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Dispositif destiné aux armes à feu pour pouvoir les employer comme armes à air comprimé.
La présente invention concerne un dispositif destiné aux armes à feu et pour pouvoir les employer comme armes à air comprimé. Elle a pour objet de permettre de monter dans la boite de culasse d'une arme à feu, par exem- ple dans celle de la carabine suisse modèle 1931, un dis- positif dont le but est de donner aireur la possibilité de s'exercer chez lui, avec son arme, en employant des balles et des projectiles sans poudre, afin de maintenir la préci- sion da son tir et de tirer profit, au moment voulu, des résultats ainsi obtenus.
Mais un tel dispositif ne peut avoir de chance de succès que si certaines conditions sont remplies. Ces conditions sont les suivantes :
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1 ) La précision de tir de l'arme à air comprimé, employée pour tirer sur an but se trouvant à courte distance et de dimensions convenablement réduites, doit être ' la même que celle de l'arme à feu employée pour tirer sur des buts se trouvant à grande distance., et de dimensions plus grandes[,
2 ) Le poids total et la répartition de ce poids doivent être les mêmes dans les deux armes, qu'il s'agisse de lfme à feu ou de l'arme à air comprimé.
3 ) la pression à exercer avec le doigt sur la détente ne doit subir aucune modification quand on tire avec le dispositif qui transforme l'arme à feu en arme à air com- primé.
4 ) La transformation de l'arme à feu en arme à air comprimé et la transformation inverse doivent pouvoir être obtenues par un petit nombre de manoeuvres.
Pour que l'arme soit toujours prête à fonctionner il faut qu'il n'y ait pas de possibilité que des détériora- tions résultent de sa transformation ou de son emploi, c'est à dire que : a) la transformation puisse être faite sans dé- monter des pièces de l'arme, ce à quoi le non-spécialiste n'est pas autorisé. b) les pièces du dispositif de détente ne subissent pas une pression de ressort plus forte que dans le cas où l'arme est employée comme arme à feu,afin que l'usure ne puisse être supérieure à l'usure normale. c) on ne monte de pièces mobiles qu'aux endroits qui sont prévus dès l'origine pour un mouvement du genre de celui des pièces en question et enfin, que pour ménager l'âme du canonetle magasin à cartouches, on les protège tous deux contre tout contact avec des pièces mobiles.
Avec le dispositif conforme à l'invention,toutes ces prévisions et conditions sont très rigoureusement obser-
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vées et satisfaites, de sorte qu'on peut garantir que le but final peut-être garanti, de donner au tireur, aux moin- dres frais et sans danger spécial pour son entourage, un certain degré d'efficacité et de la lui maintenir.
D'après l'état actuel de la technique, le disposi- tif étudié présente des nouveautés qui sont valables non seulement pour l'arme transformée en arme à air comprimé, mais aussi, d'une manière générale, pour les fusils à air comprimé et pour les pistolets/
Conformément à l'invention, les pièces qui tien- nent le ressort de piston et, par suite, le piston, en état d'armement ne sontpas seulement enclenchées comme à l'ordi- naire avec un déclic irréversible, mais l'enclenchement est bloqué et après suppression du blocage (par action sur la détente), le ressort de piston libère automatiquement l'enclenchement.
Par rapport aux dispositifs de détente connus, dans lequels un déclic spécial est armé pendant qu'on bande le ressort de piston, déclic qui libère le ressort de piston quand on tire sur la détente, l'innovation a l'avantage de garantir par le blocage du ressort de piston enelenché, une sécurité plus grande contre les secousses du fusil armé,.
Le dispositif conforme à l'invention présente l'avantage des réalisations connues, résultant de ce que la détente ne subit plus la charge exercée par toute la force du res- sort de piston, mais ne doit résister qu'à la tension du déclic. Outre cet avantage, le dispositif conforme à l'in- vention en présente encore un autre. En effet, du fait que, dans la nouveauté présente, le ressort de piston et par suite le piston à air n'est pas enclenché de manière irré- versible, comme dans les réalisations connues, mais de ma-
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nière à se déclencher automatiquement, il résulte que leressur qui supprime le blocage n'a pas besoin d'être aussi puissant que '- ressort du déclic des dispositifs réalisés jusqu'à présent, ressort qui doit vaincre tout le frottement que provoque le ressort de piston sur les surfaces d'enclenchement.
