OA10113A

OA10113A - Method of epigenitic regulation of protein biosynthesis by resonance of scale

Info

Publication number: OA10113A
Application number: OA60587A
Authority: OA
Inventors: Joel Sternheimer
Original assignee: Joel Sternheimer
Priority date: 1992-06-04
Filing date: 1994-11-25
Publication date: 1996-12-18
Also published as: AU679181B2; EP0648275B1; WO1993024645A1; AU4330493A; TNSN93061A1; DE69334164T2; DE69334164D1; CA2136737A1; ATE371748T1; FR2691976A1; ES2293634T3; RU94046307A; JPH07507287A; RU2113487C1; IL105855A; FR2691976B1; EP0648275A1; IL105855A0

Abstract

The present invention relates to a method for the epigenetic regulation of protein biosynthesis which consists in using, on the biosynthesis of proteins, scale resonance regulating action of sound transpositions of temporal sequences of quantum vibrations associated with their elongation; said action may be a stimulation or an inhibition of said biosynthesis depending on whether the modulation of the frequences of vibrations used is in phase with or of opposite phase to said elongation. The result is further stabilized by the action of coloured transpositions of groups of quantum vibrations arising from the spacial conformation of proteins from said elongation. The applications, particularly in the agri-foodstuff and health industries, include for implementation purposes a method of defining the metabolic role of proteins from their aminoacid sequences.

Description

0 i υ i i J0 i υ i i J

La présente invention est relative a in procédé derégulation épigénétique de Ιε-ι biosynthèse des protéines insitu, et aux applications de ce procédé, notami ?nt dans lesdomaines de 1’agro-alimentaire et de la santé, utiliser l’action régulatrice, par résonancela biosynthèse des protéines, des transposâtio:sécuences temporelles de vibrations quantique'leur élongation. Cette action peut êtri augmentation du tau;: de cette synthèse·, en mêmt temps qu’unerégular isatiori de son rythme, soit une; diminut; m de ce tau;:. 1 consiste méchelle, sursonores deassociéessoit une 10 ΙΕ 20 suivant que la modulation des fréquences <utilisées est en phase ou en opposition de pha;élongation (ceci étant vrai aussi bien pour ί s vibrationsavec cettes /ibrationsonorss). Le ion, toujoi.'.'lumineuses facteurs épigénétiques,l’organisme auquel elle quantiques que pour leurs transpositionsrésultat obtenu est en outre stabilisé par l’ai,par résonance d’échelle, de Lranspositioi (colorées) des groupements de vibratioffe quant; use découlantde la conformation spatiale des protéines iss. ,.es de cetteélongation.The present invention relates to the process of epigenetic de-regulation of the biosynthesis of insitu proteins, and to the applications of this process, especially in the fields of agrifood and health, using regulatory action, by way of resonance. protein biosynthesis, transposed temporal oscillations of quantum vibrations and their elongation. This action may be an increase of the tau of this synthesis, at the same time that a regularity of its rhythm is one; diminut; m of this tau;:. 1 consists of a scale, which is associated with a 10 ΙΕ 20 depending on whether the modulation of the frequencies <used is in phase or in opposition to pha elongation (this being true both for the vibrations and the oscillations). The ion, always of the light epigenetic factors, the organism to which it quantum only for their transpositions the result obtained, is further stabilized by the resonance of scale of the (colored) transitions of the vibratiofe groups in quantum; resulting from the spatial conformation of iss proteins. .es of this elongation.

Ce procédé s’applique de façon spérif que à touteprotéine dont on connaît La structure. Sou emploi est;toutefois d’autant plus approprié que la synthèse de cetteprotéine dépend plus fortement de c’est-à-dire extérieurs à 1’ADN de appartient, et spécialement dans le cas présent, de Facteursacoustiques et électromagnétiaues; en outre il requiert, pourson application pratique, la déterminât ion des agcmsmés etantagonismes métaboliques de ces protéines, dus au;·;phénomènes de résonance d’échelle associés nai irellement aleur biosynthèse. La caractérisation de? ces pr itéines dansleurs sous-ensembles métaboliques associes (dei litant ainsileur rôle métabolique à partir de leur sequent · en acidesamines) est encore un aspect de la présente invt iticn. L’identification des protéines propres a t re réguléesdans le cadre d’une application donnée inclut ei in d’autres >0 y i ύ i I 3 critères ueïs que la correspondance entre des phénomènesacoustiqufcs et électromagnétiques dont les ef-fets peuventêtre observés chez les êtres vivants eux-mêmes, et lesséquences protéiques transposées — qui constituent égalementune modalité de la présente invention. L· La mise en évidence des propriétés musicales des particules èIémeri taires297. 829, 1983), tout (J. Sternheimer, en soi.· 1 rvt C. R. Ar a d. Sc » Par i slê« nécéss ité d’une théorie cohérente pour ces dernières, a notamment permis d’y suggérer un rè;.;· important po;ii 1’échelle à laquelle seune dimensiondéveloopementsCe Z. i cqxte penseur" , déroul vnc ·.·'·? phénomènes, comprise commeautcriome par - -.11201-:. à 1 ’ espace—temps» DesThis process applies spherifically to any proteine of which the structure is known. Its use is, however, all the more appropriate as the synthesis of this protein is more dependent on that which is external to the DNA belonging, and especially in the present case, of acoustic and electromagnetic factors; in addition, it requires, for its practical application, the determination of the agglomerations and metabolic metabolisms of these proteins, due to the resonance phenomena associated with their biosynthesis. The characterization of? these properties in their associated metabolic subsets (hence their metabolic role from their amino acids) are still an aspect of the present invention. The identification of the proper proteins has been regulated in the context of a given application and in other criteria, such as the correspondence between acoustic and electromagnetic phenomena whose effects can be observed in human beings. themselves, and the transposed protein sequences - which also constitute a modality of the present invention. The highlighting of the musical properties of radioactive particles297. 829, 1983), all of which (J. Sternheimer, in itself: 1 rvt CR Ar dd Sc) By the necessity of a coherent theory for the latter, notably made it possible to suggest a re; The scale at which only one dimension of the development of this thinker is carried out, which is understood to be consistent with space-time.

Lamorcés dans J. Sternheimer, ;>ηαί "Loiiis de Broglie, Ph.ystci.eri etAncienne Ecole Polytechnique, Paris, 5 - ώ novembre 1987) ontamené à conclure a l’existence physique d’ondes quantiquesassociées aux particules et se propageant, non seulement dans1’espace-temps mais aussi dans cette dimension d’échelle,rsu iant ainsi entre eux des niveaux successifs dansl'crçanisation de la matière. Cas ondes, dent nous avons puéc; ire et resouare les équations de propagation, autorisentairs? une action d’une échelle sur l’autre entre phénomènessuff ; s-w.--nt semblables pour pouvoir constituer,, en un sensLamorcés in J. Sternheimer,> ηαί "Loiiis de Broglie, Ph.ystci.eri andAntique Ecole Polytechnique, Paris, 5 - ώ November 1987) led to conclude the physical existence of quantum waves associated with particles and propagating, not only in space-time, but also in this dimension of scale, thus obtaining between them successive levels in the crystallization of matter.Wave cases, we have been able to reproduce and solve the propagation equations, to allow an action from one scale to the other between similar phenomena, so as to constitute, in a sense

Li .. t. λ ··'·; t nt & 1'·'·.:.:·.Bed. λ ·· '·; t nt & 1 · ·.:.: ·.

- güOSiahC -entîaftiei >i. - 1 i3\· physique, 1992. a paraîtrerésumé suit).- gUOSiahC -entîaftiei> i. - 1 physical, 1992. to appear as follows).

Les raisons bien défini, des harmoniques d’un mêmeSternheimer, Ondes d*échelle, L· Partieq-rp: II. Partie biologique, dont un :ommtï la théoriques de leur existenceconformité à I’expérience de diverses conséquences de leurspropriétés Pont apparaître les ondes d’échelle comme unphénomène universel dont la fonction est au départ ï«i cohérence entre les différentes échelles d’utquantique, et qui prend notamment forme et peutdans le oracessus de biosynthèse des protéines,de la chaîne peptidique résulte en effet d’assurer système être décrit LL élongation de L’addition 10 vis-à-vis deune relativepar un seul longueur d’onde broglienneconfère1’onde associée et celles émises 15 séquentielle d'acides aminés apportés sur le ribosome par desARN de transfert (tARN) spécifiques. Lorsqu’un acide aminé,initialement à l’état libre, vient se fixer sur son tARN, ilest à cet instant, déjà suffisamment stabilisé l’agitation thermique, tout en conservantautonomie du fait, qu'il n’est lié au tARN quedegré de liberté, pour que sa atteigne l’ordre de grandeur de sa taille: cela luides propriétés ondulatoires, et 1 ’ interférence entred’échelle qui lui est alors similairement par les autres acides aminés, résulte en unesynchronisation, au bout d’un temps très bref que l’on peutévaluer à iO^^s environ, des fréquences propres associéesà ces acides aminés suivant une même gamme musicale, quidépend donc précisément de la population des ARN detransfert. Toutefois à l’approximation de la gamme tempérée,cette gamme est universelle, grâce à la distribution trèsparticulière des masses de ces acides aminés, qui en est déjà nue1éot i des de 1’ADNgamme musicale, ainsi très proche. (De façon similaire, lessont eux aussi accordés sur une mêmequ’on le vérifie aisément d’après leurs masses).The well-defined reasons, the harmonics of the same Sternheimer, Waves of scale, the Partq-rp: II. Biological part, one of which: the theoreticians of their existenceconformity to the experience of various consequences of their properties; to appear the waves of scale as a universal phenomenon whose function is at first coherence between the different scales of utquantics, and In particular, the formation of the peptide chain in the process of protein biosynthesis may result in the system being described by the fact that the elongation of the addition relative to one another by a single broglian wavelength confounds the associated pH. and those sequentially issued amino acids provided on the ribosome by specific transfer RNAs (tRNAs). When an amino acid, initially in the free state, is fixed on its tRNA, it is at this moment, already sufficiently stabilized the thermal agitation, while conservautautonomy of the fact, that it is related to tARN the degree of In order to reach the order of magnitude of its size, this allows it to have undulatory properties, and the inter-scale interference which is then similar to it by the other amino acids, results in a synchronization, at the end of a very short time. It is possible to evaluate at about 10%, eigenfrequencies associated with these amino acids according to the same musical range, which therefore depends precisely on the population of the RNAs that are transferred. However, to the approximation of the temperate range, this range is universal, thanks to the very particular distribution of the masses of these amino acids, which is already quite independent of the musical DNA, thus very close. (Similarly, they too are tuned to the same as easily verified by their masses).

