FR3076810A1 - Systeme de fixation d'une chaussure sur un repose-pied d'un bateau d'aviron et repose-pied associe - Google Patents

Systeme de fixation d'une chaussure sur un repose-pied d'un bateau d'aviron et repose-pied associe Download PDF

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Abstract

L'invention se rapporte à un système de fixation (100) d'une chaussure sur un repose-pied (1) d'un bateau d'aviron, ladite chaussure possédant une semelle. Selon l'invention, un tel système de fixation comprend un dispositif d'accrochage de la chaussure au repose-pied (1), fondé sur le déploiement d'éléments de fixation (105) dans un évidement de la semelle de ladite chaussure afin de maintenir efficacement la chaussure contre le repose-pied (1) pendant la pratique de l'aviron. Le dispositif d'accrochage peut être désactivé de façon volontaire pour désolidariser la chaussure du repose-pied (1), au moyen d'une pression sur un bouton-poussoir (201) accessible par le pratiquant qui est assis dans le bateau. Ce dispositif d'accrochage présente la particularité de pouvoir être automatiquement désactivé, dans le cas d'un retournement accidentel du bateau, pour permettre au pratiquant de pouvoir s'extirper librement du bateau et ainsi réduire les risques de noyade.

Description

SYSTEME DE FIXATION D’UNE CHAUSSURE SUR UN REPOSE-PI ED D’UN BATEAU D’AVI RON ET REPOSE-PI ED ASSOCI E
L’invention se rapporte à un système de fixation d’une chaussure sur un repose-pied d’un bateau d’aviron et au repose-pied associé. Généralement, un individu pratiquant l’aviron dans un bateau, est assis sur un siège, qui est mobile en translation selon un axe longitudinal de ce bateau. L’individu porte des chaussures, qui sont fixées sur un repose-pied, de manière à ce que ses pieds ne puissent pas glisser sur ledit repose-pied durant la pratique de cette activité.
Les systèmes de fixations d’une chaussure sur un repose-pied de bateau d’aviron existent et ont déjà fait l’objet de brevets. On peut, par exemple, citer la demande de brevet US2012/0234226, qui se rapporte à un tel système de fixation, et dont la particularité est de pouvoir ajuster les mouvements latéraux de la chaussure sur le repose-pied du bateau d’aviron. Or, si ce système de fixation présente de bonnes performances en matière de liaison de la chaussure sur le repose-pied, il possède néanmoins un faible niveau de sécurité.
En effet, dans une situation idéale, un système de fixation d’une chaussure sur un repose-pied de bateau d’aviron, doit présenter deux caractéristiques essentielles :
- assurer une fixation solide de la chaussure sur le repose-pied, de manière à éviter que la chaussure ne se désolidarise facilement dudit reposepied, dès que le pratiquant exerce la moindre pression ou tension avec son pied,
-permettre une désolidarisation instantanée et aisée de la chaussure dudit repose-pied, dans le cas d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron, de façon à permettre à un individu de s’extirper facilement dudit bateau.
Un système de fixation selon l’invention est facile et rapide d’utilisation, tout en possédant un niveau de sécurité élevé vis-à-vis d’un pratiquant, notamment lors d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron.
L’invention a pour objet un système de fixation d’une chaussure sur un repose-pied d’un bateau d’aviron, ladite chaussure possédant une semelle.
Selon l’invention, un tel système comprend un dispositif d’accrochage de la chaussure au repose-pied, comportant un bouton de déclenchement possédant une excroissance centrale, une bague relais montée mobile en rotation, une embase saillante dans laquelle est logée et saille ladite bague, des éléments de verrouillage et des éléments de fixation indépendants, ledit bouton de déclenchement étant monté coulissant autour de l’embase saillante de sorte que l’excroissance se retrouve à l’intérieur de la bague relais, la semelle possédant un évidement doté d’un fond et destiné à venir autour du bouton de déclenchement, une pression exercée par le fond de l’évidement sur le bouton de déclenchement entraînant un déplacement en translation de celui-ci se traduisant par une mise en rotation de la bague grâce à la présence de reliefs complémentaires présents sur une surface externe de l’excroissance et sur une surface interne de la bague, provoquant une activation des éléments de verrouillage initialement placés entre la bague et l’embase saillante et une mise en saillie des éléments de fixation hors du bouton de déclenchement, lesdits éléments de fixation étant initialement placés sous ledit bouton de déclenchement et au-dessus de la bague et de l’embase saillante. Dans une position de repos, la bague émerge de l’embase saillante, préférentiellement au moyen d’un élément de rappel précontraint de type ressort. Lorsqu’un pratiquant place son pied sur le repose-pied de manière à faire pénétrer le bouton de déclenchement dans l’évidement de la semelle de sa chaussure, il provoque donc une translation de l’excroissance qui, en interagissant avec la bague relais, va engendrer une rotation de ladite bague relais. Cette mise en rotation de la bague est due à la présence de reliefs sur l’excroissance interagissant avec des reliefs complémentaires de ladite bague. Ce mouvement en rotation de la bague saillante va générer simultanément une activation des éléments de verrouillage. De façon concomitante, la mise en translation du bouton de déclenchement va générer simultanément une activation des éléments de fixation. La chaussure va donc se retrouver fixer sur le repose-pied grâce aux éléments de fixation, sans possibilité d’être désolidarisée dudit repose-pieds au moyen d’un simple retrait sans effort. Les éléments de fixation peuvent être constituées par tout type de pièces susceptibles de saillir latéralement du bouton de déclenchement, comme par exemple des pions ou des goujons. Une fois que les éléments de fixation ont ainsi été déployés dans l’évidement de la semelle de la chaussure sous l’action de l’enfoncement du bouton déclencheur, ils jouent le rôle d’organes d’accrochage empêchant la chaussure d’être désolidarisée du repose-pied. Les moyens de verrouillage sont préférentiellement insérés entre la bague relais et l’embase saillante. Ils viennent chacun occuper un logement avantageusement réalisé dans une surface interne de ladite embase saillante, afin d’empêcher le bouton déclencheur de remonter. Ces éléments de verrouillage peuvent par exemple être constitués de billes sphériques. Un retrait normal de la chaussure du repose-pied dans le cas d’un arrêt de l’activité d’aviron, s’effectue au moyen d’un organe de commande apte à provoquer une mise en rotation en sens inverse de la bague relais afin de désactiver les éléments de verrouillage et les moyens de fixation.
