FR2723758A1 - Dispositif pour le soutien de tables de coffrage pour plafond - Google Patents

Abstract

Dispositif (11) pour le soutien de tables de coffrages comprenant un dispositif en treillis sensiblement vertical (13), au moins deux poutres longitudinales (14) de coffrage, une extrémité de chaque poutre longitudinale de coffrage (14) étant articulée au moins indirectement au dispositif en treillis (13) et étant dépliable d'une position verticale dans une position plutôt horizontale.

Description

L'invention concerne un dispositif pour le soutien de tables de coffrage

pour plafond comprenant au moins un dispositif en

treillis sensiblement vertical, au moins deux poutres longitu-

dinales de coffrage et au moins un dispositif à montants.

Pour le coffrage de plafond, on utilise, entre autres, des

tables de coffrage de plafond qui présentent des construc-

tions de soutien reposant sur le sol et déviant les forces.

Les tables de coffrage de plafond se composent d'un plateau comprenant la surface de coffrage, l'étançon et le dispositif

de soutien.

Selon l'état de la technique, d'après Oskar M. Schmitt "Schaltechnik im Ortbetonbau", Werner-Verlag (1993) et Oskar M. Schmitt "Einf hrung in die Schaltechnik des Betonbaues" Werner-Verlag (1981), on connaît les constructions de soutien suivantes: 1. On utilise des ossatures porteuses tridimensionelles se

composant de tubes d'acier, de jonctions tubulaires et de bro-

ches d'emboîtement telles qu'elles sont employées dans la

construction d'échaffaudage en tube d'acier. De telles cons-

tructions font preuve d'une capacité portante faible des tubes qui disposent d'une distance d'appui étroite et par

conséquent de nombreux points d'affaissement.

2. D'autres dispositifs de soutien prévoient une construction

d'étançonnement qui se compose de jambes de force horizonta-

les et diagonales réglables en longueur qui sont raccordées au centre par des surfaces de noeud d'assemblage. La table

entière dispose, du fait de cette construction, d'une rigidi-

té intrinsèque élevée mais est très volumineuse et lourde.

3. En outre, des cadres préfabriqués en aluminium et acier

ont été mis au point à partir desquels, un échaffaudage tridi-

mensionnel peut être assemblé à l'aide de jambes de force

horizontales et diagonales en une construction de soutien.

4. On connaiît également des dispositifs de soutien pour lesquels on se passe totalement d'entretoises et d'étançons. En tant que pied de table, on utilise des appuis d'acier en série partiellement modifiés. La jonction avec le plateau de table et l'introduction des forces dans les appuis sont

assurées par des têtes de centrage spéciales métalliques.

5. On connaît également des dispositifs de soutien selon 4.

pour lesquels les appuis sont coudés, par rapport au plateau rigide en soi, après desserrage d'une goupille de sécurité, jusqu'à 90 vers l'arrière, partiellement vers l'arrière et vers l'avant. Le fait de couder la table réduit sa hauteur en fonction du montage du plateau sur mesure entre 80 cm et 120 cm. Il est partiellement prévu, pour ces tables de coffrage de plafond avec des appuis coudés, également des dispositifs

en treillis supplémentaires rabattables par rapport au pla-

teau de table rigide, qui sont également articulés au plateau de table rigide et sur lesquels peut être posée la table de coffrage de plafond quand les appuis sont rabattus. Etant

donné que les appuis ne peuvent pas dévier des forces horizon-

tales et qu'il n'existe pas de jonction, ces tables doivent être reliées par adhérence à des parties de construction

fixes de manière à introduire les forces horizontales directe-

ment de la superstructure dans la construction. Ceci s'effec-

tue au mieux par calage contre des murs ou des appuis. Des

haubannages sont éventuellement possibles.

Si les constructions de soutien connues ou tables de coffrage doivent être transférées à un autre endroit, les procédes

suivants sont employés.

1. le dispositif est transféré dans son ensemble. Etant donné

que les constructions de soutien connues ou tables de coffra-

ge sont volumineuses et lourdes et présentent une extension tridimensionnelle considérable, une grue est nécessaire autant pour le transport sur roulette que pour le montage et le

déploiement à la hauteur voulue.

Etant donné qu'après le coffrage, la construction de soutien n'est plus accessible directement par le haut avec la grue, elle est tout d'abord abaissée, mise sur roulette, les appuis étant éventuellement repliés par rapport au plateau de table rigide et est déplacée horizontalement le long d'un câble à l'aide de la grue, ce qui n'est possible que s'il n'y a pas de mur sur le chemin. Ensuite, la construction de soutien est transférée d'un endroit avec une ouverture de déploiement importante par le haut à un autre endroit au moyen de la

grue. Dans ce procédé, cela provoque fréquemment des endom-

magements de la sous-construction ou garde-fou. Les construc-

tions de soutien ou tables de coffrage sont partiellement enlevées au moyen d'un bec de canard avec la grue et passées au-dessus du garde-fou pour être transférées sur le prochain lieu d'intervention. Ici aussi, les dommages évoqués sont fréquents.

Selon le point 5., si une table de coffrage ou une construc-

tion de soutien avec des appuis rabattables est utilisée, après le transfert celle-ci, elle doit être redressée par la

grue et les appuis dépliés.

Indépendamment du fait que l'utilisation de grues pour le

transfert et la mise en place entraîne des dommages, les per-

sonnes concernées doivent toujours s'orienter selon l'occu-

pation de la grue, ce qui implique obligatoirement des temps

d'attente et des coûts de temps de travail plus élevés.

2. Une autre possibilité de transfert des constructions de soutien connues selon l'état de la technique réside dans le

fait de démonter les constructions de soutien en pièces déta-

chées, de transporter les pièces détachées sur le nouveau lieu d'intervention et de remonter l'ensemble de la construc-

tion de soutien. Cette procédure est nécessaire en particu-

lier pour le coffrage de plafond dans des pièces confinées, étant donné que la construction de soutien est si grande

qu'elle ne peut pas être sortie par la porte à l'état monté.

Ce procédé est très incommode et nécessite par nature des

coûts de travail très élevés.

Le but de l'invention est de mettre au point un dispositif pour le soutien de tables de coffrage pour plafonds qui est simple à monter et à transporter et qui peut être utilisé

également dans des pièces confinées.

Le but de l'invention est atteint par le fait que le disposi-

tif en treillis présente un plan principal, qu'une extrémité de chaque poutre longitudinale de coffrage est articulée au

moins indirectement au dispositif en treillis et est déplia-

ble d'une position verticale dans une position plutôt hori-

zontale. Le dispositf de soutien comprend essentiellement au moins un

dispositif en treillis vertical qui présente un plan princi-

pal, au moins deux poutres longitudinales de coffrage et au moins un dispositif à montants. Les poutres longitudinales de coffrage sont chacune articulées par une extrémité au moins

indirectement au dispositif en treillis et peuvent être dé-

pliées par rapport à ce dernier d'une position plutôt verti-

cale en une position plutôt horizontale.

Les poutres longitudinales de coffrage sont, en règle géné-

rale, articulées par une de leurs extrémités au dispositif de treillis déjà à la hauteur à laquelle doivent être dépliées

les poutres longitudinales de coffrage. Ainsi, le travail phy-

sique à fournir est diminué pour le soulèvement d'une poutre longitudinale de coffrage en comparaison de l'état de la technique. Dans les dispositifs connus, pour lesquels les appuis doivent être rabattus par rapport au "plateau de table" rigide non rabattable, le dispositif entier doit être soulevé. Si on ne considère dans les constructions de soutien

connues que le travail qui doit être fourni pour le soulève-

ment d'une poutre longitudinale de coffrage de même mesure,

le travail physique à fournir pour le soulèvement d'une pou-

tre longitudinale de coffrage est diminué de moitié dans le

dispositif de soutien conforme à l'invention.

Une forme de réalisation préférée prévoit que le dispositif

de soutien comprend quatre poutres longitudinales de coffrage.

Des deux côtés du plan principal du dispositif en treillis,

il est prévu deux poutres longitudinales de coffrage sensible-

ment parallèles l'une à l'autre et chaque poutre longitudi-

nale de coffrage est alignée dans son extension longitudinale avec l'une des poutres longitudinales de coffrage se trouvant

de l'autre côté du dispositif en treillis. Les poutres longi-

tudinales de coffrage, se trouvant réciproquement de chaque côté du plan principal, sont reliées rigidement entre elles

par une entretoise de poutre longitudinale de coffrage. Res-

pectivement, deux poutres longitudinales de coffrage et l'en-

tretoise de poutre longitudinale de coffrage définissent un plan horizontal de déploiement. Les profilés des poutres principales et la surface de coffrage peuvent être mis en

place contre les poutres longitudinales de coffrage.

