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IL est connu qu'en reotifia@t la courbe de réponse basse fréquence électrique dans les simplificateurs sonores, la contre réaction à pour effet de dénaturer précisément cette cour- be de réponse basse fréquence acoustique. Tous les bons amplifia cateurs sont généralement équipés d'unacontre réaction que si on essaye de la renforcer, on arrive au résultat que l'impression de musioalité devient moins bonne c'est à dire que les sons graves perdent de leur moelleux et que les sons aigus perdent de leur richesse et de leur netteté.
Les essais de compensation entrepris jusqu'à ce jour, par combinaisons de condensateurs et selfs ntont pas donné les résul- tats escomptés du fait que les sons graves sont perçus plus rogues et les sons aigus plus stridents.
Néanmoins, il est parfois arrivé d'obtenir une courbe de réponse satisfaisante, mais ce résultat n'était un peu. que l'effet " PERFECTIONNEMENTS AUX MONTAGES A CONTRE REACTION DANS LES AMPLIFICATEURS SONORES..
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du hasard, lorsque les éléments assemblée présentaient des carac- téristiques se complétant ou se corrigeant. C'est ainsi qu'on trouve sur le marché des modèles d'assemblage réputés dont la musicalité est néanmoins variable d'un modèle à l'autre.
L'objet du présent brevet à précisément pour but l'obtention d'un circuit de contre réaction permettant de réaliser à coup sûr le desiderata exprimé ci-dessus.
A cet effet, le circuit de contre réaction comportera en principe deux condensateurs (éventuellement deux selfs) disposés de la même façon que le pont de résistances utilisé dans le montage classique c'est à dire qu'aux résistances habituellement utilisées se substitueront deux condensateurs (éventuellement deux selfs).
Afin de mieux faire ressortir l'exposé ci-dessus, les dessins schématiques représentent à titre explicatif et non limitatif des montages à contre réaction équipés conformément à l'objet du présent brevet,
A cet effet, la fig.I représente le schéma d'un tel montage à contre réaction dans le circuit d'un système d'amplification.
La fig.3 représente le schéma du même montage dans le cir- cuit d'un autre mode d'amplification,
La fig.3 représente le schéma de la fig.I dans une variante d'exécution.
La fig.4 représente les diagrammes représentant l'allure de la courbe des fréquences acoustiques obtenue en application de l'objet du présent brevet, et le diagramme sans son application pour le même système d'amplifications sonores.
La fig.5 représente un. autre système d'application de l'objet de l'invention à un amplificateur plus complexe, Les fig.6 et 7 des schémas,ou aux condensateurs su substituent des selfs.En se reportant aux fig, 1,2,3,5, qui représentent des schémas de circuits d'amplifioateurs sonores avec montages à contre réaction:
V A représente la tension anodique.
V E représente la tension d'écren.
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V1 représente la lampe préamplificatrice ( pentode ou triode) la préamplification pouvant comporter plusieurs étagea.
Va Lampe de sortie ( pentode -tétrode ou triode) E Tension d'entrée à amplifier, Tr Transformateur de haut parleur Ci Condensateur présentant une impédanoe notable en basse fréquence @par exemple 1 miorofarad - 0,25 microfarad - 2 microfarad).
C2 Condensateur dont la valeur par rapport à Ci détermine le taux de contre réaction et la fréquence de résonnance de l'ensemble ( par exemple 0,01 à 0,2 microfarad) Ra Résistance de très faible valeur pour prévenir des accrochages ( par exemple 30 à 100 ohms) R1 Résistance assez forte pour ne pas amortir le condensateur C1 ( par exemple 1000 à 10000 ohms).
En se reportant aux fig, I et 2, le circuit de contre réaction en question, figurant dans le circuit dtamplification, comporte un premier condensateur Ci dit de "découpage" et un second conden- sateur C2 dit de " couplage. se substituant aux résistances em- ployées jusqu'ici dans le montage classique.
En pratique, la valeur du condensateur Ci sera comme mentionné de 1 -0,35 -3 microfarad@ et le condensateur C2 de 0,01 à 0,2 microfarad.
La valeur relative des deux condensateurs C1 et C2 donne la fréquence de résonnance à l'ensemble ampli- haut parleur, fréquence qu'il faut ajuster entre 20 et 40 périodes selon l'acoustique de l'ensemble haut-parleur, meuble et salle, ou même moins ou plus.
