FR2670659A1 - Autocuiseur a securite a l'ouverture et a la fermeture. - Google Patents

Autocuiseur a securite a l'ouverture et a la fermeture. Download PDF

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Abstract

L'invention concerne un autocuiseur comprenant une cuve (2), un couvercle (3) monté sur la cuve (2) et des moyens (4, 6, 7) de serrage du couvercle (3) sur la cuve (2) comportant au moins un organe mobile (4, 6) monté sur le couvercle (3), caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (13) pour engendrer automatiquement l'ouverture d'un orifice du couvercle (3) sous l'effet du mouvement de l'organe mobile (4, 6) lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle (3) de façon à imposer l'échappement progressif de la vapeur à travers cet orifice avant que le couvercle (3) ne soit complètement desserré et dissocié de la cuve (2), l'orifice étant obturé par un organe d'obturation lorsque le couvercle (3) est serré sur la cuve (2).

Description

AUTOCUISEUR A SECURITE A L'OWERTURE ET A LA
FERMETURE
L'invention concerne un autocuiseur, ctest- -dire un appareil ménager de cuisson sous pression.
On connaît essentiellement trois types d'autocuiseurs : les autocuiseurs dits à étrier", les autocuiseurs dits "à baïonnette", et les autocuiseurs à couvercles déformables. Un autocuiseur est généralement constitué d'une cuve formant récipient pour les aliments à cuire, d'un couvercle monté sur la cuve de façon amovible, et de moyens de serrage du couvercle sur la cuve. Dans les autocuiseurs à baïonnette, le serrage est obtenu par simple rotation du couvercle par rapport à la cuve grâce à des poignées respectivement solidaires de la cuve et du couvercle. La soupape mobile est généralement insérée dans la poignée du couvercle et est actionnée par l'intermédiaire d'un levier grâce à un bouton de manoeuvre.
L'inconvénient de ce type d'autocuiseur est que le serrage du couvercle par rapport à la cuve ne peut pas être modifié par l'utilisateur, par exemple en cas d'usure partielle du joint entre le couvercle et la cuve. Par contre, un des avantages des autocuiseurs à baïonnette est leur plus grande sécurité d'utilisation, du fait qu'il est aisé de prévoir par exemple un verrouillage du couvercle tant que la pression interne est encore trop importante.
Par contre, dans un autocuiseur à étrier, les moyens de serrage du couvercle comprennent un étrier monté mobile sur le couvercle par l'intermédiaire d'un écrou de serrage actionné par un bouton de serrage rotatif autour d'une vis solidaire du couvercle, l'étrier, l'écrou de serrage et/ou le bouton de serrage étant montés à l'extérieur du couvercle, se rapprochant du couvercle lors de la manoeuvre de desserrage et s'en éloignant lors de la manoeuvre de serrage de façon à permettre la coopération de l'étrier avec des crochets ou des épaulements solidaires de la cuve.
Dans de tels autocuiseurs, le couvercle est muni d'un orifice de soupape prolongé vers l'extérieur par un ajutage et d'une soupape mobile -notamment tournante ou chuintantecoiffant l'ajutage en obturant l'orifice jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape mobile. Avant l'ouverture de l'autocuiseur, il est absolument indispensable d'ôter ou au moins de soulever la soupape en vue de ramener la pression interne à une valeur proche de la pression atmosphérique.
Si l'avantage des autocuiseurs à étrier est de permettre un serrage progressif et dont la valeur est laissée à l'appréciation de l'utilisateur, l'inconvénient est que le couvercle peut être desserré ou ouvert alors même que la pression interne est encore importante, ce qui entraîne un risque important de brûlures pour l'utilisateur. En particulier, dans le cas des soupapes tournantes ou chuintantes, les contraintes de précision et de sensibilité de la soupape sont telles qu'elles peuvent être immobiles ou silencieuses alors même que la pression interne est encore bien supérieure à la pression atmosphérique.
Classiquement, dans les autocuiseurs à étrier connus, la soupape tournante ou chuintante ne commence à tourner ou à chuinter que pour une surpression de l'ordre de 0,5 bars au moins. Or lorsque la soupape ne produit pas ses effets, l'autocuiseur se présente strictement vis-à-vis de l'extérieur comme s'il était décomprimé. Et en pratique, l'ouverture d'un autocuiseur à étrier alors qu'il renferme encore une surpression de l'ordre de 0,5 bars est la cause de nombreux accidents.
L'invention vise donc à remédier à ces inconvénients et a pour objet de proposer une sécurité destinée à éviter les accidents dûs aux ouvertures prématurées des autocuiseurs autres que les autocuiseurs à baïonnette.
Enfin, il arrive que des aliments ou des particules bouchent les orifices de sortie de la vapeur de la soupape tournante ou chuintante et/ou de la soupape de sécurité. Et dans un tel cas, l'utilisateur n'est pas prévenu de l'existence d'une surpression dans l'autocuiseur avant le desserrage, ce qui est aussi une source importante d'accidents.
Ainsi, l'invention a pour objet de proposer un autocuiseur du type comprenant une cuve, un couvercle monté sur la cuve, et des moyens de serrage du couvercle sur la cuve comportant au moins un organe mobile qui est monté sur le couvercle et dont la position par rapport au couvercle est modifiée lors des manoeuvres de serrage ou de desserrage du couvercle par rapport à la cuve, et qui présente des moyens de sécurité destinés à éviter les accidents dûs à l'ouverture de l'autocuiseur alors qu'il est encore sous pression. Plus précisément, l'invention a également pour objet de proposer un tel autocuiseur qui conserve entièrement tous les avantages connus par ailleurs. Egalement, un objet de l'invention est de proposer un tel autocuiseur qui reste simple, fiable, peu onéreux, facile à nettoyer et à utiliser.
Un autre objet de l'invention est de proposer un autocuiseur du type à étrier qui présente une meilleure sécurité vis-à-vis de l'utilisateur à l'ouverture tout en conservant par ailleurs ses avantages de simplicité, robustesse, faible coût de revient, fiabilité, et serrage progressif et à volonté du couvercle.
L'invention a également pour objet de proposer un tel autocuiseur dans lequel la pression est automatiquement libérée dès que l'utilisateur tente de desserrer le couvercle alors qu'il est encore sous pression. Une telle libération automatique de pression a en effet pour conséquence d'éviter un accident et de prévenir l'utilisateur par le bruit engendré de l'existence d'une surpression résiduelle dans l'autocuiseur.
Un autre objet de l'invention est de proposer un tel autocuiseur à étrier dans lequel la libération automatique de la surpression résiduelle se fait absolument sans aucun risque de brûlure par projections de l'utilisateur.
Egalement, l'invention a pour objet de proposer un tel autocuiseur qui présente une meilleure sécurité à la fermeture, notamment dans lequel la montée en pression n'est pas possible si le couvercle est mal serré sur la cuve.
L'invention a aussi pour objet de proposer un tel autocuiseur dans lequel la pression est libérée à l'ouverture même lorsque le canal de l'ajutage ou les canaux de la soupape sont accidentellement bouchés.
Pour ce faire, l'invention concerne un autocuiseur comprenant une cuve, un couvercle monté sur la cuve, et des moyens de serrage du couvercle sur la cuve comportant au moins un organe mobile qui est monté sur le couvercle et dont la position par rapport au couvercle est modifiée lors des manoeuvres de serrage ou de desserrage du couvercle par rapport à la cuve, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour engendrer automatiquement l'ouverture d'un orifice du couvercle sous l'effet du mouvement de l'organe mobile lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle de façon à imposer l'échappement progressif de la vapeur à travers cet orifice avant que le couvercle ne soit complètement desserré et dissocié de la cuve en vue de l'ouverture de l'autocuiseur, les moyens pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice laissant cet orifice normalement obturé par un organe d'obturation tel qu'un bouchon ou une soupape lorsque le couvercle est serré sur la cuve.
Selon l'invention, les moyens pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice sous l'effet du mouvement de l'organe mobile sont constitués de moyens de liaison mécanique reliant l'organe mobile à l'organe d'obturation de telle sorte que le mouvement de l'organe mobile induit automatiquement un mouvement de l'organe d'obturation dans le sens de l'ouverture de l'orifice lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle.
