BE494194A - - Google Patents

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BE494194A
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    • B65G2814/0331Belt or chain conveyors
    • B65G2814/0332Bucket conveyors

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Description


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  ELEVATEUR AUTOMATIQUE POUR MATIERES EN VRAC. 



   On connaît des élévateurs automatiques pour matières en vrac, constitués essentiellement par un chapelet de godets par exemple, monté sur un châssis mobile équipé d'un moteur à essence ou analogue, lequel cha- pelet amène les matières vers un couloir de déversement, d'où elles tom- bent dans le réservoir à remplir. On connaît en outre l'adjonction de vis transporteuses sans fin, qui alimentent le chapelet. On a également muni de tels élévateurs automatiques de trains à chenilles. Dans les éléva- teurs automatiques à chenilles, il est déjà connu de faire en sorte que le chapelet alimente un ruban transporteur monté pivotant et inclinable sur le véhicule, et qu'il amène les matières en vrac dans le récipient à rem- plir, par exemple la benne d'un camion.

   Dans ces constructions, il existe donc un dispositif d'élévation agissant comme récepteur et assurant un   trw s-   port sensiblement vertical, par exemple un chapelet de godets, et un dis- positif transporteur, qui fait avancer les produits dans le sens pratique- ment horizontal,par exemple un ruban transporteur, de sorte que les véhi- cules à charges ne doivent pas s'approcher aussi fortement d'un tel éléva- teur que dans le cas d'élévateurs à chapelet et à couloir de déversement. 



   L'invention consiste d'abord en ce que, dans un élévateur auto-   matique   pour matières en vrac, comportant un dispositif "récepteur" à com mande motrice, par exemple, u chapelet de godets, éventuellement avec vis sans fin d'alimentation latérales, ainsi qu'un dispositif "transporteur" s'étendant en longueur, par exemple un ruban transporteur, le châssis du dispositif transporteur constitue la liaison rigide entre un train avant et un train, arrière de l'élévateur. 



   L'élévateur selon l'invention peut présenter une construction particulièrement légère et un faible encombrement en hauteur, tout en assu-   ranz   un grand rendement, et peut être aisément transporté, par exemple à la remorque   d'un   autre véhicule. 



   Le train arrière est utilement établi comme mécanisme de direc-   tion,   éventuellement à une roue, de préférence avec engrenage de direction 

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 irréversible. Ceci   contribue   à la simplification de la construction d'en- semble, vue qu'il en résulte une direction efficace avec des moyens plus simples que si les roues du train avant étaient directrices. 



   Selon une autre caractérisique de   l'invention,   et afin de per- mettre une modification de la hauteur (ou profondeur) de dragage du récep- teur,ce dernier est réglable en hauteur par le fait que l'ensemble de la charpente de support rigide de l'élévateur est réglable en hauteur par rap- port au train le plus proche du récepteur précité. Dans un mode d'exécu-   'L'ion,   le châssis de l'élévateur repose sur l'un des bras d'un ou de plu- sieurs leviers à deux bras, montés à pivotement autour de l'essieu voisin du récepteur, et dont l'autre bras est soumis à l'action d'un accumula- teur d'énergie, de préférence d'un ressort, destiné à équilibrer le poids. 



  On prévoit un dispositif pour modifier l'inclinaison des leviers par rap- port à la charpente de support (châssis), et donc la position en hauteur de cette charpente par rapport à l'essieu voisin du récepteur. L'équili- bre du poids facilite ce réglage. La disposition à leviers facilite le   choix   d'un rapport convenable pour la course de réglage et l'effort de réglage. Utilement, le dispositif pour modifier l'inclinaison des leviers à deux bras est constitué par un système de réglage, de préférence une genouillère, commandé à l'aide d'une manette par l'intermédiaire d'une transmission irréversible, par exemple à vis sans fin.

   La partie du châssis qui contient le récepteur est constituée avantageusement par une charpente d'encadrement tubulaire réunie rigidement au châssis du trans- porteur longitudinal et comportant un tube transversal sur lequel sont montés deux leviers qui maintiennent l'essieu voisin du récepteur. La charpente d'encadrement tubulaire'à   troi s   dimensions présente une résis- tance élevée même vis à vis des efforts latéraux, tout en n'ayant qu'un faible poids. 



