité, fonctionnant sur le principe, ceci renforçant l'efficacité du système de protection tout en doublant le système de combinaisons de dévérouillage de ces coffres pour
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transports de fonds importants.
A l'inverse, l'invention peut être fabriquée aux mesures d'une trousse de toilette pouvant convenir dès lors aux agents des postes pour le payement mensuel des pensions, voire à des gérants de magasins pour porter la recette journalière dans un coffre de nuit bancaire. Un choc non violent ne pourrait enclencher le mécanisme de sécurité.
Il est à noter un dernier avantage. En cas de menace de mort vis-à-vis du porteur, celui-ci peut divulguer la combinaison secrète du barillet. Il faut quelquefois peu de choses pour sauver une vie. Bien qu'il s'agisse de doigts malhonnêtes, la mallette s'ouvrira par cette combinaison mais, par contre, les cartouches de sécurité éclateront malgré tout, suite à une malfaçon d'ouverture.
Et enfin, l'invention, contrairement à ce qui se trouve sur le marché actuel, fonctionne seule. La présence humaine n'est plus indispensable au fonctionnement du système de sécurité : ni menotte, ni filin d'attache, ni émetteur d'ondes. Elle peut être envoyée à des kilomètres sans surveillance aucune.
Le but de l'invention est d'anéantir une bonne fois pour toutes la convoitise de l'argent. Le capital contenu dans cette mallette armée perd toute sa valeur sans pour autant être détruit et ce, suite à une ouverture malencontreuse, qu'elle soit ou non malhonnête. Dès lors, qui peut convoiter une chose sans valeur ? Bien qu'ayant gardé son apparence, cet argent serait inutilisable pour son voleur. Braquer un fourgon blindé serait pure folie.
Mais au fait !... Un tel fourgon serait-il encore nécessaire ? A moins qu'il ne s'agisse d'un transport d'or. L'invention a surtout pour but d'arrêter le massacre des transporteurs de fonds, de protéger leur vie mise en jeu à chaque attaque de fourgon. On n'attaque plus
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un véhicule blindé pour de l'argent qui va perdre toute sa valeur à la moindre erreur. En plus et au total l'invention se distingue par une longue durée de vie. Elle est exposée ci-après plus en détail à l'aide de dessins représentant seulement un mode d'exécution.
La figure 1 représente une vue en plan d'une mallette de sécurité 1 pour les transports de fonds, réalisée conformément à la présente invention. Munie de son carter à double enveloppe 2 et 3 de protection extérieure ainsi que de ses contacteurs de température 54 actionnant les pulvérisateurs 53. Sont représentés le barillet 4 bloquant les serrures extérieures 5 ainsi que les fermetures centrales 6 par le jeu des tiges 29. L'invention est munie des supports 7 de cartouches 11 centrales où des poussoirs de dévérouillage 13. Les supports 7 sont ouvrables en otant la vis moletée 27 ce qui permet à la partie basse du support 7 de pivoter sur la charnière 28. Les reposoirs 8 pour les têtes de cartouches 11 sont fixés au corps de la mallette 1. Il en est de même pour les reposoirs 16 des cartouches 12 de côté.
Le support 10 pour serrures de dévérouillage 9 est en place, fixé par les vis 42, cinq serrures 9, toutes indépendantes les unes des autres d'un type à pistons radiaux et fonctionnant à gauche ou à droite avec retour à zéro, munie chacune de six combinaisons donnant ainsi accès à douze mille possibilités. Les poussoirs 13 remplacent deux cartouches 11 centrales, ceux-ci étant destinés au dévérouillage du système. Le poussoir 13 peut se substituer à chaque cartouche 11 centrale. Les cartouches 12 de côté sont munies de leurs embouts pulvérisateurs 53, ceux-ci étant commandés par les contacteurs 54 de température fixés au couvercle 34 de la mallette 1. Ils réagissent à des températures supérieures ou inférieures de + ou-cinquante degrés centigrades. La poignée 30 sert au transport de la mallette 1.
La figure 2 représente une vue en élévation de la mallette. 1 ouverte. Elle est tapissée de son carter à dou-
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bles enveloppes 2 et 3, de ses contacteurs de température 54, garnie de ses fermetures centrales 6, de ses serrures extérieures 5 fixées à la partie basse 35, tout comme le barillet 4. Elle est armée des cartouches 12 de côté, munies de leurs pulvérisateurs 53. Les poussoirs 13 de dévérouillage ont pris place entre les cartouches 11 centrales. Tous deux se différencient par la gorge 31. Les serrures 9 de dévérouillage sont en place. Ce sont elles qui, par rotation, actionnent les percuteurs 17.
