BE1009780A6 - Clavier a capot pour protection de l'encodage du code secret en lieu public. - Google Patents

Abstract

Les claviers non couverts tels que nous les rencontrons dans les activités quotidiennes ne protègent plus assez les utilisateurs contre des regards indiscrets dans les endroits publics comme dans les grands magasins, les guichets automatiques de banques, ou dans les laboratoires à certaines heures. Plusieurs fois en effet, nous avons vu des gens se plaindre des mauvais coups résultant de la perte de leurs cartes de crédit malgré les codes dont ils disposaient. Leurs bourreaux les ont souvent préalablement épiés, jusqu'à la découverte du code secret, lors de l'utilisation souvent dans un lieu où la promiscuité est inévitable, ce qui ne garantit pas une protection fiable. Notre invention propose un clavier couvert d'un capot opaque. Seule la main de l'utilisateur passe sous le capot et compose le mot de passe selon une technique simple pour tous le monde. Le grand avantage de cette technique est que personne ne peut plus découvrir le code de quelqu'un si celui-ci n'est écrit nul part comme il est souvent conseillé.

Description

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  Clavier à capot pour protection de l'encodas du code secret en lieu public L'invention concerne un clavier disposant d'un capot de façon à empêcher ses non utilisateurs de voir, de quelque manière que ce soit, le code secret saisi par son utilisateur dont les mains sont couvertes lors de l'encodage. Pour permettre à l'utilisateur de former la suite des caractères désirée qui compose son code, seul ses doigts seront utiles plutôt que ses yeux. Cette technique empêchera bien quiconque, malgré une éventuelle promiscuité, d'être fortuitement en possession d'un code d'autrui. 



  L'invention se situe dans le domaine de la sécurité dans l'utilisation des matériels et dispositifs informatiques ou électroniques. 



  Les claviers des terminaux actuels sont découverts et contiennent des touches marquées des caractères, chiffre, lettre ou caractères spéciaux, qui permettent la composition d'un mot donnée par pression d'une suite des touches des caractères appropriés ; c'est-à-dire dont la concaténation forme le mot voulu. Tous les claviers actuels se présentent sous cette forme qui présente beaucoup d'avantages, notamment la garantie de taper rapidement le code correct. Cette forme pose néanmoins un problème de discrétion sur les terminaux nécessitant l'encodage des codes secrets. On a vu plusieurs cas des personnes épiées devant les terminaux de banques ou dans les magasins pourvus des terminaux de paiement électronique, sans possibilité de cacher l'encodage de leur mot de passe aux heures où il y a de longues files devant les guichets automatiques. 



  Le but de notre invention est de remédier à ces inconvénients. L'invention telle qu'elle est caractérisée dans les revendications, résout le problème en disposant le clavier d'un dispositif qui recouvre la main lors de la saisie du code, c'est-à-dire que les touches du claviers sont recouvertes d'un capot opaque avec un espace suffisant, permettant à la main de l'utilisateur de passer en dessous du capot lors de l'encodage du code, de telle sorte que, même ses yeux ne puissent en apercevoir la composition. Cette technique apporte à l'utilisateur une protection maximale face aux éventuels curieux.

   Une autre caractéristique complémentaire qui dispense de la vue consiste en la manière de former le code chaque 

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 chiffre n sera respectivement composé par m répétitions de pression de touches généralement quelconques du clavier suivies d'une validation. 



  Les avantages obtenus grâce à cette invention consistent essentiellement en ceci qu'un utilisateur est totalement protégé pendant qu'il forme son mot de passe. Celui ci est au bout de sa main et ne transite plus par ses yeux. 



  L'invention est détaillée comme suit selon un procédé de fabrication et de fonctionnement : 1. La face supérieure du clavier est recouverte d'un élément opaque (1), amovible ou non, qui cache les touches (2) lors de la composition du code secret, offrant un espace assez large pour permettre le passage de la main de l'utilisateur. 



  2. Soit il, i2,..., in les n caractères (chiffres) formant le code ili2... in. La main sous le couvert du clavier pressera respectivement il, i2,..., in fois les touches (2). Chaque série de pressions sera terminée par une pression d'une touche validation (3) ou d'une touche annulation (4) qui ne sont pas nécessairement cachées. 



  3. Une variante de ce système peut prévoir qu'un caractère ij précis du mot de passe soit formé en pressant ij fois la touche j correspondante dans un ensemble ordonné de touche. Comme conséquence à ce principe, la séquence dans la pression des touches n'est plus obligatoire, ce qui renforce la sécurité.

Claims (2)

1. Revendications 1 Un clavier à touches utilisé pour l'encodage des codes secrets caractérisée en ce qu'une partie ou la totalité des touches sont recouvertes par un élément opaque (l) permettant de cacher la composition du mot de passe à quiconque serait à proximité de l'utilisateur ou utilisant des méthodes de rapprochement de la vue comme les loupes.
2. 2. Un clavier selon la revendication 1, sur lequel les touches (2) utilisées pour former n'importe quel mot de passe sont cachées et aléatoires. Un caractère est obtenu par un nombre fini de pressions d'une ou de plusieurs de ces touches (2) suivi d'une pression de la touche de validation (3) ou d'annulation (4) en cas d'erreur.