   De préférence, les organes de commande et de manoeuvre, néces- saires pour le roulage et la direction, sont disposés de telle façon que l'élévateur puisse être commandé depuis les deux côtés indifféremment par le préposé qui l'accompagne à pied. Toutefois, on peut prévoir des exé-   cutions   dont le train de roulage comporte un siège pour l'opérateur. 



   L'invention consiste en outre en ce que le transporteur lon- gitudinal de l'élévateur est agencé en vue de son raccordement à d'autres transporteurs longitudinaux ou à une chaîne de tels transporteurs ; elle réside aussi dans les installations résultant de l'emploi d'un tel élé- vateur avec plusieurs transporteurs longitudinaux y raccordés. 



   Les autres caractéristiques de l'invention ressortiront de la description ci-après de plusieurs exemples d'exécution, en se reportant aux dessins annexés et aux revendications. 



   Dans ces dessins : 
La Fig. l est un schéma de la construction d'ensemble d'un premier mode   d'exécution.   



   La Fig. 2 est-,une vue également schématique d'un dispositif pour le réglage en hauteur. 



   La Fig. 3 représente une autre construction de ce dispositif. 



   La Fig. 4 montre le mode d'exécution de la Fig. 1 à plus grande échelle et avec plus de détails. 



   La Fig. 5 est :une vue en plan correspondant à la Fig. 



   La Fig. 6 est une vue également schématique du mode d'attelage de l'élévateur. 



   La Fig. 7 représente schématiquement une méthode d'avancement possible. 



   Les Figs. 8 à 11 montrent des ins tallations comportant plusieurs transporteurs longitudinaux raccordés à l'élévateur. 

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   La Fig. 12 est .une   vue     d'élévation     d'une     disposi tion   arc-boutée de deux transporteurs longitudinaux raccordés à   l'élévateur.   



   La Fige 13 est une vue en plan correspondant à la Fig. 12. 



   Dans l'exemple représenté dans les dessins,   -on   ruban transpor- teur   1   s'appuie par son extrémité avant sur un train de roues 2, et par son extrémité postérieure, sur une roue directrice   3.   Le train 2 porte un chapelet de godets 4 à vis sans fin d'alimentation latérale 5 et à écrans de guidage 6. Les organes d'entraînement, de changement de vites- se et de commande sont disposés au-dessus de l'essieu 11 du train, dans un châssis spécial 7, réuni rigidement au châssis du ruban transporteur 1. L'ensemble repose uniquement sur le train avant2 et l'arbre de di- rection arrière   3,   entre lesquels le cadre ou châssis du transporteur longitudinal 1 assure la liaixon rigide,   c'est-à-dire   qu'il forme le châs- sis de l'élévateur. 



   Dans l'exemple selon la Fig. 2, un levier 9 est fixé sur un ar- bre 8 monté dans le châssis 7, ce levier étant articulé en 64 à un levier 10 monté à pivotement autour de l'essieu 11 du train avant. Les leviers 9 et 10 forment donc une genouillère prenant appui sur l'essieu 11 et le châs- sis 7. Sur   l'arbre 5   est fixé un pignon de vis sans fin 65 engrenant avec une vis sans fin 66 montée sur l'arbre 67, également fixé au châssis 7, de la manette 68 Donc, en tournant la manette   68,   on peut faire tourner l'arbre   8,   de façon à écarter ou à renfermer la genouillère formée par les leviers 9 et 10. Lorsque la   genouillère   s'écarte, il en résulte une élé-   vation   du cadre 7 ensemble avec le châssis du ruban transporteur 1, par rapport à l'essieu 11.

   De ce fait, les vis sans fin d'alimentation 5 et les écrans de guidage 6 soulèvent également. La profondeur de dragage du récepteur se trouve donc modifiée. On peut éventuellement prévoir plu- sieurs genouillères 9,10 parallèles. 



   Dans l'exécution selon la Fig. 3, laquelle constitue un   dévelop-   pement de   la.   construction selon la Fig. 2, le levier 10 de la genouillère 9, 10 ne s'appuie pas directement sur l'essieu 11, mais sur un bras 69 d'un levier à, deux bras   69,   70, monté lui-même à pivotement autour de l'essieu 11, le levier 10 étant articulé au bras 69 en 71.

