FR2833207A1 - Classeurs pluri fonctionnels avec dossiers fixes ou amovible pour le classement et le rangement vertical de documents et leurs sous dossiers. - Google Patents

Abstract

Cette invention concerne : Un système de classement et de rangement vertical de documents et leurs sous-dossiers réalisé grâce à des classeurs-dossiers (1 PA), dont les deux parois en vis à vis (A 2) forment un appui en verticalité et permettent de réaliser la liaison fixe ou amovible de dossiers (d 1) fonctionnellement adaptés pour ce système; ces parois parallèles étant reliées et articulées par un pont de liaison, le cas échéant, triangulé (A 15) pour permettre à ces classeurs d'être compressibles et réducteurs d'encombrement.

Description

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- La présente invention a pour objet la réalisation d'un système de Classement et de
Rangement vertical de documents et leurs sous dossiers , dans lequel les moyens qui déterminent la verticalité des dossiers assistent et renforcent ceux participant à la stabilité verticale de leurs classeurs et vice versa.

- Cette forme de Classement et de Rangement peut ainsi s'associer et prendre appui sur la tablette d'un placard ou d'une armoire par exemple. Elle rejoint ainsi le concept de son

aîné : celui du classeur à levier et la multitude de classeurs à anneau qui en sont résultés. Mais en fait des mécanismes indissociables de leurs classeurs et des perforations qu'ils suscitent : le présent système offre une souplesse d'utilisation à tous les stades.

- Les dossiers peuvent être avantageusement et facultativement utilisés dans leurs classeurs ou indépendamment. Dans tous les cas, cette forme de classement en fait : un outil de travail performant permettant d'accumuler les gains de temps au fur et à mesure de son utilisation.

- Ces dossiers permettent en effet : d'insérer, d'enliasser, comprimer, maintenir instantanément une épaisseur variable de documents afin de les rendre faciles et rapides à manipuler, à rechercher, à consulter, à extraire, à réinsérer.

- A cet effet, les dossiers sont formés par un dosseret relativement rigide. Le plus souvent renforcé d'ailes latérales et horizontales de largeur et de forme variables, sa base étant elle directement ou indirectement prolongée par un volet comprimant réalisant une poche permanente pour la retenue et la stabilité en verticalité de l'enliassement, alors que la partie haute de ce dosseret dispose d'une retenue de blocage horizontale et verticale instantanément rétractable derrière le dosseret. Une retenue qui prend généralement la forme d'un volet prolongeant le sommet horizontal de ce dosseret.

- Ces dossiers ont vocation de pouvoir être utilisés indépendamment du classeur dossier dans lesquels l'aile horizontale de leur sommet peut instantanément s'emboîter afin que le dossier se trouve ainsi suspendu au sommet de l'une des deux parois internes de ce classeur.

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- Parmi les variantes offertes par ces classeurs-dossiers qui peuvent également retenir et fixer les dossiers sur leurs parois internes, ils se différencient notamment par le pont reliure d'une largeur de 250 m/m et d'une épaisseur constante de 70 m/m et la reliure triangulée d'une largeur (standard) de 280 m/m et d'une épaisseur variable de 70 ou 80 m/m par ex. puisque susceptible d'être comprimée et réduite pour le stockage ou le transport par ex. à quelques mlm d'épaisseur, soit une souplesse d'encombrement et dans une armoire par ex. susceptible de se traduire par une économie de place d'environ 80 %.

- La capacité d'enliassement d'un dossier qui est présentement d'environ 33 mlm peut ainsi varier en fonction de la hauteur du volet, qui inversement pourrait être réduite pour former le bloc d'écriture sur une paroi et l'autre restant réservée au classement.

- Parmi les moyens de signalisation présentement offerts s'y ajoute une gamme de sous dossiers caractérisés par la verticalité de leur conception déterminée par les avantages recherchés et sus visés ainsi que les moyens d'être enliassés aisément sans problèmes.

- La combinaison des moyens utilisés pour augmenter les performances de ce Classement
Rangement Vertical Intégré (C. R. V. I.) peut être illustrée notamment par une nette amélioration des surfaces au sol utilisées pour le classement. C'est en effet grâce à la possibilité d'utiliser la verticalité des classeurs de ce C. R. V. I. sous deux formes d'appui sur tablette par ex. qu'il est possible d'augmenter de 20 % la capacité de rangement de ces classeurs dans des armoires hauteur 2000 prof. 350 à 400, en portant à six travées les cinq présentement utilisées avec les classeurs dits à levier.

- D - A cette possible augmentation de la capacité du nombre de classeurs dans les armoires par ex. s'y ajoute également 25 % environ du volume disponible pour le classement dans les reliures à anneau dont les dimensions externes peuvent et le cas échéant, être réduites en rapport avec les documents à classer.

- Quelle que soit la diversité des formats des dossiers et sous-dossiers de ces classeurs C. R V. I. , c'est la base du volet retenant celle des documents qui se trouve au moins en regard de leur appui sur tablette par ex.

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- La verticalité de ces classeurs s'opère donc et toujours sur la paire des bordures prolongeant perpendiculairement le fond reliant les parois, lequel, par son plan externe, peut désormais servir d'appui pour une seconde forme de verticalité.

- Cette faculté est obtenue grâce à une liaison élastique escamotable permettant de relier verticalement les deux parois au niveau de leur tiers bas, et sous l'effet d'une légère poussée les maintenir facultativement verticalement serrées ou ouvertes. Et dans ce cas cette liaison venant alors prendre appui sur un épaulement formé par un léger dépassement du fond.

- Cette sorte d'épaulement rehaussant légèrement et de quelques m/m par ex. l'appui du fond des classeurs sur un plan tablette par ex. permet ainsi aux deux bordures prolongeant cet épaulement de prendre leurs appuis sur les deux extrémités opposées. Ce qui permet à ces classeurs, prenant ainsi appui sur trois points, d'augmenter grandement leur stabilité en même temps qu'éviter le pincement et l'écrasement de la liaison élastique des parois, ou pour obtenir des résultats similaires, disposer aux extrémités des bordures proches du fond, une proéminence de quelques m/m de longueur et de largeur capables de surélever également le fond et servir d'appui pour la liaison élastique.

- Quant aux dossiers et leurs sous-dossiers permettant d'intégrer des documents courants de
210 x 295 m/m par ex. ils sont réalisés sous deux formes : un modèle pour une lecture parallèle à la longueur des documents et l'autre à celle de leur largeur.

- Pour les dossiers des documents courants précités d'une dimension d'environ
235 x 320 mlm, leurs classeurs peuvent ainsi avoir des parois d'une largeur de 250 m/m utilisables dans les deux formes de verticalité, dont l'une permet ainsi de réduire d'environ
180 m/m la hauteur d'une armoire lorsqu'il s'agit du cas de celles intégrant déjà six travées de classeurs prenant appui sur le plat de leur fonds.