Il est particulièrement avantageux de disposer sur le côté de l'arme les organes d'armement du ressort de pis- ton et de procéder à l'armement soit en tirant tout droit un levier d'armement spécial, soit en le faisant osciller.
Cette disposition supprime le défaut qui est généralement inhérent aux armes à air comprimé (fusils et pistolets à air comprimé) quand on les compare aux armes à feu : après avoir tiré, il faut, pour pouvoir armer l"arme, la tenir d'une manière complètement différente.
L'invention va être expliquée maintenant d'une manière détaillée, à l'aide d'un dessin, et à propos d'un dispositif destiné à un fusil. Les organes du dispositif constituant le fusil à air comprimé sont représentés en trait plein et les organes de l'arme à feu sont représentés en trait mixte.
La figure 1 représente une coupe verticale lon- gitudinale du fusil armé., prêt à tirer.
La figure 2 représente une vue en plan ; les orga- nes d'armement sont dans leur position d'armement.
La figure 3 représente une vue de profil des or- ganes d'armement, en position d'armement.
La figure 4 représente une coupe horizontale lon- gitudinale et une vue en pain des organes d'armement, le fu- sil étant désarmé.
La figure 5 représente uns coupe transversale des organes d'armement, le fusil étant désarmé. Cette coupe
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a été faite suivant la ligne V-V de la figure 4.
La figure 6 représente à une échelle agrandie une cou- pe verticale longitudinale du dispositif de retenue.
La figure 7 donne une vue en bout, côté charge, vue suivant la flèche de la figure 6.
La figure 8 représente une vue en plan agrandie du dispositif de retenue, avec étrier de retenue.
La figure 9 représente une vue en plan agrandie du dispositif de retenue, sans étrier de retenue.
La figure 10 représente une coupe transversale agran- die faite à travers les pièces du dispositif de retenue.
Cette coupe a été faite suivant la ligne X-X de la figure 6.
La figure 11 représente une coupe transversale agrandie du dispositif de retenue, les étriers de retenue étant visibles.Cette coupe a été faite suivant la ligne XI-XI de la figure 6.
Les éléments de l'arme à feu sont désignés par des majuscules et les subdivisions de ces éléments sont désignées par des majuscules qui sont accompagnées de minuscules.
Les éléments de l'arme à air sont désignés par des nombres et les subdivisions de ces éléments sont désignées par des nombres qui sont accompagnés de minuscules.
Après avoir sorti le mécanisme de culasse, on intrc duit l'ensemble de l'arme à air dans l'ouverture de la cham- bre de l'arme à feu. La fixation de cet ensemble dans l'arme à feu s'effectue automatiquement, le nez 20a du ressort d'arrêt 20 venant s'enclancher contre la surface Aa de la boite de culasse A.
Pour armer le fusil, on tire en arrière le levier d'armement 23 jusqu'à ce que se fasse sentir une butée. Puis on ramène le levier d'armement 23 dans sa position de départ et le fusil se trouve armé.
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Pour charger le fusil, on dévisse complètement le bou- ton de chargement 15 et après avoir introduit la balle ou un autre projectile, le canon 3 est fermé hermétiquement vers l'arrière par le revissage du bouton o.e chargement 15 par l'intermédiaire d'une rondelle de joint. En même temps, on pousse la balle ou un autre projectile que l'on amène ainsi un peu au-delà de l'orifice d'entrée d'air 3a. Le fusil est alors prêt pour le tir.
L'enlèvement de l'ensemble de l'arme à air s'effectue lui aussi, par des manoeuvres rapides. On soulève le ressort d'arrêt 20 et l'onsort l'ensemble de l'arme à air jusqu'à ce que se fasse sentir une butée. Puis on abaisse le porte cu - lasse B. On peut ainsi enlever l'ensemble de l'arme à air et l'on peut alors procéder de nouveau à la mise en place de la chambre.
Ee dispositif d'armement comprend trois parties.