   Outre qu'il pivote au- tour de l'essieu 11, le bras   69   est encore articulé sur un pivot 72 soli- daire du cadre   7.   L'autre bras 70 du levier 69, 70, s'appuie sur le   ca-.   dre 7 par l'intermédiaire d'un ressort   73.   Cette disposition est identi- que des deux côtés du véhicule, de sorte que l'essieu 11 est maintenu dans deux bras 69 réunis à pivotement au cadre 7 en   72.   Le poids de l'ensemble est donc transmis par ces leviers à l'essieu. En ce qui concerne le mou- vement angulaire des leviers 69, 70 autour de l'essieu 11, le poids est équilibré par les ressorts   73.   



   Lorsque la genouillère 9,10 est écartée par rapport à la posi-   tion   de la Fig. 3 par la rotation de la manette 68, il en résulte une ten- dance à l'abaissement de l'essieu 11 par rapport au point d'articulation 72 du levier sur le châssis 7. Toutefois, comme les roues 2 de cet essieu   reposent   sur le sol, il se produit un soulèvement du point   72,   et donc du cadre 7 et des organes 5 et 6 par 'rapport à l'essieu 11. L'inverse se pro- duit, lorsque, par suite de la rotation opposée de la manette 68, la ge- nouillère 9, 10 se referme par rapport à la position de la Fig. 3. Dans ce cas l'essieu 11 tend à se soulever par rapport au point d'articulation   72.   



  Toutefois, les roues de cet essieu reposant sur le sol, il en résulte que le point 72 s'abaisse par rapport à l'essieu, entraînant avec lui le cadre 7 et les organes 5 et 6. 



   Dans l'exemple des Figs.   4   et 5, qui correspond essentiellement à la réalisation selon les Figs 1 et 2, les roues 2' du train de roulage sont   prévues   sur l'essieu 11. Ce dernier est monté dans une charpente ri- gide, comme décrit plus bas, formée par le châssis 12 du ruban transporteur et par une série d'entretoises ou contrefiches, constituées par des tubes par exemple. Les entretoises 13, 14 qui forment un triangle monté sur cha- que coté du châssis   12,   aboutissent à un carter de changement de vitesse 15. 

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  A ce carter aboutissent également les contrefiches 74. Le carter 15 est donc encastré dans la charpente de support du train de roulage, tout en pouvant être aisément démonté de celui-ci. Ce carter porte un moteur électrique 16, des barres 76 qui forment le prolongement du châssis 12 sont prévues aux points de liaison des entretoises 14 avec celui-ci. Ces barres supportent un tube transversal 17. Le chapelet 4 est supporté par des contrefiches latérales 18, 20, tandis que l'arbre inférieur 93 du chapelet   4,   monté dans les extrémités avant des barres 18, est supporté par des entretoises 19 inclinées par rapport au plan des entretoises   18,   20 et qui se rejoignent dans un point nodal. Les entretoises 18, 20 sont appuyées sur le tube 17.

   Les entretoises 78 partant des extrémités supé- rieures 77 des entretoises 20, les entretoises 79 partant du tube 17, et les entretoises 80 partant du point 75, se rejoignent en un point nodal 81. Le tube 17 porte en outre des bossages 82, soudés par exemple, qui supportent des tourillons 72 pour les leviers 69 ces deux derniers organes correspondant aux organes 72, 69 de la Fig. 3. L'essieu 11 portant les roues 2' est monté dans les bras de leviers 69. Les leviers 69 sont pro- longés au delà de l'essieu 11 par les bras 70, dont les extrémités portent des pistons 25 sur lesquels agissent des ressorts à boudin 73 insérés dans des douilles 24 articulées au carter 15. Sur les bras 69 s'appuyant en 71 les leviers 10 articulés en 64 aux leviers 9, avec lesquels ils forment des genouillères, comme décrit à propos de la Fig. 3.

   Les leviers 9 sont montés sur l'arbre 8, lequel peut être mis en rotation à l'aide de la ma- nette 68, par l'intermédiaire de l'arbre 67 monté dans la charpente préci- tée, de la vis sans fin 66 et de la roue à vis sans fin 65, dans le but de soulever et d'abaisser l'ensemble du châssis de l'élévateur par rapport à l'essieu 11. 



