BE506612A - - Google Patents

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BE506612A
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  • Perforating, Stamping-Out Or Severing By Means Other Than Cutting (AREA)

Description


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 EMI1.1 
 



  MACHINE PERFORATRICE. POUR CARTES ENI##IS;rJ;tEWES,' A ,ETAGES 'MUBTIPLES. 



   Dans les cartes perforées on peut placer les perforations codées dans plusieurs séries superposées de colonnes, séries qu'on appelle individu- ellement "étages de perforations". Cet arrangement est surtout avantageux lors de l'utilisation de combinaisons de perforations, afin que la longueur de la carte soit appropriée à sa hauteur. Comme l'accroissement continu des exigences relatives au nombre des perforations codées   (c'est-à-dire   au nombre de colonnes) à placer dans une carte, et la multiplicité des 'symboles employés (en dehors des chiffres et'des lettres) amène obligatoirement à l'utilisation de combinaisons de   perforations   le mode de perforation le plus avantageux prend pour de.telles cartes (généralement à deux étages) une importance parti- culière. 



   Des machines commandées par touches pour la perforation de cartes à deux étages sont déjà connues sous diverses formes de réalisation. Dans ce genre de machines auquel appartient également la présente invention, une utL- lisation particulièrement simple et rapide est rendue possible grâce au fait que les deux étages peuvent être consécutivement perforés l'un après l'autre, colonne par colonne, sans qu'il soit nécessaire d'exécuter pour la perfora- tion du deuxième étage un retour en arrière du chariot ou une commutation d' étage.

   Dans les machines de ce genre ceci est obtenu en attribuant à chacun des étages un jeu de poinçons qui est commun à toutes les colonnes d'un éta- ge, la carte progressant colonne par colonne sous ce jeu de poinçons, 
Les'jeux de poinçons sont disposés, décalés l'un par rapport à l'autre d'une longueur d'étage dans la direction de cheminement de la carte, de sorte que les étages de.perforation passent consécutivement l'un après 1' autre sous les jeux de poinçons qui leur sont attribués. Des barres de sélec- tion commandées par un clavier commun aux deux étages déterminent le choix des poinçons, tandis que la perforation s'effectue toujours électromagnétique- ment seulement pour celui des étages sous le jeu de poinçons duquel se trouve 

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 une colonne de perforation.

   Une machine de ce genre est décrite, par exemple dans le brevet américain N    2.421.069   du 2 Août 1945. 



   Mais, dans les procédés à cartes perforées, il arrive très souvent que les signes   à   perforer sont tracés sur les cartes elles-mêmes. Les cartes constituent alors à la fois le document de base et l'original pour les perfo- rations à y effectuer et l'élément de commande de la machine, C'est pourquoi on désigne ces cartes aussi sous le nom de cartes "doubles", parce qu'elles contiennent à la fois des signes graphiques et des signes de perforations. 



  Les signes graphiques peuvent être prévus de la manière habituelle,décalés par rapport aux colonnes de perforation correspondantes de la carte, parce que dans la plupart des machines perforatrices (par exemple, également dans les machines   perforatrices-à   deux étages du brevet américain N  1.962.607 du 
12 Juin 1934) la carte est couverte sur toute sa hauteur par le jeu des poin- gons, En tout cas, dans les cartes dites doubles, il est particulièrement précieux de pouvoir effectuer "une perforation à vue".

   On veut dire par là qu'un espace est encore visible en-dessus ou en-dessous de la colonne à per- .forer pendant l'actionnement des touches,afin que le signe porté à cet en- droit à la main ou à la machine à écrire, apparaisse comme signe de perfora-   tion dans la même colonne que celle où se trouve le signe graphique ; est   réalisé par exemple dans la machine suivant le brevet allemand N  704.256 du 
24 Mai 1938 correspondant au brevet américain N  202100552 du 27 Avril 1939. 



   La machine connue, du genre mentionné en premier ci-dessus, qui a effectivement l'avantage d'une perforation continue des étages en évitant la commutation d'étage et le retour du chariot, doit cependant payer ces avan- tages par de sérieux inconvénients vis à vis des autres machines connues. Dans la zone du passage de la carte d'un étage à l'autre, la carte est en effet invisible entre les deux jeux de poinçons. Cela entraîne qu'on ne peut absolu- ment pas extraire les données de la carte pour toute une série de colonnes, et en conséquence la machine n'est pas capable de traiter les cartes   "doubles".   



   Comme les barres de sélection et le clavier, y compris les leviers de touches, couvrent tout l'espace entre les jeux de poinçons décalés d'une longueur d'é- tage et ceci sur toute la longueur de la   carte,   il est naturellement encore moins possible d'effectuer une perforation à vue dans le sens déjà indiqué ci-dessus. Et un désavantage supplémentaire est constitué par le fait que la machine ne peut pas être construite comme machine alphabétique, parce qu'un clavier alphabétique couvrirait la plus grande partie du chemin de carte. 