Plus particulièrement, l'invention concerne un autocuiseur dans lequel les moyens de serrage du couvercle sont du type à étrier monté mobile sur le couvercle par l'intermédiaire d'un écrou de serrage actionné par un bouton de serrage rotatifs autour d'une vis solidaire du couvercle, caractérisé en ce que ledit organe mobile relié mécaniquement à l'organe d'obturation est l'étrier et/ou l'écrou de serrage et/ou le bouton de serrage. Les moyens de liaison mécanique constituent aussi des moyens de blocage en rotation de l'étrier par rapport au couvercle.
Selon une première variante, l'invention concerne un autocuiseur dans lequel ledit mouvement de l'organe mobile est au moins un mouvement de translation, et qui est caractérisé en ce que l'organe d'obturation est tel que l'ouverture de l'orifice se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation globalement selon la même direction mais en sens opposé au mouvement de translation de l'organe mobile lors de la manoeuvre de desserrage, et en ce que les moyens de liaison mécanique comportent au moins un levier prenant appui ou articulé sur le couvercle et associé à ou coopérant avec l'organe mobile et l'organe d'obturation.Selon l'invention, l'autocuiseur est caractérisé en ce que l'organe d'obturation est constitué d'une soupape disposée à l'extérieur de l'autocuiseur et au-dessus de l'orifice et en ce que les moyens de liaison mécanique transforment le mouvement de l'organe mobile lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement de soulèvement de la soupape qui s'écarte du couvercle et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice.
Ainsi, dans cette première variante, l'invention concerne un autocuiseur comprenant une cuve, un couvercle monté sur la cuve et des moyens de serrage du couvercle sur la cuve du type à étrier monté mobile sur le couvercle par l'intermédiaire d'un écrou de serrage actionné par un bouton de serrage rotatifs autour d'une vis solidaire du couvercle, l'étrier, l'écrou de serrage et/ou le bouton de serrage étant montés à l'extérieur du couvercle, se rapprochant du couvercle lors de la manoeuvre de desserrage et s'en éloignant lors de la manoeuvre de serrage, le couvercle étant muni d'un orifice de soupape prolongé vers l'extérieur par un ajutage et d'une soupape mobile coiffant l'ajutage en obturant l'orifice jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape, caractérisé en ce que ledit orifice est l'orifice de soupape, en ce que ledit organe mobile est l'étrier ou l'écrou ou le bouton de serrage (lorsque celuici est mobile en translation), et en ce que les moyens de liaison mécanique sont constitués d'un levier associé à l'organe mobile, prenant appui ou étant articulé sur le couvercle et dont une extrémité libre s'étend sous la base de la soupape de façon à la soulever lorsque l'organe mobile est rapproché du couvercle et à la laisser librement reposer sur l'ajutage lorsque l'organe mobile est éloigné du couvercle et que le couvercle est serré sur la cuve.
L'extrémité libre du levier s'étendant sous la soupape comporte une lumière ou un évidement pour le passage de l'ajutage -notamment est en forme de fourche à deux dents s'étendant de part et d'autre de l'ajutage-. Cette lumière est oblongue pour permettre les mouvements du levier en rotation. Le levier peut être constitué d'une lame flexible élastique courbée prenant appui sur le couvercle, ou d'un bras rigide articulé au couvercle, ou de deux bras rigide dont l'un est articulé au couvercle et l'autre est associé rigidement à l'organe mobile. A la place du levier, les moyens de liaison mécanique peuvent être constitués d'une lame flexible élastique courbée à convexité orientée vers le haut insérée sous l'organe mobile et aplatie élastiquement dans le sens de la diminution de sa courbure lors du desserrage.
Dans une deuxième variante, l'invention concerne un autocuiseur dans lequel ledit mouvement de l'organe mobile est au moins un mouvement de translation, et qui est caractérisé en ce que l'organe d'obturation est tel que l'ouverture de l'orifice se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation globalement selon la même direction et dans le même sens que le mouvement de translation de l'organe mobile lors de la manoeuvre de desserrage et en ce que les moyens de liaison mécanique comportent un bras rigide associé à l'organe mobile et à l'organe d'obturation et reliant directement ces organes.
Selon l'invention, l'autocuiseur est caractérisé en ce que l'organe d'obturation est constitué d'un bouchon disposé à l'intérieur de l'autocuiseur et au-dessous de l'orifice et en ce que les moyens de liaison mécanique transforment le mouvement de l'organe mobile lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement d'abaissement du bouchon qui s'écarte du couvercle et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice.
Selon cette deuxième variante, l'invention concerne donc un autocuiseur comprenant une cuve, un couvercle monté sur la cuve, et des moyens de serrage du couvercle sur la cuve du type à étrier monté mobile sur le couvercle par l'intermédiaire d'un écrou de serrage actionné par un bouton de serrage rotatifs autour d'une vis solidaire du couvercle, l'étrier, l'écrou de serrage et/ou le bouton de serrage étant montés à l'extérieur du couvercle, se rapprochant du couvercle lors de la manoeuvre de desserrage et s'en éloignant lors de la manoeuvre de serrage, le couvercle étant muni d'un orifice de soupape prolongé vers l'extérieur par un ajutage et d'une soupape mobile coiffant l'ajutage en obturant l'orifice jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape, caractérisé en ce que ledit orifice est un orifice ménagé à travers le couvercle sous l'étrier, cet orifice étant distinct de l'orifice de soupape et étant obturé par un bouchon distinct de la soupape mobile et disposé du côté intérieur au-dessous de l'orifice, ce bouchon étant associé à une extrémité inférieure d'un bras rigide qui traverse l'orifice et dont l'autre extrémité supérieure est associée rigidement à l'étrier qui s'étend en regard et au-dessus de l'orifice. Le bouchon est constitué d'une butée associée rigidement à l'extrémité inférieure du bras rigide et d'au moins une rondelle élastique insérée autour du bras contre la butée pour venir en contact de la face interne du couvercle en regard de l'orifice. Le bras est associé rigidement mais de façon amovible à l'étrier, notamment grâce à un écrou solidaire de l'étrier coopérant avec l'extrémité supérieure filetée du bras.
Dans un autre mode de réalisation de cette deuxième variante et selon l'invention, l'autocuiseur est caractérisé en combinaison en ce que le bouchon est déformable à partir d'une valeur déterminée de la pression régnant dans l'enceinte interne de telle façon qu'il puisse traverser l'orifice vers l'extérieur sous l'effet de cette pression en réalisant ainsi un moyen de sécurité contre les surpressions, en ce que les moyens de liaison mécanique comportent un bras rigide qui traverse l'orifice, en ce que le bras est associé rigidement au bouchon, coulisse en translation par rapport à l'organe mobile, comporte une butée à son extrémité libre externe limitant son coulissement en direction de l'intérieur de l'enceinte interne, et en ce qu'il comporte des moyens de rappel du bouchon dans sa position la plus éloignée de l'organe mobile dans laquelle la butée vient au contact de cet organe mobile ou d'un bouton ou écrou solidaire de cet organe mobile, les moyens de rappel exerçant une force de rappel résistant à l'action de la pression interne jusqu'à la valeur déterminée de cette pression engendrant la déformation du bouchon et son passage à travers l'orifice.
Lorsque l'autocuiseur est du type à étrier mobile de serrage, l'orifice est disposé à proximité de l'étrier et le bras est associé à l'étrier de façon à pouvoir coulisser en translation par rapport à l'étrier en cas de surpression, mais à être déplacé par les mouvements de l'étrier dans les autres cas.
L'invention concerne également un autocuiseur incorporant en combinaison tout ou partie des caractéristiques précédentes. En particulier, les deux variantes susmentionnées peuvent être combinées.