La figure 3 représente une coupe face avant de la mallette 1. On peut voir la serrure 9 de dévérouillage, actionnant le percuteur 17 par le jeu de la crémaillère 45. La cartouche 11 centrale est maintenue en place par la poussée du ressort 38 contre la bague de blocage 15, ainsi que par les supports 7, ceux-ci maintenus par la vis moletée 27. La tête de cartouche 11 centrale est prise entre les deux parties du reposoir de têtes 8, après fermeture de la mallette 1, ce qui permet à la rampe 18 garnie de ses percuteurs avant 36, de ses percuteurs arrières 37 et de ses percuteurs verticaux 32 d'agir comme une guillotine sur la tête de cartouche 11 centrale en cas d'ouverture forcée ou malencontreuse du couvercle 34.
Un simple écartement du couvercle 34 et de la partie basse 35 provoquerait l'éclatement de la cartouche 11, tout comme la rotation de la serrure 9 de dévérouillage face à la cartouche 11 provoquerait le même résultat. La rampe 18 de percuteurs 32, 36 et 37 est maintenue en place par les ressorts de traction 24 fixés à la rampe 18 et enclavés au reposoir de têtes 8 par la clame 41 de fixation. Ont été ajoutés les contacteurs à soupapes de pression 39 protégeant la mallette 1 de toutes atteintes extérieures. Les enveloppes 2 et 3 de carter de sécurité sont maintenues à écartement par les points de contacts 44. La figure 4 représente une vue de profil de la mallette 1.
La vis moletée bloque les parties mobiles des sup-
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ports 7 qui maintiennent en place les cartouches 11 centrales et le poussoir 13 de dévérouillage, tous guillotinés par la rampe 18 des percuteurs 32,36 et 37, ainsi que tous en pression par les ressorts 38 contre la bague de blocage 15. Les ressorts de traction 24 sont maintenus par les clames de fixation 41. La rampe 18 peut pivoter sur son axe 25 maintenu dans ses supports 47, ceci permettant un recul de la rampe 18 pour l'ouverture de la mallette 1. Des orifices d'évacuation 43, disposés en quinconce, ont été percés dans la partie inférieure du reposoir de têtes 8, afin de faciliter la dispersion du produit indélébile sur le contenu de la mallette 1.
Les figures 5 et 6 représentent une coupe face avant de la mallette 1. Le couvercle 34 a été écarté de la partie basse 35. Le carter à doubles enveloppes 2 et 3 peut être réalisé en polyesther et placé dans une carcasse métallique tout à fait indépendante de celui-ci.
Il peut être fixé par collage ou par des vis de fixation soudées à la carcasse extérieure, le tout formant la mallette 1. Le système de serrurerie a été modifié, les fermetures centrales 6, le barillet 4, ainsi que les tiges 29 ont été remplacés par des roulettes numériques 48, chiffrées de zéro à neuf et complétant les serrures extérieures 5. Les fermetures 33 permettent par les pènes 20 le vérouillage du couvercle 34 à la partie basse 35. Les parties à mouler constituant l'ensemble ont été séparées, les supports 7 disjoints par l'absence de la vis moletée 27, tout comme les parties du reposoir 8 de têtes de cartouches centrales 11 sont désunies, la partie basse de ce dernier est percée d'orifices d'éva- cuation 43.
Les contacteurs de pression à soupape 39 sont en place, tout comme sont renseignés les emplacements des charnières 14.
Les figures 7 et 8 représentent une vue de profil de la mallette 1. Le couvercle 34 est disjoint de la partie basse 35, les éléments formant le support 7 ont été écartés légèrement, mais maintenus par la vis moletée
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27. Les deux parties formant le reposoir 8 de têtes de cartouches 11 sont détaillées, tout comme les orifices d'évacuation 43 percés dans sa partie basse, placés en quinconce pour une meilleure répartition du produit indélébile. Les orifices 40 sont destinés aux passages des ressorts de traction 24. Tout comme les figures précédentes 5 et 6, l'ensemble couvercle 34 et partie basse 35 peuvent être entourés d'une carcasse métallique pour former la mallette 1.
Sont prévus à cet effet les orifices de fixation 49 pour le passage des vis soudées à la carcasse, tout comme sont renseignés les orifices 50 pour la pose des serrures extérieures 5 et des ferrures 33 fixées au couvercle 34. L'orifice 55 est destiné au passage du pène 20.