   La tension du chapelet peut être réglée à l'aide du dispositif de réglage   27.   



   Le moteur 16 entraîne l'arbre 26 de lan transmission 15 depuis l'arbre 21, par l'intermédiaire d'une chaîne, d'une courroie trapézoïdale ou analogue 22 et de la roue 23. Un autre arbre 28 de la transmission por- te des roues à chaîne 29, lesquelles entraînent, au moyen de roues intermé- diaires 83, 84 et d'une chaîne 85, les roues à chaîne 86 montées sur l'es- sieu 11. Dans la commande de l'essieu 11 est intercalé au moins un accou- plement à friction, prévu utilement dans le carter de la transmission, de sorte que le récepteur est   constamment   sollicité en direction des matières à élever, par l'action de la transmission constamment en-mouvement.

   Une roue 87, montée sur l'arbre 26, à côté de la roue 23, entraîne à l'aide d'une chaîne 88 une roue de renvoi 89 dont l'arbre porte un petit pignon 90, qui entraîne la roue de commande 92 du chapelet 4 par la chaîne 91 et   d'où   est également dérivée la commande des vis sans fin d'alimentation 5. 



  Les transmissions à chaîne peuvent être remplacées par des transmissions à courroies   trapézoïdales,   ou analogues. 



   Afin de permettre le réglage en hauteur du récepteur par éléva- tion et abaissement de l'ensemble du châssis de l'élévateur par rapport à l'essieu 11, sans nuire à la commande'de cet essieu entre les points 29 et 86, les roues de renvoi 83, 84 sont prévues de part et d'autre sur des genouillères formées chacune de deux leviers. Le levier   94   de chacune de ces genouillères est monté pivotant autour de l'arbre 28 et maintient l'é- cartement des roues 29 et 83, tandis que l'autre levier de la genouillère (non montré dans le dessin) est monté pivotant autour de l'essieu 11 et maintient l'écartement des roues 84 et 86 même lorsque, par suite du régla- ge en hauteur, les genouillères portant les axes des roues intermédiaires 83, 84, se referment ou s'écartent plus ou moins. 



   Le mécanisme monté dans le carter 15 est manoeuvré à l'aide d'un levier 30. Des plaques de guidage 31, solidaires des parties rigides du ca- dre, forment un puits de guidage pour les matières amenées par les godets du chapelet et qui se dirigent vers le ruban transporteur 1. 



   Le système de direction qui supporte l'autre extrémité de ce ru- 

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 ban comporte deux roues 3'dans l'exemple selon les Figs. 4 et 5. Le support de l'arbre de direction, formé par les contrefiches 32, 33, est monté facilement amovible sur le châssis du ruban transporteur 1. Il est pourvu   d'un   mécanisme de direction actionné à l'aide des manettes 34 prévues de part et d'autre de ce ruban. La rotation des manettes a pour effet de faire tourner vers l'un ou l'autre côté l'arbre vertical 35 portant l'essieu. La commande de cet arbre estde préférence irré- versible; elle peut comporter une transmission à vis sans fin par exem- ple. 



   L'extrémité du ruban transporteur, qui s'étend au delà du système de direction, est munie de dispositifs permettant le raccordement d'un autre ruban transporteur. Entre les prolongements 36 du châssis du ruban transporteur est prévu un entonnoir collecteur ou déflecteur 37, muni d'une bride d'accouplement   38.   On peut suspendre à cette dernière un cadre 39, dans lequel on peut monter un autre ruban transporteur 40 à coulissement et à pivotement. La bride d'accouplement 38 est utilement établie de   façon   a-permettre un décalage angulaire du ruban 1 par rap- port au ruban 40 ou vice versa. 



   A l'instar des manettes de direction   34   dédoublées dans l'exem- ple des Figs. 4 et 5, tous les organes dé commande et de manoeuvre néces- saires au roulage et à la direction peuvent être dédoublés de telle façon que l'élévateur puisse être manoeuvré de l'un ou de l'autre côté par l'o- pérateur qui l'accompagne à pied. Pour cette raison, le levier de com- mande 30 du changement de vitesse est disposé dans le plan médian de l'élévateur. 