Mais le phénomène auquel -nous nous référons va semanifester de façon plus explicite encore lorsque, l’acideamine étant porté par son tARN, ce dernier vient à son tourse Fixer sur le ribosome. A ce moment en effet, c’est-à-direjusqu’au transfert qui va aller l’accrocher à la chaînepeptidique, la stabilisation vis-à—vis de thermique devient telle que la longueur d’onde aminé dépasse sa taille d’un bon ordre de grandeur. L’onded’échelle qu’il émet alors va interférer, à l’échelle de laprotéine, avec les ondes analogues préalablement émises parles autres acides aminés, ce qui va entraîner des contraintesde type musical peur la succession temporelle despropres associées à ces ondes, afin que les ondespuissent (généralisant la situation précédente) 30 1'agitationde 1 ’ ac i deBut the phenomenon to which we refer will semanifester even more explicitly when, the acideamine being carried by its tRNA, the latter comes to its bait Fix on the ribosome. At this moment, in fact, that is to say, until the transfer that will go to hook it to the pharmaceutical chain, the stabilization vis-à-vis thermal becomes such that the aminated wavelength exceeds its size by one good order of magnitude. The scale it emits then will interfere, on the scale of the protein, with the analog waves previously emitted by the other amino acids, which will lead to musical-type constraints for the temporal succession of the properties associated with these waves, in order to the waves (generalizing the previous situation), the stirring of the ac

Fréquencesd’échellepoursuivre di stances nsè 1 odi ques>plus, chaque onde leur parcours et assurer ainsi une cohérence et unscommunication entre plusieurs niveaux de l'organisme — parexemple, la seule succession de ces ondes aura déjà pourconséquence uns minimisation des dissonnances (distancesharmoniques) et écarts de -Fréquences (représentés par lesentre acides aminés successifs; ded'échelle apparaissant comme une superposition d’ondes reliant deux niveaux donnés (et. doncd'abord celui de chaque acide as.iné à celui de la protéine)en des temps double, triple. .. du temps, rois par la plusrapide, ceci impliquera l’existence d® périodes demi ni eu? sat ion des distantes harmoniques notamment, marquantdes ponituations dans la succession temporelle desfréquences; ce. que les autres niveaux compléteront decarrédations d’autant plus riches et marquées qu’ils sonteux—mêmes plus nombreux à influer sur la synthèse de iaprotéine. Ceci a comme conséquence une prédictionremarquable: les protéines doivent posséder, dans la succession même des fréquences propres quantiques associées àla séquence de leurs acides aminés, des propriétés musicaleset élaborées que leur biosynthése estteurs épigénétiques en général; st enpossible d’agir épigénétiquement, de <> !+· .· v,t plue, nettes plus sensible aux ίretiiür . i l doi t ëtr •fi - - •<n epeci •’iuue pour chaque protéine, sur cette biosynthèse.L"éxamen de?> séquences protéiques apparaissant dans lalittérature/ Fcf„ M. 0. Dayhoff, Atlas of protein sequenc»· andstructure?, vol. 5 et suppl-, N.B.R.F. (Washington) 1972-78;mises à jour accessibl.es via CITI 2, 45 rue des Saints—Pères,Paris! permet de confirmer qu’il en est bien ainsi; nonseulement toutes les protéines possèdent des propriétésmusicale., dans, l’enchaînement de leurs acides aminés, maisces p ropriétés sont d’autant protéines .sont, d’une façon ép i g é nét i quema rit, E n out re la t r ans pos i ti on ac ous 1i <?ue d&ssxiiL&s tte /rfrcyuences propres correspondant à la production plus développées que ces générale, plus sensibles «10113 10 io 30 d’ondes d’échelle en phase avec l’élongation d’une protéinedonnée exerce une action · ζ i.nvui.ante sur la biosynthèse decette protéine in vivo: et. de façon corrélative, une1 actionau contraire pour des ondes d’échelle en oppositionde phase. Ces actions. qui reproduisent à notre échelle lesactions semblables s’exerçant déjà à l’échelle quantiqueentre protéines lors dé leur synthèse Cet jouant donc un rôleimportant dans leur métabolisme: les protéines musicalementhomologues sont ainsi, de façon systématique, métaboliquementagonistes}, paraissent effectivement générales pour tous lesêtres vivants sensibles aux vibrations sonores, et nous avons eu à maintes reprises 1'occasion de les observer.Frequencies of scale to continue from different phases, plus, each wave their course and thus ensure a coherence and a communication between several levels of the organism - for example, the only succession of these waves will already result in a minimization of dissonances (harmonic distances) and Differences in Frequencies (represented by the successive amino acids; scale representing a superposition of waves connecting two given levels (and therefore first that of each acid as well as that of the protein) in double times, time, kings by the quickest, this will imply the existence of half periods or eusion of distant harmonics in particular, marking ponituations in the temporal succession of frequencies, that the other levels will complement décarrédations all the richer and more marked than they themselves are to influence the synthesis of protein. This is a remarkable prediction: proteins must possess, in the very succession of quantum eigenfrequencies associated with the sequence of their amino acids, musical and elaborate properties that their biosynthesis is epigenetic in general; It is impossible to act epigenetically, to be more sensitive, to be more sensitive to urgency. it must be determined for each protein, on this biosynthesis. The examination of protein sequences appearing in the literature. M.0. Dayhoff, Atlas of Protein Sequence andstructure ?, vol 5 and suppl-, NBRF (Washington) 1972-78, updates available via CITI 2, 45 rue des Saints-Peres, Paris! confirms that this is the case; Proteinshavemusical properties in the sequence of their amino acids, but these properties are all proteins, and they are, in a highly specialized way, at the same time. The result is that there is more of a production-specific nature of production than these general, more sensitive scaling waves in phase with the elongation of a protein protein. action on the biosynthesis of this protein in vivo: and in a correlated way This is an action on the contrary for scale waves in phase opposition. These actions. which reproduce on our scale the similar actions already taking place at the quantum scale between proteins during their synthesis. This plays therefore an important role in their metabolism: the mushomologists proteins are thus, in a systematic way, metabolically agonists, seem indeed general for all the living beings. sensitive to sound vibrations, and we have had many occasions to observe them.

Dans le cas des anirtâux ayant un système nerveux, il semble que l’on puisse dbnneh Cau moins chez les vertébrés,ou Les “potentiels microphoniques" reproduisant fidèlement laforme d’onde appliquée ont bien été observés) la descriptionsuivante de ces phénomènes: 1 Onde sonore est transformée audépart du nerf auditif en impulsions électromagnétiques demême fréquence: celles-ci. en vertu de l’invariance d’échelledes équations des ondes d’échelle appliquées au photon<généra Lisant les équations de Maxwell), agissent alorsdirectement, par résonance d’échelle, sur leurstranspositions quantiques; les amplitudes quantiquesassociées ayant leur carré proportionnel au nombre deprotéines synthétisées simultanément, le phénomène derésonance va se traduire, dans le cas d’ondes d’échelle enphase, par une augmentation du taux en même temps: qu’unerégulation du rythme de la synthèse; et dans le cas d’ondesd’échelle en opposition de phase par une diminution de cetaux. [Ainsi qu’on pourra le noter, les potentielsmicrophoniques précédant, dans le nérf’ auditif, la naissancedes influx nerveux proprement- dits Ccf. P. Buser et M.Imbert, Audition, Hermann éditeur, Paris 1987), le mécanismeinvoqué ici rte sollicite pas, â ce stade, l’analyse cérébralede ces influx!. Chez les plantes, la sensibilité <mécanique)aux sons est bien visible notamment par interférométrie —et l'onde d'échelle fonctionne en théorie 35 010113 6 de façon analogue.In the case of animals with a nervous system, it seems that at least in vertebrates, or "microphonic potentials" faithfully reproducing the applied waveform have been observed). The following description of these phenomena: 1 Onde sound is transformed from the auditory nerve into electromagnetic pulses of the same frequency: these, by virtue of the scale invariance of the scale-wave equations applied to the photon <generalizing the Maxwell equations), then act directly, by resonance scale, on their quantum transitions, the associated quantum amplitudes having their square proportional to the number of proteins synthesized simultaneously, the phenomenon of resonance will be translated, in the case of scale waves in step, by an increase of the rate at the same time: unregulation the rhythm of synthesis, and in the case of scale waves in phase opposition by a diminution of cetaux [As we shall note, the microphonic potentials preceding, in the auditory nerve, the birth of the nerve impulses properly so called Cf. P. Buser and M. Ambert, Audition, Hermann publisher, Paris 1987), the mechanism invoked here does not require, at this stage, the cerebral analysis of these influxes. In plants, the (mechanical) sensitivity to sounds is clearly visible, especially by interferometry, and the scale wave functions in theory in a similar manner.

La solution de l’équation des ondes d’échelle, quientraîne effectivement l’existence d’ondes d’échelle ayantune portée de l’ordre du nombre d’Avogadro (comme c’est le 5 cas pour les transpositions mentionnées ci-dessus), amène àprévoir en outre des propriétés similaires pour les ondesd’échelle issues de la répartition spatiale des acides aminés(dont la longueur d’onde broglienne est alors du même ordreque leur taille) dans la protéine une -Fois synthétisée, avec 10 une portée cette Fois-ci de l’ordre de la racine carrée de cenombre: l’examen de leurs structures tertiaires confirmel’existence d’hatmonies de fréquences vibratoires entreacides aminés spatialement voisins dans les protéines (etparticuliérement a leur surface, comme on peut s’attendre 15 d’après leur longueur d’onde), en même temps que nous avonseffectivement pu observer, à l’aide des transpositionscolorées de ces fréquences, une stabilisation sensible deseffets obtenus'grâce aux transpositions musicales.The solution of the scale wave equation, which effectively implies the existence of scale waves with a range of the order of the Avogadro number (as is the case for the transpositions mentioned above) In addition, it is necessary to provide similar properties for the scale waves resulting from the spatial distribution of the amino acids (whose broglio wavelength is then of the same order as their size) in the protein which is synthesized. These are of the order of the square root of a cenum: the examination of their tertiary structures confirms the existence of spatially adjacent amino acid vibratory frequency frequencies in the proteins (and particularly at their surface, as can be expected 15 according to their wavelength), at the same time that we have been able to observe, with the help of the colored transpositions of these frequencies, a significant stabilization of the effects thanks to the musical transpositions.