Indépendamment du fait que les profilés de poutre principale et la surface de coffrage soient disposés sur le plan défini par les poutres longitudinales de coffrage, l'entretoise de

poutre longitudinale de coffrage et éventuellement par d'au-

tres entretoises, ce plan est désigné dans ce qui suit par "plateau de table" Le plateau de table, conforme à l'invention, se compose de S deux moitiés de tables individuelles pliables et dépliables

de sorte que, pour chaque moitié de table, seulement la moi-

tié du travail physique doit être fournie.

De par la diminution du travail à fournir pour l'abattement et le montage, les moitiés de table peuvent être dépliées simplement à la main sans que, comme cela est connu dans les constructions de soutien connues, pour le soulèvement et le dépliage des appuis par rapport au plateau de table rigide,

une grue soit nécessaire. Le pliage et le dépliage des moi-

tiés de tables sont facilités davantage, conformément à un perfectionnement de la construction de soutien, par le fait

que la zone supérieure à déployer et également la zone régla-

ble en hauteur du dispositif de soutien, décrite dans ce qui

suit, sont en aluminium.

Un autre avantage des deux moitiés de tables pliables et

dépliables réside dans un allégement considérable du trans-

port du dispositif de soutien étant donné que la dimension du

plateau de table à transporter est divisée de moitié.

Afin que les moitiés de tables rabattues vers le haut restent en position souhaitée, il est prévu, de préférence sur chaque

poutre longitudinale de coffrage, un dispositif d'appui incli-

né comprenant un dispositif d'articulation. Pour éviter un abaissement involontaire et garantir une manipulation simple, il est souhaitable d'utiliser un dispositif d'articulation avec un dispositif autobloquant et un dispositif de retour pouvant être débloqué manuellement de sorte que le dispositif d'articulation, quand la poutre longitudinale de coffrage est basculée en position horizontale, s'emboite automatiquement et qu'un rabat des moitiés de table ne soit possible qu'à

l'actionnement du dispositif de retour déblocable manuel-

lement. Le dispositif d'appui incliné est équipé de sorte que même si les profilés horizontaux et la surface de coffrage sont fixés sur les poutres longitudinales de coffrage, aucun système

auxiliaire de support de charge supplémentaire n'est néces-

saire pour soutenir les moitiés de table. Selon le cas, le dispositif d'appui incliné peut être soutenu en supplément par d'autres dispositifs, par exemple un appui articulé au dispositif en treillis perpendiculairement au dispositif d'appui incliné de manière à assurer ainsi une fixation supplémentaire et une stabilisation plus grande contre un abattement involontaire d'une moitié de table. Si cela est souhaité, il peut être prévu un dispositif amortissant le

pliage et le dépliage.

En condition de fonctionnement, les forces agissant sur les poutres longitudinales de coffrage respectivement les moitiés

de table sont également transférées au sol par l'intermédiai-

re de systèmes auxiliaires de support de charge.

A côté du montage simple du dispositif de soutien, il en découle également de nombreux avantages au point du vue du transport. Le dispositif de soutien présente un dispositif à montants qui est relié, en règle générale, au dispositif en treillis par concordance des formes, éventuellement par adhérence de

matière, de sorte que les dispositifs en treillis et à mon-

tants peuvent être déplacés comme une unité.

Le dispositif à montants présente des dispositifs à bras-

console qui comprennent de préférence chacun au moins un profilé rigide qui est relié rigidement à la jambe de force

inférieure horizontale du dispositif en treillis, en particu-

lier par adhérence de matière et, ce, de façon sensiblement parallèle au plan principal du dispositif en treillis.

A côté de ces dispositifs à bras-console qui se composent sen-

siblement de profilés rigides, sont également prévus des dis-

positifs à bras-console auxquels est articulée une console

pivotante. Sur la console pivotante, on peut fixer un disposi-

tif glisseur ou à roulettes, par exemple un dispositif à rou-

lettes orientables. Dans cette forme de réalisation du dispo-

sitif à bras-console, les dispositifs à roulettes orientables

peuvent être, selon le besoin, entrés ou sortis.

A la conception du dispositif à bras-console sans console pivotante, les dispositifs à roulettes orientables sont fixés

directement sur le profilé rigide.

Dans un perfectionnement, il est prévu que le dispositif à montants présente deux dispositifs à bras-console avec des

consoles pivotantes et deux sans console pivotante. De maniè-

re avantageuse, les dispositifs à bras-console avec les con-

soles pivotantes sont disposés diagonalement entre eux pour des raisons de stabilité. Si le dispositif de soutien doit, par exemple, être poussé par un passage étroit, par exemple

une future ouverture de porte, les consoles pivotantes peu-

vent être rabattues réduisant ainsi la largeur de transport du dispositif de soutien qui peut passer ainsi également par des ouvertures étroites. Les consoles pivotantes peuvent être redéployées, augmentant ainsi la solidité et la stabilité du

dispositif de soutien.

Pour éviter un va-et-vient involontaire des consoles pivo-

tantes, celles-ci peuvent être fixées dans certaines posi-

tions. Le dispositif à montants peut être cependant configuré différemment: par exemple comprendre seulement trois dispositifs à brasconsole sur lesquels sont fixés des dispositifs à

roulettes ou un seul dispositif à roulettes et deux disposi-

tifs à montants, de sorte que le dispositif de soutien peut être poussé à la manière d'une brouette. Cependant, il ne

peut être également prévu que quatre dispositifs à bras-

console auxquels sont articulées des consoles au moins par-

tiellement pivotantes, il est également possible de diffé-

rencier les différentes consoles pivotantes.

De par la conception du dispositif à montants présentant les consoles pivotantes, et de par la capacité d'être repliées

des deux moitiés de table, la dimension du dispositif de sou-

tien peut être ramenée, dans une forme de réalisation préfé-

rée, à moins de 2,20 m de hauteur et 0,80 m de large en re-

pliant les moitiés de table, en rabattant les consoles et en rentrant le dispositif porteur vertical. Les dimensions du dispositif de soutien, quand les consoles sont rentrées, les poutres longitudinales de coffrage repliées et le dispositif porteur vertical rentré, ne dépassent pas les dimensions de la porte déterminées par la cote de nu. Le dispositif de soutien peut ainsi être utilisé pour le coffrage de plafond dans des pièces fermées et peut ressortir, après avoir été rabattu et basculé, par une ouverture étroite de porte sans

avoir besoin de le démonter comme cela était le cas aupara-

vant.

Le dispositif à montants est conçu, comme l'ensemble du dispo-

sitif de soutien, pour garantir une stabilité élevée du dispo-

sitif de soutien, en charge et pendant le transport, une mobi-

lité simple du dispositif de soutien et une minimisation du

risque de blessure.

Afin que le dispositif de soutien ne repose pas en charge sur les dispositifs glisseurs ou à roulettes, il est recommandé

de disposer, au moins un système principal de support de char-

ge de préférence dans le plan principal du dispositif en treillis. Si le dispositif de soutien est amené à l'endroit souhaité et si les consoles pivotantes sont éventuellement déployées, les systèmes principaux de support de charge, de préférence au

nombre de deux, sont abaissés suffisamment pour que leur sur-

face de repos prenne appui sur le sol. En charge, le système principal de support de charge dévie les forces vers le sol et les dispositifs à roulettes soutiennent en supplément le

dispositif de soutien sur les côtés.

De préférence, les systèmes principaux de support de charge

traversent la jambe de force horizontale inférieure du dispo-

sitif en treillis. Des tiges de réglage fin se sont avérées être de bons systèmes principaux de support de charge. Dans une forme de réalisation préférée, les systèmes principaux de support de charge peuvent être logés, du moins partiellement,

dans le dispositif porteur vertical. On préfère en particu-

lier le perfectionnement qui prévoit que les systèmes princi-

paux de support de charge fassent partie du dispositif por-

teur vertical. Dans une opération de travail, le système prin-

cipal de support de charge peut être abaissé lors de la sor-

tie du dispositif porteur vertical et être fixé réduisant

encore davantage le temps de montage nécessaire.

Le dispositif porteur vertical se compose au moins de deux profilés guidés l'un dans l'autre ou l'un contre l'autre, qui

s'engagent l'un dans l'autre de manière télescopique et peu-

vent être positionnés de manière à régler la hauteur souhai-

tée du dispositif de soutien. La sortie à la hauteur souhai-

tée se produit en général à l'aide d'un moyen de transport

actionnable manuellement, par exemple d'un cric à crémail-

lère, qui peut être relié au dispositif de soutien par un

dispositif de logement. D'autres moyens de transport hydrauli-

ques ou électriques peuvent être également utilisés. Il est prévu, sur chaque dispositif porteur vertical, de préférence un tel dispositif de logement. Le dispositif de soutien peut

être également sorti au moyen d'une grue.