Le levier d'armement 23, recourbé, à section transversale en forme d'U, repose par l'intermédiaire de l'axe de pivo- tement 26, sur l'oeilleton la qui est assemblé rigidement avec le cylindre à air 1. Dans la partie en forme d'U du levier d'armement 23, se trouve intercalée une pièce inter- médiaire 22, qui peut pivoter autour de l'axe 25. Cette piè- ce intermédiaire transmet le mouvement d'oscillation du le- vier d'armement 23, par l'intermédiaire de l'axe-24, au ver- rou 21 qui peut se déplacer longitudinalement dans la cou- lisse du verrou Ab de la boite de culasse A.
Quand les organes d'armement se trouvent dans leur position de départ, que montre la figure 4, ils se trouvent maintenus dans cette position en raison de l'action du res- sort Ba sur le porte culasse B et par ce que la languette Bb du porte-culasse est en prise dans le cran 22a de la piè- ce intermédiaire 22. Quand on arme le fusil, la butée d'ex- trémtté est constituée par un cran 21b du verrou, cran dans
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lequel pénètre la languette Bb du porte-culasse.
Quand on procède à l'armement, la douille de verrouillage 5 est entrainée, par l'intermédiaire de son talon 5a, par le taquet d'armement 21a du verrou 21, taquet qui traverse le cy- lindre à air 1 à travers la fente lc de celui-ci. Le guida- ge empêchant la rotation s'effectue de même dans une rainure 5b delà douille de verrouillage 5 dans laquelle pénètre le taquet d'armement 21a.
Le canon 3 est vissé dans la douille de verrouillage après avoir été introduit de l'arrière à travers le fond de cylindre 2, qui est assemblé rigidement avec le cylindre 1, et après que le ressort de piston 14 a été monté. Le ressort de piston 14 s'appuie, d'un cote, sur le fond de cylindre 2 et de l'autre côté sur le fond de la douille de verrouillage 5.
Entre le dispositif de détente et le dispositif de retenue du piston, est montée une pièce de déclenchement.
Cette pièce de déclenchement 16 est tirée vers l'arrière de l'arme par le ressort de traction 19 dont les extrémités sont accrochées l'une à la broche 17, et l'autre à la broche 18. Quand le fusil est désarmé, cette pièce de déclenchement est en contact avec l'arête postérieure de l'évidement Id du cylindre à air. La broche 17 traverse la pièce de déclenchée ment 16 et la broche 18 est supportée dans la gaine 1b qui est assemblée rigidement avec le cylindre à air 1.
Le dispositif de retenue pour le ressort de piston (c'est à dire pour le piston à air) quand il est bandé, est constitué par la pièce de retenue 8, qui est vissée sur le ca- non 3 et qui est disposée derrière l'embase 6 du piston et sa garniture 7, ainsi que par la douille de blocage 9, qui est introduite sur la pièce de retenue 8 de manière à pouvoir se déplacer longitudinalement et qui est soumise à la pression du
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ressort de blocage 10. Quand le fusil est désarmé, la douil- le de blocage 9 est en contact avec l'embase 6 du piston.
Il existe des deux côtés de la pièce de retenue 8, une rai- nure 8a (figure 9) dans laquelle sont logés les deux étriers 13 (figure 11). Le blocage du piston à air, quand le fusil est armé, est assuré par les deux étriers 13 qui s'appuient contre le chanfrein a de la bague d'arrêt 11. La bague d'arrêt 11 est appuyée par le vissage du couvercle de fer- meture 12 contre l'extrémité postérieure du cylindre à air 1 et elle se trouve par conséquent maintenue.
Quand on arme le fusil, le canon 3 est poussé vers l'arrière avec toutes ses pièces. Quand le cran d'arrêt 9a de la douille de blocage 9 passe en glissant sur la pièce de déclenehement 16, cette pièce s'efface vers le bas pour reprendre sa place, en remontant , après que le cran 9a est passé. Dans le mouvement inverse des organes d'armement, l'extrémité antérieure de la pièce de déclenchement 16 se place contre le taquet de détente C.