La présente invention découle de ces observations. 20 II. Pour le décodage des protéines, on procède ainsi; 1. On détermine La s-uitp dos fréquences de la façonsuivants: à chaque acide aminé correspond une note de musiquedont la fréquence exacte est obtenue, à partir des fréquences 25 propres des acides aminés à l’état libre (proportionnelles àleurs masses), par minimisation de la distance harmoniqueglobale . P P. loçisup (p. ,q . ) calculée pour l’ensemble descouples de notes possibles, les (p^/q^ ) étant les» intervallesharmoniques globalement les plue proches des rapports de 30 fréquences propres correspondants en tenant compte de leursproportions respectives P^, P^ dans la population environnante des ARN de transfert tout en respectant la condition 6f < Af/2 ou 6f est le déplacement de la fréquence initiale vers sa valeur synchronisée et Af l’écart entre les 35 deux fréquences synchronisées successives de la gamme obtenue 7 qui entourent cette -Fréquence initiale, puis (de Façonanalogue au procédé décrit dans le brevet. français n’ 3302122 du même inventeur) transposition dans le domaine desfréquences audibles. 5 A l’approximation de la gamme tempérée, on obtient de cette façon un code universel pour la stimulation dessynthèses protéiques:The present invention follows from these observations. II. For the decoding of proteins, this is done; 1. The frequency determination is determined by the following: each amino acid corresponds to a musical note whose exact frequency is obtained from the free frequencies of the free amino acids (proportional to their masses), by minimization of the global harmonic distance. P P. loçisup (p., Q.) Computed for the set of possible note splits, the (p ^ / q ^) being the most globally significant harmonic intervals close to the corresponding eigenfrequency ratios taking into account their respectiveproportions. P ^, P ^ in the surrounding population of the transfer RNAs while respecting the condition 6f <Af / 2 or 6f is the displacement of the initial frequency to its synchronized value and Af the difference between the two successive synchronized frequencies of the resulting range 7 which surround this initial frequency, then (analogously to the method described in French Patent No. 3302122 of the same inventor) transposition in the field of audible frequencies. To the approximation of the tempered range, a universal code for the stimulation of protein synthesis is obtained in this way:

Gly = la grave; Ala = do; Ser = mi; Pro, Val, Thr, Cys =fa; Leu, Ile, Asn, Asp = sol; Gin, Lys, Glu, Met = la; His = 1C> si bémol; Phe = s-ι. (ainsi que SeC); Arg, Tyr =» do; Trp = réaigu et un autre pour son inhibition,-'obtenu à partir du précèdent par symétrisâtion des logarithmes des fréquences autour de leur valeur centrale: Trp - do; Arg, Tyr - ré; Phe. SeC = mi bémo1; His = mi; Gin, Lys, Glu, Met = fa; Leu, Ile, Asn, Asp = sol ; Pro, Val, Thr, Cys = la; Ser - si bémol; Ala = ré aigu ; Gly = fa aigu de façon à résulter globalement en des ondes d’échelle respectivement en phase et en ôpposition de phase avec celles 20 qui ont lieu dans le processus de synthèse- (Par codeuniversel, nous entendons ici que ce code est identique pourtoutes les protéines à 1’approximation de la gamme tempérée;le la grave, pour une fréquence centrale située 76 octavesen-dessous du centre de gravité des fréquences initiales de 25 la ieucine, de l’isoleucine et de l’asparagine, est à 220 Hz.La définition de la distance harmonique donnée ci-dessusreprend, en l’explicitant, celle proposée par Y.Hellegouarch,C- R- Math. Rep. Acad. Sci. Canada, vol. 4, p. 277, 1982).Gly = the grave; Ala = do; Ser = mi; Pro, Val, Thr, Cys = fa; Leu, Ile, Asn, Asp = soil; Gin, Lys, Glu, Met = la; His = 1C> if flat; Phe = s-ι. (as well as SeC); Arg, Tyr = "do; Trp = true and another for its inhibition, obtained from the preceding by symmetrization of the logarithms of the frequencies around their central value: Trp - do; Arg, Tyr-re; Phe. SeC = mi b1; His = mi; Gin, Lys, Glu, Met = fa; Leu, Ile, Asn, Asp = soil; Pro, Val, Thr, Cys = la; Ser - if flat; Ala = acute re; Gly = acute fa so as to result globally in scale waves respectively in phase and in phase with those taking place in the synthesis process- (By codeuniversel, we mean here that this code is identical for all the proteins approximately 70 octaves below the center of gravity of the initial frequencies of olein, isoleucine and asparagine, is at 220 Hz. The definition of the harmonic distance given above takes, in the explanation, that proposed by Y. Hellegouarch, C-R-Math, Rep Acad Sci, Canada, vol 4, p 277, 1982).

Plus finement, les valeurs exactes dépendent des. proportions 30 des groupements d:‘ acides aminés ci-dessus dans la populationdes ARN de transfert environnant la biosynthèse de laprotéine, et peuvent être calculées à chaque fois. 2. On détermine la ou leé périodes apparaissant dans lamolécule. 33 L’existence même décès périodes découle directement, comme nous l’avons signalé en I, de celle des ondes lorsqueY, en simple calcul•Finement — en d'échelle. L'indication d’au moins certaines d’entre ellesest usuellement donnée par la présence de cadences manifestes(telles que GG, F--S — c’est-à-dire F suivi peu après de S —ainsi que la cadence de fin du signal peptide 5 celui-ci est présent, en stimulation; suites de R ou inhibition; exceptionnellement, pauses relatives impliquéespar des variations de l’harmonie qui seraient autrement tropbrutales; et dans tous les cas, cadences de retour sur latonique) marquant des ponctuations du développement musical.10 On détermine ensuite plus précisément les passages homologuespar la répétition soit directement de notes (lorsque c’est lecas, la période est donnée par un d'autocorrélation des notes; ou encore plus minimisant les écarts de notes — par le nombre qui minimise15 la moyenne sur la protéine des distances mélodiques à unnombre entier de notes d’écart), soit de mouuements mélodiques (la période est alors donnée par un calculd’autocorrélation des signatures ou signes des variations defréquences d’une note a l’autre; ou plus finement, par un20 calcul d’autocorrélation des distances mélodiques d’une noteà l’autre comptées avec leur signe, i. e. multipliées par lessignatures correspondantes; ou plus finement encore, par lenombre qui minimise la moyenne sur la protéine des variationsde proche en proche des distances mélodiques 25 entier de notes d’écart; la répétition mélodiques étant de son côté précisée par d’autocarrélation des paires, ou mieux encore des triplets designatures), soit encore par la logique du mouvementharmonique qui reproduit les notes ou le mouvement mélodique 30 à une transposition harmonique simple près (octave, quarte ouquinte en général; la période est alors donnée par le nombrequi minimise la moyenne sur la protéine des distancesharmoniques à un nombre entier de notes d’écart). Quelquefoisaussi, lorsqu'un "alignement" de séquences similaires — 35 notamment chez différentes espèces — est disponible, la à un nombredes contours un calcul période apparaît dans les additions ou délétions entrecertaines de ces séquences. Le résultat doit donner uneprogression cohérente mélodiquement et harmoniquement. Ontient compte pour cela du -fait que les dernières notes de 5 chaque période ou membre de phrase — d’une -Façon générale laseconde moitié, et plus particuliérement la dernière note —ainsi que celles qui sont situées sur des temps forts (dontla caractérisation sera précisée au § 4) sont les plus importantes pour cette progression. Le résultat Final est 10 alors le plus significatif (c'est-à-dire que l’on pondère cesdifférents éléments en Fonction de leur importance* relativedans la protéine, et notamment' les distances harmonique etmélodique par le carré du rapport de leurs écarts-typesnormalisés) respectant l’ensemble de ces critères: il en 15 existe généralement un, nettement plus significatif quE· les autres, commedéterminer parmolécules; les et des lorsque l’on chercherepliements spatiauxà l’allostérie existentbiologique (stimulation cela se produitle calcul lescas analogues àcependant., et ont une signification20 ou inhibition par telle molécule ou par telle autre* lors dumétabolisme), mais portent alors plus fréquemment sur laposition des barrés de mesure que sur la période (fonctionmetaboiique différente suivant le contexte par exempleCG-riche ou AT-rlche, les' barres de mesure dépendant cie la25 composition de 1 ADN comme les "arbres de Noël" visibles lorsde certaines synthèses —ΰ cf. 8. Alberts et al.. Biologiemoléculaire de la cellule, 2ë; éd. , trad. fr. Flammarion 1990,p. 539 — en témoignent). 3. On rectifie, le cas échéant, telle ou telle période30 particulière afin que les passages mélodiques en rapport(c’est-à-dire se répétant ou se suivant) se retrouvent à lamême position dans la mesure: on en déduit les curéesindividuelles dess notes. (Cette opération d’ajustement duphrasé à. la mesure est comparable à ce qui se produit dans le 35 phénomène bien connu de l'allongement des voyelles d’un textechanté). 01 0 i J. 3 10More precisely, the exact values depend on the. proportions of the above amino acid groups in the transfer RNA population surrounding the biosynthesis of protein, and can be calculated each time. 2. The period or periods appearing in the molecule are determined. The very existence of death periods derives directly, as we have pointed out in I, from that of the waves when Y, in simple calculus • Finely - in scale. The indication of at least some of them is usually given by the presence of obvious cadences (such as GG, F - S - that is to say F followed shortly after S - as well as the end rate the signal peptide 5 is present, in stimulation, R sequences or inhibition, exceptionally, relative pauses implied by variations in harmony that would otherwise be too gross, and in all cases, rates of return on latonic) marking punctuation of musical development.10 We then more precisely determine the homologous passages by repetition either directly of notes (when it is the case, the period is given by an autocorrelation of the notes, or even more minimizing the differences of notes - by the number which minimizes the protein average of melodic distances to a whole number of difference notes), or melodic movements (the period is then given by a computation of autocorrelation of sig natures or signs of frequency variations from one note to another; or more precisely, by a calculation of autocorrelation of the melodic distances from one note to the other counted with their sign, i. e. multiplied by the corresponding signatures; or more finely still, by the number which minimizes the protein average of the variations of near and far of the whole melodic distances of difference notes; the melodic repetition being, on its side, specified by the autocorrelation of the pairs, or better still, the design triplets), or again by the logic of the harmonic movement which reproduces the notes or the melodic movement 30 to a harmonic transposition which is simple (octave, quart ouquinte) in general, the period is then given by the number that minimizes the protein average of theharmonic distances to an integer of difference scores). Sometimes, too, when an "alignment" of similar sequences - in particular in different species - is available, at a number of contours a period calculation appears in the additions or deletions of some of these sequences. The result must give a coherent progression melodically and harmonically. For this purpose, account must be taken of the fact that the last notes of each period or phrase - of a half-second general lesson, and more particularly the last note - as well as those which are located on high points (whose characterization will be specified in § 4) are the most important for this progression. The final result is then the most significant (that is to say that these different elements are weighted according to their relative importance in the protein, and in particular the harmonic and melodic distances by the square of the ratio of their deviations. standardized types) meeting all these criteria: there is usually one, significantly more significant than the others, to be determined by molecules; and when spatial searches for biological allostery are sought (stimulation is produced by calculating analogs that are analogous to others, and have a meaning or inhibition by one molecule or another * in the case of metabolism), but more frequently they relate to the Measured bars only over the period (different mechanical function depending on the context, for example CG-rich or AT-pin, the measurement bars depending on the composition of 1 DNA as the "Christmas trees" visible during certain syntheses-see FIG. Alberts et al., Molecular Biology of the Cell, 2nd ed., Translation, Flammarion 1990, 539 - testify to this). 3. If necessary, one particular period30 is corrected so that the corresponding melodic passages (that is, repeating or following each other) are found in the same position in the measure: we deduce from them the individual notes. (This adjustment operation of the breath at the measurement is comparable to what occurs in the well-known phenomenon of the lengthening of the vowels of an encased text). 01 0 i J. 3 10