Si on désire utiliser, pour le coffrage de plafonds hauts, le dispositif de soutien, un perfectionnement de ce dispositif

porteur vertical prévoit un dispositif de rehausse.

Un perfectionnement du dispositif de soutien prévoit en outre d'intégrer un abaissement rapide dans le dispositif porteur vertical. Le dispositif en treillis présente, en plus des dispositifs porteurs verticaux décrits ci-dessus et des jambes de force

horizontales inférieures, d'autres jambes de force horizon-

tales et, si souhaité, également des jambes de force diagona-

les afin d'assurer la stabilité, la rigidité et la résistance

souhaitée.

Pour l'appui latéral des poutres longitudinales de coffrage, on peut utiliser en tant que système auxiliaire de support de charge par exemple des appuis de plafond traditionnels. Pour

la fixation de ces appuis de plafond, il est prévu des dispo-

sitifs coulissant le long des poutres longitudinales de cof-

frage de sorte que ces dispositifs de fixation peuvent être amenés à la position souhaitée et le système auxiliaire de

support de charge y est fixé.

Des systèmes auxiliaires de support de charge se sont révélés être particulièrement avantageux s'ils peuvent absorber la charge de deux poutres alignées en régle générale dans leur sens longitudinal. Ces deux poutres peuvent être par exemple deux poutres longitudinales de coffrage de deux dispositifs

de soutien l'un contre l'autre dans leur direction longitudi-

nale ou une poutre longitudinale de coffrage d'un dispositif de soutien et une autre poutre, par exemple une poutre MD. En

fonction des deux poutres à soutenir, il est prévu différen-

tes conceptions du système auxiliaire de support de charge

"commun". I1 est également possible de soutenir quatre pou-

tres avec un système auxiliaire de support de charge.

Si deux poutres longitudinales de coffrage de deux disposi-

tifs de soutien alignés dans le sens longitudinal sont reliées entre elles et bénéficient d'un soutien commun, on

peut utiliser, pour ce faire, des têtes tombantes ou dispo-

sitif de chute. Si ces dernières sont appropriées, d'autres poutres peuvent être accrochées aux têtes tombantes dans le sens transversal de sorte qu'on peut facilement obtenir le montage d'une construction d'ensemble de soutien de grande

surface à peu de frais.

Le perfectionnement, qui fait en sorte qu'un seul système auxiliaire de support de charge est nécessaire pour deux poutres longitudinales de coffrage respectivement pour une

poutre longitudinale de coffrage et une poutre, a pour consé-

quence une réduction sensible des frais de montage.

En comparaison des systèmes de soutien traditionnels, on

utilise ici moins d'appuis et les temps de montage sont sen-

siblement plus courts. Pour les systèmes de soutien actuels,

un mètre carré nécessite environ 0,3 à 0,6 heure. Si on utili-

se le dispositif de soutien et les systèmes auxiliaires de support de charge soutenant respectivement deux poutres, les temps de coffrage sont de l'ordre de 0,1 à 0,3 heure par

mètre carré. L'économie est de 0,2 heure par mètre carré.

Une autre configuration du dispositif de soutien prévoit qu'au moins un système auxiliaire de support de charge soit articulé à une moitié de table et dépliable par rapport à cette dernière, de sorte que l'étape de montage de la mise en place d'un système auxiliaire de support de charge séparé

devient superflue. Ces systèmes auxiliaires articulés de sup-

port de charge peuvent également présenter des dispositifs pouvant soutenir encore des secondes poutres, par exemple des poutres longitudinales de coffrage ou poutres MD autant dans

une position alignée que dans une position perpendiculaire.

Afin de ne pas être obligé de rabattre complètement le systè-

me auxiliaire de support de charge pendant le processus du dispositif de soutien, il est, en général, prévu pour ce

dernier des dispositifs d'appui sur le dispositif en treil-

lis. Il est entendu que toutes les formes de réalisation des

systèmes auxiliaires de support de charge ainsi que le dis-

positif porteur vertical doivent être réglables en hauteur.

Etant donné qu'en règle générale, il n'est également pas

nécessaire de transporter le dispositif de soutien avec éven-

tuellement les profilés de poutre principale et la surface de coffrage s'y trouvant, au moyen d'une grue - soit le long

d'un cable, soit en utilisant un bec de canard, on évite ain-

si les dommages visibles sur les bâtiments et les façades qui surviennent fréquemment pendant le transfert des dispositifs

de soutien à l'aide d'une grue.

Si le dispositif de soutien doit être transporté d'un étage à l'autre, des oreilles de levage sont prévues. Le dispositif de soutien est, en outre, conçu pour une bonne préhension

d'un dispositif à bec de canard. De par la conception confor-

me à l'invention, le recours à une grue pour le transfert du

dispositif de soutien est réduit à un minimum.

Pour simplifier davantage le montage du dispositif de sou- tien, il est avantageux d'utiliser des filets de diamètres et

* de pas identiques par exemple sur le dispositif porteur verti-

cal (avec ou sans système principal de support de charge inté-

gré) et sur les systèmes auxiliaires de support de charge, de sorte que les personnes, manipulant le dispositif de soutien,

n'aient pas à se poser de question à chaque filet.

Pour accroitre davantage la stabilité, la solidité et la rigi-

dité du dispositif de soutien, il s'est avéré avantageux d'utiliser de l'acier pour sa zone inférieure, en particulier pour le dispositif à montants et pour la partie inférieure du

dispositif en treillis - essentiellement pour la jambe de for-

ce inférieure éventuellement la jambe de force médiane ainsi que pour, éventuellement, le profilé inférieur du dispositif

porteur vertical.

Selon la forme et la dimension des profilés de poutre princi-

pale utilisés de la surface de coffrage en question, des pla-

fonds non quadrilatères peuvent également être coffrés si bien que le dispositif de soutien peut être également employé

pour des formes de construction originales.

Le dispositif de soutien peut dévier des forces horizontales de sorte qu'il n'a pas besoin d'être calé ou haubanné contre

un mur ou des appuis.

Du fait de son montage facile, de la simplicité de son trans-

port et de sa capacité élevée, le dispositif de soutien peut

éventuellement être utilisé avec une plaque d'appui appro-

priée en tant que plate-forme de travail ou échafaudage.

Diverses autres caractéristiques de l'invention ressortent

d'ailleurs de la description détaillée qui suit.

Des formes de réalisation de l'objet de l'invention sont représentées, à titre d'exemples non limitatifs, aux dessins annexés.

La figure 1 est une vue d'ensemble en perspective d'un dis-

positif de soutien pour des tables de coffrage pour plafond

selon une première forme de réalisation préférée.

La figure 2 est une vue d'ensemble en perspective d'un dis-

positif de soutien pour des tables de coffrage pour plafond

selon une seconde forme de réalisation préférée.

La figure 3 est une vue partielle en perspective d'un dispo-

sitif à montants comprenant, en tant que tige, un système principal de support de charge de la première forme de

réalisation selon la fig. 1.

La figure 4 est une vue latérale d'une forme de réalisation particulièrement préférée d'un dispositif porteur vertical du dispositif en treillis avec un système principal de support

de charge intégré.

La figure 5 est une vue latérale d'un dispositif de rehausse.

La figure 6 est une vue en perspective du dispositif de loge-

ment d'un cric à cremaillère ainsi que d'un cric à crémail-

lère selon la première forme de réalisation de la fig. 1.

La fig. 7 est une vue en perspective d'une zone d'un disposi-

tif d'appui incliné avec un dispositif d'articulation selon

la première forme de réalisation de la fig. 1.

La figure 8 est une vue latérale d'un système auxiliaire de support de charge qui soutient une poutre longitudinale de coffrage et une autre poutre d'un dispositif de soutien.

Le dispositif de soutien de tables de coffrage 11 pour pla- fond se compose, à la fig. 1, des éléments de base suivants: le dispositif en treillis 13 sensiblement vertical (Axe Z),

les quatre poutres longitudinales de coffrage 14 et le dispo-

sitif à montants 22. Le dispositif en treillis 13 présente un

plan principal 17 qui est orienté dans le sens yz. Une extré-

mité de chaque poutre longitudinale de coffrage 14 est articu-

lée à l'extrémité supérieure du dispositif en treillis 13.