- La simplicité et la légèreté de ce genre de classeurs sons mécanisme onéreux, volumineux et contraignant, comporte sur la partie interne de ces parois les moyens économiques, simples et efficaces de liaisons amovibles avec la conception externe et coopérant des dossiers de ce

C. R. V. I. .

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Ces liaisons ont ainsi en commun de pouvoir assurer dans chacune des verticalités ou simultanément dans les deux, une retenue de la base du volet inférieur de chaque dossier grâce notamment à une patte escamotable alors que celle retenant le volet supérieur coordonne sa retenue avec un bouton pression aisément accessible, ou pouvoir emboîter instantanément cette partie haute dans une mini retenue proche des bordures externes opposées à celles des appuis sur tablette et dépendant de la partie interne des parois. au caractère pluri fonctionnel de ces classeurs voués à la verticalité du classement et de son rangement qui vient ainsi d'être en partie mis en évidence, il est bon d'y ajouter par ex. la faculté de l'utiliser comme moyen transitoire de dégagement sur un bureau par ex. grâce à leur forme externe et interne parallélépipédique qui permet de les superposer horizontalement.

Enfin la combinaison de moyens mis en oeuvre pour engendrer une synergie de résultats positifs prend particulièrement en compte la simplicité et la souplesse des moyens de fabrication.

On trouvera ci-après quelques exemples de réalisation parmi divers moyens utilisés pour former les classeurs dossiers du présent système de classement et de rangement.

La fig. 1 : est une vue perspective d'un classeur dossier disposant d'une reliure articulée compressible dont la paroi de droite comporte en partie arrière et au sommet un mini créneau de libre rotation pour le volet rétractable de son dossier amovible alors que sur la paroi de gauche le dossier est fixé sur sa paroi, son volet rétractable étant éclipsé sur la paroi du classeur : on peut voir dans cet enliassement compartimenté un sous dossier pochette dont la retenue élastique de son volet, visible sur sa gauche, est fixée loin vers le sommet de son aile et de l'externe de son dosseret.

La fig. 2 : est une vue schématique de l'extrémité horizontale de deux classeurs dossiers dont les reliures articulées sont comprimées partiellement et différemment.

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La fig. 2 bis : est une vue schématique de 'extrémité horizontale d'un classeur sectionnée près de sa reliure articulée, formée par deux parois indépendantes et dont les deux plans angulés sont chacun prolongés en partie centrale par un mini plan parallèle aux parois et dont la liaison en vis à vis permet de retenir un troisième plan.

La fige 3 : est une vue de l extrémité verticale d'un classeur dossier dont le dosseret se trouve prolongé en bas par un volet comprimant et en partie haute prolongé par un volet rétractable également relié, par une liaison élastique prenant sur l aile latérale du dosseret pour y être fixée sur sa partie externe ; et en partie basse comme en partie haute une ligne verticale de pointillés schématisent le possible point de liaison de chacun des deux volets alors que celui rétractable se trouve également schématisé en pointillés en position d'ouverture sur la partie externe du dosseret.

La fig. 4 : est une vue schématique d'un volet indépendant dont le sommet interne prend appui sur celui de son dosseret sur lequel il s'y trouve fixé sur sa gauche et selon une partie

foncée légèrement éloigné du sommet pour permettre à la partie du volet située à droite et c comportant un moyen de signalisation de pivoter selon le sens de la flèche.

La Us. 5 : est une vue en perspective de la partie gauche et haute d'un dossier sectionné du tiers de sa largeur et de sa hauteur afin d'illustrer une forme de retenue d'un volet rétractable par un ruban élastique coulissant dans une gaine. bloquée dans une coulisse. permettant d'orienter sa fixation vers la partie externe du dosseret, en comprimant son aile latérale de retenue et en marquant en pointillés le début d'un schéma de montage de ce ruban élastique.

La fil !. 6 : est une vue en perspective de la forme profilée de la gaine et de son ruban. illustrée à la fig. précédente.

La fis. 7 : est une vue en perspective en comportant au premier plan une coulisse prolongée en partie arrière par un profilé plastique désengagé de cette coulisse : on peut ainsi distinguer la forme profilée de ses trois plans prenant appui sur la paroi d'un volet sur laquelle elle prend sa retenue et fixation grâce à une patte rabattable sur la partie externe de la paroi et selon un schéma en pointillés et fléché permettant ainsi de fermer partiellement l'extrémité de la coulisse afin de former un étroit passage pour le coulissement d'un ruban élastique.

La fig. 8 : est une vue illustrant une forme de réalisation d'un classeur dossier à partir de la découpe d'un plan en carton relativement rigide dont la partie centrale formant le pont reliure est sur chacun de ses deux cotés verticaux opposés prolongé par une paroi sur laquelle se trouve fixée la découpe rainurée du plan de carton semi rigide d'un dossier : alors que le sommet de ce pont voit sa hauteur légèrement réduite par une découpe offrant une libre rotation pour le ruban élastique de chacun des volets rétractables.

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La fig. 9 : est une vue schématique et en perspective d'un classeur dossiers du type Pont reliure accolé verticalement à un classeur dossiers dont l'épaisseur est en partie réduite grâce à la compressibilité de sa reliure.

La fig. 10 : est une vue en perspective d'un sous dossier pochette dont le dosseret est prolongé, latéralement par des ailes d'appui et de retenue. verticalement et à sa base par un volet comprimant d'une hauteur spécifique, et sa partie haute également prolongée par un volet dont l'extrémité est engagée sous le volet comprimant du bas dont chacune des deux retenues élastiques latérales est fixée vers le sommet de l'aile latérale du dosseret, alors que le volet du haut comporte une liaison élastique verticale et centrale prenant sa retenue amovible sur le haut du volet du bas, cette partie haute se trouve dotée d'une coulisse comportant deux formes de signalisation.

La fig. 11 : est une vue illustrant en coupe l'extrémité latérale d'un dossier dont le volet rétractable est ouvert et rejeté sur la partie externe de son dosseret afin de le différencier du sous dossier pochette qui s'y trouve intégré et permettre de visualiser sa liaison élastique centrée entre celle du volet comprimant et celle du volet rétractable du dossier d'enliassement.

La fig. 12 : est une vue en coupe d'un sous dossier papier semi-rigide ayant son volet du haut engagé sous celui du bas.

La fig.. 13 : est une vue en perspective d'un classeur dossier dont la partie centrale de chacune de ces deux parois d'appui en verticalité est prolongée par un plan articulé se reliant au centre pour former une reliure triangulée compressible comportant au sommet de chacun un mini créneau de libre rotation pour le ruban élastique d'un volet rétractable appartenant à droite à un dossier amovible illustrant au premier plan de son enliassement un sous dossier papier dont les pointillés verticaux schématisent les ailes latérales de retenue, et au sommet de la partie centrale de la paroi de gauche on trouve la lame rigide et flexible dont la base s'y trouve fixée afin que son sommet affleure le sien pour former la suspension verticale d'un dossier venant s'y encastrer, et se trouver retenu à la base par un plan cartonné articulé illustré déplié sous cette paroi et en position de retenu sur le volet comprimant du dossier de droite.