Dans la pratique, les opérations des § 2 et 3s’effectuent le plus aisément à l’aide d’un clavier tel queceux de marque Casio possédant une touche "one key play", oud’un ordinateur programmé similairement à cet effet, danslequel on a préalablement stocké en mémoire la suite desfréquences des notes telles que déterminées au §1, et où l’onfait ensuite défiler la séquence des notes, ce qui permet uncontrôle et un ajustement de ces opérations. Celles-cinécessitent toutefois alors quelques précautions; la prudenceimplique notamment de décoder aussi la même molécule ou unemolécule musicalement homologue, dans le sens inhibiteur (ouen tout cas dans le sens inverse du sens initial), en tenantcompte du fait que? les molécules ont bien souvent un sens dedécodage privilégié: il est fréquent en particulier, pour descouples de molécules exerçant sensiblement la même fonction,que l’une soit plus musicale en inhibition et l’autre enstimulation (c'est, notamment le cas dans le métabolisme del’immunité et de 1’auto-immunité); dans ce cas, la présenceet la distribution des cadences (qui diffèrent en stimulationet en inhibition, cf. § 1) permet normalement de lesreconnaître d’emblée, et de se préserver en conséquence. 4. On vérifie le style rythmicfus par la distribution desbases de l’ADNs d’abord, le cas échéant, par Leursautocorrélations (lorsque, la molécule étant suffisammentmusicale, la période de ces aUtocorrélations correspond àcelle de la protéine; elles déterminent alors en principe lesbarres de mesure, les rangs des triplets de bases — ou plusexactement des bases en troisième position dans ces triplets— pour lesquels les pics d’autocorrélation sont les plusélevés correspondant aux notes lès plus accentuées) puis enutilisant l’usage des codons, par comparaison avec desmolécules connues (déjà décodées, ou plus régulières et doncposant moins de difficultés) ayant le même style rythmiquesupposé: le style de rythme musical (qui, en contraignant1’accentuâtion des notes, influe ainsi sur le choix des basesIn practice, the operations of § 2 and 3s'effect most easily using a keyboard such as those Casio brand having a key "one key play", ora computer programmed similarly for this purpose, in which one has previously stored in memory the sequence of frequencies of the notes as determined in §1, and where it is then scrolled the sequence of notes, allowing a control and adjustment of these operations. Those, however, require some precautions; caution implies, in particular, decoding the same molecule or a musically homologous molecule, in the inhibitory sense (or at least in the opposite sense of the original meaning), taking into account the fact that? the molecules often have a privileged decoding sense: it is frequent in particular, for descouples of molecules exerting essentially the same function, that one is more musical in inhibition and the other one is enstimulation (it is, in particular the case in the metabolism of immunity and autoimmunity); in this case, the presence and distribution of cadences (which differ in stimulation and in inhibition, see § 1) normally makes it possible to recognize them from the outset, and to preserve oneself accordingly. 4. One checks the rhythmic style by the distribution of the bases of the DNA first, if necessary, by their autocorrelations (when, the molecule being sufficientlymusical, the period of these autocorrelations corresponds to that of the protein; they then determine in principle the bars the ranks of the base triplets - or more precisely the bases in third position in these triplets - for which the peaks of autocorrelation are the highest corresponding to the most accentuated notes) then using the use of the codons, by comparison with molecules known (already decoded, or more regular and thus posing fewer difficulties) having the same rhythmic style required: the style of musical rhythm (which, by constraining the accentuation of the notes, thus influences the choice of the bases

Nil 3 11 vau moins des codons,avoir (très cas en troisième position) déterminantapproximâtivement· de façon univoque cet usagedes molécules de même style doivent donc ,sensiblement > le même usage des codons. On rectifie le5 échéant lorreiativement le décodage de certains passages. 5. Gn cherche alors à déterminer le timbre. Celui-ci esten principe distinct pour chaque molécule, et en tout caspour chaque répartition des notes. En théorie il dépendprincipalement de la molécule elle-même, mais il dépend aussi10 de chacun des niveaux de l’organisme, qui rétroagissent surla structure harmonique des acides aminés. Une première.approche en est fournie par 1'ajustement de la répartitiondes notes de la molécule à la courbe théorique de cetterépa it ion te 1 ï u qu’elle peut se déduire de l’équation des15 ondes d’échelle, et qui correspond à ce que l’on observe enmoyenne sur l'ensemble des protéines), d’où l’on déduit(comme dans le brevet français n“ 83 02122) quels narmoniquessont amplifiés et lesquels sont atténués; dans le timbrerecherché; on sélectionne alors le timbre le plus approchant20 dans une palette de timbres naturels donnés; à priori (tellequ’une mémoire de· voix pour échanti 11 onneurs, ou comme on entrouva déjà, incluses dans de nombreux expandeurs et logicielsmusicaux1. Ceci impi?.que plus précisément de distinguer troissituations: réoai t.ition des notes constante le long de la25 molécule ion a alors une structure harmonique relativementfixe); variations brutales de répartition (on a alorsplusieurs timbres d’instruments successifs, par exemplecytochrome C avec plusîèùrs registres d’orgue); variationsprogressives de répartition (celle-ci reproduit alors30' l’évolution de la structure harmonique d’une seule noie dansle temps, par exemple myosine où cette évolution indique trèsnettement un timbre de trompette). D autre part, la détermination du tempo ne pose enprincipe pas de réel problème au technicien, dans la mesure35 où il découle normalement du style rythmique déterminé plus 12 haut; il est en général d’autant plus rapide qu’il y ad’importantes redondances dans la séquence protéique, commec’est notamment le cas pour les protéines -Fibreuses. 6. On détermine en-Fin les couleurs par application du5 code, lui aussi universel en première approximation, déduitdes fréquences de vibration des acides aminés individuels àl’aide de la formule (issue de la théorie des ondesd’échelle) u uaArg ch(e^^’'"o^c^b , où /, /o représentent les fréquences propres quantiques associées aux acides aminés 10 comme précédemment et u, v „ celles des couleurs,, les indiceso dénotant les valeurs centrales; ce qui fournit le codesuivant relatif à la stabilisation des protéines synthétiséesin situ (celui relatif à la stabilisation de leur inhibitions’en déduisant comme au § 1 par symétrisation des logarithmes 15 des fréquences par rapport au jaune citron central);Nil 3 11 at least of the codons, having (very much in third position) determining, in an unambiguous way, this use of molecules of the same style must, therefore,> substantially the same use of the codons. The decoding of certain passages is corrected accordingly. 5. Then try to determine the stamp. This is in principle distinct for each molecule, and in any case for each distribution of notes. In theory, it depends mainly on the molecule itself, but it also depends on each of the levels of the organism, which feedback on the harmonic structure of the amino acids. A first approach is provided by the adjustment of the distribution of the notes of the molecule to the theoretical curve of this temperature, which can be deduced from the scale-wave equation, and which corresponds to what is observed in average over all proteins), from which it is deduced (as in French Patent No. 83 02122) which narmoniquess are amplified and which are attenuated; in the stamped market; the nearest stamp20 is selected from a palette of given natural stamps; a priori (such as a memory of voice for samplers, or as it was already included, included in many expanders and softwares.) This impi? oque more precisely to distinguish three situations: reoai tition of notes constant along the ion molecule then has a relatively fixed harmonic structure); sudden variations in distribution (there were then several stamps of successive instruments, for example Cytochrome C with several organ registers); progressive variations of distribution (this one then reproduces the evolution of the harmonic structure of a single bee in time, for example myosin, where this evolution very indistinctly indicates a trumpet tone). On the other hand, the determination of the tempo does not pose a real problem for the technician, insofar as it follows normally from the rhythmic style determined higher; it is generally all the faster that there are important redundancies in the protein sequence, as is particularly the case for proteins -Fibreuses. 6. The colors are determined by the application of the code, also universal in first approximation, deduced from the vibration frequencies of the individual amino acids using the formula (from the theory of the waves of scale) u uArg ch (e where /, / o represent the quantum eigenfrequencies associated with the amino acids 10 as before and u, v "those of the colors, the indexes denoting the central values; relating to the stabilization of synthesized proteins in situ (that relating to the stabilization of their inhibitions, by deducing, as in § 1, by symmetrization of logarithms of frequencies with respect to central lemon yellow);

Gly = rouge sombre; Ala = vermillon; 3er = orange; Pro,Gly = dark red; Ala = vermilion; 3er = orange; Pro,

Val, Thr, Cys = ocre; Leu, Ile, Asn, Asp = citron; Gin, Glu,Lys, Met = vert; His = émeraude; Phe = bleu; Arg, Tyr =indigo; Trp = violet, 20 ces fréquences étant ensuite décalées vers le rouge ou leviolet en fonction de la répartition globale des fréquencesde la molécule, de façon analogue au timbre précédemment. Lespositions spatiales des couleurs étant alors cellesqu’occupent les acides aminés dans les représentâtions 25 spatiales tridime?nsionnel les des molécules. 30 III. Exemples.Val, Thr, Cys = ocher; Leu, Ile, Asn, Asp = lemon; Gin, Glu, Lys, Met = green; His = emerald; Phe = blue; Arg, Tyr = indigo; Trp = violet, these frequencies being then shifted towards red or yellow depending on the overall distribution of the frequencies of the molecule, in a similar way to the patch previously. The spatial positions of the colors then being those occupied by the amino acids in the spatial three-dimensional representations of the molecules. III. Examples.

On trouvera ci-après quelquesmusicaux et colorés de séquencesexemples comme dans les figures,commodité les codes à une lettre pourGly = G; Ala = A; Ser = S; Pro, Val,respect ivement ; L.eu, Ile, Asn, Asp =Lys, Met = Q, E, K, M; His = H; Phe = exemples de décodagesprotéiques. (Dans cesnous utiliserons parles acides aminés, soitThr, Cys = P, V, T, CL, I, N, D; Gin, Glu,F; Arg, Tyr = R, Y; Trp 010113 13 1) Exemple de protéine régulière de bout en bout. Surles alignements évolutifs d’une protéine particulièrementbien étudiée, le cytochrome C, on remarque une délétionconstante de huit acides aminés (quelquefois sept) chez les 5 protéines animales par rapport aux protéines végétales.L'examen des autocorrélations de notes et de contoursmélodiques confirme cette première indication de valeur de lapériode musicale: si l’on compté en effet le nombre de foisque l’on rencontre la même note, ainsi que le même sens de 10 variation des hauteurs de notes trois fois de suite (le mêmetriplet dé signatures), à un nombre entier k de notes dedistance, on obtient le résultat suivant:The following are some musical and colorful example sequences as in the figures, convenience the one-letter codes for Gly = G; Ala = A; Ser = S; Pro, Val, respectfully; L6, Ile, Asn, Asp = Lys, Met = Q, E, K, M; His = H; Phe = examples ofprotetic decodings. (In these we will use amino acids, either Thr, Cys = P, V, T, CL, I, N, D; Gln, Glu, F; Arg, Tyr = R, Y; Trp 010113 13 1) Example of a regular protein of end to end. On the evolutionary alignments of a particularly well-studied protein, cytochrome C, we note a constant deletion of eight amino acids (sometimes seven) in animal proteins compared with vegetable proteins. The examination of autocorrelations of notes and of melodic contours confirms this first indication of the value of the musical period: if we count the number of times that we meet the same note, as well as the same direction of variation of the pitch of notes three times in a row (the same number of signatures), to an integer number k of resistance scores, we obtain the following result:

Valeurs de k 1 o 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Autocorrélations de notes 19 15 15 20 19 15 17 21 14 17 18 13 15 Autocor. de contours mél. 1 7 4 6 5 10 8 13 5 4 4 4 Total 20 22 19 26 24 25 25 34 19 21 22 17 le pic à k = 8 valant environ 2,5 écarts-types (par rapport àsa valeur au hasard 22,3 ± 4,7 déterminée à partir de larépartition des notes de la molécule); la signification de ce 20 pic étant encore sensiblement renforcée par l’utilisation desdistances mélodiques comme décrit en II 2 (elle dépassenettement 3 écarts-types si l’on .inclut les autocorrélationsd’intervalles mélodiques, en prenant pour définition de ladistance mélodique entre deux notes la valeur absolue de la 25 différence des numéros d’ordre de leurs fréquences tempéréesdans la gamme obtenue en II 1, ordonnées dans le sensascendant — définition qui dérive de la nomenclature usuelleseconde, tierce, etc... pour les notes d’un mode musical:! lepic secondaire à k = 7 devient alors légèrement significatif, 30 correspondant comme nous verrons plus bas à 1*allongementrelatif de la 7ème note qui tend à précéder le retour sur latonique, tandis que celui à k » 4 est renforcé lorsqu’on utilise les distances harmoniques comme décrit en II 2, caril correspond, ainsi que nous le verrons plus loin, à des 35 repliements spatiaux de la molécule). L’examen des cadencesconfirme également cette valeur, de même que celui des 14 homologies internes (ainsi, les cinq dernières notes despremier, deuxième et troisième groupes de 8 -Forment ensembleune superposition harmonique exacte, autrement dit un canon àtrois voix). Plus précisément, ces deux derniers examens 5 amènent à montrer d'abord une plus grande importance relativedes septième (cadence F-S sur la deuxième période) ethuitième (retour a la tonique, la mineur) notes de chaquepériode, cette dernière l'emportant encore sur la précédente(la cadence parFaite SQ à la 16ème note l'emportant sur la 10 cadence F-S qui précède, avec le retour à la tonalitéinitiale); le découpage (le plus économique tenant compte descontraintes précédentes) de la période s'ensuit, six doublescroches, une crache, une noire (à savoir des durées relatives1-1--1 — 1 — 1-1—2-4, avec un rythme en 6:8; cF. Figure 1). On 15 notera la cohérence de la progression mélodique (d’où procèdeprincipalement la régularité observée) en même temps que larichesse de la progression harmonique, la tonalité de lamineur étant assortie de modulations en mi mineur (mesure 2),sol mineur (mesure S), Fa majeur (mesures 3 et 9) notamment. 20 Si l’on examine ensuite la distribution des bases de l’ADN, on constate que les première et septième notes dechaque période Favorisent, .nettement, respectivementl’adénine et la thymine en troisième position, tandis que lestroisième et huitième notes Favorisent dans les mêmes 25 conditions la cytosine et la guanine. Tout en conFirmant ledécoupage précédent pour la période et les durées relativesdes notes (à savoir le Fait que les septième et huitièmenotes ont des durées respectivement double et quadruple de lapremière), ceci montre de plus que dans un milieu AT—riche, 30 les temps Forts vont se trouver sur les première et septièmenotes, et donc lès barres de mesure sur la première, tandisque dans un milieu CG-riche la séquence musicale va démarrersur une anacrouse (temps Forts sur les troisième et huitièmenotes, barre de mesure sur la troisième). On en conclut que 35 la protéine doit avoir, suivant ces milieux, des rôles 15 métaboliques distincts. De -Fait, l’étendue de son actionmétabolique est d’abord attesté» par son degré d’évolutionmusicale (par comparaison avec la séquence de l’Euglènegracile par exemple, par rapport à laquelle, dés les troispremières mesures, on peut observer une amélioration de 56%du niveau Cde régularité! mélodique et de 16% du niveau Cderégularité! harmonique, déPinis à partir de la minimisationdes distances respectiveinent mélodiques et harmoniques entrenotes successives); la recherche des homologies musicalesavec d’autres protéines montre ensuite d’une part unesuperpoeabi1ité avec 1’endozepine, avec un cadre de lecturemusicale compatible avec la barre de mesure sur la premièrenote, et gui est e-F-Fectivement une molécule (légèrement)AT-riche: ce qui permet de préciser un rôle "antidépresseur"pour le cytochrome (et sa musique), par désinhibition de laneurotransmission, le cas échéant; et d’autre part unenchaînement musical (en démarrant alors sur une anacrouse)avec la cytochrome oxydase, qui est e-F-Fect i vement(légèrement) CG-riche, et qui termine la chaîne respiratoire,autre rôle métabolique du cytochrome C qui précède dans cettechaîne la cytochrome oxydase.Values of k 1 o 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Autocorrelations of notes 19 15 15 20 19 15 17 21 14 17 18 13 15 Autocor. outline mel. 1 7 4 6 5 10 8 13 5 4 4 4 Total 20 22 19 26 24 25 25 34 19 21 22 17 the peak at k = 8 equal to about 2.5 standard deviations (in relation to its random value 22.3 ± 4.7 determined from the distribution of the notes of the molecule); the significance of this peak is still substantially enhanced by the use of the melodicdistances as described in II 2 (it exceeds above 3 standard deviations if one includes the autocorrelations of melodic intervals, taking as a definition the melodic resistance between two notes the absolute value of the difference of the order numbers of their temperate frequencies in the range obtained in II 1, ordered in the ascending direction - definition which derives from the usual nomenclatureecond, third, etc ... for the notes of a musical mode : the secondary lepic at k = 7 then becomes slightly significant, corresponding as we shall see below to the elongation of the 7th note which tends to precede the return to laton, whereas that at k '4 is reinforced when using the harmonic distances as described in II 2, caril corresponds, as we will see later, to the spatial folding of the molecule). The examination of cadences also confirms this value, as does that of the 14 internal homologies (thus, the last five notes of the first, second and third groups of 8 -Forment together an exact harmonic superposition, in other words a three-voice canon). Specifically, these last two exams 5 lead to show first of all a greater relative importance of the seventh (cadence FS on the second period) of the fifth (return to the tonic, the minor) notes of each period, the latter still outweighing the previous (cadence byFait SQ at the 16th note outweighing the 10 FS cadence that precedes, with the return to the initial tone); the division (the most economical taking into account the preceding constraints) of the period ensues, six double-hooks, one spits, one black (namely relative durations1-1-1-1-1-2-2-4, with a rate in 6: 8, Figure 1). We note the coherence of the melodic progression (from which proceeds the observed regularity) at the same time as the larichesse of the harmonic progression, the rolling tone being accompanied by modulations in E minor (measure 2), minor ground (measure S) , F major (measures 3 and 9) in particular. If we then examine the distribution of the bases of the DNA, we note that the first and seventh notes of each period favor, respectively, adenine and thymine in third position, while the third and eighth notes Cytosine and guanine are the same conditions. While confirming the preceding cut for the period and the relative durations of the notes (namely the fact that the seventh and eighthmenotes respectively have double and quadruple durations of the first one), this further shows that in an AT-rich medium, 30 the Forte times. will be on the first and seventh peninsulas, and therefore the bars of measure on the first, while in a medium CG-rich the musical sequence will start on an anacrouse (Strong time on the third and eighthmenotes, bar of measure on the third). It is concluded that the protein must have, according to these media, distinct metabolic roles. In fact, the extent of its metabolic action is first attested by its degree of musical evolution (as compared with the sequence of Euglenegracile, for example, with respect to which, from the first three measures, an improvement can be observed 56% of the level of melodic regularity and 16% of the harmonic level, de fi ned from the minimization of the respective melodic and harmonious distances between successive voices); the search for musical homologies with other proteins then shows, on the one hand, a superplaceability with endozepine, with a frame of musical reproduction compatible with the bar of measurement on the first note, and which is eF-Fically a molecule (slightly) AT-rich : which makes it possible to specify an "antidepressant" role for the cytochrome (and its music), by disinhibition of the transmission, if necessary; and on the other hand a musical sequence (thus starting on anacrouse) with cytochrome oxidase, which is eF-effect (slightly) CG-rich, and which terminates the respiratory chain, another metabolic role of cytochrome C which precedes in this leads to cytochrome oxidase.

Pour ce qui est du timbre, la tonalité étant ici en la(mineur), la quasi-absence de la quarte (ré) et la -Faiblesserelative de la quinte (mi) comparée à la nette dominance dela tonique et à l’abondance de l’octave (la grave - lamédium) vont privilégier les harmoniques 1 et 2 au détrimentdes suivants, indiquant un timbre d’orgue, avec en Paît desregistres un peu diPPérents suivant les passages. EînPin lescouleurs se groupent ePPectivement en "taches" colorées surla protéine mature (cP. Pigure 2) avec, comme dans le cas dela musique, de remarquables réponses harmoniques. (A noterque la détermination des couleurs est utile pour confirmer ledécodage musical, dans la mesure où certainesautocorrélations de notes se traduisent non dans la périodemusicale mais dans leè repliements spatiaux de la molécule: i ό il faut donc pouvoir le cas échéant les déduire si l’on veutdéterïiiner par ce moyen les périodes musicales; c’est le casici ou un 'pic" secondaire de ces autocorrélations — k = 4, du à l’hélice a du début notamment, que l’on peut voir sur la5 fiqure 2 — correspond à ces repliements. Inversement ledécodage musical peut ainsi donner des indications sur lastructure spatiale d’une protéine). 2) Exemple de contrôle du décodage d’une protéineprésentant des variations rythmiques. Comme nous venons de le0 voir, le décodage d’une protéine peut être contrôlé àplusieurs niveaux, incluant le décodage de molécules connuespour être métaboliqueutent agonistes, ainsi que la cohérencedes prédictions que l’on peut tirer, sur le plan dumétabolisme, des homologies musicales observées. On peut de5 cette ^açon reconstruire de proche en proche de larges pansdu métabolisme à l’échelle moléculaire. Ceci, ainsi que nousallons le voir. facilite à son tour le décodage: dansl’exemple précédent, la "Formule rythmique" du cytochrome Cpeut être schématisée comme suif 0 I é/S SDVEKGKïK: ï : I IFIMKCSïGs : s I CHTVEfc'GsGs : 5 I , etc...With regard to the timbre, the tonality being here in the (minor), the quasi-absence of the fourth (re) and the -Lessness weakness of the fifth (mi) compared to the clear dominance of the tonic and the abundance of the octave (the bass-lamedium) will favor the harmonics 1 and 2 to the detriment of the following, indicating a timbre of organ, with Prega registers a little diPPeront following passages. Finally, the colors are ePectively grouped in "spots" stained on the mature protein (cP.Pigure 2) with, as in the case of music, remarkable harmonic responses. (Note that the determination of colors is useful to confirm musical decoding, insofar as some autocorrelations of notes are not translated in the periodemusicale but in the spatial foldings of the molecule: i ό it must be possible to deduce if necessary The musical periods are to be analyzed by this means: this is the case where a secondary peak of these autocorrelations - k = 4, due to the a helix of the beginning in particular, which can be seen in FIG. Conversely, musical decoding can thus give indications on the spatial structure of a protein.) 2) Example of control of the decoding of a protein presenting rhythmic variations As we have just seen, the decoding of a protein can to be controlled at several levels, including the decoding of known molecules to be metabolized to agonists, as well as the consistency of predictions that can be to draw, in terms of metabolism, the musical homologies observed. In this way one can gradually reconstruct large areas of metabolism at the molecular level. This, as we will see it. In turn, the cytochrome C "rhythmic formula" can be schematized as follows:

I - -4- 4· 4· 4~ 4* *4 4- 4- 4· 4· 4· 4· 4· 4* .qnant les temps forts et les + +· .es - soulignant .es temps rorts et i.es j indiquant lesposition? des oarres de mesure, tandis que les : représententl’allongement des notes. four la sous-unité III de la cytochrome oxydase, quis’enchaîne musicalement avec le cytochrome C, le début est au c anime 1 esnotes contraire clairement une formule à quatre tempshomologies internes le font voir simplement (ainsi les7 à 22, qui rappellent par leur contour la manière de Bach,se partagent en groupes dé quatre notes superposables chacun avei suivant), retrouve une mesure non seu1ementla première mesure la dixième mesure, on superposable sur tous ses temps forts à du cytochrome C, mais en fait même pratiquement identique à la troisième du même cytochrome.Ceci implique un allongement de la mesure, dès la huitième(comme la cadence présente à la fin de cette mesure le signaledéjà 010113 17 d’elle-même) en mesure à six temps (Fig.l): |4/a MTHQSHAY|HMVKPSPW|PLTGALSA | LLMTSGLA) + + +·++ + + ++ + + ++ + + + MWFHFHSM| TLLMLGLL| TNTLTMYGjJ 6/8 WWRDVTR: î ï : ï | + + + + + + + + + + + + + + + + + +ESTYOGHï Hï î : | TPPVQKGs s s s s || + + ++ + ++ + + + + + 5 Ce changement de rythme (de 4/8 en 6/8) est également bienvisible dans les êiutocorrélat ions de bases de l’ADN, où lepic proéminent passe, à cet endroit, du quatrième au sixièmetriplet de bases (et bien que le rythme ternaire des bases,qui domine habituellement les autocorrélations ce bases des O parties codantes de l’ADN, soit ici un peu moins marqué).(Sur la Figure 1, on a Fait démarrer la séquence sur une .anacrouse, accentuant ainsi comme indiqué plus haut le tempsFort sur la troisième note, en vue de l’enchaînement avec lavariante rythmique en milieu CG-riche du cytochrome C). 5 3) Exemple de reconstitution de chaîne métabolique incluant stimulations et inhibitions. Donnons un autreexemple de reconstitution, de proche en proche, de chaînemétabolique. Le décodage de l’histone 4 est part icul ièreinentaisé: la périodicité de 7 est clairement. visible sur la :? séquence au début de la molécule, les G répétés à deux acides amines d’intervalle indiquent un rythme binaire, et les cadences G-G qui terminent les deux premières périodes précisent d’emblée un rythme à quatre temps: < ]SGRGKGG;|KGLGKGG:j; + + + ++ + + + 5 ce découpage se poursuit jusqu’à la Fin de la séquence, avecla seule exception de la dernière mesure qui est syncopéeafin de retrouver par homologie interne la rythmique des deuxpremières mesures (Fig.3). La répartition globale des notesindique une structure harmonique correspondant à un timbre de O Flûte, et les "sauts de notes" répétés du début, quisuggèrent un son comportant une attaque, permettent même depréciser un timbre de type Flûte de pan. L’histone 4 est une des protéines les plus conservées detout le règne animal et végétal. Ce qui ne veut pas dire que 18 et transi posédébut de la son action métabolique, manifestement essentielle, n’aiebesoin parfois d’être tempérée: ainsi le thème de ses deuxpremières mesures se retrouve, en inhibition d'une quarte, dans la partie conservée du chalcone synthase, enzyme de pigmentation de nombreusesplantes à fleurs (fig.3). Ceci peut être rapproché du rôlesupposé de la chromatine, dont l’histone 4 fait partie, dansla fixation du magnésium: au printemps, les plantes ontbesoin de beaucoup de magnésium (pour la photosynthèse) et safixation a besoin d’être stimulée (y compris par les chantsd’oiseaux qu’évoque le thème de cette molécule); la chalconesynthase est alors inhibée; tandis qu’à l’automne, la la des on la stimulation plus faible de l’histone va désinhiberchalcone synthase et permettre le remplacement du vertfeuilles par les vives couleurs de cette saison, dontcomprend mieux ainsi, de par leur composante épigénétique,variété tant chantée des poètes.I - -4- 4 · 4 · 4 ~ 4 * * 4 4- 4- 4 · 4 · 4 · 4 · 4 · 4 * .given the highlights and + + · .es - highlighting the time spent and i.es j indicating theposition? measurement bars, while the: represent the lengthening of the notes. For subunit III of cytochrome oxidase, which connects musically with cytochrome C, the beginning is at the same time as the esototes, contrary clearly to a formula with four internal time histologies (see also 7 to 22, which recall by their Outline Bach's way, are divided into groups of four superimposable notes each avei next), found a measure not only the first measure the tenth measure, it is superimposed on all its strong beats to cytochrome C, but in fact almost identical to the third of the same cytochrome.This implies an extension of the measurement, as early as the eighth (as the cadence present at the end of this measurement the signal already 010113 17 itself) in six-time measurement (Fig.l): | 4 / a MTHQSHAY | HMVKPSPW | PLTGALSA | LLMTSGLA) + + + · ++ + + ++ + + ++ + + + MWFHFHSM | TLLMLGLL | TNTLTMYGJJ 6/8 WWRDVTR: ï: ï | + + + + + + + + + + + + + + + + + + ESTYOGHï Hï î: | TPPVQKGs s s s s || + + ++ + ++ + + + + + 5 This change in rhythm (from 4/8 to 6/8) is also visible in the basic autocodelings of DNA, where the prominent pin passes here. from the fourth to the sixth base (and although the ternary rhythm of the bases, which usually dominates the autocorrelations on this base of the coding parts of the DNA, here is a little less marked). (In Figure 1, we started the sequence on an anacrouse, thus accentuating as indicated above the timeFort on the third note, with a view to sequencing with rhythmic lavariante in CG-rich medium of cytochrome C). 3) Example of metabolic chain reconstitution including stimulations and inhibitions. Let us give another example of reconstitution, step by step, of the metabolic chain. The decoding of histone 4 is particularly important: the periodicity of 7 is clearly. visible on the:? sequence at the beginning of the molecule, the repeated G-amino acids at intervals indicate a binary rhythm, and the GG rates that end the first two periods immediately specify a four-beat rhythm: <] SGRGKGG; | KGLGKGG: j ; + + + ++ + + + 5 This division continues until the end of the sequence, with the only exception of the last measure which is syncopated in order to find by internal homology the rhythm of the first two measures (Fig.3). The overall distribution of notes indicates a harmonic structure corresponding to a timbre of O Flute, and the "jumps of notes" repeated from the beginning, which implied a sound with an attack, even allow to specify a timbre of the type Flute of pan. Histone 4 is one of the most conserved proteins in all animal and plant kingdoms. This does not mean that the transient action of the metabolic action, obviously essential, sometimes needs to be tempered: thus the theme of its first two measures is found, in inhibition of a fourth, in the conserved part. chalcone synthase, enzyme of pigmentation of many flowering plants (fig.3). This can be compared to the role of chromatin, of which histone 4 is a part, in the fixation of magnesium: in the spring, plants need a lot of magnesium (for photosynthesis) and safixation needs to be stimulated (including by the songs of birds that evokes the theme of this molecule); chalconesynthase is then inhibited; while in autumn, the weaker stimulation of the histone will disinhiberchalcone synthase and allow the replacement of the green leaves by the bright colors of this season, which understands better so, by their epigenetic component, so much sung variety poets.

De fait, en écoutant la transposition sonore del’histone 4, les auditeurs ont rapporté à plusieurs reprisesune "envie de manger du chocolat1*, qui contient du magnésium(certains ont même signalé "cela fait un peu l’effet dumagnésium en granulés, sauf que cet effet est ici immédiat”).Ce qui, peut—on faire remarquer, présente des inconvénientspour des personnes ayant un taux de cholestérol un peu tropélevé. Et. de fait, le, décodage musical de la chalconeisomérase, métaboliquement agoniste de la chalcone synthase,mais qui "fonctionne mieux” musicalement en stimulation,comporte une suite dë thèmes et variations dont la successionchez les plantes à fleurs reproduit les thèmes de toute lachaîne métabolique de régulation du cholestérol cher. l’hametl’écoute de cet antagoniste "âu deuxième degré" de l’histone4 permettra ainsi (selon une méthode généralement applicabledans ce type de situation) de corriger éventuellement l’eïffetsecondaire signalé. En outre la fréquence des quartesascendantes chez la chalcone isomérase tend à se rapprocherde celle que l’on observe chez la myosine chaîne létgère 010113 19 alcali des mammifères, qui stimule la contraction musculaire(tandis que le magnésium agit comme on le sait commedécontractant musculaire). Son écoute aura ainsi égalementpour effet de pousser à l’exercice physique, autre moyen bien connu d’aider laexemple soulignequasi-général, à régulation du cholestérol. Ce dernier en fait l’importancesavoir la coopération différents facteurs dans la stimulation de d’un phénomèneépigénétique dela synthèse des protéines, qui rend notamment compte de l’aspect sémantique10 ou informatif par lui-même des séquences musicales: il en estainsi de l’évocation, par l’écoute de la myosine, de marches militaires par exemple. 4) Exemple d’analyse biocftlmïgne d’une coopérationépigénétique faisant intervenir des superpositions15 harmoniques. L’analyse biochimique-, lorsqu’elle est possible,de ces coopérations épigénétiques peut encore constituer uneaide précieuse au décodage. Ainsi, un autre moyen bien connude stimuler épigénétiquement la décontraction musculaire estla chaleur, dont l’action bienfaisante sur les rhumatismes20 par exemple est bien connue. L'action de la chaleur estmédiée par un groupe de protéines dites heat shoch., engénéral synthétisées ensemble. Ceci suggère que l’on devraity trouver des superpositions harmoniques: et hsp27, qui est apparemment la plus musicale, 25 avec le début de la hsp7O, la plus abondante, qui joue ici un peu le rôle d’une ligne de basse. Ces deux molécules sesuperposent elles-mêmes avec le début de la troponine C, quirégule le calcium dans la contraction musculaire, et dont onest ainsi amené à prévoir un rôle d’autant plus important30 comme antirhumatismal que son niveau musical est élevé(fiq.4). ïl convient cependant de souligner que bien d’autresmolécules, elles aussi d’un niveau musical élevé etépigénétiquement sensibles, peuvent se trouver impliquéesdans ce type d’affection, depuis la stimulation de la35 prolactine et de la lipotropine beta (précurseur de la de fait, lase superpose υ ι υ ji ι a 20 beta-endorphine) jusqu'à l’inhibition du récepteur del’oestrogène, en passant par l’inhibition des IgE et. del’interleukine 1 beta.In fact, listening to the sound transposition of Histone 4, listeners have repeatedly reported a "desire to eat chocolate1 *, which contains magnesium (some have even reported" this is a little effect of magnesium granules except This effect is immediate here. ") Which, it may be pointed out, has disadvantages for people with a slightly elevated cholesterol level. And, in fact, the musical decoding of the chalcone isomerase, metabolically agonist of the chalcone synthase, but which "works better" musically in stimulation, involves a succession of themes and variations whose succession to the flowering plants reproduces the themes of any chain. Therefore, listening to this "second-degree" antagonist of histone4 will allow (according to a generally applicable method in this type of situation) to possibly correct the reported secondary effect. The fourth-order ascendancy in chalcone isomerase tends to be similar to that observed in myosin, a lethal chain of mammalian alkali, which stimulates muscle contraction (while magnesium acts as it is known to be a muscular contrainducer). effect of pushing for physical exercise, another well-known way to help the example emphasizes the general as well as the regulation of cholesterol. The latter makes the importance of cooperation different factors in the stimulation of an epigenetic phenomenon of protein synthesis, which notably accounts for the semantic aspect10 or informative itself of the musical sequences: it is also evocation by listening to myosin, military marches for example. 4) Example of a biocidal analysis of epigenetic cooperation involving harmonic superpositions. Biochemical analysis, where possible, of these epigenetic interactions may still be a valuable aid to decoding. Thus, another well-known means of stimulating muscular decontraction epigenetically is heat, the beneficial effect of which on rheumatism, for example, is well known. The action of heat is mediated by a group of so-called heat shoch proteins, synthesized together. This suggests that one will have to find harmonic overlays: and hsp27, which is apparently the most musical, with the beginning of the hsp7O, the most abundant, which here plays a bit the role of a bass line. These two molecules superimpose themselves with the onset of troponin C, which regulates calcium in muscular contraction, and from which we are thus led to predict a role which is all the more important30 as antirheumatic, since its musical level is high (fiq.4). . It should be emphasized, however, that many other molecules, also of high musical and epigenetically sensitive level, may be involved in this type of condition, since the stimulation of prolactin and beta lipotropin (precursor of de facto lase superimposes a beta-endorphin) until the inhibition of the estrogen receptor, through the inhibition of IgE and. Interleukin 1 beta.