Deux poutres longitudinales de coffrage 14, sensiblement parallèles entre elles, sont reliées l'une à l'autre par une entretoise transversale 102 de poutre longitudinale de coffrage. A l'état déployé représenté à la fig. 1, les quatre poutres longitudinales de coffrage 14 forment, avec leurs entretoises transversales 102 de poutre longitudinale de coffrage, un plan horizontal 21 orienté sensiblement dans le sens xy sur lequel les profilés de poutre principale et la surface de

coffrage peuvent être placés.

Le dispositif 11 présente en outre un dispositif d'appui

incliné 81 se composant essentiellement d'un dispositif d'ar-

ticulation 82 et d'un appui incliné inférieur 83 et supérieur 84. L'appui incliné supérieur 84 est articulé à l'entretoise transversale 102 de poutre longitudinale de coffrage. Dans

une autre forme de réalisation, il peut être également articu-

lé aux poutres longitudinales de coffrage 14. L'appui incliné inférieur 83 est articulé au dispositif d'articulation 144 relié rigidement au dispositif en treillis 13. En manipulant les deux dispositifs d'articulation 82 se trouvant sur un

côté du dispositif en treillis 13, les deux poutres longitudi-

nales de coffrage 14 reliées rigidement entre elles par les entretoises transversales 102 de poutre longitudinale de

coffrage, peuvent être amenées en position sensiblement verti-

cale. Le dispositif en treillis 13 est constitué essentiellement de deux dispositifs porteurs verticaux 16 ainsi que de la jambe de force horizontale supérieure 23, médiane 24 et inférieure 26. Sur l'extrémité supérieure de chaque dispositif porteur

vertical 16, il est prévu deux dispositifs 139 pour l'articu-

lation d'une poutre longitudinale de coffrage 14. Les dispo-

sitifs d'articulation 139 sont reliés rigidement au disposi-

tif porteur vertical 16.

Le dispositif à montants 22 comprend quatre dispositifs 27 à brasconsole, dont deux sont disposés en diagonale l'un par

rapport à l'autre et sont identiques. Les dispositifs à bras-

console, se trouvant à droite à l'arrière et à gauche à

l'avant sur la représentation, disposent d'une console pivo-

tante 31 présentant un dispositif à roulettes orientables 51.

Sur les dispositifs à bras-console 27 à droite à l'avant et à

gauche à l'arrière, il n'y a pas de consoles articulées 31.

Les deux dispositifs à roulettes orientables 51 sont reliés

directement au profilé rigide 28. Une description détaillée

de ce dispositif à montants préféré est faite à la fig. 3.

Pour le transport du dispositif de soutien 11, les consoles pivotantes 31, par exemple quand le dispositif doit passer à travers une ouverture de porte, peuvent être repliées si bien

que le dispositif, dont les poutres longitudinales de coffra-

ge 14 sont rabattues et les dispositifs porteurs verticaux 16 sont rentrés, peut passer par l'ouverture. Après avoir poussé le dispositif à l'endroit souhaité, les deux consoles 31 sont à nouveau déployées. Du fait de la disposition diagonale des consoles pivotantes 31, on obtient une grand stabilité du dispositif. Afin que les forces en position de travail ne soient pas déviées par le dispositif à roulettes orientables 51, deux systèmes principaux de support de charge 52 sont prévus, à la fig. 1 ce sont des tiges 54, pour être abaissés

et pour devier les forces.

Les poutres longitudinales de coffrage 14 avec les entretoi-

ses transversales 102 de poutre longitudinale de coffrage

peuvent être dépliées en actionnant le dispositif d'articula-

tion 82. Elles ne doivent pas être maintenues en position déployée étant donné que le dispositif d'articulation 82 est

verrouillé contre le rabat vers le bas.

Les systèmes auxiliaires de support de charge 53, par exemple des appuis de plafond traditionnels 57, peuvent être montés, il est possible de soutenir deux poutres longitudinales de coffrage 14 de deux dispositifs de soutien 11 l'un à côté de l'autre ou de soutenir une poutre longitudinale de coffrage 14 et une autre poutre avec un système auxiliaire de support

de charge commun 53 comme représenté à la fig. 8.

Sur le dispositif de soutien 11, il est prévu sur la face tournée vers l'extérieur dans le sens y de chaque dispositif porteur vertical 16 des dispositifs de logement pour des moyens de transport 76, comme décrit plus en détail à la fig. 6. On peut ici mettre en place par exemple un cric à crémaillère traditionnel 79 (fig. 6) au moyen duquel les profilés supérieurs 71 des dispositifs porteurs verticaux 16

peuvent être amenés à la hauteur voulue par rapport aux profi-

lés inférieurs 72 des dispositifs porteurs verticaux 16, pro-

filés inférieurs 72 qui sont reliés, dans cet exemple de réa-

lisation, rigidement à la jambe de force horizontale inférieu-

re 26.

La figure 2 représente un dispositif de soutien 11 avec un

système auxiliaire de support de charge 53 intégré et rabat-

table. Le système auxiliaire de support de charge 53 se compose d'un disposiitif latéral en treillis 63 et de deux profilés verticaux 64 qui sont reliés rigidement entre eux

par une entretoise transversale 66.

Le dispositif latéral en treillis 63 se compose de deux jam-

bes de force verticales 67, de deux jambes de force horizon-

tales 65, d'une jambe de force diagonale basse et d'une jambe de force diagonale haute 70. Les jambes de force 67, 65, 70

sont reliées rigidement entre elles.

Les profilés verticaux 64 sont guidés dans les jambes de force verticales 67 du dispositif latéral en treillis 63. Par les différents perçages dans les jambes de force verticales 67 et les profilés verticaux 64, on peut régler la hauteur voulue. Le dispositif latéral en treillis 63 est articulé aux deux poutres longitudinales de coffrage 14 et s'applique contre le

profilé de poutre principal 104 en position dépliée représen-

tée à gauche de la fig. 2 de sorte que la charge est introdui-

te dans le profilé de poutre principal 104. Le système auxi-

liaire de support de charge 53 peut être pivoté suivant la flèche C dans le plan défini (plan xy) par les deux poutres longitudinales de coffrage 14. Après le repliement du système

auxiliaire de support de charge 53, les deux poutres longitu-

dinales de coffrage 14 peuvent être abaissées vers le bas avec le système auxiliaire de support de charge 53 articulé et se trouvant sensiblement dans le plan de ces dernières, de sorte que le système auxiliaire de support de charge 53, les poutres longitudinales de coffrage 14 ainsi que les pièces

rattachées sont sensiblement orientés dans le plan yz.

Si on souhaite transférer le dispositif de soutien 11 à un

autre endroit sans devoir pousser le dispositif par un pas-

sage étroit, il est alors possible de coulisser les profilés verticaux 64 reliés rigidement aux entretoises transversales 66 dans les jambes de force verticales 67 du dispositif laté- ral en treillis 63 et de rabattre le système auxiliaire de

support de charge inséré 53 suffisamment pour que l'entretoi-

se transversale 66 puisse prendre appui sur le dispositif support 68 et la jambe de force horizontale médiane 24. Le système principal de support de charge 52, non représenté à

la fig. 2, peut alors être soulevé et le dispositif de sou-

tien 11 peut être amené manuellement à l'endroit voulu sans

intervention d'une grue.

Le dispositif support 68 se compose de deux profilés 109 pa-

rallèles l'un à l'autre, perpendiculaires à la jambe de force horizontale médiane 24 dans le sens x et reliés rigidement, par une extrémité, à la jambe de force horizontale médiane 24, ces profilés 109 étant reliés entre eux par un profilé

transversal 110. Le profilé transversal 110 est soudé rigide-

ment à l'extrémité externe sur la face de dessus des deux

profilés 109. L'entretoise transversale 66 du système auxi-

liaire de support de charge 53 repose ainsi sur les deux profilés parallèles 109 et prend appui contre la jambe de force horizontale médiane 24, un dérapage involontaire étant

donc évité par le profilé transversal 110.

Dans cette forme de réalisation, le dispositif en treillis 13 est renforcé davantage, par rapport à la fig. 1, par deux

autres jambes de force diagonales 112.

Dans cet exemple de réalisation, les deux profilés de poutre

principale 104 qui reposent transversalement au sens longitu-

dinal des poutres longitudinales de coffrage 14 sont soudés aux poutres longitudinales de coffrage 14, ce qui supprime

ainsi les frais de temps de travail pour leur montage.