L'adaptation d'un autocuiseur de type classique tel qu'un autocuiseur à étrier en un autocuiseur selon l'invention est extrêmement aisée et ne nécessite pas d'importantes modifications, les dispositions structurelles de l'invention étant simples à la fois dans leur fonctionnement et dans leur composition. Dans la deuxième variante, on remarquera que l'adjonction des moyens de sécurité engendrant automatiquement l'ouverture de l'orifice n'altère pas l'esthétique générale de l'appareil.
De plus, le bras traversant l'orifice du couvercle permet de stabiliser la position de l'étrier automatiquement et d'éviter ainsi les dispositions structurelles équipant habituellement les couvercles pour maintenir l'étrier.
Egalement, la vapeur et/ou les liquides qui peuvent s'échapper de l'orifice lorsqu'il est automatiquement ouvert lors du desserrage sont projetés contre l'étrier qui constitue ainsi une protection pour l'utilisateur.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description suivante qui se réfère aux figures annexées dans lesquelles
- la figure 1 est une vue en perspective d'un autocuiseur selon une première variante de l'invention.
- les figures 2 à 6 sont des vues partielles en coupe selon un plan vertical médian perpendiculaire à l'étrier d'un autocuiseur selon, respectivement, cinq modes de réalisation différents de la première variante de l'invention.
- la figure 7 est une vue partielle de dessus de l'extrémité des moyens de liaison mécanique de l'organe mobile à l'organe d'obturation d'un autocuiseur selon la première variante de l'invention.
- la figure 8 est une vue partielle en coupe selon un plan vertical médian passant par l'étrier d'un autocuiseur selon une deuxième variante de l'invention.
- la figure 9 est une vue de détail de la figure 8 illustrant un premier mode de réalisation possible de l'orifice et du bouchon de couvercle de l'autocuiseur selon l'invention.
- la figure 10 est une vue de détail de la figure 8 illustrant un deuxième mode de réalisation possible de l'orifice et du bouchon de couvercle de l'autocuiseur selon l'invention.
- la figure 11 est une vue partielle de détail en coupe selon un plan vertical médian passant par l'étrier d'un autocuiseur selon un troisième mode de réalisation de la deuxième variante de l'invention.
L'invention concerne un autocuiseur 1, c'est-à-dire un appareil de cuisson sous pression, notamment un appareil ménager de cuisson des aliments à la vapeur sous pression.
Un tel autocuiseur 1 comprend une cuve 2, un couvercle 3 monté sur la cuve 2 et des moyens 4, 5, 6, 7 de serrage du couvercle 3 sur la cuve 2. Le couvercle 3 amovible est en effet serré sur la cuve 2 avant la mise sous pression de l'autocuiseur. Au contraire, à la fin de la cuisson, le couvercle 3 est desserré et ôté de la cuve 2. L'invention est applicable à tout autocuiseur 1 dont les moyens 4, 5, 6, 7 de serrage du couvercle 3 sur la cuve 2 comportent au moins un organe mobile 4, 5, 6 qui est monté sur le couvercle 3 et dont la position par rapport au couvercle est modifiée lors des manoeuvres de serrage ou de desserrage du couvercle 3 par rapport à la cuve 2, c'est-àdire lorsque l'utilisateur agit sur les moyens 4, 5, 6, 7 de serrage en vue de serrer ou de desserrer le couvercle 3.
En particulier, les autocuiseurs dits à baïonnette ne comportent en général pas d'organe mobile de serrage, mais des poignées de serrage associées rigidement respectivement par rapport au couvercle et à la cuve. L'invention n'est donc pas applicable à de tels autocuiseurs dits "à baïonnette". Par contre, elle est notamment applicable aux autocuiseurs dits "à étrier" comme représentés sur les figures. Un autocuiseur 1 à étrier est un autocuiseur dans lequel les moyens 4, 5, 6, 7 de serrage du couvercle 3 sont du type à étrier 6 monté mobile sur le couvercle 3 par l'intermédiaire d'un écrou de serrage 5 actionné par un bouton de serrage 4 manoeuvré par l'utilisateur. L'écrou de serrage 5 et le bouton de serrage 4 sont montés rotatifs autour d'une vis 8 solidaire du couvercle 3 s'étendant au moins sensiblement perpendiculairement à et au centre du couvercle 3.L'étrier 6, l'écrou de serrage 5 et/ou le bouton de serrage 4 sont montés à l'extérieur du couvercle 3 (par rapport à l'enceinte interne et à la cuve de l'autocuiseur), se rapprochent du couvercle 3 lors du desserrage et s'en éloignent lors du serrage. L'étrier 6 s'étend jusqu'à la périphérie du couvercle 3 de façon à venir coopérer avec des crochets ou épaulements de retenue 7 solidaires de la cuve 2.
Par ailleurs, le couvercle 3 est muni d'un orifice de soupape 10 qui débouche d'un côté sur l'extérieur et de l'autre côté dans l'enceinte interne formée par la cuve 2.
L'orifice de soupape 10 est prolongé vers l'extérieur par un ajutage 11, et une soupape mobile 12 tournante ou chuintante vient coiffer l'ajutage 11 en obturant l'orifice 10 jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape 12. De tels autocuiseurs 1 à étrier sont déjà largement connus en eux-mêmes, seules les caractéristiques propres à la présente invention étant mentionnées dans la présente description, étant entendu que les caractéristiques de détail et variantes non mentionnées et connues sont considérées comme incorporées à la présente description en tant que de besoin.
Selon l'invention, l'autocuiseur 1 comporte des moyens 13 pour engendrer automatiquement l'ouverture d'un orifice 10 ou 40 du couvercle 3 sous l'effet du mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle 3 de façon à imposer l'échappement progressif de la vapeur à travers cet orifice 10 ou 40 avant que le couvercle 3 ne soit complètement desserré et dissocié de la cuve 2 en vue de l'ouverture de l'autocuiseur 1. Les moyens 13 pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice 10 ou 40 laissent cet orifice 10 ou 40 normalement obturé par un organe d'obturation tel qu'un bouchon 41 ou une soupape 12 lorsque le couvercle 3 est serré sur la cuve 2 en vue de la mise sous pression de l'autocuiseur 1.Ainsi, les moyens 13 pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice 10 ou 40 sont inactifs lorsque le couvercle 3 est serré sur la cuve 2 et deviennent automatiquement actifs dès que l'utilisateur agit sur les moyens 4, 5, 6, 7 de serrage en vue de desserrer le couvercle 3. Lorsqu'ils deviennent automatiquement actifs, les moyens 13 ont pour fonction d'ouvrir un orifice 10 ou 40 du couvercle 3, de sorte que la pression résiduelle qui règne éventuellement à l'intérieur de l'autocuiseur 1 est immédiatement rabaissée à une valeur proche de la pression atmosphérique avant la fin du desserrage et avant l'ouverture de l'autocuiseur.
Selon l'invention, les moyens 13 pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice 10 ou 40 sous l'effet du mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 sont constitués de moyens 13 de liaison mécanique reliant l'organe mobile 4, 5, 6 à l'organe d'obturation 12 ou 41, de telle sorte que le mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 provoqué par la manoeuvre de l'utilisateur induit automatiquement un mouvement de l'organe d'obturation 12 ou 41 dans le sens de l'ouverture de l'orifice 10 ou 40 lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle 3. De la sorte, l'utilisateur induit nécessairement et automatiquement, de façon indirecte, l'ouverture de l'orifice 10 ou 40 lorsqu'il manoeuvre les moyens de serrage en vue de desserrer le couvercle 3.Ainsi, même lorsque l'utilisateur omet par inadvertance d'ôter ou de manoeuvrer la soupape 12 avant d'ouvrir l'autocuiseur 1, celui-ci est placé automatiquement dans un état équivalent à celui dans lequel il se trouverait si l'utilisateur n'avait pas commis cette omission, et ce grâce aux moyens 13 selon l'invention.
Selon l'invention, l'organe mobile 4, 5, 6 des moyens de serrage qui est relié mécaniquement par les moyens 13 à l'organe d'obturation 12 ou 41 de l'orifice 10 ou 40 est l'étrier 6 et/ou l'écrou de serrage 5 et/ou le bouton de serrage 4 de l'autocuiseur 1.