Dans la fig.2 la oontre réaction est prélevée sur la plaque de la lampe de sortie Va et dans ce cas on donnera au condensateur C2 une valeur plus faible, étant entendu que toutefois des va- riantes sont applicables,toutes proportions gardées, ces propor- tions sont calculées en tenant compte du rapport de transformateur de sortie. pour un montage donné, le rapport des condensateurs C1 et C2 détermine la fréquence de la pointe X sur la courbe A du diagramme
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de la fig.4 dans lequel en ordonnée figure les valeurs de l'am- plification et en aboisse la fréquence en cycles secondes.
La courbe A tracée en trait plein représente l'allure de la courbe de fréquences acoustiques avec une contre réaction dans laquelle figure l'emploi des condensateurs C1 et C2, tandis que la courbe B, l'allure de la courbe avec contre réaction à résistances et ceci pour un même appareil.
On remarquera que cette courbe A va en diminuant régulièrement jusqu'en M ou le résultat voulu est atteint,car les sons graves peu agréables proviennent de la trop grande importance relative de l'harmonique II, III, ou peut être davantage. Aux bons aigus la courbe A se relève dans la partie y suivant une courbe égale- ment très régulière. Le plus souvent, il sera Intéressant d'acoen- tuer cet effet en intercalant, voir fig.3 une résistance R3 en série avec le condensateur C2 pour accentuer le redressement de la courbe de réponse A dans la région Y.Cette résistance. R3 pourrai être de l'ordre de 500 à 5000 ohms.
Il est à conseiller pour prévenir des accrochages de shunter par exemple la résiste tance R3, fig.3 par un condensateur C3 de faible valeur par exemple d'une valeur d'un dixième de la capacité de C2. Cette résistance R3 devra toutefois être assez faible pour ne pas amortir l'efiet de résonnance et l'allure de la courbe A dans les sons graves, c'est à dire dans la région X de la courbe A,
La résistance R1 en parallèle avec le condensateur C1 est nécessaire pour le fonctionnement de la lampe mais sa valeur doit être assez élevée pour ne pas amortir le condensateur C1 et par exemple comme déjà indiqué de l'ordre de 1000 à 10000 ohms,
Il est à remarquer que pour une certaine valeur de contre réaction il pourra être nécessaire d'intercaler également en série avec le condensateur 01 une très faible résistance pour éviter les oscillations du système.
Enfin dans la fig. 5 on a représenté l'application des conden- sateurs Ci et Cdans un amplificateur plus complexe: N comprenant
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des étages intermédiaires et de déphasage, avec évidemment l'appli- cation des variantes comme représenté aux fig.I et 2, comportant l'insertion d'une résistance en série avec le condensateur de couplage C2.
Dans la fig.6, les condensateurs C1 et C2 ont été remplacés par des self-inductions 81 et S2 dont les valeurs seront respec- tivement, par exemple pour S1, 0,1 à 1 henry, pour S2, 1 à 10 henrys,
A titre de variante dans la fig.7, les deux self-inductions
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si et Sa de la flg.6. sont remplacées par une self induction unique S3.
Il va de soi que l'on peut également ajouter des résistances pour atténuer les effets de résonnanoe et éviter les accrochages comme lors du cas d'emploi de condensateurs.
De tout ce qui précède il faut comprendre que de quelque façon qu'on dispose le circuit de contre réaction, on ne doit pas perdre de vue que ce sont les condensateurs Ci et C2 qui jouent tout le rôle actif dans les montages à contre réaction établis conformément au présent brevet, comme aussi les self-in- ductions telles que 81, S2 et S3.
REVENDICATIONS
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I) perfectionnements aux montages à contre réaction dans les amplificateurs sonores, caractérisés en ce que aux résistances habituellement employées dans le circuit de contre réaction, se substituent des condensateurs qui ont la propriété, pourvu que les valeurs de capacité et d'amplification soient dans un rapport adéquat, de conférer à l'ensemble ampli-haut parleur, une courbe de réponse basse fréquence, très relevée à l'extrême grave et qui va en diminuant très régulièrement pour se relever en une courbe également très régulière.