La représentation en perspective d'une vue partielle du dispo-

sitif à montants à la fig. 3 montre, à gauche et à droite sur l'avant, les deux dispositifs à bras-console 27 de conception

différente. Sur le côté avant droit de la fig. 3 est représen-

té un dispositif à bras-console 27 qui comprend un profilé rigide 28 et une plaque-console 29. La plaque-console 29 est

soudée, par un bord dirigé dans le sens y, à la jambe de for-

ce inférieure horizontale 26. La plaque-console horizontale 29 est également soudée au profilé rigide 28 qui est soudé,

pour sa part, à la jambe de force inférieure horizontale 26.

Par cette conception, on obtient ainsi la rigidité souhaitée

du dispositif de soutien 11 pendant le transport. Dans l'exem-

ple de réalisation représenté, le profilé rigide 28 est soudé

par sa face inférieure sur la face supérieure de la plaque-

console 29.

Dans une autre forme de réalisation non représentée, le profi-

lé rigide 28 est disposé et soudé par le côté de la plaque-

console 29.

Une console 31 est articulée à la plaque-console 29 par un perçage 38 dans la plaque-console 29 et un perçage 39 dans la console 31 et par un dispositif de jonction 40. La console 31 peut être basculée suivant un angle c3d'environ 90 depuis une direction sensiblement perpendiculaire au plan principal (direction x) - comme représenté fig. 3 - autour d'un pivot

32 dans une direction sensiblement parallèle à l'axe princi-

pal (direction y). La plaque-console 29 présente deux autres perçages 41, 43 et la console 31 également deux perçages 42 et 44. Par basculement de la console 31, les perçages 41, 42

ou les perçages 43, 44 peuvent s'aligner si bien que la conso-

le 31 peut être fixée dans ses deux positions au moyen d'un

assemblage par brides boulonnées 46.

En dessous des per,çages 41, 43, des écrous 47, 48, présentant un filet Dywidag, sont disposés alignés dans la plaque-

console 29. Les écrous 47, 48 sont soudés à la face inférieu-

re de la plaque-console 29.

Dans la représentation, l'écrou à brides du boulon 46 est de dimension suffisante pour chevaucher une partie du profilé rigide 28 ce qui entraine une fixation et une stabilisation supplémentaire. Le dispositif à roulettes orientables 51 est

vissé sur la face inférieure de la console 31 à la plaque 58.

Le dispositif à roulettes orientables 51 comprend une plaque , une fourche 55 et une roulette 50. La fourche 55 et la

roulette 50 sont logées rotatives autour de l'axe z, la rou-

lette 50 pouvant être orientée dans la position de roulement souhaitée. La disposition du pivot 32, la longueur totale 37 du profilé rigide 28, la largeur 34 de la console 31 et la largeur 33 de

la plaque-console 29 mesurée perpendiculairement au plan prin-

cipal 17 (dans la direction x) sont choisies de manière que la somme de la largeur 34 de la console 31 et de la longueur 37 du profilé rigide 28 mesurée perpendiculairment au plan principal 17 corresponde approximativement à la largeur 33 de

la plaque-console 29 mesurée perpendiculairement au plan prin-

cipal 17. Ainsi, il en résulte que la console 31 est égale-

ment soutenue, du moins partiellement dans sa position sensi-

blement parallèle au plan principal 17, par le profilé rigide 28. Pour des raisons de sécurité, le profilé rigide 29 est

chanfreiné à l'une de ses extrémités.

Le dispositif à bras-console 27, sur le côté arrière gauche de la fig. 3, se compose d'un profilé rigide 28 orienté dans

le sens x qui est soudé à la jambe de force horizontale infé-

rieure 26 du dispositif en treillis 13. Un dispositif à rou-

lettes orientables 51 est vissé sur la plaque 58 du profilé

rigide 28 comme décrit ci-dessus.

Le profilé rigide 28 du dispositif à bras-console 27 sans pivot est disposé, pour des raisons de sécurité, au milieu par rapport à l'axe y entre les deux coordonnées y de la

roulette orientable 50 du dispositif à bras-console 27 com-

prenant une console pivotante 31 en position pliée et dépliée. Le système principal de support de charge 52 est, dans cet exemple de réalisation (fig. 1 et fig. 3), conçu comme une tige de réglage fin 54 qui traverse un perçage dans la Jambe

de force horizontale 26. Dans le perçage, se trouve une douil-

le taraudée non représentée. Une telle tige de réglage fin 54

se trouve des deux côtés de la jambe de force horizontale 26.

La fig. 4 représente une forme de réalisation spéciale du dis-

positif porteur vertical 16 du dispositif en treillis 13 avec

le système principal de support de charge intégré 52. Le dis-

positif d'appui incliné 81, l'articulation de l'appui incliné

inférieur 83 au dispositif en treillis 13 et les poutres lon-

gitudinales de coffrage 14, d'après la fig. 1, n'ont pas été représentés pour des raisons de simplification. Le dispositif

à montants 22 n'est reproduit également que de manière simpli-

fiée.

Ce dispositif porteur vertical 16 se compose essentiellement

d'un tube externe 116 et d'un tube interne 117. Le tube exter-

ne 116 s'étend, dans l'état représenté à la fig. 4, de 123 à 124. Les deux colliers d'articulation 139, dont seul celui

qui est en avant est visible à la fig. 4,sont soudés à l'ex-

trémité supérieure du tube externe 116. Le tube interne 117 s'étend de 126 à 127. Un guide en matière plastique avec une

butée 128 empêche que le tube interne 117 puisse être coulis-

sé au-delà de la butée. Le tube interne 117 est guidé dans un manchon de guidage 132, le manchon de guidage 132 traversant un perçage vertical 136 dans la jambe de force horizontale inférieure 26. Le manchon

de guidage 132 est relié rigidement à la jambe de force hori-

zontale inférieure 26. Le manchon de guidage 132 et le tube interne 117 présentent des perçages horizontaux de manière que le tube interne 117 et les parties, qui y sont reliées, soient positionnables en hauteur par rapport à la Jambe de

force horizontale inférieure 26.

Le tube externe 116 comprend essentiellement deux parties: la zone supérieure 118 du tube externe en aluminium et une plaque en aluminium 119 reliée à cette dernière. Cette plaque d'aluminium 119 est reliée rigidement à une plaque en acier

121 qui est soudée, par la zone inférieure 120 du tube exter-

ne en acier, à la plaque 119. La zone d'acier inférieure 120

du tube externe s'étend de 123 à 121 et comprend un filetage.

Dans cette zone externe 120 du tube externe, il est prévu des perçages, comme également pour le tube interne 117 dans la

zone de chevauchement, pour que tout le tube externe 116 puis-

se se déplacer verticalement par rapport au tube interne 117

et puisse être fixé dans la position souhaitée. Pour un régla-

ge approximatif, il est prévu un crochet G 131 et, pour un réglage précis, un écrou de réglage 129. La sortie de tout le

tube externe 116 est assurée par le cric à crémaillère pou-

vant être mis en place, entre autres, sur l'appui 75.

Tout le tube externe 116, après avoir retiré le crochet G 131, ainsi que toutes les pièces qui sont reliées rigidement ou articulées à ce dernier, sont amenés à l'aide d'un cric à crémaillère à la hauteur de travail souhaitée. Après le retrait du crochet inférieur G 134, le tube interne 117 peut être abaissé suffisamment pour que l'extrémité inférieure 126 du tube interne 117 vienne à reposer sur le sol par le dispo-

sitif d'appui 56 de façon à supporter la charge.

Ensuite, les crochets G 131, 134 sont ré-accrochés. Le

réglage fin se fait par l'écrou de réglage 129.

Il est bien entendu possible d'abaisser tout d'abord le tube interne 117 sur le sol et de sortir ensuite le tube externe 116 avec toutes les pièces qui sont reliées rigidement ou

articulées à ce dernier.

Dans cette forme de réalisation, il est particulièrement avan-

tageux que le profilé supérieur 71 et le profilé inférieur 72 du dispositif porteur vertical d'après les fig. 1 et 2 soient modifiés de façon à supprimer un système principal de support de charge supplémentaire 52. A côté de la simplification de la construction, une charge de travail supplémentaire, qui

résulte par exemple de la manipulation de la tige 54, est éli-

minée. Etant donné que la sortie du dispositif porteur verti-

cal 16 à la hauteur voulue est absolument nécessaire, cette opération peut être associée à la sortie du système principal de support de charge 52, ce qui économise des coûts de temps

de travail.