La fig. 14 : est une vue en perspective de la partie gauche du sommet d'un dosseret afin de schématiser son aile externe d'appui et de retenu, présentée légèrement ouverte, et permettant de fixer un volet rétractable et destiné à être encastré sur la lame de suspension verticale d'un dossier amovible.

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La fig. 15 : est une vue en perspective du sommet de la partie externe du dosseret d'un dossier amovible permettant d'illustrer en pointillés la lame quadrangulaire de la paroi emboîtée sous l'aile d'appui et de retenu du dosseret.

La fi ! La fig. 16 : est une vue schématique et en perspective du positionnement d'un mini créneau proche de l'extrémité du sommet donnait naissance à l'articulation triangulée.

La fig. 17 : est une vue schématique et en perspective d'environ le tiers de la partie basse et gauche d'un dossier afin d'illustrer un profil en forme de pince pour emboîter et border l'arête horizontale d'un volet pour assurer l'appui, le coulissement et la retenue d'un ruban élastique fixé près de la bordure latérale externe du dosseret à une hauteur déterminée.

La fig. 18 : est une vue de la forme profilée de l'extrémité verticale d'un dossier dont le volet rétractable est ouvert afin de permettre la consultation et la lecture de documents dont la base est maintenue verticalement et partiellement en appui sur la partie interne du volet de ce modèle de dossier très schématique

La fig La fig. 19 : est une vue de la forme découpée d'un plan de carton semi rigide permettant de réaliser en partie un dossier comportant en partie gauche un volet rétractable attenant et illustré à la fig. précédente et à droite un dossier dont le volet rétractable indépendant illustré en partie haute est relié à son dosseret par un ruban élastique à chacune de ces deux extrémités latérales opposées ; la partie centrale de chacun de ces deux dosserets étant reliée l'une à l'autre par un bout de liaison pour former un portefeuille.

La fig. 20 : illustre le positionnement vertical de deux classeurs en perspective et dont le fond d'articulation de l'un situé à gauche est perpendiculaire au plan horizontal sur lequel ce classeur prend un appui de stabilité par la base de ce fond ainsi que les deux extrémités de chacune des deux bordures qui le prolonge, alors que le classeur situé à droite et qui est aligné sur le même plan horizontal voit la face externe de son fond y prendre appui et la verticalité de ses parois se trouve maintenue grâce à un ruban élastique au niveau de leurs tiers bas ; le diférentiel dimensionnel d'encombrement lié au positionnement de chacun de ces deux classeurs étant visualisé par des alignements de tirets.

La fig 21 : est une vue en perspective de deux classeurs dérivés de la fig. précédente dont celui de gauche comporte au premier plan une surélévation accentuée pour mieux visualiser cette légère angulation (soulignée en pointillés) entre cet appui sur la tablette avec celui des deux extrémités des deux bordures prolongeant ce fond contre la partie interne de laquelle est

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également illustrée en pointillés une autre forme d'appui et de retenu pour la liaison élastique : des parois, du classeur situé à droite, et dont cette angulation des appuis la protège d'un écrasement.

Dans la partie supérieure du classeur situé à droite, on voit que chacune des deux parois ont une double épaisseur.

La fig. 21 bis : illustre un classeur dont les deux parois ouvertes viennent en appui sur la bordure de la tablette pour faciliter leur consultation, la liaison élastique reliant ces deux parois dans la fig. précédente et illustrée en pointillés sur la paroi de droite venant en appui dans ce cas sur la partie interne de la base du fond et sur la paroi de gauche un dossier s'y trouve temporairement bloqué grâce à une lame, dépassant légèrement la partie externe centrale et supérieure de son volet rétractable et qui se trouve engagé dans un mini oméga illustré sur la paroi de droite, et la base de ce dossier venant se retenir et se bloquer dans la partie interne du volet orientable formant la base de cette paroi, sur la double épaisseur la paroi de droite se trouve schématisée en partie haute la retenue de la lame du dossier situé à gauche et sur la partie centrale de sa hauteur et proche de la bordure externe de cette paroi d'une part et proche de celle jouxtant l'articulation du fond s'y trouve une patte d'appui et de retenue pour le sommet et la base d'un volet horizontalement orienté, le volet agissant sur la base de cette paroi de droite comme celui de celle de gauche.

La fig. 22 : est une vue en perspective d'une oméga fixé sur une double paroi et proche de leurs deux bordures ; ces parois étant écorchées à chacune de leurs deux extrémités horizontales.

La fig. 23 : illustre la partie avant gauche du sommet d'un dossier d'où émerge une lame de liaison avec l'un des moyens de retenu fixés sur les parois dont fait partie l'oméga illustré à la fig. précédente.

La fip La fig. 24 : est une figure schématisant à gauche le sommet d'un dossier d'où émerge un moyen de liaison constitué par deux lames parallèles prenant la forme profilée d'une pince dont une des deux lames est fixée sur la partie interne du sommet du dossier et l'autre lame prenant retenue dans un oméga fixé vers le sommet d'une paroi.

La fig. 26 : est une vue en perspective du sommet de la partie gauche et arrière du volet rétractable qui est verticalement sectionnée à droite afin d'illustrer dans la partie centrale du volet

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la présence d'une lame de liaison en carton plastiqué et qui, après avoir traversé une fente horizontale proche du sommet voit le talon plus large de sa base illustrée en pointillés oeilleté à ses deux extrémités contre la partie interne du dosseret de ce dossier.

La fig. 27 : illustre en perspective le sommet de la partie gauche et arrière du sommet du dosseret contre la partie interne, duquel est fixé le volet rétractable la partie externe du sommet de ce dosseret est repliée pour former un pli librement accessible pour la lame fixée sur une paroi et illustrée au-dessous afin de s'y trouver bloquée entre les deux oeillets.

La fig. 28 : illustre la partie avant d'un dossier dont la base prend son appui en verticalité au niveau du rainurage d'articulation d'une paroi et s'y trouve relié et centré par un volet dont la patte externe est introduite sous le pli de retenue des liaisons latérales élastiques et entre les deux oeillets centraux alors que le volet rétractable du haut s'y trouve relié, centré et retenu grâce également à un volet dont la patte est dotée d'un bouton pression coopérant avec celui appartenant au centre du volet rétractable.