  Mais comme une perforatrice satisfaisant aux exigences modernes doit être u- tilisable non seulement pour des cartes "doubles" et de préférence avec per- forations à vue,mais aussi avec un clavier alphabétique, cette machine con- nue est à l'heure actuelle insuffisante. 



   La présente invention permet désormais d'exécuter, dans la   machi-   ne du genre mentionné en premier ci-dessus, avec perforation continue des deux étages grâce à un clavier commun sans retour du chariot ni commutation d'étage, non seulement les perforations de carte "doubles", mais également les perforations   à   vue.

   En outre elle est établie dans l'ensemble pour rece- voir un clavier alphabétique car les leviers de touches ne doivent pas se trouver au-dessus du chemin de cartes,mais plutôt à côté des barres de   conver-   sion de manière connue sous le chemin de cartes. il est possible également d'effectuer les perforations à vue avec les dispositions prévues dans le brevet allemand   704.256   du 24 mai 1938, cor- respondant au brevet américain 2.210.552 du 27 Avril 1939, mais pour les per- forations du deuxième étage on a besoin de deux manipulations particulières, à savoir g le rappel du,chariot et la commutation   d'étagea   
On peut donc dire que l'invention réunit en elle les avantages des machines connues sans en avoir les inconvénients, En outre, sa forme est particulièrement intéressante,

   car elle a l'aspect extérieur d'une machine à écrire de voyage plate. 



   Pour atteindre le but de l'invention,il est surtout important que l'espace situé sous le jeu de poinçons puisse être vu pour l'étage supérieur 

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 de perforation. L'espace en-dessous des jeux de poinçons inférieurs peut être dégagé relativement facilement par une échancrure dans le support des poinçons. 



   L'essentiel de l'invention consiste donc en ce que, dans une machine du type indiqué, le jeudes poinçons supérieurs laisse voir l'espace situé sous la colonne de carte correspondante, grâce au fait qu'il est prévu un jeu de barres de sélection commun affecté aux deux jeux de poinçons, ces barres de sélection étant coudées et placées entre les deux jeux de poinçons décalés l'un par rapport à l'autre suivant la hauteur de la carte. Ces bar- res de sélection sont déplacées par des étriers de commande en forme de "U" qui par leur côté ouvert embrassent la paroi arrière du chemin de carte et y sont montés à pivotement.

   Le.bras supérieur de ces étriers s'engage dans- les barres de sélection tandis que leur bras inférieur est basculé par les barres de conversion déplaçables par les leviers de touches dans la direction longitudinale du chemin de cartes et qui se-trouvent d'une manière en soi connue sous le chemin de cartes. Ces barres de conversion sont déplacées d' une manière connue par les leviers de touches suivant des combinaisons dis-   tinctes.   



   Dans une forme de réalisation préférée des leviers de compensa- tion sont montés entre les barres de conversion et le bras inférieur de 1' étrier de commande en forme d'U. Les proportions des bras de leviers sont calculées de telle manière que le déplacement des barres de conversion se trouvant à des distances différentes des extrémités inférieures du bras de levier de commande, -provoquent des déplacements identiques pour toutes les barres de sélection. 



   Un autre avantage de la forme de réalisation préférée de l'in- vention vis à vis du type connu susmentionné de machine perforatrice, con- siste en ce que les barres de sélection sont montées sur un couvercle bas- culable en arrière autour du chargeur, couvercle contre lequel elles sont appliquées par des   ressorts.   Le couvercle supporte en outre les étriers de poinçonnage qui sont montés par accouplement à contact avec les armatures des électros aimants et de telle manière que le contact soit rompu lorsque le couvercle est levé. Cette disposition a surtout pour avantage que si la carte se gonfle entre les deux jeux de poinçons tout l'espace compris entre ceux-ci peut être libéré et que par suite on peut éviter facilement des dé- rangements. 



   La forme préférée de réalisation décrite ci-après utilise comme la machine connue d'après le brevet américain 2.421.069 du 2 Août 1945 un électro aimant de poinçonnage par étage de perforation. Un seul de ces élec- tro-aimants de poinçonnage est efficace pour la perforation suivant la posi- tion du chariot de cartes par rapport aux jeux de   poingons.   Il serait cepen- dant possible de n'employer qu'un seul électro-aimant de poinçonnage s'il était prévu entre celui-ci et les étriers-de poinçonnage des deux étages une liaison qui accouple toujours l'électro-aimant de poinçonnage avec seulement l'un des deux étriers de poinçonnage, selon la position du chariot de cartes. 