Avantageusement, les éléments de verrouillage sont des billes sphériques placées entre la bague relais et l’embase saillante, l’embase saillante disposant de premiers trous traversants et le bouton de déclenchement disposant de trous borgnes, une mise en rotation de la bague faisant passer chaque bille d’une position rentrée à une position déployée pour laquelle elle saille du premier trou pour pénétrer dans un trou borgne afin de bloquer le bouton de déclenchement relativement à ladite embase saillante.
De façon préférentielle, le mouvement de chaque bille sphérique pour passer d’une position rentrée à une position déployée est un mouvement en translation s’effectuant radialement par rapport à l’embase saillante.
Préférentiellement, la bague relais et l’embase saillante sont des parois cylindriques concentriques, l’embase saillante comprenant quatre premiers trous et le système de fixation comprenant quatre billes sphériques. De façon avantageuse, les quatre trous sont répartis de façon homogène autour de la circonférence de l’embase saillante.
De façon avantageuse, chaque élément de fixation est une pièce possédant un tronçon fin et un tronçon élargi, le bouton de déclenchement disposant de deuxièmes trous dont les dimensions sont supérieures à celles du tronçon fin et inférieures à celles du tronçon élargi, une pression sur le bouton de déclenchement faisant passer les éléments de fixation d’une position rentrée au-dessus de l’embase saillante à une position déployée pour laquelle le tronçon fin saille dudit deuxième trou vers l’extérieur du bouton de déclenchement. De cette manière, chaque élément de fixation se retrouve piégé dans un deuxième trou, la partie élargie retenant l’élément de fixation en l’empêchant de sortir dudit deuxième trou. Préférentiellement, les deuxièmes trous sont des trous traversants. Les éléments de fixation, en émergeant du bouton de déclenchement, se retrouvent déployés dans l’évidement de la semelle, et jouent ainsi le rôle de butées de retenue permettant de maintenir la chaussure sur le repose-pied, sans possibilité d’être retirée sans une action spécifique. Préférentiellement, les éléments de fixation sont de forme compacte, leur longueur étant supérieure à leur largeur, mais étant inférieure ou égale à 1.3 fois ladite largeur.
Avantageusement, chaque élément de fixation est de forme ovoïdale, le tronçon fin étant assimilable à un demi-œuf de petite taille et le tronçon élargi étant assimilable à un demi-œuf de plus grande taille. De cette manière, chaque élément de fixation possède deux extrémités arrondies, l’une correspondant au demi-œuf de petite taille et l’autre au demi-œuf de plus grande taille. Puisque le bouton de déclenchement va s’enfoncer autour de l’embase saillante, les éléments de fixation qui sont insérés entre la bague et l’embase vont avoir tendance à glisser sur les parois de ladite bague et de ladite embase saillante. Des surfaces de contact arrondies entre les éléments de fixation et la bague et/ou l’embase saillante, vont favoriser ce glissement en limitant les surfaces de contact.
De façon préférentielle, le mouvement de chaque élément de fixation pour passer de la position rentrée à la position déployée est un mouvement combiné d’une translation dictée par le déplacement du bouton de déclenchement et d’une translation radiale vers l’extérieur de l’embase saillante, occasionnée par le glissement desdits éléments de fixation sur une paroi en biseau de ladite embase saillante.
Préférentiellement, le bouton d’actionnement dispose de quatre deuxièmes trous et en ce que ledit système dispose de quatre éléments de fixation. De façon avantageuse, les quatre trous sont répartis de façon homogène autour de la circonférence de l’embase saillante.
De façon avantageuse, l’évidement de la semelle de la chaussure est délimité par une paroi latéral cylindrique, ladite paroi cylindrique comprenant une gorge annulaire destinée à recevoir les éléments de fixation lorsqu’ils saillent du bouton de déclenchement.
Avantageusement, la bague est prolongée par au moins une tige, ledit système de fixation comprenant une masselotte destinée à se déplacer par rotation pour venir impacter ladite tige lorsque le repose-pied pivote dans un sens sous l’effet d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron, ladite masselotte étant destinée à imprimer un mouvement de rotation inverse de la bague de déclenchement afin de libérer les éléments de verrouillage et de rentrer les éléments de fixation. De cette manière, les chaussures se désolidarisent automatiquement du repose-pied dès que celui-ci a atteint un angle d’inclinaison significatif, traduisant un chavirage du bateau d’aviron. Préférentiellement, la masselotte se déplace dans un plan qui est perpendiculaire à un axe d’extension de la tige. L’impact de la masselotte sur la tige engendre une mise en rotation inverse de la bague de déclenchement afin d’inactiver les éléments de verrouillage et les éléments de fixation. De façon préférentielle, le mouvement de la masselotte avant d’impacter la bague de déclenchement est en arc-de-cercle. La masselotte est associée à un amortisseur hydraulique rotatif bidirectionnel, l’empêchant de se déplacer lorsque le repose-pied ne dépasse pas un angle d’inclinaison seuil. De cette manière, la masselotte ne risque pas de désolidariser la chaussure alors que le pratiquant est en plein effort dans le bateau d’aviron. Préférentiellement, la masselotte est métallique ou en plastique ou en laiton.
De façon préférentielle, un système de fixation selon l’invention comprend un mécanisme intermédiaire d’inversion du sens de mise en rotation de la bague de déclenchement au moyen d’une action sur au moins l’une desdites tiges, et apte à être déclenché par un impact de la masselotte sous l’effet de son poids lorsque le repose-pied pivote dans l’autre sens, sous l’effet d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron, de façon à permettre de libérer les éléments de verrouillage et de rentrer les éléments de fixation même dans l’autre sens de pivotement dudit repose-pied. En effet, si la masselotte en pivotant dans un sens va provoquer une rotation en sens inverse de la bague de déclenchement pour désolidariser la chaussure du repose-pied, elle ne va pas provoquer un pivotement de ladite bague également en sens inverse, si ladite masselotte pivote dans l’autre sens. Le mécanisme intermédiaire, lorsqu’il est impacté par la masselotte qui pivote, réagit en exerçant une poussée sur la tige de la bague de déclenchement, dans un sens pour lequel elle va désolidariser la chaussure du repose-pied.
Avantageusement, la bague est prolongée par deux tiges, et l’embase saillante comprend deux fentes en arc de cercle et diamétralement opposées, ladite bague étant montée dans l’embase saillante au moyen d’une insertion de chaque tige dans une fente. De cette manière, lorsque le système de fixation est dans une position de repos, les deux tiges sont maintenues à une extrémité de chaque fente et lorsque ledit système passe dans une position active de fixation, les deux tiges ont migrés vers une autre extrémité de chaque fente. De cette manière, la longueur de chaque fente va définir l’amplitude de rotation de la bague.