En même temps, sous l'action du ressort de piston 14, le canon 3 se déplace vers l'avant (tandis que la douille de blocage 9 ne participe pas à ce déplacement) jusqu'à ce que les deux languettes 9b aient saisi par en-dessous les deux étriers 13 et les aient écartés grâce à l'action de coin des surfaces obliques 9c. Les étriers d'arrêt 13 se placent contre le chanfrein postérieur 11a de la bague d'ar- rêt 11 de sorte que le mouvement vers l'avant du canon 3 est ainsi bloqué. On peut ramener les organes d'armement dans leur position de départ tant que le fusil est armé. Le fusil peut alors être chargé.
Quand on agit sur la détente, le taquet de dé- tente C se trouve tiré vers le bas. Sous l'action du ressort de blocage,101 la douille de blocage 9 et la pièce de dé-
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clenchement 16 sont projetées vers l'avant. L'extrémité pos- térieure de la pièce de déclenchement s'efface vers le bas en raison de son glissement contre le profil 16a de l'arête antérieure de l'évidement 1d du cylindre à air et livre ainsi passage au cran d'arrêt 9a. Mais en même temps, le blo- cage des deux étriers 13 se trouve supprimé, étant donné que les deux surfaces obliques 9c se sont effacées vers l'avant, libérant ainsi le chemin aux deux étriers d'arrêt 13 qui se déclenche.nt ensemble.
En raison de l'action de traction du ressort de piston 14, les deux étriers d'arrêt 13 glis sent du chanfrein 11zs de la bague d'arrêt 11. Le ressort de piston 14 peut donc maintenant se détendre librement.
L'air comprimé ainsi produit dans le cylindre le s'échappe à travers les orifices 3a, dans le canon 3 et il chasse le projectile à travers ce canon. Une douille 4 pour le guidage du canon, qui est vissée dans le cylindre à air 1, guide le canon 3 quand on tire.
Il n'est pas absolument nécessaire que le canon suive les déplacements du piston, mais les innovations dont il vient d'être question peuvent être appliquées également dans le cas d'un système connu de fusil à air comprimé dans lequel le piston est muni d'une tige, qui est alors bloquée dans le dispositif de retenue. On peut alors charger le fusil soit à travers l'ouverture du magasin soit au moyen d'un dispositif pour charge isolée ou pour charges multiples.
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Device intended for firearms to be able to use them as compressed air weapons.
The present invention relates to a device intended for firearms and to be able to use them as air guns. Its purpose is to make it possible to mount in the breech box of a firearm, for example in that of the Swiss model 1931 rifle, a device the aim of which is to give the aireur the possibility of practicing at home, with his weapon, by employing bullets and projectiles without powder, in order to maintain the precision of his shot and to take advantage, when desired, of the results thus obtained.
But such a device can only have a chance of success if certain conditions are met. These conditions are as follows:
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(1) The firing accuracy of the airgun, used for firing at a goal at close range and of suitably small size, should be the same as that of the firearm used for firing at goals. located at a great distance., and of larger dimensions [,
2) The total weight and the distribution of that weight must be the same in both guns, whether it is the firearm or the air gun.
3) the pressure to be exerted with the finger on the trigger must not undergo any modification when firing with the device which transforms the firearm into a compressed air weapon.
4) The transformation of the firearm into an airgun and the reverse transformation must be achievable by a small number of maneuvers.
In order for the weapon to be always ready for use, there must be no possibility of deterioration resulting from its transformation or its use, that is to say that: a) the transformation can be made without disassembling parts of the weapon, which the non-specialist is not authorized to do. b) the parts of the trigger device do not undergo a greater spring pressure than in the case where the weapon is used as a firearm, so that the wear cannot be greater than normal wear. c) moving parts are only mounted in places which are originally intended for a movement of the type of the parts in question and finally, only to spare the soul of the barrel and the cartridge magazine, they are both protected against contact with moving parts.
With the device according to the invention, all these forecasts and conditions are very strictly observed.
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achieved and satisfied, so that it can be guaranteed that the final goal can be guaranteed, to give the shooter, at the least expense and without special danger to those around him, a certain degree of efficiency and to maintain it.
According to the current state of the art, the device studied presents novelties which are valid not only for the weapon transformed into a compressed air weapon, but also, in general, for air rifles. and for pistols /
In accordance with the invention, the parts which hold the piston spring and, consequently, the piston, in the armed state, are not only engaged as usual with an irreversible click, but the engagement is blocked and after removal of the blockage (by triggering the trigger), the piston spring automatically releases the engagement.