La fig. 29 : est une vue schématique et en perspective de la double paroi d'un classeur ayant sa base prolongée par un fond indépendant et dont les parties arrières sont écorchées et illustrées en partie avant vers la base de la paroi de gauche l'excroissance d'un appui de surélévation du fond de ce classeur dont la mini paroi verticale de son fond se trouve pincée, serrée et bloquée par des oeilletages et le rainurage longitudinal et central est légèrement incurvé vers la partie interne et visualisée en pointillés.

La fig. 30 : est une vue de la forme profilée d'un dossier dont le volet rétractable en haut a son extrémité qui plonge profondément dans la partie interne de la poche formée par le volet du bas, la liaison élastique reliant le dosseret à ce volet rétractable est obtenue ici par une fixation de cette liaison sur une oreille prolongeant directement ou indirectement les bords latéraux de ce dossier.

La fig. 31 : illustre un classeur dont le pont reliure a une hauteur égale à celle verticale de ses parois dont celle se trouvant au premier plan illustre en pointillés l'emplacement de leur liaison par un ruban élastique la surélévation de la partie arrière proche de l'articulation du fond est obtenue grâce à la lame oeilletée sur la partie interne de chacune des parois et accolée au rainurage

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d'articulation des parois du fond, lequel comporte dans sa partie centrale un rainurage en pointillés dont le matériau ressort permet de légèrement l'incliner vers la partie interne.

Le présent système de classement rangement vertical de documents et leurs sous dossiers repose présentement sur la réalisation des classeurs (1PA) fig. 1-2-2 bis et (IPB) fig. 8 et 9 permettant

la retenue en verticalité, fixe ou amovible (Ml) fig. 13 des dossiers (dl) fig. 1-5-Il-14-15- 17 comme il sera vu ci-après Ce dossier (IPA) dont la reliure articulée lui permet d'avoir une épaisseur compressible est réalisé dans cet exemple à partir d'un plan en carton relativement rigide, d'une épaisseur de 2 mm, d'une largeur de 320 mm et d'une longueur de 660 mm environ, en raison, pour tenir compte des trois rainurages (A10) et (Ail) assurant la liaison articulée et triangulée (AIS) fig. 1 et 13 entre les deux parois (A2) parallèles et en vis à vis, limitées chacune par une arête d'appui en verticalité (A3) parallèle à celle du sommet (A4) d'une longueur égale à celle de sa paroi (A2) de 285 mm limitée perpendiculairement par l'arête (AS) de 320 mm de haut parallèle au rainurage d'articulation (A12) : la partie centrale comportant, le cas échéant, un rivet de sertissage pour un ruban élastique (A6) de 24 cm e longueur, largeur 8

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mm assurant notamment la fermeture du classeur et permettant de relier la partie externe des deux parois.

', , Le rainurage vertical (A 12) réunit ainsi les arêtes (A3) et celle du sommet (A4) pour permettre de former l'articulation triangulée et compressible (A15) comprenant : deux plans verticaux de 36mm de large reliés et articulés au centre grâce au rainurage (ait) et aux extrémités verticales opposées par les rainurages (A 12).

Cette articulation (A15) débute à environ 36 mm du rainurage (A12). soit à l'alignement de l'arête verticale (C2) du mini créneau (CRI) fig. 1 et 16 situé sur chacune des deux arêtes (A4) en vue de faciliter la rotation du volet rétractable (6) du dossier (dl) fig. 1 et fig. 3

v comme il sera vu ci-après.

Cette longueur de 36 mm venant en dépassement de la largeur (moins de 250 mm du dossier (dl) pris ici en référence fig. 1-2-2bis) permet ainsi d'absorber très largement la pénétration de la pointe formée par la partie interne du rainurage (A10) quelque soit l'épaisseur et après compression des dossiers (dl) retenus et bloqués en vis à vis sur les parois internes du classeur dossiers (1PA) fig. 1, lequel peut être également réalisé en carte illustrée ou vernie de 250 ou 300gr au m2 par exemple ; la rigidité de ces parois (A2) se combinant alors avec celle des dosserets des dossiers (dl) fig. 3. Dans tous les cas, chacune des deux parois (A2) et son plan articulé (Ail) peut être éventuellement prolongé et après un rainurage (A14) par un plan de liaison (A18) fig. 2bis d'une largeur de 25 mm environ orienté en partie interne du classeur et parallèlement à ses parois. De telle manière que ces deux plans (A 18) puissent être accolés et reliés afin de pouvoir retenir entre leurs faces internes un plan souple ou articulé et complémentaire de signalisation.

- Dans cette fig. 1 la fixation des deux dossiers (dl) se trouvant en vis à vis est réalisée grâce à un collage de la paroi (A2) avec la partie externe des dosserets (d2) assisté par quatre oeilletages (A19) lesquels peuvent être utilement remplacés par la retenue encastrée et suspendue (Ml) fig. 13 mais utilisée alors comme fixation définitive, économique, sécurisante, comme il sera vu ci-après.

Cette famille de dossiers (dl) de la fig. 3 a globalement une hauteur hors tout de 318 mm pour une largeur légèrement extensible de 235 mm. Elle a pour objet d'en faire un outil de

travail performant dans les travaux de classement ultérieurs = 1 1-

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A cet effet et pour cet exemple permettant notamment un enliassement aisé de feuilles et de feuillets 210 x 295 mm et leurs sous dossiers adaptés : le dosseret Fig. 3-5-17 à une hauteur allant d'un rainurage (d3b) à celui (d3H) de 318 mm environ : et une largeur entre les deux rainurages latéraux opposés (dL2) de 235 mm que prolongent chacune des deux ailes de raidissement d'appui et de retenue (dL3) limitées ici à 7,5 mm
Ce dosseret de rigidité (d2) fig. 3 de nature et d'épaisseur variable est réalisé dans le présent exemple dans une carte lustrée d'environ 300 gr/rn2. Sa base (d3b) est prolongée à 1800 vers la partie centrale par un volet (d4) d'une largeur de 236 mm et d'une hauteur globale de 105 mm pour se terminer par un moyen d'appui, de retenue et de rigidité, lequel dans cette fig. 3 prend la forme d'une coulisse (16A) formée par la prolongation à 180 vers la partie externe par un pli d'une largeur de 35 mm prolongée à nouveau à 180 vers l'interne du précédent pli de 25 mm de large (Dal)
Ce qui permet d'engager dans cette coulisse (16A) un ruban élastique (d8b) fig. 1-3-17 de
190 mm de long environ. de 6 mm de large et dont chacune des deux extrémités opposées est fixée sur la partie externe du dosseret (d2) proche du rainurage (dL2) fig. 17 après avoir comprimé les ailes latérales (dL3) cette fixation (d8F) étant réalisée à environ 15 mm au- dessus du sommet du volet (d4).