De façon préférentielle, la masselotte est associée à un dispositif de retenue empêchant ladite masselotte de pivoter par inertie, lorsque l’inclinaison du repose-pied n’a pas atteint un angle seuil prédéterminé.
L’invention a pour autre objet un repose-pied comprenant un cadre sur lequel sont montés deux éléments d’appui séparés, possédant chacun un système de fixation conforme à l’invention, et destinés à recevoir une chaussure d’un pratiquant assis dans ledit bateau, chacun desdits éléments possédant une partie avant et une partie arrière montée sur au moins une tige, la distance entre lesdites deux parties étant réglable le long de ladite au repose-pied est souple d’utilisation, car il permet de s’adapter à la pointure des chaussures d’un pratiquant afin que celui-ci exerce son activité d’aviron dans des conditions optimisées de performance et de confort. Préférentiellement, la tige comprend une série de crans et la partie avant et la partie arrière peuvent être déplacées le long de cette tige, puis figées chacune dans une position grâce à la présence de ces crans. La partie arrière de chaque élément d’appui est destinée à recevoir le talon de la chaussure et la partie avant dudit élément est destinée à recevoir une partie avant de ladite chaussure.
Avantageusement, le cadre sur lequel sont montés les deux éléments d’appui est réglable en largeur afin de s’adapter aux différentes largeurs et architectures de coques de bateaux d’aviron, le cadre possédant des éléments de verrouillage aptes à figer la position dudit cadre correspondant à un écartement dicté par la largeur d’une coque donnée. Grâce à cette possibilité de largeur variable du cadre, le pratiquant pourra ajuster l’écartement de ses chaussures afin d’exercer son activité dans des conditions améliorées de confort. La largeur du cadre est sa dimension selon un axe reliant les deux pieds d’un pratiquant.
De façon préférentielle, l’écartement entre les deux éléments d’appui peut encore être ajusté une fois que les éléments de verrouillage du cadre ont été activés, afin d’obtenir un réglage fin de l’écartement entre lesdits éléments d’appui. En effet, une fois que le cadre a été figé dans une position correspondant à une largeur donnée, le pratiquant peut encore ajuster de façon fine l’écartement de ses pieds sans avoir à modifier la largeur dudit cadre. Autrement dit, le pratiquant possède deux niveaux de réglage de l’écartement de ses pieds, l’un par le biais de la largeur du cadre adaptable aux différentes largeur de coques, et l’autre plus fin une fois que ladite largeur du cadre a été figée. Ce réglage fin, respectant la morphologie du pratiquant, peut par exemple être réalisé au moyen d’une série de crans alignés sur le cadre, chaque élément d’appui pouvant être déplacé le long de ces crans.
Préférentiellement, chacun desdits deux éléments d’appui est monté sur ledit cadre de façon à faire converger ou diverger les deux chaussures sur ledit cadre, au moins l’un desdits deux éléments d’appui étant relié à un dispositif d’orientation et de guidage du bateau d’aviron. Cette possibilité accroît la souplesse d’utilisation du repose-pied. En effet, chaque pratiquant peut avoir des pieds légèrement divergents ou convergents en fonction de sa morphologie. Un repose-pied selon l’invention tient compte de cette singularité morphologique en s’adaptant à l’orientation naturelle des pieds dudit pratiquant. De plus, grâce à cette mobilité en rotation des éléments d’appui, un pratiquant peut faire évoluer le bateau d’aviron dans la direction souhaitée. Avantageusement, en tournant au moins l’un de ses pieds vers la droite, le bateau tourne à droite et en tournant l’un de ses pieds vers la gauche le bateau tourne à gauche.
Les systèmes de fixation selon l’invention présentent l’avantage de posséder une double fonctionnalité, l’une permettant d’assurer une fixation solide de la chaussure lors d’une phase de pratique de l’aviron, et l’autre permettant d’assurer un niveau de sécurité élevé pour un pratiquant d’aviron, en engendrant une désolidarisation instantanée et systématique de ladite chaussure, en cas de chavirage du bateau. De cette manière, une personne en difficulté lors d’un tel chavirage, n’aura aucune action particulière à mener pour libérer ses chaussures du repose-pied, ladite libération étant effectuée automatiquement. Ils ont de plus l’avantage d’être fiables et bien maîtrisés, dans la mesure où ils sont de conception simple et qu’ils font intervenir un nombre limité de pièces. Ils présentent enfin l’avantage d’être d’une masse et d’un encombrement constants, par rapport aux systèmes de fixation déjà existants et qui ne présentent pas cette double fonctionnalité.
On donne ci-après, une description détaillée d’un mode de réalisation préféré d’un système de fixation selon l’invention, en se référant aux figures suivantes :
- La figure 1 est une vue de face d’un repose-pied selon l’invention,
- La figure 2 est une vue en coupe d’un système de fixation selon l’invention, montrant une pièce d’accroche insérée dans une épaisseur de la semelle d’une chaussure d’un pratiquant,
- Les figures 3A et 3B sont deux vues en coupe d’un système de fixation selon l’invention, respectivement dans une position de repos et dans une position active de fixation,
- Les figures 4A et 4B, sont respectivement une vue en perspective et une vue du dessous d’une embase saillante d’un système de fixation selon l’invention,
- La figure 5 est une vue de côté d’un bouton de déclenchement d’un système de fixation selon l’invention,
- La figure 6 est une vue en perspective d’une bague relais d’un système de fixation selon l’invention,
- Les figures 7A et 7B sont deux vues en coupe d’un système de fixation selon l’invention montrant des éléments de verrouillage respectivement dans une position de repos et dans une position active de verrouillage,
- Les figures 8A et 8B sont deux vues en coupe d’un système de fixation selon l’invention montrant des éléments de fixation respectivement dans une position de repos et dans une position active de fixation,
- Les figures 9A et 9B sont des vues en perspective partielle d’un système de fixation selon l’invention, montrant les éléments de verrouillage et les éléments de fixation par rapport à la bague relais respectivement dans une position de repos et dans une position active de fixation,
-Les figures 10A et 10B sont des vues en perspective partielle d’un système de fixation selon l’invention, montrant les éléments de verrouillage et les éléments de fixation par rapport à l’embase saillante respectivement dans une position de repos et dans une position active de fixation,
-Les figures 11A et 11 B sont deux vues du dessous d’un système de fixation selon l’invention montrant un mécanisme de déverrouillage respectivement dans une première position de déverrouillage lorsque le bateau chavire dans un sens et dans une deuxième position de déverrouillage lorsque le bateau chavire dans un autre sens,
-La figure 12 est une vue du dessous d’un système de fixation selon l’invention montrant un mécanisme de déverrouillage déclenché normalement pour désolidariser une chaussure d’un repose-pied selon l’invention,
- La figure 13 est une vue de côté illustrant un exemple d’un élément de fixation d’un système de fixation selon l’invention,
-Les figures 14A et 14B sont respectivement une vue de côté et une vue du dessus d’une pièce d’accroche insérée dans une épaisseur de la semelle d’une chaussure d’un pratiquant.