Au-dessus du guide en matière plastique avec butée 128, il y a un dispositif de raccordement 141 qui se compose de deux

plaques vissées l'une à l'autre, l'une supérieure 142 et l'au-

tre inférieure 143. Si on souhaite augmenter l'extension ver-

ticale du dispositif de soutien 11 en rajoutant un dispositif

de rehausse 138 (fig. 5), la plaque supérieure 142 du disposi-

tif de raccordement 141 peut être reliée rigidement à l'extré-

mité supérieure du dispositif de rehausse 138 et la plaque inférieure 143 à la face inférieure du dispositif de rehausse 138. La longueur totale du tube interne non représenté dans cette figure est de 186 cm, la longueur totale du tube externe est de l'ordre de 103 cm. Si on utilise un dispositif d'extension

verticale de 108 cm, on peut atteindre une extension vertica-

le du dispositif d'au moins 435 cm.

Dans le dispositif de rehausse 138 représenté à la fig. 5, il s'agit de deux jambes de force verticales 148 parallèles entre elles qui présentent à leurs extrémités supérieures et inférieures des plaques 149, 150 pour la jonction avec le

dispositif 141 à la fig. 4. Les deux jambes de force vertica-

les 148 sont reliées entre elles par une jambe de force hori-

zontale 152 reliée rigidement à ces dernières. Sur cette jambe de force horizontale 152, il est prévu deux dispositifs 146 pour l'articulation de l'appui inférieur incliné 83 du

dispositif d'appui incliné 81.

A l'utilisation d'un dispositif de réhausse 138, l'articula-

tion de l'appui incliné inférieur 83 au dispositif d'articula-

tion 144, qui est relié au moins rigidement à la jambe de for-

ce horizontale médiane 24 du dispositif porteur vertical 16

(fig. 1), ainsi que la liaison des plaques 142, 143 sont dis-

soutes et toute la partie reliée à la plaque supérieure 142

(la poutre longitudinale de coffrage 14, l'entretoise trans-

versale 102 de poutre longitudinale de coffrage, le disposi-

tif d'appui incliné 81 articulé aux poutres longitudinales de coffrage 14, etc.) est retirée, le dispositif de rehausse 138 avec ses plaques 150 est vissé aux plaques 143 et la partie avec les plaques 142, qui vient d'être retirée, est vissée

fixement aux plaques 149 du dispositif de rehausse 138.

L'appui incliné inférieur 83 est alors articulé au dispositif

146 prévu sur le dispositif de rehausse 138.

Les deux dispositifs porteurs verticaux 16 du dispositif en treillis 13 à la fig. 1 comprennent chacun un profilé supé- rieur 71 et un profilé inférieur 72. Les profilés peuvent

être angulaires d'après la fig. 1 ou ronds d'après la fig. 2.

Le profilé inférieur 72 est guidé dans le profilé supérieur

71. Dans la zone de chevauchement souhaitée, le profilé infé-

rieur 72 et le profilé supérieur 71 présentent des perçages.

Ainsi, la hauteur souhaitée du dispositif porteur vertical peut être réglée en insérant des boulons par les perçages correspondants. Pour sortir le profilé supérieur 71 et les pièces qui y sont reliées rigidement à la hauteur voulue, il est prévu, de chaque c6té, un dispositif de logement 76 pour des moyens de transport. Ces derniers sont représentés à plus

*grande échelle à la fig. 6.

Une plaque 78, présentant un doigt soudé 80, est vissée sur le cric à crémaillère courant 79. Le cric à crémaillère 79 dispose d'un pied 85. Le pied 85 du cric à crémaillère 79 peut être inséré dans le logement du pied de cric 77, relié

rigidement à la jambe de force horizontale inférieure 26.

Simultanément, le doigt 80 se trouvant sur la plaque 78 s'en-

gage dans la tubulure 75 soudée sur le profilé supérieur 71 du dispositif porteur vertical 16. Le doigt 80 et la tubulure présentent chacun un perçage aligné l'un par rapport à l'autre quand le cric à crémaillère 79 est monté pour être fixé.

La figure 7 représente un agrandissement du dispositif d'arti-

culation 82 du dispositif d'appui incliné 81. L'appui incliné inférieur 83 est relié rigidement à la tête d'articulation 87. La tête d'articulation 87 présente une forme en U pour servir en même temps de guidage, par ses deux flancs d'appui

latéraux 100, à l'appui incliné supérieur 84. Les appuis in-

clinés supérieur 84 et inférieur 83 sont reliés, de manière pivotante, entre eux par l'intermédiaire d'une articulation pliable 86. La tête d'articulation 87 comprend une plaque de butée 105. Elle est conçue de manière que l'angle d'abatte- ment 88 dépasse légèrement au-delà de la position d'extension de 180' ce qui empêche le rabat du dispositif d'appui incliné 81. L'appui incliné supérieur 84 présente un manchon 91 avec une

inclinaison de montée 92. Le manchon 91 est disposé coulis-

sant sur l'appui incliné supérieur 84. Si l'appui incliné

supérieur 84 est déplié par rapport à l'appui incliné infé-

rieur 83, le manchon 91 coulisse sur l'appui incliné supé-

rieur 84 vers le bas et vient heurter la butée 95 reliée rigidement avec l'appui incliné supérieur 84. Simultanément, l'inclinaison de montée 92 recouvre partiellement la plaque

de butée 105 de la tête d'articulation 87, ce qui rend impos-

sible le rabat du dispositif d'appui incliné 81.

Si le dispositif d'appui incliné 81 doit être à nouveau replié, le manchon 91 doit être poussé vers le haut avec l'inclinaison de montée 92 se trouvant dessus de sorte que l'inclinaison de montée 92 ne chevauche plus la plaque de butée 105 permettant ainsi le rabat de l'articulation pliable 86. Pendant le rabat, le manchon 91 continue de glisser vers le bas le long de l'appui incliné supérieur 84 en direction de l'articulation de poutre longitudinale de coffrage. Un taquet anti- retour 74 est soudé sur la face tournée vers le haut de l'appui incliné supérieur 84. Ce taquet anti-retour 74 assure l'encliquetage du manchon 91 entre la butée 95 et la butée 74 quand le dispositif d'appui incliné 81 est déployé. La somme de la hauteur du taquet anti-retour 74 et de la "largeur" 89 de l'appui incliné supérieur 84 est légèrement inférieure à la largeur interne 90 du manchon 91 mesurée dans

cette direction, de sorte que le manchon 91 peut être coulis-

sé sur le taquet anti-retour 74 quand l'articulation est rabattue. Un autre avantage du taquet anti-retour réside dans le fait que le manchon 91 est légèrement soulevé avant que l'inclinaison de montée 92 ne glisse sur la plaque 105 si

bien qu'une fois le déploiement terminé, l'inclinaison de mon-

tée 92 recouvre, de manière autonome, une partie de la plaque et le manchon 91 s'encliquète entre le taquet anti-retour

74 et la butée 95.

Afin que le dispositif d'appui incliné replié ne dépasse pas,

par son extrémité supérieure, l'extension verticale du dispo-

sitif porteur vertical 16, ni la longueur de l'appui incliné

inférieur 83, ni celle de l'appui supérieur 84 ne sont supé-

rieures à la distance entre le dispositif d'articulation 144 de l'extrémité inférieure de l'appui incliné 93 du dispositif en treillis 13 et l'extrémité supérieure 94 du dispositif de

soutien replié.

Si on utilise une articulation repliable vers le bas, ni la longueur de l'appui incliné inférieur 83, ni celle de l'appui supérieur 84 ne doivent être supérieures à la distance entre le dispositif d'articulation 144 de l'extrémité inférieure de l'appui incliné 83 du dispositif en treillis 13 et le sol sur lequel repose le dispositif de soutien 11, étant donné que le

dispositif d'articulation 82 pourrait toucher le sol.

Si les poutres longitudinales de coffrage 14 reliées rigide-

ment aux entretoises transversales 102 de poutre longitudina-

le de coffrage sont rabattues vers le bas, la jambe de force

horizontale médiane 24 se trouve sensiblement à la même hau-

teur que les deux entretoises transversales 102 de poutre longitudinale de coffrage rabattues vers le bas. Si on le souhaite, un appareil de levage, en particulier un dispositif

à bec de canard peut s'engager en dessous de la jambe de for-

ce horizontale médiane 24 et des deux entretoises transver-

sales 102 de poutre longitudinale de coffrage rabattues vers

le bas.

Il est également possible de ne pas sortir le dispositif de soutien 11 à l'aide du cric à crémaillère mais de l'étirer à la hauteur de travail souhaitée à l'aide d'une grue en fixant

des câbles à des oreilles de levage 106.

A la figure 8, il est représenté comment une poutre longitudi-

nale de coffrage 14 d'un dispositif de soutien 11 et une pou-

tre 169 peuvent être soutenues en utilisant un système auxi-

liaire de support de charge commun 53. Seules les extrémités

des poutres 14, 169 sont représentées. Chaque extrémité exter-

ne des poutres 14, 169 est reliée rigidement à un dispositif profilé 155. Les deux dispositifs profilés 155 se trouvent à la même hauteur et sont placés bout à bout avec les surfaces

avant 156 de la tête profilée 157.