   Dans l'exemple de la Fig. 6, on a enlevé le système de direction 3 de l'élévateur. L'élévateur, lequel se déplace désormais uniquement sur son train-avant 2, est pris en remorque par un autre véhicule   42,   un camion par exemple, à l'aide de son dispositif qui permet cet attelage, à savoir un crochet d'attelage   41.   Ce crochet peut être constamment monté en place, ou être prévu séparément en vue de son emploi temporaire. L'organe d'at- telage peut être établi d'une façon telle et l'attelage réalisé d'une fa- çon telle que le mécanisme de direction 3 puisse rester attaché à la bande transporteuse 1.

   Lorsque le sustème de direction est amovible, le.dispo- sitif d'attelage peut être établi de façon à pouvoir être monté en lieu et place du système de direction, à l'aide des trous de fixation destinés à celui-ci. 



   Alors que, dans l'exemple selon les Figs. 4 et 5, l'avancement de l'élévateur est assuré par l'entraînement des roues 2' par l'intermé- diaire de la transmission 15, la variante selon la Fig. 7 comporte, sur le train de roulage 2, un cabestan à moteur   43   sur lequel s'enroule un câ- ble 4 ancré au sol en   45.   En renvidant le câble sur le cabestan, on peut déplacer l'élévateur en direction du point d'ancrage de ce câble. Le ca- bestan peut être commandé à l'aide d'un filin 46 par l'opérateur 47 mar- chant à côté du mécanisme de direction 3. 



   Dans le mode d'exécution selon la Fig. 8, un deuxième transpor- teur longitudinal 48 est raccordéau transporteur longitudinal 1 d'une ma- nière correspondant à l'exemple des Figs. 4 et 5. Le transporteur 48, s'ap- puie sur le bord 50 du récipient 51 à remplir, bord sur lequel il peut   rou-   ler à l'aide des rouleaux 49, tout en pivotant éventuellement, de sorte qu'il peut suivre l'avancement de l'élévateur. 



   Dans l'exemple selon la Fig. 9, un transporteur longitudinal 52 est raccordé à articulation en 53 au transporteur 1 de l'élévateur, tandis que son extrémité libre est articulée autour d'un axe vertical en 54 au- dessus du récipient à remplir, de sorte que l'angle formé par l'articula- tion 53 augmente lors de l'avancement de l'élévateur. 



   Dans l'exemple de la Fig. 10, le dernier transporteur longitudi- nal 55 est raccordé à articulation au   transporteur   précédent, constitué ici également par le transporteur 1, et est monté à pivotement,   approximative-   ment en son milieu, autour d'un point d'appui 56, de façon à pivoter autour 

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 de celui-ci' comme un levier à deux bras lorsque l'angle formé par 1'articu- lation 57 augmente lors de l'avancement de l'élévateur. 



   Dans l'exemple selon la Fig. Il, deux rubans transporteurs 58 et-, 59 sont articulés au ruban 1 de l'élévateur. Le point de raccordement entre le ruban 1 et le ruban 58 est établi en 60 conformément à l'exemple des Figs. 3 et 4. Par contre, l'articulation 61 entre les rubans 58 et 59 repose sur un chariot 62 à deux roues. Dans cette disposition, on peut atteindre à l'aide de l'extrémité de décharge 63 du dernier ruban n'importe quel point d'une surface étendue, ce qui est notamment avantageux lorsque ces installations sont utilisées sur les chantiers de construction. 



   Dans l'exemple selon les Figs. 12 et 13, deux antres rubans transporteurs à savoir 95 et 96, ont été raccordés au ruban 1 de l'éléva- teur. Ici également, le point de raccordement entre les rubans 1 et 95 a été établi en 97 conformément à l'exemple des Figs. 3 et   4.   L'autre ex- trémité du ruban 95 peut rouler sur le ruban 96 à l'aide d'un wagonnet 98. 



  Ce wagonnet peut être fixé dans n'importe quel de ses positions sur le ru- ban 96. La liaison entre le ruban 95 et le chariot 98 est pivotante, de. sorte que le ruban 95 peut occuper différentes positions angulaires par rapport à la bande 96, comme il ressort de la Fig. 13. Donc,le ruban 95 est en quelque sorte "porté sur le dos" du ruban 96. L'extrémité supé- rieure du ruban 96 repose, éventuellement à pivotement sur un silo mesu- reur 99. L'extrémité inférieure du ruban 96 repose sur un chariot à deux roues 100, et peut donc se déplacer autour du point d'appui au silo 99. 