En se référant à la figure 1, un repose-pied 1 selon l’invention, qui est destiné à la pratique de l’aviron dans un bateau d’aviron, comprend deux éléments d’appui 2, 3 identiques, dont l’un 2 est destiné à servir d’appui à une chaussure droite d’un pratiquant, et l’autre 3 est destiné à servir d’appui à une chaussure gauche de ce pratiquant. Chaque élément d’appui 2, 3 comprend une partie avant 4, une partie arrière 5 et deux tiges 6, 7 parallèles crantées reliant ladite partie avant 4 et ladite partie arrière 5. La partie avant 4 et la partie arrière 5 sont séparées, et sont destinées à recevoir respectivement une partie avant de la chaussure et le talon de ladite chaussure. Les deux tiges crantées 6, 7 sont conçues de manière à pouvoir régler la distance séparant la partie avant 4 et la partie arrière 5 pour permettre à chaque élément d’appui 2, 3 de s’adapter à la pointure de la chaussure. L’écart séparant deux crans successifs de chacune des tiges 6, 7 matérialise la précision avec laquelle va être réglée la distance séparant la partie avant 4 et la partie arrière 5 de chaque élément d’appui 2, 3. Chaque élément d’appui 2, 3 est une pièce de longueur variable s’étendant selon un axe longitudinal, la dimension de la partie arrière 5 considérée le long de cet axe longitudinal étant inférieure à celle de la partie avant 4. La partie avant 4 de chaque élément d’appui 2, 3 comporte un système de fixation 100 d’une chaussure d’un pratiquant d’aviron. Les deux éléments d’appui 2, 3 sont montés sur un cadre 8 rectangulaire possédant deux barres allongées 9 et parallèles, et trois barres courtes et parallèles 10, reliant de façon perpendiculaire lesdites deux barres allongées 9. Plus précisément, deux barres courtes 10 relient les deux barres allongées 9 au niveau de leurs extrémités et une barre courte 10 relie les deux milieux desdites deux barres allongées 9. Les deux éléments d’appui 2, 3 sont montés sur les deux barres allongées 9 du cadre 8, en s’étendant parallèlement aux barres courtes 10 dudit cadre 8.
Le cadre 8 est réalisée en trois pièces distinctes, une pièce centrale en forme de H et deux pièces d’extrémité en forme de U venant se solidariser de façon coulissante à ladite pièce centrale pour former le cadre 8. De cette manière, grâce au coulissement possible de ces pièces d’extrémité sur la pièce centrale, les deux barres allongées 9 dudit cadre 8 sont de longueur ajustable. Autrement dit, puisque les deux éléments d’appui 2, 3 sont montés sur les pièces coulissantes du cadre 8, l’écartement entre lesdits deux éléments d’appui 2, 3 peut être ajusté par coulissement desdites deux pièces d’extrémité sur la pièce centrale, afin de s’adapter aux différentes largeur et architecture de coques de bateaux d’aviron.
Une fois que la forme du cadre 8 a été fixée pour obtenir l’écartement dicté par les différentes largeurs de coques 2, 3, l’écartement des deux éléments d’appui peut encore être ajusté sans intervenir sur la forme dudit cadre 8. En effet, une fois que la forme et les dimensions dudit cadre 8 ont été figées, les deux éléments d’appui 2, 3 peuvent encore être déplacés le long des barres allongées 9 du cadre 8, pour ajuster finement leur position le long desdites barres 9 afin de respecter la morphologie du pratiquant. En effet, les barres allongées 9 sont au moins partiellement crantées sur leur longueur, afin de pouvoir fixer un élément d’appui 2, 3 à la position souhaitée.
Au moins l’un des deux éléments d’appui 2, 3 est relié à un dispositif d’orientation et de guidage du bateau d’aviron, comme par exemple un gouvernail placé sous ledit bateau. A cet effet, une pièce 16 est montée pivotante sur au moins l’un desdits éléments d’appui 2, 3, et un fil 15 relie cette pièce pivotante 16 à ce dispositif d’orientation et de guidage. De cette manière, une légère rotation de la chaussure sur le repose-pied 1, entraîne une mise en rotation de la pièce 16 qui exerce une tension sur le fil 15 entraînant un pivotement du dispositif d’orientation et de guidage du bateau. Ainsi, si le pratiquant tourne sa chaussure dans un sens sur le repose-pied 1, le bateau modifie sa trajectoire dans le même sens. Le repose-pied 1 joue, dans ce cas, le rôle d’un support pour un organe de commande de la direction du bateau. Le pratiquant peut ainsi modifier à loisir la trajectoire du bateau sans perturber son activité d’aviron.
En se référant aux figures 3A et 3B, le système de fixation 100 qui est placé dans chacune des parties avant 4 d’un élément d’appui 2, 3 sert à fixer fermement une chaussure d’un pratiquant d’aviron au repose-pied 1 du bateau. Généralement, un pratiquant exerçant l’aviron dans un bateau, est assis sur un siège, qui est mobile en translation selon un axe longitudinal de ce bateau. Le pratiquant porte des chaussures, qui sont fixées sur le reposepied 1, de manière à ce que ses pieds ne puissent pas glisser sur ledit reposepied 1 durant la pratique de cette activité.
Ce système de fixation 100 comprend un bouton de déclenchement 101, une embase saillante 102, une bague relais 103, des éléments de verrouillage 104, des éléments de fixation 105 et un mécanisme de verrouillage/déverrouillage de la chaussure sur le repose-pied.
En se référant aux figures 4A et 4B, l’embase saillante 102 est une pièce comprenant un socle 107 de forme carré et d’épaisseur constante, duquel émerge une excroissance 108 cylindrique creuse. Le socle 107 est une pièce creuse délimitée par quatre paroi latérales formant un carré et par une paroi 109 de liaison reliant lesdites quatre parois latérales. Cette paroi de liaison 109 comprend un évidement cylindrique central 110 duquel émerge ladite excroissance 108 dans une position centrale, ladite excroissance 108 et ledit évidement 110 ménageant entre eux un espace annulaire. L’excroissance creuse 108 possède une extrémité libre 112, qui est éloignée de la paroi de liaison 109, et une extrémité qui est fermée par ladite paroi de liaison 109. L’extrémité libre 112 de l’excroissance 108 est biseautée. Ladite excroissance présente une série de quatre trous 140 traversants alignés le long d’un cercle et régulièrement espacés le long de la circonférence de ladite excroissance 108. L’évidement 110 possède un fond, et c’est ledit fond qui obture l’extrémité de l’excroissance 108 creuse. Le fond de l’évidement 110 qui est placé autour de l’excroissance 108 est percé de trois orifices 128. Cette excroissance creuse 108 est délimitée par une surface interne et par une surface externe, toutes les deux de forme cylindrique.