Chaque dispositif profilé 155 présente également un pied pro-

filé 158. Les deux pieds profilés 158 s'engagent dans le dispositif de logement 160 se trouvant à l'extrémité du

système auxiliaire de support de charge 53. Sur l'extrémité inférieure de la poutre longitudinale de cof-

frage 14, il est prévu un dispositif 164 qui coulisse le long de la poutre longitudinale de coffrage 14 dans une rainure de guidage 162 et qui comprend un dispositif de positionnement , à la fig. 8 constitué par une vis 166 avec un écrou à oreille 167 et un dispositif de fixation 168 pour le système

auxiliaire de support de charge 53. Des dispositifs correspon-

dants sont disposés également sur la poutre 169. Les surfaces supérieures de la poutre longitudinale de coffrage 14 et de

la poutre 169 sont à la même hauteur.

Les deux dispositifs de fixation 168 - ce sont deux jambes de force horizontales 170 - sont reliés rigidement à l'extrémité supérieure du système auxiliaire de support de charge 53 dont seule la zone supérieure est représentée. Les jambes de force horizontales 170 se trouvent à des hauteurs différentes,

étant donné que la hauteur de la poutre longitudinale de cof-

frage et celle de la poutre sont différentes. Mais elles

peuvent être également à la même hauteur. Du fait des perça-

ges alignés dans la jambe de force 170 et du dispositif de positionnement mobile 165, le système auxiliaire de support de charge 53 peut être fixé sur les deux poutres 14, 169 par

une vis 166 et un écrou 167.

Le système auxiliaire de support de charge 53 est conçu, mis

à part le dispositif de logement 160 sur son extrémité supé-

rieure et les deux jambes de force 170 pour la fixation des deux poutres 14, 169 comme cela est représenté à la fig. 1, comme un appui de plafond 53 traditionnel. I1 se compose de

deux profilés 174, 175 s'engageant l'un dans l'autre de maniè-

re télescopique et présentant des perçages de sorte que la hauteur souhaitée peut être réglée au moyen d'un crochet G 177. Sur l'extrémité supérieure du profilé inférieur 175, il est prévu un filetage 176 avec un écrou de réglage 178 pour

permettre un réglage fin de la hauteur.

Dans la forme de réalisation représentée à la fig. 1, le dispositif pour la fixation du système auxiliaire de support de charge est constitué par un goujon 98 avec un perçage transversal 99 qui peut être inséré dans le tube supérieur d'un appui de plafond traditionnel 53 et qui est aligné avec

un perçage correspondant 101 dans l'appui de plafond 53.

Indépendamment de la forme de réalisation représentée à la

fig. 8, il est également possible d'utiliser en tant que sys-

tème auxiliaire de support de charge 53, une tête de coffrage tombante sans dispositif de chute, sur laquelle peuvent être disposées d'autres poutres principales.

Dans la forme de réalisation représentée à la fig. 1, contrai-

rement à la fig. 2, aucun profilé de poutre principale 104 n'est soudé aux poutres longitudinales de coffrage 14. Les profilés de poutre principale 104 peuvent être vissés aux

poutres longitudinales de coffrage 14 en utilisant des grif-

fes de serrage afin de les relier par adhérence.

Même si la surface de coffrage et les profilés de poutre prin-

cipale 104 sont vissés au dispositif de soutien 11, les pou-

tres longitudinales de coffrage 14, présentant les profilés

de poutre principale 104 fixés dessus et la surface de coffra-

ge, peuvent être rabaissées et relevées manuellement et l'en-

semble de la table de coffrage est mobile manuellement.

Claims (71)

REVENDICATIONS:

1. Dispositif (11) pour le soutien de tables de coffrage pour plafond, comprenant au moins un dispositif en treillis sensiblement vertical (13)

comprenant au moins deux poutres longitudinales (14) de cof-

frage, comprenant au moins un dispositif à montants (22), caractérisé en ce que le dispositif en treillis (13) présente un plan principal (17),

en ce qu'une extrémité de chaque poutre longitudinale de cof-

frage (14) est articulée au moins indirectement au dispositif en treillis (13) et est dépliable d'une position verticale

dans une position plutôt horizontale.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif à montants (22) est relié au dispositif en

treillis (13).

3. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que

le dispositif en treillis (13) comprend au moins deux disposi-

tifs porteurs verticaux (16) et au moins une jambe de force

(23, 24, 26) reliée rigidement à ces derniers.

4. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif à montants (22) comprend au moins un dispositif

à bras-console (27).

5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le dispositif à bras-console (27) est orienté sensiblement de manière perpendiculaire au plan principal (17) du dispositif

en treillis (13).

6. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le dispositif à bras-console (27) comprend un profilé rigide (28) et/ou une plaque-console (29) sensiblement horizontale, le profilé rigide (28) et/ou la plaque-console (29) étant reliés rigidement au dispositif en treillis (13) et éventuel-

lement entre eux.

7. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le dispositif à bras-console (27) est articulé à une console

(31).

8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que le dispositif à bras-console (27) et la console (31) sont

reliés l'un à l'autre par un axe pivotant (32).

9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que

la console (31) peut pivoter d'une direction orientée davanta-

ge vers le plan principal (17) vers une position plus détour-

née du plan principal (17).

10. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que la console (31) peut pivoter d'une direction sensiblement

parallèle au plan principal (17) vers une position sensible-

ment perpendiculaire au plan principal (17).

11. Dispositif selon la revendication 6 et 7, caractérisé en

ce que la largeur (33) de la plaque-console (29), mesurée per-

pendiculairement au plan principal (17), correspond approxi-

mativement à la somme de la largeur (34) de la console (31)

et de la longueur (37) du profilé rigide (28), mesurée perpen-

diculairement au plan principal (17).

12. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que la console pivotante (31) peut être fixée par rapport au

dispositif à bras-console (27).

13. Dispositif selon la revendication 6 et 7, caractérisé en ce que la console (31) et la plaque-console (29) présentent des perçages (41, 42, 43, 44) qui sont alignés dans certaines positions de sorte que la console (31) peut être fixée, par rapport à la plaque-console (29), dans au moins deux posi- tions, en particulier dans une position (41, 42) sensiblement parallèle au plan principal (17) et dans une position (43,

44) sensiblement perpendiculaire.

14. Dispositif selon la revendication 13, caractérisé en ce que des écrous (47, 48) alignés avec les per,çages (41, 43) de la plaque-console (29), sont reliés, de préférence avec des filets Dywidag, rigidement à la face inférieure (49) de la

plaque-console (29).

15. Dispositif selon la revendication 6 et 7, caractérisé en

ce que le dispositif de soutien (11) comprend quatre dispo-

sitifs à bras-console (27) avec des profilés rigides (28) dont deux présentent en plus une plaque-console (29) et une

console (31).

16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que les deux dispositifs à bras-console (27), présentant les plaques de console (29) et les consoles (31), sont disposés

en diagonale.

17. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que les deux dispositifs à bras-console (27), présentant les plaques de console (29) et les consoles (31), sont disposés

l'un à côté de l'autre.

18. Dispositif selon la revendication 4 et/ou 7, caractérisé en ce que le/les dispositif/s à bras-console (27) et/ou la/les console/s pivotante/s (31) et/ou le dispositif en treillis (13) peuvent être reliés à des dispositifs glisseurs

et/ou à roulettes.

19. Dispositif selon la revendication 18, caractérisé en ce que le dispositif à roulettes est un dispositif à roulettes

orientables (51).

20. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il présente au moins un système principal de support de

charge (52).

21. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce

qu'il est prévu au moins un autre système auxiliaire de sup-

port de charge (53) pour être relié avec au moins une poutre longitudinale de coffrage (14) d'un dispositif de soutien

(11) pour soutenir au moins une poutre longitudinale de cof-

frage (14).

22. Dispositif selon la revendication 20 et/ou 21, caractéri-

sé en ce que le système principal de support de charge (52)

et/ou auxiliaire (53) sont réglables en hauteur.

23. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé en ce

que le système principal de support de charge (52) est dis-

posé sur le dispositif en treillis (13), le dispositif à

bras-console (27) ou sur la console (31).

24. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé en ce que le système principal de support de charge (52) comprend

une broche (54).

25. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé en ce que le système principal de support de charge (52) comprend

un dispositif d'appui (56) relevable et abaissable.

26. Dispositif selon les revendications 3 et 20, caractérisé

en ce que le système principal de support de charge (52) est disposé dans le prolongement d'un dispositif support vertical

(16) du dispositif en treillis (13).