Ces quelques exemples montrent assez clairement comment 5 de larges pans du métabolisme peuvent ainsi être reconstituésde proche en proche, avec de nombreuses façons de vérifier oude contrôler la cohérence des résultats obtenus, et depréciser par là-même les décodages musicaux des protéinesconcernées. Ο IV. Applications.These few examples show clearly how large sections of the metabolism can thus be reconstituted step by step, with many ways of verifying or controlling the coherence of the results obtained, and thus to specify the musical decodings of the proteins concerned. Ο IV. Applications.

Pour les applications, on utilisera les transcriptions soit sous forme de partitions musicales, soit sous formed’enregistrements des séquences musicales obtenues, ainsi quedes représentâtions spatiales colorées des protéines, 5 ensemble ou séparément, sur tout support approprié tel quedisque, disquette, cassette audio ou vidéo, ou supportpapier, tissu ou autre pour les images colorées notamment.For applications, the transcripts will be used either in the form of musical scores, or in the form of recordings of the obtained musical sequences, as well as colored spatial representations of the proteins, together or separately, on any appropriate medium such as disk, floppy disk, audio cassette or video, or supportpaper, fabric or other for colored images in particular.

Les enregistrements des séquences musicales peuvent êtreréalisés a partir des partitions établies comme en II (dont O nous avons donné en III quelques exemples), en utilisantl’une des méthodes évaluées dans B. H. Repp, J. Acoust. Soc.Am. 38, p. 622 (1890); la plus précise de ces méthodes ayantété utilisée lors des exemples d’applications présentés ici. 1.) Dans les domaines agro—al imentaire et textile 5 d’abord, la possibilité de stimuler certaines synthèsesprotéiques bien spécifiques, concernant par exemple lalactation des bovins, la fermentation des levures deboulangerie, le goût sucré de certains fruits, ou des fibresanimales ou végétales (kératine de la laine des moutons, 0 fibroïne du ver a soie, etc...), ainsi que des protéinespropres à certaines plantes officinales; et dans le domaineenvironnemental, par exemple l’assimilation d’effluentsindustriels par végétaux interposés, en stimulant labiosynthése des protéines correspondantes. Nous avons ainsi 5 pu observer, chez une vache à qui étaient donnés à écouter 21 010113 régulièrement pendant 15 jours, au moment de la traite, lesenregistrements des transpositions musicales des séquences enacides aminés de la prolactine, de la lactoglobuline et de lalactalbumine bovines, une diminution d’un -facteur 3 de laquantité relative de petit lait, résultant en un laitfortement enrichi en protéines et un fromage en conséquenceparticulièrement savoureux. De même, chez des tomates à quipériode de croissance, un diversesdiverses52), une Γοη donnait, pendant leurThe recordings of the musical sequences can be made from the partitions established as in II (of which we have given in III some examples), using one of the methods evaluated in B. H. Repp, J. Acoust. Soc.Am. 38, p. 622 (1890); the most accurate of these methods has been used in the sample applications presented here. 1.) In the agro-food and textile fields, first of all, the possibility of stimulating certain specific protein syntheses, for example concerning the lactation of cattle, the fermentation of yeasts in the bakery, the sweet taste of certain fruits, or animal fibers or vegetable (keratin sheep wool, silkworm fibroin, etc ...), as well as proteins proper to certain officinal plants; and in the environmental field, for example the assimilation of industrial effluents by interposed plants, stimulating labiosynthesis of the corresponding proteins. We were able to observe, in a cow to whom were given to listen regularly for 15 days, at the time of the milking, the recordings of the musical transpositions of the amino acid sequences of the prolactin, the lactoglobulin and the bovine lactalbumin, a a decrease in a factor 3 of the relative quantity of whey, resulting in a milk richly enriched in protein and a cheese accordingly particularly tasty. Likewise, in tomatoes with a growing period, a variety of different species, 52), during their

"cocktail” de transpositions musicales de protéinesincluant des inhibiteurs de virus spécifiques,extensines, puis une enzyme de floraison (la LAT protéine de défense antibactérienne dont nous attendionségalement, de par son homologie musicale avec la thaumatine,une amélioration de la teneur en sucre (la P 23), et enfindes inhibiteurs d'enzymes de ramollissement des fruits(pectinesterase et polygalacturonase), nous avons pu observerune nette augmentation de la taille et du nombre des fruits(au total d’un facteur 3,5 environ) en même temps qu’uneamélioration sensible du goût sucré chez une proportionsignificative de celles qui avaient reçu plus particulièrement la P23. Ces résultats remarquables s’assortissent cependant d’un cer.tain nombre de précautions:il existe ainsi des contre-indications à un excès destimulation de la prolactine notamment, qui doivent être biencompte pour les éleveurs qui effectuent pr î s «es en ces qui opérations, en même temps que chez les animaux eux-mêmespeuvent se trouver fragi 1isés. ; Ainsi dans les expériencesbien connues menées en Israël avec des vaches et des musiquesde Mozart — la prolactine bovine comporte de fait, outre un"niveau musical" particulièrement élevé que l’on peut icirepérer de façon mathématiquement simple (à partir desniveaux mélodique et harmonique, cf. III, § 1), des tournures que l'on peut musicologiquementmozartiennes” — le taux depréoccupant: il convient dans un qualifier de "typiquementmammites pouvait paraîtretel cas (que nous avons également pu observer) de compléter l’écoute de la prolactine 22 par celle de l’alpha-1 antitrypsine, à la musicalité elleaussi très élaborée et au métabolisme complémentaire sur cepoint. De même chez les tomates ainsi soumises à des stimuliextérieurs épanouissants pour elles, il -Faut veiller à ne pas 5 arrêter brutalement en cours de cycle."Cocktail" of musical protein transpositionsincluding specific virus inhibitors, extensins, then a blooming enzyme (the LAT antibacterial defense protein we also expected, due to its musical homology with thaumatin, an improvement in the sugar content (the P 23), and strengthened inhibitors of fruit softening enzymes (pectinesterase and polygalacturonase), we observed a marked increase in the size and number of fruits (totaling a factor of about 3.5) at the same time as a significant improvement in sweetness in a significant proportion of those who received more particularly P23.These remarkable results, however, are accompanied by a number of precautions: there are thus contraindications to excessive stimulation of prolactin in particular, which must be well recognized for the farmers who carry out the same operations, at the same time as in animals themselves may be fragile. ; Thus, in the well-known experiments carried out in Israel with cows and Mozart musics, bovine prolactin has in fact, in addition to a particularly high "musical level" that can be mathematically simulated (from the melodic and harmonic levels, cf. III, § 1), turnings that can be musicologically "we can describe the case of" (which we have also been able to observe) to complete the listening of prolactin 22 by that of alpha-1 antitrypsin, with a very elaborate musicality and the complementary metabolism on this point.Similarly in tomatoes thus subjected to stimulants outside fulfilling for them, it must be careful not to stop abruptly during the cycle .

Tels quels cependant, ces résultats donnent déjà une indication des ordres de grandeur que l’on peut obtenir dansce type de conditions, et montrent clairement l’intérêt de1’invention. 10 2) Dans les domaines thérapeutique et préventif, nombreuses sont les affections se manifestant par unefaiblesse métabolique spécifique, et pouvant ainsi êtreprévenues ou combattues efficacement à l’aide des moyensconformes à la présente invention. La longueur minimale d’une 15 séquence musicalement active étant de l’ordre d’un peptidesignal — de quelques acides aminés à quelques dizaines —cette action peut être très rapide et apparaître par exempledéjà au bout de quelques secondes ou quelques minutes.Toutefois, l'intégration complète de l’effet produit, 20 métaboliquement complexe, peut prendre davantage de temps,voire nécéssiter en cas de fort conditionnement culturel., uncertain entraînement initial (correspondant apparemment au"réapprentissage" d'une écoute médiée par les ondes d’échelleprovenant du microphonique cochléaire); mais celui-ci 25 s'effectue en général assez rapidement dans l’intérêtmanifeste des personnes concernées.As such, however, these results already give an indication of the orders of magnitude that can be obtained in this type of conditions, and clearly show the interest of the invention. 2) In the therapeutic and preventive fields, many conditions are manifested by specific metabolic weakness, and can thus be effectively predicted or combated using the means according to the present invention. Since the minimum length of a musically active sequence is of the order of a signal peptide - from a few amino acids to a few tens - this action can be very fast and appear for example after a few seconds or minutes. The complete integration of the metabolically complex product effect may take longer, or even require, in the event of strong cultural conditioning. A certain initial training (apparently corresponding to the "relearning" of a wave-scale-mediated listening cochlear microphonics); but this is generally done fairly quickly in the interest of the persons concerned.