   Il n'est décrit ci-après qu'une machine perforatrice à deux éta- ges de perforations. Il est clair toutefois que l'invention peut être réali- sée aussi bien avec des cartes ayant plus de deux étages de perforations, les deux premiers étant perforés exactement de la même manière qu'il est dé- crit ici, et chaque étage suivant étant perforé d'une manière analogue au précédent. 



   L'exemple préféré de réalisation de l'invention est illustré par les dessins ci-annexés, Fig. 1 est une perspective d'ensemble de la machine munie d'un clavier alpha- numérique, cette machine ayant environ les dimensions d'une machine à écrire portative. 



  Fig. 2 est un dessin schématique, illustrant le fonctionnement de la machine, montrant comment une barre de sélection pour les poinçons des deux jeux de poinçons est poussée par une barre 'de conversion commandée par une touche, et 

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 comment le poinçon sélectionné est abaissé par l'action de l'électro-aimant de perforation correspondant. 



  Fig. 3 est une coupe de la machine entre les deux jeux de poinçons, cette coupe permettant de comprendre la commande des barres de sélection de poin- çons par le levier de touche au moyen de la barre de conversion et du levier intermédiaire en forme de "U". 



  Fig. 4 montre une coupe de la machine passant par le jeu de poinçons supé- rieur. 



  Fig. 5 montre une coupe de la machine passant par le jeu de poinçons infé- rieur. 



  Fig. 6 montre le jeu de poinçons inférieur et une partie de la tête de commande en coupe, vus de   l'avant.   



  Fig 7 montre l'attache de la tête de commande au jeu de poinçons, Fig. 8 est une coupe montrant la disposition du mécanisme à gauche (selon la Fig. 1) des leviers de touche. 



  Figs. 9 et 10 sont des représentations du mécanisme vues de l'avant et en plan. 



  Figs. 11 et 12 représentent le dispositif de commutation d'étage de perfora- tion commandé par le chariot, dispositif se trouvant à l'extrémité gauche ex- térieure du carter de machine. 



  Fig. 13 montre l'actionnement électromagnétique des poinçons pour l'étage in- férieur de perforation, dans une vue supérieure de l'arrière de la machine. 



  Figa   14   montre, en vue en plan et en coupe, l'organe de fixation des cartes sur le chariot de cartes. 



  Fig. 15 montre la tête de commande vue de dessus, couvercle enlevé ;   tête de commande peut être basculée en position supérieure pour être mise en   place sur la machine, solidairement avec les barres de sélection et les ac- couplements de poinçonnage qui lui sont liés. 



  Fig. 16 est le schéma des circuits de la machine. 



   Dans le carter de la machine 10 (Fig. 1) le support des cartes 11, présente une inclinaison de 15  par rapport à l'horizontale, de manière à pouvoir lire commodément les données de la carte. Le support de cartes 11, est formé par une pièce fendue qui sera désignée par la suite, pour simpli- fier, sous le nom de support. Sur ce support la carte 12 glisse, étant en- traînée, comme connu, par un chariot porte-cartes 13. La carte possède deux étages de perforations, de 25 colonnes chacun, qui sont situés l'un au-dessus de l'autre. Chaque colonne a six emplacements de perforations, de sorte que tous les chiffres et lettres peuvent être représentés par des combinaisons de perforations. Après avoir été amenée dans la position extrême, à droite, la carte doit progresser vers la gauche colonne par colonne quand on actionne les touches.

   La perforation est déclenchée par le clavier 14 muni, dans le présent exemple de réalisation, de touches pour les chiffres et les lettres, lesquelles touches, pour simplifier le dessin, sont représentées sans ces caractères. La carte arrive en cheminant vers la gauche, d'abord sous le jeu de poinçons supérieur, qui poinçonne colonne par colonne l'étage supérieur de perforation. Si la dernière colonne du dit étage supérieur est perforée, la première colonne de l'étage inférieur de perforation vient se placer sous le jeu de poinçons inférieur. Les deux jeux de poinçons sont compris dans la tête de commande référencée, 17, basculable grâce à des charnières 18a et 18b. Si la tête de commande est basculée vers le haut, on a facilement accès à la carte se trouvant entre les deux jeux de poinçons solidaires. 



   Les guidages de poinçons   46a,     46b,   des deux jeux de poinçons s' étendent du bord supérieur au bord inférieur du support de cartes, afin d' obtenir un soutien sûr de poinçon. Ces guidages sont munis d'échancrures pour la visibilité, de sorte que l'espace se trouvant sous une colonne à poinçonner est libre pour la vue et que par suite on peut effectuer un poin- 

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   gonnage   "à vue". Quand la dernière colonne de l'étage inférieur passe sous le jeu des poinçons 'inférieur, le chariot atteint sa position extrême gauche. 