Lors du desserrage du couvercle 3, l'organe mobile peut subir un ou plusieurs mouvements par rapport au couvercle 3. De plus, selon les variantes d'autocuiseurs 1 concernées, on peut rencontrer des organes mobiles subissant des mouvements de différentes natures par rapport au couvercle 3. Il peut s'agir par exemple de mouvements de translation dans une ou plusieurs directions et/ou de mouvements de rotation, et ce dans un ou plusieurs sens.
Les moyens 13 de liaison mécanique exploitent l'un au moins de ces mouvements pour engendrer l'ouverture automatique de l'orifice 10 ou 40.
Les figures 1 à 6 illustrent une première variante de l'invention dans laquelle l'orifice ouvert par les moyens 13 automatiquement est l'orifice 10 de soupape, l'organe d'obturation est constitué de la soupape 12 disposée à l'extérieur de l'autocuiseur et au-dessus de l'orifice 10.
Dans cette variante, les moyens 13 de liaison mécanique transforment le mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement de soulèvement de la soupape 12 qui s'écarte du couvercle 3 et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice 10.
Ainsi, dans cette variante, les moyens 13 effectuent automatiquement la manoeuvre de soulèvement de la soupape que l'utilisateur a éventuellement omis d'effectuer préalablement au desserrage.
Dans cette variante, le mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 est au moins un mouvement de translation et l'organe d'obturation 12 est tel que l'ouverture de l'orifice 10 se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation 12 globalement selon la même direction mais en sens opposé au mouvement de translation de l'organe mobile 4, 5, 6 lors de la manoeuvre de desserrage. Les moyens 13 de liaison mécanique comportent alors au moins un levier 20 ou équivalent prenant appui ou étant articulé sur le couvercle 3. Ce levier 20 est associé à ou coopère avec l'organe mobile 4, 5, 6 et l'organe d'obturation 12.
L'organe mobile peut être soit l'étrier 6, soit l'écrou de serrage 5, soit même le bouton de serrage 4 lorsque celui-ci se déplace également en translation perpendiculairement au couvercle 3.
Une extrémité libre 21 d'un levier 20 ou équivalent des moyens 13 de liaison mécanique s'étend sous la base 14 inférieure de la soupape 12 de façon à la soulever lorsque l'organe mobile 4, 5, 6 est rapproché du couvercle 3 et à la laisser au contraire librement reposer sur l'ajutage 11 lorsque l'organe mobile 4, 5, 6 est éloigné du couvercle 3 et que le couvercle 3 est serré sur la cuve 2.
Le réglage des moyens 13 de liaison mécanique est réalisé de telle façon que l'orifice 10 ou 40 commence à être ouvert et à laisser la vapeur s'échapper avant que la pression de serrage du couvercle 3 sur la cuve 2 ne devienne insuffisante pour assurer l'étanchéité entre le couvercle 3 et la cuve 2. Néanmoins, ce réglage laisse l'orifice 10 ou 40 totalement obturé par l'organe d'obturation 12, 41 pour des valeurs habituelles de serrage avec lesquelles la mise sous pression de l'autocuiseur 1 en toute sécurité peut être réalisée.
L'extrémité libre 21 du levier 20 ou équivalent s'étendant sous la soupape 12 comporte une lumière ou évidement 16 pour le passage de l'ajutage et les mouvements du levier 20 -notamment est en forme de fourche à deux dents 15 s'étendant de part et d'autre de l'ajutage 11-. En variante (non représentée), on peut prévoir un fil recourbé en U faisant le tour de l'ajutage 11 sous la soupape 12, et associe à l'extrémité libre 21 du levier 20. La lumière ou évidement 16 séparant les deux dents 15 a une largeur correspondant au gabarit de l'ajutage 11 en étant légèrement plus grande que ce gabarit. La lumière ou évidement 16 est oblongue pour ne pas gêner les mouvements de l'extrémité 21 du levier 20 le long de l'ajutage.
Sur les modes de réalisation représentés aux figures 2 et 3, le levier 20 est constitué d'une lame flexible élastique courbée qui prend appui directement sur la face extérieure 17 du couvercle 3 entre l'organe mobile 4, 5, 6 et l'orifice 10.
Selon le mode de réalisation représenté à la figure 2, le levier 20 prend appui sur le couvercle 3 en un point de contact 22 situé au voisinage de l'orifice de soupape 10, c'est-à-dire entre la surépaisseur centrale 18 de renfort du couvercle et l'orifice 10 de soupape. Le levier 20 est constitué d'une lame formée de l'extrémité libre 21 insérée sous la base 14 de la soupape, courbée vers le haut au niveau du point de contact 22 pour former une partie médiane 23 du levier 20, et recourbée en 24 vers le bas pour s'étendre sensiblement horizontalement de sorte que son extrémité 25 soit associée rigidement au bouton de serrage 4 et/ou à l'écrou de serrage 5 et/ou à l'étrier 6.
L'extrémité libre 21 du levier 20 s'étend au moins sensiblement horizontalement sous la base 14 de la soupape.
La position représentée à la figure 2 est la position desserrée, dans laquelle l'étrier 6, l'écrou de serrage 5, et le bouton de serrage 4 sont rapprochés du couvercle 3, et la soupape 12 éloignée du couvercle 3 et de l'ajutage 11. Lorsque l'écrou 5 et l'étrier 6 s'éloignent du couvercle 3 à partir de la position représentée, l'extrémité 25 du levier monte, et le levier subit un mouvement de rotation autour du point de contact 22 qui se déplace légèrement en direction du centre du couvercle, ctest-à-dire de l'écrou 5 et du bouton 4 de serrage.
L'extrémité libre 21 bascule alors légèrement vers le bas jusqu'à laisser la soupape 12 reposer librement sur l'ajutage 11.
Comme cela apparat sur les figures 1 et 2, le levier 20 s'étend globalement perpendiculairement à l'étrier 6.
L'extrémité 25 du levier 20 est associée au bouton de serrage 4 et/ou à l'écrou de serrage 5 et/ou à l'étrier 6 par des moyens d'association 26 appropriés qui bloquent en translation cette extrémité 25 du levier 20 par rapport au bouton de serrage 4 et/ou à l'écrou 5 et/ou à l'étrier 6.
Si le levier 20 est suffisamment flexible, ces moyens d'association 26 peuvent aussi serrer l'extrémité libre 25 sur le bouton de serrage 4 et/ou l'écrou 5 et/ou l'étrier 6 en empêchant toute rotation relative de l'extrémité 25 du levier 20 par rapport au bouton de serrage 4 et/ou à l'écrou 5 et/ou à l'étrier 6. Dans ce cas, la courbure du levier 20 en 24 est plus importante à vide que celle représentée sur la figure 2, de sorte que le levier 20 est appuyé par élasticité au point de contact 22 sur le couvercle 3. Lors de la montée du bouton de serrage 4 et/ou de l'écrou 5 et/ou de l'étrier 6, la courbure au point 24 augmente alors légèrement, le point de contact 22 se déplace sur la gauche par rapport à la figure 2 et l'extrémité libre 21 bascule vers le bas autour du point de contact 22.Mais on peut au contraire prévoir que les moyens d'association 26 soient tels qu'ils permettent une rotation relative de l'extrémité 25 du levier 20 par rapport au bouton 4 et/ou à l'écrou 5 et/ou l'étrier 6. Par exemple, l'extrémité 25 du levier 20 comporte un évidement correspondant au gabarit de l'écrou 5 avec un léger jeu supplémentaire autorisant la rotation en basculement dans un plan vertical de l'extrémité 25. L'extrémité 25 est alors simplement engagée autour de l'écrou de serrage 5 en reposant sur l'étrier 6.