En se référant à la figure 4B, la portion 113 de la paroi de liaison 109 obturant une extrémité de l’excroissance creuse 108, comporte deux fentes 114, 115 en arc de cercle et diamétralement opposées.
En se référant aux figures 3A, 3B, 6, 9A et 9B, la bague relais 103 comprend une paroi sensiblement cylindrique 116, et prolongée par deux tiges 117, 118 de longueur égale et implantées de façon diamétralement opposée sur ladite paroi cylindrique 116. En d’autres termes, lesdites deux tiges 117,
118 émergent d’un bord circulaire délimitant la paroi cylindrique 116 de la bague relais 103. Cette paroi cylindrique 116 présente une surface externe
119 dans laquelle ont été creusés quatre trous 120 alignés le long d’un cercle matérialisant la circonférence de ladite surface externe 119, lesdits quatre trous 120 étant régulièrement espacés le long dudit cercle. Ces trous 120 sont borgnes. La paroi cylindrique 116 comprend également une surface interne 121, dans laquelle ont été creusées quatre rainures 122, chacune en forme de L, et alignés le long d’un cercle matérialisant la circonférence de ladite surface interne 121, lesdites quatre rainures 122 étant régulièrement espacées le long dudit cercle. Chaque rainure 122 comprend un premier segment 123 prenant naissance sur le bord opposé à celui duquel émergent les deux tiges 117, 118, et s’étendant parallèlement à l’axe de révolution de la paroi cylindrique 116 de la bague relais 103. Chaque premier segment 123 est prolongé par un deuxième segment 124 qui est perpendiculaire audit premier segment 124, ledit deuxième segment 124 étant légèrement incurvé pour suivre la courbure de la surface interne 121 de ladite paroi cylindrique 116. Pour les quatre rainures 122, le deuxième segment 124 s’étend dans le même sens par rapport au premier segment 123. Le diamètre de la surface externe 119 de la paroi cylindrique 116 de la bague relais 103 est légèrement inférieur au diamètre de la surface interne de l’excroissance creuse 108 de l’embase saillante 102, si bien que la bague relais 103 peut être introduite dans l’excroissance 108 creuse de l’embase saillante 102 tout en restant à son contact.
En se référant aux figures 3A, 3B et 5, le bouton de déclenchement 101 présente un support cylindrique élargi 125 et un corps cylindrique creux
126 de diamètre réduit par rapport audit support 125. Ledit support 125 est prolongé d’un côté par ledit corps creux 126, et de l’autre côté par trois pions
127 régulièrement espacés sur un cercle périphérique dudit support 125. Ces trois pions 127 sont destinés à venir s’insérer dans les orifices 128 de l’embase saillante 102. Le corps cylindrique creux 126 présente une paroi latérale cylindrique 129 obturée à l’une de ses extrémités par une paroi circulaire pleine 130, l’autre extrémité dudit corps 126 débouchant dans le support 125 élargi. Le corps 126 présente une excroissance interne 131 sous la forme d’une paroi cylindrique prenant naissance sur la paroi d’extrémité circulaire et pleine 130, et s’étendant dans la paroi latérale cylindrique 129 du corps cylindrique creux 126. Cette excroissance interne 131 présente une surface externe cylindrique de laquelle émergent quatre plots arrondis 132 et régulièrement espacés le long d’un cercle s’inscrivant dans ladite surface externe. La paroi latérale cylindrique 129 du corps cylindrique creux 126 possède une première série de quatre trous traversants 133 alignés le long d’un cercle s’inscrivant dans ladite paroi cylindrique 129 et régulièrement espacés le long de celui-ci, et une série de quatre trous borgnes alignés le long d’un cercle s’inscrivant dans ladite paroi cylindrique 129, et régulièrement espacés le long de celui-ci. Ces trous borgnes sont creusés dans une surface interne de ladite paroi latérale cylindrique 129. Les quatre trous traversants 133 et les quatre trous borgnes sont décalés le long de l’axe de révolution de la paroi latérale cylindrique 129 du corps cylindrique creux 126.
En se référant aux figures 2, 3A et 3B le bouton de déclenchement 101 est destiné à venir s’insérer autour de l’embase saillante 102 une fois que la bague relais 103 a été placée dans ladite embase saillante 102.
En se référant aux figures 7A, 7B, 9A, 9B, 10A et 10B, les éléments de verrouillage 104 sont constitués par quatre billes sphériques indépendantes, préférentiellement réalisée en métal ou en plastique.
En se référant aux figures 8A, 8B, 9A, 9B, 10A et 13, les éléments de fixation 105 sont constitués par quatre pièces indépendantes en forme d’œuf, préférentiellement réalisée en métal ou en plastique.
En se référant à la figure 13, chaque pièce 105 en forme d’œuf, comprend un tronçon fin 136 assimilable à un demi-œuf de petite taille et un tronçon élargi 137 étant assimilable à un demi-œuf de plus grande taille, ledit tronçon fin 136 étant relié audit tronçon élargi 137 au moyen d’une bande de matière 138 de forme tronconique. L’axe longitudinal de chacune desdites pièces 105 relie le tronçon fin 136 au tronçon élargi 137 en étant confondu avec les axes de révolution desdits deux tronçons 136, 137.
En se référant à la figure 3A, lorsqu’une chaussure d’un pratiquant n’est pas accrochée au repose-pied 1 par le système de fixation 100, ledit système de fixation est dans une position de repos, et prêt à l’emploi. Dans cette position de repos, la bague relais 103 est placée dans l’excroissance 108 creuse de l’embase saillante 102 de sorte que chacune des deux tiges 117, 118 soient placées dans l’une des deux fentes 114, 115 de ladite embase saillante 102, ladite bague relais 103 émergeant de ladite excroissance 108. Le bouton de déclenchement 101 vient coiffer l’embase saillante 102 et la bague relais 103 qui a été préalablement insérée dans ladite embase saillante 102, de sorte que l’excroissance interne 131 du bouton de déclenchement 101 soit insérée dans la bague relais 103, et de sorte que l’excroissance 108 et la bague relais 103 se retrouvent dans l’espace du bouton de déclenchement 101 situé entre ladite excroissance interne 131 et la paroi latérale cylindrique 129 du corps cylindrique creux 126 dudit bouton 101. Un ressort précontraint 139 est inséré dans l’excroissance interne 131 du bouton de déclenchement 101, entre la paroi circulaire pleine 130 du corps cylindrique creux 126 du bouton de déclenchement 101 et le fond de l’évidement central de l’embase saillante 103, pour repousser le bouton de déclenchement 101 et le maintenir en saillie au-dessus de la bague relais 103. Ce ressort précontraint 139 permet de maintenir également la bague relais 103 dans une position pour laquelle les tiges 117, 118 sont en butée à une extrémité des fentes 114, 115.