  La manette 21, et la barre de commutation du chariot 13, font alors saillie vers la gauche sur une certaine longueur, parce que le chariot de cartes doit être suffisamment long, pour que la colonne de gauche à poinçonner se trouve sous les poinçons supérieurs, quand la manette 21 du chariot est à gauche à côté du jeu de poinçons inférieur. Il est prévu dans le support des cartes une échancrure llb pour saisir facilement les cartes à insérer et à extraire. Le chariot est poussé vers la droite avec une nouvelle carte intm - duite, grâce à la manette 21, et on peut   à   nouveau actionner le clavier de manière continue jusqu'à ce que toutes les colonnes de la carte soient poin- connées. 



   La sélection des poinçons s'effectue de la manière suivante. 



  Quand on appuie sur un levier de touche 22, les barres de conversion 23, (Figs. 2, 3, 4) sont déplacées latéralement comme il est connu, suivant des combinaisons diverses. La "clé" des combinaisons peut à cet effet être choi- sie à volonté et est déterminée par les dents se trouvant sur les barres de conversion que rencontrent les leviers de touche 22, quand ils sont abaissés. 



  Les barres de conversion se trouvent dans une cage   24,     (Figo   3) qui guide en même temps les leviers de touche 22, à la manière d'un peigne. Les barres de conversion sont guidées entre les tiges 25   (Figo     4)   prévues aux deux extrémi- tés de la cage et sur les rouleaux 26. 



   Par l'intermédiaire de leviers de compensation 27, et de leviers en U 28 (Fig. 2, 3, 15), le mouvement des barres de conversion est transmis, à raison d'un levier de chaque sorte par barre de conversion, aux barres de sélection 29, correspondantes. Dans chaque levier de compensation 27 (Fig.2) s'engage un bec 23a de la barre de conversion correspondante, l'autre extré- mité du levier de compensation touchant le bras inférieur du levier en U 28. 



  Les leviers de compensation 27 sont interposés afin d'obtenir le même dépla- cement pour toutes les barres de sélection par rapport aux poinçons, Les le- viers de compensation 27 sont fixés à pivotement sur la cage 24 (Fig. 3) grâce aux vis 31. Les leviers en U 28 sont supportés par les tiges 32, et 1' étrier 33 et s'engagent par leur bras supérieur entre les bras 29c des barres de sélection (Fig. 2, 3 et 13). Entre le bord supérieur du levier en U et le bord inférieur des barres de sélection, un espace suffisant doit rester libre afin que les leviers en U ne fassent pas obstacle à l'abaissement des barres de sélection lors du poinçonnage. L'étrier 33 est vissé sur 1''étrier 34. Sur ce dernier sont également attachés les ressorts 35 qui tirent vers le haut le levier de touche, pivotant autour de l'axe 36, le support 11, servant de butée.

   Ce support repose sur la cage   24,   sur toute la largeur du clavier, la face supérieure de la cage étant à. la même hauteur que le bord supérieur du levier de touche. 



   Les barres de sélection 29 (Fig. 6, 15) sont guidées dans la tête de commande 17 par les tiges 37. Elles reposent sur les poinçons correspon- dants 38a, 38b,   (Fig.2)   des jeux de poinçons supérieurs et inférieurs. Les barres de sélection 29, s'appliquant contre la plaque   40,   sont tirées vers le haut par les ressorts 39, (Figs. 3 et 15) et sont poussées en même temps vers la droite (Fig. 15), les becs 29a et 29b (Figs. 2 et 6) des barres de sélection passant au travers de la plaque 40 limitant le mouvement vers la droite. Mais si une barre de sélection 29 est tirée vers la gauche (Fig. 2 et 15) par le levier en U correspondant, les becs (29a, et 29b, (Fig. 2 et 6) prévus aux deux extrémités des barres de sélection se déplacent sous leur accouplement   ±la,   ou 41b.

   Cet accouplement repousse vers le bas la barre de sélection qui emmène avec elle le poinçon; on voit que seules sont poussées vers le bas les barres de sélection et poinçons, dont les becs se trouvent vers l'accouplement abaissé. Dans le mode de réalisation ici décrit, les poinçons sont toujours choisis simultanément pour les deux étages de perfo-   ration par les becs des barres de sélection ; un seul étage est   utilisé, car-il n'y a toujours qu'un des deux accouplements qui soit effica- ce. Les accouplements ±la et 41b sont maintenus dans leur position de repos par des ressorts 43 (Figs. 3 et 6), et les ressorts 44 ramènent les poinçons 

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 38 à leur position de départ. 