  Grâce à cette disposition, le récepteur peut alimenter le silo 99 à par- tir de n'importe quel point d'une grande superficie recouverte de matiè- res en vrac. Le rayon d'accès se modifie lorsque l'on élève ou abaisse le chariot 98 sur le ruban 96. 



   Contrairement à 1'exemple décrit, dans lequel toutes les comman- des de l'élévateur sont dérivées d'un moteur électrique, on peut également établir des   dispositifs   comportant plusieurs moteurs électriques, par exem- ple, un moteur pour l'avancement et un moteur pour le chapelet. Les mo- teurs électriques peuvent être remplacés par des moteurs d'un autre type, par exemple, à essence, Diesel, à gaz ou à air comprimé. 



   L'invention englobe non seulement des réalisations dont le tram - porteur longitudinal est constitué par un ruban, mais aussi celles où ce dernier est constitué par   un   couloir à secousses ou une chaîne transporteu- se, etc... 



   Les éléments du châssis plus spécialement ceux qui forment le train de roulage et qui supportent le chapelet, peuvent être établis non pas sous la forme de cadres tubulaires, mais former un châssis à poutres ou à plaques. 



   On ,peut réaliser n'importe quel déplacement voulu, mais surtout la marche avant et arrière. Suivant la construction de la transmission, ces deux sens de roulage peuvent comporter des vitesses différentes. On peut éventuellement prévoir aussi différentes vitesses d'entraînement pour le chapelet et les vis sans fin d'alimentation, afin d'adapter le fonctionnement du dispositif à divers types de matières en vrac. Les deux roues directrices fortement rapprochées, prévues dans l'exemple des Figs.   4   et 5, peuvent être remplacées par une roue directrice unique. 



  D'autre part, on peut également prévoir des réalisations où les roues direc- trices présentent un plus grand écartement et peuvent être braquées séparément. Dans d'autres modes de réalisation, toutes les roues sont directrices, c'est-à-dire, y compris les roues du train portant le récep- teur. On peut réaliser un mode:de direction supplémentaire à l'aide des roues motrices du train avant, par exemple en entraînant ces roues à des vitesses différentes. 



   Pour augmenter la sécurité de la direction, et conformément à un autre mode d'exécution, la roue directrice est munie de sabots rétrac- tiles ou amovibles, situés dans le plan de la roue ou parallèlement à ce- lui-ci, et qui s'enfoncent dans le sol. Lorsque l'on prévoit plusieurs roues directrices, chacune de celles-ci peut être établie de cette manière. 

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   On peut réaliser d'autres modes d'exécution, notamment en vue du transport sur un espace restreint, si le transporteur longitudinal est con-   struit   de façon à pouvoir se replier suivant un ou plusieurs axes, la partie rabattable pouvant éventuellement servir de-.flèche. 



   Les systèmes en chaîne constitués par plusieurs transporteurs longitudinaux raccordés à l'élévateur, systèmes destinés à desservir des superficies étendues et   ramifiées,   par exemple des terrains de construc- tions, permettent de nombreuses variantes. Ainsi, les systèmes d'accouple- ment décrits,  prévus   entre le transporteur longitudinal de l'élévateur et un transporteur   longitudinal   y raccordé peuvent aussi être appliqués entre les transporteurs longitudinaux suivants.

   Il peut être utile que les liai- sons articulées entre les transporteurs longitudinaux soient susceptibles d'un blocage, par verrouillage par exemple, de façon à obtenir une liai- son rigide selon l'angle réglé voulu, tandis que les transporteurs qui   sui-   vent ce système de transporteurs rigide peuvent être raccordés à celui-ci à articulation. Les points de raccordement peuvent s'appuyer sur des chariots, notamment lorsqu'un très grand nombre de transporteurs sont rac- cordés les uns aux autres et que ce raccordement se fait en   ci seaux.   