Compared to known trigger devices, in which a special click is cocked while the piston spring is being banded, a click which releases the piston spring when the trigger is pulled, the innovation has the advantage of ensuring by the locking of the engaged piston spring, greater security against jolts of the cocked rifle ,.
The device according to the invention has the advantage of known embodiments, resulting from the fact that the trigger no longer undergoes the load exerted by the full force of the piston spring, but must only resist the tension of the click. In addition to this advantage, the device according to the invention has yet another. Indeed, the fact that, in the present novelty, the piston spring and therefore the air piston is not irreversibly engaged, as in the known embodiments, but rather
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If it does not activate automatically, it results that the spring which removes the blockage does not need to be as powerful as' - the click spring of the devices produced so far, a spring which must overcome all the friction caused by the piston on the engagement surfaces.
It is particularly advantageous to place the piston spring cocking members on the side of the weapon and to carry out the cocking either by pulling a special cocking lever straight ahead or by making it oscillate.
This provision eliminates the defect which is generally inherent in air guns (rifles and air pistols) when compared to firearms: after firing, it is necessary, in order to be able to cock the weapon, to hold it with a completely different way.
The invention will now be explained in detail, with the aid of a drawing, and in connection with a device for a rifle. The components of the device constituting the compressed air rifle are shown in solid lines and the components of the firearm are shown in phantom.
FIG. 1 represents a vertical longitudinal section of the cocked rifle, ready to fire.
Figure 2 shows a plan view; the arming units are in their arming position.
FIG. 3 represents a profile view of the cocking devices, in the cocking position.
FIG. 4 represents a longitudinal horizontal section and a cross-sectional view of the arming members, the gun being disarmed.
FIG. 5 represents a cross section of the cocking members, the rifle being unarmed. This cut
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was made along the line V-V of figure 4.
Figure 6 shows on an enlarged scale a longitudinal vertical section of the retainer.
Figure 7 gives an end view, load side, seen along the arrow in Figure 6.
Figure 8 is an enlarged plan view of the retainer, with retainer clip.
Figure 9 is an enlarged plan view of the retainer, without the retainer clip.
Figure 10 is an enlarged cross section taken through the parts of the retainer.
This cut was made along the line X-X in Figure 6.
Figure 11 shows an enlarged cross section of the retainer with the retaining brackets visible; this section has been taken along the line XI-XI of Figure 6.
The elements of the firearm are designated by capital letters and the subdivisions of these elements are designated by capital letters which are accompanied by lowercase letters.
The elements of the airgun are designated by numbers and the subdivisions of these elements are designated by numbers which are accompanied by lowercase letters.
After removing the breech mechanism, the entire airgun is inserted into the opening of the gun chamber. The fixing of this assembly in the firearm takes place automatically, the nose 20a of the stop spring 20 engages against the surface Aa of the breech box A.
To cock the rifle, the cocking lever 23 is pulled back until a stop is felt. Then the cocking lever 23 is returned to its starting position and the rifle is cocked.
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To load the rifle, the loading button 15 is completely unscrewed and after having introduced the bullet or another projectile, the barrel 3 is hermetically closed towards the rear by the screwing of the loading button 15 via a gasket washer. At the same time, the bullet or other projectile is pushed and thus brought a little beyond the air inlet orifice 3a. The rifle is then ready for firing.
The removal of the whole of the airgun is also carried out by rapid maneuvers. The stop spring 20 is raised and the whole airgun is pulled out until a stop is felt. Then we lower the cylinder holder B. We can thus remove the whole of the airgun and we can then proceed again to the installation of the chamber.
The arming device comprises three parts.
The curved cocking lever 23, with a U-shaped cross section, rests via the pivot pin 26 on the eyelet 1a which is rigidly assembled with the air cylinder 1. In the U-shaped part of the cocking lever 23, is interposed an intermediate piece 22, which can pivot around the axis 25. This intermediate piece transmits the oscillating movement of the lever d 'cocking 23, via the axis-24, to the lock 21 which can move longitudinally in the slide of the bolt Ab of the breech box A.