   Les poinçons 38 sont guidés dans des supports (Figs. 4 et 5) dont chacun forme un tout. Chaque support comprend deux guidages 45a, 45b et   46a,  46b; ces deux guidages sont rivés ensemble avec leur matrice 47a, 47b, et fixés par les vis   48a,   49a et   48b,   49b L'écartement entre guida- ges supérieur et inférieur est maintenu par des goujons 51 (Fig.6), qui servent en même temps à maintenir les ressorts   44   des poinçons. Dans le guidage inférieur 46a, 46b, sont prévues les échancrures déjà mentionnées   (Fig.   1) pour permettre un poinçonnage avec visibilité..

   Les poinçons 38 ont une section qui va   diminuant   pour que l'effet de l'électro-aimant soit régulier lors du poinçonnage, 
Les accouplements 41a, 41b,   (Figs.   4, 5 et 15) sont maintenus par des tiges 52a, 52b sur la plaque 40. L'accouplement est actionné par les électros 53a, 53b, par l'intermédiaire des armatures 55a, 55b (Figs. 2 et   13).   Pour chaque jeu de poinçons les électros de poinçonnage sont dispo- sés symétriquement sur la partie arrière. La tête,de commande 17   (Figs.   6, 7 et 15) est maintenue par les ressorts 56 et 57, qui sont rivés à la plaque 58, et par les charnières 18a et 18b.

   Les ressorts 56 et 57 reposent derriè- re un bec 45c du guide supérieur   45a   et 45b, (Fig. 7),et empêchent de ce fait le soulèvement de la tête de commande lors du poinçonnage. En relevant la tête de commande, on tire à la main vers l'extérieur les deux ressorts 56 et 57, ce qui enlève le blocage. 



   Les tiges 59a et 59b   (Figs.   1, 8 et 11), sont vissées dans les charnières   18a   et 18b qui font partie de la pièce fendue du support 11. Les tiges 59a et 59b, passent dans les oeillets 58a et 58b de la plaque 58 (Figs. 4, 8 et 15), et maintiennent celle-ci.. 



   Les plaques 40 et 58   (Figso   3, 4, 5, 6 et 15) sont fixées ensem- ble par des colonnettes d'écartement et des tiges de guidage   37.   Les colon- nettes   d'écartement   ne sont pas représentées sur les dessins pour plus de clarté. 



   La commande des électros de poinçonnage 53a et 53b s'effectue par les contacts 61, 62,63a, 63b, et 65   (Fig.   11, 12 et 16). Si on action- ne le levier de blocage 60   (Figs.   9 et 10) du mécanisme qui va être décrit par la suite, en appuyant sur une touche, son ergot 60c ferme le contact 62, et le courant passe, par l'intermédiaire des contacts 61, 62, 63b, 63a et 65, par l'électro 53a ou 53b. Selon la position du contact 65, l'électro 53a ou 53b est excité et ouvre le contact correspondant 63a ou 63b   (Fig   13),ce qui fait que le circuit passant par ces contacts est   interrompu.   



  Toutefois l'électro 53a ou 53b reste excité par un courant de repos au tra- vers de la résistance 66, jusqu'à ce que le contact 62 soit ouvert ou la touche abandonnée. Les contacts 63a et 63b et la résistance 66 ont été pré- vus pour protéger les électros contre un courant trop fort et un échauffe- ment trop élevé. Si la résistance de protection 66 et les contacts 63a et 63b n'existaient pas, le courant d'excitation élevé passerait pendant long- temps dans 1-'électro-aimant et l'enroulement serait vite détérioré. 



   Sous la touche d'espacement il est prévu un contact 61   (Fig.   4) fixé à la paroi du carter. En appuyant sur la touche d'espacement, le levier 60 est actionné par la barre générale 92   (Figs.   9 et 10) et le contact 62 est fermé (Fig.   11),   néanmoins l'électro ne peut pas s'exciter car le con- tact 61 a coupé auparavant le courant. Ceci est nécessaire, car le fonction- nement du chariot doit être provoqué par la touche d'espacement par l'inter- médiaire du levier 60. Mais la fermeture du contact 62 ne doit pas entraîner l'excitation de   l'électro.   



   Pour monter les lames des contacts 61 et 62, il y a des trous allongés qui permettent le réglage des contacts. De cette manière le contact 62 peut être réglé pour être fermé au dernier moment de l'abaissement de la touche. Au contraire le contact 61 est réglé de manière   à   s'ouvrir juste au début de l'abaissement de la touche. La commutation de la commande de l'élec- tro 53a   à   l'électro 53b s'obtient ainsi qu'il va être expliqué, grâce au con- 

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 tact inverseur 65, actionné par la barre d'inversion 67 assujettie à la cré- maillère 13. 



   Le mouvement du chariot colonne par colonne, transmis par la cré- maillère 13, s'obtient par un mécanisme d'échappement. Avant d'expliquer son fonctionnement, il faut d'abord indiquer comment la carte 12 est maintenue sur la crémaillère 13 (Fig. 14). 