- Pour une diversité d'utilisation et de matériaux telles que celles illustrées aux fig. 4-7-14-15-
18-19 les dossiers type (dl) sont susceptibles de comporter de légères variantes de réalisation tels les volets (d6) se trouvent rapportés sur leurs dosserets (d2) fig. 3 en étant fixés sur la partie externe du sommet de leurs dosserets (d2) grâce à une aile de raidissement (d6R) par exemple et mis en oeuvre aux fig. 4-14-15 par exemple.

- Globalement, ces dossiers types (dl) fig. 1-3-5-7 ont leurs moyens d'appui, de ZD coulissement, de retenue, d'orientation de leurs rubans élastiques (d8H) et (d8b) afin de permettre aux volets rétractables (d6) de pouvoir s'éclipser sous l'effet d'une légère poussée et inversement venir bloquer un enliassement pour en faire un bloc de manipulation de forme sensiblement parallélépipédique.

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Dans cette carte lustrée d'environ 250 gr/m2 la partie gauche et haute du dossier (dl) de'-la fig. 5 illustre : le volet (d6) prolongeant le sommet (d3H) du dosseret (d2) par le pliage à 1800 d'un plan (d05) formant ce volet, d'une longueur variable qui est ici de 145 mm environ rainurage compris. Sa largeur est celle du dosseret (d2) soit 235 mm.

Le rainurage du sommet (d3h) est suivi de quatre autres dont le premier forme le pli (d04) de

5mm de large suivi de trois plis d'expansion de 10mm de large chacun et que prolonge le C > plan (d05) sur une long. de 30mm pour donner naissance a un premier pli orienté à 180 en direction du sommet, pour former le premier plan de la coulisse (160) fig. 3 de 30mm de large, suivi par un second pliage à 180 en direction de la partie interne dtfprécédent par un pli de retenu de 20mm de large. (16C1) Entre ce dernier et la partie interne du pli (1 obvient se loger la gaine profilée plastique (16G1) fig. 5 et 6 comportant deux ailes permettant d'emboîter le ruban élastique (d8H) dont chacune des deux extrémités opposées est fixée (d8F) à environ 15mm sous l'extrémité horizontale du pli (16d) et sur chacune des deux bordures latérales opposées et externes du dosseret (d2) proche du rainurage (dL2) fig. 5. Cette gaine (16GI) comporte donc deux ailes

soit : une première plane d'une hauteur de 26 mm (G 1) prolongée à 180 par une aile dont la rm partie haute est légèrement bombée (G2) et de 22 mm de haut, et la largeur interne de coulissement est de 20/10 de mm.

/ - La base de l'aile (gel) fig. 6 offre ainsi un plan d'appui de 4 mm pour le ruban (d8H) comme le suggère la gaine (16GI) illustrée en bas de la fig. 5. Ce moyen d'emboîtement de ce ruban élastique (dSb) se trouve inversé dans sa retenue du volet (d4) fig. 17 dont les deux fixations latérales externes (d8F) se situent à 15mm au-dessus du sommet du profil (45) dont les deux ailes d'une largeur égale viennent ici pincer le sommet de l'arête horizontale du volet (d4) du dossier (dl) d'une hauteur de 105mm pour prolonger la base du dosseret (d2) par le volet (d4) sa réalisation est similaire à celle du volet (d6) et permet notamment au pli d'appui (d04) prolongeant à 90 le rainurage (d3b) de participer avec les plis suivants (d5) à l'assise en verticalité des dossiers (dl) fig. 1.

L'étroit couloir d'orientation (G3) pour la sortie du ruban (d8H) cumulé au libre coulissement de sa longueur 190mm et la libre élasticité en résultant ainsi que la longueur de à gaine (16G1) de 238mm permettant un dépassement d'environ 15/10 mm à chacune des

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deux extrémités de la coulisse (16G) fig. 3 et 5 facilitent le mouvement de rotationsdu ruban (d8H) pour éclipser le volet rétractable (d6) fig. 1-3-5.

La coulisse (16E) fig. 7, indépendante d'appui. de retenue, d'orientation et de libre Cr coulissement du ruban (A8H) d'un volet rétractable (d6) sur lequel elle peut se situer en tout endroit de sa hauteur et participer également à la retenue de divers moyens de signalisation.

Cette coulisse rainurée (16E) est réalisée en carton relativement rigide ou en plastique et

selon une couleur adaptée, elle est aisément réalisable en petite largeur 18 à 20mm par z exemple et se trouve réalisée comme seul moyen rétractable dans la proximité du sommet et d'un dosseret (d2) grâce notamment à la grande élasticité de son long ruban élastique coulissant.

Cette coulisse (16E) a une largeur avant rainurages de 95mm et une longueur de 236mm

augmentée de celle de chacune de ses deux pattes rabattables (16E3) de 25mm soit 290mm rainurages compris. Les 236mm formant la partie principale de cette coulisse (16E)

comportent deux pliages à 180 pour former trois ailes : la première (16E1) de 35mm dA 141r de large prend appUi sur -te-plan du volet (16d) fig. 7 et se trouve prolongée en vis à vis de la

précédente par l'aile externe (16E) désignant également cette coulisse et d'une largueur de 30mm à nouveau prolongée en vis à vis de la précédente par une aile (16E2) de 27mm de large.

L'aile externe (16E) est prolongée à chacune de ses deux extrémités opposées et après le

rainurage (16E4) par une patte rabattable (16E3) de 25mm de long mais de 22mm de large c débutant vers la base (16E7) de telle manière à créer en partie haute un étroit passage de 8 mm de haut (16E5) pour permettre d'orienter la rotation vers le haut ou vers le bas a un ruban (d8H) après que cette patte ait été rabattue derrière le volet (d6) et l'ensemble fixé par un ceillet (16E) par exemple.

Parmi les moyens de signalisation ; la coulisse transparente en plastique pliage (SI) de 45mm rD rp de long par exemple illustrée en prolongation de celle (16E) comporte également trois ailes.

CI Z > La première d'une hauteur de 45mm (S2) vient se loger entre l'aile (16EI) et celle (16E2) fig. 7 et vient buter sur la base interne (16E7) de cette dernière.

CD

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Le sommet de cette aile (S2) est prolongé à 180 en vis à vis de sa partie interne. par l'aile (SI) d'une hauteur de 48 mm et dont la base est à nouveau prolongée à 180 par un large rayon par l'aile (S3) qui vient se loger et prendre appui et retenue dans le couloir (16E6) existant entre la base externe de l'aile (16E2) et la partie externe du volet (d6).

Enfin, le couloir de retenue entre l'aile (16E1) et celle (16E2) de la coulisse (16E) constitue également un moyen d'appui sur la partie interne (16E7) du rayon formant la base de l'aile (16EI) pour des moyens de signalisation de format divers fig. 1-4-10-11.

- Le classeur pour dossiers (AB1) fig.'13 comporte comme celui similaire J. JPA) fig. 1 deux mini créneaux (CRI) fig. 16 destinés à faciliter la rotation des rubans (d8H) des volets rétractables.