La figure 3 représente un autre mode de réalisation de la première variante de l'invention qui est similaire à celui de la figure 2, ctest-à-dire dans lequel le levier 20 est constitué d'une lame flexible courbée prenant appui sur le couvercle 3 directement. Mais dans ce mode de réalisation, le levier 20 est associé sous l'étrier 6, et le point de contact 22 du levier 20 avec le couvercle 3 est situé au voisinage du centre du couvercle 3 et de l'étrier 6, de l'écrou 5 de serrage et du bouton 4 de serrage, ctest-à-dire sur la surépaisseur centrale 18 de renfort du couvercle 3.Le levier 20 est alors constitué, de l'orifice de soupape 10 jusqu'à l'étrier 6, d'une portion inclinée 27 dont l'extrémité libre 21 est insérée sous la base 14 de la soupape, d'une portion 28 courbe à convexité orientée vers le bas pour former le point de contact 22 et d'une portion 29 s'étendant au moins sensiblement horizontalement sous l'étrier 6 auquel elle est associée. De préférence, la portion extrême 29 est associée au flanc 30 de l'étrier 6 qui est opposé à l'orifice de soupape 10 par rapport à l'axe central 19 du couvercle 3. Pour ce faire, l'extrémité 59 de la portion extrême 29 est recourbée vers le haut et rivetée ou sertie ou fixée par un boulon 60 ou équivalent au flanc 30 de l'étrier 6.Là encore, il est possible d'associer rigidement l'extrémité 59 de la portion extrême 29 au flanc 30, auquel cas la portion courbe 28 repose sur le couvercle 3 par déformation élastique au niveau de la courbure 31 de liaison de la portion courbe 28 et de la portion extrême 29. Mais on peut également prévoir que les moyens d'association 60 de l'extrémité 59 de la portion extrême 29 du levier 20 au flanc 30 de l'étrier 6 soient réalisés en ménageant un certain jeu ou prévoient des moyens d'articulation permettant une rotation dans un plan vertical de la portion extrême 29 lors de la translation de l'étrier 6 verticalement.Sur la figure 3, on a représenté également le levier 20 dans la position desserrée du couvercle dans laquelle le bouton de serrage 4, l'écrou de serrage 5, et l'étrier 6 sont rapprochés du couvercle 3, la soupape 12 en étant éloignée et laissant la vapeur librement s'échapper par l'orifice 10. La portion inclinée 27 du levier 20 en contact avec la soupape 12 peut être continûment inclinée jusqu'à son extrémité libre 21 comme représentée sur la figure 3 et venir au contact d'une portion seulement de la périphérie de la base 14 de la soupape 12. On peut néanmoins prévoir que l'extrémité libre 21 soit recourbée pour venir s'étendre horizontalement sous la base 14 de la soupape 12 de la même façon que sur la figure 2.
Dans le troisième mode de réalisation de la première variante représenté à la figure 4, le levier 20 est constitué d'un bras rigide articulé au couvercle 3 par l'intermédiaire d'une articulation lâche 32 autorisant une translation longitudinale du bras 20 à travers l'articulation 32. L'articulation lâche 32 peut être constituée d'une pièce 32 rapportée et associée rigidement au couvercle 3 dans laquelle est ménagée une lumière 33 à travers laquelle le bras 20 est inséré. Les dimensions de cette lumière 33 sont telles que le bras 20 peut coulisser longitudinalement dans la lumière 33 et que l'articulation 32 présente un certain jeu transversal au bras 20. Le bras rigide 20 est articulé par l'une 61 de ses extrémités à l'étrier 6, par exemple au flanc 35 de l'étrier 6 situé du même côté de l'axe central 19 que l'orifice de soupape 10.
Pour ce faire, on peut prévoir par exemple une plaquette 34 montée sur le flanc 35 par des rivets ou des boulons ou équivalents, l'extrémité 61 étant insérée dans une lumière de cette plaquette 34 dont les dimensions sont telles qu'une légère rotation du bras 20 par rapport à la plaquette 34 dans un plan vertical est possible. Pour associer l'extrémité 61 du bras 20 à la plaquette 34, on prévoit par exemple que cette extrémité 61 est filetée, et un écrou 62, 63 (et éventuellement un contre écrou) est engagé dans la partie filetée de l'extrémité 61 de chaque côté de la plaquette 34. Tout autre moyen d'association équivalent peut être prévu (encliquetage, rivets...).Le bras 20 comporte une extrémité libre 21 sensiblement horizontale engagée sous la base 14 de la soupape 12, une portion inclinée 36 prolongeant l'extrémité 21 vers l'axe central 19 le long du couvercle 3, et une portion 37 sensiblement horizontale insérée dans l'articulation 32 et dont l'extrémité 61 est associée à l'étrier 6 comme indiqué précédemment. L'articulation 32 est dans ce cas associée sur la surépaisseur 18 centrale de renfort du couvercle 3.
Dans le quatrième mode de réalisation de la première variante représenté à la figure 5, le levier 20 est constitué d'un premier bras rigide 37 basculant articulé au couvercle 3 par une articulation 39 constituée d'un palier ou d'un roulement associé rigidement à la face extérieure 17 du couvercle 3. Le premier bras 37 est inséré dans un axe pivotant horizontalement du palier ou roulement de l'articulation 39. Une extrémité 21 du premier bras 37 est insérée sous la base 14 de la soupape 12 de la même façon que cela est indiqué pour les modes de réalisation précédents. L'autre extrémité 38 du premier bras 37 s'étend au-delà de l'articulation 39. Le levier 20 est constitué en outre d'un second bras rigide 42 associé rigidement par une 65 de ses extrémités à l'organe mobile 4, 5, 6, par exemple à l'étrier 6 de la même façon que dans le deuxième mode de réalisation représenté à la figure 3 grâce à des moyens 64 d'association rigide tels que rivets, boulons, encliquetages, ... Le second bras rigide 42 est articulé par son autre extrémité 43 à l'extrémité 38 du premier bras rigide 37. Pour ce faire, l'extrémité 43 du second bras rigide 42 est coudée en 44 et est insérée dans une lumière 45 ménagée dans le premier bras 37. L'extrémité 43 est maintenue dans cette lumière 45 avec un jeu permettant une légère rotation relative des deux bras l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical.Pour ce faire, l'extrémité 43 est pourvue d'un moyen de retenue à sa portion la plus extrême saillant de l'autre côté de la lumière 45, par exemple d'un écrou ou rondelle ou encliquetage ou autre.
Sur la figure 5, on a représenté en traits pleins la position du levier 20 dans laquelle la soupape est soulevée de l'ajutage 11 et le couvercle desserre, et en traits pointillés la position du levier 20 dans laquelle la soupape 12 repose librement sur l'ajutage 11 et le couvercle 3 est serré. Lors du passage d'une position à l'autre, le second bras rigide 42 conserve la même orientation et le premier bras rigide 37 articulé bascule autour de l'articulation 39. L'articulation 39 est associée au couvercle 3 entre la surépaisseur 18 centrale et l'orifice 10 de soupape.
Dans le cinquième mode de réalisation de la première variante représenté à la figure 6, les moyens 13 de liaison mécanique sont constitués d'une lame 46 flexible élastique courbée à convexité orientée vers le haut insérée sous l'organe mobile 4, 5, 6 -notamment sous l'étrier 6-, en se prolongeant au-delà de celui-ci et de l'axe central 19 du couvercle 3 à l'opposé de l'orifice 10 de soupape, de sorte que cette lame 46 est aplatie élastiquement dans le sens de la diminution de sa courbure lorsque l'organe mobile 4, 5, 6 est rapproché du couvercle 3 lors de la manoeuvre de desserrage, en engendrant ainsi le soulèvement de la soupape 12.Sur la figure 6, on a représenté en traits pleins la position de la lame 46 lorsque le couvercle est desserré et la soupape 12 soulevée, et en traits pointillés la position de la lame 46 lorsque le couvercle est serré et que la soupape 12 repose librement sur l'ajutage 11.