En se référant aux figures 3A, 7A, 9A et 10A, dans cette position de repos, les éléments de verrouillage 104 sous forme de boules sphériques sont insérés entre la bague relais 103 et l’excroissance 108 de l’embase saillante 102, en étant positionnés dans les trous 120 creusés dans la surface externe 119 de ladite bague 103 et en correspondance avec les trous 140 traversants de l’excroissance 108 de l’embase saillante 102. Dans le même temps, les éléments de fixation 105 sous forme de pièces ovoïdales, sont situés audessus de l’excroissance 108 cylindrique creuse de l’embase saillante 102 et au-dessus de la bague relais 103, de sorte que leur axe longitudinal s’étende radialement par rapport à ladite excroissance 108 et ladite bague 103. Pour cet agencement, les tronçons élargis 137 sont plus proches du centre de ladite excroissance 108 et de ladite bague 103 que ne le sont les tronçons fins 136. Les éléments de fixation 105 sont placés sous le bouton de déclenchement 101, au droit des trous traversants 133 dudit bouton de déclenchement 101.
En se référant au figures 14A et 14B, la semelle d’une chaussure d’aviron spécialement conçue pour la pratique de l’aviron avec un système de fixation selon l’invention, comprend une pièce d’insert 151 possédant une paroi latérale cylindrique 152 délimitant un évidement cylindrique dont le diamètre est supérieur au diamètre d’une surface externe de la paroi latérale cylindrique 129 du bouton d’actionnement 101. Cet évidement cylindrique est délimité par un fond sous la forme d’une paroi circulaire 153. Cet évidement cylindrique est élargi par une gorge 154 creusée dans la paroi latérale cylindrique 152. La pièce d’insert 151 possède une extension 155 sous la forme d’une patte s’étendant radialement par rapport à la paroi latérale cylindrique 152 délimitant d’évidement cylindrique. Cette extension 155 se termine par un évidement secondaire 156 destiné à venir s’insérer autour d’un plot 17 de la pièce 16 solidarisée en rotation à un élément d’appui 2, 3.
En se référant à la figure 2, lorsqu’un pratiquant souhaite solidariser sa chaussure enfilée à son pied, à un repose-pied 1 selon l’invention, il fait pénétrer à la fois le bouton de déclenchement 101 dans l’évidement de la pièce d’insert 151 et le plot 17 dans l’évidement secondaire 156 de ladite pièce d’insert 151. Le fond 153 de l’évidement de la pièce d’insert 151 de la semelle arrivant au contact du bouton de déclenchement 101 exerce une pression sur celui-ci, provoquant son enfoncement.
En se référant aux figures 3B, 7B, 9B, 10B, l’enfoncement du bouton de déclenchement 101 dans le repose-pied 1 provoque plusieurs actions :
-Une mise en rotation de la bague relais 103 autour de son axe de révolution, au moyen d’une insertion des plots arrondis 132 de l’excroissance interne 131 du bouton de déclenchement 101 dans les rainures 122 en forme de L de la paroi cylindrique 11 6 de ladite bague relais,
- Une pénétration des éléments de verrouillage 104 dans les trous 140 traversants de l’excroissance 108 de l’embase saillante 102, comme illustré à la figure 10B, sous l’effet de la mise en rotation de la bague relais 103. En effet, les éléments de verrouillage 104, qui se trouvaient initialement dans les trous 120 creusés dans la surface externe 119 de ladite bague 103, sont repoussés par la paroi de la bague 103 lorsque celle-ci pivote. De cette manière, les éléments de verrouillage 104 vers l’extérieur des trous 140 traversants pour se retrouver dans les trous borgnes du bouton 101 de déclenchement.
-Une translation vers le repose-pied 1 des éléments de fixation 105 sous l’effet du déplacement de la paroi circulaire pleine 130 du bouton de déclenchement 101, et un écartement simultané desdits éléments de fixation 105 qui glissent sur L’extrémité libre 112 de l’excroissance 108, qui est biseautée. En se référant à la figure 8B, les tronçons fins 136 des éléments de fixation 105 finissent par émerger des trous traversants 133 du bouton de déclenchement 101, vers l’extérieur dudit bouton 101. En émergeant ainsi du bouton de déclenchement 101, les éléments de fixation 105 pénètrent dans la gorge 154 de la pièce d’insert 151 de la semelle de la chaussure, afin de retenir la chaussure contre le repose-pied 1.
- Le mouvement en rotation de la bague 103 s’effectue jusqu’à ce que les tiges 117, 118 de celle-ci parviennent jusqu’à l’autre extrémité des fentes 114, 115 de l’embase saillante 102. L’effort pour mettre en rotation la bague 103 est supérieur à l’effort fourni par le ressort précontraint 139 pour maintenir le bouton de déclenchement 101 en saillie au-dessus du repose-pied
1. Un ressort 170 précontraint placé sous l’embase saillante 102 et relié à l’une des deux tiges 117, 118 permet de maintenir la bague 103 dans la position pivotée.
- La poussée du bouton de déclenchement 101 s’arrête une fois que les pions 127 ont pénétré dans les orifices 128 de l’embase saillante 102 et que le support élargi 125 vienne en butée contre le fond de l’évidement 110 de ladite embase saillante 1 02.
Dans une position active de fixation du système de fixation 100, le ressort de tension 139, maintien la bague relais 103 pivotée, donc les billes sphériques 104 sorties et logées dans les trous borgnes du bouton de déclenchement 101. Vu que le bouton de déclenchement 101 est enfoncé, les pièces ovoïdales de fixation 105 émergent radialement du bouton de déclenchement 101 et se logent dans la gorge annulaire 154 de la chaussure, permettant de retenir la chaussure sur le repose-pied 1, sans possibilité d’être désolidarisée de celui-ci au moyen d’un simple retrait de ladite chaussure.