Pour l'emploi responsable du procédé décrit il importedonc de bien connaître le rôle métabolique des moléculesimpliquées. Or c’est bien sûr l’un des intérêts — qui 30 dépasse évidemment le seul cadre thérapeutique dont nousparlons ici —du décodage müsicàl des protéines (ainsi quedes couleurs correspondantes) que de permettre, en repérantsystématiquement les homologies et anti-homologies musicales(et de couleurs) à partir des séquences protéiques c:onnue»s et 35 disponibles dans les banques de données, de repérer ainsi, les 10 9Λ 30 il 1 ü 1 13 23 protéines métaboliquement agonistes et antagonistes d'uneprotéine donnée, dont le degré d’élaboration musicale donnepar ailleurs une indication de l’étendue du rôle métabolique.Le procédé décrit permet donc de préciser des indicationsparticuliéres pour certaines séquences protéiques (comme nousen avons donné plus haut — en III — quelques exemples).For the responsible use of the process described it is important to know the metabolic role of the molecules involved. Now, it is of course one of the interests - which obviously goes beyond the only therapeutic framework of which we discuss here - the muesic decoding of proteins (as well as the corresponding colors) that to allow, by systematically locating homologies and musical anti-homologies (and of colors) from the available protein sequences available in the data banks, thus to identify, for example, the metabolically agonist and antagonist proteins of a given protein, whose degree of Moreover, the method described makes it possible to specify particular indications for certain protein sequences (as we have given above - in III - some examples).

Rappelons à ce propos que l'on rencontre -fréquemmentdans les protéines animales ou végétales, notamment parmi les plus musicales, deschaînes métaboliques -Fragments mélodiqufîs successifs dehumaines. et qu’en conséquence les transpositions actives sur l’homme ne se bornent pas à cellesdes molécules humaines, comme nous en avons également donnédes exemples en I T. I 3. Au contraire, le métabolisme de cesespèces apparaissant en quelque sorte comme plus "spécialisé"vers la production de certaines molécules, ce sont bien lesprotéines "les plus musicales" en général qui seront les plusimportantes pour les applications. Bien entendu, cescorrespondances entre espèces différentes -facilitent encorela délimitation du rôle métabolique, et le décodage? même desséquences protéiques.Let us recall in this connection that we meet frequently in animal or vegetable proteins, especially among the most musical, metabolic chains - successive melodic fragments of human beings. and that consequently active transpositions on man are not confined to those of human molecules, as we have also given examples in I T. 3. On the contrary, the metabolism of these species appearing in a certain way as more "specialized" "towards the production of certain molecules, it is indeed the" most musical "proteins in general that will be the most important for the applications. Of course, these differences between different species make it easier to delimit the metabolic role and to decode? even proteinaceousness.

Il convient d’ailleurs de noter que la musicalité d'unemolécule implique en elle-même que sa stimulationépigénétique !en général) est en principe thérapeutiquement, au -fait de la portée de sesmétaboliques, à son administration directe: le “les plus musicales" sontdirectement la production1'utilisation thérapeutique préférableinteractionss molécules généralement celles dontpar génie génétique, qui en résulte rencontre soit soit des site problèmes, tels que de stabilité, de transport sur led’action, ou plus spéci-Fiquement d’e-f-fets secondaires liés àdes doses devant être beaucoup plus importantes que dansl’organisme pour obtenir des effets comparables, puisque lesondes d’échelle naturellement associées à leur production nesont alors plus présentes. Ceci est bien sûr part icul iëre»mentvrai pour 1 ’ i nh.i b 1.1 i an des protéines, lorsque l’inhibiteur 24 naturel est par exemple beaucoup plus lourd ou simplementlorsque la production a besoin d’être réduite, à un momentdonné <cf. III 3) ou de -Façon systématique.It should also be noted that the musicality of a molecule itself implies that its epigenetic stimulation (in general) is in principle therapeutically, beyond the scope of its metabolites, to its direct administration: the "most musical" Directly the production of therapeutic use preferable interactions between molecules usually those of which by genetic engineering, which results meet either site problems, such as stability, transport on the action, or more specifically specific secondary e-f-fects. at doses which must be much greater than in the organism in order to obtain comparable effects, since the scales of scale naturally associated with their production are no longer present.This is, of course, one of the reasons for the change in for example, when the natural inhibitor is, for example, much heavier or simply need to be reduced, at a given moment <cf. III 3) or systematic.

En-Fin, pour ce qui concerne l’emploi des transcriptionsde séquences protéiques, la rapidité même de leur action peutpermettre, par comparaisons différentielles, notammentbipolaires, de leur effet positif ou négati-F, de préciserlaquelle, dans une situation donnée, est la plus appropriée.EA noter que la possibilité ainsi conférée à chacun de serendre compte par lui-même et très rapidement de l'action deces transcriptions, et la reconnaissance du soi qui enrésulte, ne constituent pas leur moindre intérêt!. Cetteidentification peut être elle-même -Facilitée par lacomparaison avec les transcriptions de séquences protéiquesconnues, de phénomènes acoustiques ou électromagnétiquescomportant des suites distinctes de fréquences, et dont deseffets ont pu être observés dans une situation similaire.Finally, as regards the use of transcripts of protein sequences, the very rapidity of their action can make it possible, by differential comparisons, particularly bipolar, of their positive or negative effect, to specify which, in a given situation, is the most important. It should be noted that the possibility thus conferred on each person to serve as a part of himself and very quickly of the action of these transcriptions, and the recognition of the self which ensues, do not constitute their least interest. This identification can itself be facilitated by the comparison with transcriptions of known protein sequences, acoustic or electromagnetic phenomena having distinct frequency sequences, and effects of which may have been observed in a similar situation.

Ainsi que cela ressort de ce qui précède, l’invention nese limite nullement a ceux de ses modes de mise en oeuvre, deréalisation et d’application qui viennent d’être décrits defaçon plus exolicite; elle en embrasse, au contraire, toutesles variantes qui peuvent venir à l’esprit du technicien enla matière, sans s’écarter du cadre, ni de la portée, de laprésente invention.As is apparent from the foregoing, the invention in no way limits those of its modes of implementation, implementation and application which have just been described more exolicitly; it embraces, on the contrary, all the variants that may come to the mind of the technician in the matter, without departing from the scope or scope of the present invention.

Claims

1) A method for producing musical sequences corresponding to the amino acid sequences of the proteins, by decoding and sound transposition of time sequences of 5 quantum vibrations associated with their elongation, in order to regulate epigenetically the biosynthesis of these proteins by resonance of scale, and characterized in that it consists in the succession of the following steps; a) To each amino acid of a given protein, a musical note is associated whose frequency results from the application of a code obtained from the free frequencies of the free amino acids, proportional to their masses, by minimizing the overall harmonic distance between the frequencies of these amino acids for all possible amino acid pairs taking into account their proportion in the surrounding population of the tRansFertRNAs while respecting the condition that the displacement of the initial Frequency towards its synchronized value less than half of the difference between the two synchronized frequencies surrounding this initial Frequency, then transposition of the frequencies thus obtained into the domain of the subject, the code thus obtained being that relating to the stimulation of the biosynthesis of this protein, the coderelative to its inhibition being obtained by symmetrization of the logarithms of the frequencies previously obtained in relation to their central value taken as origin; b) The musical periods are determined by parreperation of the homologated sequences; c) The durations of the scores are then determined by collectively rectifying then individually the periods determined in b) by adjusting the phrasing to the measurement; d) The patch is determined by the feedback of the amino acid ensemble of the overall protein on the harmonic structure of each of them, which is obtained by adjusting the distribution of the 010 protein scores (13-26). the average distribution of these notes for all the proteins, from which we deduce the harmonics that must be raised and those which must be attenuated to obtain the imbue corresponding to the given protein, the musical sequences suitable for regulating the biosynthesis of this protein are thus obtained at the end of this fourth step 2) Code * obtained during step a) of the method according to claim 1, which is specific to the stimulation of protein biosynthesis and universal to the temperate range approximation, consisting of in combination with the different amino acids of; following musical notes: Gly - the bass; Aia = do; Ser - mi; Pro, Val, Thr, Cys = fa; Leu, Ile. Asp, Asn "soil; Gin, Glu, Lily, Met = la; His = sibémol; Phe (and SeC) = if; Arg, Tyr = acute; Trp = acute re. 15 3) Code? obtained during step a) of the method according to claim 1, specific to the inhibition and universal to the temperate range approximation, obtained by taking the notes of the temperate range symmetric of those of the code according to claim 2 with respect to central floor. 4) A method according to claim 1, characterized in that each sound transposition of quantum vibrations associated with the biosynthesis of a given protein iscomplemented by the colored transposition of the quantum vibrations associated with the mature protein when folded spatially on itself, according to a specific code for the stabilization of this protein or the inhibition of sabiosynthesis obtained with the aid of a musical sequence made in accordance with claim 1, which code is deduced ducode obtained during step a) of claim 1 by applying the formula vm v.Argchl ^ //. Logchl, DÙ / i / _ are the Musical Frequencies and y; the frequencies of the colors, the indices denoting the central values. 5) Code; obtained by implementing; the method according to claim 4, which is specific for the stabilization of the proteins stimulated by the musical sequences obtained according to claim 1 by means of the code according to claim 2, consisting of the association with the different amino acids of the following colors: Gly = dark red; Ala = vermilion; Ser = orange; Pro, Val, Thr, Cys = ocher; Leu, Ile, Asn, Asp = lemon; Gin, Glu, Lys, Met = green; His = emerald; Phe = blue; Arg, Tyr = indigo, Trp = violet. 6) Code obtained by implementing the methodaccording to claim 4, which is specific for the stabilization of the inhibition of proteins obtained with the aid of the musical sequences produced according to claim 1 and the ducode according to claim 3, obtained by symmetrization of the logarithms of the lengths of d code wave according to claim 5 relative to the logarithm of the wavelength of the central lemon yellow taken as the origin. 7) Transcriptions in the form of musical scores, color representations, and / or recordings on any suitable medium, of the musical sequences obtained by implementing the method according to claim 1 and / or color transpositions obtained by implementing the method according to claim 4. 9) Application of the method according to at least one of Claims 1 and 4 and codes according to at least one of claims 2, 3, 5 and 6 for agri-food, environmental, textile, therapeutic or preventive purposespar Stimulation and / or inhibition of appropriate vegetable proteic syntheses, obtained by using claim 1 and then stabilization with the aid of the colored compositions obtained by implementing the process according to claim 4. 9) Application of the transcriptions and in particular recordings of musical sequences and / or colored transpositions according to claim 7 to therapeutics and preventive measures, as well as agro-food, environmental and textiles. 10) A method for characterizing the specific sequences suitable for being regulated by means of any one of the transcripts according to claim 7 for applications according to any one of claims 8 and 9, characterized in that delimiting them with the aid of the method according to claim 1 and the codes according to claims 2 and 3, thus showing the musical homologies or antihomologies that they present with other proteins, the harmonic overpositions with other protein melodies, or a combination of these -Factors, from which we deduce theagonisms and metabolic antagonisms that they present with these other proteins. 11) A method according to claim 10, in which characterization according to claim 10, for a givenapplication according to any one of claims8 and. 9, protein sequences suitable for being regulated according to this application are αF-terminated by bipolar di-F-ferentials of the positive eF-Fets obtained by means of transcripts according to claim 7. 12) Process according to claim 10, in which The characterization according to claim 10, for an application according to any one of claims 8 and 9, protein sequences suitable for being regulated envue this application is aF-Finished by identification, by homomic or antihomologic music according to larevendication 10, the proteins involved in the case of positive or negative effects due to or associated with acoustic or electromagnetic phenomena comprising distinct sequences of frequencies. comparisons or negatives