- Ces créneaux (CRI) sont réalisés à partir de l'arête supérieure (A4) et à 35, 5mm du rainurage d'articulation (A12) par une découpe (C2) perpendiculaire à cette arête et de 25mm de haut suivie à 900 par une seconde (C3) de 12mm de large qui prolonge la découpe (C4) pour rejoindre l'arête (A4) à environ 18mm du rainurage d'articulation (A12).

Ce classeur (AB1) fig. 13 se caractérise notamment par son moyen de fixation amovible de dossiers (Ml) qui permet de les emboîter et de les suspendre par le sommet de leurs dosserets

(d2) et verrouiller leur blocage vertical par un moyen amovible et escamotable (ML) à droite . J de cette fig. 13. Un moyen susceptible de prendre des formes diverses ou d'être mute avantageusement en fixation définitive.

- La. paroi interne (A2) de ce classeur (AB1) comporte à son niveau supérieur un plan de ) * < U\SO rectangulaire (Ml) en plastique relativement rigide et de 8/10 de mm. Les deux arêtes parallèles (M2) correspondent à sa longueur de 180mm et celles (M3) à sa hauteur de 100mm. La partie inférieure (M4) de 40mm environ de haut est collée et/ou oeilletée sur la paroi (A2) de telle manière que son arête supérieure (M2) vienne presque affleurer celle (A4) de la paroi (A2) et qu'une de ses deux arêtes latérales (M3) se situe à environ 33mm de l'arête verticale (A5) de cette paroi (A2).

Ce moyen de liaison (Ml) permet d'emboîter et de centrer instantanément)) l'aile (d2R) du

sommet du dosseret (d2) fig. 14 et 15 et illustré à droite de la fig. 13 et grâce notamment à c l'arrondi des deux angles opposés prolongeant l'arête supérieure (M2) avec celles verticales CI

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(M3). Cette aile (d2R) de 20mm de large fig. 14 et 15 est formée par la prolongation à 1800 environ du sommet du dosseret (d2) et après celui de l'angle (db2) de l'aile d'appui retenu " (dL3). Cette aile (d2R) est coiffée par celle (d6R) du volet (d6) d'une largeur de 15mm. Ces deux ailes superposées sont ensuite reliées avec la partie externe du dosseret grâce à deux oeillets dont l'entre axes de chacun est situé à environ 27mm de chacune des deux extrémités latérales de ces ailes superposées. Ce moyen de liaison (Ml) réalise ainsi un appui (angles arrondis déduits) d'environ 140mm2 sur la partie interne du rainurage de pliage de l'aile (d2R) du dosseret (d2). Ces dossiers emboîtés et suspendus sont également retenus en

direction du bas ; soit d'une manière définitive grâce à un agrafage collage ; ou oeilletage par ./' exemple ; ou, d'une manière amovible telle que l'utilisation d'un bouton pression ou de elcro par exemple. Dans le cas présent il s'agit d'une retenue amovible fixée sur la partie plus centrale de la base de cette paroi (A2) sur laquelle cette retenue (ML) est escamotable.

Cette dernière est réalisée à partir d'une bande rectangulaire en carte lustrée similaire à celle du dossier (dl) dont elle illustre la retenue du volet (d6) à droite de la fig. 13, d'une largeur de 80mm sa longueur de 285mm permet de former trois volets reliés par deux très courts servants d'articulation. Le premier (Ll) d'une longueur de 95mm que prolonge un volet d'articulation (L2) d'une longueur de 5mm partagée par un rainurage de pliage (L5) situé dans l'alignement de l'arête (A3) réalisant l'appui en verticalité du classeur (1PA).

Lequel volet (L2) est prolongé par un second (L3) de 105mm de long prolongé par un volet

1 d'articulation (L6) d'une longueur de 3mm comportant trois rainurage permettant d'assurer le pliage et la prolongation du troisième volet (L4).

Non utilisée, cette retenue complémentaire (ML) à droite et à gauche de la fig. 13 : le volet (L3) est plaqué sur le volet (Ll) dont la base est collée sur celle de la paroi (A2) du classeur et sur une hauteur de 30mm afin de permettre à la partie supérieur d'être légèrement écartée pour pouvoir y introduire le volet (L4). Pour assurer la retenue du volet (d6) du dossier (dl) le volet (L3) est accolé à la paroi de ce volet qui se trouve retenu vers le bas par le volet (L4) rabattu sur la paroi interne du volet (d6) à droite de la fig. 13.

Grâce à une combinaison d'utilisation des moyens de liaison (mil) et (ML) il est ainsi possible de réaliser des systèmes de retenu, fixes ou amovibles de dossiers (dl) par exemple

sur les paroi interne de classeurs (IPA) ou (l PB) par exemple afin de conférer au rangement c , de ces dossiers une stabilité renforcée dans leur appui en verticalité.

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Ces classeurs dossiers (1PB) schématisés fig. 8 et 9 se différencient de ceux (IPA) par la largeur réduite à 250mm de leurs parois de fixation et d'appui en verticalité (P5) d'une hauteur de 320mm réuni par un pont reliure (PI) d'une largeur de 70mm et d'une hauteur également réduite à 295mm par une découpe (P4) fig8 et 9 formant un U entre les arêtes horizontales (P3) du sommet des parois (P5) dont chacune des deux extrémités opposées voit son angle arrondi selon un rayon de 8mm environ afin de faciliter la rotation du ruban élastique (d8h) et notamment dans la découpe (P4). Sur chacune des deux parois de ce classeur (IPB) fig. 8 se trouve schématisée en pointillés des moyens de retenu fixes ou

t amovibles : à gauche de la fig. 8 la retenu (Ml) est rendue définitive par urM 60-t." (P) en u n J partie basse du dossier ; à droite la retenue (Ml) estocrten partie basse par la retenue amovible (ML).

Les moyens de liaisons (Ml) de dossiers (dl) par exemple schématisés sur cette fig. 8, fixés à gauche et amovibles à droite, metteht en évidence : l'épaisseur minime qui caractérise cette sorte de mécanisme permettant de classer des documents lisibles parallèlement à leur appui en verticalité ou même, si nécessaire perpendiculairement dans des classeurs dont les rainurages parallèles (P8) fig. 9 bordant le pont reliure (PI) pour en articuler les parois (P2)

fig. 9 peuvent ainsi offrir un volume réduit pour le stockage ou le transport lorsque les parois c de ces classeurs sont accolées.

Les sous dossiers pochettes (SPI) fig. 10 et 11 ont pour principal objet celui de laisser pénétrer librement ou extraire sans retenue ni friction des documents ou des sous dossiers papier (dPl) fig. 12 par exemple dans des dossiers (d 1) fig. ll. Un inconvénient qui se produit fréquemment lorsque, et par exemple, la base des documents pré cités se trouve engagée ou retenue par la fermeture angulaire élastique de nombreux dossiers servant également de sous-dossiers.