En se référant à la figure 12, une fois que la chaussure a été fixée au repose-pied 1, il faut actionner un mécanisme 200 de désolidarisation pour pouvoir retirer ladite chaussure dudit repose-pied 1. Ce mécanisme 200, qui est implanté sous l’embase saillante 102, comprend un bouton poussoir 201 et une bielle 202 à trois branches, montée en rotation autour d’un axe perpendiculaire au plan de l’embase saillante 102. Une première branche 203 de la bielle 202 est au contact d’une tige 117, 118 de la bague relais 103 repoussée à une extrémité d’une fente 114, 115 de l’embase saillante 102 sous l’effet du ressort 170. Le bouton poussoir 201 dispose d’une tige d’actionnement 204 placé au contact d’une deuxième branche 205 de la bielle 202. Le bouton poussoir 201 saille du repose-pied 1 de façon à être accessible par un pratiquant qui serait assis sur un siège du bateau d’aviron. Une pression exercée sur le bouton-poussoir 201 avec un doigt de la main, dans le sens indiqué par la flèche 206, déplace ledit bouton poussoir 201 et donc la tige d’actionnement 204 solidarisée audit bouton poussoir 201. Cette tige 204 exerce une pression sur la deuxième branche 205 de la bielle 202, qui se met alors à pivoter, entraînant la rotation de la première branche 203, dans le même sens et avec la même amplitude. Cette rotation de la première branche 203 provoque le déplacement de la tige 117, 118 de la bague relais 103 contre laquelle elle est au contact, et donc le pivotement en sens inverse de ladite bague relais 103 autour de son axe de révolution dans l’excroissance 108 de l’embase saillante 102. Ce pivotement inverse de la bague relais 103 entraîne un déplacement inverse des éléments de verrouillage 104 et les éléments de fixation 105 permettant de libérer la chaussure du repose-pied 1. La mise en rotation en sens inverse de la bague relais 103 au niveau de l’une des deux tiges 117, 118 au moyen d’un pivotement de la bielle 202 réalisé avec le bouton poussoir 201, s’effectue au prix d’un effort modéré, qui doit toutefois être supérieur à la force avec laquelle le ressort 170 est précontraint.
En se référant aux figures 11A et 11 B, dans le cas d’un chavirage accidentel du bateau, un système de fixation 100 selon l’invention met en oeuvre un mécanisme de déverrouillage de secours, fondé sur le déplacement d’une masselotte 210 profilée. Cette masselotte 210 est monté pivotante autour d’un axe solidarisé à l’embase saillante 102 entre les deux fentes 117, 118, ledit axe s’étendant perpendiculairement à une paroi de ladite embase saillante 103 dans laquelle ont été pratiquées lesdites deux fentes 117, 118. Cette masselotte 210 comprend schématiquement un corps élargi 211 prolongé par une patte 212 étroite, ladite masselotte 210 étant montée pivotante sur l’embase saillante 103, au niveau de ladite patte 212. Le corps élargi 211 est limité par deux bords latéraux rectilignes 213, 214 s’étendant vers ladite patte 212.
Ainsi, en se référant à la figure 11 A, lorsque le bateau chavire accidentellement d’un côté, la masselotte 210 pivote par inertie dans un premier sens dans le plan de l’embase saillante 103, et vient percuter une tige 117, 118 de la bague relais 103 avec l’un 214 de ses bords latéraux rectilignes
213, 214. Cet impact entre la masselotte 210 et la tige 117, 118 provoque une mise en rotation en sens inverse de la bague relais 103 qui inactive les éléments de verrouillage 104 et les éléments de fixation 105, libérant ainsi instantanément la chaussure du repose-pied 1.
En se référant à la figure 11 B, lorsque le bateau chavire accidentellement de l’autre côté, la masselotte 210 pivote dans un deuxième sens qui est opposé au premier sens évoqué ci-avant. Pour cette configuration, le corps 211 de la masselotte 210 vient percuter une troisième branche 207 de la bielle 202, provoquant une mise en rotation de ladite bielle 202, qui par l’intermédiaire de la première branche 203 qui était préalablement au contact d’une tige 117, 118 de la bague relais 103, provoque un déplacement de ladite tige 117, 118 dans la fente 114, 115, et donc une mise en rotation en sens inverse de ladite bague relais 203. Cette mise en rotation en sens inverse de la bague relais 103, provoque instantanément la libération de la chaussure du repose-pied 1.
Il est important de signaler que la masselotte 210 se met à pivoter par inertie, uniquement lorsque le repose-pied 1 atteint un angle d’inclinaison seuil témoignant d’un chavirage réel du bateau d’aviron. Aussi, afin d’éviter à la masselotte 210 de pivoter par inertie lorsque le repose-pied 1 est incliné d’un angle qui est inférieur à l’angle d’inclinaison seuil, ladite masselotte 210 est associé à un amortisseur hydraulique rotatif bidirectionnel 200. De cette manière lorsque l’inclinaison du repose-pied 1 est inférieure à l’angle seuil, le dispositif hydraulique 200 empêche la masselotte 210 de pivoter, et lorsqu’elle le dépasse, le dispositif hydraulique 200 n’est plus en mesure de retenir le mouvement rotatif de ladite masselotte 210.
En faisant pivoter sa chaussure autour du système de fixation 100, le pratiquant peut modifier à loisir la trajectoire du bateau, via la pièce 16 et le fil 15, en agissant directement sur l’orientation du dispositif de guidage et d’orientation dudit bateau.

Claims (17)

1. Système de fixation (100) d’une chaussure sur un repose-pied (1) d’un bateau d’aviron, ladite chaussure possédant une semelle, caractérisé en ce qu’il comprend un dispositif d’accrochage de la chaussure au repose-pied (1), comportant un bouton de déclenchement (101) possédant une excroissance centrale (131), une bague relais (103) montée mobile en rotation, une embase saillante (102) dans laquelle est logée et saille ladite bague (103), des éléments de verrouillage (104) et des éléments de fixation (105) indépendants, ledit bouton de déclenchement (101) étant monté coulissant autour de l’embase saillante (102) de sorte que l’excroissance (131) se retrouve à l’intérieur de la bague relais (103), et en ce que la semelle possède un évidement (152) doté d’un fond (153) et destiné à venir autour du bouton de déclenchement (101), une pression exercée par le fond (153) de l’évidement sur le bouton de déclenchement (101) entraînant un déplacement en translation de celui-ci (101) se traduisant par une mise en rotation de la bague (103) grâce à la présence de reliefs complémentaires (132, 122) présents sur une surface externe de l’excroissance (131) et sur une surface interne de la bague (103), provoquant une activation des éléments de verrouillage (104) initialement placés entre la bague (103) et l’embase saillante (102) et une mise en saillie des éléments de fixation (105) hors du bouton de déclenchement (101), lesdits éléments de fixation étant initialement placés sous ledit bouton de déclenchement (101) et au-dessus de la bague (103) et de l’embase saillante (102).