L'extrémité libre 47 de la lame 46 qui est à l'opposé de l'orifice 10 de soupape par rapport à l'axe central 19 du couvercle 3 vient au contact du couvercle 3, et ce même lorsque l'étrier 6 et l'écrou 5 de serrage sont dans leur position la plus éloignée du couvercle 3 (représentée en traits pointillés), celui-ci étant serré sur la cuve 2. La courbure de la lame 46 est donc diminuée lorsque l'on desserre le couvercle 3 en rapprochant l'étrier 6 et l'écrou de serrage 5 du couvercle, ce qui a pour effet de faire monter l'extrémité 66 de la lame 46 qui s'étend sous la base 14 de la soupape par rapport au couvercle 3 et donc de soulever la soupape 12. Cette extrémité 66 de la lame 46 qui s'étend sous la base 14 de la soupape est réalisée de la même façon que l'extrémité 21 du levier 20 des modes de réalisation précédents.En pratique, la lame 46 peut être simplement insérée sous l'étrier 47. Pour éviter qu'elle ne se dégage de façon intempestive de cette position, on peut prévoir que la lame 46 soit engagée autour de la vis 8 et soit munie à cet effet d'une lumière permettant le passage de cette vis 8 à travers la lame 46. Dans le cinquième mode de réalisation, la lame 46 ne vient pas au contact du couvercle 3 entre l'axe central 19 et l'orifice 10 de soupape.
Les figures 8 à 10 représentent une deuxième variante de l'invention. Dans cette variante, le mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 est encore au moins un mouvement de translation et l'organe d'obturation 41 est tel que l'ouverture de l'orifice 40 se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation 41 globalement selon la même direction dans le même sens que le mouvement de translation de l'organe mobile 4, 5, 6 lors de la manoeuvre de desserrage. Les moyens 13 de liaison mécanique comportent un bras 48 associé à l'organe mobile 4, 5, 6 et à l'organe d'obturation 41. Ce bras 48 est rigide et relie directement les organes mobile 4, 5, 6 et d'obturation 41 sans venir au contact du couvercle 3.
Dans cette seconde variante, l'orifice 40 est un orifice ménagé à travers le couvercle 3 sous l'étrier 6, et qui est distinct de l'orifice 10 de soupape mobile et de l'orifice de soupape de sécurité (non représenté) . Ainsi, le couvercle 3 présente au moins deux orifices à savoir l'orifice de soupape 10 et cet orifice supplémentaire 40.
Un troisième orifice (non représenté) est généralement prévu pour une soupape automatique de sécurité. L'organe d'obturation est alors constitué d'un bouchon 41 distinct des soupapes mobiles ou de sécurité et disposé à l'intérieur de l'autocuiseur 1 et au-dessous de l'orifice supplémentaire 40. Les moyens 13 de liaison mécanique transforment alors le mouvement de l'organe mobile 4, 5, 6 lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement d'abaissement du bouchon 41 qui s'écarte du couvercle 3 et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice 40 et entre le bouchon 41 et la face interne 49 du couvercle 3.
Plus précisément, le bouchon 41 est disposé du côté intérieur au-dessous de l'orifice 40, et est associé à une extrémité 50 inférieure du bras rigide 48 qui traverse l'orifice 40. L'autre extrémité 51 supérieure du bras rigide 48 est associée rigidement à l'étrier 6 qui s'étend en regard et au-dessus de l'orifice 40. Le bras 48 s'étend au moins sensiblement verticalement depuis l'étrier 6 à travers l'orifice 40 pour supporter le bouchon 41 à l'intérieur de l'autocuiseur 1. Le bouchon 41 est constitué d'une butée 52 associée rigidement à l'extrémité inférieure 50 du bras 48, et d'au moins une rondelle élastique 53 d'étanchéité insérée autour du bras 48 contre la butée 52 pour venir en contact de la face interne 49 du couvercle 3 en regard de l'orifice 40.Lorsque le couvercle est serré sur la cuve 2, l'étrier 6 remonte en s'éloignant du couvercle 3 et la rondelle élastique 53 est écrasée contre la face interne 49 autour de l'orifice 40, ce qui réalise l'étanchéité et l'obturation de cet orifice 40. Au contraire, lorsque le couvercle 3 est desserré, l'étrier 6 se rapproche du couvercle en descendant et la rondelle élastique 53 se décolle de la face interne 49 de façon à laisser passer la vapeur par l'orifice 40. Pour faciliter ce décollage, une rondelle métallique 67 est associée rigidement au bras rigide 48 au-dessus de la rondelle élastique 53 qui est emprisonnée entre la butée 52 et cette rondelle 67. La rondelle métallique 67 est fixée au bras 48 par exemple grâce à une rondelle fendue 68 (telle qu'un circlips, marque déposée) engagée dans une rainure périphérique transversale du bras 48.
Le bras rigide 48 est associé rigidement mais de façon amovible à l'étrier 6. Pour ce faire, un écrou 54 est monté solidaire de l'étrier 6 et l'extrémité supérieure 51 du bras 48 est filetée et insérée dans le taraudage de l'écrou 54. L'écrou 54 est par exemple soudé ou serti à la face interne 55 de l'âme 56 de l'étrier 6.
La butée 52 peut également être associée de façon démontable à l'extrémité inférieure 50 du bras 48, et comporte par exemple un taraudage coopérant avec un filetage de cette extrémité 50. En variante, la butée 52 est rivetée ou soudée à l'extrémité inférieure 50 du bras 48. L'extrémité inférieure 50 du bras 48 et/ou la butée 52 comportent une rainure ou des pans ou équivalents permettant le démontage de la butée 52 et/ou du bras 48 grâce à un outil de démontage approprié tel qu'un tournevis ou autre.
Sur la figure 9, on a représenté un premier mode de réalisation de l'orifice 10 dans lequel cet orifice est simplement ménagé à travers le couvercle 3 dans une direction sensiblement verticale. La rondelle élastique 53 d'étanchéité peut alors être légèrement biaisée pour que sa face supérieure 57 vienne parfaitement au contact de la face interne 49 inclinée du couvercle 3. Sur la figure 10, un deuxième mode de réalisation est représenté dans lequel le couvercle 3 forme un décrochement 58 sensiblement horizontal de façon que la face interne 49 de ce couvercle 3 soit sensiblement perpendiculaire au bras 48 et à la rondelle élastique 53 dont la face supérieure 57 peut alors également être sensiblement horizontale.
La seconde variante de l'invention représentée aux figures 8 à 10 présente l'avantage d'une grande facilité de démontage et de nettoyage et l'étrier 6 venant en regard de l'orifice 10 protège l'utilisateur des projections de vapeur et/ou de liquide. De plus, cette seconde variante de l'invention réalise un blocage en rotation automatique de l'étrier grâce au bras 48 traversant l'orifice 10. Ainsi, les moyens 13, 48 de liaison mécanique constituent aussi des moyens de blocage en rotation de l'étrier 6 par rapport au couvercle 3. Tel peut être également le cas dans la première variante lorsque le levier 20 est associé à l'étrier 6. Egalement, le mouvement du bouchon 41 se fait, lors du desserrage, en sens opposé à celui de la circulation de la vapeur et des aliments qu'elle peut véhiculer. Le bouchon 41 repousse donc les aliments et empêche le bouchage accidentel de l'orifice 40.Ainsi, alors que les soupapes conventionnelles peuvent être bouchées accidentellement par les aliments (ce dont l'utilisateur n'est pas prévenu avant le desserrage), le bouchon 41 et l'orifice 40 constituent un nouveau dispositif de décompression palliant à cet inconvénient.
Par ailleurs, la seconde variante de l'invention est quasiment invisible de l'extérieur et n'affecte donc pas l'esthétique de l'appareil.
Dans un troisième mode de réalisation de la seconde variante, l'autocuiseur selon l'invention est caractérisé en combinaison en ce que le bouchon 41 est déformable à partir d'une valeur déterminée de la pression régnant dans l'enceinte interne 70 de telle façon qu'il puisse traverser l'orifice 40 vers l'extérieur sous l'effet de cette pression en réalisant ainsi un moyen de sécurité contre la surpression, en ce que les moyens 13 de liaison mécanique comportent un bras 48 rigide qui traverse l'orifice 40, en ce que le bras 48 et associé rigidement au bouchon 41, coulisse en translation par rapport à l'organe mobile 6, comporte une butée 71 à son extrémité libre externe 51 limitant son coulissement en direction de l'intérieur de l'enceinte interne 70, et en ce qu'il comporte des moyens 72 de rappel du bouchon 41 dans sa position la plus éloignée de l'organe mobile 6 dans laquelle la butée 71 vient au contact de cet organe mobile 6 ou d'un bouton ou écrou 54 solidaire de cet organe mobile 6, les moyens 72 de rappel exerçant une force de rappel résistant à l'action de la pression interne jusqu'à la valeur déterminée de cette pression engendrant la déformation du bouchon 41 et son passage à travers l'orifice 40.