   Dans la crémaillère il est prévu latéralement un évidement   où   est logé un dispositif tenant les cartes et se fermant de lui-même. L'évidement est couvert par la barre d'inversion 67, de sorte que le dispositif de fixa- tion est protégé contre les influences extérieures, y compris l'organe de fixation proprement dit. Dans la position d'insertion, le levier 71 est pous- sé vers le haut (position en pointillé) par le cliquet 72 qui est attaché élastiquement sur le côté gauche du support et qui glisse pendant le mouvement sur la barre d'inversion 670 Dans la position d'insertion seulement, ce cli- quet est rappelé au travers d'une échancrure 67a de la barre d'inversion, sur la crémaillère et il peut entraîner le levier 71, qui pivote sur son pi- vot.

   Si la crémaillère est mue vers la droite, le cliquet 72 reste en arriè- re, et le cliquet est ramené par le ressort 73 en tournant, ce qui fait qu' il appuie la carte 12 sur la crémaillère. Dans le retour de la crémaillère vers la position d'insertion, le cliquet est rappelé sur la crémaillère au travers de l'échancrure 67a de la barre d'inversion, et empêche la continua- tion du mouvement du levier 71. Ce levier pousse contre le ressort 73, tour- ne autour de son pivot et libère la carte 120 
La crémaillère 13 est guidée dans le support 11 par les tiges 74 (Fig. 8).La roue dentée 75   (Figs.   10 et 11) engrène dans la crémaillère 13 ; cette roue dentée est bloquée sur le manchon 77 avec la roue de commande 76 dans le retour. Le manchon 77 présente une denture frontale qui engrène avec la denture frontale du manchon 78.

   Le manchon 78 est rappelé par le ressort 79 contre le manchon 77. Sur le manchon 78 est montée solidaire la roue à rochet 81 pour l'échappement pas   à   pas. Les manchons 77 et 78 peuvent tourner librement sur l'axe 82, le déplacement du manchon 77 est empêché par insertion du support 11, entre les roues 76 et 76   (Fig.8).   La force né- cessaire pour le'déplacement de la crémaillère est obtenue par le ressort de torsion 83, attaché sur la roue dentée 75 par le têton   84   et sur le carter par le manchon 85. Ce manchon qui peut tourner librement dans le carter est bloqué par l'écrou 86, prévu pour pouvoir régler les ressorts. Si on desser- re l'écrou, le manchon 85 peut tourner et le ressort peut être tendu. La rondelle fendue 87 empêche l'axe de sortir. 



   L'échappement pas à pas s'obtient grâce à la roue à rochet 81, et au levier d'échappement 60, pouvant tourner sur l'axe 88. Le levier 60 est maintenu sur l'axe 88, sans pouvoir se déplacer latéralement grâce à la rondelle fendue 89. Le maintien et le positionnement du levier 60 en posi- tion exacte sont réalisés par l'axe 88 et les deux écrous 91. Si un des é- crous est desserré et l'autre maintenu il en résulte un déplacement de 1' axe et par suite aussi du levier. Le levier 60 passe sous la barre générale 92 se trouvant (Fig. 3) sous tout le clavier, à l'exception des touches de retour et de libération et qui est abaissée chaque fois qu'on appuie sur une touche. Le levier 60, en forme de U, présente à l'arrière la forme d'un ba- lancier d'échappement avec les dents 60a, 60b.

   En appuyant sur le levier 60, la dent inférieure 60a se dégage d'avec la roue à rochet 81 tandis que la dent supérieure 60b assure le blocage. Par ce changement de dent, la roue à rochet, actionnée par le ressort 83, tourne de la première partie du pas. 



  Si la touche   révient   en position de repos, la barre générale s'élève également et le levier 60 est amené aussi en position de repos par le ressort 93 (Figs. 



  8 et 10). Il s'ensuit que la dent supérieure 60b se dégage et la dent inférieu- re 60a assure à nouveau le blocage. Par ce changement de dent s'obtient la deuxième partie du pas. Là première et la deuxième partie du pas se répartis- sent à volonté pour former le pas complet, ce qui est également connu dans d'autres mécanismes analogues, On reviendra par la suite sur l'importance re- lative des pas partiels. 

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   Le retour en arrière d'un pas s'effectue par le levier de tou- che de retour 94   (Fïgs,   9 et 10), le levier 95, et le cliquet 96 monté dessus. Ce levier 95 est également en forme d'U et monté sur l'axe 88. Il est maintenu en place par la rondelle fendue 89, en même temps que le levier 60. Le levier 95 est maintenu en position de repos par le ressort 97. En po- sition de repos le cliquet 96 n'est pas en prise avec la roue dentée 76, grâce à la plaque-butée 98 (Fig. 9). Si la touche de retour en arrière est actionnée, le aliquet 96 se déplacer vers le bas par suite du basculement du levier 95. Il glisse, soutenu par le ressort 99 au travers d'une échancrure de la plaque de butée 98, dans la denture de la roue de commande 76, pour actionner le retour en arrière et entraîner cette roue.