27. Dispositif selon les revendications 3 et 20, caractérisé

en ce que le système principal de support de charge (52) peut être logé au moins partiellement dans le dispositif support

vertical (16).

28. Dispositif selon les revendications 3 et 20, caractérisé

en ce que le système principal de support de charge (52) com-

prend le tube interne (117) du dispositif support vertical (16).

29. Dispositif selon la revendication 28, caractérisé en ce que le tube interne (117) traverse un perçage vertical (136)

par une gaine de guidage (135) dans la Jambe de force infé-

rieure horizontale (26).

30. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce que le système principal de support de charge (53) est un

montant de plafond (57).

31. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce

que le système principal de support de charge (53) est articu-

lé au moins indirectement à au moins une poutre longitudinale

de coffrage (14).

32. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce que le système principal de support de charge (53) comprend

un dispositif latéral en treillis (63).

33. Dispositif selon la revendication 32, caractérisé en ce que le système principal de support de charge (53) présente deux profilés verticaux (64) reliés éventuellement entre eux rigidement par au moins une entretoise transversale (66), ces profilés verticaux (64) étant guidés de manière télescopique le long des jambes de force verticales (67) du dispositif latéral en treillis (63).

34. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce

qu'il est prévu, sur le dispositif en treillis (13), un dispo-

sitif pour le soutien (68) du système principal de support de charge (53) ou des parties de ce dernier quand les poutres

longitudinales de coffrage (14) sont partiellement et/ou com-

plètement rabattues.

35. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que

le dispositif en treillis (13) est sensiblement bi-dimension-

nel.

36. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que le dispositif porteur vertical (16) du dispositif en treillis

(13) est réglable en hauteur.

37. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que le dispositif porteur vertical (16) comprend des profilés

supérieur et inférieur (71, 72) qui s'engagent l'un dans l'au-

tre de manière télescopique et sont réglables en position.

38. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que le dispositif porteur vertical (16) comprend un abaissement rapide.

39. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que

l'extension verticale du dispositif de soutien (11) est pro-

longeable par l'ajout d'un dispositif de réhausse (138).

40. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'il est prévu sur le dispositif (11) au moins un dispositif

de logement pour des moyens de transport (76) au moyen des-

quels le dispositif porteur vertical (16) peut être sorti.

41. Dispositif selon la revendication 40, caractérisé en ce

que le dispositif de logement (76) est un dispositif de loge-

ment pour un cric à crémaillère (79).

42. Dispositif selon la revendication 41, caractérisé en ce que le dispositif de logement (76) comprend un logement pour un pied de cric (77) et un dispositif (75) pour la fixation

d'un cric à crémaillère (79).

43. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce

que le panneau de coffrage (11) présente au moins un dispo-

sitif d'appui incliné (81).

44. Dispositif selon la revendication 43, caractérisé en ce

que le dispositif d'appui incliné (81) est rabattable.

45. Dispositif selon la revendication 43, caractérisé en ce que le dispositif d'appui incliné (81) présente un dispositif

d'articulation (82).

46. Dispositif selon la revendication 45, caractérisé en ce que le dispositif d'appui incliné (81) présente un appui incliné inférieur (83) et un appui incliné supérieur (84) qui

sont reliés au moyen du dispositif d'articulation (82).

47. Dispositif selon la revendication 45, caractérisé en ce

que le dispositif d'articulation (82) comprend une articula-

tion rabattable (86).

48. Dispositif selon la revendication 45, caractérisé en ce

que le dispositif d'articulation (82) comprend une tête d'ar-

ticulation (87) avec une butée (105).

49. Dispositif selon la revendication 48, caractérisé en ce que la butée (105) limite l'abattement de l'appui incliné supérieur (84) par rapport à l'appui incliné inférieur (83) à

un angle (88) dépassant légèrement la position d'extension.

50. Dispositif selon la revendication 48, caractérisé en ce que la butée (105) est reliée rigidement à un appui incliné

(83, 84).

51. Dispositif selon la revendication 46, caractérisé en ce que l'appui incliné supérieur (84) et/ou l'appui incliné

inférieur (83) sont verrouillables dans leur position d'exten-

sion.

52. Dispositif selon la revendication 45, caractérisé en ce que le dispositif d'articulation (82) présente un dispositif

autobloquant et un dispositif de recul à déblocage manuel.

53. Dispositif selon la revendication 42, caractérisé en ce que le dispositif autobloquant présente un manchon (91) muni d'une inclinaison de montée (92) et d'au moins un taquet de

recul (74) disposé sur l'appui incliné supérieur (84).

54. Dispositif selon la revendication 46, caractérisé en ce que l'extrémité inférieure de l'appui incliné supérieur (83) est articulée au dispositif en treillis (13) et l'extrémité supérieure de l'appui incliné supérieur (84) est articulée au moins indirectement à une poutre longitudinale de coffrage (14).

55. Dispositif selon la revendication 46, caractérisé en ce que ni la longueur de l'appui incliné supérieur (84) ni la

longueur de l'appui incliné inférieur (83) ne sont plus lon-

gues que l'extension entre l'extrémité supérieure (94) du dispositif de soutien rabattu (11) et le dispositif d'articu- lation (144) de l'extrémité inférieure de l'appui incliné

inférieur (83) du dispositif en treillis (13).

56. Dispositif selon la revendication 46, caractérisé en ce que ni la longueur de l'appui incliné supérieur (84) ni la

longueur de l'appui incliné inférieur (83) ne sont plus lon-

gues que l'extension entre le dispositif d'articulation (144) de l'extrémité inférieure de l'appui incliné inférieur (83) du dispositif en treillis (13) et la surface sur laquelle

repose le dispositif de soutien (11).

57. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce que les poutres longitudinales de coffrage (14) présentent au

moins un dispositif (168) pour la fixation du système auxi-

liaire de support de charge (53).

58. Dispositif selon la revendication 57, caractérisé en ce que le dispositif de fixation (168) est coulissant le long de

la poutre longitudinal de coffrage (14).

59. Dispositif selon la revendication 57, caractérisé en ce

que deux poutres longitudinales de coffrage (14) ou une pou-

tre longitudinal de coffrage (14) et une autre poutre peuvent être reliées chacune à un dispositif de fixation (168) et les deux dispositifs de fixation (168) sont fixés sur un système

auxiliaire de support de charge (53) soutenant les deux pou-

tres.

60. Dispositif selon la revendication 57, caractérisé en ce que le dispositif de fixation (168) comprend une broche (98) présentant un perçage transversal (99), cette broche (98) correspondant à un perçage (101) dans le système auxiliaire

de support de charge (53).

61. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que deux poutres longitudinales de coffrage (14) parallèles entre elles sont reliées rigidement entre elles par au moins une entretoise transversale (102) de poutre longitudinale de

coffrage et/ou par une entretoise diagonale de poutre longi-

tudinale de coffrage.

62. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que sur les poutres longitudinales de coffrage (14) peuvent

être fixés des profilés de poutre principale (104).

63. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce

que le dispositif en treillis (13) présente une jambe horizon-

tale de force supérieure (23), médiane (24) et inférieure (26).

64. Dispositif selon les revendications 61 et 63, caractérisé

en ce que les faces inférieures des jambes de force horizonta-

les médianes (24) et de l'entretoise transversale de poutre longitudinale de coffrage (102) sont approximativement au

même niveau à l'état rabattu.

65. Dispositif selon la revendication 63, caractérisé en ce que le dispositif en treillis (13) présente des oreilles de levage (106) de préférence sur la jambe de force horizontale supérieure (26) et/ou sur l'extrémité supérieure de la poutre

verticale (16).

66. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est prévu en supplément des dispositifs de sécurité qui

empochent le dispositif de soutien (11) abattu de se rabat-

tre.

67. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est prévu en supplément des moyens d'amortissement pour

plier et déplier le dispositif de soutien (11).

68. Dispositif selon les revendications 1 à 67, caractérisé

en ce que les dimensions du dispositif de soutien (11) quand les consoles (31) sont rentrées, les poutres longitudinales de coffrage (14) repliées et le dispositif porteur vertical (16) rentré, ne dépassent pas les dimensions de la porte

déterminées par la cote de nu.

69. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce

que le dispositif de soutien (11) est en aluminium.

70. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le dispositif de soutien (11) est essentiellement en aluminium dans sa zone supérieure et en acier dans sa zone inférieure.

71. Utilisation du dispositif de soutien (11) selon les

revendications 1 à 70 en tant que plate-forme de travail ou

échafaudage pour des charges utiles élevées.