Dans le cas où l'autocuiseur est du type dans lequel les moyens de serrage du couvercle sont du type à étrier 6 mobile coopérant avec des organes de retenue solidaires de la cuve, l'orifice 40 est alors disposé à proximité de l'étrier 6 qui constitue ledit organe mobile, et le bras 48 est associé à l'étrier 6 de façon à pouvoir coulisser en translation par rapport à l'étrier 6 en cas de surpression comme indiqué ci-dessus, mais à être déplacé par les mouvements de l'étrier 6 dans les autres cas, la commande du mouvement du bouchon 41 étant alors réalisée automatiquement par les mouvements de cet étrier 6. Ainsi, lorsque la pression interne ne dépasse pas la valeur déterminée mentionnée ci-dessus, l'ensemble bras 48 et ressort de rappel 72 constitue un ensemble rigide de liaison de l'organe mobile 6 au bouchon 41.
Le bras 48 est associé à l'étrier 6 par un bouton ou écrou 54 associé rigidement à l'étrier 6 muni d'un perçage 73 dans lequel le bras 48 peut coulisser en cas de surpression, les moyens 72 de rappel étant constitués d'un ressort spirale de compression 72 entourant le bras 48 et prenant appui d'un côté sur ce bouton ou écrou 54, et de l'autre côté sur le bouchon 41. Une rondelle 71 est associée solidaire à l'extrémité libre externe 51 du bras 48 de l'autre côté du perçage 73 pour former la butée susmentionnée.
Lors de la cuisson, le ressort 72 maintient le bouchon 41 écarté du bouton ou écrou 54 solidaire de l'étrier 6, et l'étrier 6 écarté du couvercle 3 maintient le bouchon 41 appliqué contre la face interne du couvercle 3 en position d'obturation. Si la pression interne augmente au-delà de la valeur déterminée de sécurité, le bouchon 41 traverse l'orifice 40, le bras 48 coulissant à l'intérieur du perçage 73 du bouton ou écrou 54. Dans ce mode de réalisation de la figure 11, les particules alimentaires et le bouchon 41 sont projetés contre l'étrier 6 qui protège l'utilisateur au cas où la surpression dépasse la valeur déterminée mentionnée ci-dessus.
Le bouchon 41 peut être réalisé en matière synthétique déformable. Sa face externe 74 est évasée de l'extérieur 75 vers l'intérieur 70, notamment tronconique ou pyramidale, pour faciliter son passage à travers l'orifice 40 en cas de surpression. Sa largeur perpendiculairement à l'axe de l'orifice 40 (c'est-à-dire son diamètre s'il est circulaire) est plus grande que celle de l'orifice 40, de sorte que sa face externe 74 est appliquée contre la face interne du bord périphérique du couvercle 3 autour de l'orifice 40.
Une rondelle 76 est avantageusement intercalée entre le ressort 72 et le bouchon 41.
En ajustant la force des moyens 72 de rappel, on peut régler la valeur déterminée de la pression à partir de laquelle la déformation du bouchon 41 est engendrée. On peut prévoir par exemple pour ce faire que la butée 71 soit constituée d'un écrou et que l'extrémité libre externe 51 du bras 48 soit filetée, de sorte que le ressort 72 peut être précomprimé à une valeur désirée correspondant à cette valeur déterminée de la pression.
L'invention peut faire l'objet de nombreuses variantes de réalisation incorporant tout ou partie des caractéristiques décrites ci-dessus selon des combinaisons différentes des deux variantes et des modes de réalisation décrits et représentés sur les figures.

Claims (21)

REVENDICATIONS
1. Autocuiseur comprenant une cuve (2), un couvercle (3) monté sur la cuve (2), et des moyens (4, 5, 6, 7) de serrage du couvercle (3) sur la cuve (2) comportant au moins un organe mobile (4, 5, 6) qui est monté sur le couvercle (3) et dont la position par rapport au couvercle (3) est modifiée lors des manoeuvres de serrage ou de desserrage du couvercle (3) par rapport à la cuve (2), caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (13) pour engendrer automatiquement l'ouverture d'un orifice (10 ou 40) du couvercle (3) sous l'effet du mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle (3) de façon à imposer l'échappement progressif de la vapeur à travers cet orifice (10 ou 40) avant que le couvercle (3) ne soit complètement desserré et dissocié de la cuve (2) en vue de l'ouverture de l'autocuiseur, les moyens (13) pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice (10 ou 40) laissant cet orifice (10 ou 40) normalement obturé par un organe d'obturation tel qu'un bouchon (41) ou une soupape (12) lorsque le couvercle (3) est serré sur la cuve (2).
2. Autocuiseur selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens (13) pour engendrer automatiquement l'ouverture de l'orifice (10 ou 40) sous l'effet du mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) sont constitués de moyens (13) de liaison mécanique reliant l'organe mobile (4, 5, 6) à l'organe d'obturation (12 ou 41) de telle sorte que le mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) induit un mouvement de l'organe d'obturation (12 ou 41) dans le sens de l'ouverture de l'orifice (10 ou 40) lors de la manoeuvre de desserrage du couvercle (3).
3. Autocuiseur selon la revendication 2 dans lequel les moyens (4, 5, 6, 7) de serrage du couvercle sont du type à étrier (6) monté mobile sur le couvercle (3) par l'intermédiaire d'un écrou de serrage (5) actionné par un bouton de serrage (4) rotatifs autour d'une vis (8) solidaire du couvercle (3), caractérisé en ce que ledit organe mobile (4, 5, 6) relié mécaniquement à l'organe d'obturation (12 ou 41) est l'étrier (6) et/ou l'écrou de serrage (5) et/ou le bouton de serrage (4).
4. Autocuiseur selon la revendication 3 caractérisé en ce que les moyens (13) de liaison mécanique constituent aussi des moyens de blocage en rotation de l'étrier (6) par rapport au couvercle (3).
5. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 dans lequel ledit mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) est au moins un mouvement de translation caractérisé en ce que l'organe d'obturation (12) est tel que l'ouverture de l'orifice (10) se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation (12) globalement selon la même direction mais en sens opposé au mouvement de translation de l'organe mobile (4, 5, 6) lors de la manoeuvre de desserrage et en ce que les moyens (13) de liaison mécanique comportent au moins un levier (20) prenant appui ou articulé sur le couvercle (3) et associé à ou coopérant avec l'organe mobile (4, 5, 6) et l'organe d'obturation (12).
6. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 5 caractérisé en ce que l'organe d'obturation est constitué d'une soupape (12) disposée à l'extérieur de l'autocuiseur et au-dessus de l'orifice (10) et en ce que les moyens (13) de liaison mécanique transforment le mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement de soulèvement de la soupape (12) qui s'écarte du couvercle (3) et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice (10).
7. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 dans lequel les moyens (4, 5, 6, 7) de serrage du couvercle (3) sont du type à étrier (6) monté mobile sur le couvercle (3) par l'intermédiaire d'un écrou de serrage (5) actionné par un bouton de serrage (4) rotatifs autour d'une vis (8) solidaire du couvercle (3), l'étrier (6), l'écrou (5) de serrage et/ou le bouton de serrage (4) étant montés à l'extérieur du couvercle (3), se rapprochant du couvercle (3) lors de la manoeuvre de desserrage, et s'en éloignant lors de la manoeuvre de serrage, le couvercle (3) étant muni d'un orifice de soupape (10) prolongé vers l'extérieur par un ajutage (11) et d'une soupape mobile (12) coiffant l'ajutage (11) en obturant l'orifice (10) jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape (12) caractérisé en ce que ledit orifice est l'orifice de soupape (10), en ce que ledit organe mobile est l'étrier (6) ou l'écrou de serrage (5) ou le bouton de serrage (4), et en ce que les moyens (13) de liaison mécanique sont constitués d'un levier (20) associé à l'organe mobile (4, 5, 6), prenant appui ou étant articulé sur le couvercle (3), et dont une extrémité libre (21) s'étend sous la base (14) de la soupape (12) de façon à la soulever lorsque l'organe mobile (4, 5, 6) est rapproché du couvercle (3) et à la laisser librement reposer sur l'ajutage (11) lorsque l'organe mobile (4, 5, 6) est éloigné du couvercle (3) et que le couvercle (3) est serré sur la cuve (2).