@ La réalisation de ces sous dossiers (SPI) s'inspire nécessairement du concept d'utilisation de ce classement rangement vertical et s'en distingue par une combinaison de moyens permettant d'éviter notamment l'inconvénient précédemment cités : ainsi que le dosseret (SD2) fig. 10 du sous dossier (SPI) fig. 11 réalisé en carte lustrée de 250gr/m2 à une hauteur de 308mm et une largeur de 230mm bordée latéralement par des ailes d'appui retenue (SL3)

d'une largeur de 9mm (fig. 10) CD

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Le sommet de cette aile (S2) est prolongé à 180 en vis à vis de sa partie interne j) ar Faite (SI) d'une hauteur de 48 mm et dont la base est à nouveau prolongée à 180 par un large rayon par l'aile (S3) qui vient se loger et prendre appui et retenue dans le couloir (16E6) existant entre la base externe de l'aile (16E2) et la partie externe du volet (d6).

Enfin, le couloir de retenue entre l'aile (16EI) et celle (16E2) de la coulisse (16E) constitue également un moyen d'appui sur la partie interne (16E7) du rayon formant la base de l'aile (16E1) pour des moyens de signalisation de format divers fig. 1-4-10-11.

Le classeur pour dossiers (AB 1) fig.'13 comporte comme celui similaire J. 1 PA) fig. 1 deux -l f mini créneaux (CRI) fig. 16 destinés à faciliter la rotation des rubans (d8H) des volets rétractables.

Ces créneaux (CRI) sont réalisés à partir de l'arête supérieure (A4) et à 35,5mm du rainurage d'articulation (A12) par une découpe (C2) perpendiculaire à cette arête et de 25mm de haut suivie à 900 par une seconde (C3) de 12mm de large qui prolonge la découpe (C4) pour rejoindre l'arête (A4) à environ 18mm du rainurage d'articulation (A12).

Ce classeur (ABI) fig. 13 se caractérise notamment par son moyen de fixation amovible de

dossiers (Ml) qui permet de les emboîter et de les suspendre par le sommet de leurs dosserets (d2) et verrouiller leur blocage vertical par un moyen amovible et escamotable (ML) à droite -' de cette fig. 13. Un moyen susceptible de prendre des formes diverses ou d'être mute avantageusement en fixation définitive.

La- paroi interne (A2) de ce classeur (AB1) comporte à son niveau supérieur un plan de

b UT rectangulaire (Ml) en plastique relativement rigide et de 8/10 de mm. Les deux arêtes parallèles (M2) correspondent à sa longueur de 180mm et celles (M3) à sa hauteur de 100mm. La partie inférieure (M4) de 40mm environ de haut est collée et/ou oeilletée sur la paroi (A2) de telle manière que son arête supérieure (M2) vienne presque)) affleurer celle (A4) de la paroi (A2) et qu'une de ses deux arêtes latérales (M3) se situe à environ 33mm de l'arête verticale (A5) de cette paroi (A2).

Ce moyen de liaison (MI) permet d'emboîter et de centrer instantanément l'aile (d2R) du sommet du dosseret (d2) fig. 14 et 15 et illustré à droite de la fig. 13 et grâce notamment à l'arrondi des deux angles opposés prolongeant l'arête supérieure (M2) avec celles verticales

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(M3). Cette aile (d2R) de 20mm de large fig. 14 et 15 est formée par la prolongation à 180 environ du sommet du dosseret (d2) et après celui de l'angle (db2) de l'aile d'appui retenu (dL3). Cette aile (d2R) est coiffée par celle (d6R) du volet (d6) d'une largeur de 15mm. Ces deux ailes superposées sont ensuite reliées avec la partie externe du dosseret grâce à deux oeillets dont l'entre axes de chacun est situé à environ 27mm de chacune des deux extrémités latérales de ces ailes superposées. Ce moyen de liaison (Ml) réalise ainsi un appui (angles arrondis déduits) d'environ 140mm2 sur la partie interne du rainurage de pliage de l'aile (d2R) du dosseret (d2). Ces dossiers emboîtés et suspendus sont également retenus en

direction du bas ; soit d'une manière définitive grâce à un agrafage collage ; ou oeilletage par ./ exemple ; ou, d'une manière amovible telle que l'utilisation d'un bouton pression ou de - elcro par exemple. Dans le cas présent il s'agit d'une retenue amovible fixée sur la partie plus centrale de la base de cette paroi (A2) sur laquelle cette retenue (ML) est escamotable.

Cette dernière est réalisée à partir d'une bande rectangulaire en carte lustrée similaire à celle du dossier (dl) dont elle illustre la retenue du volet (d6) à droite de la fig. 13, d'une largeur de 80mm sa longueur de 285mm permet de former trois volets reliés par deux très courts servants d'articulation. Le premier (LI) d'une longueur de 95mm que prolonge un volet d'articulation (L2) d'une longueur de 5mrn partagée par un rainurage de pliage (L5) situé dans l'alignement de l'arête (A3) réalisant l'appui en verticalité du classeur (1PA).

Lequel volet (L2) est prolongé par un second (L3) de 105mm de long prolongé par un volet

if d'articulation (L6) d'une longueur de 3mm comportant trois rainurage permettant d'assurer le pliage et la prolongation du troisième volet (L4).

Non utilisée, cette retenue complémentaire (ML) à droite et à gauche de la fig. 13 : le volet (L3) est plaqué sur le volet (LI) dont la base est collée sur celle de la paroi (A2) du classeur et sur une hauteur de 30mm afin de permettre à la partie supérieur d'être légèrement écartée pour pouvoir y introduire le volet (L4). Pour assurer la retenue du volet (d6) du dossier (dl) le volet (L3) est accolé à la paroi de ce volet qui se trouve retenu vers le bas par le volet (L4) rabattu sur la paroi interne du volet (d6) à droite de la fig. 13.

Grâce à une combinaison d'utilisation des moyens de liaison (Ml) et (ML) il est ainsi possible de réaliser des systèmes de retenu, fixes ou amovibles de dossiers (dl) par exemple sur les paroi interne de classeurs (1PA) ou (1PB) par exemple afin de conférer au rangement de ces dossiers une stabilité renforcée dans leur appui en verticalité.

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Bien que la présente innovation concerne tous les formats de documents souples ou rigides, les présents travaux brièvement résumés de la fig. 20 à celle 31 se réfèrent à la dimension standardisée de 215 x 297. A cet égard, compte tenu des moyens utilisés pour classer ces documents, en supprimant les broches et anneaux, les classeurs illustrés aux figures 20 et 31 ont en commun des parois rectangulaires d'une longueur de 320 m/m, d'une largeur de 245 m/m.