   La plaque de butée 98 est solidaire de la cornière 101, qui sert en même temps de support à 1' axe 36. Grâce à une légère courbure, la plaque de butée 98 peut être réglée de manière que le cliquet 96 tombe bien dans la dent. Le ressort 99 est at- taché au levier 95. Lors du retour par la touche de retour ou à la main, le manchon 78   (Figo   8) est poussé vers l'extérieur, grâce aux flancs inclinés de la denture frontale, contrairement à l'action du ressort 79, et les deux manchons sont désaccouplés. La denture frontale du manchon 77 se déplace donc en échappant   à   la denture frontale du manchon 78, maintenu bloqué par le levier 60. 



   Si la crémaillère doit être entièrement libérée afin que le chariot revienne dans sa position extrême gauche, on actionne la touche de libération 102. Par le bec 102a de cette dernière, le levier 103, qui s'en- gage entre la roue à rochet 81 et l'anneau 104, est poussé vers l'arrière; ce levier est en même temps poussé contre le manchon 78. Le levier 103 est monté à pivotement, au moyen de la vis 105, sur la cornière 106   (Figs. 8   et 10) vissée sur la cornière   34.   Le levier 103 repousse le manchon 78 vers 1' extérieur, ce qui fait que la denture frontale   s'échappe.   Par suite le man- chon 77 et la roue dentée 75, sont libérés et le ressort 83 peut se détendre, la roue dentée 75 entraînant la crémaillère vers la gauche.

   Afin de ne pas avoir de trop.grandes vitesses de crémaillère, un régulateur   à   force centri- fuge 107, de modèle connu, est entraîné par la roue 75 par l'intermédiaire d'une vis tangente. 



   Tout ce mécanisme d'échappement est monté entre les deux corniè- res 34 et 108   (Figs.   8 et 10) qui servent en même temps de base au support 11. Celui-ci est fixé sur les cornières 34 et 108, au moyen de vis noyées 109. 



   Le mode de fonctionnement de l'appareil est le suivant. La car- te est posée sur le côté gauche du support (Fige 1). Par la poignée 21, la crémaillère 13 avec la carte 12, est poussée en position extrême droite, le dispositif 71 qui tient les cartes (Fig.   14)   étant fermé. Le mouvement de la crémaillère vers la droite provoque la tension du ressort 83   (Figs.   8 et 10). Si une touche est actionnée, les barres de conversion 23 (Figs. 2 et 3) se déplacent conformément au code de perforations choisi. Le mouvement se transmet par les leviers 27 et 28 aux barres de sélection 29. L'abaissement de la touche entraîne aussi celui de la barre générale 92 (Figs. 3 et 9), ce qui déplace le levier 60.

   Le mouvement du levier 60 entraine la permutation des fonctions des dents sur la roue à rochet 81, et la première partie du pas s'ensuit. Le mouvement du levier 60, se continuant, celui-ci ferme par sa saillie 60c le contact 62 (Fig. 11) qui est réglé, comme il a été dit ci- dessus, pour ne se fermer qu'au dernier moment. L'électro 53a   (Figs.   2 et 16) étant excité, l'armature 55a et l'accouplement 4,la sont attirés. L'accouple- ment   ±la   applique les barres de commande déplacées 29 sur les nez 29a, et enfonce les poinçons 38a. Ces poinçons perforent la carte. La barre générale 92 et le levier 60 reviennent entretemps dans la position de départ, et le contact 62,   (Figso   9, 11 et 16) est ouvert,.de sorte que l'électro 53a est désexcité.

   Les poinçons accouplement et barres de commande, sont ramenés par les ressorts correspondants en position de départ. 



   Quand le levier 60, revient en place, les dents permutent et la deuxième partie du pas s'ensuit. Les deux parties du pas doivent s'effectuer de telle manière que d'une part au moment de la perforation il n'y a plus de 

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 mouvement, et que d'autre part les poinçons soient déjà sortis de la carte quand se produit le deuxième mouvement partiel de la carte. Ce résultat est obtenu grâce au fait que la première partie du pas est relativement grande et la deuxième partie relativement petite. Cette répartition est obtenue par l'inertie d'excitation et de retombée de l'électro, car le courant a be- soin d'un certain temps pour établir et annuler le champ magnétique. Ce champ est donc en retard de quelques   millisecondes   par rapport au mouvement de bascule des contacts.