2. Système de fixation selon la revendication 1, caractérisé en ce que les éléments de verrouillage (104) sont des billes sphériques placées entre la bague relais (103) et l’embase saillante (102), et en ce que l’embase saillante (102) dispose de premiers trous traversants (140) et le bouton de déclenchement (101) dispose de trous borgnes, une mise en rotation de la bague (103) faisant passer chaque bille (104) d’une position rentrée à une position déployée pour laquelle elle saille du premier trou (140) pour pénétrer dans un trou borgne, afin de bloquer le bouton de déclenchement (101) relativement à ladite embase saillante (102).
3. Système de fixation selon la revendication 2, caractérisé en ce que le mouvement de chaque bille sphérique (104) pour passer d’une position rentrée à une position saillante est un mouvement en translation s’effectuant radialement par rapport à l’embase saillante (102).
4. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 2 ou 3, caractérisé en ce que la bague relais (103) et l’embase saillante (102) sont des parois cylindriques concentriques, et en ce que l’embase saillante (102) comprend quatre premiers trous (140) et le système de fixation comprend quatre billes sphériques (104).
5. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que chaque élément de fixation (105) est une pièce possédant un tronçon fin (136) et un tronçon élargi (137), et en ce que le bouton de déclenchement (101) dispose de deuxièmes trous (133) dont les dimensions sont supérieures à celles du tronçon fin (136) et inférieures à celles du tronçon élargi (137), une pression sur le bouton de déclenchement (101) faisant passer les éléments de fixation d’une position rentrée au-dessus de l’embase saillante (102) à une position déployée pour laquelle le tronçon fin (136) saille dudit deuxième trou (133) vers l’extérieur du bouton de déclenchement (101).
6. Système de fixation selon la revendication 5, caractérisé en ce que chaque élément de fixation (105) est de forme ovoïdale, le tronçon fin (136) étant assimilable à un demi-œuf de petite taille et le tronçon élargi (137) étant assimilable à un demi-œuf de plus grande taille.
7. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 5 ou 6, caractérisé en ce que le mouvement de chaque élément de fixation (105) pour passer de la position rentrée à la position déployée est un mouvement combiné d’une translation dictée par le déplacement du bouton de déclenchement (101) et d’une translation radiale vers l’extérieur de l’embase saillante (102) occasionnée par un glissement desdits éléments de fixation (105) sur une paroi (112) en biseau de ladite embase saillante (102).
8. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 5 à 7, caractérisé en ce que le bouton d’actionnement (101) dispose de quatre deuxièmes trous (133) et en ce que ledit système (100) dispose de quatre éléments de fixation (105).
9. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l’évidement de la semelle de la chaussure est délimité par une paroi latérale cylindrique (152), et en ce que ladite paroi cylindrique (152) comprend une gorge annulaire (154) destinée à recevoir les éléments de fixation (105) lorsqu’ils saillent du bouton de déclenchement (101).
10. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que la bague (103) est prolongée par deux tiges (117, 118), et en ce que l’embase saillante (102) comprend deux fentes (114, 115) en arc de cercle et diamétralement opposées, ladite bague (103) étant montée dans l’embase saillante (102) au moyen d’un passage de chaque tige (117, 118) dans une fente ( 114, 115).
11. Système de fixation la revendication 10, caractérisé en ce qu’il comprend une masselotte (210) destinée à se déplacer par rotation sous l’effet de son poids pour venir impacter l’une desdites tiges (117, 118) lorsque le repose-pieds (1) pivote dans un sens sous l’effet d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron, ladite masselotte (210) étant destinée à imprimer un mouvement de rotation inverse de la bague (103) de déclenchement afin de libérer les éléments de verrouillage (104) et de rentrer les éléments de fixation (105).
12. Système de fixation selon la revendication 11, caractérisé en ce qu’il comprend un mécanisme intermédiaire (202, 203, 205, 207) d’inversion du sens de mise en rotation de la bague de déclenchement (103) au moyen d’une action sur au moins l’une desdites tiges (117, 118), et apte à être déclenché par un impact de la masselotte (210) sous l’effet de son poids lorsque le repose-pied (1) pivote dans l’autre sens sous l’effet d’un chavirage accidentel du bateau d’aviron, de façon à permettre de libérer les éléments de verrouillage (104) et de rentrer les éléments de fixation (105) même dans l’autre sens de pivotement dudit repose-pied (1).
13. Système de fixation selon l’une quelconque des revendications 11 ou 12, caractérisé en ce que la masselotte (210) est associée à un dispositif de retenue (200) empêchant ladite masselotte (210) de pivoter par inertie lorsque l’inclinaison du repose-pied (1) n’a pas atteint un angle seuil prédéterminé.
14. Repose-pied (1) d’un bateau d’aviron, caractérisé en ce que qu’il comprend un cadre (8) sur lequel sont montés deux éléments d’appui séparés (2, 3), possédant chacun un système de fixation (100) conforme à l’une quelconque des revendications 1 à 13, et destinés à recevoir une chaussure d’un pratiquant assis dans ledit bateau, chacun desdits éléments (2, 3) possédant une partie avant (4) et une partie arrière (5) montées sur au moins une tige (6, 7), la distance entre lesdites deux parties (4, 5) étant réglable le long de ladite au moins une tige (6, 7) afin de tenir compte de la pointure de la chaussure.
15. Repose-pied selon la revendication 14, caractérisé en ce que le cadre (8) sur lequel sont montés les deux éléments d’appui (2, 3) est réglable en largeur afin de s’adapter aux différentes largeurs et architectures de coques de bateaux d’aviron, le cadre (8) possédant des éléments de verrouillage aptes à figer la position dudit cadre (8) correspondant à un écartement dicté par la largeur d’une coque donnée.
16. Repose-pied selon la revendication 15, caractérisé en ce que l’écartement entre les deux éléments d’appui (2, 3) peut encore être ajusté une fois que les éléments de verrouillage du cadre (8) ont été activés, afin d’obtenir un réglage fin de l’écartement entre lesdits éléments d’appui (2, 3).
17. Repose-pied selon l’une quelconque des revendications 14 à 16, caractérisé en ce que le système de fixation (100) est placé dans la partie avant (4) de chaque élément d’appui (2, 3).
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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FR2388718A1 (fr) * 1977-04-29 1978-11-24 Adidas Chaussures Dispositif de fixation de chaussures a un bateau a rames et chaussure utilisable avec ce dispositif
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