   REVENDICATIONS.      l.- Elévateur automatique pour matières en vrac, avec dispositif   "récepteur",   à commande motrice, un chapelet par exemple, éventuellement avec vis sans fin d'alimentation latérales et un dispositif "transporteur" longitudinale par exemple un ruban transporteur, caractérisé en ce que le châssis (l'élément de support) du transporteur (1) constitue la liaison rigide entre un train avant et un train arrière (2 ou 3 et 2' ou 3') de l'élévateur.

Claims (1)

  1. 2. - Elévateur selon la revendication 1, caractérisé en ce que le train arrière (3) est établi comme système de direction (3') éventuellement à une roue, de préférence avec mécanisme de direction irréversible (34, 35).
    3.- Elévateur selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que, pour permettre une modification de la hauteur (ou profondeur) de dragage du récepteur, ce dernier (4, 5 6) est réglable en hauteur par le fait que l'ensemble de l'élément de support rigide (7) de.l'élévateur est réglable en hauteur par rapport au train (2 ou 2') le plus proche du ré- cepteur.
    4.- Elévateur selon la revendication 2, caractérisé en ce que le châssis 7 de l'élévateur repose sur un bras (69) d'un ou de plusieurs leviers à deux bras (69) (70) montés à pivotement autour de l'essieu (12) voisin du -récepteur (4, 5, 6), et dont l'autre bras est soumis à l'action d'un accumulateur d'énérgie, de préférence d'un ressort (73), destiné à équilibrer le poids,, et en ce que l'on prévoit un dispositif pour modifier l'inclinaison des leviers ( 69, 70 ) par rapport à l'élément de support (7), et donc la position en hauteur de cet élément (7) par rapport à l'essieu (il) voisin du récepteur (4, 5, 6).
    5.- Elévateur selon les revendications 3 et 4, caractérisé en ce que le dispositif pour modifier l'inclinaison du ou des leviers à deux bras (69, 70) est constitué par un système de réglage , de préférence une genouillère (9, 10), commandée à l'aide d'une manette (68) par l'intermé- diaire d'une transmission irréversible, par exemple à vis sans fin (65, 66).
    6. - Elévateur selon les revendications 3 à 5, caractérisé en ce que 1'élément de châssis (7) qui contient le récepteur (4, 5, 6) est con- stitué avantageusement par une charpente d'encadrement tubulaire réunie rigidement au châssis (12) du transporteur longitudinal (1) et comportant un tube transversal (17) sur lequel sont montés deux leviers (69, 70) qui maintiennent l'essieu (11) voisin du récepteur (4, 5, 6) .
    7.- Elévateur selon les revendications 1 à 6, caractérisé en ce que les organes de commande et de manoeuvre (30, 34) nécessaires pour le <Desc/Clms Page number 8> roulage et la direction, sont disposés de telle façon que l'élévateur puis- se être commandé depuis les deux côtés indifféremment par le préposé qui raccompagne.
    8.- Elévateur selon les revendications 1 à 7, caractérisé en ce que le système de direction (32, 33, 34) Peut être aisément démonté ensemble avec son dispositif de commande (34).
    9.- Elévateur selon les revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la ou les roues directrices (3, 3') sont munies de sabots, éventuelle- ment rétractiles ou amovibles, situés dans le plan de la roue ou parallèle- ment à celui-ci et qui s'enfoncent dans le sol.
    10. - Elévateur selon les revendications 1 à 9, caractérisé par un dispositif permettant de mettre cet élévateur à la remorque d'autres vé- hicules, par exemple un accouplement pouvant être réuni à demeure ou d'une façon amovible, éventuellement après démontage du train de direction (3, 3'), en lieu et place de celui-ci.
    11.- Elévateur selon les revendications 1 à 10, caractérisé par une commande motrice, agissant utilement par l'intermédiaire d'un. accouple- ment à friction, pour l'avancement de l'élévateur, par exemple un moteur électrique 16 agissant sur les roues motrices (22') par l'intermédiaire d'une transmission (15), ce moteur servant éventuellement aussi pour la commande du récepteur (4, 5) et/ou du transporteur longitudinal (1).
    12. - Elévateur selon la revendication 11,caractérisé en ce que les roues à chaînes (86) de l'essieu (il) sont entraînées par l'intermé- diaire de roues de renvoi (83, 84)-montées sur des leviers à genouillère (94).