   Si la deuxième partie du pas était trop grande, la carte avancerait avant que les poinçons ne soient revenus   à   leur position de départ et le fonctionnement de l'appareil serait défectueux. Si par con- tre la première partie du pas est grande, la carte se trouve cependant au repos avant que les perforations ne soient effectuées par les poinçons, car d'une part le contact 62 ne peut être fermé, que lorsque la première partie du pas a été effectivement réalisée et d'autre part l'électro n'est excité que quelques   millisecondes   plus tard. 



   Si la touche d'espacement (saut du chariot) est actionnée, le même processus se répète, excepté qu'aucune barre de conversion 23 n'est actionnée et que l'excitation des électros par ouverture du contact 61 est empêchée. La permutation des dents par le levier 60 subsiste donc   (Fig.   9) et par suite le chariot progresse d'un pas. Si la touche 94, de retour (Figs. 



  9 et 10) est actionnée, celle-ci actionne le levier 95 avec le cliquet 96. 



  Le cliquet 96 appuyé par le ressort 99 glisse de la plaque de butée 98 dans la roue 76 et entraîne celle-ci. La rotation de la roue à rochet 81 est em- pêchée par le levier 60. Les flancs obliques de la denture frontale chassent le manchon 78 vers l'extérieur et ce manchon s'engrène à nouveau sur la dent suivante grâce au ressort 79. 



   Si la touche de déclenchement 102 est abaissée, celle-ci action- ne le levier 103 par l'intermédiaire du bec 102a (Fig. 8). Le levier 103 pousse le manchon 78 vers l'extérieur. Le manchon 77, avec la roue 75, est libéré et la crémaillère est mue vers la gauche grâce au ressort 83. 



   Si l'étage supérieur de carte est parcouru, le contact 65 (Fig. 11 et 16) se trouvant sur la barre d'inversion 67 contre la crémail- lère 13 est commuté, ce qui fait que l'électro 53a est mis hors circuit et l'électro 53b inséré dans le circuit, qui commande le jeu des poinçons in- férieur. Le jeu des poinçons inférieur est disposé de telle manière que l'enregistrement peut se faire sans interruption au passage d'un étage de carte à l'autre.

Claims (1)

  1. RESUME.
    1. Machine perforatrice pour cartes enregistreuses à deux étages avec combinaisons de perforations, dans laquelle il est prévu un jeu de poin- çon pour chaque étage, qui est commun à toutes les colonnes d'un étage, et sous lequel la carte progresse colonne par colonne, les jeux de poinçons étant décalés l'un par rapport à l'autre, dans la direction de circulation des cartes, d'une longueur d'étage(, de manière que les étages de perforation passent consécutivement l'un après l'autre sous les jeux de poinçons qui leur sont affectés, et en outre dans laquelle machine, des barres de sélec- tion commandées par un clavier commun aux deux étages commandent le choix des poinçons, tandis que la perforation ne s'effectue électromagnétiquement que pour l'étage, sous le jeu de poinçons duquel se trouve une colonne à perforer,
    la dite machine étant telle qu'en dehors de celui du bas, le jeu de poinçons supérieur laisse également libre à la vue l'espace situé sous la colonne de carte correspondante, un groupe de barres de sélection commun . aux deux jeux de poinçons et coudé étant prévu entre les deux jeux de poin- çons décalés l'un par rapport à l'autre suivant la hauteur de la carte, les dites barres de sélection étant déplacées par des étriers de commande en for- me d'U, qui embrassent par leur côté ouvert la paroi arrière du chemin de cartes et y sont montées à pivotement, et dont le bras supérieur est en prise avec les barres de sélection, tandis que le bras inférieur est déplacé par les barres de conversion déplaçables suivant la direction longitudinale du chemin de cartes par les leviers de touches,
    lesquelles barres de conversion <Desc/Clms Page number 10> se trouvent de manière connue sous le chemin de cartes et transforment la course des leviers de touches en déplacement d'une combinaison de barres de conversions correspondant à la touche actionnée.
    La dite machine peut encore se caractériser par les points sui- vants pris isolement ou en combinaison : 2.Entre les barres de conversion et le bras inférieur de l'é- trier de commande en forme d'U, des leviers de compensation sont insérés et montés à pivotement, les proportions des leviers étant calculées'pour que le déplacement des barres de conversion se trouvant à des distances diverses des extrémités de bras inférieures de l'étrier de commande provo- que des déplacements égaux d'une barre de sélection quelconque.
    3. Les barres de conversion sont montées sur un couvercle bascu- lable vers l'arrière autour de charnières, ces barres étant maintenues par des ressorts sur le dit couvercle qui porte également les étriers de poin- çonnage, qui sont accouplés avec les armatures des électros de poinçonnage, de telle manière que la liaison à contact se coupe lorsque le couvercle se lève.
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