8. Autocuiseur selon la revendication 7 caractérisé en ce que l'extrémité libre (21) du levier (20) s'étendant sous la soupape (12) comporte une lumière ou un évidement (16) pour le passage de l'ajutage (11) -notamment est en forme de fourche à deux dents (15) s'étendant de part et d'autre de l'ajutage (11)-.
9. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 5, 7 et 8 caractérisé en ce que le levier (20) s'étend globalement perpendiculairement à l'étrier (6).
10. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 7 à 9 caractérisé en ce que le levier (20) est constitué d'une lame flexible élastique courbée qui prend appui directement sur la face extérieure (17) du couvercle (3) entre l'organe mobile (4, 5, 6) et l'orifice (10).
11. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 7 à 9 caractérisé en ce que le levier est constitué d'un bras rigide (20) articulé au couvercle (3) par une articulation lâche (32) autorisant une translation longitudinale du bras (20) à travers l'articulation (32), le bras rigide (20) étant articulé par une (25) de ses extrémités à l'organe mobile (4, 5, 6) et ayant son autre extrémité (21) insérée sous la soupape (12).
12. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 7 à 9 caractérisé en ce que le levier (20) est constitué d'un premier bras rigide (37) articulé au couvercle (3) dont une extrémité (21) est insérée sous la soupape (12), et d'un second bras rigide (42) associé rigidement à l'organe mobile (4, 5, 6) et articulé à l'autre extrémité (38) du premier bras rigide (37).
13. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 7 à 9 caractérisé en ce que les moyens (13) de liaison mécanique sont constitués d'une lame (46) flexible élastique courbée à convexité orientée vers le haut insérée sous l'organe mobile (4, 5, 6) en se prolongeant au-delà de celui-ci à l'opposé de l'orifice (10) de la soupape (12), de sorte que cette lame (46) est aplatie élastiquement dans le sens de la diminution de sa courbure lorsque l'organe mobile (4, 5, 6) est rapproché du couvercle (3) lors de la manoeuvre de desserrage et engendre le soulèvement de la soupape (12).
14. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 dans lequel ledit mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) est au moins un mouvement de translation caractérisé en ce que l'organe d'obturation (41) est tel que l'ouverture de l'orifice (40) se fait par déplacement en translation de l'organe d'obturation (41) globalement selon la même direction et dans le même sens que le mouvement de translation de l'organe mobile (4, 5, 6) lors de la manoeuvre de desserrage et en ce que les moyens (13) de liaison mécanique comportent un bras rigide (48) associé à l'organe mobile (4, 5, 6) et à l'organe d'obturation (41) et reliant directement ces organes (4, 5, 6, 41).
15. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 et 14 caractérisé en ce que l'organe d'obturation est constitué d'un bouchon (41) disposé à l'intérieur de l'autocuiseur et au-dessous de l'orifice (40) et en ce que les moyens (13) de liaison mécanique transforment le mouvement de l'organe mobile (4, 5, 6) lors de la manoeuvre de desserrage en un mouvement d'abaissement du bouchon (41) qui s'écarte du couvercle (3) et laisse la vapeur s'échapper librement par l'orifice (40).
16. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 et 15 dans lequel les moyens (4, 5, 6, 7) de serrage du couvercle (3) sont du type à étrier (6) monté mobile sur le couvercle (3) par l'intermédiaire d'un écrou de serrage (5) actionné par un bouton de serrage (4) rotatifs autour d'une vis (8) solidaire du couvercle (3), l'étrier (6), l'écrou (5) de serrage et/ou le bouton de serrage (4) étant montés à l'extérieur du couvercle (3), se rapprochant du couvercle (3) lors de la manoeuvre de desserrage, et s'en éloignant lors de la manoeuvre de serrage, le couvercle (3) étant muni d'un orifice de soupape (10) prolongé vers l'extérieur par un ajutage (11) et d'une soupape mobile (12) coiffant l'ajutage (11) en obturant l'orifice (10) jusqu'à une valeur de la pression interne de l'autocuiseur déterminée par le poids de la soupape (12) caractérisé en ce que ledit orifice est un orifice (40) ménagé à travers le couvercle (3) sous l'étrier (6), cet orifice (40) étant distinct de l'orifice de soupape (10) et étant obturé par un bouchon (41) disposé du côté intérieur au-dessous de l'orifice (40), le bouchon (41) étant associé à une extrémité inférieure (50) d'un bras rigide (48) qui traverse l'orifice (40) et dont l'autre extrémité (51) est associée rigidement à l'étrier (6) qui s'étend en regard et au-dessus de l'orifice (40).
17. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 15 et 16 caractérisé en ce que le bouchon (41) est constitué d'une butée (52) associée rigidement à l'extrémité inférieure (50) du bras (48) et d'au moins une rondelle élastique (53) insérée autour du bras (48) contre la butée (52) pour venir en contact de la face interne (49) du couvercle en regard de l'orifice (40).
18. Autocuiseur selon l'une quelconque des revendications 16 et 17 caractérisé en ce que le bras (48) est associé rigidement mais de façon amovible à l'étrier (6), notamment grâce à un écrou (54) solidaire de l'étrier (6) coopérant avec l'extrémité supérieure filetée (51) du bras (48).
19. Autocuiseur selon la revendication 15 caractérisé en combinaison en ce que le bouchon (41) est déformable à partir d'une valeur déterminée de la pression régnant dans l'enceinte interne (70) de telle façon qu'il puisse traverser l'orifice (40) vers l'extérieur sous l'effet de cette pression en réalisant ainsi un moyen de sécurité contre les surpressions, en ce que les moyens (13) de liaison mécanique comportent un bras (48) rigide qui traverse l'orifice (40), en ce que le bras (48) est associé rigidement au bouchon (41), coulisse en translation par rapport à l'organe mobile (6), comporte une butée (71) à son extrémité libre externe (51) limitant son coulissement en direction de l'intérieur de l'enceinte interne (70), et en ce qu'il comporte des moyens (72) de rappel du bouchon (41) dans sa position la plus éloignée de l'organe mobile (6) dans laquelle la butée (71) vient au contact de cet organe mobile (6) ou d'un bouton ou écrou (54) solidaire de cet organe mobile (6), les moyens (72) de rappel exerçant une force de rappel résistant à l'action de la pression interne jusqu'à la valeur déterminée de cette pression engendrant la déformation du bouchon (41) et son passage à travers l'orifice (40).
20. Autocuiseur selon la revendication 19 dans lequel les moyens de serrage du couvercle sont du type à étrier (6) mobile coopérant avec des organes de retenue solidaire de la cuve caractérisé en ce que l'orifice (40) est disposé à proximité de l'étrier (6) qui constitue ledit organe mobile, et en ce que le bras (48) est associé à l'étrier (6) de façon à pouvoir coulisser en translation par rapport à l'étrier (6) en cas de surpression, mais à être déplacé par les mouvements de l'étrier (6) dans les autres cas.
21. Autocuiseur selon la revendication 20 caractérisé en ce que le bras (48) est associé à l'étrier (6) par un bouton ou écrou (54) associé rigidement à l'étrier (6) muni d'un perçage (73) dans lequel le bras (48) coulisse, les moyens (72) de rappel étant constitués d'un ressort spirale de compression (72) entourant le bras (48) et prenant appui d'un côté sur ce bouton ou écrou (54) et de l'autre côté sur le bouchon (41), une rondelle (71) étant associée solidaire à l'extrémité libre externe (51) du bras (48) de l'autre côté du perçage (73) pour former butée.
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