    13. - Elévateur selon la revendication 11 caractérisé en ce qu'un cabestan (43) à commande par moteur et en combinaison avec le récepteur - (4 à 7), est prévu par exemple pour un câble de traction (44) fixé au sol, ce cabestan servant à l'avancement de l'élévateur.
    14.- Elévateur selon les revendications 1 à 13, notamment la revendication 6, caractérisé en ce que le carter de transmission (15) amo- vible destiné à la-commande du récepteur (4,5) et éventuellement de l'a- vancement, fait partie de la charpente d'encadrement (7).' 15. - Elévateur selon les revendications 1 à 14, caractérisé en ce que les deux roues (2') du train avant peuvent être commandées à des vitesses différentes, de façon à fournir à l'élévateur une possibilité de direction supplémentaire par modification des vitesses de rotation rela- tive de ces roues.
    16.- Elévateur selon les revendications 1 à 15, caractérisé en ce que le transporteur longitudinal (1) peut être replié autour d'un ou de plusieurs axes, la partie rabattable servant éventuellement de flèche.
    17. - Elévateur selon les revendications 1 à 16, caractérisé en ce que le transporteur longitudinal à ruban transporteur 1 par exemple est muni à son extrémité de moyens pour le raccordement, de préférence à ar- ticulation, d'un autre transporteur longitudinal (48, 52, 55, 58) ou d'une suite de transporteurs longitudinaux (58/59, 95/96), par exemple avec inte-r- position d'un entonnoir collecteur ou déflecteur (37) avec bride d'accouple- ment (38), une ou plusieurs articulations de raccordement pouvant être éven tuellement rendues rigides.
    18.- Dispositif comprenant un élévateur selon la revendication 17 avec au moins un transporteur longitudinal raccordé au transporteur longitudinal de cet élévateur, caractérisé en ce que le dernier transpor- teur (48) repose sur le bord (50) du récipient à remplir (51) de façon à pouvoir rouler sur ce bord-à l'aide de rouleaux (49) et, éventuellement, de manière à pouvoir pivoter, de telle sorte que ce dernier transporteur puisse suivre l'avancement de l'élévateur.
    19.- Dispositif comprenant un élévateur selon la revendication <Desc/Clms Page number 9> 17 avec au moins un transporteur longitudinal raccordé au transporteur lon- gitudinal de l'élévateur, caractérisé en ce que le dernier transporteur lon- gitudinal (52) est articulé au transporteur (1) qui le précède, tandis que son extrémité libre (54) pilote autour d'un axe vertical au-dessus du ré- cipient à remplir de sorte que, lors de l'avancement de l'élévateur, l'an- gle formé par l'articulation de raccordement (53) augmente.
    20.- Dispositif comportant un élévateur selon -la revendication 17 avec au moins un autre transporteur longitudinal raccordé au transpor- teur longitudinal de cet élévateur, caractérisé en ce que le dernier trans- porter longitudinal (55) est articulé au transporteur (1) qui le précède et est monté à pivotement autour d'un point d'appui (56) de sorte qu'il pivote autour de celui-ci comme un levier à deux bras lorsque l'angle formé par l'articulation augmente lors de l'avancement de l'élévateur.
    21.- Dispositif comprenant un élévateur selon les revendications 17 à 20, caractérisé en ce qu'un transporteur longitudinal articulé au transporteur longitudinal (1) de l'élévateur ou à un transporteur longitu- dinal (95) raccordé au précédent peut rouler, à l'aide d'un wagonnet (98) ou d'un chariot à roulettes ou analogues, sur un transporteur longitudinal (96) qui le suit, le wagonnet (98) ou analogue pouvant être utilement blo- qué ou verrouillé dans n'importe quelle position.
    22. - Dispositifcomportant des élévateurs selon les revendications 17 à 21, caractérisé en ce que les points de raccordement de transporteurs longitudinaux articulés les uns aux autres, notamment dans le cas d'un rac- cordement en ciseaux, s'appuyent sur un dispositif roulant, de préférence un train à deux roues (62, 100).
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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US2743004A (en) * 1953-02-05 1956-04-24 Jeffrey Mfg Co Troughing conveyer and roll therefor

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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