La figure 9 représente une vue en plan de tout le système de protection. La mallette 1 est fermée, les cartouches 11 centrales, tout comme le poussoir de dévérouillage 13 sont en place. La fermeture de la serrure 5 extérieure provoque par le pène 20, le recul de la barre de tension 21, faisant pivoter les crochets de sécurité 19 sur leurs axes 26, mouvement qui provoque la pression des ressorts 22 et 23 libérant la rampe 18 des percuteurs 32,36 et 37 des crochets de sécurité 19. Celle-ci se met en place par la traction des ressorts 24 et se bloque par la butée 46 (fig. 3) contre la partie basse du reposoir de têtes 8.
Il est évident qu'une ouverture des serrures extérieures 5 sans avoir manoeuvré le poussoir 13 auparavant par la serrure de dévérouillage 9 requise et faisant reculer celui-ci au code déterminé d'ouverture pour positionner la rampe 18, ne créerait qu'un blocage de cette rampe par les crochets de sécurité 19, provoqué par la détente des ressorts 22 et 23 jusqu'à emboîtement des dits crochets dans les orifices 51, d'où impossibilité d'écartement du couvercle 34 de la partie basse 35 sans éclatement des cartouches 11 de la mallette 1. Par contre, même en respectant le cycle d'ouverture mais avec non respect du code de la serrure 9 de dévérouillage, la crémaillère
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45 permet une poussée plus longue du poussoir 13, ce qui provoque l'éclatement de la cartouche 12 de côté.
Il est nécessaire d'amener le poussoir 13 au bon code afin que la rampe 18 recule pour permettre aux crochets de sécurité 19 de la bloquer dans la bonne position permettant, de la sorte, l'ouverture du couvercle 34. Dès lors, la rampe 18 trouve son passage entre les cartouches 11 centrales et la cartouche 12 de côté. La gorge 31 du poussoir 13 est destinée au percuteur vertical 32 pour l'encastrer. L'encastrement de celui-ci permet aux autres percuteurs 32 de provoquer l'éclatement des cartouches 11 en cas de non respect du code d'ouverture, d'effraction des serrures 5 ou toutes tentatives visant à briser les charnières 14.
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Système de fonctionnement A. Mallette à barillet 4 central - Fermeture a) Choix de l'emplacement des poussoirs 13.
A noter pour le dévérouillage. b) Fermeture du couvercle 34. c) Presser les serrures extérieures 5. d) Pousser les fermetures centrales 6. e) Vérouiller le barillet 4.
- Ouverture a) Tourner les serrures de dévérouillage 9, soit à gauche, soit à droite, jusqu'au code à respec- ter. b) Dévérouiller le barillet 4. c) Ecarter les fermetures centrales 6. d) Ouvrir les serrures extérieures 5. e) Ramener les serrures de dévérouillage 9 à zéro. f) Ouvrir le couvercle 34.
B. Mallette sans barillet 4 central - Fermeture a) Choix de l'emplacement des poussoirs 13. A noter pour le dévérouillage. b) Fermer le couvercle 34. c) Presser les fermetures 33 dans les serrures 5. d) Tourner les roulettes numériques 48.
- Ouverture a) Tourner les serrures de dévérouillage 9 jusqu'au code à respecter, soit à gauche, soit à droite. b) Ajuster les roulettes numériques 48. c) Ouvrir les serrures extérieures 5. d) Ramener les serrures 9 de dévérouillage à zéro. e) Ouvrir le couvercle 34.
C. Mauvaises ouvertures-Tentatives a) Erreurs de serrures de dévérouillage 9 : - éclatement des cartouches 11 centrales. b) Erreur de code de la serrure 9 de dévérouillage : - éclatement de la cartouche 12 de côté. c) Erreur du cycle d'ouverture :
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- blocage des rampes 18 par les crochets 19 de sécurité.
- éclatement des cartouches 11 à l'ouverture du couvercle 34. d) Ouverture forcée du couvercle 34 : - éclatement des cartouches 11 centrales. e) Perforation du carter double enveloppe 2 : - Ouverture des contacteurs de pression 39 à sou- papes. f) Ecrasement de la mallette 1 : - éclatement total intérieur. g) Rupture des serrures extérieures 5 : - blocage des rampes 18.
- éclatement à l'ouverture du couvercle 34. h) Congélation ou surchauffe des gaz : - réaction des contacteurs de température 54. i) Erreur de dévérouillage gauche ou droite : - éclatement des cartouches 11 centrales. j) Aléatoire : pour vol de la mallette 1 : - déclenchement d'une alarme possible.
Conclusion Donc possibilité de révéler la combinaison des roulettes numériques 48 des serrures extérieures 5 sans supprimer le fonctionnement du système de protection intérieur.