Ces dimensions dont la qualification se trouve inversée selon la position que ces classeurs occupent à droite ou à gauche de la fig. 20 par ex., la réduction d'au moins 30 m/m de cette largeur par rapport à un classeur dit à levier par ex. malgré tout rendue possible grâce à la peine utilisation de parois par les dossiers (dal) d'une hauteur de 315 rn/m environ et d'une largeur de

235 m/m,'.) j ". 1 , uu La hauteur de la dimension du classeur à gauche de la fig. 20 ou celui de la fig. 31"est augmentée

et selon des moyens différents de environ 5 m/m, ce qui devrait se traduire à la proportionnelle de

l'illustration par une augmentation de à peine 1 m/m zu Ces lame ont la stabilité qu'elles confèrent à ces classeurs lorsque leur fond reliure est

perpendiculaire à leur appui sur la tablette.

Cette surélévation a pour effet de protéger l'écrasement de la liaison élastique (o b ( ?) permettant de maintenir vertical et en vis à vis les parois (0 1\ ) et de constituer une retenue et un 1 appui (pour cette liaison (=''0 Q).

La figure 21 met en évidence et en parallèle des classeurs d'un type similaire à ceux de la fig 20 afin de pouvoir illustrer leur utilisation ouverte montrant sur la paroi de gauche du dossier (dal) < * dont la base est emboîtée dans le volet orientable ('"'. ?) alors que la lame de retenue (031) située au sommet du dossier (Dl) est emboîtée dans un mini oméga (03) illustré vers le haut de la double paroi dont la base est dotée d'un volet orientable et chacun des deux côtés latéraux de la hauteur comportant la patte de retenue du volet destinée à pénétrer la patte interne du pli de raidissement du dossier illustré figure 28 '" ",

La fig. 22 illustre l'oméga 032 visé ci-dessus et dont la lame 031 destinée à le pénétrer est illustrée au sommet du dossier Dl illustré à la fig. 23 ainsi qu'elle est vue dans sa partie arrière à la fig. 26 La fig. 24 illustre une lame de liaison 033 formant une pince dont une lame 034 pénètre le sommet d'un oméga 032 fixé à la paroi du classeur fig. 21 bis.

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La fig. 25 illustre les 2 pattes de liaison de 2 volets dans des dimensions et une largeur très réduite, l'une des 2 pattes étant introduite entre la double épaisseur du sommet d'une paroi sort à gauche une patte (035) destinée à pénétrer sous la coulisse d'un volet () alors que celle à droite (036) dispose vers son extrémité d'un bouton pression coopérant en retenue avec celui (037) du volet UD 6) de la fig. 28.

La fig. 26 illustre la partie arrière d'un dossier (Dl) dans le dosseret duquel est fixé dans sa partie supérieure une lame de retenue (031).

La fig. 27 illustre le retour plié du sommet externe du dosseret d'un dossier (D 1) afin de pouvoir y retenir entre les oeillets centraux une lame (031).

La fig. 28 illustre un dossier (Dl) horizontal dont les larges plis de liaison élastique permettent d'y faire pénétrer une patte de liaison (035) et en hauteur la retenue de la partie supérieure étant réalisée au bouton pression de la patte (036).

JP La fig. 29 schématise une double paroi au bas de laquelle se trouve fixé dans sa partie interne un

fond disposant dans sa partie centrale d'un rainurage incurvé à la base de la paroi externe une lame de retenue 02 j La fig. 30 est un dossier (ODIP) d'un type standard dont le volet (OD61) supérieur pénètre profondément dans la partie interne du volet (ODP) du bas et dont la retenue élastique (OD8H) forme la liaison entre le dosseret du dossier et l'oreille (OD6'lJqui pourrait être également l'extrémité d'un profil reliant les 2 bords latéraux du volet.

Claims (5)

REVENDICATIONS 1). Moyens de classement et de rangement vertical de documents comprenant des classeurs dossiers pluri fonctionnels ( (1 PA-1 PB-01 PA) et au moins un dossier (Dl) caractérisés en ce que, d'une part un classeur dossier comporte un fond reliure d'une

1 hauteur variable, le cas échéant compressible) et dont chacune des deux articulations latérales est prolongée par au moins l'épaisseur d'une paroi, et d'autre part, la partie interne de chaque paroi comporte proche de chacune des deux bordures appartenant à au moins l'une des deux parois qui sont parallèles divers moyens de liaison d'appui et de retenue coopérant entre eux et oeilletée, collés, éventuellement emboîtés, entre les deux parois, et en ce que le dossier (dal) comprend en outre des volets comprimants et rétractables (D4) sur son sommet retenus sur les bordures latérales externes et opposées (D8F) du dossier (dal) au moyen de rubans élastiques (D8B-D8H), les dits volets assurant la stabilité de la liasse de documents et son blocage, et en ce qu'une paroi (A2) du classeur comporte au moins dans sa partie inférieure l'un des systèmes de liaison amovible (ML) qui prolonge sur au moins une partie de la longueur de la base du classeur à environ 160

2). Moyens de classement et de rangement vertical de documents, selon la revendication I, dz caractérisés en ce que la légère surélévation de la partie arrière d'appui d'un classeur'et

qui est formée par la partie jointée de la base d'un pont reliure avec la paire de bordure qui le prolonge, est réalisée grâce à une lame dépendant d'au moins de l'une des parties réalisant le fond d'appui de ce classeur.

l'entremise d'au moins une partie de la face externe de leur fond grâce à au moins une Ojo liaison élastique les reliant en vis à vis en étant fixée vers le tiers bas de la hauteur horizontale des bordures perpendiculaires au rainurage d'articulation du fond dont cette fixation est éloignée d'une distance presque similaire à la précédente. A la mouvance des parois cette liaison élastique vient prendre retenue sur la partie supérieure de l'appui en surélévation du fond du classeur.

3). Moyens de classement et de rangement vertical de documents, selon les revendications 1 et 2, caractérisés en ce que les deux parois d'un classeur prennent appui en verticalité par

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4). Moyens de classement et de rangement vertical de documents, selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisés en ce que les rubans élastiques (D8B-D8H) au moins maintenus sur chacune des deux bordures latérales externes et opposées (D8F) du dossier (dal) après avoir raidi les ailes latérales (D6) assurent la compression des volets et ces élastiques étant fixés grâce aux moyens de liaison et d'orientation de chacun des bords latéraux de chacun des deux volets.

5). Moyens de classement et de rangement vertical de documents, selon les revendications 1 à 4, caractérisés en ce qu'au moins une large coulisse retenue par au moins deux oeillets sur son volet rétractable dont elle dépend afin d'y faire coulisser et orienter les liaisons élastiques se reliant au corps du dossier où se trouve similairement relié le volet comprimant du bas (D4).