When the cocking elements are in their starting position, shown in figure 4, they are held in this position due to the action of the spring Ba on the breech holder B and by the fact that the tongue Bb of the breech-holder is engaged in the notch 22a of the intermediate piece 22. When the rifle is cocked, the end stop is constituted by a notch 21b of the bolt, notch in
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which penetrates the tongue Bb of the cylinder head holder.
When arming is carried out, the locking sleeve 5 is driven, via its heel 5a, by the cocking latch 21a of the latch 21, the latch which passes through the air cylinder 1 through the slot lc of it. The guide preventing rotation is carried out in the same way in a groove 5b of the locking sleeve 5 into which the cocking lug 21a penetrates.
The barrel 3 is screwed into the locking sleeve after having been introduced from the rear through the cylinder bottom 2, which is rigidly assembled with the cylinder 1, and after the piston spring 14 has been fitted. The piston spring 14 rests on one side on the cylinder base 2 and on the other side on the base of the locking sleeve 5.
Between the trigger and the piston retainer, is mounted a trigger part.
This trigger piece 16 is pulled towards the rear of the weapon by the tension spring 19, the ends of which are hooked one to the pin 17, and the other to the pin 18. When the rifle is disarmed, this trigger part is in contact with the posterior edge of the recess Id of the air cylinder. Pin 17 passes through trigger part 16 and pin 18 is supported in sheath 1b which is rigidly assembled with air cylinder 1.
The retaining device for the piston spring (i.e. for the air piston) when it is loaded, consists of the retainer 8, which is screwed onto the shaft 3 and which is arranged behind the 'base 6 of the piston and its gasket 7, as well as by the locking sleeve 9, which is introduced on the retaining part 8 so as to be able to move longitudinally and which is subjected to the pressure of the
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locking spring 10. When the rifle is disarmed, the locking sleeve 9 is in contact with the base 6 of the piston.
On both sides of the retaining piece 8 there is a groove 8a (figure 9) in which the two brackets 13 (figure 11) are housed. The locking of the air piston, when the rifle is cocked, is ensured by the two brackets 13 which rest against the chamfer a of the stop ring 11. The stop ring 11 is supported by the screwing of the cover of closure 12 against the rear end of the air cylinder 1 and it is therefore held in place.
When cocking the rifle, barrel 3 is pushed back with all its parts. When the stopper 9a of the locking sleeve 9 passes by sliding on the trigger piece 16, this piece is erased downwards to resume its place, going up, after the notch 9a has passed. In the reverse movement of the cocking members, the front end of the trigger piece 16 is placed against the trigger C.
At the same time, under the action of the piston spring 14, the barrel 3 moves forward (while the locking sleeve 9 does not participate in this movement) until the two tongues 9b have seized by below the two brackets 13 and have separated them thanks to the wedge action of the oblique surfaces 9c. The stop brackets 13 are placed against the rear chamfer 11a of the stop ring 11 so that the forward movement of the barrel 3 is thus blocked. The cocking elements can be brought back to their starting position as long as the rifle is cocked. The rifle can then be loaded.
When you act on the trigger, the trigger C is pulled down. Under the action of the locking spring, 101 the locking sleeve 9 and the release part
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trigger 16 are projected forward. The rear end of the trigger piece retracts downwards due to its sliding against the profile 16a of the front edge of the recess 1d of the air cylinder and thus provides passage to the stopper 9a . At the same time, however, the blocking of the two calipers 13 is eliminated, since the two oblique surfaces 9c are erased towards the front, thus freeing the path for the two stop brackets 13 which are released together. .
Due to the pulling action of the piston spring 14, the two retaining calipers 13 slide from the chamfer 11zs of the retaining ring 11. The piston spring 14 can therefore now relax freely.
The compressed air thus produced in the cylinder 1c escapes through the orifices 3a, into the barrel 3 and it drives the projectile through this barrel. A sleeve 4 for guiding the barrel, which is screwed into the air cylinder 1, guides the barrel 3 when firing.
It is not absolutely necessary for the barrel to follow the movements of the piston, but the innovations just mentioned can be applied also in the case of a known system of compressed air gun in which the piston is provided with 'a rod, which is then locked in the retainer. The rifle can then be loaded either through the magazine opening or by means of a single charge or multiple charge device.